En Afrique, StarTimes a ajouté les chaînes de télévision Timeless Drama Channel (TDC) et Gametoon à ses bouquets de télévision payante. L’opérateur a réussi à obtenir ses chaînes grâce à un accord avec SPI Filmbox, une compagnie opérant une quarantaine de chaînes dans le monde.
« Nous sommes ravis de faire découvrir TDC et Gametoon à nos téléspectateurs. Cela démontre notre engagement constant à fournir à nos abonnés l’accès à un contenu de qualité. Ils ont été de grands fans des telenovelas et je suis sûre qu’ils vont adorer les drames turcs de TDC. Et le eSport est en plein essor en Afrique, ce qui fait que Gametoon a un énorme potentiel sur le continent », a assuré Lily Meng, responsable de la division médias de StarTimes.
L’opérateur a énormément étoffé son contenu ces derniers mois et devrait poser plus de problèmes à la concurrence. Deuxième opérateur de télévision payante en termes de parc d’abonnés (7,8 millions selon Digital TV Research), derrière MultiChoice, StarTimes devrait afficher une évolution importante à la fin de l’année.
Il s’agit de la montée de la « Renouveau télévision » sur les bouquet de canal +. Selon notre confrère du « MALI TRIBUNE » « le groupe Renouveau TV vient de marquer un tournant décisif dans sa vie de jeune entreprise. Il s’agit de sa luisante montée sur Canal + prévue aujourd’hui mardi 12 mai 2020. Une étape jugée très importante par les responsables de l’entreprise et qui, selon eux, est l’aboutissement d’un long processus. Captez désormais Renouveau TV sur Canal +, c’est très simple, il suffit de taper le 234« , annoncé dans sa parution de la semaine dernière à Bamako.
Renouveau TV est désormais au cœur des grands événements avec ce beau partenariat noué avec Canal +. L’information a été donnée lors d’une d’une conférence de presse tenue à Bamako. C’était au siège du groupe Renouveau sis à Missabougou en présence du directeur général de Renouveau TV, Diakaridia Fomba, et Oumar Barrou Sidibé, journaliste.
A l’en croire, nos confrères du journal Mali TRIBUNE affirment que « Renouveau TV sur Canal + a toujours été un souhait exprimé par les nombreux téléspectateurs qui n’ont jamais cessé de le réclamer. Chose faite, et selon le directeur Fomba, cette annonce mettra fin à plusieurs interrogations« . il faut préciser que la Renouveau télévision est l’une des chaines de TV la plus regarder au Mali. Une vedette du secteur de l’audio-visuel
Pour se faire, un programme a été conçu à cet effet, et qui va prendre en compte les aspirations des téléspectateurs et annonceurs. Des émissions d’informations, de divertissement, de sport notamment la diffusion en direct des matchs de basketball, des émissions religieuses, des émissions économiques, culturelles, le monde rural, des films africains, des émissions éducatives.
Avant de conclure son allocution M. Fomba a sollicité l’accompagnement des hommes de médias pour la bonne réussite de cette nouvelle mission de Renouveau TV. Et d’ajouter que « Tout est mis en place par la direction de Renouveau TV pour satisfaire ses téléspectateurs, a-t-il précise.
Notons que les responsables du groupe renouveau concluront que des émissions ont été mentionnées, et que la Renouveau TV se fera également le devoir de faire vivre en direct les grands événements à travers des plateaux spéciaux avec des invités issus de toutes les tendances. Elle est managée par le tout puissant président de la presse du Mali, le journaliste Dramane Aliou KONE, l’un des plus puissant patrons de la presse Malienne. C’est une chaîne généraliste et commerciale.
Netflix vient de racheter les droits pour diffuser sur sa plateforme le film zimbabwéen « Cook Off » qui entrera donc dans l’histoire comme la première production locale du Zimbabwe à être diffusée sur la plateforme de streaming. L’information a été communiquée par les producteurs du film.
Le film raconte l’histoire d’une mère célibataire qui entre dans une émission de télé-réalité culinaire, sans aucune expérience professionnelle préalable, et affronte les plus grands chefs de son pays, alors que toutes les chances sont contre elle. Le film produit par Joe Njagu a été réalisé et écrit par Tomas Brickhill.
La comédie met en scène des talents locaux bien connus tels qu’Eddie Sandifolo, Tendainashe Chitima, Chirikure Chirikure, Jessesi Mungoshi et le populaire rappeur Tendai Nguni, également connu sous le nom de Tehn Diamond. Inconnus sur le plan international, ces derniers vont profiter des millions d’abonnés de Netflix pour faire valoir les mérites de la production zimbabwéenne dans le monde.
(Ecofin Hebdo) – Il aura fallu le coronavirus pour que la transformation numérique engagée par les Etats d’Afrique révèle ses failles saillantes. Le continent a montré son incapacité à garantir à tous la continuité d’accès à divers services essentiels tels que l’éducation, le commerce, la santé ou l’administration publique. Les nombreux ratés enregistrés témoignent à suffisance du danger latent auquel s’expose le continent s’il n’aborde pas la 4ème révolution industrielle de manière plus globalisante et inclusive. Sans un accès universel, le numérique, actuellement vanté comme futur moteur de la croissance, pourrait au contraire accentuer les clivages sociaux et nuire aux ambitions de développement socioéconomique du continent.
Ces dernières années, le secteur des TIC en Afrique a continué de croître. Dans son rapport «Capturing the fourth industrial revolution a regional and national agenda», publié en janvier 2020, Brookings Institution estime que les technologies de l’information et les services mobiles ont généré 1,7 million d’emplois directs (formels et informels) au cours des dernières années et contribué à hauteur de 144 milliards de dollars US de valeur économique (8,5% du PIB de l’Afrique subsaharienne), en plus de générer un revenu fiscal de 15,6 milliards de dollars dans les caisses publiques.
Cette croissance devrait se poursuivre comme l’estime McKinsey dans son rapport « Lions go digital: The Internet’s transformative potential in Africa». Le cabinet conseil évalue à 300 milliards de dollars US la potentielle contribution de l’Internet et des TIC au produit intérieur brut (PIB) de l’Afrique d’ici 2025. Cependant, cette croissance économique portée par la révolution numérique ne concerne essentiellement que les grandes villes. La cause, le faible développement des réseaux télécoms à haut débit à travers les pays, le faible investissement dans les services numériques, l’indisponibilité de l’énergie électrique.
En clair, c’est 926 800 000 individus d’une population à majorité jeune ; en quête d’un avenir meilleur; qui n’accèdent toujours pas à Internet et aux opportunités du numérique, cruciaux dans des segments essentiels tels que l’éducation, la santé, l’emploi et même de la participation citoyenne.
Si les zones urbaines bénéficient actuellement, tant bien que mal, de meilleures conditions d’accès aux trésors du numérique, il n’en est pas de même pour tous. We are Social et Hootsuite, dans leur Digital Report 2020, révèlent à suffisance que le taux de pénétration de l’Internet sur le continent n’est encore que de 34%. Soit seulement 453,2 millions de personnes sur un total de 1,38 milliard d’individus. En clair, c’est 926 800 000 individus d’une population à majorité jeune ; en quête d’un avenir meilleur; qui n’accèdent toujours pas à Internet et aux opportunités du numérique, cruciaux dans des segments essentiels tels que l’éducation, la santé, l’emploi et même de la participation citoyenne. Pourtant, le continent ; où l’accès au mobile est de plus en plus abordable ; est actuellement connecté à une multitude de câbles sous-marins de fibre optique qui représentent une vaste diversité de potentialités.
Education
Dans la majorité des études sur la transformation numérique, il n’est envisagé que son impact bénéfique sur l’éducation à travers un meilleur accès à une plus grande connaissance, permettant aux apprenants d’échanger avec des expert du monde entier, de confronter leurs savoirs, d’acquérir de nouvelles idées. L’Agence française de développement (AFD), l’Agence universitaire de la francophonie (AUF), Orange et l’Unesco, dans leur étude commune intitulée « Digital services for education in Africa », montrent que les TIC dans l’éducation en général, et l’apprentissage mobile en particulier, offrent un énorme potentiel pour atteindre les exclus du système éducatif. Mais il faut toutefois préciser que la transformation numérique pourrait également porter des fruits amers car les zones rurales, abritant encore la majorité de la population africaine, demeurent largement confrontées aux problèmes d’accès à l’électricité et au réseau télécoms. Selon Unesco, en septembre 2018, 31,2% jeunes du niveau primaire, secondaire inférieur et secondaire supérieur étaient encore non scolarisés en Afrique sub-saharienne. Soit 97,5 millions de personnes.
Selon Unesco, en septembre 2018, 31,2% jeunes du niveau primaire, secondaire inférieur et secondaire supérieur étaient encore non scolarisés en Afrique sub-saharienne. Soit 97,5 millions de personnes.
Parmi eux, des millions de jeunes qui peinent à suivre un cursus scolaire normal, sont mis en marge des opportunités qu’offre le monde 2.0 du fait de l’enclavement de leurs zones de vie qui rebute bon nombre d’enseignants.
L’accès à Internet multiplie les opportunités de développement.
Le coronavirus l’a d’ailleurs mis bien mis en exergue lorsqu’il a fallu basculer vers l’école en ligne à travers le continent. De nombreux pays n’ont finalement pas pu suivre le mouvement, contraints de retourner à l’école à la télé et à la radio. Une solution utilisée dans les années 60 par plusieurs pays comme la Côte d’Ivoire, le Niger ou encore le Sénégal.
De nombreux pays n’ont finalement pas pu suivre le mouvement, contraints de retourner à l’école à la télé et à la radio. Une solution utilisée dans les années 60.
Il s’est en fait avéré que la majorité des apprenants ne pouvait pas accéder à Internet, au-delà des ratés enregistrés par les solutions éducatives mises en urgence par les gouvernements. Avec une population africaine en croissance rapide, le nombre d’exclus du système éducatif classique que pourrait réduire les TIC va plutôt croissant, accentuant inexorablement la pression sur le segment de l’emploi.
Emploi
Brookings estime que d’ici 2030, la main-d’œuvre potentielle de l’Afrique sera parmi les plus importantes au monde. Elle devra toutefois répondre aux nouvelles exigences des entreprises africaines en termes de qualifications et d’automatisation. Il y a de forte chances que n’y soient éligibles qu’une grande partie des jeunes des zones urbaines.
Des enfants au Zimbabwe découvrent le monde digital.
Même l’auto-entreprenariat que dynamisent les TIC pourrait aussi être entravé. Ce sont par exemples de nombreux jeunes et femmes de zones rurales, qui passeraient à côté d’opportunités de croissance qu’offrent la technologie dans des activités de base telles que l’agriculture ou encore le commerce. Un meilleur accès aux informations sur les prix compétitifs, les cultures, les conseils de prévention des maladies et le soutien à l’atténuation des catastrophes a le potentiel de transformer le secteur agricole pour améliorer les revenus, la production et l’offre sur tout le continent. L’arrière-pays qui abrite la majorité de la population africaine pourrait rater sa chance de devenir un véritable bassin de production et de croissance, atténuant la pression de l’exode rurale sur les villes.
« L’atteinte de l’objectif de l’Union africaine d’une couverture Internet universelle et abordable augmentera la croissance du PIB en Afrique de 2 points de pourcentage par an.»
Selon Hafez Ghanem, le vice-président de la région Afrique à la Banque Mondiale, « l’atteinte de l’objectif de l’Union africaine d’une couverture Internet universelle et abordable augmentera la croissance du PIB en Afrique de 2 points de pourcentage par an. De plus, la probabilité d’emploi, quel que soit le niveau d’éducation, augmente de 6,9 à 13,2% lorsque l’internet rapide devient disponible, car elle facilite la création d’entreprises et stimule la productivité et les exportations. En tant que telles, les technologies numériques offrent aux pays africains une occasion unique de transformer considérablement divers secteurs de leurs économies. Cependant, ce potentiel ne peut être exploité que si l’Afrique résout ses importants déficits en infrastructures », notamment numérique.
Santé et administration publique
Dans le domaine de la santé, le numérique a le pouvoir de réduire les distances et d’améliorer l’accès des populations aux soins médicaux spécialisés. Aujourd’hui, l’Afrique ne compte que près de 1,1 médecin et 2,7 infirmières pour 1000 habitants selon Mc Kinsey qui estime que les avantages liés à la technologie dans les soins de santé pourraient varier de 84 à 188 milliards de dollars d’ici 2025. Mais bien que les solutions médicales intelligentes se développent rapidement, du fait d’une numérisation accélérée, une grande partie de la population ne peut toujours pas y accéder. Idem pour l’administration publique.
Paul Kagame, avocat de l’accès universel à Internet.
Alors que l’e-gouvernement se développe à travers diverses solutions qui ont le pouvoir d’améliorer la transparence, de rationaliser la prestation de services, d’améliorer la participation citoyenne aux affaires de l’Etat et d’automatiser la collecte des revenus, permettant des gains de productivité de 10 à 25 milliards de dollars US d’ici les cinq prochaines années, l’investissement dans l’extension des réseaux télécoms, socle du développement numérique- à l’heure de l’énergie solaire qui peut palier la faible extension du réseau électrique national- demeure bas. Hafez Ghanem souligne qu’alors que les pays africains consacrent environ 1,1% du PIB aux investissements numériques, entretenant des conditions de développement approximatives, les économies avancées elles dépensent en moyenne 3,2%. Pour lui, le statu quo n’est plus une option, car « il continuera à creuser la fracture numérique et à accroître non seulement la marginalisation de l’Afrique », mais également celle entre les peuples du continent.
Invitée à faire le point devant les députés sur l’opération de distribution des vivres et subsides aux couches vulnérables affaiblies par la Covid 19, la ministre ivoirienne de la Solidarité, de la cohésion sociale et de la lutte contre la pauvreté, Marietou Koné a révélé que plus de 45 000 ménages vulnérables du grand Abidjan ont déjà perçu le transfert monétaire de l’Etat aux ménages, estimés à 25 000 FCFA par mois.
Ces envois de fonds qui s’étendront sur 3 mois seront déployés bientôt dans les localités de l’intérieur du pays. En attendant, 6 ministères techniques et des communes du Grand Abidjan (incluant les périphéries) continuent de convoyer des nouvelles listes pour de nouveaux paiements à effectuer. A ce jour, selon la ministre Marietou, près de 12 millions de personnes ont été touchées par la redistribution de vivres et de non-vivres initiée par son département. Un acte de solidarité qui a été accompagné, jeudi 14 mai, par le lancement de la phase opérationnelle des quatre fonds de soutien mis en place pour atténuer les effets de la pandémie de la Covid-19 sur tous les secteurs d’activités impactés.
Dotée d’une enveloppe globale de 520 milliards, ces quatre fonds, créés le 15 avril dernier, concernent les soutiens aux grandes entreprises, aux Petites et moyennes entreprises, au secteur informel et la solidarité et l’urgence humanitaire. 140 milliards Fcfa ont déjà été mobilisés, selon le ministre de l’Economie et des Finances, Adama Coulibaly. Qui explique que l’octroi des fonds aux acteurs économiques s’est fait dans une démarche participative impliquant toutes les parties prenantes.
Image de la pomme de terre produite en Afrique de l'Ouest par des Agriculteurs Maliens résidant au sud du pays (Google image)
Timbi Madina, dans la préfecture de Pita, au Fouta Djallo, fleuron de la production de la pomme de terre en terre guinéenne, voir ouest-africaine, est en train de subir de plein fouet les conséquences des mesures de restriction liées au covid-19. Avec les méventes de la production estimées à plus de 5000 tonnes, c’est l’ensemble de la filière qui est menacée. L’enjeu est d’une importance première pour la fédération des paysans du Fouta Djallon (FPFD), car pour ses milliers de paysans, il s’agit en priorité de sauver une filière pomme de terre (la mieux structurée du pays), qui a été bâti sur trois décennies, qui produit près de 35.000 tonnes de pomme de terre par an et fait vivre des dizaines de milliers de personnes dans cette région. Ce qui aurait dû être une évidence pour la fédération des paysans du Fouta, à savoir le sauvetage de l’État, tarde à venir.
Les appels à l’intervention du gouvernement pour racheter la production locale sont restés lettre morte. Au même moment, à cause de la fermeture des frontières, il n’y a pas de possibilités d’exporter comme d’habitude, vers la Sierra Leone, le Libéria, le Sénégal, etc… Selon certains spécialistes, si rien n’est fait pour permettre aux producteurs d’écouler leur production, cela va provoquer, en plus de la perte de milliers d’emplois, l’arrêt du cycle de production, parce que beaucoup de paysans ne pourront plus réinvestir dans la production à cause des pertes enregistrées qui se chiffreraient à plus de 50 milliards de francs guinéens. À l’image de la filière pomme de terre, les autres filières agricoles et avicoles sont toutes aussi affectées par les restrictions liées à la circulation des personnes et des marchandises, dues au covid-19. Sans une intervention de l’État ou des partenaires au développement, Elles risquent de s’effondrer.
Contrairement à ce que beaucoup d’observateurs pensent c’est qu’après l’accord de paix avorté d’Alhaji Sulley Bashiru Mohamed, et selon notre confrère de du journal la « mutation » c’était au tour de Bashir Ahmed Agali, consul honoraire de la République du Niger à Kumasi d’inviter les chefs de la famille élargie de la victime et Omar, dont certains sont venus du Yémen et d’autres régions du monde à Accra pour la réunion. Etaient aussi présents Hassan Zein et ses avocats, les enfants d’Omar et d’autres membres de sa famille. Vous voyez que c’est une menace pour la sécurité des pays comme le Mali, le ghana et les zone d’Afrique de l’Ouest. Voilà, le sens de notre papier parce que tout simplement, nous avons compris que beaucoup d’autres personnalités ont été induit dans l’erreur par le fameux homme à multiples nationalité.
MOHAMED Mahmoud OULD IBrahim
Selon nos confrères du journal « Mutation » « c’est qu’au cours d’une réunion qu’Omar (qui
a assisté à la réunion par téléphone) a admis la quasi-totalité des allégations
portées contre lui en particulier la profanation, l’argent prélevé sur Hassan
Zein ainsi que la mauvaise presse faite à son encontre. Du coup il lui a
présenté des excuses inconditionnelles et sans réserve et aux membres de sa
famille et a promis d’être de bonne conduite », at-il a-t-il précisé.
Le début d’une histoire
d’une signature sous la menace de la trahison
Et Monsieur Omar d’exprimer sa profonde gratitude pour les efforts des uns et des autres en vue d’assurer la paix entre les deux parties. Aussi un protocole d’accord fut signé où Omar s’engage à payer la somme de 25 mille dollars dans les deux semaines à Hassan Zein en gage de reconnaissance de dettes qui lui étaient dues avec la promesse de payer le reste plus tard. Mais hélas deux jours après la signature de cet accord de paix, Omar et sa famille ont commencé les insultes, les attaques, les menaces et tous les autres moyens pour diffamer et intimider Hassan Zein et les membres de sa famille. Comme cela ne le suffisait pas, Omar fabriqua des histoires inexistantes à travers des allégations dangereuses et sans fondement en traitant Hassan Zein de terroriste, un magnat de la drogue, un fraudeur et un financier de partis politiques de toute l’Afrique.
criminel
Alors ce qui a abouti
au blanchiment du charismatique homme d’affaire Hassane ZEIN
D’ailleurs cela a valu à Hassan Zein d’être entendu par Interpol Ghana avant d’être complètement blanchi. Mieux il fut félicité par Interpol Ghana pour être lus précis sur toutes ses conclusions et a demandé à Bamako de fournir des preuves qui ne lui seraient jamais parvenues. Du coup Interpol Ghana a rejeté les accusations d’Omar comme étant sans fondement. Comme le seul tort d’Hassan Zein, c’est le fait d’aider une jeune fille mineure souillée à jamais. Aujourd’hui il urge pour l’administration de la police, au Bureau of National Investigation(BNI), aux ministères de l’intérieur ; de la sécurité nationale ; de l’information ; de la condition féminine, de l’enfance et de la problématique hommes- femmes ; de la justice et plus particulièrement au Procureur général afin que justice soit rendue.
Et cela passe nécessairement par l’arrestation de Omar qui constitue une véritable menace pour la vie de Hassans Zein, sa famille et à la jeune fille mineure souillée à jamais. Si aujourd’hui Omar continue de courir toujours, c’est en grande partie à cause de l’apparente léthargie des agences de sécurité de s’attaquer aux causes profondes de cette série de crimes (notamment les souillures, les menaces de mort, les tentatives de meurtre, entres autres) qui ont résulté dans l’état d’insécurité et enhardi Omar et sa bande de voyous de continuer à perpétrer des actes d’anarchies.
Ici, il s’agit d’un
faux transporteur qui ne dit pas son nom, lisez et vous allez comprendre
Il urge pour les plus hautes autorités du Ghana et du Mali respectueux des lois de s’activer pour que cet homme aux multiples noms et nationalités soit arrêté pour la quiétude des personnes menacées tous les jours surtout quand on sait que l’homme est fortement recherché au Benin, au Togo, au Niger, au Burkina Faso, au Sénégal et en Gambie. Rappelons que Mohamed Mahmoud Ould Ibrahim se fait appeler à différents suivant les pays d’accueil avec des passeports valablement établis. Ainsi au Mali il se dit transporteur et se fait appeler Mohamed Mahmoud Ould Ibrahim, au Tchad, il se fait appeler Mahamoudou Mohamed, en Côte d’Ivoire, il se fait appeler Abdoulah Ali Alhoni, au Niger il se fait appeler Mahamoudou Omar, en Lybie il se fait appeler Khames Ibrahim Al ESani et en Irak il se fait appeler Karima H.
Qui de sa
collaboration avec les médias du monde voir ceux du Mali
Une brochette de journaux (médias) a été induit dans l’erreur et cela, à travers un système d’achat de conscience via les différentes rédactions du pays (Mali). D’autres sources révèlent que Monsieur Mohamed Ould Ibrahim voulait coute que coute mener une vengeance à l’endroit de l’homme d’affaire Hassan ZEIN, le ghanéen. Ici, nous ne voulons atteindre l’honneur de qui que ce soit, nous voulons que des faits, rien que des faits et les faits sont têtus. Hassan ZEIN est l’homme d’affaire qui veut bien être de tout le monde sans ambages. Donc ceux qui pensent que Hassan ZEIN est un mégalomane, se trompe de l’homme car il est clair comme neige n’en déplaise à ses détracteurs. Ici, nous avons faits la découverte de la vérité. Ils sont une vingtaine d’organe de presse impliqués dans cette affaire sans merci. Mais aujourd’hui, notre mission est de différencier la vérité au mensonge grotesque sans équivoque. Tous les partenaires de l’homme d’affaire Hassan ZEIN peuvent faire un volte-face, car il est blanc comme neige dans cette affaire. Faites-lui confiance, Monsieur Hassan ZEIN est neutre dans ses combats et même dans ses business comme tout bon homme d’affaire du monde. Il n’est impliqué dans aucune chose. Sérieux.
Aperçu du Pr salikou Sanogo en boubou blanc. Il déplore les propos désobligeants tenus par certaines personnalités qui, d’ailleurs, ont fait l’objet sur la base de « simples insinuations et de procès d’intention en lien avec ce sujet».
Note d’information
Chers militants et sympathisants de l’URD.
A l’occasion de la session inaugurale de la 6ème législature de l’Assemblée Nationale du Mali, tenue le lundi 11 mai 2020 au CICB, le parti a donné consigne à ses députés de voter blanc.
Il est apparu qu’à la fin du processus de vote, nos militants ont en grand nombre, manifesté leur étonnement et leur mécontentement face au choix de nos Députés. Le parti a essuyé de nombreuses critiques suite à ce vote.
Il importe de rappeler que la force de l’URD réside dans la conjugaison des efforts de tous ses militants et sympathisants. Cette popularité incontestable qui s’est manifesté dans les urnes à l’occasion des élections législatives dans plusieurs localités, dont le District de Bamako, a procuré un engouement réel qui doit nous servir de stimulant pour aller à la rencontre d’encore plus de maliens. N’oublions jamais que c’est ensemble, en acceptant les autres, que nous parviendrons véritablement à restaurer l’espoir. La situation actuelle du pays requiert la détermination, l’engagement sincère et loyal de toutes et de tous pour plus de vigilance républicaine.
La Direction du parti doit humblement accepter les critiques de ses militants, sympathisants et aussi de ses alliés, dès lors que celles-ci servent à améliorer le travail combien difficile à l’endroit des populations.
Mahatma Gandhi nous rappelait ceci « Il est bon de confesser ses erreurs. On s’en trouve plus fort. Cet aveu est comme un bon coup de balai qui enlève toute la poussière et laisse les lieux plus propres qu’avant »
Aussi, Théodore Roosevelt renchérissait « Le seul homme à ne jamais faire d’erreur est celui qui ne fait jamais rien ».
La Direction du parti prendra assurément toutes les dispositions nécessaires à la consolidation et au développement des liens harmonieux avec ses élus.
Aujourd’hui plus que jamais, nous devons resserrer nos rangs, demeurer unis et solidaires, déterminés et mobilisés pour la libération très prochaine de notre Président, l’honorable Soumaila Cissé.
La Direction de l’URD invite tous les militants et sympathisants du parti à continuer, en ce mois béni de Ramadan, à associer l’honorable Soumaïla Cissé à nos prières pour que le Tout Puissant TOUCHE le cœur de ses ravisseurs.
Bonne suite de Ramadan ! Que Dieu vous bénisse.
Bamako le 15 mai 2020
Le 1er Vice-président
Pr Salikou SANOGO
Commandeur de l’Ordre National
Campagne nationale de sensibilisation et d’information sur les aspects du dragage du nouveau code minier adopté à l’assemblée nationale le 28 avril 2020.
Dans le cadre de la sauvegarde des cours
d’eau au Mali,les membres de l’association sauvons le fleuve Niger ont tenu une
cérémonie de sensibilisation lundi 11 mai 2020 à Djoliba. Ladite
cérémonie est Présidée par Madame le ministre de mine et de petrole LELENTA HAWA BABA BA,El hadji
Adama Kané président de l’association Dragui Niéta et BALDÉ président de l’association sauvons le fleuve
Niger. On note aussi la presence de plusieurs personnalités locales et riveraines.
Conformément au nouveau code minier, madame le ministre de mine et de petrole s’exprime ainsi, ce que vous avez dit concernant les dragues depuis au temps de Moussa TRAORÉ jusqu’à nos jours, depuis longtemps, l’autorisation d’exploitations du dragage était dans le code minier, mais ils ont amené un nouvel système de dragage en utilisant des produits chimiques toxiques qui sont les causes de dégradation du fleuve.
A l’en croire, le code minier avait prévu les conséquences de l’utilisation des produits chimiques toxiques deviennent de plus en plus intenables. « Mais si nous voyons qu’ils causent des dégâts, nous sommes obligés de prendre une décision pour suspendre momentanément. Avant la sortie de ce nouvel code minier nous avons pris un arrêté pour suspendre mais maintenant le code est officiel et c’est formellement interdit dans le code, » a-t-elle conclu.
El-Hadji Adama Kané, président de l’association Dragui Nièta a indiqué leur contribution à la protection du fleuve Niger. Il a également indiqué son inexpérience dans le domaine depuis le temps de Moussa Traoré à nos jours ainsi que sa franche collaboration et cela, avec toutes les autres structures riveraines ( les associations et fédérations) et gouvernementales (ministères et administrations). Selon lui « A l’époque, on pouvais traverser ce fleuve à pied sans être noyé, le fleuve était complètement ensablé. J’ai commencé ce travail ( dragage) en 1986 au temps de Moussa Traoré. Nous avons procédé au désensablement du fleuve d’abord en compagniede Madou Zoulou ici présent et autres compagnons, en creusant le fleuve. A cette époque, je ne connaissais même pas les produits chimiques toxiques que vous avez cités en guise des causes de l’intoxication… ». Le président de l’association Dragui Nienta sollicite l’accompagnement de l’état dans cette activité de dragage, l’octroi d’une autorisation d’exploitation du sable et des graviers du fleuve Niger.
« nous sommes conscients du danger des produits chimiques toxiques utilisés dans l’orpaillage, nous avons transformés nos dragues extraction d’or en extraction du sable et des graviers. Nous vous informons que les dragues ne sont plus utilisées ici pour extraire de l’or, mais plutôt pour extraction des graviers et du sable. Nous sollicitons votre accompagnement dans ce domaine en nous montrant ou en nous octroyant un site dépositaire des graviers et du sable. » Toujours selon l’association Dragui Nièta, l’extraction du sable et des graviers non seulement sauvegarde et protège le fleuve Niger mais aussi promouvoir l’emploi des jeunes afin de pouvoir lutter contre le chômage des jeunes dans notre pays.
Il ajoutera par suite ceci: « Nous vous informons que, nous sommes plus de deux cent mille (200000) jeunes venus d’un peu partout à travers le pays travail avec nous. A cet effet, nous comptons sur vous pour nous aider à regarder et à pérenniser cet emploi, qui est l’extraction du sable et des graviers. », a-t-il ajouté
L’association Dragui Nièta a indiqué sa bonne collaboration avec d’autres associations dans le cadre de la protection du fleuve Niger. » nous sommes en partenariat avec l’association sauvons le fleuve Niger. Nous nous sommes inscrits dans cette même logique, qui est la lutte contre l’ensablement du fleuve Niger et la protection des espèces vivants dans l’eau. »
Madou Zoulou, l’un des compagnons du président de l’association Dragui Nièta, lui, après avoir remercier madame le ministre et sa délégation pour leur bonne collaboration et compréhension. Il a précisé également ce qui s’est mal passé et par contre explique son désaccord avec les accusations et selon lui, et a mis l’accent sur la gratuité de l’exploitation des sites sans oublier d’évoquer la question d’intoxication et de la dégradation du fleuve Niger.
» Au début, nous nous voyions forcé par le gouvernement concernant cette activité de dragage et d’extraction du sable et des graviers. Mais vous nous avez montré que vous ne voulez forcer personne et procéder à la sensibilisation sur les aspects du dragage du nouveau code minier, voter par assemblée nationale le 28 avril 2020. J’en suis très content pour cela et on a compris également votre inquiétude pour nous les usagers en général et toute la communauté riveraines en particulier. Ce qui me faisait mal avant c’était la suspension des travaux sans même voir le ministre concerné mais aujourd’hui le ministre concerné en personne est là pour une sensibilisation, je suis partant pour la suspension des travaux, je demande à madame le ministre d’impacter sa présence aujourd’hui à Djoliba. Nous avons avec nous des orphelins qui ont perdus les parents au Nord, les réfugiés de la guerre au Nord ainsi qu’au centre. Aujourd’hui ces orphelins sont face encore àune crise. Nous sommes des orpailleurs, ce qui fait que nous avons oublié IBK, par ce qu’un chacun de nous pense être milliardaire un jour. » après avoir souligné ces points, il partage ainsi son désaccord: « vous avez dit, les dragages rendent l’eau toxique, mais vous avez oublié beaucoup d’autres produits chimiques qui sont toxiques aussi. Pendant l’hivernage, les gens pulvérisent les insecticides et herbicides au bord du fleuve, ces produits ne sont-ils pas toxiques ? L’ensablement ne détruit-il pas le fleuve ? Pourtant vous avez demandé d’arrêter. »
Le président de la fédération nationale des exploitants du sable et des graviers, Badra Aliou Berté a tout d’abord brièvement défini la fédération en quelques mots. « la fédération nationale des exploitants est une association créée bien avant ma naissance, je suis venu trouver cette association, c’est une association qui extrait du sable et des graviers assise à kalaban-coro. Tout ce que nous avons vécu depuis au début de l’extraction du sable et des graviers, on ne doit pas le dire à tout le monde. » Il a rappelé aussi le rôle et l’engagement de l’association sauvons le fleuve Niger et félicité leur dévouement dans cette lutte.
Suivant ses
propos, Badra Aliou Berté.
« Une seule pirogues nourrit plusieurs personnes, c’est une personne l’achète, dans chaque chargement, le propriétaire a sa part, quatre (4) personnes partent chaque matin pour charger du sable et/ou du gravier et à l’arrivée quatre (4) autres personnes le déchargent, d’autres personnes viennent charger les camions-bennes viennent avec d’autres exploitants pour transporter partout où besoin se montre. »
Le président de l’association sauvons le fleuve Niger, Baldé n’a pas manqué d’adressés ses remerciements à madame le ministre et sa délégation et à tous ceux qui se sont déplacés pour la cérémonie. Il a rappeler la date de la création de leur association et mettre l’accent sur quelques points sur ses objectifs. pour lui, l’association sauvons le fleuve Niger à été créée depuis le premier (01) novembre 2016
«La tendre mère tient un fil dans sa main. Elle coud un vêtement pour son fils qui part en voyage. Elle fait des points serrés, répare avec soin. Car elle craint qu’il ne reste absent bien longtemps. Combien d’amour une herbe garde-t-elle dans son cœur, pour remercier le soleil printanier ?» C’est le poème le plus connu de Meng Jiao, poète des Tang (618-907) intitulé «Chanson du voyageur». Le secrétaire général du Comité central du Parti communiste chinois Xi Jinping l’a récité lors de la cérémonie d’échanges des vœux du Nouvel An chinois en 2015.
La plus grande attente d’une mère, c’est de voir ses enfants réussir et être heureux dans la vie. Et l’attente de Mme Qi Xin était beaucoup plus forte. C’est ainsi qu’elle plaça sur les épaules de son fils Xi Jinping, la responsabilité pour le pays et le peuple chinois.
Voici six moments entre la mère et son fils.
A l’âge de cinq ou six ans, Xi Jinping a reçu une bande dessinée de sa maman. Il s’agit de l’histoire de Yue Fei, célèbre patriote et général dans l’histoire chinoise. La mère de Yue Fei tatoua son fils de quatre caractères chinois dans le dos, qui pouvaient se lire «dévoue-toi corps et âme à la patrie». Après avoir appris cette histoire, Xi Jinping a dit à sa mère que le tatouage devait faire très mal à Yue Fei. Sa mère lui a dit que l’idée de se montrer loyal envers la patrie resterait à jamais gravé dans son esprit, en dépit des douleurs. Dès sa tendre enfance, Xi Jinping garde dans son cœur l’idée dudévouement à la patrie, et il en a fait l’objectif de sa vie.
Mme Qi Xin mène toujours une vie sobre, alors que son époux Xi Zhongxun était un cadre de haut rang du Parti. Elle avait refusé des privilèges, préférant confier ses enfants à la crèche et au pensionnat, au lieu d’engager des baby-sitters ou des femmes de ménage. Elle n’a jamais demandé d’être mutée à un endroit plus proche de son domicile. Elle a participé à une seule activité officielle en tant qu’épouse du vice-premier ministre chinois. Elle tient à verser régulièrement sa cotisation au Parti, même aux moments les plus difficiles.
Malgré ses responsabilités et devoirs de mère, Mme Qi Xin respectait son travail et ne rentrait pas à son domicile sans avoir fini ses tâches professionnelles. Un bon exemple qu’elle était en train de donner à ses enfants dont Xi Jinping. Sous l’influence de la tradition familiale, Xi Jinping maintient un style de vie simple.
Avant le départ de Xi Jinping pour le Shaanxi, Mme Qi lui a confectionné un nécessaire de couture, sur lequel elle a cousu trois caractères: «l’attachement de maman». Xi Jinping a travaillé pendant sept ans dans le village Liangjiahe du Shaanxi et il n’a jamais déçu sa mère. Il a établi des liens amicaux avec les paysans locaux.
Lors de la fête du Printemps de 2001, Xi Jinping, alors gouverneur de la province du Fujian, a passé un coup de téléphone à sa mère Qi Xin pour lui dire qu’il ne pouvait pas retourner à Beijing pour fêter ensemble. Mais la mère n’était guère ébranlée par les mots de son fils. Et elle lui a répondu : «Tant que tu fais bien ton travail, c’est la plus belle preuve d’amour pour tes parents. C’est aussi ta responsabilité envers la famille et toi-même. »
Au bureau de Xi Jinping, plusieurs photos prises avec ses parents jonchent l’étagère. L’une d’entre elles, lui rappelle un moment tendre de promenade dans un jardin avec sa maman.