Avec un coefficient d’exploitation ramené à 31% à la fin de l’exercice 2019 contre 40% en 2018, Coris Bank Côte d’Ivoire est la championne bancaire de l’optimisation des charges. Sur ce ratio qui exprime le rapport entre les charges d’exploitation et le PNB, le secteur bancaire évolue à une moyenne de 45%. Cette bonne tenue qui exprime le degré de digitalisation du back office et de la relation client, s’ajoute à des performances commerciales appréciables. Ainsi, le PNB de la banque s’établit à 28 170 millions de Franc CFA, en hausse de 43%. Quant au résultat net, il s’établit à 15 milliards de Franc CFA, en croissance de 97%.
En 2019, les dépôts bancaires ont atteint 307 milliards de Franc CFA, en hausse de 36% d’un exercice à l’autre et témoignant de la confiance de la clientèle. Quant aux concours à l’économie, ils se sont établis à 287 milliards de Franc CFA, en hausse de 44%. La banque présente un taux de transformation…………..suivez le liens ci-dessous pour les détails
Le gouvernement ivoirien prépare déjà l’après Covid 19. Il est à pied d’œuvre pour réveiller tous les projets miniers dormants même ceux qui ont connu un ralentissement dans leur phase de production dans l’ouest montagneux. Selon les indiscrétions, les projets miniers de fer et de Nickel ajoutés à la réalisation d’un Railway qui nécessiterait plus de 4000 milliards Fcfa ont été réactivés par le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly, qui a instruit le ministre des Mines, Jean Claude Kouassi, de préparer les dossiers en vue de les présenter aux bailleurs de fonds.
Ces projets concernent les gisements de fer du mont Klahoyo Tia (1,2 milliard de tonnes), du mont Gao (1 milliard de tonnes) et le gisement de nickel latérique de Sipilou évalué à près de 205 millions de tonnes etc. Ces gisement découverts il y a quelques années dans l’ouest de la Côte d’Ivoire permettront, s’ils sont exploités, d’accroitre la contribution du secteur minier dans le PIB du pays. En ce moment, la contribution du secteur minier avoisine difficilement les 4 % de PIB avec 13993 emplois directs. Le plus important dans l’exploitation de ces minerais est aussi le volet transport. Donc, un chemin de fer qui devrait relier les 18 montages au port de San Pedro est prévu pour un coût estimé à près de 1000 milliards Fcfa. Trois entreprises se livrent déjà une bataille souterraine pour se voir attribuer le marché, il s’agit de China Road and Bridge Co, Pfo et Africa, Iymer Istanbul Foreigners and investment center.
Après un passage chez le fournisseur d’électricité britannique Globeleq, Jean Louis Ekra, l’ex président de la Banque africaine d’import export (Afreximbank), vient de lancer son propre fonds d’investissement dénommé Ayipling Morrison Capital, une société d’investissement et de capital risque.
L’objectif est de promouvoir l’investissement et la croissance économique sur le continent. Jean Louis Ekra fut le deuxième président d’Afreximbank. Il a passé 10 années à la tête de cette institution panafricaine qui se sont soldées par l’augmentation des actifs de la banque de près d’un demi-milliard de dollars US en 2006 à plus de six milliards de dollars US en 2015, malgré les tempêtes qui ont secoué Afreximbank (crise des actionnaires, situation macroéconomique instable etc). Le financier ivoirien est à la base du développement du programme «Africa Cocoa Initiative» qui a permis de soutenir la transformation des fèves de cacao sur le continent. Recruté au Conseil consultatif du cabinet de Conseil Richard Attias and Associates, Jean-Louis Ekra lance un fonds d’investissement dans une sorte de suite logique au vu de son immense carrière. .
Les chiffres économiques sont toujours au cœur de l’actualité. Les pays du monde entier font tour à tour état des dégâts causés par la pandémie sur leurs économies, au cours du premier trimestre de l’année. Aux Etats-Unis, l’impact sur le marché de l’emploi continue de s’affirmer. Sur le mois d’avril, le nombre de demandes aux allocations chômage est monté à 30 millions, en lien avec la chute du Produit Intérieur Brut (PIB) de l’ordre de 3,8 % sur le 1er trimestre. Du côté du voisin canadien, qui subit le double effet de la pandémie de COVID-19 et de la chute des cours du pétrole, la situation est toute aussi préoccupante. Selon des estimations d’une étude officielle, l’économie canadienne pourrait se contracter de 12 % sur l’année 2020, ce qui constituerait une contreperformance historique.
En Europe, l’office européen de statistiques, EUROSTAT, estime à 3,8 % le recul du PIB de la Zone Euro sur le 1er trimestre. Il s’agirait de la plus importante chute trimestrielle du PIB depuis la création de la zone en 1999. Dans ce contexte, les annonces de mesures de soutien s’enchainent à un rythme effréné avec toujours les Banques Centrales à la manœuvre. Ainsi, la Banque du Japon (BOJ), qui anticipe une entrée en récession accompagnée d’une déflation, a décidé de lever les limites quant à ses rachats d’obligations d’Etat et de relever son plafond concernant les rachats d’obligations d’entreprises.
La Banque Centrale Européenne (BCE) a, de son côté, maintenu son taux directeur à un niveau proche de zéro, tout en assouplissant ses opérations de financement aux banques commerciales. Cette dernière mesure vient compléter la décision de l’Union Européenne de relâcher les règles prudentielles imposées aux banques, leur permettant de libérer des capitaux sans avoir à augmenter en proportion les provisions pour créances douteuses. L’objectif visé est de stimuler l’octroi de crédit par les banques.
Sur les marchés financiers, les annonces macroéconomiques ainsi que les mauvaises publications financières des entreprises, n’ont pas entravé le rebond sur la plupart des places boursières. Les investisseurs ont ainsi préféré se concentrer sur l’annonce de résultats positifs sur les essais d’un traitement au COVID-19, qui vient renforcer la perspective d’une sortie de crise prochainement.
Toutefois, les marchés américains ont piqué du nez en toute fin de semaine. En effet, ouverts le 1er mai, les bourses américaines ont lourdement chuté au cours de la séance, faisant suite aux menaces de sanctions commerciales du Président américain Donald TRUMP à l’encontre de la Chine en raison de sa gestion de l’épidémie de CORONAVIRUS.
Tableau 1 : Evolution des bourses mondiales au cours de la semaine
2. AU PLAN REGIONAL
L’essentiel de l’actualité dans la région UEMOA se résume dans la poursuite des émissions de « Bons sociaux COVID-19 », par les Etats membres. Ainsi, le Sénégal et le Burkina Faso ont levé respectivement 103 et 80 milliards de FCFA, emboitant le pas à la Côte d’Ivoire qui avait recueilli 180 milliards de FCFA en début de semaine. Sur le marché financier régional, les indices boursiers ont évolué à rebours de la tendance mondiale, avec des baisses de 1,45 % pour l’indice BRVM 10 et de 1 % pour l’indice BRVM Composite. Cette contraction est sans doute due à des prises de bénéfices opérées par les investisseurs, suite à la forte hausse constatée au cours de la semaine précédente :
Graphique 1 : Evolution des indices BRVM du 27 au 30 avril 2020
Tableau 2 : Les plus fortes baisses sur la semaine (Top 5)
Le top 5 des plus fortes baisses de la semaine sur le marché Actions illustre les difficultés rencontrées par certaines valeurs bancaires, dans un contexte de pandémie peu propice au développement de l’activité de crédit. Ainsi, l’on retrouve les titres BICI CI (-7,96 %), BOA MALI (-9,17 %) et BOA BF (-9,19 %) dans ce classement.
La valeur FILTISAC (-11,11 %) a enregistré la deuxième plus forte baisse de la période. La société a publié ses états financiers annuels sur 2019 ainsi que son rapport d’activité du 1er trimestre 2020. Concernant cette dernière publication, le management de la société a tenu à rassurer les investisseurs quant à l’impact limité de la crise sanitaire sur son activité.
Le titre SUCRIVOIRE s’est adjugé la plus importante baisse de la semaine, avec une lourde de chute de 20,71 %. La valeur a souffert, suite à la publication de ses résultats financiers annuels, révélant une perte nette de 5,3 milliards de FCFA sur l’exercice 2019.
L’Etat de la Guinée Bissau via son trésor public a levé le 7 mai 2020 sur le marché financier de l’Union monétaire ouest africaine (UMOA) un montant de 15,500 milliards de FCFA (23,250 millions d’euros) à l’issue de son émission d’adjudication de bons assimilables du trésor (BAT) à 3 mois dénommés Bons Social Covid-19.
Sixième pays membre du marché financier de l’UMOA à utiliser le mécanisme des Bons Social Covid-19 initié par la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), la Guinée Bissau avait mis en adjudication 15 milliards de FCFA en vue de mobiliser l’épargne des personnes physiques et morales dans le but de couvrir les décalages de trésorerie créés par la lutte contre la pandémie causée par COVID-19 et ses conséquences.
Au terme de l’opération d’adjudication, l’Agence UMOA-Titres a répertorié 52,725 milliards de FCFA de soumissions globales provenant des investisseurs, soit un taux de couverture du montant mis en adjudication de 351,50%.
Sur ce montant, l’émetteur en a retenu 15,500 milliards de FCFA et rejeté les 37,225 milliards de FCFA restants, soit un taux d’absorption de 29,40%.
Le remboursement du capital par l’émetteur interviendra le premier jour ouvré suivant la date d’échéance fixée au 6 août 2020. Comme pour les autres pays ayant expérimenté les Bons social Covid-19, le plan de trésorerie de l’Etat de Guinée Bissau pour rembourser cette dette est alimenté par les engagements de ses partenaires techniques financiers.
Les intérêts au taux inférieur ou égal à 3,75% sont payables d’avance et précomptés sur la valeur nominale des bons qui est d’un million de FCFA.
Dans le cadre de la lutte et prévention contre la maladie à Coronavirus. Le syndicat national des pharmaciens du Mali (Synapharm) a procédé ce jeudi 7 mai à la remise de cartons de kits sanitaires composés de gels hydroalcooliques à la Direction générale de la Caisse Malienne de Sécurité Sociale (CMSS) dirigée par Mme Diéminatou Sangaré. Il s’agit pour les pharmaciens de témoigner de leur solidarité à leurs partenaires dans le cadre de la collaboration.
Le secrétaire général du Synapharm, Dr Souhel Moulaye dira qu’en tant qu’acteur de la société civile, il est du devoir des pharmaciens de contribuer à la construction de l’édifice nationale. Nous ne pouvons pas rester en marge de cette lutte qui interpelle tout le monde ».
Visiblement heureuse de cette action, la directrice générale de la CMSS, Mme Diéminatou Sangaré, s’est félicitée de cette action assez significative. Elle montre à suffisance l’engagement du syndicat des pharmaciens dans le combat contre la pandémie du moment. Elle explique que si chacun de nous respectait les consignes édictées par les autorités dans le combat contre la pandémie, nous pourrons booster hors de nos frontières le COVID 19.
Ainsi, elle réitère son engagement à faire bon usage des dons. Et au personnel de la CMSS, elle les exhorte à respecter les gestes barrières et mesures d’hygiène. « C’est à ce prix que nous éradiquer la pandémie de la maladie à coronavirus » martela t- elle.
La Directrice Générale a terminé sur des mots de remerciements de monsieur le Ministre de la Santé et des Affaires Sociales M. Michel Hamala SIDIBE à l’endroit du Synapharm et a lancé un appel pour plus de solidarité et de paix au Mali.
C’est au
cours d’un point de presse que la Jeunesse de l’Ensemble Pour le Mali (J-EPM) a
fait sa déclaration de soutien à la candidature de l’honorable Moussa Timbiné,
député élu en commune 5, au poste de président de l’Assemblée Nationale.
C’était le mardi 5 avril au quartier général (QG) de la section commune 5 sis
au 300 logements. L’élection du président de la 6ème législature est
prévue le lundi 11 avril 2020. Ce point de presse était animé par Belco Bah, 2e vice-président
de la jeunesse EPM, Zé Traoré, secrétaire général.
La J-EPM
estime que l’élection du Président de l’Assemblée Nationale prévue pour la session
inaugurale de la sixième législature représente une opportunité historique pour
la jeunesse de la Majorité Présidentielle, de réaliser le souhait du Président
de la République, de placer la jeunesse au cœur de son mandat et de faire
d’elle le fer de lance du développement et de la promotion de la Démocratie.
scène de la conférence de presse UJ EPM
La J-EPM
s’approprie cette anse généreuse qu’offre la vision du Président Ibrahim
Boubacar KEITA pour jouer un rôle salutaire dans cette élection : Celui de
combiner la vision du Président au mérite et à l’expérience, à la fois au
service de la Jeunesse et de la Nation toute entière.
Considérant tous les enjeux et paramètres, la J-EPM à l’unanimité décide de soutenir avec détermination et engagement, la candidature de l’Honorable Moussa Timbiné, Président de la J-EPM, au poste de Président de l’Assemblée Nationale et appelle les candidats issus de l’EPM à désister au profit de l’Honorable Timbiné, afin de respecter la vision du Président IBK pour la jeunesse.
Elle invite par ailleurs l’ensemble des Députés Jeunes, à
s’allier solidairement à l’honorable Moussa Timbiné, défenseur et
porte-étendard de la jeunesse à l’Assemblée Nationale pour une jeunesse plus
unie et plus forte.
Fidèle à son engagement de servir le Mali sous la sage
direction du Président Ibrahim Boubacar Keita, la J-EPM félicite l’ensemble des
députés pour la confiance placée en eux par le peuple malien. Elle se dit déterminée
à poursuivre son combat au bénéfice de la jeunesse et de la nation malienne,
sans exclusive tout en respectant et comprenant les différentes candidatures
pour le poste de président à l’Assemblée Nationale.
De la signature de l’accord politique de gouvernance à l’organisation réussite des élections législatives sans oublier le dialogue national inclusif, plusieurs raisons militent pour le maintien de Dr Boubou Cissé à la tête du gouvernement qui devrait être mis en place dans les prochains jours.
Homme de décision, il n’a pas peur d’aller au charbon, prendre des décisions souvent impopulaires et les assumer. Quit à cristalliser sur sa personne les mécontentements. N’est-ce pas la le rôle d’un Premier ministre » servir de pare-chocs au Président de la République »
Malgré le contexte difficile, le Chef du gouvernement avance tant bien que mal. Sans bruit, le Premier ministre engrange des résultats encourageants. Personne ne peut nier aujourd’hui les efforts déployés par le Premier ministre depuis son arrivée à la Primature dans la recherche de solutions à la crise au centre du pays et surtout la mise en œuvre de l’accord pour la paix et la réconciliation issu du processus d’Alger. Comme en témoigne ses nombreux déplacements au centre et au nord de notre pays.
Autre atout et non des moindres, c’est la confiance et la crédibilité dont il jouit sur la scène internationale. Il a su mobiliser les partenaires techniques et financiers autour du Mali. L’écoute dont le Premier ministre Cissé bénéficie auprès de cette communauté sert énormément les intérêts du Mali.
Aussi, dans le contexte politique actuel, un technocrate neutre sans agenda politique qui a su se mettre au dessus de la mêlée politique est une carte sûre entre les mains du Chef de l’Etat. Personnalité consensuelle au sein de la classe politique, Dr Boubou Cissé est en mesure de fédérer les différentes forces autour des réformes majeures à venir.
C’est un atout majeur dans un contexte politique qui sera surtout marqué par des guerres de positionnement dans la perspective des échéances électorales de 2023.
Pour réussir toutes réformes et parachever les chantiers ouverts, il faut juste une équipe cohérente et soudée autour de ce grand patriote pour avancer dans la direction tranchée par le Président de la République, Son Excellence Ibrahim Boubacar Kéïta. Abdoulaye Doumbia
Le
ministère des Mines et des Hydrocarbures a publié un nouvel arrêté
ministériel pour encourager l’embauche de main-d’œuvre locale
MALABO, Guinée Equatoriale, 6 mai 2020/ — Conformément aux efforts de la Guinée équatoriale pour veiller à ce que la reprise du pays profite à la création d’emplois locaux et au développement du contenu national, le ministère des Mines et des Hydrocarbures a publié un nouvel arrêté ministériel pour encourager l’embauche de main-d’œuvre locale.
L’arrêté ministériel numéro 1/2020 limite à trois ans la période pendant laquelle les entreprises peuvent employer de la main-d’œuvre étrangère et des expatriés dans l’industrie pétrolière et gazière de la Guinée équatoriale. Il fait suite à des années de renforcement des capacités et de formation réussies au sein des entreprises locales et de la main-d’œuvre locale en Guinée équatoriale, qui a mis à disposition un vivier bien formé de talents locaux. La Direction Générale du Contenu National sera chargée du contrôle du respect de l’arrêté.
« Avec la publication de ce nouvel arrêté, le ministère des Mines et des Hydrocarbures entend renforcer les capacités des entreprises de services locales, tout en garantissant la création d’emplois locaux pour nos jeunes formés et éduqués », a déclaré S.E. Gabriel Mbaga Obiang Lima, ministre des Mines et des Hydrocarbures.
Dans le sillage de la pandémie COVID-19 et de la crise pétrolière actuelle, la Guinée équatoriale a adopté une nouvelle approche pour assurer la rétention et l’augmentation des investissements étrangers dans le pays, tout en maximisant l’embauche de biens et services locaux pour que la reprise profite à son économie locale. La semaine dernière, le pays a prolongé de deux ans tous les programmes d’exploration sur ses superficies afin de permettre aux opérateurs étrangers de se regrouper et de planifier de meilleures dépenses sismiques et de forage d’exploration.
Ces mesures sont déployées alors que la Guinée équatoriale met en œuvre une série de projets phares dans ses industries en amont, en intermédiaire et en aval, qui devraient générer des emplois locaux. Le projet de remblayage est déjà en cours pour mutualiser l’approvisionnement en gaz torché dans le golfe de Guinée et remplacer la baisse de production du champ d’Alba. Parallèlement, l’Année de l’investissement en cours a suscité un vif intérêt de la part de divers acteurs existants et nouveaux en Guinée équatoriale pour construire et étendre les infrastructures intermédiaires et en aval et maximiser le traitement et la transformation locaux du pétrole brut et du gaz naturel produits en Guinée équatoriale.Distribué par APO Group pour African Energy Chamber.
Adnane Ben Halima, Vice-Président en charge des relations publiques pour la région Méditerranée de Huawei Northern Africa (à gauche) et Loïse Tamalgo, Vice-Président en charge des relations publiques pour l’Afrique Subsaharienne de Huawei Northern Africa (à droite).
Huawei Northern
Africa annonce les nominations, à compter du mercredi 6 mai 2020,
d’Adnane Ben Halima au poste de Vice-Président en charge des relations
publiques pour la région Méditerranée et de Loïse Tamalgo, au poste de
Vice-Président en charge des relations publiques pour l’Afrique
Subsaharienne au bureau régional de Huawei Northern Africa.
Le
continent africain est au cœur de la stratégie de développement de
Huawei depuis plus de deux décennies. Le Groupe s’inscrit dans une
approche de long terme en Afrique et y a réalisé d’importants
investissements pour soutenir le développement des infrastructures de
Technologies de l’Information et de la Communication (TIC).
Pour Philippe Wang, Vice-Président Exécutif de Huawei Northern Africa : « alors que 75% de nos employés sur le continent sont africains, nous
sommes très heureux de permettre à deux de nos collaborateurs d’accéder
à de nouvelles responsabilités au sein de nos équipes. Ils continueront
d’accompagner au mieux nos partenaires africains, dans les secteurs
public et privé, pour poursuivre le développement de l’écosystème
numérique du continent. »
Le Groupe œuvre quotidiennement pour garantir une meilleure interconnexion à ses consommateurs africains.
Pour Adnane Ben Halima, Vice-Président en charge des relations publiques pour la région Méditerranée de Huawei Northern Africa,
« à l’ère du digital, c’est un challenge intéressant qui nous attend.
Ensemble nous pourrons alors relever les défis de la transformation
numérique en Afrique et répondre aux nombreuses attentes de nos
partenaires. »
Loïse Tamalgo, Vice-Président en charge des relations publiques pour l’Afrique Subsaharienne de Huawei Northern Africa, a pour sa part, déclaré : « Je
suis convaincu que notre expertise et mon parcours depuis 13 ans au
sein de Huawei permettront de mieux comprendre les besoins locaux. Cela
permettra au Groupe, d’une part, d’augmenter sa contribution à la
transformation digitale et d’autre part de contribuer à une meilleure
répartition sociale du dividende numérique aux populations dans les pays
que je couvre au sud du Sahara. »
Adnane Ben Halima,
40 ans, Vice-Président en charge des relations publiques de Huawei
Northern Africa, est titulaire d’un diplôme d’ingénieur en informatique.
Il a débuté sa carrière professionnelle en tant qu’ingénieur en
recherche et développement chez ST-Microelectronics avant de rejoindre
Huawei Technologies en 2005. Adnane Ben Halima a également piloté le
lancement de plusieurs nouveaux réseaux 3G, 4G, THD fixe et plateforme
Cloud dans plusieurs pays du continent ainsi que le lancement de
nouveaux opérateurs télécoms.
Loïse Tamalgo,
43 ans, Vice-Président en charge des relations publiques de Huawei
Northern Africa, est titulaire d’un MBA et d’une Maîtrise en Langues
Appliquées au Tourisme et aux Affaires. Loïse Tamalgo a contribué à la
réalisation de plusieurs projets d’envergure tels que les projets
réseaux de l’Onatel, de Telecel Faso et le déploiement de datacenter et
de technologie de transmission optique pour Orange Burkina. Il a rejoint
Huawei en septembre 2007. Il a également été gestionnaire de comptes
opérateurs et de compte gouvernement, Directeur pays pour Huawei au
Burkina Faso pendant huit ans, puis Vice-Président des ventes pour la
représentation de Huawei en Côte d’Ivoire pendant un an et demi.
À propos de Huawei
Huawei
est l’un des principaux fournisseurs mondiaux d’infrastructures et
d’appareils intelligents dans le domaine des technologies de
l’information et des communications (TIC). Avec des solutions intégrées
dans quatre domaines clés – réseaux de télécommunications, TI,
dispositifs intelligents et services en nuage – nous nous engageons à
apporter le numérique à chaque personne, foyer et organisation pour un
monde entièrement connecté et intelligent. Le portefeuille de produits,
de solutions et de services de bout en bout de Huawei est à la fois
compétitif et sécurisé. Grâce à une collaboration ouverte avec des
partenaires de l’écosystème, nous créons une valeur durable pour nos
clients, en travaillant à responsabiliser les gens, à enrichir la vie
familiale et à inspirer l’innovation dans les organisations de toutes
tailles et de toutes formes. Chez Huawei, l’innovation se concentre sur
les besoins des clients. Nous investissons massivement dans la recherche
fondamentale, en nous concentrant sur les percées technologiques qui
font avancer le monde. Nous comptons plus de 194 000 employés et nous
sommes présents dans plus de 170 pays et régions. Fondée en 1987, Huawei
est une société privée entièrement détenue par ses employés.