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Cour Constitutionnelle au Mali :Entre l’exigence d’Indépendance et d’amitié

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par le progrès

La proclamation des Résultats définitifs du 2ème tour des élections législatives par la Cour Constitutionnelle est à l’origine du désordre créé par endroits dans notre pays. Les électeurs, convaincus de mettre les bulletins dans les Urnes en faveur de leurs candidats respectifs crient à la manipulation des chiffres par la Cour Constitutionnelle. Sans ambages, ils accusent la Présidente Manassa Danioko de favoritisme et d’être au Service des tenants du pouvoir.  Manipuler les résultats pour renverser la tendance et «nommer» certains députés. C’est ce qu’on reproche plus aux Sages de la Cour Constitutionnelle. Si rien n’est fait pour stopper les manifestations qui débordent déjà, tout peut arriver, même un Coup d’Etat. A bon entendeur, salut !

Covid-19: La BDM-SA accorde 1 milliard 300 millions FCA de don à l’Etat malien

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La Banque de Développement du Mali est un Groupe Bancaire malien avec un capital de 25 Milliards de F CFA. Elle possède plusieurs filiales en Afrique et en Europe. En 2021, le Groupe compte plus de 200 agences et quelques 500 collaborateurs.

« A titre exceptionnel, les Administrateurs représentant les actionnaires de la banque ont décidé à l’unanimité d’accorder à l’Etat malien un don de 01Milliard 300 millions FCA dans le cadre de la lutte contre le COVID-19. Ce fonds sera prélevé sur les dividendes des différents actionnaires de la banque », précise le Communiqué

69e Session du Conseil d’Administration de la BDM SA

 COMMUNIQUE DE PRESSE  La 69e session du Conseil d’Administration de la Banque de Développement du Mali (BDM SA) s’est tenue, ce samedi 18 avril 2020, dans la salle de réunion de son siège sous la présidence de son Excellence Monsieur Ahmed Mohamed AG HAMANI, Ancien Premier Ministre du Mali, Président dudit conseil. Compte tenu de la situation de crise sanitaire, les travaux se sont déroulés par Visio conférence. Après adoption et examen des points inscrits à l’ordre du jour, le Conseil a adopté l’arrêté des comptes annuels au 31 décembre 2019 de la BDM-SA. Le Conseil s’est aussi penché sur la nouvelle situation créée par la pandémie du COVID -19 et ses répercussions sur les différents secteurs économiques notamment sur le secteur bancaire. A cet effet, le Conseil d’Administration a été informé par la Direction Générale des mesures prises pour assurer la protection du personnel et de la clientèle de la banque sur l’ensemble du réseau de la BDM SA. A cet égard, le Conseil d’Administration a pris acte du plan de continuité de l’activité adopté par la cellule de crise de la BDM-

SA présenté par la Direction Générale. De même les actions de soutien au Gouvernement dans le cadre de lutte contre le COVID-19 ont été rappelées. Il s’agit entre autres, de l’appui général apporté par le secteur bancaire au fonds gouvernemental STOPCOVID s’élevant à plus de 750 Millions de F CFA dont 100 Millions de contribution de la BDM SA. A l’issue des débats, le Conseil d’Administration a félicité la Direction Générale de la banque pour les initiatives pertinentes prises pour à la fois assurer la protection du personnel, de la clientèle tout en assurant les services bancaires essentiels à la population. A titre exceptionnel, les Administrateurs représentant les actionnaires de la banque ont décidé à l’unanimité d’accorder à l’Etat malien un don de 01Milliard 300 millions FCA dans le cadre de la lutte contre le COVID-19. Ce fonds sera prélevé sur les dividendes des différents actionnaires de la banque. Le Conseil a salué les efforts de la Direction Générale et de l’ensemble du personnel en vue de conforter les résultats appréciables réalisés et la position de la banque dans un contexte difficile et de plus en plus concurrentiel.

 Bamako, le 22 Avril 2020

Couvre-Feu au MALI:L’Association des Hôteliers-restaurateurs dans le Creux de la Vague

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PAR LE PROGRÈS

La maladie à Coronavirus à tendance à devenir un couteau à double tranchant. D’un côté la pandémie est crainte, de l’autre, ses répercussions immédiates sur l’économie et des activités génératrices de revenus  est à l’origine d’une «crise alimentaire». Voilà pourquoi, depuis l’instauration du Couvre-Feu par décret, les hôteliers-Restaurateurs n’arrivent plus à assurer le quotidien à fortiori faire face aux charges fixes, notamment  la location et charges locatives. D’où la colère de l’Association des Hôteliers Restaurateurs, dont les adhérents peinent désormais à manger trois fois par jour. Voilà pourquoi, elle (Association des Hôteliers-Restaurateurs) demande la Clémence de l’Etat pour juste avoir à manger seulement trois fois par jour. Sacré Coronavirus, quand tu nous affame !

Rassemblées par S. KONE

PRÉVENTION ET RIPOSTE CONTRE LA PANDÉMIE COVID-19 AU MALI: Silence, la BMS-SA favorise la propagation du CORONAVIRUS

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par le progrès

Nous sommes devant l’Agence BMS de Sébénicoro, suivant la longue file d’attente. A première vue, les clients de la Banque sont attroupés tels des animaux dans un enclos, ne respectant aucune mesure de sécurité. La distanciation de 1 mètre étant l’une des mesures de prévention contre la maladie à Coronavirus est loin d’être respectée.  Une situation créée de facto par les Managers de la Banque, terrés dans leurs bureaux au détriment de la clientèle souffrant sous un soleil de plomb en ce mois béni de Ramadan. Et bonjour la traversée du Purgatoire. Le DG  Aliou COULIBALY, où es-tu ?

ODEUR DE CORONAVIRUS DEVANT LA BMS

L’appétit venant en mangeant, nous avons fait le tour de quelques agences BMS du District de Bamako où les conditions sont presque acceptables ainsi qu’à l’Agence Principale où tous les mécanismes de prévention sont en place. Mais ici à l’Agence BMS de Sébénicoro où près de 400 usagers passent par jour ces dernières semaines,  c’est le chao et le désordre indescriptibles. Les clients attroupés devant l’Agence BMS de Sébénicoro sont exposés au risque de contamination à la maladie à Coronavirus qui fait des ravages tous les  jours. Cela est d’autant plausible que les mesures relatives à la  distanciation sont foulées aux pieds.  Les responsables de l’Agence n’ont aucune marque d’attention à l’endroit de la clientèle pourtant décidée à faire soit de dépôts ou de retraits au bénéfice de la BMS. Pendant que toutes les dispositions sont prises par la Direction Générale pour sécuriser le personnel de la BMS. «Nous sommes attroupés devant la banque comme des animaux dans un enclos avec une température ambiante… », regrette un client au-dessus  de la cinquantaine venu consulter son compte. Pour accéder  à la réception, il a attendu plus de deux heures sous un soleil ardent. Une jeune demoiselle, ne cessait de soliloquer elle aussi : «cette agence nous fatigue ; ils ne peuvent même pas nous laisser rentrer. Comme ça en se faisant inscrire sur la liste, on peut même attraper le virus de COVID-19. La BMS ne veut même pas mettre un peu d’ordre comme ailleurs. Ici, c’est l’enfer».

Le hic dans tout ça, c’est qu’aucune attention n’est accordée aux personnes âgées  désormais laissées-pour-compte, soupirant parfois dans un état pitoyable. Et pourtant l’actuel Directeur Général Aliou COULIBALY, annoncé en fanfaron à sa nomination, étale au fil du temps ses incohérences dans la gestion d’entreprise. Comme quoi, la médiocrité gouverne désormais à la BMS.

SECURITE ZERO :

Ici à l’Agence BMS de Sébénicoro, en plus du risque sanitaire, les clients s’exposent au risque sécuritaire. Des agents de la garde nationale chargés d’assurer la sécurité de la Banque sont réquisitionnés pour dresser la liste d’arriver des usages. Occupés à faire le portier et à gérer les humeurs de la clientèle, le poste de sécurité de l’agence BMS balance tel dans un Festival des Brigands où les vrais acteurs de la sécurité deviennent de simples spectateurs.  Un militaire en tenue civile venu lui aussi voir si  le solde est fait constate : «Ici, c’est la sécurité zéro. Les responsables de cette agence ne se soucient de rien, et même le Directeur Général. Un minimum de deux (2) Caméras de Surveillance  permettrait aux dirigeants de voir au moins ce qui se passe ici à la minute et au besoin, prendre des mesures qui s’imposent». Nous sommes samedi 02 mai 2020, le Chef d’agence ou son intérimaire n’est toujours pas sur place pendant que le désordre s’accentue, alourdissant la souffrance de la clientèle de la BMS doublée de risque de contamination au Coronavirus. Ce qui est à déplorer dans tout ça, c’est l’incompétence notoire du Directeur Général Aliou COULIBALY qui ignore tout de son environnement qui pourtant, conditionne le Développement d’une institution bancaire. La BMS est-elle sur les traces de la BHM ?  Quand la médiocrité se griffe à l’incompétence et au népotisme, c’est la faillite programmée d’une Banque. N’est-ce pas Monsieur le Directeur Général ?

A suivre dans nos prochaines livraisons : «HAINE VISCERALE A LA BMS-SA : LES CLIENTS HAUT DE GAMME D’UN CHEF D’AGENCE»

Par Boubacar KANTE

Au Togo, les prix des produits alimentaires de première nécessité encadrés

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selon nos confrères du commodafrica « Par décret, le gouvernement togolais a imposé un encadrement des prix des produits alimentaires de première nécessité ainsi que des produits de protection contre le Covid-19 (masques et gel hydro alcoolique) afin de limiter la flambée des prix« .

Les produits concernés sont le riz, le sucre, de l’huile végétale et de la farine de blé. Le directeur du commerce intérieur et de la concurrence au ministère du Commerce, Claude Talime Abe,  a indiqué que le riz thaïlandais 5% de brisure était fixé à FCFA 18 500 le sac de 50 kilos et le riz pakistanais 25% de brisures à FCFA 17 200 le sac. Pour le sucre, le sac de 50 kilos est de FCFA 16 000.

Covid-19: projet « Un Malien un, masque », la CMSS a reçu avec satisfaction son lot de masques et de gels hydroalcooliques.

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Le mardi 5 mai 2020 s’est tenue dans la cour de l’UMPP une cérémonie de remise d’un important lot de kits de protection COVID-19 à plusieurs structures par le Ministre de la Santé et des Affaires Sociales M. Michel Hamala Sidibe.

La CMSS a reçu avec satisfaction son lot de masques et de gels hydroalcoliques.

La CMSS remercie le Président de la République, le Ministre Michel Hamalla Sidibe et le gouvernement du Mali pour cet appui utile dans le cadre de la prévention contre COVID-19.

Le Mali a enregistré, ce mercredi 06  mai 2020, 19 nouveaux cas positifs de personnes atteintes de coronavirus et 33 patients guéris. Ce qui porte à 631 le nombre total de cas positifs de Covid-19 dans notre pays. Les cas ont été recensés en: commune I (01 cas); commune II (02 cas); commune IV (04 cas); commune V (08 cas); commune VI (01 cas) ; Koro (01 cas); et Kéniéba (02 cas).

A ce jour, on dénombre au total 261 cas de guérison et 32 morts de Covid-19 au Mali dont 22 dans les services de prises en charge des malades.

Filière anacarde en cote d’Ivoire : Les données de chaque producteur bientôt collectées par l’ANADER

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Jeudi 30 avril, le Conseil du coton et de l’anacarde (CCA) a remis à l’Agence nationale d’appui au développement rural (ANADER) 274 appareils de collecte électronique de données. Ces équipements ont pour destinataires finaux environ 300 conseillers agricoles formés par l’ANADER puis repartis dans toutes les zones productrices de noix de cajou.

Avec les appareils mis à disposition, les bénéficiaires auront pour tâche d’aller vers chaque acteur de la filière, notamment chacun des 350.000 producteurs du pays, pour enregistrer toutes les informations liées à son activité : superficie de sa plantation, volume et qualité de la production, état des vergers (présence ou non d’insectes ravageurs), etc. « Nous venons d’offrir des smartphones qui sont des outils de collecte de données sur le terrain. Il s’agit d’équiper les agents de l’ANADER qui sont les conseillers agricoles. Ils sont en contact avec des producteurs de noix de cajou. Ces outils de pointe permettent en temps réel d’avoir des informations du travail qui est fait au quotidien sur le terrain », a expliqué Adama Coulibaly, directeur général du CCA.

Ce travail de collecte de données, leur disponibilité instantanée au profit de tous les acteurs (producteurs, acheteurs, transformateurs et exportateurs) – y compris les décideurs et les partenaires au développement –, est une étape indispensable à la mise en place d’un Conseil agricole dans la filière anacarde. Et cette digitalisation à travers l’introduction d’outils modernes vient améliorer la gouvernance de cette filière. C’est un des volets importants du Projet de promotion de la compétitivité de la chaîne de valeurs de l’anacarde (PPCA). Le directeur général du CCA, Adama Coulibaly, a fait la genèse de cet ambitieux programme soutenu par la Banque mondiale avant d’en décliner les principaux objectifs. Son but ultime demeure la transformation des noix de cajou brutes produites en Côte d’Ivoire.

Réceptionnant les 274 terminaux, le directeur de l’ANADER a affirmé qu’ils constituent une avancée importante dans le travail de ses agents. « Il s’agit d’amener les producteurs avoir les bonnes pratiques pour avoir des produits de qualité. Avec ces appareils, l’agent qui est sur le terrain peut transmettre ses préoccupations à sa hiérarchie pour une solution rapide. C’est une avancée technologique importante », s’est réjoui Sidiki Cissé.

Hormis ces matériels électroniques estimés à 165 millions de francs CFA, l’ANADER a reçu d’autres appuis du CCA. Comme la remise, en octobre 2019, de 309 motos…

La production de coton au Burkina et au Mali en hausse en 2020/21 ?

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Pour la campagne 2020/21, le département américain de l’Agriculture (USDA) anticipe une hausse des superficies emblavées et de la production de coton tant au Burkina Faso et au Mali avec des prix aux producteurs fermes attendus et des prix bas des intrants ainsi qu’un meilleur accès au crédit.

par rédaction

« Pour le Burkina Faso, il est projeté une superficie de 610 000 hectares, en hausse de 5% (580 000 ha en 2019/20). Outre des prix au producteurs fermes et les prix bas des engrais, l’accroissement des superficies pourraient être le résultat d’un accès élargi au crédit pour davantage d’agriculteurs endettés. Toutefois, l’USDA demeure incertain sur la situation sécuritaire qui précise que selon leurs contacts, le gouvernement se coordonne étroitement avec les forces armées et les agriculteurs dans les zones les plus touchées par l’insécurité. La production devrait progresser de 9% à 950 millions de balles. Les exportations grimperaient aussi de 9% à 925 000 balles« , précise notre confrère du commodafrica.com

Au Mali, les superficies cotonnières devraient augmenter de 1% à 740 000 ha et de 1,5% pour la production à 1,36 million de balles. Quant aux exportations, à 1,33 million de balle, elles progressent de 1,5%. Les problèmes de sécurité dans le nord, le centre et l’est du Mali n’ont eu aucun impact sur le secteur cotonnier malien, qui se situe principalement dans la partie sud-ouest du pays.

Pour ces deux pays, l’USDA indique qu’il n’existe, à ce jour, aucun rapport stipulant que le Covid-19 affecterait la disponibilité des intrants ou la décision des agriculteurs de travailler sur le terrain. Néanmoins, la restriction des mouvements pourraient contraindre les agriculteurs dans la plantation et la gestion de la récolte de coton. En outre, les gouvernements auront-ils assez de ressources budgétaires pour fixer un prix au producteur attractif alors que même que les cours internationaux du coton sont au plus bas depuis 11 ans. Enfin, on peut s’interroger sur le volume des exportations compte tenu de la récession économique mondiale et la destruction de la demande mondiale en coton.

Mali: Plus de 400 milles agriculteurs bénéficieront de semences ameliorées

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Dans le cadre du projet Améliorer la productivité des cultures et la résilience au climat pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle au Mali (APSAN-Mali) plus de 40 000 producteurs maliens des régions de Sikasso, Koulikoro, Kayes et Ségou, sont sur le point d’obtenir des semences améliorées de sorgho, de mil, d’arachide et de niébé, souligne SciDev.net.

Ce projet fait partie d’un programme de l’Union européenne  Développer une innovation intelligente grâce à la recherche en agriculture (DeSIRA) mis en œuvre dans le cadre d’un partenariat entre l’Institut de recherche sur les cultures de zones tropicales semi-arides (ICRISAT) et l’Institut d’économie rurale (IER), ainsi que d’autres organisations paysannes.

« Plus précisément, ce projet permet, d’une part,  l’introduction de ces variétés qui permettent de rendre les plantes (sorgho, mil, arachide et niébé) plus résistantes à la sécheresse et d’augmenter par la même occasion leurs valeurs nutritives. D’autre part, il rend accessible l’accès de variétés performantes et peu connues aux agriculteurs. Ces nouvelles semences possèdent des caractéristiques supérieur ou égales aux semences améliorées déjà existantes au Mali, elles sont créées en utilisant des variétés locales, adaptées aux cultures, mais dont les caractéristiques sont davantage développées« , mentionne notre confrère du commodafrica.

« On ne produit pas uniquement pour faire du business mais on produit aussi pour que la santé des gens s’améliore », peut-on lire.

En effet, ces nouvelles variétés ont diverses spécificités. La première d’entre-elles est d’augmenter les rendements des cultures de 30 à 40 %. Le sorgho et le mil créent un fourrage qui reste vert jusqu’à la récolte, possèdent un cycle court de 70 à 110 jours, ainsi qu’un rendement grain élevé qui dépasse les deux tonnes à l’hectare. Les nouvelles variétés d’arachide possèdent une haute teneur en huile et un faible niveau d’aflatoxine. Elles sont également tolérantes à la sécheresse et -comme pour le sorgho et le mil – disposent d’un fourrage de qualité. Une caractéristique de fourrage que l’on retrouve également pour les nouvelles variétés de niébé, nettement plus riches en protéine.

Actuellement, une grande majorité de producteurs maliens utilisent des variétés traditionnelles qui disposent de faibles rendements et possèdent des cycles longs difficilement bouclés en cas d’arrêt précoce des pluies.

Maroc: Les besoins du Trésor augmentent en mai 2020

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La Trésorerie Générale du Royaume a annoncé que le déficit budgétaire a chuté de 39,5 milliards de DH à fin juillet dernier

Les besoins prévisionnels du Trésor au titre de mai 2020 varient entre 12,5 et 13 milliards de DH, selon la direction du Trésor et des finances extérieures (DTFE). Au mois précédent, le recours au marché des adjudications des valeurs du Trésor portait sur un montant se situant entre 7 et 7,5 milliards de DH.