Le Premier ministre, Julien Nkoghe Bekale, a lancé, le 25 novembre 2019, le Programme intégré pour l’alimentation en eau potable (Piaepal). L’un de ses objectifs est de réduire les pénuries d’eau à Libreville, dans la capitale gabonaise.
En effet, dans sa sous-composante « eau potable », le projet vise entre autres le renforcement des capacités institutionnelles du secteur de l’alimentation en eau potable ; le renforcement et l’extension de 280 kilomètres du réseau d’eau potable dans les communes de Libreville, Akanda, Owendo et Ntoum ; l’augmentation de la capacité d’eau disponible pour les populations, la lutte contre les fuites et l’harmonisation des installations.
La mise en œuvre du Piaepal devra se traduire par une augmentation de la capacité de production et de stockage de l’eau potable et, in fine, pallier la pénurie constatée dans la capitale et ses environs. Elle devrait également porter le taux de rendement du réseau de distributiondu Gabon de 52% à 80%. Ce qui permettrait à 400 000 ménages de plus d’avoir accès à l’eau potable à travers le pays. suivez le liens en bas pour la suite de l’article :
Intervenant le mardi 26 novembre 2019, au cours d’un panel du Salon international de l’agriculture et des ressources animales d’Abidjan 2019 (SARA), David Solano (photo), expert en mobilisation de ressources et expert forestier au sein de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), a annoncé que son institution a accordé un financement d’une valeur de 26 millions $ (près de 15,5 millions $) pour la réalisation de 3 projets d’agroforesterie en Côte d’Ivoire.
Ces projets concernent notamment la cacaoculture durable et l’aménagement du territoire, le projet fonds vert climat ainsi que le projet de bioénergies. suivez le liens ci-dessous pour la suite du texte:
Il faut signaler que la Banque africaine de développement considère l'agriculture comme un secteur clé. Jacob Oduor, responsable du bureau de la Banque en Tanzanie, a expliqué les investissements massifs dans le secteur agricole du pays : croissance plus inclusive.
Au Ghana, l’exécutif entend bannir d’ici 2022 les importations de riz, dans le cadre d’une stratégie visant à soutenir la production locale. L’annonce a été faite par Kennedy Osei Nyarko, ministre de l’Alimentation et de l’Agriculture en marge d’une visite dans la région de la Volta, principale productrice de la céréale.
Selon le responsable, la majeure partie du riz actuellement consommé dans le pays, est importée alors que les potentialités sont réelles. « Je ne suis pas ici pour condamner le riz étranger, mais la vérité c’est que notre riz est plus sain et plus nutritif que celui acheté à l’extérieur », indique le responsable qui ne donne pas de détails supplémentaires sur les plans de l’exécutif.
Du côté des observateurs, on reste sceptique face à cette nouvelle annonce du gouvernement. Certains analystes mettent en lumière la demande galopante de riz au Ghana ces dernières années avec une consommation qui devrait atteindre 40 kg par tête d’ici 2020 alors que la production locale n’arrive pas à suivre le rythme. suivez le liens ci-dessous:
Facebook devrait perdre 1,3% de ses adeptes français en 2019, d’après les prévisions du cabinet eMarketer. Dans trois ans, moins d’un Français sur deux devrait utiliser le réseau social régulièrement.
Les données viennent alimenter une intuition partagée: Facebook perd plus d’utilisateurs que prévu en France et en Allemagne. C’est du moins l’une des conclusions d’une étude menée par le cabinet eMarketer et dévoilée ce 25 novembre. D’après ses prévisions, 2019 devrait marquer un tournant pour le réseau social le plus populaire au monde.
Pour la première fois, le nombre d’utilisateurs français devrait chuter, avec une baisse de 1,3%. Le premier recul du nombre d’utilisateurs allemands de Facebook date quant à lui de 2018. Le service n’en demeure pas moins le premier réseau social du pays.
De même en France, où Facebook devrait culminer à 27,5 millions d’utilisateurs actifs par mois, contre 17,4 millions pour Snapchat, devant Instagram (15,9 millions) et Twitter (4 millions). N’en reste pas moins que d’ici 2022, moins d’un Français sur deux devrait encore être sur Facebook.
eMarketer – Le nombre d’utilisateurs prévus par réseau social pour 2020.
Les personnes âgées au rendez-vous
Le mouvement de désertion de Facebook a été amorcé par les plus jeunes. Moins de la moitié des adolescents français et allemands de 13 à 17 ans devraient avoir un compte Facebook actif d’ici la fin de l’année, prévoyait également eMarketer fin août. En France, le cabinet mise sur une baisse de 9,3% du nombre d’utilisateurs de cette catégorie d’âge. Et d’ici la fin de l’année, moins de la moitié des adolescents français devrait se connecter à Facebook régulièrement.
Les plus jeunes délaissent depuis de nombreux mois déjà Facebook pour Instagram (filiale de l’entreprise de Mark Zuckerberg), Snapchat, YouTube ou encore Tik Tok, une application chinoise qui rencontre un fulgurant succès partout dans le monde. En revanche, Facebook compte de nombreuses personnes âgées parmi ses utilisateurs les plus fidèles. D’ici la fin de l’année, le nombre d’inscrits de plus de 65 ans devrait avoir progressé de 2,1%.
Déployé sur Android et iOS cette année, le dark mode est devenu une fonctionnalité très populaire sur les applications mobiles, et même sur les sites web. Actuellement, de nombreuses applications Google, Apple et Microsoft se sont déjà mis au dark mode. Et Facebook propose déjà cette fonctionnalité sur son application de chat Messenger.
À l’instar de Messenger, l’application Facebook va se doter d’un mode sombre. Et il semblerait que le numéro un des réseaux sociaux soit déjà en train de tester cette nouveauté.
Cependant, Facebook ne propose pas encore de dark mode pour son produit phare, le réseau social.
Mais cela fait déjà plusieurs mois que nous savons que l’entreprise développe un mode sombre pour cette application. Et visiblement, l’officialisation de cette fonctionnalité pourrait se faire bientôt puisque petit à petit, le dark mode de l’application Facebook apparaît chez certains utilisateurs de smartphones Android.
Du moins, c’est ce qu’indique le site Android Police, ainsi que quelques utilisateurs (captures d’écran à l’appui).
Comme vous pouvez le voir sur ces publications, le dark mode sur l’application mobile de Facebook devrait donc échanger les fonds clairs contre des fonds sombres.
Pourquoi est-ce important ?
L’app Facebook est l’une des applications les plus utilisées dans le monde et chez beaucoup d’utilisateurs, il s’agit de l’application qui utilise le plus la batterie sur leurs smartphones.
Or, il est possible de réduire la consommation d’énergie d’une application lorsque celle-ci est utilisée avec le dark mode.
Il y a quelques mois, Google a même publié les résultats d’une expérience pour démontrer que l’affichage de ces fonds sombres à la place des fonds clairs traditionnels est un véritable plus pour l’autonomie, sur les smartphones équipés d’écrans OLED (comme l’iPhone 11 Pro).
Sinon, parmi les autres applications qui ont déjà un mode sombre, il y a Gmail, Slack et Twitter.
Le réseau social perd des utilisateurs en France. Les jeunes désertent Facebook au profit de sa filiale Instagram mais aussi de Tik Tok et Snapchat.
Ce n’est pas vraiment une surprise, Facebook n’a plus la côte. Une étude publiée par e-Marketer, lundi 25 novembre, fait état d’une baisse du nombre d’utilisateurs du réseau social. 1,3 % des utilisateurs français quittent Facebook, faisant ainsi chuter le nombre d’internautes à 27,6 millions. Des chiffres qui restent encore impressionnants et qui place le F bleu sur la plus haute marche du podium. La société d’étude de marché va cependant plus loin, et annonce qu’en 2022 moins de 50 % des internautes français auront un compte Facebook. Nos voisins germaniques aussi se détournent de la plateforme. L’utilisation du réseau social baisse d’1,2 % et devrait perdre encore 0,9 % d’ici la fin de l’année, selon les prévisions.
Parmi les grands déserteurs de Facebook, ce sont les jeunes qui plient le plus bagage. En France comme en Allemagne, le réseau social ne séduit plus. Seulement 1,1 millions d’utilisateurs ont entre 12 et 17 ans, contre 4,1 pour les 18-24. C’est dans la tranche moyenne, 25-34 ans, que Facebook enregistre le plus d’internautes allemands, 7,2 millions. La tranche haute, quant à elle, ne cesse de croître avec 5,3 millions d’utilisateurs entre 35 et 44 ans. L’analyste Karin von Abrams explique que « l’utilisation de Facebook est en augmentation chez les utilisateurs plus âgés, alors les utilisateurs plus jeunes peuvent le trouver un peu obsolète. Ils sont beaucoup plus attirés par Instagram et Snapchat »
Snapchat se taille la part belle
Si les jeunes utilisateurs ne sont plus séduits par Facebook, ils ne quittent pas les réseaux sociaux pour autant. C’est vers d’autres applications qu’ils se tournent comme Snapchat ou Instagram (qui est une filiale de Facebook). Pour Karin Von Abrams, «ces plateformes offrent généralement des expériences plus récentes et une atmosphère plus dynamique. Snapchat a particulièrement profité de la mise à jour de son application, pour le deuxième trimestre de 2019. Les nouveaux filtres comme le visage bébé ont considérablement renforcé l’engagement (des utilisateurs ndlr)». En France, Snapchat enregistrera une augmentation de 17,8 % avec 16,4 millions d’utilisateurs pour le petit fantôme. Chez Instagram, même constat, puisque l’application enregistrera une augmentation de 10,7 % avec 14,9 millions de comptes.
ACCIDENT D’HELICOPTERES FRANÇAIS AU MALI : UN MENSONGE D’ETAT. Le 27 novembre 2019, la France a annoncé la mort de 13 de ses soldats qui seraient décédés la veille au Mali, au cours d’une mission de combat. Si elle a bien communiqué sur l’identité des soldats morts (photos, carrière, vie conjugale, voire fils de …Jean Marie BOCKEL), elle a été très nulle sur tous les autres plans et n’a convaincu personne. Commençons par examiner les circonstances. Les autorités françaises parlent de mission de reconnaissance déployée pour surveiller un pick-up terroriste et des motos, puis de combat alors qu’elles reconnaissent en même temps qu’aucun combat n’a été engagé et qu’aucun terroriste n’a été tué. Elles ont aussi laissé entendre qu’une unité de forces spéciales étaient au sol et observait le pick-up terroriste, et que des avions sont arrivés en renfort, dont une escadrille de Mirage du Tchad, un hélicoptère Cougar, deux hélicoptères de combat Tigre, et qu’au cours du survol de la zone d’opération, le Cougar et un Tigre ont fait une collision. En conclusion, les militaires français ont déployé des avions Mirage, deux hélicoptères de combat Tigre, un hélicoptère Cougar et des hommes au sol pour traquer un seul véhicule terroriste. Un tel scénario ne sera jamais accepté à Hollywood. Examinons les images des épaves d’aéronefs. Les Français se sont arrangés à ne pas fournir de plan d’images laissant voir les deux hélicoptères accidentés. Mais, ce qu’ils ont fourni est déjà suffisant. On voit la soi-disante épave du Tigre pourtant blindé et plus robuste, complètement calciné. Il ne reste qu’un châssis et le train d’atterrissage. Quant au Cougar, il est intact, juste un hublot troué. Ensuite, observez le sol des deux photos, la couleur du sable, l’ombre des épaves (on dirait 11 heures sur une image et 16 h 30 sur l’autre), le relief et faites-vous une idée sur la saison de chaque photo. Vous conviendrez avec moi que les photos n’ont pas été prises dans le même pays. Ensuite, observez les trains d’atterrissage d’un hélicoptère Tigre sur internet, comparez-le à ceux de l’épave. En réalité, la photo de l’épave est celle d’un avion de ligne moyen courrier et non celle d’un hélicoptère de combat. Sur le nombre de soldats français tombés au Mali, il y en avait officiellement 28 avant l’accident. Mais les autorités françaises diront qu’avec les 13 morts du 26 novembre, le total est passé officiellement à 38, au lieu de 41. Au cours de la conférence de presse, le lieu précis de l’accident est resté tabou. La Ministre Florence PARLY et son chef d’état-major des armées n’ont cessé de répéter « entre Gao et Ménaka » deux localités pourtant distantes de 315 km, « le Liptako malien ». La Ministre Florence PARLY d’ajouter que le combat s’est déroulé là « où l’obscurité était totale, ce qui a complexifié l’opération », comme si les soldats français n’ont pas de vison nocturne. Par ailleurs, il est à noter que Madame PARLY n’a montré aucun signe de compassion envers les morts, contrairement à François HOLLANDE dont la voix et les mains tremblaient à la suite de l’attaque du 13 novembre. La partie questions réponses ressemblait au Parlement du rire de Mahamane. Il y avait toutes sortes de questions sans intérêt venant de journalistes briefés à l’avance. Questions du genre « Comment vous ressentez la disparition des 13 soldats » ; « Quel sera le délai d’exploitation des boites noires ». Apparemment une journaliste à l’accent anglophone non briefée à l’avance pose une question pas difficile, mais à laquelle le duo PARLY-LECOINTRE ne s’attendait pas : « Quel est le groupe terroriste à bord du pick-up ». Le général François LECOINTRE va tâtonner avant de dire : « C’est la zone d’évolution de l’état islamique ». Dans la foulée, la Ministre PARLY enchaine : « On va mettre un terme à ce premier échange, il y aura d’autres occasions de revenir là-dessus ». La Ministre PARLY ment une fois de plus. Elle l’avait fait le 23 novembre 2018 devant le Parlement français lorsqu’elle a annoncé la mort d’Amadou Kouffa. Elle a récidivé après la mort du terroriste marocain Abou Abderhman Al Maghrebi alias Ali MAYCHOU en disant qu’il s’agit « de la neutralisation du deuxième terroriste le plus recherché au Sahel ». Que vaut cet inconnu comparé à Iyad, Abou Walid, Kouffa, Abou Kaka, Abel Hakim, Jafar Dicko, Bamoussa, Sedane Ag Hita, Mohamed Targui, Talha Al Libi… En réalité, le mensonge sur l’accident d’hélicoptères a pour but de cacher la cause réelle de la mort des 13 soldats français tués dans les récents accrochages de Boulkessi, Indélimane et Tabankort contre les FAMA. Sinon, quel est l’intérêt de rassembler des militaires de l’artillerie, des blindés, de l’infanterie ou du génie dans des hélicoptères, sans leur matériel de travail, pour aller renforcer des forces spéciales qui n’ont même pas encore engagé de combat ? Ce n’est pas un secret que les forces spéciales françaises interviennent contre les FAMA depuis mai 2014, à Kidal. Toutes les pertes enregistrées par les Français depuis 2014 l’ont été contre les FAMA. Les petites pertes françaises sont justifiées par Barkhane comme des attaques à l’explosif contre les véhicules blindés, les grandes pertes par des accidents d’avions. Dans le cas d’espèce, c’est bizarre que les morts appartenant à l’artillerie et aux blindés soient plus nombreux que ceux servant dans les unités d’hélicoptères. Mais, quand les Maliens vont-ils comprendre que la France n’est pas là pour les aider ? Cette France qui, lorsque Seydou Badian KOUYATE a sorti un plan quinquennal de développement en 1961, a immédiatement convoqué un atelier à Paris dont les participants étaient des cadres colons ayant servi au Soudan français. L’ordre du jour se résumait en 2 points. Le Mali a-t-il les ressources humaines pour exécuter ce plan ? Que faut-il faire pour le saboter ? Un participant à cet atelier nommé Edmond LOUVEAU, gouverneur du Soudan français de 1946 à 1952, a prévenu les autorités du jeune Etat malien lors d’un voyage à Bamako et à Gao. Nicolas NORMAND veut faire comme ce dernier en espérant apaiser son âme des crimes qu’il a commis au nom de la France au Mali. Dommage que certains Maliens le prennent comme référence lorsqu’il raconte sa version des événements que eux Maliens vivent depuis 2013. Il s’agit encore de cette France qui a confisqué toute l’aide internationale destinée au Mali depuis 2013. De l’importante manne financière allouée à la suite de la conférence de Bruxelles aux soutiens financiers accordés au G5 Sahel, notamment l’aide saoudienne s’élevant à 100 millions $, la France finance son déficit. Comme si cela ne suffisait pas, la France est en train de confisquer et ce, au mépris de tous les instruments juridiques régissant la commande publique au Mali, tous les marchés publics au détriment des entreprises maliennes. On l’a vu avec la LOPM (hélicoptères cloués au sol, paire de chaussettes à 30 000 F CFA…), la confection des passeports maliens attribuée à la Société française OBERTUR.
Source: Autre presse et publié par bamada.net voici le liens en bas:
Le réseau de l’opérateur de téléphonie mobile Safaricom, leader du marché télécoms kenyan en matière de part de marché, a connu de sérieuses perturbations de son réseau télécoms le week-end dernier.
Pendant plusieurs minutes, les clients de Safaricom ont été privés des services voix, data, SMS et Mobile Money (M-Pesa). L’Autorité des communications (CA), qui compte bien découvrir les raisons de cette situation, envisage de mener une enquête, a révélé la plateforme d’informations techweez.com qui cite une source au sein de l’organe de régulation du marché télécoms.
La rigueur de la CA, a expliqué la même source, découle du fait que « Safaricom se trouve dans une situation unique où une panne de réseau constituerait une menace pour l’économie. De nombreuses personnes dépendent de ses services voix, data et de M-Pesa pour gérer leur entreprise. Il est donc essentiel qu’elle conserve une disponibilité de réseau de 99,99 % à tout moment ». Safaricom, c’est près de 34 millions d’abonnés sur un marché qui en compte près de 45 millions.
« Si Safaricom est reconnue responsable, elle sera condamnée à une amende, pouvant aller à 0,2 % de ses revenus conformément à la loi, qui dans son cas pourrait s’élever à des centaines de millions de shillings », a affirmé la source de techweez.com. suivez le liens en bas
Le ministre des Communications et de l’Economie numérique, Isa Pantami (photo), a révélé avoir signé, sur ordre du président de la République fédérale du Nigeria, Muhammadu Buhari, un projet de décret faisant du réseau télécoms une « infrastructure nationale critique ».
Il a indiqué que le texte du décret a été transmis au bureau du procureur général de la Fédération pour examen. La révélation d’Isa Pantami est intervenue le 25 novembre 2019, lors du lancement par MTN Nigeria de la 5G à titre expérimental à Abuja.
Isa Pantami a expliqué que la nécessité d’accentuer la sécurité des réseaux et infrastructures télécoms est justifiée par leur caractère incontournable dans la quatrième révolution numérique. Sans réseaux télécoms, pas de services télécoms, d’e-gouvernement et autres innovations numériques. La sécurité est donc un défi à relever pour le ministre qui a souligné que la 5G, très critique pour l’économie nationale, ne pourra exprimer tout son potentiel qu’à travers un réseau télécoms intègre. suivez le liens en bas:
Suite à la connexion réussie de l’Afrique à l’Amérique du Nord par son câble sous-marin de fibre optique South Atlantic Cable System (SACS), le fournisseur de connectivité Internet Angola Cables vient de décrocher un contrat avec la société télécoms Vodacom, qui a opté pour le SACS comme voie directe vers son point de présence (POP) à Miami, aux Etats-Unis.
C’est une nouvelle étape de croissance pour Angola Cables, qui avait décidé en 2016 d’investir dans l’infrastructure télécoms sous-marine pour capter aussi les opportunités d’affaires dans le segment des communications par fibre optique, qui profitaient davantage aux grands groupes européens, américains et asiatiques.
Pour António Nunes, le président du conseil d’administration d’Angola Cables, le choix de Vodacom témoigne de la qualité de service offerte par l’entreprise en matière de fiabilité et de performance du réseau.
Il a déclaré que « le câble SACS offre de vastes capacités de transfert de données et la possibilité de partager de grandes quantités de contenu numérique entre les deux continents. Cela offre de nombreuses opportunités potentielles aux entreprises commerciales cherchant à développer leurs activités et leurs services sur des marchés à forte demande tels que les Etats-Unis et les pays en développement d’Amérique latine ». suivez le liens pour la suite de l’article: https://www.agenceecofin.com/operateur/2711-71545-angola-cables-decroche-un-contrat-avec-vodacom-apres-sa-connexion-par-fibre-optique-a-l-amerique-du-nord