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Moisson d’accords et de contrats pour Emmanuel Macron en Chine

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Foie gras, aéronautique… Une série d’accords commerciaux a été annoncée ce mercredi. Les deux présidents ont aussi réaffirmé leur ferme soutien à l’accord de Paris sur le climat.

Par Croissanceafrique.com

Avec notre envoyée spéciale à Pékin,Véronique Rigolet

Des contrats commerciaux et des accords ont été signés pour un montant de 15,1 milliards de dollars (13 milliards d’euros), selon la Chine. Ce chiffre n’est pas confirmé par la France.

Des accords dans le secteur aéronautique. Pas d’Airbus cette fois, mais un processus de certification ATR (avion de transport régional), qui devrait permettre aux Français de vendre prochainement des avions pour les lignes régionales chinoises. Un secteur en plein développement en Chine.

 À lire aussi : À Shanghai, Emmanuel Macron appelle la Chine à s’ouvrir davantage

De nombreux accords également dans le domaine agroalimentaire où le président Macron se voulait offensif comme il l’a démontré mardi à la Foire aux importations de Shanghai. Vingt agréments ont été signés, qui devraient permettre notamment l’exportation vers la Chine de foie gras français. La certification devrait prendre une petite année, mais le marché est ouvert, se félicite-t-on côté français.

Peser face aux Chinois

Un chemin que le président français est en tout cas résolu à faire avec ses partenaires européens, seule manière, selon lui, de peser face aux Chinois sur les dossiers économiques : « Plus nous arrivons à montrer que l’Union européenne sait défendre ses intérêts stratégiques, a un agenda coordonné offensif et défensif, plus elle sera vue de manière crédible par la Chine, et plus nous pourrons avancer ».

Si le président se félicite ainsi de l’accord signé, le 6 novembre au matin, sur la protection des indications géographiques, « cela ne peut être qu’une dynamique pour ouvrir de nouveaux chantiers notamment celui de la protection des investissements », a-t-il ajouté. Rendez-vous est pris pour le prochain sommet Europe-Chine au printemps prochain.

« Ferme soutien » à l’accord de Paris

Le président Macron et son homologue chinois, qui ont multiplié les déclarations d’amitié ces dernières heures, ont également cosigné ce mercredi matin un appel de Pékin pour réaffirmer leur « ferme soutien » à l’accord « irréversible » de Paris et leur engagement à poursuivre « une action forte pour le climat ». Un tacle bien sûr à Donald Trump qui vient d’officialiser le retrait américain de cet accord. « Un choix marginal, isolé », a dénoncé le président Macron, sans même nommer son homologue américain.

À Shanghai, Emmanuel Macron appelle la Chine à s’ouvrir davantage

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Preuve que la Chine est un marché essentiel à conquérir aux yeux du gouvernement français, Emmanuel Macron et Xi Jinping se sont rendus après leurs discours au pavillon français de la Foire aux importations de Shanghai.

Opération séduction pour le président français, qui a convié son homologue chinois à une dégustation de produits français, avec au menu des agapes : trois vins et trois viandes de bœuf (charolaise, salers et limousine), le tout accompagné de bordeaux, de bourgogne et de languedoc.

C’est sans doute d’ailleurs l’image de la journée, celle des deux présidents côte à côte, souriants, un verre de vin à la main et dégustant du bœuf français à la foire de Shanghai. Un moment de convivialité très étudié, très mis en scène devant les caméras pour afficher cette relation bilatérale harmonieuse que l’un et l’autre appellent de leurs vœux, mais qui n’est pas encore véritablement d’actualité sur le plan commercial.

« La porte de la Chine s’ouvrira toujours plus grande »

Une opération promotion des produits français voulue par les deux chefs d’État : le président chinois pour illustrer sa volonté d’ouverture alors que l’embargo sur le bœuf a été levé l’an passé en Chine, et le président Macron pour montrer son plein soutien à la filière agroalimentaire française qui souhaite percer sur le marché chinois.

Juste avant ce moment de convivialité, Xi Jinping avait ouvert la Foire de Shanghai en promettant que « la porte de la Chine s’ouvrirait toujours plus grande » et en faisant miroiter un « marché gigantesque aux perspectives illimitées ». Il faut un partenariat gagnant-gagnant, a, de son côté, défendu le président français en expliquant que si la Chine avait besoin d’ouverture, le monde, lui, avait besoin de l’ouverture de la Chine, et que la France devrait y prendre toute sa part.

Signes positifs ?

Dans l’entourage du président français, on note des signes positifs entre le dîner d’hier soir où les deux présidents ont longuement discuté, et de manière très franche, dit-on. Et l’annonce bien sûr hier encore de la signature prochaine d’un accord sur la protection des indications géographiques. « On ne réforme pas l’économie chinoise du jour au lendemain, explique un conseiller du président.Mais nous avons franchi une étape à Shanghai sur la voie de l’ouverture ».

LA FILIÈRE VIANDE ESPÈRE PROFITER DE LA GUERRE COMMERCIALE

Avec notre envoyé spécial à Shanghai, Stéphane Lagarde

S’il y a un secteur dans lequel la France espère tirer profit de cette ouverture, c’est celui de la viande.Six kilos de bœuf français sur le gril du pavillon France, la quantité est symbolique, mais la filière espère que cette dégustation, filmée par la Télévision centrale de Chine, permettra d’augmenter les ventes de viande bovine française.

Car 269 tonnes par an, ce n’est pas assez, estime Bruno Dufayet. Pour le président de la Fédération nationale bovine, la guerre commerciale avec les États-Unis pourrait profiter aux éleveurs français : « Aujourd’hui, on a visité des magasins chinois. On a vu qu’effectivement, il y avait des viandes américaines. Mais on peut imaginer qu’avec cette guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine, il y aura un peu moins d’importations venant des États-Unis, donc des parts de marché supplémentaires qui vont s’ouvrir dans lesquels les viandes françaises peuvent trouver leur place », explique-t-il.

Sur les plus de 70 exposants français inscrits à la Foire des importations de Shanghai, 41% sont des entreprises du secteur agroalimentaire. Les producteurs de viande made in France entendent diversifier leurs exportations, poulets, canards, même si le porc dont les ventes ont explosé avec la crise sanitaire liée à l’épidémie de peste porcine.

Et pour protéger ces revenus, le secteur espère signer un accord de zonage avec les Chinois. « C’est important par rapport à la peste porcine de faire en sorte qu’on ne soit pas embêté par le fait qu’il y ait certains pays européens où il y a de la peste porcine de présente. Si on ne pouvait plus exporter sur la Chine, le prix du porc s’effondrerait. C’est clair et net. Aujourd’hui, il est beaucoup tiré par la consommation chinoise. C’est évident », confirme Jean-Baptiste Moreau, éleveur dans la Creuse, député de La République en marche.

La France exporte aujourd’hui 150 000 tonnes de cochons par an en Chine, l’équivalent d’un jour de consommation dans ce pays continent.

Mali: Bamako abrite le Forum sur la Mobilité Urbaine

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C’est parti depuis ce mercredi pour les travaux du premier Forum sur la Mobilité Urbaine au Mali. La cérémonie solennelle d’ouverture était présidée par le Ministre des Transports et de la Mobilité Urbaine, M. Ibrahima Abdoul LY. Les travaux qui s’étalent sur deux jours, se déroulement à l’hôtel Sheraton de Bamako.


Ces assises sont initiées par le Ministère des Transports et de la Mobilité Urbaine et son partenaire à savoir, le Programme de Politiques de Transport en Afrique de la Banque Mondiale. Au cœur des 2 jours de travaux, des panels et ateliers sur des thèmes relatifs à la mobilité urbaine.


Ce forum crée un cadre d’échange qui débouchera sur des propositions concrètes en vue d’améliorer la qualité de la Mobilité Urbaine au Mali. Il regroupe des acteurs de la mobilité urbaine à savoir, des responsables des services centraux du MTMU, des maires des communes urbaines, des chefs des services municipaux chargés des transports, des directeurs régionaux des transports terrestres et Fluviaux, des faîtière des transports et organisations de la société civile et partenaires techniques et financiers.


Notons que les travaux se poursuivent demain jeudi toujours à l’hôtel Sheraton de Bamako.

Daouda Bakary Koné

Source : Croissanceafrique

Voici le nouveau logo que Facebook va ajouter sur WhatsApp et Instagram

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Il y a Facebook, le réseau social utilisé par des milliards de personnes dans le monde, et puis il y a un autre Facebook, la société mère de plusieurs réseaux sociaux et grandes organisations tech. La société mère de Facebook possède Instagram, WhatsApp, Oculus et, évidemment, le réseau social du même nom. Perdus ? Vous n’êtes pas les seuls. C’est exactement ce qui inquiète l’entreprise Facebook. Et c’est la raison pour laquelle elle a présenté un nouveau logo ce lundi 4 novembre.

Voici le nouveau logo de la société mère de Facebook :

Le nouveau logo de la société mère de Facebook à partir de novembre. Facebook

Le directeur marketing de Facebook, Antonio Lucio, a déclaré sur le blog de l’entreprise en révélant le nouveau logo : « Nous mettons à jour l’image de marque de notre entreprise afin d’être plus clairs sur les produits qui proviennent de Facebook. Nous introduisons un nouveau logo d’entreprise et nous distinguons davantage la société Facebook de l’application Facebook, qui conservera sa propre marque. » Il a ajouté que « les gens devraient savoir quelles entreprises fabriquent les produits qu’ils utilisent ».

Voici ce qu’il veut dire : le logo que vous voyez ci-dessus est uniquement destiné à représenter la société mère de Facebook, WhatsApp, et Instagram (parmi d’autres divisions). Ce n’est pas un nouveau logo pour le réseau social Facebook.

Le nouveau logo apparaîtra sur des applications comme Instagram et WhatsApp pour clarifier qui en est le propriétaire et qui les produit — comme on peut le voir ci-dessous :

Voici ce qu’il veut dire : le logo que vous voyez ci-dessus est uniquement destiné à représenter la société mère de Facebook, WhatsApp, et Instagram (parmi d’autres divisions). Ce n’est pas un nouveau logo pour le réseau social Facebook.

Le nouveau logo apparaîtra sur des applications comme Instagram et WhatsApp pour clarifier qui en est le propriétaire et qui les produit — comme on peut le voir ci-dessous :

Voici comment le nouveau logo de Facebook apparaît dans l’application Instagram. Facebook

Et voici à quoi cela ressemblera dans l’application WhatsApp :

Le nouveau logo de Facebook dans l’application WhatsApp. Facebook

Le nouveau logo devrait être déployé sur divers produits appartenant à Facebook au cours des prochaines semaines.

Facebook a commencé cette année à indiquer explicitement qu’il était propriétaire de services comme Instagram et WhatsApp afin d’être plus transparent avec les gens qui pourraient ne pas savoir quelles entreprises technologiques possèdent quels services.

Version originale : Ben Gilbert/Business Insider

Fermeture des frontières Nigérianes: Voici les conditions d’ouverture selon Abuja

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On en sait un peu plus sur les conditions qu’exige le Nigeria pour la réouverture de ses frontières terrestres, principalement à l’égard des autorités du Niger et du Bénin. Dans une conférence de presse qu’il a animée, mardi 5 novembre, le  ministre des Affaires étrangères nigérian, Geoffrey Onyeama, a dévoilé la liste des conditions que doivent remplir les pays membres de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) pour que le Nigéria envisage de rouvrir ses frontières terrestres, qui sont fermées depuis le 20 août dernier.

Par Croissanceafrique.com au Mali

Selon le chef de la diplomatie nigériane, l’ une des premières exigences de son pays, c’est que toute marchandise qui n’est pas issue de l’espace communautaire et qui est importée par un membre de la CEDEAO, mais en transit vers le Nigéria,  devra absolument garder son emballage initial. En ce sens, aucune modification de l’emballage ne sera tolérée, a souligné Geoffrey Onyeama, qui a par ailleurs ajouté que dans le même cadre, les marchandises hors CEDEAO en transit vers le Nigéria, devront être directement escortées du port de Cotonou vers la frontière nigériane, pour leur  présentation immédiate aux services des douanes nigérianes avec leurs emballages intactes. Sur ces points, il a indiqué que « le Nigéria sera intransigeant ». Autre condition posée par le Nigeria, c’est la question des biens qui sont produits dans la zone CEDEAO. Sur ce point, le chef de la diplomatie nigériane a fait savoir que son pays exige que la règle d’origine en matière de promotion du commerce entre les pays de la sous-région, « doit être scrupuleusement appliquée ». L’objectif à ce niveau est de faire en  sorte que les marchandises provenant de l’extérieur de l’espace communautaire doivent apporter une valeur ajoutée supérieure à 30% à un pays de la CEDEAO.

 Par ailleurs, Geoffrey Onyeama a souligné que son pays exige désormais que  tous les entrepôts le long des frontières communes, soient purement et simplement détruits, tout en insistant encore sur  le respect strict des normes en matière d’emballage des produits.

Réunion interministérielle à Abuja

D’après le chef de la diplomatie nigériane, une réunion avec ses homologues des pays voisins est prévue dans les deux prochaines semaines à Abuja, afin de sceller un protocole d’accord sur toutes ces questions. Un comité tripartite sera installé à cet effet, avec les représentants du Nigeria, du Niger et du Bénin.

«Nous avons eu une réunion conformément à la directive de M. le Président concernant les mesures qui ont été prises aux frontières dans le cadre des exercices entrepris par le Nigéria. Et bien sûr, le souhait de M. le Président, c’est  que les problèmes qui ont provoqué ces exercices à nos frontières  soient résolus aussi rapidement que possible, afin d’atténuer les répercussions négatives. Chaque pays viendra donc avec les responsables de son ministère des Affaires étrangères, de l’Intérieur, des Finances, des Douanes, de l’Immigration et de la sécurité ». M. Geoffrey Onyeama, ministre des Affaires étrangères nigérian

Selon Geoffrey Onyeama, s’il y a une entente au sein du comité tripartite sur les conditions posées par le gouvernement fédéral du Nigeria, ainsi que les sanctions et les modalités de leur application en cas de violation du protocole d’accord, les frontières terrestres seront rouvertes bien avant le 31 janvier 2020. Dans le cas contraire, elles resteront fermées même au-delà de cette échéance.

A.Y.B (actuniger.com)

Fonds fiduciaire en soutien à la paix et la sécurité au Mali: L’Allemagne contribue à hauteur de 2,11 millions de dollars

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Nouvelle contribution de l’Allemagne de 2,11 millions de dollars au Fonds fiduciaire en soutien à la paix et la sécurité au Mali. Par croissanceafrique.com/Daouda B kone

Bamako, le 6 novembre 2019 – La République fédérale d’Allemagne renforce officiellement sa participation au Fonds fiduciaire en soutien à la paix et la sécurité au Mali avec une nouvelle contribution de 2,11 millions de dollars soit plus de 1, 250 milliards de Francs CFA. Cet appui s’est concrétisé au cours d’une cérémonie tenue ce 6 novembre, au siège de la MINUSMA à Bamako, Mali. Ces fonds permettront de poursuivre les travaux de réhabilitation de la piste de l’aérodrome de Kidal.

Dans le cadre de l’appui du gouvernement allemand à la paix et à la sécurité au Mali, la réhabilitation de la piste d’atterrissage de Kidal jouera un rôle majeur pour garantir l’utilisation durable de cette infrastructure, essentielle pour le déploiement des troupes et l’acheminement d’équipements au nord du pays. De ce fait, cette contribution est essentielle pour la mise en œuvre du mandat de la MINUSMA et le désenclavement de la région.

Ces fonds seront aussi consacrés, au soutien de deux brigades de la gendarmerie à Mougna & Somadougou dans le Cercle de Mopti (Centre du Mali), au soutien du peloton d’intervention et de surveillance de la gendarmerie à Gao, ainsi qu’à l’appui à une initiative civique pour la consolidation de la paix et le leadership politique des femmes dans le nord et le centre du Mali.

Cette nouvelle contribution de l’Allemagne versée au Fonds fiduciaire administré par la MINUSMA, permettra également de renforcer les capacités fonctionnelles et opérationnelles de la Gendarmerie nationale en vue de favoriser le redéploiement progressif des Forces de sécurité maliennes (FSM), la restauration de l’autorité de l’Etat et le retour des services sociaux de base. Elle offre aussi l’occasion de restaurer l’image des FSM et de renforcer la protection des civiles dans la Commune de Mougna. Dans le même temps, les capacités opérationnelles du peloton d’intervention et de surveillance de la gendarmerie de Gao, unité spéciale essentiellement dédiée à la lutte contre le terrorisme, le crime organisé et le trafic dans toute la région de Gao ainsi que la surveillance et le renseignement dans la région seront renforcées.

L’appui financier de la République fédérale d’Allemagne s’élève depuis 2013 à près de 31,6 millions de dollars au total. Les contributions précédentes ont apporté un soutien considérable dans le domaine de la sécurité, notamment pour l’opérationnalisation du site du Mécanisme opérationnel de coordination (MOC) à Gao, la réhabilitation de la piste de l’aéroport de Gao ainsi que des sites du MOC prévus à Kidal et à Tombouctou.

Le Fonds fiduciaire des Nations unies en soutien à la paix et la sécurité au Mali a été créé à la demande du Conseil de sécurité (Résolution 2085 (2012)) pour soutenir les efforts du Gouvernement du Mali à faire face à la crise et garantir les perspectives de développement à long-terme du pays, telles que le retour de l’autorité de l’Etat, l’ordre constitutionnel, la promotion du dialogue national, la réforme du secteur de sécurité, la coopération régionale, les Droits de l’Homme, le soutien aux élections, le processus de Désarmement-Démobilisation-Réintégration et des projets socio-économiques.

L’Allemagne, l’Australie, le Canada, le Danemark, l’Irlande, l’Italie, le Luxembourg, la Norvège, les Pays-Bas, le Royaume-Uni, la Suisse et la Turquie en sont les principaux bailleurs de Fonds.

Source : Minusma

NB: Le titre est de la rédaction de Croissanceafrique.com/Daouda B Koné

Le FMI pousse le Tchad à éponger ses dettes

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Une équipe du Fonds monétaire international (FMI) a achevé, mardi 5 novembre, sa mission de treize jours à Ndjamena, effectuée dans le cadre de la cinquième revue du programme économique et financier du gouvernement appuyé par l’institution financière. Un rapport sera soumis d’ici la fin de l’année au Conseil d’administration du FMI. D’importantes recommandations ont été formulées pour renforcer notamment la mobilisation des recettes, mais aussi sur la nécessité pour le Tchad de régler ses dettes.

Croissanceafrique.com

Croissanceafrique-06 Novembre 2019/C’est une bouffée d’oxygène pour l’économie du pays. La croissance du PIB réel devrait passer de 2% en 2019 à 5% l’année prochaine, selon le FMI.

Une croissance qui ne pourra toutefois se consolider, selon l’institution financière, que si le Tchad poursuit ses efforts. Notamment en comptabilisant ses dettes envers les sociétés privées. « La plupart, ce sont des arriérés que le gouvernement n’a pas honorés. Dans le contexte du programme, nous avons demandé aux autorités à ce qu’elles fassent un audit pour savoir combien il y a d’arriérés, à qui on les doit. À partir de cet audit, nous avons demandé aux autorités de préparer un plan d’apurement de ces arriérés », explique Edward Gemayel, chef de mission du FMI.

Le FMI attend des autorités tchadiennes qu’elles inscrivent un montant dans le budget 2020 pour payer ces dettes dans les années à venir. Un processus en bonne voie, rassure Tahir Hamid Nguilin, le ministre des Finances et du Budget : « Le terme de référence de l’audit avait prévu qu’il y ait des descentes sur le terrain. Donc il y a quelques équipes que l’auditeur avait désignées. Donc nous attendons leur retour et nous espérons que nous pourrons tenir le délai de fin novembre. »

Le FMI plaide également pour que le Tchad accélère l’exécution des dépenses sociales notamment dans le domaine de la santé et de l’éducation. Et renforce la mobilisation de ses ressources intérieures.

Défis des changement climatiques au Mali: C’est parti pour les travaux d’aménagement des collecteurs « TIENKOLE » ET « WOYOWAYANKO »

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Croissanceafrisue-6Novembre 2019 /Le Ministère de l’Environnement, de l’Assainissement et du Développement Durable communique.

La République du Mali s’est engagée depuis plus d’une dizaine d’années, avec l’appui des coopérations multilatérale et bilatérale, dans un processus d’identification et de quantification des problèmes pouvant résulter des changements climatiques. Le pays s’est fixé comme objectif, de faire face aux défis des changements climatiques et d’assurer le développement durable.

Ainsi, le Président de la République son Excellence Monsieur El Hadj Ibrahim Boubacar KEITA a pris l’engagement d’assurer la sécurité des personnes et de leurs biens suite aux inondations survenues le 28 Aout 2013.
C’est dans ce cadre que le Mali a bénéficié d’un financement de la KFW pour l’aménagement des Collecteurs « TIENKOLE » en Commune I et « WOYOWAYANKO » en Commune IV du District de Bamako. Suivez la vidéo à travers ce liens ci-dessous :

https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=2495191287197106&id=100001187771562

Pour le bon déroulement de ces travaux, le Ministère de l’Environnement, de l’Assainissement et du Développement Durable invite les personnes affectées par lesdits travaux à prendre les dispositions diligentes pour libérer les servitudes au plus tard le 1er février 2020.

Les personnes concernées peuvent s’adresser à la commission d’indemnisation instituée auprès du Ministère des Domaines de l’Etat et des Affaires Foncières.
Le Ministère de l’Environnement, de l’Assainissement et du Développement Durable sait compter sur l’esprit de patriotisme de tous.

Source : CCO/Environnement/Mali

NB: Le titre est de la rédaction de croisssanceafrique.com

Un appui budgétaire record de la Banque mondiale pour le Mali ?

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La Banque mondiale devrait accorder au  gouvernement malien, un appui budgétaire record d’ici fin 2019,  apprend-on de sources officielles.

« Nous allons bénéficier, sur une année, d’un appui budgétaire de 250 millions de dollars (près 139 milliards FCfa) de la Banque mondiale. Ce qui est une première. Les discussions ont été définitivement conclues », s’est félicité le Premier ministre Boubou Cissé (photo), en marge des dernières Assemblées d’automne du FMI et de la Banque mondiale.

Ce financement devrait permettre à Bamako de poursuivre les réformes importantes initiées au niveau de la société nationale d’énergie, EDM-SA, et soutenir le budget, alors que les recettes, après de nombreuses années de croissance régulière, ont nettement diminué en 2018. Bien qu’un redressement ait été observé au premier semestre de cette année, elles restent loin des besoins. Suivez le liens ci-dessous :

https://www.agenceecofin.com/gouvernance-economique/0411-70774-un-appui-budgetaire-record-de-la-banque-mondiale-pour-le-mali

Comportement des Banques du Mali: Le cas de l’Orabank est plus désolant que l’ecobank.

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Il s’agit d’un constat amer que nous avons remarqués au cours de l’une de nos opérations de retrait à l’OraBanak. Notre remarque est que les agents de l’orabank ne considère pas la patience des clients au sérieux. Ils font ce qu’il veule au détriment des clients. Comment une telle institution financière peut prendre à la légère la souffrance des clients?

Selon un client de la dote banque, « les caissiers de l’orabank ne sont pas sérieux bilaye. Je suis là, il y’a presque une