Dans le cadre de sa mission d’abréger la souffrance aux personnes vulnérables au sein de ce mois de la solidarité, le Fond National de la Solidarité à travers le directeur de la structure vient ce jeudi 17 octobre 2019 de faire une donation estimative d’une valeur de plus de 300 million de francs FCFA aux personnes vulnérables, des associations, des déplacés internes, des écoles et la pouponnière de Bamako.
Le don est constitué des kits scolaire, des kits pour le maraîchage, des couvertures, des tables bancs, des céréales. La cérémonie a enregistrée la présence de la marraine du mois de la Solidarité, Géneral Naîny Coulibaly, des personnalités administratives, politiques et traditionnelles du Mali.
La troupe Hinésô constitué des handicapés ont agrémenté la cérémonie par un sketche qui exhorté les populations à une Solidarité agissante envers son prochain.
En présence des parraines et la marraine nationale du mois Mme Coulibaly Kany Diabaté, général de brigade medecin militaire, le Directeur général de fonds de solidarité nationale, Abdoulaye Sako et le PCA FSN, Emmuel Traore.
Ces donations s’est rendues possibles en grande partie grâce à l’ONG LWR ( lutheran world relief) qui a mis à disposition du fonds nationale, des kits scolaires, d’hygéne et de couture, des couvertures et des layettes pour une valeur de près de cinq cents millions frfa (500.000.000 frfa) aux personnes vulnérables.
Dans le cadre de sa mission d’alléger la souffrance des personnes vulnérables, le Fonds de solidarité Nationale a l’occasion de la journée mondiale de la Solidarité à travers le directeur de la structure vient ce jeudi 17 octobre 2019 dans l’enceinté de la dite struture, faire une donation estimative d’une valeur de plus de 210 millions de francs fca aux personnes vulnérables, des associations, des deplacés internes, des écoles, pouponieres etc….
Ie don est constitué des kits scolaire, des kits pour le maraîchage, des couvertures, des tables bancs, des céréales. La ceremonie a enregistrée la présence de la marraine du mois de la Solidarité, Géneral Kany Coulibaly, des personnalités administratives, politiques et traditionnelles du Mali. La troupe Hinésô constitué des handicaptés ont agrementé la
Depuis une quizaine d’années le fonds de solidarité nationale bénéficie annuellement de ces dons qu’il distribue aux communautés et associations d’aide aux populations en détresse.
La ceremonie s’est clôture par un sketche qui exhorté les populations à une Solidarité agissante envers ses personnes qui en on besoin des soutiens.
La salle de conférence du Bureau du Vérificateur général a servi de cadre du 7 au 12 octobre, à deux sessions de formation et de perfectionnement à l’intention des auditeurs, contrôleurs et inspecteurs. L’objectif visé est de renforcer les capacités des participants dans les domaines du contrôle et l’audit des marchés publics et des délégations de services publics ainsi que l’évaluation du système de passation des marchés publics.
La cérémonie d’ouverture a été présidée par le président de l’autorité de régulation des Marchés publics et des délégations de services publics (ARMDS), le Dr Allassane BA. C’était en présence du Vérificateur général, Samba Alhamdou BABY, du Contrôleur général des services publics, Madame KONATE Salimata DIAKITE, et de plusieurs acteurs de la commande publique.
Organisées par l’autorité de régulation des Marchés publics et des délégations de services publics (ARMDS),Ces deux sessions visent à outiller les vérificateurs, auditeurs, contrôleurs et inspecteurs relevant du Bureau du Vérificateur général, de l’Office central de lutte contre l’Enrichissement illicite et du contrôle général des services publics.
Le Président de l’ARMDS a indiqué que le volume des marchés passés en 2018 s’élève à 535 245 103 865 FCFA pour 4 602 marchés passés par l’ensemble des autorités contractantes. Dr Allassane BA poursuit en disant que la passation des marchés représente plus de 60% de l’exécution des crédits du Budget de l’État et des concours financiers des Partenaires techniques et financiers. « La passation des marchés constitue un terrain privilégié de détournements des fonds publics en raison de la méconnaissance des textes que par des faits délibérés. C’est pourquoi, les marchés publics méritent une attention particulière, si bien que chaque erreur, fraude, montage de corruption augmente la dette et freine le développement proportionnellement à la valeur monétaire du préjudice causé » a souligné le président de l’ARMDS. Pour éviter tout risque selon lui, les vérificateurs, contrôleurs, auditeurs et inspecteurs se doivent de disposer d’une bonne connaissance des pièges qui sont présents dans ce domaine et de la manière de les démasquer, de s’en protéger et par ricochet de protéger le pays.
Pour sa part, le Vérificateur général a salué la tenue de ces sessions, avant de féliciter l’ARMDS pour avoir initié cette formation. Le Contrôleur général des services publics quant à elle, a démontré la nécessité de cette formation.
A noter que pendant six jours, les participants auront à se familiariser avec les thèmes relatifs aux procédures de la commande publique, de l’audit de la commande publique et de l’évaluation du système de passation des marchés publics. Il s’agira de d’examiner en profondeur les thèmes de l’audit de la commande publique, dont la définition et les objectifs de la mission d’audit de marchés publics ; l’analyse des risques qui brossera entre autres les risques budgétaires dans le cadre des marchés publics ; les risques situés en amont de l’appel d’offres ; les risques situés à la phase d’attribution des marchés et les risques situés en aval de l’attribution du marché ; la méthodologie d’audit ; les points de vérification.
Si la communauté internationale craint publiquement la brutalité de l’intervention turque au Nord de la Syrie, elle se félicite officieusement de cette intervention, seule et unique solution à un retour de la paix dans cette région. La guerre contre la Syrie se termine par un crime de plus. Reste encore à déterminer le sort des mercenaires étrangers d’Idleb, des jihadistes enragés au cours de huit ans d’une guerre particulièrement sauvage et cruelle.
Turquie a organisé comme on le lui demandait la migration de 3 millions de Syriens afin d’affaiblir le pays. Par la suite, elle a soutenu les Frères musulmans et leurs groupes jihadistes, y compris Daesh. Elle a pillé au passage les machines-outils d’Alep et installé des usines de contrefaçon dans l’Émirat islamique.
Enivrée par ses victoires en Libye et en Syrie, la Turquie est devenue la Protectrice de la Confrérie des Frères musulmans, s’est rapprochée de l’Iran et a défié l’Arabie saoudite. Elle a déployé des bases militaires tout autour du Royaume wahhabite au Qatar, au Koweït et au Soudan, puis a engagé des cabinets occidentaux de relations publique et détruit l’image du prince Mohamed Ben Salmane, notamment avec l’affaire Kashoggi [1]. Progressivement, elle a envisagé d’étendre sa puissance et ambitionné de devenir le XIVème empire monghol. Interprétant à tort cette évolution comme étant le fait du seul Recep Tayyip Erdoğan, la CIA tenta plusieurs fois de l’assassiner jusqu’à provoquer le coup d’État manqué de juillet 2016. Il s’ensuivit trois années d’incertitudes qui se terminèrent en juillet 2019 lorsque le président Erdoğan décida de privilégier le nationalisme sur l’islamisme [2]. Aujourd’hui, la Turquie, quoique toujours membre de l’Otan, transporte du gaz russe dans l’Union européenne et achète des S-400 à Moscou [3]. Elle veille sur ses minorités, y compris kurde, et n’exige plus d’être musulman sunnite, mais uniquement loyal à sa Patrie.
Durant l’été, le président Donald Trump a fait savoir son intention de retirer ses troupes de toute la Syrie, à commencer par le Rojava (déjà formulée le 17 décembre 2018), à la condition expresse de couper la ligne de communication entre l’Iran et le Liban (ce qui est nouveau). La Turquie a souscrit à cet engagement en échange d’une occupation militaire de la bande frontalière syrienne depuis laquelle l’artillerie terroriste pouvait la bombarder. La Russie a fait savoir qu’elle ne soutenait pas les criminels contre l’humanité du YPG et accepterait une intervention turque si la population chrétienne était autorisée à retourner sur sa terre. Ce à quoi la Turquie s’est engagée. La Syrie a fait savoir qu’elle ne repousserait pas dans l’immédiat d’invasion turque si elle pouvait libérer un territoire équivalent dans le gouvernorat d’idleb. Ce que la Turquie a accepté. L’Iran a fait savoir que, même si elle réprouve une intervention turque, elle n’intervient qu’au profit des chiites et n’est pas intéressée par le sort du Rojava. Ce que la Turquie a enregistré.
Le principe de la fin du Rojava a été acté lors des sommets Etats-Unis/Russie qui se sont tenus à Tel-Aviv et à Genève en juin et août 2019.
Plusieurs sommets internationaux ont été organisés pour examiner les conséquences de ces positions et déterminer des points subalternes (par exemple, le pétrole de la bande frontalière syrienne ne sera pas exploité par l’armée turque, mais par une société états-unienne). Les premiers sommets ont réuni les conseillers de sécurité états-unien et russe. Les seconds, les chefs d’État russe, turc et iranien.
Le 22 juillet 2019, la Turquie annonce la suspension de son accord migratoire avec l’Union européenne [4]. Le 3 août, le président Erdoğan nomme de nouveaux officiers supérieurs, dont des kurdes, et ordonne la préparation de l’invasion du Rojava [5]. Il ordonne également à l’armée turque de se retirer devant l’armée arabe syrienne dans le gouvernorat d’Idleb, de sorte qu’elle puisse libérer un territoire équivalent à celui qui allait être envahi à l’Est. Le 23 août, le Pentagone ordonne le démantèlement des fortifications du YPG de manière à ce que l’armée turque puisse mener une offensive éclair [6]. Le 31 août, en soutien à l’armée arabe syrienne, le Pentagone bombarde une réunion de dirigeants d’Al-Qaïda à Idleb, grâce à des renseignement turcs [7]. Le 18 septembre, le président Trump change de conseiller de Sécurité et nomme Robert O’Brien. Cet homme discret connaît bien le président Erdoğan avec qui il a réglé les conséquences du coup d’État manqué de juillet 2016 [8]. Le 1er octobre, le président Erdoğan annonce l’imminente relocation de 2 millions de réfugiés syriens sur le territoire du Rojava [9]. Le 5 octobre, les États-Unis demandent aux membres de la Coalition internationale de récupérer leurs ressortissants jihadistes prisonniers au Rojava. Le Royaume-Uni demande leur transfert en Iraq, tandis que la France et l’Allemagne refusent [10]. Le 6 octobre, les États-Unis déclarent ne plus être responsables des jihadistes prisonniers au Rojava qui va passer sous responsabilité turque. Le 7 octobre, les Forces spéciales US amorcent leur retrait du Rojava. Le 9 octobre, l’armée turque —notamment commandée par des officiers kurdes— et des miliciens turkmènes ayant récupéré le drapeau de l’Armée syrienne libre envahissent la bande de territoire syrienne de 32 kilomètres de profondeur occupée par le YPG.
L’opération « Source de paix » est parfaitement légale en droit international si elle se limite à la bande frontalière de 32 kilomètres et si elle ne donne pas lieu à une occupation turque indéfinie [11]. C’est pourquoi, l’armée turque a recours à des milices turkmènes syriennes pour pourchasser le YPG dans le reste du Rojava.
Réunion de coordination de l’opération Source de paix, dans le bunker de commandement du palais blanc, à Ankara.
La presse internationale, qui n’a pas suivi les évènement sur le terrain et s’est contentée des déclarations officielles contradictoires de ces derniers mois, est stupéfaite. Tous les États à l’unisson dénoncent l’opération turque, y compris les États-Unis, la Russie, Israël, l’Iran et la Syrie, bien qu’ils l’aient tous négociée et validée. Ceux qui menacent la Turquie doivent réfléchir à la possible migration de leurs ressortissants jihadistes aguerris d’Idleb.
Le Conseil de sécurité se réunit en urgence à la demande du président Macron et de la chancelière Merkel. Pour éviter de montrer que personne ne s’oppose véritablement à l’intervention turque, pas même la France, la séance se déroule à huis clos et ne fait pas l’objet d’une déclaration du président du Conseil.
Il est peu probable que la Syrie, exsangue, puisse récupérer dans l’immédiat cette bande de territoire, alors que l’Iraq n’a pas réussi à libérer Baachiqa (110 km de profondeur) et que l’Union européenne elle-même n’a pas réussi à libérer le tiers de Chypre, occupé depuis 1974.
Le 11 octobre, Jens Stoltenberg vient apporter à la Turquie la bénédiction de l’Otan.
Malgré les demandes de la France et de l’Allemagne, le Conseil atlantique ne se réunit pas. Le 11 octobre, le secrétaire général de l’Otan, Jens Stoltenberg, vient à Ankara s’assurer que l’opération fonctionne. Il célèbre la grandeur de la Turquie, cloue ainsi le bec des Allemands et des Français [12].
Le 13 octobre, en pleine débâcle, la direction du YPG est modifiée. Sur les conseils russes, les dirigeants kurdes, qui sont en négociation depuis toujours avec la République arabe syrienne, viennent lui faire allégeance sur la base russe d’Hmeimim [13]. Cependant certains membres de la direction du YPG contestent le renoncement au Rojava.
Le 14 octobre, le président Donald Trump prend des sanctions contre la Turquie. Elles sont purement symboliques et permettent à Ankara de poursuivre son attaque sans prendre garde aux critiques [14].
Le président Donald Trump a ainsi réussi à mettre fin à la question du Rojava. L’armée russe a investi les bases US, abandonnées par les GI’s, manifestant la place que Moscou occupe désormais dans la région en remplacement de Washington. La Syrie, tout en dénonçant l’intervention turque a libéré un quart de son territoire. La Turquie règle la question du terrorisme kurde et envisage de régler celle des réfugiés syriens. La tentation sera grande pour elle de ne pas s’arrêter là.
Ce mercredi 16 octobre 2019, l’ambassade de Chine au Mali a servi de cadre la cérémonie de réception de la rotation des directeurs de l’Institut Confucius au Mali. Cette rencontre qui a vue la présence de l’ambassadeur de Chine au Mali, SE M. Zhu LIYING a été le cadre d’une cérémonie d’adieu entre le directeur sortant M. HE XINYUAN son remplaçant M.Liu Zuqin et sa nouvelle équipe. C’était en présence du chef de cabinet du ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique M. Abdoulaye MAGASSOUBA et plusieurs ressortissants chinois au Mali. Joyeux, l’Ambassadeur Liying à profiter de l’occasion pour saluer le directeur sortant de l’Institut à la personne de M.HE Xinyuan.
Dans discours d’ouverture, le directeur sortant HE Xinyuan n’a pas manqué de saluer ses amis de l’Institut Confucius pour leur accompagnement dans plusieurs taches. Il affirme par la suite que l’équipe sortante, a été à la hauteur de souhait et cela il ajoute qu’ils sont plus maliens qu’eux. « Messieurs, vous êtes maliens que nous. J’ai eu l’opportunité de travailler avec vous, merci beaucoup pour ce que vous faites pour l’Institut Confucius, a-t-il ajouté, HE xinyuan.
Pour sa part, le directeur rentrant M. Liu Zuqin a demandé la bonne collaboration de son équipe et a remercié l’équipe sortante. Il a profité pour féliciter l’ancien directeur et son équipe pour leur accompagnement et leur responsabilité face aux enjeux. Pour lui, son nouveau équipe aura la tache de soutenir les travaux et les bonnes installations de l’Institut Confucius.
Dans intervention, l’ambassadeur de Chine au Mali SE M Zhu LIYING affirme que « ces dernières années, avec l’intensification des échanges entre la Chine et le reste du monde, beaucoup de jardiniers chinois partent à l’étranger pour s’occuper des jardins de dimension internationale. C’est le cas de l’Institut Confucius. Pour lui, » aujourd’hui, plus de 500 instituts et plus de 1000 classes Confucius se sont implantés dans 154 pays, dont le Mali », a-t-il affirmé.
Ensuite, l’ambassadeur de Chine au Mali, a précisé que « dans deux ans , le nouveau campus de la cité universitaire de Kabala II, dont la première pierre a été posée , il y’a quelque jours par le premier ministre De Boubou CISSÉ et moi-même« , a-t-il précisé.
Notons que la Chine s’apprête à célébrer le 60 ème anniversaire des relations idiomatique sino-malienne. l’ambassadeur chinois a exhorté les enseignants a faire preuve d’initiative et de créativité dans la célébration de cet événement, et dans la préparation de votre avenir.
Huawei publie ses résultats en hausse pour les neufs premiers mois de l’année 2019
Shenzhen, Chine, le 16 octobre 2019 – Huawei vient de publier les résultats de ses activités pour les trois premiers trimestres de l’année 2019, réalisant des recettes de ventes s’élevant à 610.8 milliards de rmb, soit une augmentation de 24.4% par rapport à la même période de l’année précédente, le rendement net ayant ainsi atteint 8.7%. [1]
Concernant les activités auprès des opérateurs, dans le contexte de l’accélération du déploiement commercial de la 5G au niveau mondial, de nombreux opérateurs avec une position privilégiée sur le marché ont joint leurs efforts à ceux de Huawei pour annoncer les lancements de 5G Super Uplink et Intent-Driven Network. La création de l’Alliance Industrielle et de la Base d’Innovation de 5G Deterministic Networking auront pour vocation d’accompagner les opérateurs dans la performance de leurs activités. Huawei a également signé plus de 60 contrats commerciaux de 5G, livré plus de 400,000 Massive MIMO AAUs dans les différents pays du monde. La production et la livraison des produits et services de transmission optique, de télécommunication de données et d’IT ont connu une croissance relativement stable.
Pour les entreprises, Huawei a lancé Huawei Horizon Digital Platform, une plate-forme qui se veut inclusive et ouverte. Cette plate-forme permettra d’accompagner la transformation digitale de ses partenaires dans différents secteurs, dont la finance, le transport ou encore l’électricité. Jusqu’au troisième trimestre de l’année, plus de 700 villes du monde, 228 entreprises parmi le top 500 et 58 entreprises parmi le top 100 au niveau mondial ont choisi Huawei comme partenaire pour les accompagner dans leurs processus de transformation numérique.
Le service de Cloud connaît également un développement rapide. Au troisième trimestre de 2019, Huawei a annoncé pour la première fois sa stratégie de calcul, en lançant le cluster d’entraînement d’IA le plus rapide du monde qui est Atlas 900, les services de cluster d’IA de Huawei Cloud Ascend, 112 nouveaux services appuyés par les processeurs de Kunpeng et d’Ascend ainsi que d’autres produits innovants tels Industrial Intelligent Twins. Aujourd’hui, plus de 3 millions d’usagers dont les entreprises et les developers utilisent déjà Huawei Cloud afin de produire leurs propres solutions.
Pour le service aux consommateurs, les ventes des smartphones progressent également de façon stable avec plus de 185 millions de pièces livrées durant les 3 premiers trimestres, soit une augmentation de 26% par rapport à la même période de l’année précédente. Les activités de PCs, tablettes, kits portables, équipements audios intelligents progressent également d’une vitesse importante.
Vision smart screen lancé au troisième trimestre a rencontré l’approbation des professionnels et les consommateurs, tous convaincus de ses vertus suite à l’innovation de hardware et de software de ce produit. L’écosystème intelligent qui place les consommateurs au centre de nos efforts et qui envisage tous les scénarios d’utilisation ne cesse de se perfectionner. Huawei Mobile Services Ecosystem s’est lui, également développé de façon fulgurante, couvrant ainsi plus de 170 pays et régions du monde et attirant plus de 1.07 millions de dévelopers du monde entier.
L’affaire des hélicoptères de l’armée malienne cloués au sol, est toujours au centre des débats et soulève des passions. La Lettre confidentielle du Mali (LCM) a pu rencontrer une source au sein de la société Airbus Hélicoptères, qui a vendu les appareils au Mali. Pour la première fois, voici la version vendeur. Propos recueillis par Serge Daniel.« Dans le contexte d’une menace terroriste très active dans les pays du Sahel, le Mali a décidé de se doter de moyens modernes pour lutter efficacement contre ce fléau et assurer la sécurité de sa population. Avec le soutien de la France et des autorités maliennes, Airbus Hélicoptères a démarré, en 2015, des discussions pour l’acquisition d’hélicoptères dont le besoin était estimé à quatre appareils.
Une offre pour deux appareils d’occasion de type AS332L non armés et deux appareils neufs de type AS332C1e armés a été remise à cette occasion. En premier lieu, le choix des forces maliennes s’est porté sur les deux appareils d’occasion. Ces hélicoptères sont parfaitement adaptés aux conditions très contraignantes rencontrées au Sahel du fait de la température élevée, de l’environnement sablonneux et de la poussière particulièrement gênante pour les aéronefs. Les appareils, finalement retenus, étaient déjà en service dans cette zone de l’Afrique, servant principalement dans le cadre d’opérations de maintien de la paix et dont le contrat arrivait à son terme. Le gouvernement malien a su saisir l’opportunité pour acquérir ces deux appareils et a signé avec Airbus Hélicoptères et solex filiale, Vector Aerospace, deux contrats d’acquisition (un pour chaque appareil) en conformité avec les règles de code des marchés publics en vigueur au Mali et assortis de garanties bancaires. Les transferts de propriété des deux hélicoptères ont eu lieu respectivement en juillet et décembre 2016 (SN 2122 et SN 2046 respectivement) et en parallèle un contrat de remise en service a été signé avec Airbus Hélicoptères pour réaliser la mise en place d’un stock de pièces de rechange, la peinture, l’assistance technique la mise en vol de la flotte sur deux ans et la formation des équipages (huit pilotes) et des équipes techniques (six mécaniciens et quatre avioniques) destinées à assurer la maintenance de la flotte. Les appareils ont été initialement opérés avec succès, le SN 2046 enregistrant 70 heures de vol et le deuxième appareil (SN2122) 150 heures avant de devoir rentrer en maintenances programmées, respectivement grandes visites 6 ans en février 2018 pour le SN 2046 et 2 ans en Mai 2017 puis 12 ans en juin 2019 pour le SN2122. Plusieurs difficultés, notamment l’attaque terroriste survenue à Bamako en juin 2017,impayés avec Airbus, cannibalisation de pièces et endommagement d’un moteur durant une manutention par les équipes techniques maliennes, ont retardé l’exécution de la maintenance et la remise envol de l’hélicoptère.
L’hélicoptère SN 2046 est au sol depuis février 2018 pour maintenance programmée et maintenant proche de la remise en vol, mais requiert l’assistance technique d’Airbus pour finaliser. Airbus continue d’apporter son soutien technique et maintient les échanges avec les autorités maliennes pour aboutir à la remise en vol de ces deux hélicoptères, avec le concours efficace du coopérant Air français en poste à Bamako. Un nouvel accord devrait être trouvé rapidement avec les forces maliennes pour une entrée en service du premier hélicoptère d’ici à fin 2019.Le contexte 2x AS332 L1 vendus au Mali en juin 2015(1ex-Starlite+ 1 ex-Victor) et livrés en juillet 2016 (SN 2122) et en décembre 2016 (SN 2048) pour un montant respectivement de 5,3 et 5,9MEUR. L’entrée en service et le training initial ont été sous-traités à Starlite à cause de restrictions de sécurité dans le pays. Le contrat complémentaire de support a été signé avec Airbus Hélicoptères (AH) pour 6 MEUR, DP (60%) reçu en novembre 2016. Le solde était retardé avec un montant d’impayé important qui a bloqué le compte client et, en conséquence, la livraison des pièces et du support entre juillet 2017 et octobre 2018.• Les impayés ont été réglés en octobre 2018, à la suite de quoi les technicien sont été envoyés à Bamako pour faire une estimation gratuite des besoins de réparation. Le SN 2046 a enregistré 70 heures de vol en 6 mois (août 2017-février 2018)avant d’atteindre l’échéance calendaire 6 ans, alors que le SN 2122 a servi à la formation des pilotes de mars à avril 2017 (20 heures par stagiaire X 8 pilotes) avant d’arriver à l’échéance calendaire programmée 12ans. En mai 2019, Airbus a remis une offre pour le retour en service du 1er appareil pour un montant de 365 KEUR, qui a été refusé, le client estimant le prix trop élevé.
Lors du Paris Air Show, au mois de juin,le client a demandé un complément de formation pour ses pilotes. Mise en œuvre. Le premier appareil est proche de la remise en vol et ne nécessite que quelques semaines de travail. Afin d’accélérer sa remise en vol, Airbus a décidé de faire un geste commercial et de réduire le prix de la proposition de 365 à 300 KEUR. L’offre a été adressée au client le 24 juillet 2019.
La mise en œuvre reste contrainte aux conditions de sécurité sur place et l’identification de personnels volontaires pour aller au Mali est en cours .Air Bus est dans l’attente d’un rendez-vous pour finaliser l’accord et démarrer le chantier au plus tôt. Pour la formation des pilotes, plusieurs pistes sont explorées. L’option la plus rapide et la plus probable (accord de principe ALAT obtenu) serait la mise à disposition d’un pilote instructeur de l’ALAT déjà sur place, en opex au Mali, présentant l’avantage qu’il connaît parfaitement le pays et ses exigences. Le deuxième appareil (SN 2122, vendu en conditions « as is where is » était déjà proche de sa grande visite (prévue en juin 2019) lors de la livraison, avant d’arriver, en avril 2017, en visite générale périodique 2 ans. Beaucoup de pièces prélevées sur l’appareil et un moteur endommagé par le client lors d’une manipulation, vont rendre le retour en service de cette machine complexe et coûteux. Airbus étudie plusieurs options :- Son remplacement par un autre appareil d’occasion qui permettrait une remise en vol plus rapide et une plus grande flexibilité de maintenance en utilisant le SN 2122 pour pièces.- L’utilisation d’un autre appareil d’occasion du même type qui servirait à la remise en vol du SN 2122 vendu et constituerait un stock de rechanges complémentaire. Son remplacement par un autre appareil d’occasion avec plein potentiel.
Son remplacement par un appareil neuf. Une fois le premier appareil venu en service, il sera urgent de mettre en place un dispositif de maintenance efficace, avec formation renforcée des équipes maliennes et un contrat de support technique et logistique ».
La Directrice Exécutive de l’AJCAD, Adam Dicko, paie sa TDRL .Un hef n’est pas un chiffon, Adam Dicko de l’AJCAD en est l’exemple frappante.
« Les actes parlent plus forts que les mots » dit-on. Adam Dicko, Directrice Exécutive de l’AJCAD, s’est acquittée de sa Taxe de Développement Rural et Local (TDRL) ce mercredi à la Mairie de Sogoniko. Être un citoyen modèle se prouve par les actes. Soyons des citoyens modèles au sein de nos communautés à travers nos actes. »C’est votre exemple qui change le monde pas vos opinions. » Paulo Coelho. À vos marques pour l’avènement d’une nouvelle conscience citoyenne au Mali.
Le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Ibrahim Boubacar Keita , a reçu en visite de courtoisie en début de soirée de mercredi 16 octobre 2019, au Palais Présidentiel de Koulouba Sa Majesté le Roi Carl XVI Gustaf du Royaume de Suède, accompagné de l’Ambassadeur de Suède au Mali et de certains haut-gradés des forces armées Suédoises, parmi lesquels le lieutenant-général Jan Salestrand et le vice-amiral Jan Tornqvist. Le Royaume de Suède contribue à la paix et à la stabilité au Mali à travers la MINUSMA , l’EUTM, ECAP avec 300 soldats basés dans la Région de Tombouctou . Rien n’a filtré de cette visite de courtoisie. Cependant , nous pouvons noter que l’ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire du Royaume de Suède au Mali , qui a remis à IBK il y’a moins d’une semaine ses lettres de créance, avait magnifié le soutien continu du Royaume de Suède au Mali et le renforcement des relations d’amitié et de coopération entre nos deux pays .
Le Président de la République a profité de cette occasion pour offrir à Son Altesse des cadeaux en souvenirs de son passage au Mali.
Son Excellence Monsieur Ibrahim Boubacar KEÏTA , Président de la République, Chef de l’Etat, a rendu visite, dans l’après-midi du 16 Octobre 2019, la doyenne du district de Bamako , Mme Diarra Kadia TOGOLA dite Aya, avec résidence à Djicoroni -Para « Abdoulayebougou» en Commune IV du district de Bamako. Aya est aujourd’hui âgée de 128 ans.
Cette manifestation constante et régulière de solidarité envers les aînés , et les parents , le respect de nos Us et Coutumes est une des valeurs fondamentales de notre société, qui incarne IBK depuis toujours . Elle rentre dans le cadre de la 25ème édition du mois de la solidarité célébrée chaque mois d’octobre dans notre pays. Le thème pour cette année est « Contribuer à la Sécurité nationale est une responsabilité citoyenne et un devoir de solidarité ».
Aya, se porte bien selon ses filles. Elles rapportent que leur maman est friande de spaghetti et de poulet grillé . Lors de la visite de courtoisie du Président de la République, elle était entourée de ses 03 enfants . De nos jours elle a 54 petits-enfants, filles et garçons. Dans ses paroles bien articulées , le Président de la République dans le bonheur d’être pour la cinquième fois successive auprès de Aya a déclaré: « Tu es très lucide encore , je te souhaite une bonne santé et longévité. Madame IBK, je suis venu renforcer notre mariage. J’ai amené avec moi les colas , un bélier et d’autres cadeaux ».
Profitant de cet instant du signe des temps , le Président de la République fier de partager la solidarité de sa maman , s’est entretenu une vingtaine de minutes avec elle , tout en lui éprouvant son constant sentiment d’amour.
« IBK Allah Ki Ka fanga dêmê » a conclu Aya
IBK avant de quitter Mme Diarra Kadia TOGOLA , a demandé à notre patrimoine humain de la capitale du Mali , de continuer à faire des bénédictions de bonheur et de prier notre Seigneur afin que notre beau pays retrouve rapidement la paix , la stabilité, la quiétude des populations et aller à son développement socio-économique.
La visite s’est déroulée en présence du ministre de la solidarité et de la lutte contre la Pauvreté, de la marraine du mois de la solidarité édition 2019, le général de brigade à la retraite Kani Diabaté; d’ Ibrahima Diawara , Président du « Mouvement malien tout court », parrain de la semaine, des Chefs religieux et coutumiers , des autorités administratives et politiques de la commune III et du district de Bamako, des autorités religieuses et coutumières , des proches collaborateurs du Chef de l’Etat, des voisins de quartiers et de certains riverains.
Au Mali, la belle chaîne humaine entre tous les fils et toutes les filles du pays en ces moments difficiles , où nos plus hautes autorités sont engagées constamment en faveur de la paix , de la réconciliation nationale à travers un dialogue national inclusif, le vivre ensemble ; où tous se tiendraient la main vers un avenir où il y aurait moins de faim, moins de misère, moins de maladie, est la preuve que la solidarité est une valeur et exigence si importante pour le Président de la République depuis son accession à la magistrature suprême en 2013.