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Togo : l’Etat attribue un permis à grande échelle sur un gisement d’argile

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Le gouvernement togolais a adopté, mercredi 24 juillet, un décret portant attribution d’un permis à grande échelle du gisement d’argile de Ledjoblibo à la société Industrie commerce agrochimie investissement (ICA Invest Sa).

Le gisement est situé dans la préfecture de Dankpe, région de la Kara, à plus de 400 km au nord de Lomé. Son exploitation, selon le gouvernement, permettra d’améliorer les recettes minières de l’Etat. « De même, la société contribuera au développement local et régional grâce à la réalisation d’œuvres socioéconomiques et communautaires », indique-t-il encore.

Basée à Lomé, ICA Invest est une société anonyme au capital de 30 millions de FCFA qui opère dans l’agrochimie et dans l’agro-industrie.

https://www.financialafrik.com/2019/07/25/togo-letat-attribue-un-permis-a-grande-echelle-sur-un-gisement-dargile/

Africa Investment Forum 2019 : présentation à Casablanca

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La Banque africaine de développement a organisé, le 23 juillet à Casablanca, une présentation de l’Africa Investment Forum 2019, en partenariat avec Africa50 et la Banque européenne de reconstruction et de développement.

Cette rencontre avait pour objectif de mobiliser les investisseurs publics et privés afin de mettre en place un pipeline de projets solvables en amont de la 2ème édition de l’Africa Investment Forum, qui se tiendra du 11 au 13 novembre prochains à Johannesbourg, en Afrique du Sud.

Casablanca était la première étape d’un road show régional, qui conduira une délégation de haut niveau de la Banque africaine de développement à visiter les pays d’Afrique du Nord.

Dans son allocution d’ouverture, Leila Farah Mokaddem, représentante de la Banque pour le Maroc, a souligné la finalité de cette initiative : « l’Africa Investment Forum est né de l’ambition de transformer le formidable potentiel du continent en croissance, avec de meilleures conditions de vie pour les Africains ». Ce forum est « devenu une véritable plateforme transactionnelle avec des intentions d’investissement exprimées d’une valeur totale de 38 milliards de dollars lors de la 1èreédition », organisée en novembre 2018 à Johannesbourg.

S’exprimant au nom du ministre de l’Économie et des Finances marocain, Jilali Kenzi, adjoint du directeur du Trésor et des Finances extérieures, chargé du pôle macroéconomique, a exposé les différents plans de développement sectoriels ainsi que l’agenda des réformes en cours. Il a ensuite mis en évidence l’importance de ce nouveau forum transactionnel « capable de satisfaire les besoins en financement des investisseurs sur le continent ». Il s’est ainsi réjoui des « résultats très prometteurs de l’Africa Investment Forum ».

Koffi Klousseh, directeur du développement de projet, a profité de l’occasion pour revenir sur l’expérience d’Africa50 lors de la 1ère édition du Forum. « En tant que plateforme d’investissement dédiée aux infrastructures en Afrique, les objectifs de l’Africa Investment Forum sont en adéquation avec les priorités d’Africa50. L’an dernier, le Forum nous a permis de concrétiser des étapes importantes pour plusieurs de nos projets clés, en présence des gouvernements et des divers partenaires du projet. Nous nous réjouissons de pouvoir renouveler l’expérience en novembre prochain pour de nouveaux projets ».

« Nous avons beaucoup capitalisé sur l’expérience de la BAD afin de mieux servir le secteur privé. Notre participation à l’AIF, qui va être stratégique cette année, s’inscrit totalement dans ce partenariat au plus haut niveau de nos deux institutions » a déclaré Marie-Alexandra Veilleux-Laborie, directrice de la Banque européenne de reconstruction et développement pour le Maroc.

Les équipes de l’Africa Investment Forum ont ensuite procédé à un exposé détaillé du fonctionnement de cette nouvelle initiative, qui organise l’instruction des projets, facilite la levée des capitaux et accélère le bouclage financier des opérations.

Les quelque cent participants, représentant les principaux acteurs de l’écosystème de l’investissement, ont ensuite échangé sur un mode interactif. « Ce nouveau Forum présente un avantage comparatif certain : celui de réunir l’ensemble des acteurs de l’investissement autour de la table pour boucler rapidement des transactions structurantes avec des risques maîtrisés », a notamment relevé un des participants.

Des discussions bilatérales sur les opportunités d’affaires ont également été organisées avec les équipes techniques de la Banque africaine de développement pour identifier les projets à présenter lors de la prochaine édition du Forum.

Le partenariat entre le Royaume du Maroc et la Banque africaine de développement, qui dure depuis près d’un demi-siècle, compte près de 170 projets et programmes, pour un engagement financier de quelque 10 milliards de dollars américains. Ces financements, dont plus de 80% sont dédiés aux infrastructures de base, couvrent différents secteurs, dont l’énergie, l’eau, les transports, l’agriculture ainsi que le développement social.

Rédaction

Financial Afrik se propose de délivrer l’information financière stratégique aux cadres et dirigeants, à travers une newsletter quotidienne et un site web qui couvre toute la finance africaine.

https://www.financialafrik.com/2019/07/25/africa-investment-forum-2019-presentation-a-casablanca/

L’Egypte reçoit la cinquième tranche de 2 milliards USD d’un prêt du FMI

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L’Égypte va recevoir la cinquième et dernière tranche du programme de réforme économique du Fonds monétaire international (FMI).

Approuvé mercredi 24 juillet, ladite facilité est constituée d’un dernier versement de 2 milliards de dollars d’un prêt initial 12 milliards de dollars accordé en novembre 2016 et étalé sur trois ans. L’objectif étant d’accorder une assistance financière à l’Égypte afin de soutenir son programme de réforme économique.

C’est en mai dernier que la mission du FMI est parvenue à un accord avec les autorités égyptiennes concernant l’achèvement des cinquième et dernier réexamens du mécanisme du fonds élargi (FEP).

Amadjiguéne Ndoye

journaliste économique, titulaire d’un Master II en Communication et Journalisme de l’Institut Supérieur des Sciences de l’Information et de la Communication de Dakar (ISSIC). Grande amatrice de lecture et de musique. Féministe dans l’âme et passionnée de mode.

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Mali: Les prévisions rectifiées des recettes budgétaires s’élèvent à 2 mille 54 milliards 674 millions de francs CFA pour l’exercice 2019

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Boubou Cissé, né en 1974 à Bamako, est un homme d'État malien. Il est Premier ministre du 23 avril 2019 à son renversement par l'armée, le 18 août 2020.

Sur le rapport du ministre de l’Economie et des Finances, le Conseil des Ministres a adopté : Un projet de loi portant modification de la Loi n°2018-072 du 21 décembre 2018 portant loi de Finances pour l’exercice 2019 .Le présent projet de loi modifie la loi de finances 2019 pour tenir compte du changement de l’équilibre du budget initial sous-tendu par la modification des prévisions des ressources de l’Etat et des dépenses budgétaires.


La modification vise à prendre en charge entre autres : la vente de licence téléphonique à un 4ème opérateur ; l’acquisition par MALITEL de la 4G ; la contribution financière des partenaires techniques et financiers, notamment le Luxembourg, l’Union européenne, la France, la Banque Mondiale, la Coopération Suisse et le Canada ; l’ajustement à la hausse des prévisions des recettes fiscales de la Direction générale des Impôts ; la révision à la baisse des objectifs des recettes fiscales de la Direction générale des Douanes ; le renforcement de la subvention de l’Etat à l’EDM-SA ; le renforcement du filet social pour la prise en charge du Plan d’actions humanitaires de relèvement et de développement dans les régions du Centre ; les projets de « développement rural et sécurité alimentaire », de « formation et insertion professionnelle », de « décentralisation et de bonne gouvernance » et de « développement durable dans les régions de Gao et Kidal » et t la régularisation de l’encaissement des ressources additionnelles au titre de l’exercice budgétaire 2019.

Sur la base de ces nouveaux éléments :

les prévisions rectifiées des recettes budgétaires s’élèvent à 2 mille 54 milliards 674 millions de francs CFA contre 2 mille 23 milliards 150 millions de francs CFA prévus dans le budget initial 2019, soit une augmentation de 31 milliards 524 millions ou un taux d’accroissement de 1,56% et les dépenses budgétaires rectifiées sont fixées à 2 mille 387 milliards 742 millions de francs CFA contre 2 mille 410 milliards 400 millions de francs CFA dans le budget initial 2019, soit une diminution nette de 22 milliards 658 millions de francs CFA ou un taux de régression de 0,94%.

Le projet de budget d’Etat 2019 rectifié dégage un déficit de 333 milliards 68 millions de francs CFA contre un montant initial de 387 milliards 250 millions de francs CFA, soit une diminution de 54 milliards 182 millions de francs CFA. Un projet de décret portant approbation de l’Avenant n°1 au marché n°00874/DGMP-DSP-2016 relatif aux travaux d’aménagement des routes d’accès au 2ème pont sur le fleuve Sénégal à Kayes (Lot 2) . Un projet de décret portant approbation de l’Avenant n°1 au marché n°00875/DGMP-DSP-2016 relatif au contrôle et à la surveillance des travaux de construction du 2ème pont sur le fleuve Sénégal à Kayes et ses voies d’accès.

L’avenant relatif aux travaux d’aménagement des voies d’accès est conclu entre le Gouvernement de la République du Mali et l’Entreprise COVEC-Mali. Il est sans incidence financière et a pour objet de proroger de 12 mois le délai d’exécution des travaux du marché initial.

L’avenant relatif au contrôle et à la surveillance des travaux de construction du pont est conclu entre le Gouvernement de la République du Mali et le Bureau CIRA-SA, pour un montant de 496 millions 567 mille 635 francs CFA toutes taxes comprises et un délai d’exécution de 8 mois. Il a pour objet de proroger de huit (08) mois le délai d’exécution du marché initial.

La conclusion de ces avenants intervient suite aux retards constatés dans l’exécution des travaux à cause de l’occupation des emprises.Un projet de décret portant approbation du marché relatif aux travaux de construction de la liaison double terne 225 Kilo volts Sikasso-Bougouni-Sanankoroba-Bamako (Lot global 1).

Le marché est conclu entre le Gouvernement de la République du Mali et la Société KALPATARU Transmission Limited, pour un montant hors taxes de 47 millions 302 mille 659 Dollars américains, soit environ 26 milliards 631 millions 397 mille 17 francs CFA et un délai d’exécution de 24 mois.’exécution du présent marché s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du Projet d’Interconnexion Ghana-Burkina-Mali.

Notons qu’elle permettra, notamment d’augmenter l’offre en ressources énergétiques, d’améliorer la qualité du service public de l’électricité et de contribuer au développement socio-économique des zones desservies.

Daouda Bakary KONE

Source: croissanceafrique.com

Hydrogène, mines et politique: Après Wassol’or, les nouveaux projets d’Aliou Boubacar DIALLO

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Après l’annonce de la vente de ses parts dans la société minière Wassoul’Or pour plus de 200 millions de dollars, l’homme d’affaires et opposant malien Aliou Boubacar Diallo, que l’on aurait pu imaginer prendre une retraite dorée, a insisté sur ses « nouveaux projets et (ses) nouveaux défis à relever pour le Mali ». De nouveaux projets qui pourraient inclure une relative implication politique, mais aussi et surtout une accélération de ses ambitieux projets dans le secteur de l’hydrogène naturel et des mines, que l’entrepreneur quinquagénaire ne semble pas prêt à abandonner.

Quel homme politique malien peut se targuer de signer des deals internationaux à hauteur de centaines de millions de dollars ? Qui a créé des milliers d’emplois ? Telles sont les questions qu’Aliou Boubacar Diallo semble poser aux apparatchiks au pouvoir à l’heure où il cède pour 200 millions de dollars ses parts dans Wassoul’Or. Et l’homme de Kayes de démontrer par les actes qu’il a lui l’expérience concrète des affaires et de la réussite.

Un contraste saisissant entre l’entrepreneur, parti de rien, et qui a bâti un empire protéiforme, et les parasites habituels du monde politique qui pillent le pays depuis des décennies. Sans compter sur les milliers de familles que les projets industriels initiés par Aliou Boubacar Diallo font vivre. C’est justement les recettes de son succès entrepreneurial que l’homme d’affaires souhaite appliquer dans la gestion des affaires publiques maliennes pour sortir de la crise mortifère dans laquelle se trouve le pays.

La vente de Wassoul’Or est donc un énième pavé dans le marigot politicien lancé par Aliou Boubacar Diallo pour mieux mettre en parallèle les échecs répétés des gouvernants qui se sont succédé au pouvoir depuis trente ans, à ses succès… et indirectement montrer que si la majorité des politiciens maliens se servent de la politique pour vivre (avec les tentations de corruption que l’on connaît), lui est bien décidé à servir son pays sans besoin de puiser dans les caisses de l’État.

Mais les ambitions politiques d’Aliou Boubacar Diallo n’expliquent pas à elles-seules son désengagement de Wassoul’Or. On peut même affirmer que cela est loin d’en être l’explication. En réalité, la vente de sa mine d’or doit permettre à l’homme d’affaires de se concentrer sur le secteur de l’hydrogène naturel, où son entreprise, Petroma Inc, pourrait à terme devenir l’un des pionniers mondiaux grâce aux découvertes faites dans le bassin de Bourakébougou.

Les ressources maliennes de cette source d’énergie renouvelable et non polluante seraient considérables à en croire les études récentes publiées par une équipe française de géologues. Et Aliou Boubacar Diallo se trouverait en pole position pour devenir le premier exploitant mondial de ce que les professionnels du secteur qualifient d’or blanc. Après plusieurs années de phases de test, Petroma Inc ambitionne désormais d’industrialiser ses process de production.

Une accélération des activités de Petroma qui ne reposera pourtant pas sur la vente des actions de Wassoul’Or mais plutôt, et sans doute, sur des partenariats d’envergure avec des géants du secteur pétrolier et du monde de l’énergie. Aliou Diallo est donc parti pour de nouvelles aventures qui devraient, elles aussi, réussir à faire rêver les Maliens d’un avenir meilleur.

Tiana

Source: Newsly.fr

Peoples: L’homme d’affaire Malien BAROUBA a offert 2 000 000 de Francs CFA, à l’artiste guinéen Grand P

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C’est à travers un poste sur la page Facebook du jeune artiste Guinéen connu sur sobriquet de grand P affirme ceci « Aidez-moi à remercier BAROUBA, qui m’a offert 2 000 000 de Francs CFA, hier soir lors de notre rencontre ! « . a-t-il écrit.

Notons que l’homme d’affaire Barouba est connu sur ses bonnes choses envers les artistes Maliens. Cette fois-ci, c’est le tour d’un artiste Guinéen en tournée à Bamako depuis presque une semaine. Grand P vient de beneficier la somme de 2 millions de franc CFA à l’endroit de Barouba.

Daouda Bakary KONE

Source: croissanceafrique.com

AÉROPORTS DU MALI: Des irrégularités financières relevées, les montants s’élèvent à 53, 22 millions de FCFA en 2015, à 56,64 millions de FCFA pour 2016 et à 37,76 millions de FCFA en 2017

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Le Bureau du vérificateur général, a relevé des irrégularités financières dans les services de finances comptables des aéroports. Les passages sous tirés de son rapport annuel de 2018.

Les constatations qui alimentent cette rubrique feront l’objet de transmission et de dénonciation aux autorités judiciaires : Des PDG des ADM ont signé des procès-verbaux (PV) de passation de service contenant des informations erronées. En effet, le PV de passation du 16 mai 2017 intervenu entre le PDG par intérim sortant et la DGA, PDG par intérim entrant, et signé par les Inspecteurs de l’inspection de l’Équipement et des Transports et ceux de l’Inspection des Finances, indique que le solde du compte clients fourni par la Direction commerciale est de 423,03 millions de FCFA. Le solde du client à la date du 16 mai 2017, reconstitué par la mission, s’élève à 1,04 milliard de FCFA au lieu de 423,03 millions de FCFA, soit un écart de 612,78 millions de FCFA.

En outre, un second PV de passation, en date du 4 octobre 2017, signé par le PDG par intérim entrant, les Inspecteurs de l’Inspection de l’Équipement et des Transports et ceux de l’Inspection des Finances, indique que le solde des créances clients – différence entre les montants facturés et les montants payés- au 26 septembre 2017 est de 1,24 milliard de FCFA. Par contre, ce solde du 26 septembre 2017, reconstitué par la mission sur la base des pièces de règlement et des factures, est de 1,34 milliard de FCFA, soit un écart de 98,32 millions de FCFA. Le montant total des écarts ressortis des PV s’élève à 711,10 millions de FCFA.

 L’inscription de soldes erronés des créances clients des ADM met en cause la fiabilité des informations provenant de la Direction commerciale.

 Selon le rapport du VGAL « le Directeur Commercial des ADM n’a pas facturé et recouvré l’exhaustivité des créances clients. En effet, le montant de la créance du client MATRIX au niveau de la comptabilité des ADM et du service client est de 336, 66 millions de FCFA au 30 septembre 2017. Après reconstitution par la mission, sur la base des conventions et des échéances non facturées, le montant réel de la créance de MATRIX s’est élevé à 891,66 millions de FCFA, soit un écart non facturé de 555 millions de FCFA. De plus, le Directeur commercial n’a pas facturé en 2017 d’autres clients pour un montant total de 27, 37 millions de FCFA. Par ailleurs, le client Mali Air Express (MAE) a reconnu, par lettre du 22 février 2013, une créance due à ADM de 75,51 millions ». dit-il.

Ladite créance a fait l’objet d’une facilité de remboursement le 12 mars 2013. Cependant, de cette date au 30 septembre 2017, MAE n’a effectué aucun remboursement. Or, le montant des créances dues par MAE, dans la comptabilité des ADM, s’élève à 59,98 millions de FCFA, au lieu de 75,51 millions. L’écart ainsi non comptabilisé est de 15,52 millions de FCFA. Le montant total des recettes non perçues sur des prestations fournies par ADM est de 597, 90 millions de FCFA.

 Le Directeur Administratif a procédé à des fractionnements de dépenses. Il a choisi le même fournisseur pour des achats de même nature dont le montant dépasse le seuil des achats par appel d’offres ouvert. Ces dépenses fractionnées s’élèvent à 53, 22 millions de FCFA en 2015, à 56,64 millions de FCFA pour 2016 et à 37,76 millions de FCFA pour la période allant de janvier à septembre 2017. Le montant total des dépenses concernées par le fractionnement est de 147,62 millions de FCFA au profit du même fournisseur. Par ailleurs, le PDG a conclu, le 31 juillet 2015, sans appel à concurrence, un contrat avec ce fournisseur sans limitation de quantité ou de prix.

  Le PDG et le Directeur Financier et Comptable ont payé des primes indues. Ils ont payé, au Cabinet de conseil fiscal SIAKA TRAORE, des primes de rendement sur la base d’un taux de 10% alors que ce taux est de 5% dans les contrats de prestation en cas de réductions obtenues sur les redressements. Ainsi, le montant indûment payé, pendant la période sous revue, se chiffre à 60, 89 millions de FCFA.

Notons que le Directeur commercial n’a pas fourni des souches de carnets de recettes utilisés. En effet, il n’a pas pu mettre à la disposition de la mission les souches de deux carnets de recettes sortis pour la collecte des recettes. Ainsi, les recettes collectées sur la base de ces deux carnets ne peuvent être reconstituées.

Amadoun Alphagalo

Daouda Bakary KONE

Tel: 76822657

source: Croissanceafrique.com

Mali Bara Musso, l’entreprise qui concurrence le géant Maggi en Afrique de l’ouest

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https://www.youtube.com/watch?v=AvcNmZqcz7M
un magazine canal+ REISSITE

Mali: IBK reçoit le commandant de la Force Barkhane

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« Les Famas sont des soldats très combatifs , très courageux» dixit le commandant sortant de la Force Barkhane.

Le Président de la République, Chef de l’Etat , Son Excellence Monsieur Ibrahim Boubacar Keita, Chef Suprême des Armées a reçu en début de soirée du mardi 23 juillet 2019 au Palais présidentiel de Koulouba , le Général de Division Frédéric Blachon , Commandant de la Force Barkhane en fin de mandat dans notre pays. Le général Blachon accompagné de l’Ambassadeur de France au Mali et de son remplaçant le général Pascal Facon, était venu rendre une visite de courtoisie au Président de la République et lui faire ses adieux.

A la fin de l’audience, le Général Blachon s’est adressé à la presse: « Je finis aujourd’hui mon mandat d’un an à la tête de la force Barkhane , mon mandat a commencé en juillet dernier. Le Président de la République s’intéresse beaucoup à la situation militaire . On a pu faire un peu une appréciation de cette situation , ça m’a permis de rendre hommage à tous ceux avec qui j’ai pu travailler cette année aux premiers rangs desquels je placerai les jeunes troupes Famas avec qui j’ai pu justement combattre l’adversaire. Je tiens à rendre un hommage très appuyé aux Famas du Gourma , qui sont des soldats très combatifs , très courageux . Je rends hommage aujourd’hui à nos camarades de Barkhane , camarades notamment estoniens , à tous ceux qui ont été blessés hier dans l’attaque et en même temps je leur rends hommage d’avoir été capables de repousser cette attaque. Enfin j’ai une pensée pour toutes ces populations auprès desquelles nous avons combattu , de manière à ce qu’elles vivent mieux , qu’elles vivent davantage en sécurité. C’est à elles que je pense au moment de quitter votre pays . Comme dans toute crise nous avons eu des résultats très positifs dans certains domaines, je pense en particulier aux coups que nous avons pu porter contre l’adversaire. C’est important que l’adversaire n’ait pas la libre disposition du pays , qu’il ne puisse pas se déplacer comme il veut . C’est extrêmement important qu’au moment où certains pensent que le traitement de la crise n’est que militaire, non c’est pas le cas, il faut également que certains se chargent de pouvoir attaquer l’adversaire, ce n’est pas militaire mais l’action militaire est importante . La grande satisfaction c’est d’avoir pu participer au développement du côté de Menaka. Au total avec l’Agence Française de Développement on a pu avoir de belles choses à raconter. Quand je vois notamment des réfugiés qui sont capables de revenir après avoir quitté leur pays, ça c’est un signe , je vois que sur les routes on se déplace mieux , je vois qu’aujourd’hui on trouve des choses qu’on ne trouvait pas à Menaka. Ça ce sont des signes positifs ».

Cellule de Communication et des Relations Publiques de la Présidence de la République du Mali

Mali: L’Aeroport de Mopti sera équipé comme celui de Bamako Senou et passera à la norme H24

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  • Le Président de la République, Chef de l’Etat , Son Excellence Monsieur Ibrahim Boubacar Keita, a reçu en audience en milieu d’après-midi,au Palais présidentiel de Koulouba mardi 23 juillet 2019 M.Mohamed Moussa, Directeur général de l’ASECNA (Agence pour la Sécurité de la Navigation Aérienne en Afrique et à Madagascar) et ses proches collaborateurs.

Les hauts responsables de l’Asecna étaient venus rendre compte au Chef de l’Etat de la situation de l’Agence et prendre ses conseils sur la conduite de cet organisme panafricain composé de 18 états membres. Les visiteurs ont évoqué avec IBK les solutions à l’ensemble des problématiques des Etats membres de l’Asecna . Par rapport à la situation du Mali , sur insistance du Président de la République, à augmenter le nombre de trafic aérien au centre du Mali à partir de l’aéroport international Ambodejo de Mopti , le PCA de l’Asecna a souligné « Nous sommes prêts à apporter toutes les solutions pour permettre à Mopti d’assurer l’augmentation du trafic . Il y a beaucoup d’avions qui vont à Mopti . Nous allons modifier la norme de l’aéroport de Mopti de H12 à H18 ou à H24. IBK a insisté sur la réalisation de cet objectif nous l’avons rassuré que nous allons prendre les dispositions nécessaires pour cela .Mopti sera doté du balisage comme exactement à Bamako, les équipements techniques sont déjà arrivés et il ne reste qu’à les installer ».

Cellule de Communication et des Relations Publiques de la Présidence de la République du Mali