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Kenya : Credit Bank ouvre une agence dédiée aux PME et au secteur agricole

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Les responsables de Credit Bank Ltd ont officiellement inauguré ce vendredi 5 avril, une nouvelle agence à Eldoret, ville située dans les régions du Rift Nord et de l’Ouest du Kenya. Elle est exclusivement dédiée aux PME et au secteur agricole.

«La croissance des affaires dans et autour de la ville d’Eldoret a entraîné la nécessité d’élargir les opportunités pour les entrepreneurs de la région», a indiqué Betty Korir, directrice générale de la banque kényane qui porte ainsi son réseau à 17 agences.

Elle précise, par ailleurs, que l’institution vise à se positionner en tant qu’une banque des PME dans le pays. «En tant que banque, nous restons déterminés à avoir une incidence sur l’économie dans laquelle nous opérons en collaborant avec les PME », a-t-elle déclaré.

Et d’ajouter que « l’un des domaines d’intervention de la banque dans la nouvelle banque élargie consistera à apporter un soutien au secteur agricole, qui se trouve être l’épine dorsale de cette région».

L’agriculture est la principale activité économique dans la région ciblée par la banque dont l’actif total était évalué à environ 103,2 millions USD en 2015.

RDC : Claude Ibalanky prend la tête du mécanisme de suivi des accords de paix d’Addis-Abeba

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Conclu a Addis Abeba sous l’égide de l’Union Africaine et de l’Onu , le  24 février 2013, l’Accord-cadre pour la paix et la sécurité dans l’est de la RD Congo avait  été signé  par neuf pays qui partagent les frontières naturelles et artificielles avec la RD Congo, y compris la République Sud-Africaine. En vue de dynamiser à sa manière les progrès enregistrés dans la mise en œuvre à l’échelle nationale de ce mécanisme, le président Félix Tshisekedi a désigné Claude Ibalanky à la tête du mécanisme national de suivi de  l’accord cadre  pour la paix connu sous le vocable international de « l’accord d’Addis-Abeba ».

  Nommé par le président de la Rdc, Félix tshisekedi, il y a deux semaines, Claude Ibalanky Ekolomba Ben Baruch a officiellement pris fonction  le samedi 30 mars 2019 à la suite d’une passation de services avec  son prédécesseur, John Kasuku Mihali, au siège de cette institution sise sur l’avenue de la Justice dans la commune de Gombe à Kinshasa.

  Dans son speech de circonstance, le nouveau coordonnateur du mécanisme de  suivi  de l’accord de paix d’Addis Abeba  a planté le décor. Ce dernier  a pris l’engagement  de redynamiser le mécanisme national de suivi afin de réaliser, dans les meilleurs délais, les objectifs qui lui ont été assignés par le Chef de l’État congolais  Félix  Tshisekedi.

   Dans le déroulement de sa feuille de route, le nouveau coordonnateur souhaite dans un premier temps  procéder à  l’évaluation du travail du mécanisme national de suivi puis dans un second temps élaborer    le plan d’action prioritaire  du plan de travail 2019-2020 ; à travers une rétrospective et une    revue du cadre juridique et institutionnel des élections en vue des réformes électorales et politiques. Enfin  Claude Ibalanky s’activera in fine dans les prochains jours à créer les conditions préparatoires  de  l’organisation de la Conférence internationale sur la paix, la sécurité et la reconstruction dans l’Est de la Rdc. L’initiative aura comme soubassement   l’élaboration des réformes  qui seront  soumises à la  Conférence des Chefs d’État  membres du mécanisme international de suivi de l’accord cadre d’Addis-Abéba  prévue en  octobre 2019.

  Egalement parmi ses projets, le nouveau patron du mécanisme national de suivi compte consolider  les rapports cordiaux  entre le MNS et les autres parties prenantes de l’accord au niveau régional avec comme leitmotiv, le renforcement de  l’intégration régionale et la définition d’une politique sécuritaire inter-frontalière commune  en vue de garantir la paix et la stabilité durable dans la région des grands lacs. « Ces objectifs parmi tant d’autres vont nous permettre dans un temps record de rétablir la stabilité et de restaurer la paix durable dans la région des grands lacs ».

Répondant aux questions de la presse, Claude Ibalanky a saisi cette  occasion pour  souligner  que le Président de la République, garant du respect des traités internationaux, entend faire du MNS le bras séculier du gouvernement pour gagner le pari de la paix, de la réconciliation  et de la sécurité auxquelles aspirent les populations congolaises sur toute l’étendue du territoire.  

  Par ailleurs le coordonnateur du MNS a précisé qu’ il ne s’agit pas seulement pour son institution d’éradiquer toutes les formes négatives des violences    armées à l’origine des désastres notamment à l’Est de la Rdc , mais  surtout de ne ménager aucun effort à  postériori pour  participer à la dynamique de développement qui reste et demeure le néologisme de la culture de la  paix qui passe par la culture démocratique et le bon sens de tous les partenaires engagés dans le processus de paix à l’Est de la Rdc  .

    Le coordonnateur  du MNS a souligné toutefois   : « Six ans après la signature de l’Accord cadre, il s’impose à nous d’engager la réflexion sur les contours de la nouvelle dynamique à y impulser, de manière à le mettre en phase avec la réalité sécuritaire, notamment dans la partie orientale du pays et dans les pays voisins particulièrement ceux dont l’interdépendance est un peu plus évidente avec la République démocratique du Congo dans le contexte sécuritaire de l’heure ».

  Originaire du Grand Bandundu, le nouveau coordonnateur du MNS désigné par le président Félix est un proche de première heure. Il a été durant la période préélectorale son conseiller spécial en charge de la diplomatie et des questions stratégiques.  Ingénieur en télécom, businessman installé en Afrique du Sud, Claude Ibalanki  est un homme coutumier des arcanes  de la scène politique nationale et internationale .

  Le mécanisme national de suivi a  été tour à tour dirigé par François Mwamba, Léon Engulu, le général Denis Kalume et John Kasuku Mihali. Cette institution a pour mission d’assurer le suivi et la supervision de la mise en œuvre des engagements souscrits aux termes de l’Accord-
cadre pour la paix, la sécurité et la coopération pour la République Démocratique du Congo et la Région des Grands Lacs.

   La consolidation de la paix et la stabilité pour le développement dans la région de Grands-Lacs constitue l’un des points cardinaux du mécanisme de suivi des accords de paix d’Addis-Abeba

                                                                                               Rodrigue Fénelon

Corruption / La BAD opte pour une politique de tolérance zéro

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La BAD a organisé un séminaire d’opportunités d’affaires qui a réuni à Abidjan, une centaine d’opérateurs économiques venus des quatre coins du monde pour réfléchir sur la transformation économique du continent et saisir les opportunités de business offertes par l’institution.

le vendredi 5 avril, l’institution panafricaine en a profité pour informer les opérateurs  économiques que  les entreprises des pays membres qui soumissionnent à des projets de la BAD et se rendent coupables de fraude ou de corruption, tombent sous le coup des sanctions de la banque. Ces entreprises corrompues seront   dorénavant interdites d’affaires avec la banque pour une période allant de un an ou plus.

Côte d’Ivoire/ Un budget de 700 milliards Fcfa pour lutter contre l’immigration et le chômage des jeunes

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e  ministre ivoirien du pétrole, de l’énergie et des énergies renouvelables,  Abdourahmane Cissé,  a présenté les solutions de la Côte d’Ivoire pour lutter contre l’immigration et le chômage des jeunes au Forum de la Fondation Mo Ibrahim qui  a eu lieu du 5 au 7 avril 2019 à Abidjan.  

La question de la jeunesse et de l’emploi est une problématique importante pour  l’ensemble des décideurs du  continent   africain.  La Fondation Mo Ibrahim en a donc fait un des thèmes de référence des 12èmes assises du Forum Mo Ibrahim qui se sont tenues ce week-end à Abidjan dans la capitale économique de la Côte d’Ivoire.

 Depuis le vendredi 5 Avril  2019, la Côte d’Ivoire est devenue, le temps d’un week-end, comme un ”hub de l’économie africaine”. Une occasion pour Abdourahmane Cissé, ministre ivoirien du petrole, de l’énergie et des énergies renouvelables, qui a pris part, le 6 avril 2019, au panel ayant pour sous-thème: « Une jeunesse explosive confrontée à une croissance sans emploi », de décliner sa vision.

Au cours  de cette rencontre à laquelle ont participé Akinwumi Adesina, président du Groupe de la BAD, Desalegn Boshe, ancien Premier ministre de la République d’Ethiopie, Roberta Gatti,   Economiste en chef, développement humain à la Banque mondiale,  le représentant du gouvernement ivoirien a exposé sur les solutions mises en place par la Côte d’Ivoire pour lutter contre les fléaux de l’immigration clandestine et le chômage des jeunes . Selon le ministre , la stratégie du  gouvernement ivoirien se décline  en deux tableaux. Le premier, c’est qu’il a mis  l’accent sur l’enseignement professionnel, les écoles spécialisées qui sont assez importantes. La deuxième phase  c’est la croissance. Parce que  “s’il n’y a pas de la croissance, vous ne pouvez pas parler de l’inclusivité de la croissance“.

Et à l’en croire,  en matière de croissance, “l’Etat de Côte d’Ivoire a déjà fait des progrès assez importants” avec ”une croissance économique qui s’est accrue à environ 8 à 9% en moyenne par an au cours des six et sept dernières années“. Toutefois, le ministre du Pétrole, de l’énergie et des énergies rénouvelables reconnaît que cela ne s’est pas toujours traduit par une amélioration complète des conditions de vie des populations. L’Etat a donc décidé, au mois de décembre 2018,  de lancer un programme spécifique mettant l’accent sur le social pour un budget d’un peu plus de 700 milliards Fcfa sur les deux prochaines années.  Ce qui va permettre  de cibler des actions spécifiques dans le social ”pour faire en sorte qu’aucun Ivoirien ne soit laissé pour compte”. La Côte d’Ivoire compte ainsi  renforcer l’accès à l’électricité,  l’eau,  l’éducation, et bien d’autres sujets. 

Selon les Nations-Unies, d’ici à 2050, il faut créer environ 800 millions d’emplois. Et la Côte d’Ivoire propose que l’Afrique tire profit de ses dividendes démographiques en faisant en sorte quelles deviennent une opportunité  et pas un problème. Parce qu’une population plus importante dit aussi beaucoup plus de créativité et la possibilité de faire beaucoup plus comme la Chine l’a fait. Et Abdourahmane Cisséexplique queson pays ”est au travail” pour faire en sorte que l’ environnement des affaires soit le plus propice au développement de nos jeunes.

Mo Ibrahim chez Allassane Ouatarra pour parler de bonne gouvernance

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La fondation Mo Ibrahim a tenu son 12ème Ibrahim Governance Week (IGW)” du 5 au 7 avril 2019 au Sofitel Hôtel Ivoire d’Abidjan en Côte d”Ivoire.  

La Côte d’Ivoire est classée 22 ème en 2018 et en tête des pays progressistes en Afrique, selon les indices de la bonne gouvernance de la Fondation Mo Ibrahim. C’est certainement l’une des raisons pour lesquelles cette fondation qui soutient la bonne gouvernance publique et le leadership de qualité sur le continent africain a tenu ses 12 ème assises du 5 au 7 Avril 2019 au Sofitel Hotel Ivoire à Abidjan. Les différentes  personnalités qui ont répondu à l’invitation du richissime anglo-soudanais Mo Ibrahim ont éssentiellement parlé de  “Migrations africaines : jeunesse, emploi et mobilité”  thème proincipal  de ce  “Ibrahim Governance Week (IGW)”.

Samedi 6 Avril,  point culminant de cette réunion avec le Forum  Mo Ibrahim,   le chef de l’Etat ivoirien  Alassane Ouattara a expliqué lors d’un panel général que la dynamique de la croissance économique ivoirienne repose sur un cadre macro-économique assaini et compétitif ainsi qu’une forte promotion de l’investissement privé. « Nous avons identifié des secteurs de croissance pour recevoir les investissements et combattu la corruption », a-t-il poursuivi, évoquant les initiatives qui ont permis de réduire les déficits publics, les déficits de la balance de paiement, l’allègement de la dette qui est aujourd’hui autour de 45% du PIB, une politique monétaire qui contrôle l’inflation. «Depuis que nous sommes aux affaires, l’inflation n’a jamais dépassé 1%, ce qui a permis une croissance économique de 2012 à 2018 de 8% par an“. S’est réjoui le président ivoirien .  Une politique qui a eu pour effets, selon lui,  sur les six ans,  d’augmenter le PIB de 50% ainsi que le revenu par tête d’habitant d’un tiers. Cette rencontre de haut niveau a  accueillit des personnalités de renoms telles que Ellen Sirleaf Johnson, ex-présidente du Liberia, Festius Mogae, ex-président du Bostwana, Joaquim Chissano Albertp, ex-président de Mozambique, Jobst Von Kirchmann , Ambassadeur de l’Union européenne, Bono, Co-Fondateur de One Campaign, Gunila Carlsson, DG de UNAIDS, Aranda Gonzales, DG de International Trade Center, Pascal Lamy, président de l’Institut Notre Europe Jacques Delors, ex-DG de l’Organisation mondiale du commerce.

L’autre temps  fort de cette journée a été le conclave d’une centaine de jeunes venus de toute l’Afrique. pour le Now Generation Forum (forum de la génération actuelle) autour du thème principal : « La jeunesse africaine : migration faute d’emploi»; .A l’ouverture de cette session, l’initiateur de cet événement, Mo Ibrahim, a souligné l’importance d’ouvrir cette réflexion aux jeunes diplômés, sans ingérence d’hommes politiques afin de donner la liberté à la jeunesse africaine de faire le réel diagnostic de la migration irrégulière dans un contexte socioéconomique africain qui peine à employer la majeure partie de sa jeunesse.

Mais avant,  le vendredi 5 Avril 2019, la salle balafon du Sofitel  l’hotel Ivoire  a accueilli la session du ” Africa/Europe High Level Group”. Ce groupe de réflexion de haut niveau Afrique/Europe  regroupe des élites européennes et africaines. C’est la troisième réunion de ce groupe de haut niveau qui a pour vocation de se réunir régulièrement autour de questions liées aux enjeux politiques, économiques et sociales du continent et les priorités à mettre en œuvre pour faire le réel diagnostic de la migration irrégulière dans un contexte socioéconomique africain qui peine à employer la majeure partie de sa jeunesse. L’objectif de ce panel  rst de trouver des mecanismes de  coopération entre l’Europe et l’Afrique. Et voir comment l’Europe peut aider l’Afrique et vice versa afin d’impacter au mieux les priorités de coopérations bilatérales et ainsi anticiper dans la quête de solutions aux questions de l’employabilité, migration, développement durable, changement climatique.

 Notons que le vendredi 5 avril a eu lieu le  Leadership Ceremony, soirée d’hommages en mémoire de   Kofi Annan.

Le forum  Ibrahim Governance Week s’est achèvé ce dimanche 7 avril sous des notes musicales au Palais de  la culture de Treichville à Abidjan , où des artistes de renoms comme Fally Ipupa et  Youssou N’Dour ont donné  un concert dans la  soirée.

Exclusif Mali : L’ancien ministre malien des Finances, Mamadou Igor DIARRA promu Directeur Régional des filiales Bank Of Africa UEMOA.

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Un nouveau tournant dans la carrière professionnelle du banquier malien Mamadou Igor DIARRA. Après avoir occupé des fonctions ministérielles au Mali et dirigé la filiale sénégalaise du Groupe bancaire marocain BMCE, il vient d’être promu Directeur Régional des 8 filiales Bank Of Africa-UEMOA. Du coffre en tuile.

Exclusif  le banquier Mamadou Igor Diarra, qui a dirigé la filiale sénégalaise de mars 2016 à février 2018, avant de se lancer dans la course présidentielle au Mali, prend du galon. Selon des sources autorisées parvenues à Confidentiel Afrique, l’ancien ministre malien des Finances et de l’Économie, est promu au stratégique poste de Directeur Régional des 8 filiales BOA UEMOA (Bank Of Africa, Groupe BMCE). Cette position d’une prééminence sans précédent traduit la confiance et la reconnaissance des hauts dirigeants bancaires marocains à l’endroit du malien Igor DIARRA. Selon des informations exclusives obtenues par Confidentiel Afrique, le tout nouveau Directeur Régional des filiales BOA-UEMOA va coordonner à compter de ce lundi 8 Avril 2019 à Dakar (Sénégal) la team des 8 Directeurs généreux des filiales, autour d’un séminaire de redéploiement stratégique et d’impulsion inclusive des atouts de ces filiales.

Dans les milieux financiers, Mamadou Igor DIARRA est présenté comme un puriste et performer qui aime les gros challenges. Son nouveau poste répond bien à son profil. Car, ce banquier émérite tient les cartes en main et fera bouger les lignes à grande vitesse. Signzlons que sur les 8 filiales de BOA de la Zone Uemoa, seule la filiale du Togo n’est pas toujours cotée à la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières d’Abidjan.

 Ismael AIDARA

Source : Confidentiel Afrique

Urgent: La Côte d’Ivoire va intervenir militairement au Mali

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Alors que le renouvèlement de la mission des nations unies au Mali est en discussion à l’ONU, la côte d’Ivoire se prépare à y participer avec l’envoi prochain de 650 soldats.

La Côte d’Ivoire va envoyer des soldats au Mali pour renforcer les rangs de la MINUSMA. Environ 650 casques bleus ivoiriens vont grossir les rangs de la mission de maintien de la paix au Mali. Ces soldats ivoiriens seront envoyés à Tombouctou dans le nord de ce pays en proie à des attaques terroristes et autres groupes armés. Pour s’assurer de la conformité de ses casques bleus, une mission d’inspection des hommes et du matériel est en cours depuis quelques jours, par des experts de l’organisation des nations unies, en Côte d’Ivoire.

Devant le ministre ivoirien de la défense, Hamed Bakayoko, Van Roosen, Général de division adjoint attaché de défense à l’Onu et chef de la délégation a indiqué quel « l’équipe d’experts des Nations-Unies a évalué de manière positive le bataillon pilote projetable avec les équipements aux standards onusiens avec un entrainement qui, également, concerne les supports de la paix. J‘espère que cette évaluation sera un succès. Tout le personnel également était très motivé pour le test que nous avons fait ».


Pour le ministre de la défense, c’est « un repère important pour nous de savoir que nos forces ont un niveau de formation et d’équipement qui sont d’un standard des nations Unies. Nous avons eu un bel échange et j’espère que cette mission sera couronnée de succès et la Côte d’Ivoire pourra bientôt faire partie des pays qui contribuent aux forces qui maintiennent la paix dans les théâtres d’opération où cela est nécessaire ». Il a aussi indiqué que cette participation de la Côte d’ivoire à l’opération de maintien de la paix à Tombouctou est une opportunité pour évaluer la performance militaire de la Côte d’Ivoire.

Zangouna Koné

Source : PressTV

Peuple du Mali: « Ils disent qu’ils se sont réveillés maintenant ». Eh bien, c’est cela le drame » Sambou Sissoko

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« Ils disent qu’ils se sont réveillés maintenant ». Eh bien, c’est cela le drame ! Depuis tout ce temps le peuple malien dormait-il encore? Non ! Il est sous l’emprise d’une drogue plus puissante que la cocaïne : la RELIGION.
Les mêmes religieux qui nous font endormir la conscience ne peuvent pas subitement décider de nous réveiller maintenant pour servir notre intérêt à nous. Si tel est le cas pourquoi ils ne l’ont pas fait bien avant ce jour-ci ?
Le pouvoir quelque soit sa nature est avant tout une affaire d’Élite et de basse classe. Cela n’a pas commencé avec le régime IBK & CO et cela ne prendra pas fin après l’accession au pouvoir des « protégés » de Mahmoud Dicko et de Bouyé Haidara.
Ce que je crains pour mon peuple c’est de ne pas connaître le même sort que la colonie de tous ces « djihadistes » à qui on promet le paradis en exploitant leur situation de pauvreté avant de les utiliser un à un comme kamikaze dans des attentats. Chaque attentat sera ensuite revendiqué par leurs bourreaux afin de se construire un paradis terrestre ou de préserver celui dans lequel ils sont en train de vivre.
Malheureusement depuis toujours tel est le sort réservé par le SYSTÈME au peuple : suivre ou périr…

Sambou Sissoko

Source : Croissanceafrique.com

David MALPASS nommé au poste du président du Groupe de la Banque mondiale pour un mandat de 5 ans

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Les Administrateurs de la Banque mondiale ont décidé aujourd’hui à l’unanimité de nommer David R. Malpass au poste de président du Groupe de la Banque mondiale pour un mandat de cinq ans à compter du mardi 9 avril 2019. Le Conseil des administrateurs a exprimé sa profonde reconnaissance à la présidente par intérim, Kristalina Georgieva, pour le dévouement et le leadership dont elle a fait preuve durant ces derniers mois.

Les Administrateurs ont suivi la procédure de sélection convenu en 2011. Cette procédure comporte plusieurs volets : un système de candidature ouvert selon lequel n’importe quel Administrateur ou Gouverneur (par l’intermédiaire d’un Administrateur) peut soumettre la candidature de tout ressortissant d’un État membre de la Banque, puis l’organisation d’un entretien exhaustif entre le candidat David R. Malpass et les Administrateurs.

Le Conseil des Administrateurs travaillera avec M. Malpass à la mise en œuvre de la Vision (a) du Groupe de la Banque mondiale et de l’accord sur le capital tel qu’il est défini dans le Document sur le financement durable du développement durable (a). 

M. Malpass a précédemment exercé les fonctions de sous-secrétaire chargé des affaires internationales au Trésor américain. À ce titre, il a représenté les États-Unis sur la scène internationale à l’occasion de divers événements : réunions du G7 et du G20 à l’échelon des adjoints des ministres des Finances ; Assemblées annuelles et Réunions de printemps de la Banque mondiale et du FMI ; réunions du Conseil de stabilité financière, de l’Organisation de coopération et de développement économiques et de la Société américaine de promotion des investissements privés à l’étranger (OPIC).  

En tant que sous-secrétaire, M. Malpass, a joué un rôle crucial dans plusieurs grandes réformes et initiatives concernant le Groupe de la Banque mondiale, notamment la récente augmentation du capital de la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD) et de la Société financière internationale (IFC). David R. Malpass, en outre, a contribué à faire progresser l’Initiative sur la transparence de la dette — adoptée par la Banque mondiale et le FMI —, dont l’objectif consiste à accroître la publication d’informations sur la dette en vue de réduire la fréquence et la gravité des crises d’endettement.       

Avant d’être nommé sous-secrétaire au Trésor, M. Malpass a travaillé comme économiste international et a fondé un cabinet de recherche macroéconomique à New York. Auparavant, il avait exercé les fonctions de Deputy Assistant Secretary of the Treasury chargé des pays en développement et deDeputy Assistant Secretary of State délégué aux affaires économiques latino-américaines. À ces postes, il s’est concentré sur un éventail de questions économiques, budgétaires et diplomatiques, notamment la participation des États-Unis aux activités des institutions multilatérales, dont la Banque mondiale. 

Par ailleurs, M. Malpass a siégé au conseil d’administration de diverses organisations telles que le Council of the Americas, l’Economic Club of New York et le National Committee on US–China Relations. Il est titulaire d’une licence du Colorado College et d’une maîtrise en administration des affaires (MBA) de l’université de Denver. Il a entrepris des études supérieures d’économie internationale à la School of Foreign Service de l’université de Georgetown.

Le président de la Banque mondiale préside les Conseils des Administrateurs de la BIRD et de l’Association internationale de développement (IDA). Il préside aussi es qualités le Conseil d’administration de l’IFC et celui de l’Agence multilatérale pour la garantie des investissements (MIGA), ainsi que le Conseil administratif du Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI).

Daouda Bakary KONÉ

Source : Croissanceafrique.com