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CEDEAO: « Consensus » autour du nom de la monnaie unique

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APA-Abidjan (Côte d’Ivoire)

Un « consensus » s’est dégagé, mardi à Abidjan, sur la dénomination de la monnaie unique de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), à l’issue d’une réunion des ministres des Finances et des gouverneurs des banques centrales de la région.

« Il y a eu un consensus autour d’un nom et c’est ce consensus qui va être porté à la connaissance des chefs d’États qui auront à décider» à l’occasion d’un Sommet à Abuja fin juin 2019, a dit à la presse le ministre ivoirien de l’Économie et des finances, Adama Koné, en marge de la clôture de la session.

Selon le projet de rapport consulté par APA, « à l’issue des échanges, un consensus s’est dégagé sur la dénomination ECO comme monnaie unique de la CEDEAO. Toutefois, un accord n’a pu être trouvé pour le symbole. A cet égard, il a été recommandé d’approfondir les réflexions sur le symbole associé au nom ECO ».

Concernant le nom de la monnaie unique, la réunion a été informée que le Groupe de travail sur le nom et le symbole, a « retenu trois noms pour la monnaie unique de la CEDEAO sur un ensemble de 13 propositions soumises à son appréciation ».

Par ordre, les noms proposés sont « ECO (1), AFRI (2) et KOLA (3) », souligne le projet de rapport qui mentionne que « les choix de ces noms ont été opérés sur la base des critères pondérés préalablement définis », prenant en compte l’identité de la CEDEAO (40%), la signification (25%), la facilité de prononciation (20%) et la créativité (15%).

Interrogé, le président de la Commission, Jean-Claude Brou, a relevé que les ministres ont, au cours de la rencontre, « beaucoup insisté sur la convergence macroéconomique » au regard des tailles des différentes économies de la région.

La convergence, souligne-t-il, « dépend des efforts des pays et il y a des critères de premier rang et de deuxième rang » que les États membres de la CEDEAO « doivent continuer à respecter pour aller à cette monnaie unique ».

Évoquant la convergence macroéconomique 2018 de la Communauté, la réunion a noté que la région a enregistré « une croissance de 3,0% en 2018 contre 2,3% en 2017. Elle devrait connaître une croissance de 3,4% en 2019 ».

Le rapport fait, en outre, état de ce que les performances des Etats membres sont restées relativement stables par rapport à celles de 2017. Quant aux performances au niveau des critères primaires en 2018, il ressort que « la situation s’est détériorée pour le critère du déficit budgétaire ».

Pour le critère du déficit, « cinq pays respectent la norme contre sept en 2017. Par contre, l’on note des améliorations en termes de conformité aux critères relatifs à l’inflation et au financement du déficit budgétaire par la banque centrale avec un pays supplémentaire, portant respectivement à 12 et à 14 le nombre total de ces pays qui respectent ces critères », poursuit le rapport.

La performance concernant le critère des réserves brutes en mois d’importations est, quant à elle, « restée stable en 2018 avec quatorze pays comme en 2017 ». Celle au titre des critères secondaires en 2018 s’est améliorée en termes de stabilité du taux de change nominal.

S’agissant de la conformité au critère de la dette publique, « la situation est demeurée inchangée avec douze pays respectant la norme en 2017 et 2018», poursuit le document.

Cette réunion de la Commission de la CEDEAO, tenue du 17 au 18 juin 2019, avait pour objectif d’examiner les rapports du Comité technique tenu du 13 au 15 juin 2019, du Groupe de travail sur le régime de change, le cadre de politique monétaire, le nom et le symbole de la monnaie unique.

La rencontre a réuni les gouverneurs des banques centrales de la BCEAO, de la Banque centrale de la Guinée (BCRG), la Banque centrale du Ghana (BoG), la Banque centrale de la Gambie (CBG), la Banque centrale du Libéria, la Banque centrale du Nigeria (CBN) et la Banque centrale de la Sierra Leone (BSL).

Par croissanceafrique.com

Mali, rentrée politique de l’ASMA à Segou : Une remobilisation pour les échéances électorales futures!

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La rentrée politique du parti ASMA s’est tenue hier dans la capitale de la 4ème région, Ségou. Elle était placée sous la présidence de Soumeylou Boubeye Maïga, président du parti. D’abord, nos sources ont constaté une exhibition des véhicules V8 neufs dans le cortège de l’ancien Premier Ministre, une douzaine selon la même source.

Selon les confidences de certains militants, les dépenses de la rentrée politique auraient vu la participation et l’implication d’un opérateur économique Ibrahim Doucoure.
Nos réseaux discrets ont aussi rapporté que la majorité des participants ont quitté Bamako pour participer à l’ événement. La mobilisation des Segoviens semblerait minime

Des forces de l’ordre ont escorté le convoi du Tigre. La pluie ,suivie d’un vent violent, a provoqué une tempête de sable qui a quelque peu perturbé les travaux de cette rentrée politique.

Plusieurs annonces de coalition avec l’ADEMA en particulier pour les échéances électorales à venir. Des piques auraient été lancées aux détracteurs du parti et de son président. Il s’agirait de Mahamoud Dicko et des opposants qui auraient torpillé les efforts de Soumeylou Boubeye.

Des visites ont été rendues dans huit (08) familles dans la ville dont celles de Simaga et Doucoure, l’opérateur Économique qui est à remercier. Selon des recoupements effectués, le président de l’ASMA, pendant ses visites aux notabilités, se serait confié aux Segoviens. Il se considèrerait comme ressortissant de cette ville autant que celle de Gao à cause de son amour pour la région de segou.

Deux équipes de l’ORTM ont couvert l’événement sous la vigilance de la police qui a interrompu la circulation pendant le passage de la délégation.

Source: Figaro du Mali

CEDEAO: Le Groupe de travail sur le nom et le symbole de la monnaie unique(AFRI, KOLA et ECO)

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Le groupe de travail a retenu trois noms pour la monnaie unique de la CEDEAO sur un ensemble de treize (13) propositions soumises à son appréciation.

Par ordre, les noms proposés sont : 1) ECO, 2) AFRI et 3) KOLA. Les choix de ses noms ont été opérés sur la base des critères pondérés préalablement définis, à savoir : i) Identité de la CEDEAO (40 %) ; (ii) Signification (25%) ; iii) Facilité de prononciation (20%) ; et iv) Créativité (15%). De même, les symboles associés à chacune des trois propositions de nom ont été présentés.

Notons les travaux du groupe de travail s’est deroulé à Abidjan, les 17 et 18 juin 2019.

Aissatou Traoré

Source : croissanceafrique.com

Mali: IBK, reçoit le Triumvirat du dialogue politique inclusif

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Le Président de la République, Chef de l’Etat Son Excellence Monsieur Ibrahim Boubacar Keita, a reçu en audience dans l’après-midi du samedi 22 juin 2019 , les membres du Triumvirat chargés de conduire le dialogue politique inclusif au Mali et Son Excellence l’Ambassadeur Cheick Sidi Diarra , président du comité d’organisation qui va assurer la préparation matérielle et scientifique du dialogue politique. C’est la première fois que le Chef de l’Etat reçoit ces 4 grandes personnalités de notre pays ensemble depuis leur nomination le 7 juin 2019 lors d’un Conseil des ministres extraordinaire. La rencontre a eu lieu à la Villa des Hôtes du Mali , Ex-Base B.

Le dialogue politique inclusif portera sur l’ensemble des sujets d’intérêt national notamment les réformes institutionnelles, les réformes politiques, les réformes institutionnelles et Sécuritaires, le nouvel élan accélérateur du processus de mise en œuvre de l’Accord pour la paix et la réconciliation nationale issu du processus d’Alger et signé à Bamako. 

La situation générale dans notre pays évolue dans le sens de l’apaisement social et politique. Avec sa main tendue à tous ses frères , camarades politiques de tous bords et en appelant au sursaut national pour régler définitivement les nombreux problèmes auxquels notre pays est confronté , le Président de la République entend trouver une solution définitive participative , pour le retour rapide du Mali dans le concert des nations . 

Pour rappel les personnalités chargées de conduire le processus du dialogue politique inclusif sont : le Pr Baba Akhib HAIDARA, Médiateur de la République ; Ousmane Issoufi MAIGA, ex Premier ministre et Aminata Dramane TRAORE, ex ministre et Son Excellence l’Ambassadeur Cheick Sidi Diarra du Comité d’organisation pour la préparation matérielle et scientifique du dialogue politique.

L’audience s’est déroulée en présence du Premier ministre , Chef du gouvernement, du Ministre de l’Administration territoriale et de la décentralisation, du Ministre Secrétaire Général de la Présidence de la République, du Chef de Cabinet du Président de la République .

Cellule de Communication et des Relations Publiques de la Présidence de la République

Mali: IBK rencontre son Haut Représentant pour le Centre du Mali.

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« Lorsque le Mali me fait appel , je réponds » dixit Dioncounda Traoré

Le Président de la République, Chef de l’Etat Son Excellence Monsieur Ibrahim Boubacar Keita, a reçu en audience en début de soirée du samedi 22 juin 2019 , l’ancien Président de la Transition, le Professeur Dioncounda Traoré nommé Haut représentant du Président de la République pour le Centre.

Venu échanger pour la première fois avec le Chef de l’Etat depuis sa nomination à ce poste , le Haut représentant du Président de la République à sa sortie d’audience a mesuré à la fois l’importance et la difficulté de la tâche à lui confiée par IBK: « J’ai été honoré d’être choisi pour mener à bien cette mission; du fait qu’elle est difficile, on me fait appel à moi, c ‘est probablement dû à la qualité. Mais au-delà de cela, je reçois la mission avec humilité mais aussi avec beaucoup de détermination , avec bonne volonté . J’espère contribuer à la résolution de ce problème au Centre du Mali
avec l’accompagnement de chaque Malien, de chaque Malienne parce que mon pays aujourd’hui a besoin de ça . Donc c’est une lourde tâche. Je disais tout à l’heure à mon frère Président que j’avais pensé que désormais j’allais passer le reste de ma vie dans le confort….mais lorsque lui me fait appel, je réponds et lorsque le Mali fait appel à moi je réponds ». A évoqué le Prof Dioncounda Traoré.

L’audience s’est déroulée en présence du Premier ministre, du ministre de l’administration, du ministre secrétaire général de la Présidence de, du Chef d’état major particulier du président de la République, du Chef de Cabinet du Président de la République.

Cellule de Communication et des Relations de la Présidence de la République

Sénégal :Le Directeur régional Afrique subsaharienne de Qnet arrêté

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Il y a du nouveau dans l’affaire d’escroquerie à Qnet, entreprise spécialisée dans la vente en ligne. Les deux représentants de l’entreprise malaisienne, B. Fall et M.Seck ont été arrêtés et mis en garde-à-vue hier jeudi 20 juin 2019.

Ceci fait suite à une série de plaintes d’étudiants qui ont été roulés dans la farine. La plupart ont été escroqués entre 500 000 et 3 000 000 francs Cfa.

Depuis la première vague d’arrestations, le responsable de Qnet à Thiès et détenteur de deux nationalités, malienne et sénégalaise, avait complètement disparu des radars. Il aura fallu un coup de chance aux limiers du commissariat des Parcelles Assainies et une course-poursuite digne des films de western dans les rues de Thiès, avant de mettre la main sur les deux responsables qui tentaient de s’évader, rapporte seneweb.com.

Rien que la date du 20 juin selon le selon notre source, 10 plaintes ont atterri sur la table du commissaire. La semaine dernière, 22 personnes ont été interpellées, 12 d’entre elles ont été placées sous mandat de dépôt. La liste est loin d’être exhaustive puisque d’autres responsables sont dans la ligne de mire des limiers…

Seneweb.com

Air Côte d’Ivoire: Du vol à deux doigts, l’indignation d’un passager entre Abidjan et Bamako

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Temoignage de la victime

« A tous les passagers de Air côte d’ivoire, je viens de vivre une situation qui mérite d’être partagée.

J’ai quitté Abidjan ce jour, 21 juin 2019, à bord du vol HF 710 en destination de Bamako. Arrivé à Bamako aux alentours de 13h30, je me suis plié aux formalités comme tous les autres passagers. De l’aéroport, je me suis rendu directement à mon bureau. En voulant récupérer mon disque dur dans le sac, j’ai été au regret de constater que 3 de mes 4 disques durs avaient été enlevés. Les 3 disques durs volés représentent 10 années de travail et d’archives.

Ayant constaté le vol, je me suis rendu systématiquement à l’aéroport. Il s’est avéré, qu’en vertu d’un accord dit de Varsovie, que la réclamation n’était plus valable dès lors que le plaignant a quitté l’aéroport.

La valeur de ces disques durs est inestimable. Vous êtes nombreux à avoir certainement vécu la même chose que moi. Les vols de bagages se font récurrents. Tout le monde en parle, mais les réponses des compagnies (si elles existent) restent en deçà des attentes. Pire, elles se cachent derrière des réglementations internationales méconnues des usagers. Cela n’est pas normal.

Ma réclamation n’a pas été acceptée par les agents en charge des réclamations à l’aéroport de Bamako pour la simple raison que j’ai quitté l’aéroport. Il nous faut donc fouiller nos bagages dans un hall d’aéroport pour être sur que tout y est.

Donc, nous payons nos billets de bonne foi, acceptons tous les caprices de ces compagnies aériennes (les nombreux retards de Air Côte d’Ivoire entre autres), il nous faut en plus jouer la police après avoir confié nos affaires à ces compagnies. Nous respectons notre part de contrat sans sourciller et nous devons nous inquiéter de la sécurité de nos biens à chaque voyage?

A la réaction du Chef d’escale de Air Côte d’Ivoire de Bamako, alerté par le biais d’un agent de police en poste à l’aéroport de Bamako, le système indique implicitement qu’il reviendrait à tous les passagers, une fois en possession de leurs bagages à l’arrivée, de fouiller l’intérieur et s’assurer que des personnes de mauvaise foi, sous la responsabilité des compagnies que nous payons, n’ont pas enlevés nos affaires. Ce n’est pas juste.

Nos compagnies ne peuvent pas nous imposer des tarifs et normes de fonctionnement internationaux et ne pas assurer le service qui va avec. Sans tomber dans le comparatisme béat et naïf, il est très rare d’atterir sous d’autres cieux et d’avoir pour premier réflexe l’inquiétude pour la sécurité de ses biens.

Personnellement, j’engage la responsabilité de la compagnie Air côte d’ivoire. J’invite toutes les personnes ayant vécu la même situation à nous constituer en groupement afin d’avoir gain de cause. Mes disques durs représentent mon passé et mon avenir. Je ferai tout ce que je peux pour les récupérer. Au-delà, je ferai tout pour que d’autres personnes ne vivent pas la même mésaventure.

Aussi, j’invite les passagers à faire preuve de vigilance. Le système de voyage dans nos pays africains nous fait croire que la sécurité de nos bagages passe par l’emballage ou la fermeture systématique. Ces moyens doivent être des gages d’optimisation sécuritaire et non une obligation. La sécurité des bagages est d’abord et avant tout la responsabilité de la compagnie. Nous ne devons plus laisser les compagnies ou nos administrations aéroportuaires justifier la perte des bagages par le fait qu’elles n’auraient pas de contrôle sur leurs agents.

J’engagerai la responsabilité de Air Côte d’ivoire pour tenter de récupérer mes disques durs. Ensemble, engageons la responsabilité de Air Côte d’ivoire pour mettre fin à ces pratiques indignes d’une compagnie crédible ».

Fousseyni Maiga
Passager Air Côte d’ivoire
Par croissanceafrique.com

Mali : 40 millions engagés pour implorer Dieu!

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Ce samedi 22 juin 2019, selon des sources concordantes au ministère des cultes du Mali ,756 séances de prières collectives auraient eu lieu à Bamako et dans toutes les régions du Mali, excepté Kidal.

Ces prières s’inscrivent dans la droite ligne de l’initiative du bureau exécutif national du Haut Conseil Islamique du Mali afin qu’il y ait une bonne pluviométrie et surtout un retour définitif de la paix.

Nous avons évoqué hier ces prières dans une de nos publications avec des bénédictions pour le repos de l’âme des disparus. Selon ces mêmes sources concordantes, ces journées de prière (vendredi 21 Juin et samedi 22 Juin) auraient coûté 40 millions de FCFA.

Au Mali, comme partout ailleurs, toute peine mérite salaire. Que Dieu agrée ces prières! Déjà ce samedi, de fortes pluies se sont abattues sur la capitale et ses environs, à Koulikoro et à Sikasso selon d’autres sources locales.

Source : Figaro du Mali

Mali: Autonomisation de la Femme et de la Fille

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«  »Chose promise, chose dûe » », C’est enfin disponible le Fonds d’Appui à l’Autonomisation de la Femme et de la Fille (FAFE)

Cest ce vendredi 21 Juin 2019 dans la salle polyvalente du Ministère de la Promotion de la Femme, de l’Enfant et de la Famille qu’a eu lieu le lancement des activités des ONG et Systèmes Financiers Décentralisés partenaires dans le cadre du partenariat avec le FAFE.

Pour rappel le 8 mars 2018, le President de la République Elhadj Ibrahim Boubacar KEITA a annoncé une enveloppe de 1 milliard pour l’Autonomisation de la Femme.
Apres les mots de bienvenu de la Directrice du FAFE, la parole a été donnée aux bénéficiaires qui n’ont pas tari d’éloges envers Madame le Ministre pour sa disponibilité à chaque sollicitation et surtout son implication pour l’autonomisation de la femme.

Madame Kante Fatoumata Diancoumba Directrice du FAFE dans son intervention a rappelé les objectifs spécifiques visés par par la signature des conventions avec les ONG et les SFD qui sont :
Créer un partenariat avec les ONG de proximité afin d’assurer l’appui/conseil, le renforcement de capacités et l’accompagnement des organisations œuvrant pour la promotion de la femme et l’épanouissement de l’enfant ainsi que les PME/PMI;
Assurer l’animation des différentes activités à mener;
Assurer le suivi des différents bénéficiairespendant et après les activités;
Créer un cadre opérationnel de partenariat entre.le FAFE et les ONG à différents niveaux d’intervention

Madame Diakite AissataTRAORE n’a depuis ménagé aucun effort pour que les fonds soient disponible afin que les femmes prennent leur destin en main et conformément à la misson que lui a assigné le PR IBK, mission traduite en plan d’action gouvernementale sous le leadership bien sûr du Premier Ministre Dr Boubou CISSE.
Et Madame le Ministre n’a pas manqué de notifier aux 14 ONG et aux 2 Systemes Financiers Décentralisés quel prix elle attache à la bonne exécution.

Selon Madame.le.Ministre Dr Diakite Aissata TRAORÉ, c’est conformément aux recommandations de la 6ème réunion du Comite de pilotage, instance de décision et d’orientation du FAFE tenue le 23 mars 2018 qu’il a été établi des conventions de partenariat avec les partenaires d’exécution pour la.mise en œuvre des activités de renforcement de capacités et de réinsertion socioéconomique des groupe cibles du FAFE.
« Ces conventions ont pour objet de rendre le fonds accessible, de façon équitable, aux organisations et membres des organisations œuvrant pour la promotion de la.femme.et l’épanouissement de l’enfant, répondant aux critères définis par le FAFE et ayant sollicité son appui technique et ou matériel » dit Mme le Ministre.
Cest une photo de famille et des poignées de main.entre Madame.la Ministre et les représentants des ONGs venus de toutes les régions du pays qui met fin à cette cérémonie de lancement des activités.

Maimouna Traoré,
Touré Hamidou Elhadji
Malimedias.com

Mali: Premier Déjeuner de Presse entre le Ministre de la Communication, Chargé des Relations avec les Institutions, Porte-Parole du Gouvernement.

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Le samedi 22 juin 2019, le Ministre de Communication, Chargé des Relations avec les Institutions Porte-Parole du Gouvernement, Monsieur SANGARE a rencontré les patrons de la presse écrite et audiovisuelle, les présidents d’associations de bloggeurs, de la presse en ligne, de la presse écrite et audiovisuelle, et les influenceurs des médias sociaux, pour échanger autour d’un déjeuner de presse sur la situation sécuritaire et son contexte actuel et le rôle de la presse dans l’apaisement et la cohésion sociale du pays en cette période de crise.

Dans son intervention, le Ministre a expliqué qu’en ces moments de dures épreuves imposées à notre pays et à son peuple, qu’il est important pour la presse écrite et audiovisuelle, les bloggeurs, les influenceurs des médias sociaux, les communicateurs traditionnels et toutes les bonnes volontés de traiter les informations avec plus de professionnalisme, dans le respect de l’éthique et de la déontologie.

Loin d’être une censure de la presse, le Ministre SANGARE a invité ses hôtes à s’auto censurer sur toutes les actions visant à saper le moral des FAMA au front et à plutôt mettre en exergue leurs succès que leur faiblesse en vue de doper leur moral. Le Ministre a appelé ses confrères à plutôt compatir à la douleur de ceux qui ont perdu des proches et à œuvrer pour la cohésion sociale et le vivre ensemble caractéristique de notre pays.

Il les a exhorté à toujours vérifier les informations avant leur diffusion au grand public, à éviter à tout prix de partager les images qui peuvent heurter la sensibilité du public. Il les appelle à ne pas toujours relayer toutes les informations trouvées sur les réseaux sociaux, car certaines non vérifiées sont pour la plupart des fakes news qui désinforment plutôt qu’elles n’informent.

Il a rappelé que l’histoire de certains pays en Afrique doit nous servir de leçon, car dans ces pays il y a eu des médias qui ont contribué a attisé la haine et conduire au génocide qui conduit dans ces pays à la guerre civile et communautaire. Nous devons tout faire pour que cela n’arrive pas dans notre pays.

Son intervention a pris fin sur les réformes institutionnelles courant 2019 et le dialogue social inclusif dont les personnalités pour conduire ce dialogue viennent d’être désignées. Le Ministre a conclu son exercice en rassurant les hommes de médias que les portes de son département leur seront toujours ouvertes et qu’il œuvrera pour que cela soit de même pour les autres départements.

Daouda Bakary KONE

Source: croissanceafrique.com