Dans la panoplie des mets préférés des jeûneurs, le quinqueliba et les dattes occupent une bonne place !
Le quinqueliba est une
plante originaire du Sahel. On le retrouve principalement au Sénégal au Mali et
au Soudan.
La tisane du quinqueliba
est bien appréciée par les Maliens surtout pendant ce mois de ramadan. Si
certains en raffolent à cause de ses vertus, d’autres la consomment parce
qu’elle est à la portée de tous.
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Réputé pour ses propriétés diurétiques et digestives le quinqueliba
est très sollicité en ce mois de ramadan pour la rupture du jeûne. Si
elle est très prisée des jeûneurs, cette tisane est aussi recommandée en
dehors du mois de ramadan. Pendant cette période du jeûne il est
aisément associé à d’autres plantes comme la citronnelle et la menthe.
Mariam Diarra commerçante
grossiste au marché « Sougouni koura » affirme que le marché de la
tisane est très florissant pendant ce mois béni. Elle ajoute qu’il lui arrive
d’en vendre 20 sacs par jour, au prix de 10 000 F CFA l’unité. Sur les petits
marchés, les commerçants de détails vendent en petits sachet au prix de 25 à 50
F CFA.
Les dattes sont des fruits très riches en énergie, elles contiennent
de nombreuses vitamines. Durant ce mois, elle accompagne le quinqueliba
au moment de la rupture du jeûne, grâce à ses fibres qui aident à
réguler le transit intestinal et à lutter contre la constipation, elle a
du succès chez les jeûneurs.
« A la rupture, le
premier aliment après le quinqueliba est la datte car c’est un aliment complet
en énergie et vitamine et aussi elle facilite la digestion », souligne
Lamine Coulibaly, chef de famille.
Pendant cette période de
ramadan, l’organisme s’adapte avec quelques difficultés au nouveau régime
alimentaire.
Aïchatou Konaré
Mali Tribune du mardi 21 mai 2019 par Mali-30minutes.net
Communiqué APPEL Mali L’Association des Professionnels de la Presse en Ligne au Mali (APPEL Mali) constate avec regret des dérives sur certains sites d’information. Ces medias en ligne, pour la plupart non encore enregistrés dans le registre officiel de Appel Mali, travaillent dans l’amateurisme total, en faisant fi de toutes règles d’éthique et de déontologie édictées par la profession. APPEL-Mali rappelle que les professionnels des médias en ligne comme tout autre journaliste, doivent strictement respecter les règles de conduite, indispensables à la bonne pratique de sa mission d’informer, de sensibiliser et contribuer à l’équilibre de la société. APPEL Mali ne se reconnait pas dans les publications des éditeurs de medias en ligne, ne respectant pas l’éthique et la déontologie. APPEL-Mali rappelle que la situation sécuritaire et politique du Mali reste encore fragile. APPEL-Mali invite les professionnels des médias en ligne à s’abstenir de publier des informations à caractère tendancieuses ; susceptibles de nuire à la cohésion de notre société, déjà soumise à rude épreuve. APPEL Mali, une fois de plus, rappelle le gouvernement sur la nécessité de règlementer le secteur des medias en ligne ; gage d’une bonne organisation pour plus de responsabilité. « En attendant, APPEL Mali appelle les journalistes en ligne à l’auto régulation et au respect strict de l’éthique et de la déontologie », dit-il.
Bamako, le 21 mai 2019 Le Président de l’APPEL Modibo L Fofana
En visite officiel de travail aux Emirats Arabes Unis, le Premier ministre, Chef du gouvernement a rencontré ce lundi matin la Ministre de la Coopération internationale Madame Reem Ibrahim Al Hashimi. Cet échange avait pour objectif d’approfondir les relations économiques et d’investissement à la hauteur des relations d’amitié et de coopération entre les deux pays.
Par la suite, le Premier ministre, Dr Boubou CISSE a été reçu au siège du Fonds Khalifa pour le Développement de l’Entreprise par le Président du Conseil d’Administration M. Husain Al Nowais.
Les deux personnalités ont signé l’accord définitif de financement d’un montant de 25 millions de Dollars US soit environ 14,2 milliards de FCFA destiné à la promotion de la culture d’entrepreneuriat chez les jeunes et les femmes, et à soutenir le secteur des PME/PMI dans les zones défavorisées du Mali particulièrement en milieu rural.
Dr Boubou CISSE et M. Husain Al Nowais ont par ailleurs discuté d’autres domaines potentiels de coopération notamment l’agriculture.
Dans l’après midi, le Premier ministre, Chef du gouvernement a été reçu en audience par le Prince héritier son Altesse Sheikh Mohammed Bin Zayed Al Nahyan au Palais d’Abu Dhabi.
Les deux hautes personnalités ont échangé sur la promotion et le renforcement des relations amicales et de coopération entre le Mali et les Emirats Arabes Unis. Les discussions ont porté également sur certains enjeux régionaux et internationaux dont le développement économique et la lutte contre le terrorisme. A la suite de cet entretien, le Premier ministre a signé trois accords de coopération entre le Mali et les Emirats Arabes Unis, en présence du Prince héritier.
Il s’agit du projet d’accord de coopération et d’assistance mutuelle en matière douanière, du projet d’accord de coopération dans le domaine culturel , du projet d’accord dans le domaine de la défense et de la sécurité, et du projet d’accord de coopération économique et technique entre le Mali et les Emirats Arabes Unis.
Le Prince héritier son Altesse Sheikh Mohammed Bin Zayed Al Nahyan et le Premier ministre, Chef du gouvernement, ministre de l’économie et des finances ont assisté à la conférence intitulée « l’importance de la relation stratégique entre les Émirats Arabes Unis et les États-Unis d’Amérique» animée par Jim Mathis, ancien Secrétaire américain à la défense au Palais d’Al Bateen.
La rencontre a pris fin par la rupture du jeûne et la prière du Maghreb.
20/11/15 - Bamako, Mali.Des militaires maliens (FAMA) sont positionnés tout autour de l'hôtel Radisson Blu.
Sept personnes, dont deux gendarmes et un douanier
maliens, ont été tuées dans la nuit de dimanche à lundi dans le sud du
Mali, lors d’une attaque au poste de Kouri, frontalier du Burkina Faso.
« Dimanche dans la nuit, le poste de Kouri a été attaqué
par des hommes armés. Deux gendarmes, un douanier et quatre civils, dont
deux Ghanéens, ont été tués », a affirmé un responsable de la police
locale sous couvert d’anonymat. Selon une autre source de sécurité,
« les assaillants sont arrivés sur trois motos, et à bord d’un
véhicule ».
« Ils ont tiré sur les gendarmes, les douaniers et des
civils chauffeurs de camion », a ajouté cette source, confirmant le
bilan de deux gendarmes et un douanier tués ainsi que quatre civils,
dont deux chauffeurs ghanéens. Confirmant l’information, un élu de la
localité a de son côté précisé qu’un des deux gendarmes tués était une
femme.
« On ne peut pas pour le moment se prononcer sur les assaillants. Ils
sont arrivés de deux côtés de la localité de Kouri. Nous n’avons pas
encore vérifié l’information, mais il auraient pris des rangers, des
chaussures de militaires, en partant », a ajouté cet élu.
Kouri est notamment un des lieux de passage des marchandises au départ ou à destination du Mali.
Le sud du Mali a commencé à être touché par les opérations jihadistes en 2015 à partir d’une série d’attaques près des frontières ivoirienne et burkinabè.
En février 2017, une religieuse colombienne, Gloria Cecilia Narvaez
Argoti, avait été enlevée à Karangasso, près de Koutiala (sud), à
proximité de la frontière avec le Burkina Faso, où elle travaillait
depuis six ans comme missionnaire.
En décembre 2018, les services de renseignements maliens ont annoncé
l’arrestation aux environs de Koutiala de quatre jihadistes présumés
originaires du Burkina Faso, un autre du Mali et un de Côte d’Ivoire,
soupçonnés de préparer des attentats dans ces trois pays.
Selon le renseignement malien, les quatre suspects avaient participé à
un double attentat le 2 mars 2018 à Ouagadougou, ainsi qu’à
l’enlèvement de la religieuse colombienne. Une source de sécurité dans
la capitale économique ivoirienne avait souligné que ces arrestations
résultaient de « l’excellente collaboration entre les différents
services malien, burkinabè et ivoirien », affirmant que la cellule avait
notamment « effectué des reconnaissances sur deux sites à Abidjan ».
Sylvestre Ilunga Ilunkamba a été nommé Premier ministre
lundi 20 mai. Le nouveau chef de l’État, Félix Tshisekedi, et son
prédécesseur, Joseph Kabila, dont le parti conserve la majorité au
Parlement, auront mis près de quatre mois à s’entendre sur le nom du
nouveau chef du gouvernement.
Les deux hommes tentaient en vain de s’accorder sur le profil du
nouveau chef du gouvernement, censé incarner le changement et la rupture
voulus par le nouveau président congolais, ainsi que par la population
et la communauté internationale.
Si la primature revenait de droit au Front commun pour le Congo (FCC)
de Joseph Kabila, majoritaire au Parlement, aucune des personnalités
précédemment proposées par Joseph Kabila n’avait été acceptée par Félix
Tshisekedi.
Je m’engage à mobiliser toutes les ressources nécessaires pour faire fonctionner la coalition au niveau du gouvernement
« Je considère ma nomination comme une lourde responsabilité, en ce
moment crucial de l’histoire de notre pays, et je m’engage à mobiliser
toutes les ressources nécessaires pour faire fonctionner la coalition au
niveau du gouvernement et à contribuer à l’amélioration du niveau de
vie des Congolais, dans la transparence et la bonne gouvernance », a
déclaré Sylvestre Ilunga Ilunkamba en direct à la RTNC, juste après
l’annonce de sa nomination.
Membre du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie
(PPRD), le parti de l’ex-président, Sylvestre Ilunga Ilunkamba est
considéré par ses proches comme un pro-FCC-Cach, la coalition formée
par Kabila et Tshisekedi.
Sylvestre Ilunga Ilunkamba, dont le nom a finalement fait consensus,
aurait notamment été soutenu par Me Nkulu Mitumba Kilombo, l’un des
juges qui siège à la Cour constitutionnelle, un pré carré de Joseph
Kabila.
Un membre du PPRD
Originaire de l’ex-province du Katanga, le nouveau Premier ministre a
occupé différents postes ministériels. Vice-ministre à l’Économie, à
l’Industrie et au Commerce extérieur de 1981 à 1983, Sylvestre Ilunga
Ilunkamba avait également été nommé vice-ministre du Plan puis du
Portefeuille (1983-1984).
Directeur général de la Société nationale des chemins de fer du Congo
(SNCC) depuis mars 2014, Sylvestre Ilunga Ilunkamba est également
docteur en Sciences économiques appliquées depuis 1979 et dispense des
cours, notamment à l’Université de Kinshasa. Il a ensuite été tour à
tour directeur de cabinet du ministre du Plan puis directeur de la
coopération et des relations internationales au rectorat de l’Université
nationale de Zaïre (UNAZA), de 1980 à 1981.
Quatre mois de négociations
Félix Tshisekedi et Joseph Kabila ont opté pour une coalition
gouvernementale au sein de laquelle le FCC de l’ancien président
conserve la haute main sur de nombreux pans du pouvoir, du Parlement aux
assemblées provinciales en passant par les gouverneurs de provinces et
l’appareil sécuritaire.
Joseph Kabila aura tenté, en vain, d’imposer Albert Yuma,
le président du conseil d’administration de la Gécamines. Mais celui-ci
a été récusé par le nouveau chef de l’État et par une grande partie de
la communauté internationale, qui voyait en lui l’incarnation d’une
continuité du système Kabila.
D’autres noms, comme celui du ministre sortant des Finances, Henri Yav Mulang, et de l’ancien conseiller en matière de sécurité de Joseph Kabila, Jean Mbuyu, ont été rejetés après des conflits internes au sein même du FCC. Modeste Bahati Lukwebo, actuelle « autorité morale » de l’Alliance des forces démocratiques du Congo (AFDC, deuxième force politique au sein du FCC) et ministre du Plan du gouvernement sortant, revendiquait également la primature.
Le Mali à l’instar de la communauté internationale célébrè la journée internationale de la métrologie. Cette célébration se tient au moment ou le Mali s’apprête à procéder une reforme importante dans le secteur de la métrologie. C’est pourquoi, une agence a été créée pour s’occuper spécialement au secteur du commerce, de la consommation et de concurrence afin de pouvoir relever le défis de la métrologie dans notre pays. Cette rencontre est organisée par l’agence Malienne de la Métrologie, structure affiliée au ministère du commerce et de l’Industrie. C’était en présence du directeur Général du commerce, de la consommation et de la concurrence M. Boucadary DOUMBIA et celui de l’agence Malienne de la Métrologie M. Lansina TOGOLA.
Selon le directeur de l’Agence Malienne de la métrologie (AMAM) M. Lansina TOGOLA a affirmé que depuis le 1er mai, une série de vérification des balances a mis en place afin de pouvoir s’enquérir à la situation des produits vendus aux marchés maliens « Nous avons dû prolongé cette période vérification jusqu’à 20 mai 2019 (jours). Et au delà du 20 mai, les missions conjointe de la direction générale du commerce et de la concurrence (DGCC) et AMAM devraient descendre dans tous les marchéspour sanctionner tous ceux qui ne sont pas conforme à la loi. Notre implication est une obligation car nous DGCC et AMAM sommes les entités privilégiées du gouvernement malien, c’est pourquoi nous travaillons dans ce sens. C’est pour vous dire que nous avons voulu choisir le secteur de la viande pas parce que ils ne respectent pas les normes mais tout simplement, ils font partie de notre domaine d’intervention. Ensuite, c’est pour dire que le secteur de la viande est d’ailleurs très important car qui parle de la bonne sauce parle de la viande. aujourd’hui, le choix est tombé sur vous et demain ce sera sur d’autres secteurs » dit-il, le directeur de l’Agence Malienne de la Métrologie.
Pour sa part, le directeur Général du commerce, de la consommation et de la concurrence (DGCC) M. Boucadary DOUMBIA, il affirme que « l’Agence Malienne de la Métrologie est dans son rôle, c’est à dire le fait de contrôler les prix de la viande et celle des mesures est une bonne chose. Nous sommes déterminé à faire ce travail donc désormais, il faut que les balances soient aux normes. Notre cible n’est pas que les bouchés mais notre cible et notre position s’appliquent sur tout le monde. Aujourd’hui nous sommes chez vous, ce n’est pas parce que vous ne respectez pas les normes mais seulement nous avons voulu choisir le secteur de la viande pour célébrer la journée mondiale de la métrologie » dit-il
(Niamey et les 2
jours) – Afin de juguler les coupures récurrentes de l’énergie
électrique au Niger, la Société d’exploitation des eaux du Niger (SEEN)
fait recours aux groupes électrogènes dont sont équipées ses usines de
production pour alimenter les populations en eau potable. Ce qui
nécessite un investissement financier conséquent.
Selon le ministre de l’Hydraulique et de l’assainissement Issoufou Katambé (photo), «de
janvier à ce jour, l’utilisation des groupes électrogènes pour pallier
le manque d’électricité a coûté plus de 75 millions FCFA à la SEEN,
alors même que le contrat a été signé sur la base de l’utilisation de
l’énergie électrique pour le fonctionnement des usines ».Ce qui représente un réel manque à gagner pour cette structure.
Pourtant, malgré les mesures prises par la SEEN, le déficit occasionné par les coupures d’électricité est non négligeable.
En fait, dans la seule
ville de Niamey, ces coupures occasionnent un déficit de l’ordre de 6%
dans la production journalière et la production par les groupes
électrogènes est assurée à hauteur de 60% seulement, selon le membre du
gouvernement.
(
Le Nouveau Gabon) – Dans le cadre de
son programme de travail de l’année 2019-2020, le Centre régional
d’assistance technique du Fonds monétaire international pour l’Afrique
centrale (Afritac centre), effectue une mission du 27 mai au 7 juin 2019
à Libreville. La mission sera conduite par Abdoulaye Touré et Mario
Dehove, respectivement conseiller résident en gestion des finances
publiques et expert du Fonds monétaire international (FMI).
Deux
points sont inscrits à l’ordre du jour : les recettes affectées et le
suivi des établissements publics. Il s’agira de veiller à l’amélioration
de la prise en charge des recettes affectées dans la loi de finances et
de leurs conditions d’exécution. Il sera en outre question d’appuyer
l’opérationnalisation de la cellule en charge de la tutelle des
établissements publics nationaux.
À
Afritac centre, l’on souligne que cette mission contribuera à la mise
en œuvre des réformes structurelles prévues dans le programme économique
du Gabon. Une initiative soutenue par le FMI. Dans
ce programme, les autorités se sont engagées à éliminer dans le projet
de budget 2020, toute affectation de recettes non conformes aux critères
fixés par la loi dans le cadre structurel, décidé en octobre 2019.
(Agence Ecofin) – La compagnie
aérienne Rwandair va lancer des vols à destination de la Chine. C’est ce
qu’a annoncé cette semaine Yvonne Manzi Makolo, directrice générale de
la société détenue à 77% par l’Etat rwandais.
La nouvelle ligne desservira la ville de
Guangzhou, la troisième plus grande de Chine. Elle permettra d’effectuer
trois vols par semaine, en vue de répondre aux besoins créés par
l’augmentation constante des relations économiques entre la Chine et
l’Afrique.
« Avec l’augmentation du volume des
échanges commerciaux entre les pays africains et la Chine, la nécessité
de répondre à la forte demande des hommes d’affaires et des commerçants
voyageant entre l’Afrique et Guangzhou est fortement ressentie. Cette
nouvelle route ouvrira de nouvelles opportunités commerciales et
augmentera notre trafic de passagers et de fret », a à cet effet indiqué la responsable.
Le premier vol de la nouvelle ligne devrait être inauguré le 18 juin prochain.
Notons que cette nouvelle opération porte à
deux le nombre de villes asiatiques desservies par la compagnie
Rwandair, dont le réseau s’étend désormais à 28 destinations.
(Agence
Ecofin) – La Banque européenne pour la reconstruction et le
développement (BERD) a octroyé un prêt de 5 millions d’euros à la BMCE
Bank of Africa du Maroc, dans le cadre du projet Green Economy Financing
Facilities (GEFF).
Initiée
par la BERD, la GEFF a pour objectif de soutenir les investissements du
secteur privé dans une économie plus verte, par le truchement des
banques locales.
Ce
prêt est la seconde tranche d’une ligne de crédit de 10 millions €,
ouverte par l’institution européenne à cet effet. Elle a été octroyée à
hauteur de 3,75 millions € par la BERD et 1,25 million par le Fonds vert
pour le climat.
Il
accompagnera particulièrement les entreprises désireuses de réaliser
des projets énergétiques verts. Les bénéficiaires pourront avoir accès à
un financement, à une subvention ou à un appui technique qui permettra
la confirmation de la viabilité de leurs projets.