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Mali : L’Etat envisage la création d’une Caisse de dépôt et de consignation

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La révélation a été faite par le ministre de l’Economie et des Finances, lors de lors de la rencontre du gouvernement avec le secteur privé. Dr Boubou Cissé a précisé que la réalisation de routes qui se prêtent au système à péage, sera portée par le budget national et les partenaires.
Pour faciliter la réalisation des infrastructures, il est nécessaire de «trouver une ingénierie financière» adaptée. L’une des stratégies envisagées à cet effet est la réalisation d’infrastructures à péage, a développé le ministre de l’Economie et des Finances. Selon l’argentier national, en la matière, il est possible de faciliter l’accès de nos opérateurs au marché financier. Par exemple, un opérateur malien pourrait, en collaboration avec un partenaire étranger, lever des fonds sur le marché financier. Les entreprises peuvent aussi utiliser les billets de trésorerie de la Banque centrale des Etat de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), a-t-il proposé.
Assurant que l’Etat est prêt à les accompagner, il a précisé qu’il est utile, en amont, de prévoir des mécanismes de répartition des risques à prendre entre l’Etat et le secteur privé, surtout concernant les projets en Partenariat public-privé (PPP).
Aussi, l’Etat envisage la création de la Caisse dépôt et de consignation, qui pourrait voir le jour bientôt, a révélé le patron de l’hôtel des finances, précisant que la réalisation de routes qui ne se prêtent au système à péage, sera portée par le budget national et les partenaires.
Les éléments nécessaires pour espérer relever ces défis sont : paix, stabilité et volonté (l’ambition pour le pays), a insisté Soumeylou Boubèye Maiga. D’où l’importance, selon lui, de la promotion d’un environnement apaisé. «Tant que les populations en crise n’ont pas de perspectives, il y a de fortes chances que nous soyons dans un cycle interminable d’insécurité», a prévenu le chef du gouvernement, annonçant dans la foulée «une longue chaine étroite de collaboration avec le secteur privé national».
La matérialisation d’une telle ambition exige des ressources humaines capables de les porter et de les manager. Le Mali est confronté à de gros défis en la matière. A titre d’illustration, 43% de la population n’ont pas 15 ans ; 53% ont moins de 18 ans ; 65% n’ont pas 25 ans ; 70% ont moins de 30 ans.
Aussi, dans six ans (2025), notre pays qui couvre une superficie de 1.241.238 km2, comptera 25 millions de personnes. Pour lui, le défi de la formation est nécessaire à relever si nous voulons construire le pays de nos rêves. Pour ce faire, «nous envisageons de promouvoir les savoirs, les innovations, les nouvelles technologies, l’entrepreneuriat jeune…», a précisé le Premier ministre.
Mahamane Maïga

Source : Croissanceafrique.com

LE MALI ENCORE CHAMPION D’AFRIQUE

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Les aigles du Mali ont remporté la coupe d’Afrique des moinsde 20 ans organisée au Niger.

Le Mali a été sacré champion d’Afrique U20 ce dimanche après une séance de tirs au but victorieuse face au Sénégal. Au terme du temps réglementaire, les deux équipes se sont neutralisées (1-1

Les jeunes maliens remportent ce trophée au tir au but après 120 minutes de jeu nul

Source : Croissanceafrique.com

Mali le gouvernement annonce 10.000 milliards FCFA d’investissement pour la décennie 2020-2030

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Développement économique du Mali, le Premier ministre, Chef du Gouvernement Soumeylou Boubèye Maïga, a annoncé la volonté du gouvernement d’investir dans la prochaine décennie (2020-2030), un peu plus de 10 000 milliards de nos francs pour le développement des infrastructures, dont plus de 5000 milliards uniquement pour le développement d’infrastructures routières (routes, ponts, viaduc, ports secs) et d’une zone économique spéciale dans la région de Sikasso. La tête de pont de ce plan est le bitumage d’une route de 1075 kilomètres qui reliera Tombouctou à la Mauritanie via Taoudenit.

Selon le Chef du gouvernement Malien, cet ambitieux programme démontre l’intérêt du gouvernement vis à vis du secteur privé, qui doit avoir un rôle prépondérant dans le financement de ces grands chantiers économiques.


Par ailleurs, le souci du gouvernement de promouvoir les entreprises maliennes a été matérialisé par un décret sur la commande publique ainsi plus de 65 milliards serait attribués aux productions locales.

Zangouna KONÉ

Source : Croissanceafrique.com

Urgent/Bamako: Fin de la grève de faim des cheminots maliens

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Les cheminots maliens qui observaient une grève de faim depuis plus, viennent de décider de mettre fin à leur mouvement.
Une décision prise grâce à la médiation du gouvernement sur instruction du Président de la République, S.E El Hadj Ibrahim Boubacar KEITA.


Le ministre des Transports, Mr Soumana Mory COULIBALY salue cette décision des cheminots qui va certainement ouvrir la voie à la poursuite du processus de redémarrage des activités ferroviaires.
L’annonce officielle par les cheminots, devra intervenir d’ici lundi ou mardi.

ICet acte est l’oeuvre du Ministère des Transports Soumana Mory Coulibaly, toute chose a une fin et voici donc la fin de l’époustouflante grève de faim des cheminots maliens

Zangouna Koné/Ould Mamouni

Source : Croissanceafrique.com

Mali: Un débat houleux sur l’avenir du franc CFA à Bamako

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Ce samedi 16 février 2018, s’est le FORAM au mémorial Modibo KEITA de Bamako. Cette rencontre est placée sous le signe de « Migrances ». Édition Spécial du genre qui s’est déroulée à Bamako. Elle a enregistré la présence du journaliste Camerounais M. Louis Mangloir , le professeur Issa N’Diaye enseignant chercheur, de l’alter-mondialiste Aminata Dramane TRAORÉ et tant d’autres. Le thème de cette conférence débat est axé sur  » de la nécessité des États généraux du Franc CFA ». Au même le président Ivoirien qualifiait le débat qui entour le franc FCFA « d’un faux débat », c’était au cour d’une rencontre d’Emmanuel Macron à l’Élysée (France, il y’a juste quelques heures.A sa prise de parole , l’alter mondialiste Aminata Dramane TRAORÉ  » le problème c’est nos modèles économiques, c’est nos dirigeants, c’est nos dirigeants imcapables », dit-elle. Et d’ajouter que le cas « Donald Trump est l’exemple palpable, car aujourd’hui « il veut construire un mur entre le Mexique et son pays » ajoute-t-elle. Aminata Dramane TRAORÉ partira jusqu’à nous dire que « la question migratoire, c’est un délit de démocratie, l’Afrique n’est ni maudite, ni dépassée, et le véritable défi est le défi intellectuel, la monnaie qui nous a été imposée ne nous convient pas , nous ne voulons le franc CFA », a laisser entendre, l’alter-mondialiste.
Nous avons assisté à un débat houleux entre les antis franc CFA et ses invités. Pour d’autres panelistes , la recrudescence de l’immigration clandestine est dûe à l’utilisation de cette monnaie historique. Sur le même sujet l’ancien président français François Hollande concrerait une tourné ouest-africaine dont me Mali, la Mauritanie, et la Guinée Conakry, selon certains observateurs.

Daouda Bakary Koné

Source : Croissanceafrique.com

Alassane Ouattara « le Franc CFA est une monnaie stabilisante »

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Le président ivoirien Alassane Ouattara a demandé vendredi, après avoir été reçu par Emmanuel Macron, que « cesse le faux débat » sur le franc CFA, qui est « une monnaie solide, bien gérée et appréciée ».

« J’ai entendu beaucoup de déclarations sur le franc CFA (…) Je ne comprends pas ce faux débat », a déclaré le président Ouattara à la presse à l’issue de l’entretien à l’Elysée.

Régulièrement critiqué dans les pays africains qui l’utilisent, le franc CFA compte des ennemis jusqu’en Europe où la charge la plus spectaculaire a été récemment lancée par le vice-président antisystème du Conseil italien, Luigi di Maio, qui a accusé la France d’utiliser « le franc des colonies » pour « financer la dette publique française ».

Une monnaie « stabilisante »

« Le franc CFA est notre monnaie, c’est la monnaie de pays qui l’ont librement choisi, depuis l’indépendance dans les années 60 », a déclaré Alassane Ouattara. « Elle est solide, elle est appréciée, elle est bien gérée », a-t-il ajouté, en mettant en avant les taux de croissance des huit pays de l’Afrique de l’ouest qui l’utilisent.

« Nous sommes très, très heureux d’avoir cette monnaie qui est stabilisante », a-t-il assuré, en précisant que des réformes la concernant seraient faites « le temps opportun ».Play Video

14 pays (dont 12 anciennes colonies françaises), huit en Afrique de l’Ouest et six en Afrique centrale, utilisent toujours le franc CFA comme monnaie officielle, soit 155 millions de personnes. Sa valeur est indexée sur l’euro (1 euro = 655,96 francs CFA), ce qui maintient les économies africaines dans la dépendance de la politique monétaire européenne.

D’autres dossiers soulevés

Au cours de leur entretien, Monsieur Macron et Monsieur Ouattara ont également parlé des retards du métro d’Abidjan, dont le chantier avait été inauguré le 30 novembre 2017 par le président français.

Les deux présidents n’ont en revanche « pas parlé » de la situation de l’ex-président Laurent Gbagbo, récemment acquitté par la Cour pénale internationale de crimes contre l’humanité, selon Alassane Ouattara. « C’est un frère (…), nous attendons la suite », a-t-il dit à propos de son ennemi politique lors de la crise post-élection présidentielle de 2010-2011.

Le président ivoirien a par ailleurs indiqué avoir « encouragé le président Macron à continuer le grand débat pour apaiser » la France, un mois après le lancement de cette consultation pour répondre à la crise des « gilets jaunes ». « Je suis réconforté par le fait que les choses semblent aller dans la bonne direction », a-t-il ajouté.

Zangouna Koné

Source : croissanceafrique.com

Debat autour du franc CFA ,  » Un faux débat » selon Ouattara

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Un faux débat selon Ouattara

Reçu par le président français Emmanuel Macron, il a appelé les africains à cesser ce qu’il qualifie de faux débat qui existe autour de la monnaie utilisée par les pays africains francophones: «J’ai entendu beaucoup de déclarations sur le franc CFA (…) Je ne comprends pas ce faux débat (…) Le franc CFA est notre monnaie, c’est la monnaie de pays qui l’ont librement choisi, depuis l’indépendance dans les années 60 (…) Elle est solide, elle est appréciée, elle est bien gérée (…) Nous sommes très, très heureux d’avoir cette monnaie qui est stabilisante»

De quoi provoquer la colère des détracteurs de la monnaie sur la toile. Ce n’est pas la première fois qu’Alassane Ouattara prend la défense du Franc CFA. A l’èpoque de l’expulsion de Kemi Seba du SénÉgal, il avait également critiqué les activistes africains affirmant que la monnaie était stable.»

Le débat autour de la monnaie utilisée en Afrique, le Franc CFA, continue de déchaîner les passions en Afrique et au-delà. Si plusieurs économistes, y compris non africains critiquent la monnaie à l’instar du franco-suisse Michel Santi, la monnaie a toujours de fervents défenseurs sur le continent noir. C’est le cas du président ivoirien Alassane Ouattara. Lors d’une conférence de presse, il a réitéré sa position déjà connue de tous.

Zangouna Koné

Source : Croissanceafrique.com

Mali: Deux otages (Fonctionnaires) maliens seraient décédés dans le centre du pays, un autre témoigne dans une vidéo

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Ils sont tous agents de l’Etat et enlevés depuis plusieurs mois. Parmi ces trois fonctionnaires, deux ont trouvé la mort d’après les informations recueillies. C’est dans le cadre d’une série de reportages et documentaires sur la situation au nord et au centre du pays, que Sahelien.com a pu rencontrer le troisième otage.

Le commandant de brigade de Guiré, Mamadou Diawara et le président du tribunal d’instance de Niono, Soungalo Koné, enlevés respectivement en octobre et novembre 2017 seraient « décédés des suites de maladie » a indiqué à notre reporter, un des ravisseurs se réclamant de la Katiba du Macina.

Après plusieurs tentatives et avec l’aide d’un fixeur, un rendez-vous a été obtenu, le 25 janvier dernier avec des membres du groupe qui détient ces fonctionnaires maliens.

Une des conditions pour pouvoir les rencontrer est que notre correspondant accepte d’avoir les yeux bandés durant le trajet. Le lieu, non plus, n’a pas été révélé. Après plusieurs heures de route, le point de rencontre se trouve être une zone relativement boisée. Une heure plus tard, un pick-up est arrivé avec à son bord, cinq hommes et l’otage Makan Doumbia. Sur place, ils ont installé ce dernier et mis derrière lui, un tissu de camouflage. Parmi les ravisseurs, un qui semble être leur chef s’est adressé en langue peulh à notre reporter en ces termes : « ne pose pas plus de trois questions ».

Enturbanné, barbe blanche, affaibli, M. Doumbia raconte ses conditions de détention : « quand on m’a pris, j’avais eu peur pour ma vie. Je pensais que je ne verrai plus des jours comme aujourd’hui, mais Dieu merci, quand on m’a amené, on m’a petit à petit rassuré. La couverture sur laquelle je suis assis, c’est le mouvement qui me l’a donnée pour me protéger contre le froid. Même sous la couverture, je grelotte à cause du froid. Je remercie le mouvement pour cela. Pour beaucoup de gens, le prisonnier n’a pas de droit, mais ce n’est pas le cas ici. »

Et de lancer un appel à sa famille : « je regrette beaucoup ce qui m’est arrivé, je n’avais pas souhaité ma vie comme ça. Je dis à mes femmes d’avoir beaucoup de courage. C’est en service public que j’ai été capturé. Je dis à mes enfants d’avoir beaucoup de courage surtout les trois premiers qui sont un peu plus grands de prendre soin de leur petit frère ».

Après la rencontre, nous avons cherché à avoir des nouvelles des autres otages à savoir le commandant de brigade de Guiré, Mamadou Diawara et le président du tribunal d’instance de Niono, Soungalo Koné. « Les trois otages étaient tous détenus dans le même lieu, mais les deux autres sont décédés des suites de maladie. Le CB de Guiré est mort, il y a deux mois de cela et le juge de Niono quelques jours plus tôt (avant l’entretien, ndlr)  », a répondu l’un des membres du groupe sans plus de détails. A la fin de la rencontre, le fixeur et notre journaliste (les yeux bandés) sont partis en les laissant sur place.

Contacté par Sahelien.com, le ministère de la sécurité dit n’avoir aucune information sur le sort de ces otages. « Nous n’avons pas d’informations sur le sort de ces otages… et je viens de l’apprendre avec vous », mentionne M. Sangho, chargé de communication au ministère de la sécurité et de la protection civile.

Au centre du pays, les personnes susceptibles ou soupçonnées d’être proches de l’État, comme les fonctionnaires ou autorités traditionnelles sont souvent victimes d’enlèvement et parfois d’assassinat. Hier jeudi, deux otages de l’ONG CARE International ont été libérés, après “un raid aérien coordonné” entre les Forces armées maliennes et la Force française Barkhane dans le secteur de Dialloubé (région de Mopti), a indiqué le ministère malien de la Défense dans un communiqué. Suivez ce liens en bas

https://malijet.com/actualte_dans_les_regions_du_mali/rebellion_au_nord_du_mali/223411-mali-deux-otages-maliens-seraient-decedes-dans-le-centre-du-pays.html

De Nara jusqu’à la frontière burkinabè, opère la Katiba du Macina, un groupe djihadiste majoritairement peulh, créé en janvier 2015 par Hamadoun Kouffa, un prédicateur bien connu dans la région. Il revendique l’instauration d’un califat dans cette partie du Mali. Cette Katiba est affiliée au Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans né de la fusion, en mars 2017,  d’Ansar Dine, d’AQMI au Sahel, d’Al-Mourabitoune et de la Katiba du Macina.

https://malijet.com/actualte_dans_les_regions_du_mali/rebellion_au_nord_du_mali/223411-mali-deux-otages-maliens-seraient-decedes-dans-le-centre-du-pays.html

Mali: Chevalier de l ‘Ordre National du Mali, figurent les décorations de deux héros maliens vivants en France

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Ce jeudi 14 février 2019, 15 cadres du Ministère des Maliens de l’Extérieur et de l’Intégration Africaine ont été décorés aux rangs de chevalier de l’ordre national du Mali et de la médaille de mérite national avec Effigie Abeilles.

La cérémonie de remise de décorations s’est déroulée ce matin dans les locaux dudit département, sous l’égide du Grand Chevalier des Ordres Nationaux du Mali Sagafourou Guèye et du ministre des Maliens de l’Extérieur et de l’Intégration Africaine Yaya Sangaré, en présence de plusieurs proches et amis des récipiendaires.

Parmi eux, 5 personnes ont reçu la médaille du  » Chevalier de l’Ordre National du Mali  » dont l’ancien ministre des Maliens de l’Extérieur et de l’Intégration Africaine Dr Abdramane Sylla. Qui s’est vu honoré par son successeur, actuel ministre au même poste Yaya Sangaré.

À noter également dans ce grade de Chevalier de l ‘Ordre National du Mali, figurent les décorations de deux héros maliens vivants en France, qui sont Lassana Bathily et Mamadou Gassama. On vous rappelle, ils furent héros pour avoir sauvé la vie des personnes dans un restaurant pour Bathily et la vie d’un enfant pour Gassama. Mais, ils étaients absents pour des raisons personnelles.

Et les 10 autres personnes ont été décorées par la médaille  » médaille du Mérite National avec Effigie Abeilles « .

Par la suite , deux cadres du ministère à savoir le colonel major Saidou Goundoro et Mamadou Diaby ont fait valoir leur droit à la retraite. Le porte-parole des récipiendaires et celui des retraités n’ont pas manqué de saluer et remercier les plus hautes autorités pour cette considération à leur égard.
Le ministre Yaya Sangaré a indiqué que la cérémonie lui est très solennelle et très symbolique. Il a aussi tenu à saluer et remercier très sincèrement les récipiendaires en général et son prédécesseur Abdrahamane Sylla en particulier pour sa présence physique à cette cérémonie. À qui, Il a ainsi rendu un vibrant hommage à l’homme qui fut enseignant, puis député ensiute ministre. M. Sangaré a aussi salué le combat de deux retraités avant de les souhaiter bonne carrière de retraire.

Zangouna Koné

Source : Croissanceafrique.com

Bamako: le Président Hollande clôt sa visite au Mali

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Le Premier ministre, Chef du Gouvernement Soumeylou Boubèye Maïga a raccompagné, ce vendredi, en fin d’après-midi, à l’aéroport international Président Modibo Keïta Senou, l’ancien Président français, S.E.M. François Hollande, au terme de sa visite privée de quelques heures qu’il a effectué dans notre capitale Bamako.

Le Chef du Gouvernement était accompagné pour l’occasion de l’ancien President de la République par intérim, Son Excellence le Professeur Dioncounda Traore.

Daouda Bakary Koné

Source : Croissanceafrique.com