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Mali : Le budget de l’exercice 2019 est fixé 28 Milliards 357 millions 158 mille 301 F CFA

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C’est au cours de la 25 ème session ordinaire du conseil d’administration l’agence nationale d’investissement des collectivités territoriale que le ministre de l’administration territoriale a annoncé le budget prévisionnel de l’année 2019 en dépense et en recette. Cette rencontre a été une occasion pour les participants de débattre les défis et problématiques qui contours la structure en charge des collectivités territoriale au Mali. Elle a enregistré la présence du ministre de l’administration territoriale et de la décentralisation, président du conseil d’administration de l’ANICT M. Mohamed AG ERLAF et le directeur de ladite structure.

Avant de commencer son discours le ministre, président du conseil d’administration M Mohamed AG ERLAF a souhaité la bienvenue à tous ceux qui ont pris part à cette 25 ème session ordinaire budgétaire du conseil d’administration de d’administration l’agence nationale d’investissement des collectivités territoriale (ANICT). Et de dire que « pour prévenir la détérioration budgétaire et financière de la loi de finances 2018, le gouvernement a eu recours à une mesure d’annulation de crédit de 12 630 362 761 F CFA su un abondement du FNACT par le budget de l’Etat de 22 780 827 000 F CFA », a- t- il affirmé. Le projet de budget de l’exercice 2019 de l’ANICT soumis a été en équilibre des ressources et des emplois à la somme de 28 Milliards 357 millions 158 mille 301 F CFA et les ressources d’origines extérieurs sont à 4 956 301 F CFA environ du budget 2019.

Notons qu’a l’heure actuelle, l’agence nationale d’investissement des collectivités territoriale (ANICT) a entamé un vaste processus de réformes concernant sa restructuration et la régionalisation du FNACT. Elle recherche de financement innovant, comme le fond vert pour le climat pour conforter les collectivités territoriales dans le financement des domaines de leur compétence.
Daouda B KONE

Source : Croissanceafrique.com

Mali : Le budget 2019 de l’Office Nationale des Produits pétroliers (ONAP) se chiffre à 2 milliards 472 millions 783 mille 783 F CFA

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Ce vendredi 15 février 2019, s’est tenue, la cérémonie d’ouverture de la 37 ème session ordinaire du conseil d’administration de de l’Office Nationale des Produits pétroliers (ONAP) à son siège au quartier du fleuve de Bamako. C’était en présence du ministre de l’économie et des finances D’r Boubou CISSE ainsi que le directeur général de l’ONAP M GOURO DIALL.

Cette 37 ème session du conseil d’administration de l’Office Nationale des Produits pétroliers (ONAP) s’est tenue dans un contexte marqué par un marché bien approvisionné avec des prix relativement accessibles. C’est pourquoi, dans son discours d’ouverture, le ministre de l’économie et des finances non moins président du conseil d’administration de l’ONAP a affirmé que «  l’année 2018 qui a été globalement marquée par la baisse des cours du baril de pétrole brut de 17% qui s’explique par l’abondance de l’offre et les prévisions de ralentissement de la croissance mondiale. La baisse, enregistrée sur les derniers mois, s’est traduite par celle des prix d’acquisition des produits auprès de nos fournisseurs. Et les prix fournisseurs ont chuté en ce début 2019 » a- t- il affirmé.

Ensuite, conformément aux engagement du gouvernement, le ministre affirme que « le mécanisme de taxation des produits pétroliers a été correctement appliqué par la répercussion des fluctuations des prix internationaux du pétrole sur les prix à la consommation ; à l’intérieur d’une bande de 3% » a laissé entendre le ministre Boubou CISSE

Par rapport aux prévision du budget de l’exercice 2018, les réalisations de recettes ont atteint 102,72%. Ceci s’explique par la dotation complémentaire destinée à la campagne de communication sur le mécanisme de taxation des produits pétroliers. Quant aux dépenses, elles ont été exécutées à hauteur de 95,22% et le projet de budget 2019, de l’ONAP soumis à l’approbation se chiffre en recettes et en dépenses à 2 milliards 472 millions 783 mille 783 F CFA contre 2 612 471 000 F CFA. Il baisse de 7, 64% et cela s’explique par la réduction du budget de fonctionnement. Son exécution permettra la mise en œuvre des programmes essentiels qui sont entre autres : La sécurisation de l’approvisionnement du pays en produits pétroliers de meilleure qualité, la collecte et la diffusion des statistiques d’importation, de consommation et de vente des produits pétroliers et les opérations de contrôle de qualités des produits pétroliers.

Daouda Bakary KONE

Source : Croissanceafrique.com

Mali: Bamako à l’honneur à l’occasion de la Revue Annuelle des Reformes, Politiques, Programmes et Projets Communautaires de l’UEMOA !

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La capitale malienne abrite depuis ce jeudi matin, la 4ème revue annuelle des réformes, politiques, programmes et projets communautaires de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA). La rencontre qui était coprésidée par le Ministre de l’Economie et des Finances et le Président de la Commission de l’UEMOA, a vu la participation de certains membres du gouvernement dont le Ministre des Transports.

Cette énième revue annuelle de l’UEMOA a permis à la Commission de l’UEMOA et le Gouvernement de la République du Mali, d’échanger sur plusieurs questions dont les résultats enregistrés par notre pays depuis la dernière rencontre en date qui s’est tenue courant novembre 2018, la gouvernance économique (convergence et marché commun), et les reformes sectorielles.

En ce qui concerne le Département des Transports, le Ministre Soumana Mory COULIBALY a informé l’assistance des gros efforts consentis par le Mali dans le secteur des transports.


Il a souligné qu’au titre des réformes sectorielles, le taux moyen de mise en œuvre est de 82,89% en 2018 contre plus de 62% en 2017, soit une nette progression à ce niveau. Le ministre COULIBALY poursuit qu’en matière d’infrastructures et de transports, 27 textes communautaires étaient repartis entre les secteurs aériens, maritimes, ferroviaires, et sécurité routière.


Dans le secteur aérien, le taux d’application des règlements, directives et décisions est de 100%. Au niveau du transport maritime, il se chiffre à 50%, celui du transport routier est estimé à 95% et enfin, le secteur ferroviaire avec une seule directive est appliqué à 100%.


Le Ministre Soumana Mory COULIBALY a rassuré la Commission de l’UEMOA que son département ne ménagera aucun effort pour consolider davantage ces acquis, et travailler à améliorer les autres taux d’application.

Daouda Bakary Koné

Source : Croissanceafrique.com

Exclusif : Jamal Khashoggi, la fiancée du journaliste assassiné parle à Match

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C’est pour épouser cette jeune Turque que le journaliste saoudien Jamal Khashoggi est entré dans le bâtiment d’où il n’est jamais ressorti. Nous l’avons rencontrée à Istanbul. Extraits de l’interview à paraître dans Paris Match.

Hatice Cengiz est une femme sous surveillance. Elle ne sort pas de chez elle sans son garde du corps et évite les lieux trop fréquentés d’Istanbul. Pour l’interview, elle a accepté un petit salon de l’hôtel Four Seasons, « parce que le service de sécurité y est réputé », nous a expliqué son agent. A 36 ans, la compagne du journaliste assassiné par les Saoudiens se sent traquée. De son malheur, la Turquie a fait une arme politique redoutable contre son grand rival saoudien dans le leadership du monde sunnite. Lorsqu’il l’a rencontrée après le meurtre, Erdogan lui a dit : « Mais pourquoi Khashoggi ne m’a-t-il pas appelé pour l’autorisation de mariage?» Khashoggi était un journaliste réputé qui avait interviewé les puissants. Aujourd’hui, son corps n’a pas été retrouvé et Hatice Cengiz ne peut même pas faire son deuil. Elle semble timide ; mais, comme portée par l’importance de son récit, sa voix fluette s’affirme au fil des mots. Elle n’a oublié aucun détail de ce 2 octobre 2018, jour où elle a accompagné Jamal Khashoggi au consulat saoudien d’Istanbul.

Paris Match. Quand Jamal vous a-t-il dit qu’il devait se rendre au consulat d’Arabie ?
Hatice Cengiz. Il m’avait chargée de m’en occuper. J’ai fait des recherches sur Internet. Ce n’était pas possible. “Suis-je obligé d’aller au consulat ? m’a-t-il demandé. Le mariage est-il possible sans ce document ?” Il connaissait la réponse. Il est quand même allé sur le site. Il a trouvé le certificat attestant de son divorce, l’a scanné. Il imaginait que cela suffirait. “Désolé, ce n’est pas possible sans le document officiel”, lui a-t-on répondu. Je l’ai alors encouragé à prendre conseil auprès de ses amis saoudiens à Washington. Certains étaient mariés à des étrangères. J’ignore s’il l’a fait. Tout ce que je sais, c’est qu’il est revenu à Istanbul sans le document.

A ce stade, il se savait menacé ?
Non, il ne s’en doutait pas un seul instant. Ce qu’il craignait, en revanche, c’est que, s’il allait au consulat, on lui confisque son passeport. Pour un journaliste, c’est précieux. Ils auraient aussi pu tenter de le renvoyer en Arabie, c’était improbable car il aurait fallu alors l’accord des autorités turques. […] On a trouvé l’adresse du consulat saoudien et on a pris un taxi. Là-bas, on ne m’a pas autorisée à rentrer. Mais lui a été accueilli chaleureusement par les personnes présentes, qui le connaissaient. Elles étaient heureuses de le voir. Il est revenu au bout d’une heure en disant qu’il faudrait qu’il repasse dans quelques jours. Il avait prévenu qu’il devait aller à Londres, mais qu’il reviendrait le 2 octobre. Sur le coup, il était soulagé.

[…]

Quels furent ses derniers mots ?
“Attends-moi là. Ça ne sera pas long.” Une heure plus tard, j’ai commencé à m’inquiéter. Mais je me suis dit qu’il discutait peut-être avec eux, qu’il les remerciait… Il avait l’air si heureux!

Source: Parismatch.com

Bamako: L’Israël proposerait 20 millions d’euros d’appui budgétaire au gouvernement malien, Paris redouterait une conséquence sécuritaire.

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Selon un site d’information, Kibaru africa, la visite au Tchad du Premier ministre Boubèye Maïga, annoncée pour le 22 janvier passé, avait fait l’objet d’intenses tractations et de pressions dans les coulisses du pouvoir.

Le président tchadien, en tant que facilitateur, devait à cette occasion favoriser un rapprochement entre Tel-Aviv et Bamako. Le refus des milieux religieux maliens et l’indignation des chancelleries arabes à Bamako auraient fait reculer les autorités maliennes.

Lesquelles semblent ne pas renoncer à l’éventualité d’un rapprochement, après l’alléchante proposition d’Israël de 20 millions d’euros d’appui budgétaire au gouvernement malien. En tout cas, le président IBK aurait ordonné la reprise des discussions sur la faisabilité du voyage. Par ailleurs, Paris redouterait les conséquences sécuritaires d’un tel rapprochement sur le Mali.

Source : Kibaru Africain

Le Trésor ivoirien va tenter de lever 1 429 milliards de FCFA sur les marchés des capitaux en 2019

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La Côte d’ivoire va chercher à mobiliser, au cours cette année, 1 429 milliards de FCFA sur les marchés des capitaux selon une annonce faite par la Direction générale du Trésor et de la comptabilité publique à l’occasion d’un séminaire bilan et perspectives.

Ce montant à solliciter par Abidjan sera destiné à couvrir une partie d’un besoin de financement global de 2 416,9 milliards de FCFA. Le pays compte sur son succès de 2018 pour réussir ce nouveau challenge. Il avait notamment réussi à mobiliser 1 174 milliards de francs CFA sur le marché des capitaux entre janvier et mars 2018.

«Nous n’avons pas le droit de nous arrêter en si bon chemin. Nous devons continuer de travailler dans le sens de l’amélioration de la qualité de nos prestations, en adaptant constamment nos pratiques aux standards modernes de gestion», a déclaré Assahoré Konan Jacques, le directeur général du Trésor.

En rappel, l’année précédente fut un succès pour la côte d’ivoire qui a réussi à mobiliser sur les marchés sous-régional et international, un montant 1 581,4 milliards de FCFA sur un objectif prévisionnel de 1 526,1 milliards de FCFA, soit plus de 100% de taux de réalisation. 

Zangouna Koné

Source : Croissanceafrique.com

Gabon : 77 milliards de FCFA de la BAD pour l’adduction d’eau potable à Libreville

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Le représentant de la BAD au Gabon, Robert Masumbuko, a annoncé le 12 février 2019 que l’institution a accordé une enveloppe de 77 milliards de FCFA au pays pour réhabiliter 300 km de conduites du réseau d’eau potable de Libreville et de sa périphérie.

Ce projet permettra aux populations d’avoir accès à plus d’eau potable dans la capitale et ses environs. Il devra permettre également de faire passer le taux d’accès à l’eau potable de 25 à 85% en zone rurale et de 45 à 95% en zone urbaine.

« Il y a un besoin en eau potable ; c’est la raison pour laquelle le gouvernement a pris l’engagement ferme de réhabiliter 150 km de conduites en eau potable, et avec une construction de 150 nouvelles. C’est un chantier énorme dont le but final est de faire en sorte que le stress en eau que connaît la population gabonaise, ne soit qu’un lointain souvenir dans quelques mois », explique Jean Marie Ogandaga, le ministre gabonais de l’Economie qui a signé l’accord avec la BAD au nom du gouvernement gabonais.

Aïssatou Traoré

Source : Croissanceafrique.com

Au Mali, le litre d’essence passe de 702 FCFA à 694 FCFA et le Gasoil de 633 FCFA à 623 FCFA.

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Il s’agit de la 3ème mois consécutifs de baisse du prix du Carburant au Mali car le litre de l’essence passe de 702 FCFA à 694 FCFA et le Gasoil de 633 FCFA à 623 FCFA.

Sous l’égide du Ministère de l’Economie et des Finances, la Commission de suivi du mécanisme de taxation des produits pétroliers (composée de l’Etat, les associations de consommateurs et les opérateurs pétroliers) a procédé à la baisse des prix du carburant au Mali, a l’issue de la réunion mensuelle du mois de février 2019.

Ces réunions mensuelles ont pour but de procéder de manière transparente à la fixation de prix des carburants avec l’ensemble des acteurs du secteur.

Ainsi, le litre de l’essence passe de 702 FCFA à 694 FCFA et le Gasoil de 633 FCFA à 623 FCFA.

Aissatou Traoré

Source : Croissanceafrique.com

Deutsche Bank consent à un financement de 162 millions d’euros pour le Ghana

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Deutsche Bank a signé trois accords de financement d’un montant global de 162 millions d’euros avec le Ghana en marge du 3e Sommet allemand des entreprises africaines 2019, qui s’est ouvert ce lundi 11 février à Accra. Les financements sont destinés à financer des projets d’infrastructures dans le pays.

Estimée à 92 millions d’euros, la première transaction, dont Deutsche Bank était l’unique arrangeur, a été conclue entre Contracta Construction UK et les ministères des gouvernements locaux et du développement rural pour la construction d’une nouvelle phase du développement du marché de Kumasi.

La seconde entente d’un montant de 25 millions d’euros concerne un contrat entre Ellipse Projects SAS France (UK) Limited et le ministère de la Santé pour l’achèvement et l’équipement de l’hôpital de district de Bekwai. 

Le troisième accord, qui représente plus de 45 millions de dollars américains, devrait être utilisé pour développer les infrastructures sociales dans le pays.

«Nous sommes fiers de notre contribution au développement des infrastructures sur tout le continent africain. Nous jouons aujourd’hui un rôle de premier plan dans notre offre. Nous sommes heureux que ces transactions puissent contribuer positivement à la croissance économique et au développement du Ghana », a déclaré Simon Sayer, responsable du financement structuré du commerce et des exportations à la Deutsche Bank.

A noter que ces transactions font partie des mécanismes de financement de projets d’infrastructure d’un montant supérieur à 1,3 milliard d’euros que la Banque allemande a fournis au gouvernement ghanéen depuis 2012.

Zangouna Koné

Source : Aissata Traoré

Maroc : Crédit Agricole distinguée “meilleure institution de financement du développement

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BanqBan


Par Valerie Koudamenou -13 février, 20190 Facebook Twitter

Le Groupe crédit agricole du Maroc (GCAM) a été primé « meilleure institution de financement du développement pour le continent africain 2018 » par l’Association des institutions africaines de financement du développement (AIAFD) ; ceci pour la troisième fois consécutive.

«Cette distinction, qui place le GCAM en tête des institutions de financement et de développement africaine, consacre le business model du Groupe Crédit Agricole du Maroc et sa capacité à accompagner, par des dispositifs innovants et adaptés, l’ensemble des composantes du monde agricole et rural et notamment les plus vulnérables», indique la banque dans une note.

Basée à Rabat, Crédit agricole du Maroc est une banque à capitaux publics créée en 1961.

Par Croissanceafrique.com