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Mali: IBK tient promesse, remise des clés des logements sociaux aux militaires.

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C’est aux environs de midi que le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Ibrahim Boubacar Keita, Chef Suprême des Armées s’est rendu à Kambila, localité située à quelques encablures de la ville Kati, après la cérémonie de prise d’armes.

Après le cérémonial d’accueil civils et militaires, le Président de la République a échangé avec les techniciens en charge des ouvrages, à la suite desquels il a procédé solennellement à la découverte de la stèle du site et a visité un logement de type F4 et un autre de type F2.

Le Chef de l’Etat soucieux du mieux être de nos vaillants soldats a remis symboliquement la clé d’un logement de type F4 à son bénéficiaire, le capitaine très souriant Seyan Diop 312 ieme E. S de l’Armée de Terre.

Face à la presse, IBK a déclaré : « Et, on va continuer, je pense que l’objectif c’est qu’à terme, tout FAMA ait un logement décent. C’est notre ambition et nous souhaitions que Allah Soubhana Wat’Allah nous permette de le réaliser pour l’honneur du Mali pas pour mon plaisir démagogique mais pour l’honneur du Mali , pour ceux-là qui sont quelques fois allés jusqu’au sacrifice suprême ».

Le Président de la République pour la circonstance était accompagné du Premier Ministre, Chef du gouvernement, du ministre de la défense et des Anciens Combattants, du Ministre de la sécurité et de la protection civile, du Ministre de l’urbanisme et de l’habitat, du Président de la Commission défense de l’Assemblée nationale, de ses proches collaborateurs, des hauts gradés de l’armée malienne et des partenaires qui ont réalisé les ouvrages.

Zangouna Koné

Source : Croissanceafrique.com

Mali: La jeunesse de Sabalibougou intensifie son niveau de communication et d’information auprès de la police de proximité.

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Le conseil local de la jeunesse de Sabalibougou a organisé une conférence débat au centre d’animation et d’écoute de Sabalibougou, ce 19 janvier 2019. Le thème de cette conférence était ‹‹ L’interaction entre la force sécurité et la population civile.›› . Au rendez-vous, le commissaire diviseur du 11e arrondissement, Mahamoudou Diabaté, le commandant Major au poste de police de Sabalibougou, Sidi Sanogo, Adama Konaté représentant du maire de la commune V, le chef de quartier, M. Dramane Keita, M. Lassine Keita, présent de CLJS…


Cette conférence avait pour but de sensibiliser la population et la jeunesse de Sabalibougou par rapport aux relations entre la population et la police de proximité. Elle recherche également, la bonne communication entre la population et la police de proximité pour faciliter les travaux dudit corps et éviter la panique au sein de la population. Elle était animée par le commandant Major police de proximité auprès de Sabalibougou, Sidi Sanogo.


A sa prise de parole, M. Dramane Keita, a souhaité la bienvenue dans son quartier à l’occasion de cet acte noble. Pour sa part, Lassine Keita, s’est dit très ému que ces femmes, jeunes et hommes pour avoir répondus à son appel. Il a déclaré par la suite, que cette rencontre était organisée pour parler de l’interaction de force de sécurité et la population. Force est de reconnaître que les forces de sécurité et la population sont indissociables, pour la bonne cause de tous, a-t-il dit.


Lassine Keita, pense que la population civile de Sabalibougou doit être prêt pour la sécurisation des personnes et de leurs biens et cela par le biais de la communication entre les deux parties (la police et la population civile).


Pour le maire, Adama Konaté, après avoir salué et les initiateurs de cette conférence, il ajoute que ‹‹ Cette jeunesse merite de l’aide.››, ajoute-il.
A son tour, le Commandant Major, Sanogo, a salué et remercié la jeunesse de sabalibougou pour la confiance qu’elle lui accorde. Il démarre cette hypothèse avec trois interrogations: Qu’est ce qui fait perdre la confiance entre la police et sa population ? Qu’est ce qui fait lier la confiance entre la police et sa population ?
Que faut-il faire pour que la police soit respectée par la population ? Sont entres problématiques soulevée par le commandant de la police.


Sidi Sanogo, de dire que cette assertion en répondant le problème dont lui même, a posé. Ensuite, dans son analyse, « quand la police ne fait pas bien son travail, elle violente la population civile, par abus du pouvoir, il n’y aura pas de confiance entre la police et la population. Pour « qu’il ait la confiance entre les parties concernées , il faut que les deux soient proches de l’une entre l’autre. Il faut également que la police évite la panique au sein de la panique. Qu’il fasse bien sa mission. Il faut que la police fasse comprendre leur mission est, que tout ce qu’elle fait, est le bien être de la population. Il faut qu’il ait la communication franche entre elles », dit-il.


Et d’ajouter que « Pour que la police soit respectée, il faut qu’elle soit respectueuse d’abord. Quand elle va prendre contact avec la population, elle doit porter correctement son uniforme. Pour terminer, le commandant Major, a exhorté, à toute la population de passer s’informer auprès des postes. Que la population s’approche de la police pour qu’elle s’entraide pour empêcher les mauvais herbes de pousser », a mis fin à son intervention.

Hamadoun Alphagalo

Source : Croissanceafrique. com

Emergence de l’Afrique: 1300 décideurs à Dakar

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Du 17 au 19 janvier 2019, s’est tenue au Centre International de Conférences Abdou Diouf à Diamniadio, au Sénégal, la troisième édition de la Conférence Internationale sur l’Émergence de l’Afrique, CIEA III.

Cette rencontre a été rehaussée par la présence de leurs Excellences :

– M. Macky Sall, Président de la République du Sénégal ;

– M. Ibrahim Boubacar Keïta, Président de la République du Mali ;

– Dr. TUN Mahathir bin Mohamad, Premier Ministre de la Malaisie ;

– M. Amadou Gon Coulibaly, Premier Ministre de la République de Côte d’Ivoire ;

– M. Lee Ju Young, Vice-Président de l’Assemblée Nationale de la République de Corée et ;

– Mme Ségolène Royal, représentante du Président de la République Française.

La CIEA III a enregistré la participation d’éminentes personnalités des institutions partenaires, notamment Messieurs Achim STEINER, Administrateur du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), Akinwumi Adesina, Président du Groupe de la Banque Africaine de Développement (BAD), Hans Peter Lankes, Vice-Président de la Société Financière Internationale du Groupe de la Banque mondiale.

Ont également participé à cette rencontre les dirigeants des institutions internationales et africaines à travers l’Union Africaine, la CEA, la CEDEAO, l’UEMOA, la BOAD, la BCEAO et d’éminentes personnalités du secteur privé, du monde universitaire, des experts et représentants de la société civile.    

Plus de 1300 décideurs et experts en provenance d’une cinquantaine de pays à travers le monde ont échangé sur la problématique « Emergence, Secteur privé et Inclusivité ».

Les travaux de cette troisième édition qui ont démarré par une session de haut niveau réunissant les Chefs d’Etat et de Gouvernement, les Chefs d’institution, et les dirigeants d’entreprises, ont permis de mettre en exergue six thématiques majeures sous-jacentes à la problématique de la conférence. Il s’agit de :

  • promouvoir la stabilité à la fois aux plans politique et sécuritaire mais également de maintenir la stratégie d’émergence sur le long terme ;
  • Mobiliser des ressources internes et encourager les investissements directs étrangers (IDE) dans les secteurs stratégiques assortis de transferts technologiques ;
  • Développer le capital humain avec un accès particulier sur l’adéquation formation-emploi ;
  • Mettre en place un tissu de PME/PMI locales à travers un meilleur accès au financement et une meilleure prise en compte du contenu local dans les projets de développement ;
  • Elargir la taille des marchés africains à travers des infrastructures de connexion des pays et des réformes propices au développement des entreprises et ;
  • Amorcer une dynamique d’industrialisation durable pour une meilleure valorisation des matières premières.

Ces thématiques ont été approfondies dans les discussions en sessions plénières et panels parallèles qui ont permis d’apporter des éléments de réponses aux questions relatives à la promotion du secteur privé comme moteur d’émergence, et d’inclusivité, gage de la soutenabilité de l’émergence.

A l’issue des échanges, la conférence de Dakar a émis les recommandations suivantes à l’endroit des acteurs.

Les Etats sont invités à :

  • mettre en place les conditions d’une stabilité politique, institutionnelle, et sécuritaire et à bâtir une Vision à long terme partagée qui transcende les mandats politiques ;
  • Maintenir les efforts en matière de réforme de l’environnement des affaires, de réalisation d’infrastructures de soutien à la production et de connexion aux marchés, ainsi que de formation afin de garantir l’employabilité des jeunes ;
  • Accorder une attention particulière aux réformes fiscales, en vue d’une meilleure mobilisation des ressources internes et ;
  • Favoriser l’avènement de champions nationaux et régionaux, et développer les échanges intra-africains à travers l’accès à des marchés élargis.

Pour sa part, le secteur privé s’est félicité de la volonté des Etats d’accompagner l’essor des champions nationaux. A ce titre, il devra s’inscrire dans une dynamique à long terme et exploiter les opportunités offertes par les partenariats publics-privés innovants.

Par ailleurs, le secteur privé est appelé à jouer pleinement son rôle dans le processus de valorisation des produits africains par la transformation des ressources naturelles et le recours à l’innovation.

Aussi, reconnait-il l’importance de son rôle dans la mise en œuvre d’initiatives favorisant le développement de la productivité du travail ainsi que l’inclusion sociale et territoriale.

Quant aux partenaires techniques et financiers, ils réitèrent leur soutien aux efforts des États visant la formulation de stratégies d’Émergence et la mobilisation de ressources financières additionnelles.

Ils réaffirment également leur volonté de soutenir l’initiative privée, à travers la dynamisation des guichets y relatifs.

La conférence a reconnu l’importance de la pérennisation et de l’institutionnalisation des rencontres de la CIEA et recommande aux Etats, au secteur privé et aux institutions partenaires de travailler à en faire un puissant levier d’échange d’expériences permettant de garantir la réalisation de leurs ambitions.

Ainsi, la quatrième édition de la CIEA qui se tiendra en mars 2021 à Abidjan, offrira l’occasion de faire une évaluation de cette initiative et d’en tirer les leçons.

Dans cet esprit, un secrétaire exécutif a été nommé en vue d’opérationnaliser dans les meilleurs délais la feuille de route de la CIEA.

Source: communiqué final de la CIEA III fait à Diamniadio, le 19 janvier 2019.

Daouda Bakary Koné

Source : Croissanceafrique. com

Mali, 58 ans de l’armée : « La lutte contre le terrorisme sera gagnée » a déclaré IBK

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Le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Ibrahim Boubacar Keita, a présidé en début de matinée du dimanche 20 janvier , la cérémonie de prise d’Armes à Kati, à l’occasion de la commémoration du 58ème anniversaire de l’armée.

A la fin de la cérémonie c’est un Chef Suprême des Armées, optimiste et rassuré qui s’est exprimé face à la presse en ces termes « « Je mets cette cérémonie sous le signe de l’espoir et de la poursuite de notre engagement à faire de l’armée malienne ce qu’elle n’aura jamais dû cesser d’être , une armée à hauteur de mission , tels que l’ont souhaitée ses fondateurs , le Président Modibo Keita , le Général Abdoulaye Soumaré, , le Colonel Sékou TRAORÉ et tous ces autres grands pionniers . Donc , une armée réhabilitée , une armée en réqualification avec des hommes déterminés nul doute à ce sujet-là, une armée équipée aux dernières techniques en la matière sol-terre-air ; air-sol-fleuve , vous l’avez vu , cela pour faire face aux différents défis auxquels nous sommes confrontés , qui viennent de tous les milieux , de tous les horizons. Et, le centre du pays aujourd’hui est un sujet de préoccupation , et notre fleuve Niger n’a pas été épargné, donc il était bon que là aussi nous puissions acquérir une maîtrise d’intervention en milieu fluvial ; et c’est désormais le cas . Avec ces vedettes dont 5 blindées pour l’instant , mais il y’en aura sûrement d’autres en capacité d’intervention rapide presque à fond plat , cela va sécuriser le trafic fluvial qui est important dans un pays comme le nôtre , comme dans tous les pays d’ailleurs du monde . Le fleuve dans le développement d’un pays, je le dis souvent est essentiel et très important . Ce qu’on peut transporter par la voie fluviale , par la voie des eaux n’a pas de commune mesure avec ce que l’ont peut faire par transport terrestre et outre les questions de dépenses, (les questions budgétaires parce que la dégradation des routes oblige chaque année à l’entretien routier ce qui n’est pas le cas dans le transport fluvial) sans compter la capacité d’emport également beaucoup plus importante. Nous avions depuis quelques temps remarqué que régulièrement sur les passages des bateaux de la COMANAV , certaines attaques avaient été faites contre les passagers et contre ces bateaux-là. Désormais ces bateaux seront absolument sécurisés , le trafic fluvial sera sécurisé, notre souhait c’était cela . Comme nous l’avons souhaité qu’également le vecteur aérien soit amélioré. Bien sûr hier nous avons déploré malheureusement en exercice la perte d’un hélicoptère, cela arrive aussi mais j’en profite d’ailleurs pour rendre hommage à l’équipage , à ces deux jeunes officiers qui étaient à bord et qu’Allah Soubhana Wat’Allah heureusement nous a permis qu’il aient la vie sauve , mais c’était dans leur métier , dans l’exercice de leur travail et je sais qu’ils en ont été très dépités , qu’ils ne le soient pas , ils ont été braves , ils sont braves et j’ai confiance en eux . Je leur renouvelle toute ma confiance et mes vœux de prompt rétablissement au nom de tous les maliens et à mon nom propre . Pour le reste l’effort de l’équipement va continuer . Nous irons partout où besoin sera pour que notre armée soit la mieux qualifiées possible . Je l’ai souvent dit , l’armée c’est l’outil de décision politique d’un pays quel qu’il soit . Et, dans le contexte du Mali que vit le Mali aujourd’hui en zone sahélienne agressée , ô combien s’il y’a un besoin important , essentiel aujourd’hui à la quiétude des populations, c’est bien la question de la paix et la sécurité , la question de la sécurisation de nos villages , de nos villes , de l’aller et venir ; et que les maliens puissent dormir rassérénés rassurés quant à leur sécurité , le gouvernement y veille ,et nous y veillerons quotidiennement à faire encore plus dans ce domaine-là. Ce que nous avons vu ici ce matin je pense faire assurer tout le monde , chacun qui était dans le doute peut au sortir de cette matinée se sentir un peu plus rassuré. Nous avons vu les dégâts que les engins explosifs improvisés nous ont causés,combien de nos jeunes vies ont été fauchées dans la fleur de l’âge en raison de ces engins de lâcheté posés ça et là au long des routes , de nos chemins , souvent de ravitaillement simplement et souvent même des chemins d’intervention des services de santé pour aller au contact des populations et les aider ? . Mais au devant d’eux il y’avaient ces engins explosifs improvisés. Mais avec ces « Prespi », ces grands échassiers , je sais que doré n’ avant les vies de nos enfants seraient épargnées , et leur efficacité redoublée ; car les chefs militaires me l’ont expliqués , l’Ambassadeur d’Allemagne l’a dit également aussi ces engins peuvent être touchés et avoir quelques dégâts matériels mais la vie des hommes est sauve, et l’engin est réparé aussitôt, repartir en mission , voilà ce dont nous avons besoin. Je le dis et je le répète encore la lutte contre le terrorisme sera gagnée , nous la gagnerons inshallah cette lutte -là. Notre peuple est déterminé , résilient mais combatif et nous avons devoir et mission à faire en sorte qu’il soit au rendez-vous de l’histoire et il le sera inshallah ».
Les temps forts de la cérémonie ont été marqués par le dépôt de gerbe de fleurs sur la stèle ( monument dédié aux morts) par Son Excellence Monsieur Ibrahim Boubacar Keita, le salut au drapeau , l’exécution de l’hymne national Président de la République, Chef de l’Etat , Chef Suprême des Armées ; la revue des troupes, les honneurs militaires,la remise des clés des engins blindés par le Chef Suprême des Armées, et le ministre de la Défense et des Anciens Combattants ;le défilé militaire suivi de la visite des engins blindés.
La cérémonie de prise d’armes a mobilisé autour du Président de la République, Chef de l’Etat et Chef Suprême des Armées, le Premier ministre , Chef du gouvernement, les Présidents des Institutions de la République, les membres du gouvernement, les autorités administratives et politiques de la Région de Koulikoro et du cercle de Kati, le Commandant de la 3ème Région militaire , les ambassadeurs des pays amis du Mali, les représentants de la communauté internationale dont le Système des Nations , l’Union Africaine , l’Union Européenne, les hauts gradés de l’armée malienne, les invités spéciaux des Émirats Arabes Unis, de nombreux grands invités et également une foule nombreuse de la localité Kati.

Zangouna KONÉ

Source : Croissanceafrique.com

Mali, les 58 ans d’existence de son Armée nationale : Hommage et reconnaissance de IBK.

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Peu importe l’époque et le changement de circonstances, notre jeune armée de 2013 à nos jours sera toujours reconnaissante à ceux qui ont tout donné au Mali depuis l’indépendance et se sont battus pour une armée du peuple. « L’Armée malienne, composante essentielle de la Nation, est née et a grandi avec la République.
Elle fut l’œuvre fondatrice de Modibo Keita et de ses compagnons dont le Général Abdoulaye Soumaré et le Colonel Sékou Traoré. Il est alors de simple mérite qu’en ‪ce 20 janvier‬, ces patriotes visionnaires soient magnifiés. Ce devoir de gratitude est le minimum pour la République, surtout dans le deuil encore vif du Dr Seydou Badian Kouyaté, l’un des derniers survivants de cette glorieuse épopée, qui vient d’être arraché à notre affection. Notre armée s’est, par la suite, construite sur deux générations. Elle est jeune, très jeune. Elle connut des hauts et des bas.
Mais plus que jamais, j’ai conscience aujourd’hui, tirant les leçons du passé et celles du jour qu’elle doit être une armée véritablement nationale, inclusive ». IBK, rendant hommage aux dignes fils méritants que la patrie a été reconnaissante.

Zangouna Koné

Source : Croissanceafrique. com

Le Mali célèbre les 58 ans d’existence de son Armée nationale : IBK met l’accent sur une armée nationale puissante avec les moyens de sa mission pour la souveraineté du Mali

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Qualifiant le travail des forces armées maliennes de professionnel et pédagogique ; IBK a indiqué que les troupes maliennes devaient monter en puissance constamment et réalisée ses objectifs. « Elle est une réalité, malgré ses acquis fragiles. Notre décision et notre vœu sont que la montée en puissance de nos forces soit irréversible. Il ne s’agira plus de reculer, mais d’avancer, chaque année un peu plus, chaque année un peu plus loin, pour que le Mali puisse assurer la défense et la sécurité des Maliens. Une armée réarmée, à la fois techniquement, moralement et matériellement : c’est l’ambition minimale qu’il m’incombait de nourrir pour que notre outil de défense puisse réaliser ses objectifs.
Cela veut dire, des conditions décentes sur les théâtres d’opération, de meilleures incitations financières, une carrière plus attractive et mieux prévisible, une institutionnalisation de la solidarité nationale envers les militaires, y compris les compensations dues aux soldats tombés au champ d’honneur. La maîtrise du ciel est un objectif stratégique de la guerre asymétrique, parce que constituant à bien des égards une riposte adéquate aux méthodes lâches des terroristes. Nous sommes résolument engagés sur ce front, et d’autres acquisitions viendront s’ajouter à la flotte existante pour que le vecteur aérien ne soit plus le talon d’Achille de l’armée malienne et il l’a été» IBK

Zangouna KONÉ

Source : Croissanceafrique.com

Mali : nouveau financement de la BOAD en faveur de la BSIC

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La Banque ouest-africaine de développement (BOAD) a annoncé le 11 janvier 2019 avoir mis en place une ligne de refinancement d’un montant de 5 milliards de FCFA en faveur de la filiale malienne de la Banque sahélo-saharienne pour l’investissement et le commerce (BSIC Mali SA).

En effet, dans le but d’améliorer l’accès au financement pour les PME qui représentent la base du tissu économique des pays de la zone UEMOA, l’institution sous-régionale de développement et son partenaire allemand KfW ont initié un nouveau programme visant à les soutenir via le canal du secteur bancaire commercial de l’UEMOA.

« Les PME représentent un levier puissant en matière de création de richesses et d’emplois mais sont hélas assez souvent confrontées à des roblèmes de financement », a déclaré Bassary Touré, le vice-président de la BOAD et signataire du contrat de prêt avec Hissene Ahmat Senoussi, le directeur général de BSIC Mali SA.

Notons que la banque avait déjà bénéficié d’une première ligne d’un montant de 6,5 milliards FCFA, octroyé par la BOAD en juin 2015.

Zangouna Koné

Source : Croissanceafrique. com

Tunisie : hausse du PNB de l’Union internationale de banques en 2018

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Selon les chiffres publiés par l’Union internationale de banques (UIB), son PNB s’est établi à 363 millions de dinars tunisiens au 31 décembre 2018, soit une hausse de 25,1% en glissement annuel.

Au cours de la même période, l’encours net des crédits à la clientèle a augmenté de 8% pour atteindre 5,33 milliards de dinars. Celui des emprunts et ressources spéciales a atteint 390,1 MD contre 454 MD au 31 décembre 2017. Quant à l’encours de dépôts, il s’est élevé à 4,68 milliards de dinars, en progression de 13,7%.

Par ailleurs, le Résultat Brut d’Exploitation a augmenté de 26% pour atteindre 195,3 milliards au 31 décembre 2018 et le coefficient d’exploitation s’établit à 46,2% à la même date contre 46,6% une année auparavant.

Basée à Tunis, l’UIB est une institution financière créée en 1963. Elle a été primée, le 25 mai 2018, meilleur dépositaire en Tunisie pour la quatrième fois consécutive par le magazine Global Finance.

Zangouna Koné

Source : Croissanceafrique. com

Mali, rencontre RPM-URD: TOUT A ÉTÉ ÉVOQUÉ SAUF L’ESSENTIEL

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Une délégation du parti présidentiel s’est rendue, dans l’après midi du jeudi 17 janvier dernier, au siège de l’URD présidé par Soumaïla Cissé. L’objectif de visite était d’ouvrir le dialogue en vue de décrisper et d’apaiser le climat politique et social.
À la sortie de leur échange de plus de trois heures à huis clos, les présidents se sont réjouis de la tenue de telle rencontre.
Dr Bocary Tréta a annoncé qu’une commission paritaire a été mise en place pour proposer le cadre et identifier les défis à relever.
Soumaïla Cissé a, en ce qui le concerne, indiqué que les deux parties ont passé en revue toutes les crises qui sévissent au Mali.
Par ailleurs, le Chef de file de l’Opposition, qui conteste toujours les résultats de la présidentielle, a précisé qu’il a accepté la main tendue de RPM et non celle du président Ibrahim Boubacar Keïta. « Le RPM m’a tendu la main. J’ai pris la main de RPM. Le président n’est pas le RPM. Il faut que cela soit claire », a-t-il déclaré.
En réponse, Tréta a soutenu qu’ils étaient mis d’accord que des questions relatives au gouvernement et à la présidence auraient été évoquées.
Ce tiraillement à la fin de la rencontre démontre que les débats se sont plutôt axés sur d’autres sujets. En claire, tout a été évoqué sauf l’essentiel qu’est l’acceptation de la main tendue du président IBK par Soumaïla Cissé. Des questions demeurent, entre autres: Ont-ils parlé de la fusion RPM et URD comme annoncé par Soumeylou Boubèye Maïga ? Cette démarche de RPM aboutira-t-elle rapidement à une sortie de crise ?
À suivre

Moussa Sayon Camara

Source : Croissanceafrique.com

URGENT: UN IMAM POIGNARDÉ TÔT CE MATIN, UN AUTRE CRIME CRAPULEUX AU MALI

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La communauté musulmane du Mali en deuil. L’imam Abdoul Aziz Yattabaré n’est plus. Il a été poignardé tôt ce matin vers 6h par un conducteur de Katakatani qui l’a suivi puis poignardé quand il revenait de la prière de l’aube (Fadjir.).

L’individu a ensuite pris la fuite. L’imam s’est écroulé et fut d’urgence transporté à la clinique Pasteur où il a rendu l’ âme à 7h.Le conducteur assassin est allé se faire déclarer au 3ème Arrondissement de Bamako. Quel était son mobile ? Le monde devient vraiment danger . Paix à son âme !!!

Selon une source proche du dossier « Ce matin à 6H du matin, il a fini prié le fadjr avec les fidèles dans sa mosquée à Soukounikoura (marché de medine), il a quittait la mosquée pour la maison, un individu armé le suivre et le poignarde avec un couteaux avant de prendre la fuite, il tombe, et on le transporte d’urgence à la clinique pasteur. 1h plutard, il succombe à ses blessures à 7H », dit-elle, la source.

Et d’ajouter que « Son assassin est ensuite aller se rendre à police du 3 ème arrondissement », affirme telle.

D’autres sources affirment que « contrairement aux premières informations, ce n’est pas l’imam dont la photo circule sur le net qui a été poignardé mais il s’agit de son fils du nom de Abdoul Aziz Yattabaré qui a été poignardé », disent-elles. Les mêmes sources ajoutent que « Le commanditeur du crime se nomme Moussa Guindo qui a chargé Solomane Tandia dit Solo Tondjan de commettre le crime. Presentement, les deux criminels sont en garde-à-vue au commissariat du 3 ème arrondissement », ont -elles ajouté.

Selon le journaliste Kassim TRAORE « L’assassinat de l’imam Yattabaré serait lié à une affaire d’homosexualité. Selon nos informations, le chauffeur de Katakatani aurait été traité d’homosexuel par l’imam Yattabaré. Il aurait même été menacé de mort. Un malfrat avait même été contacté par le défunt imam pour tuer le chauffeur de katakatani, du nom de Soloni Tondjan. Pour laver cette humiliation et éviter d’être victime, il a décidé de passer à l’acte pour se faire justice lui-même en tuant l’Imam. Nous apprenons que Soloni Tondja a été déjà arrêté pour les besoins de l’enquête qui est en cours », a posté sur sa page facebook, le journaliste.

Zangouna KONÉ

Source : Croissanceafrique. com