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Banque Mondiale:Rapport sur les mariages des enfants font perdre des milliards de dollars à l’Afrique

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ACCRA, Ghana, le 20 novembre 2018— La pratique du mariage des enfants coûtera des dizaines de milliards de dollars aux pays africains, indique un nouveau rapport de la Banque mondiale publié à l’occasion du deuxième Sommet de la Commission de l’Union africaine pour mettre fin au mariage précoce qui se tiendra cette semaine au Ghana.

Intitulé Éduquer les filles et mettre fin au mariage des enfants : une priorité pour l’Afrique, le rapport souligne que plus de trois millions de filles (soit un tiers) se marient encore avant leur 18e anniversaire en Afrique subsaharienne. Il s’agit du continent où la prévalence de mariage des enfants est la plus élevée, surtout chez les filles. Or, les filles qui se marient avant 18 ans sont beaucoup plus susceptibles d’abandonner leurs études et ont un niveau d’instruction plus faible que celles qui se marient plus tard. Elles ont également plus de chance de tomber enceinte et d’avoir des enfants très tôt, mettant ainsi en danger leur santé ainsi que l’éducation et la santé de leurs enfants.

Alors que de nombreux pays africains ont atteint la parité entre les sexes dans l’enseignement primaire, le rapport note que les filles sont à la traîne par rapport aux garçons au niveau secondaire. En Afrique subsaharienne, sept filles sur 10 achèvent leurs études primaires, mais seulement quatre filles sur 10 achèvent le premier cycle du secondaire.

En moyenne, les femmes qui ont fait des études secondaires ont plus de chance de travailler et gagnent deux fois plus que celles qui n’ont pas fait d’études. Après avoir analysé 12 pays d’Afrique subsaharienne et du Maghreb, qui abritent la moitié de la population du continent africain, le rapport estime que le mariage des enfants représente un manque à gagner de 63 milliards de dollars en matière de revenus et de capital humain suite à son impact négatif sur l’éducation des filles.

« L’enseignement primaire pour les filles n’est tout simplement pas suffisant. Les filles retirent le plus de bénéfices de l’éducation lorsqu’elles sont capables de terminer leurs études secondaires », explique Quentin Wodon, économiste principal à la Banque mondiale et auteur principal du rapport. « Malheureusement, très souvent elles ne restent pas à l’école si elles se marient tôt. »

Le mariage des enfants entraîne également des taux de fécondité élevés et une croissance démographique plus forte, note le rapport. Si l’on mettait un terme aujourd’hui à cette pratique, la croissance démographique diminuerait. Cela entraînerait une amélioration des niveaux de vie, en particulier pour les plus pauvres.

Le rapport confirme que l’un des meilleurs moyens d’éviter le mariage des enfants est de scolariser le plus longtemps possible les filles. Chaque année d’études secondaires réduit d’au moins cinq points de pourcentage le risque de se marier avant l’âge de 18 ans.

Le rapport décrit également l’impact du mariage des enfants et de l’éducation des filles sur une quarantaine d’autres indicateurs. Par exemple, le mariage des enfants augmente le risque de violences conjugales et réduit la capacité des femmes à prendre des décisions au sein du ménage. Le mariage précoce affecte également la santé des enfants de jeunes mères, notamment avec des risques plus élevés de mortalité et de retard de croissance (malnutrition) chez les enfants de moins de cinq ans.

L’éducation des filles et la promotion de l’égalité entre les sexes font partie d’un effort global de la Banque mondiale qui comprend des financements et des travaux analytiques visant à maintenir les filles à l’école, éviter le mariage des enfants, améliorer l’accès aux services de santé reproductive et renforcer les compétences et débouchés professionnels des femmes.

Daouda Bakary KONE

Source: croissanceafrique.com

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Mali : l’AMRTP explique le code USSD au grand public.

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C’est au cours d’un point de presse animé par le bureau de l’autorité Malienne Télécommunication, des technologies de l’information de la communication et des postes (AMRTP) que les journalistes ont été informé sur la signification du (canal ou USSD) en anglais unstructured supplementary service DATA ou services supplémentaire pour données non structurées. C’était ce jeudi 22 novembre 2018 en présence du président de la structure M. Cheick Sidi Mohamed Nimaga.

En réalité, il s’agit d’une connexion, en temps réel, entre un opérateur téléphonique et un utilisateur, permettant à ce dernier de transmettre des données. La transmission de données se fait à travers les canaux de signalisation GSM. C’est pourquoi, dans le communiqué de presse il est dit que « les codes USSD utilisent une très faible bande passante, ne nécessitent pas un réseau internet et permettent, au choix, d’activer des fonctionnalités sur son téléphone ou d’obtenir de son opérateur mobile des informations sur les services fournir (recharges et vérification de crédit téléphoniques, paiement de facture, participer aux jeux accès money » précise, le communiqué de presse.

Au cours de son allocution président M. Cheick Sidi Mohamed Nimaga a affirmé que « malgré les efforts consentis par le gouvernement du Mali et les opérateurs dans la couverture dans la internet, force est de constater qu’une grande majorité des consommateurs reste toutefois sans accès. Cela vaut également dit-il pour les utilisateurs se trouvant momentanément en zone non couverte par le réseau internet », dit-il. Il ajoute en suite que l’obtention de services par code USSD reste donc dans ces cas précis une alternative, certes pas des plus pratiques, mais au résultat probant » a-t-il ajouté.

Il s’agit de garantir la pleine inclusion financière numérique capable dans ce monde dont les habitants à plus faible revenu disposent, le plus souvent, plus d’un téléphone que d’un compte bancaire. Toute mesure qui réduirait la facture, non seulement numérique, mais aussi financière ou bancaire à travers les TIC, contribuera sans nul doute, à la lutte contre la pauvreté, en donnant les moyens d’agir à la population, base de la pyramide, ce qui, à terme, stimulera la croissance sociale et économique.

Pour ce faire, il est prévu de mettre en place un cadre de collaboration étroite et inclusive, entre les deux structures (AMRTP-BCEAO) et l’ensemble des acteurs clés des secteurs de la finance et des télécommunications. En conclusion, les conséquences de cette mesure sont de nouveaux services verront le jour au profit des plus défavorisés et la démarche conduit à plus de dynamisme et de concurrence dans le secteur pour le grand bien des consommateurs.

Daouda Bakary KONE

Source: croissanceafrique.com

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Mali-météo : Les échanges ont porté sur les enjeux du changement climatique.

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Ce jeudi 22 novembre 2018 Mali-météo a tenu un atelier d’information et de sensibilisation des secrétaires généraux des départements ministériels à l’hôtel Salam de Bamako. C’était en présence des acteurs de la météorologie, du changement climatique, de la banque Africaine de développement, des secrétaires généraux des départements ministériels.

A sa prise de parole le représentant du secrétaire général du gouvernement M. Mamadou DOUGNON a tenu a remercié, le ministre des transports pour avoir initié cet atelier afin d’informer ces hauts fonctionnaires de l’Etat sur les activités du service météorologique, ainsi que sur l’importance et l’utilité de ses produits et services, dans la sécurité des citoyens et des ménages, la protection des biens et le soutien à la croissance et à la l’efficacité économique dans divers secteurs clés du développement de notre économie.

Cette cession d’information offre aux acteurs l’opportunité de mieux comprendre la contribution actuelle et potentielle des services météorologiques au développement socio-économique, afin de mettre en place des stratégies concrètes de soutien du développement et de renforcement des services météorologiques et climatologiques en de leur intégration dans les programmes et projets nationaux de développement, face aux défis liés aux phénomènes météorologiques extrêmes, aux changements climatiques et à la réduction des extrêmes de catastrophes naturelles dans divers secteurs clés de développements.

C’est pourquoi, il est important d’avoir des informations météorologiques fiables et adaptées ainsi que des systèmes d’alertes précoces aux décideurs, dans divers secteurs économiques et au grand publics en temps opportun et dans un langage clair et compréhensible pour faire face à ces phénomènes météorologiques et climatiques extrêmes afin de soutenir le développement durable, sauver des vies et des moyens de substance.

Selon les observations météorologiques de ces 30 dernières années « le Mali connait des sécheresses récurrentes, des vents violents, des températures extrêmes ; des inondations et des tempêtes de sable et leurs impacts sur la société et la quasi-totalité des secteurs d’activités économique, tels que l’agriculture, la santé, les transports, la production d’énergie ou la gestion des ressources en eau » ont-ils révélé.

Daouda Bakary KONE

Source: croissanceafrique.com

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Office du Niger : Les travaux d’aménagement de 3000 ha en cours à M’Béwani pour une valeur de plus de 12 milliards de FCFA

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Pour les 3000 ha à aménager dans la zone de production de M’Béwani à l’Office du Niger, ce sont le Fonds Européens de Développement (FED) et la Banque Mondiale (BM) qui se partagent respectivement le financement à hauteur de 8 953 107 230 milliards de de FCFA pour le premier dans le cadre de l’aménagement de 2500ha et 3 594 443 370 FCFA pour le second dans le cadre de l’aménagement de 500 ha. L’extension des aménagements se poursuit de nos jours sur la base de programmation quinquennale déclinée dans le contrat plan Etat / Office du Niger/Exploitant agricole. C’est dans ce cadre qu’il est initié, la réalisation d’un périmètre irrigué de 3000 ha dans la zone de production de M’Béwani.
Ces 3000 ha à aménager sont repartis comme suit : 2500 ha à réaliser dans le casier de Tiongoni (et travaux d’aménagement du drain de tango et de la partie amont du drain de Kalankorla). Une fois aménagée, les travaux comprendront les infrastructures d’irrigation et de drainage principales suivantes : le périmètre de 2500 ha net, le distributeur de Tiongoni, le drain principal de Tango, et celui de Kalankorla (Pk 7.1 à Pk 31,600).
Pour les 500 ha restants, l’objectif est de réaliser le réseau secondaire d’irrigation (partiteur BT16), le réseau secondaire de drainage (drains DRK09 et DRK10), les travaux d’ouvrages d’irrigation et de drainage.
Pour la réalisation des deux travaux, sur appel d’offres international, le Groupement d’Entreprise le Groupement EGK-EAD-EGCF a été retenu pour l’exécution des travaux de l’aménagement des 2500 ha pour un délai d’exécution de vingt-quatre mois. En ce qui concerne, les travaux d’aménagement des 500 ha, sur appel d’offres national ouvert, le Groupement d’Entreprise le Groupement EGK-EAD a été retenu pour l’exécution des travaux.
L’objectif recherché pour l’aménagement des 3000 ha dans la zone de production de M’Béwani à l’Office du Niger vise à contribuer à la sécurité alimentaire du pays, à augmenter la production et la productivité des terres aménagées par l’intensification de l’agriculture et à l’équilibre financier de l’Office du Niger afin de lui permettre de poursuivre son programme d’aménagement des terres dans le delta central du fleuve Niger.

Daouda B kone

Source: Croissanceafrique.com

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Mali: Boubacar Tandia, l’oeil d’un Mali industrialisé, une ambition

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Le groupe Tandia est une société à dimension mulpti functionnel qui intervient dans plusieurs secteur telques le commerce et lindustrie de transformation. Il est consodéré comme un comerçant et industriel ayant été convaincu de ses talents dhomme daffaire qui sest lancé dans exportation et importation des produits consomables. Pour rappel le PDG Bouakar Tandia est aussi le vice-president de lOrganisation des Patrons de Industriels du Mali(OPI). Il est regalement le President du Groupe Tandia connu pour ses nombreuses actions de développement du monde commercial et des affaires au Mali et dans la sous-région. Il vise un Mali industrialisé et confiant de ses fils.
Il faut préciser que Boubacar TANDIA est le patron de la TRIFERIE TANDIA qui nest dautre quune industrie de fabrique (GROUPE TANDIA). Cette unite produite déponge métallique depuis 1998 avec une unite de production de plus 50 machines employant une quarantaine de salarié. Le groupe TANDIA a une production trimestrielle de 7000 éponges métalliques. Selon une source proche de lentréprise la distribution des éponges est assurée par une équipe (100%) professionnelle et dynamique à travers le Mali. Ajoutant également que lobjectif premier de la TRIFERIE TANDIA est de promouvoir le savoir faire MALIEN à léchelle international et lindustrialisation dans sous-région sera une mission essentielle du GROUPE TANDIA.

Un homme discret et parrain des causes sociales.

En réalité, le PDG du Groupe Tandian est rémarqué comme un homme très discret dans les affaires, et est connu comme lun des plus grands opérateurs industriels du mali. Selon une source proche de lhomme Boubacar Tandia a été choisi par lAssociation Wélé Gnuman comme son parrain. La révélation en a été faite lors du 11è anniversaire de cette association, fêtée le samedi 5 mai dernier au Palais de la culture Amadou Hampathé Ba de Bamako, en présence de la présidente nationale de cette association, Mme Simpara Saran Traoré. Et celà le choix de Boubacar Tandia, qui est un modèle pour la jeunesse, se justifie donc amplement au vu du cursus de lhomme qui est actuellement à la tête dun des plus grands groupes intervenant à la fois dans le commerce et lindustrie, en plus dêtre vice-président de lOrganisation patronale des industriels, après des pas de géant à la Jeune Chambre économique.
Patron des événements, cest encore lui

Dans une interview accordée à un media de place, Boubacar TANDIA, na pas cache sa satisfaction par rapport aux differentes editions des journées de lindustrialisation ce fut une très bonne occasion pour les acteurs du secteur industriel de se retrouver pendant quelques jours pour échanger et surtout pour discuter sérieusement sur leurs préoccupations, disons même leur avenir pour proposer des solutions. Les industriels que nous sommes, avons démontré quà chaque fois que nous sommes unis, nous obtenons de très bons résultats dans ce que nous entreprenons sest rejouit le M. TANDIA. Il est des co-organisateurs des journées de lindustrialisation au Mali, un évenement far dédié à la promotion de lindustrialisation au Mali.

L’oeil dun Mali industrialisé, une ambition de lhomme

Pour promouvoir le commerce et lindustrialisation au Mali, le PDG TANDIA est resté toujours confiant dans son domaine dintervention et cela, il demande aux gouvernement davoir confiance aux fils du pays, le Mali. Cest pourquoi, il affirme que je cite Je demande aux autorités Maliennes davoir confiance en leurs unités industrielles implantées par des fils du pays pour contribuer au développement économique de notre nation. Pour lui, il faut que les Maliennes et les Maliens parviennent à comprendre quen achetant des produits venus de lExtérieur alors quils sont fabriqués sur place, ils contribuent à appauvrir leur pays pour enrichir des industriels de lEtranger a incisté lors dune interview accordée à un media de place, il ya deux ans. il vise un Mali industrialisé et confiant.

Un grand ami des medias nationaux et internationaux

Dans les colonnes du meme media en 2017 Boubacar TANDIA sest montré comme un super defenseur des produits directement fabriqués au Mali cest donc un acte citoyen que de consommer le Made in Mali car cest une sorte de contribution à luvre dédification dune économie nationale prospère et performante. Là également, je demanderai à vous, professionnels des médias, de jouer votre partition en termes dinformation, déducation et de communication, pour que les gens comprennent que le changement de comportement est nécessaire afin que nous puissions compter sur nous-mêmes et aller ensuite de lavant a-t-il souhaité.

Daouda Bakary KONE

Source: croissanceafrique.com

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Mali: 137 migrants maliens regagnent Bamako

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Ce mardi 20 Novembre 2018, le Gouvernement du Mali, en partenariat avec l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM) a volontairement rapatrié 137 migrants maliens, en provenance de la Libye. C’etait dans la soirée.

Dès leur descente dans l’avion, les 137 migrants, de retour volontaire, ont été accueillis par le Chef de cabinet du Département de tutelle, Moussa Aliou Koné, en présence du délégué général adjoint des maliens de l’extérieur Lassine Camara et des représentants du développement social du district de Bamako et de l’OIM.

Selon le chef de cabinet Moussa Aliou KONE « c’est aux environs de 23H 45 mn que l’avion de nos compatriotes vivant dans de situations difficiles en Libye a atterri à l’aéroport international Modibo Keita Bamako-Senou », dit-il.

Au total 137 jeunes garçons en majeure partie et une dizaine de femmes qui étaient à bord d’un vol humanitaire de la Libye ont regagné. C’est pourquoi, le chef de cabinet a ajouté que « ce retour de nos frères et sœurs a été organisé et assuré par le Ministère des Maliens de l’Extérieur et de l’Intégration Africaine, en étroite collaboration avec l’Organisation Internationale pour les Migrations.

Ensuite de l’aéroport, nos compatriotes ont été conduits dans à la cité du Haut Conseil des Maliens de l’Extérieur (HCME) où ils ont été affablement accuéillis dans la cour du haut conseil des Maliens de l’extéroeur (l’hébergement assuré), avec toute les commodité d’une restauration, il s’agit de l’assistance sociale du gouvernement de la République du Mali.

Pour sa part le secrétaire général adjoint des maliens de l’extérieur et l’integration Africaine M.Lassina Camara a donné quelque estimation sur la situation, selon lui, « le ministère en charge des maliens de l’extérieur et de l’intégration africaine est à pied oeuvre. Cependant, il précise que c’est le 16 ème vol qui vient cette année d’ajouter que l’objectif principal demeure toujours de chercher partout tous les maliens en détresse et organiser des vols pour les ramener dans leur pays. Avant d’évaluer le chiffre de nos compatriotes ramenés à plus de 7 milles personnes depuis le début de ces activités de rapatriement », a-t-il estimé.

Pour conclure le chef de cabinet M. Moussa Moussa Aliou KONE a affirmé « qu’au lendemain de leur arrivée, ces personnes rapatriées sont recensées, identifiées pour des éventuels emplois et selon la qualification de chacun à travers les structures d’emplois de l’État dont l’ANPE, le FAFPA et cela en collaboration l’organisation internationale de la migration » Avant d’ajouter « qu’elles sont également logées et nourries durant 3 jours au maximum avant d’être assurées par un pécule d’au moins de 52 000 FCFA afin de rejoindre leurs parents le plus tôt possible », a-t-il conclu, le chef de cabinet. L’opération a été couverte par une brochette de journaliste coordonnée par M.Alhousseni SIDIBE chargé à la communication. Elle rentre dans le cadre des action du ministère des maliens de l’éxterieur et de l’Intégration Africaine qui a d’ailleurs regagne Bamako depuis le samedi dernier en provenance d’Addis Abeba. C’était dans le cadre de la cession de l’union Africaine au cour de laquelle, le ministre Yaya sangaré a profité pour rencontrer le ministre Angolais des affaires étrangères pour s’enquérir de la situation des migrants maliens déjà encours depuis plusieurs semaines.

Daouda Bakary KONE

Source:croissanceafrique.com

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Mali, mois de solidarité: Une donation de plus de 80 millions pour boucler la 24eme édition

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Mois de la solidarité et de la lutte contre l’exclusion

La 24eme édition du mois de la solidarité et de la lutte contre l’exclusion a pris fin le vendredi 16 novembre 2018 à la direction nationale du développement social(DNDS), par la donation de vivres et plusieurs équipements aux personnes vulnérables d’une valeur de 81.265.000 f Cfa.
Présidé par le ministre de la solidarité et de l’action humanitaire Hamadoun Konaté, le mois de la solidarité et de la lutte contre l’exclusion a été bouclé le vendredi dernier par la donation de vivres et du matériel a hauteur de 81. 265.000 f Cfa dont 30 millions destinés à des activités génératrices de revenus. Cette donation est composée de 13,1 tonnes de mil, 15,35 tonnes de riz, 03 tonnes de maïs, 4,5 tonnes de sucre, 13 tonnes de lait en poudre, 200 kits scolaires, 10 prothèses auditives pour les sourds, 111 tubes de crème solaire pour les albinos, 10 cathéters de dialyse remis au CHU Point G, 31 tricycles à moteur, 09 tricycles à pédales, 15 kits (maraîchage, sanitaire et machine à coudre) et enfin 200 cartons de savon. Ces lots ont été remis aux différents couches vulnérables. En dépit des efforts des plus hautes autorités, cette gigantesque donation a été rendue possible grâce aux nombreux donateurs et autres partenaires du mois de la solidarité et de la lutte contre l’exclusion.
Depuis plusieurs années, le mois d’octobre est dédié à la solidarité et a la lutte contre l’exclusion. Cette 24 ème édition avait pour thème : « la solidarité, une responsabilité citoyenne en République ». Un thème qui, selon le ministre de la solidarité et de l’action humanitaire Hamadoun Konaté, met en exergue la volonté des plus hautes autorités du Mali, a faire de la solidarité un vecteur de paix et de citoyenneté. « Je constate avec satisfaction que les maillons de la chaîne de solidarité se sont considérablement resserrés au fil des éditions du Mois » s’est réjoui Hamadoun Konaté.

Cette cérémonie de clôture du mois de la solidarité et de la lutte contre l’exclusion a enregistré la presence de tous les parrains, les marraines ou leurs représentants qui ont à leur tour reçu des attestations de reconnaissance.
Oumar Alpha

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Mali:Rencontre anuelle des Assurances Lafia

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La Lafia à la recherche de nouvelles solutions malgré sa bonne santé
La rencontre annuelle de la direction avec le réseau commercial a eu lieu le samedi 17 novembre 2018 à l’hôtel Salam. Et malgré la bonne santé, le réseau Lafia se lance à la recherche de nouvelles solutions.
« La Lafia se porte bien mais nous devons rester debout et rechercher des nouvelles solutions » tels ont été les propos tenus par le Directeur général des assurances Lafia Ousmane Bocoum, a l’ouverture de la rencontre annuelle de la direction avec le réseau commercial, le samedi dernier. Selon M. Bocoum, l’assurance Lafia s’agrandit d’année en année en terme d’expérience et en chiffres. Les produits financiers sont ainsi passés de 262 258 752 f Cfa du 31 décembre 2016 à 355 258 606 f Cfa au 31 décembre 2017, soit une progression de 35,46 %. La production du réseau commercial connait une augmentation appréciable en 2017. Et cette bonne santé, la Lafia la doit aux administrateurs, collaborateurs, partenaires et le personnel, à travers les immenses projet entrepris.
Oumar Alpha

Source: croissanceafrique.com

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Les banques centrales tunisienne et marocaine signent deux conventions de coopération

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La Banque centrale de Tunisie (BCT) annonce avoir signé, vendredi 16 novembre, deux conventions de coopération avec sa sœur marocaine, Bank Al-Maghrib.

Selon un communiqué diffusé sur l’institut tunisien d’émission sur son site internet, la première porte sur la formalisation de la coopération générale entre les deux institutions dans un cadre conventionnel permettant de servir les futures actions de coopération, et la deuxième est relative à la coopération en matière de contrôle bancaire et d‘échange d’informations.

« Elle a pour objet d’organiser et de mettre en œuvre des actions de coopération entre les deux autorités, notamment dans les domaines de surveillance des établissements transfrontaliers, de contrôle sur place, de traitement des difficultés et de résolution bancaire, de surveillance des établissements assujettis, d’échange d’expériences en matière de supervision et de réglementation bancaire », indique –t-il.

Ces accords ont été paraphés, à Tunis, par le gouverneur de la BCT, Marouane El Abassi, et son homologue Abdellatif Jouahri de Bank Al-Maghrib, en marge de la quatrième édition de la Conférence internationale des Banques centrales méditerranéennes. Conclave au cours de laquelle les banques centrales de huit pays de la méditerranée occidentale ont examiné les meilleures approches afin de favoriser le développement économique.

Hamadoun Alfagalo

Source: croissanceafrique.com

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Rwanda: Kigali va construire la plus grande «Silicon Valley» africaine

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Le Rwanda va construire la plus grande cité de l’innovation technologique d’Afrique, dénommée la Cité de l’innovation de Kigali (CIK). Inspirée de la «Silicon Valley» américaine, celle-ci sera réalisée sur une superficie de 70 hectares et va nécessiter un investissement de 2 milliards de dollars.

Le président rwandais Paul Kagame montre une fois de plus l’intérêt qu’il porte aux nouvelles technologies. Quelques jours après l’annonce de l’implantation de la plateforme régionale eWTP –Electronic world trader plateforme- Africa du géant chinois Alibaba Group à Kigali, il vient ainsi d’annoncer la réalisation de la plus grande cité de l’innovation technologique en Afrique.

La Cité de l’innovation de Kigali (CIK), inspirée de la Silicon Valley américaine, sera réalisée sur une superficie de 70 hectares, dans la Zone économique spéciale de Kigali. Ce projet va nécessiter un investissement global de 2 milliards de dollars US.

Cette cité va accueillir des complexes universitaires devant former annuellement 2.600 étudiants entrepreneurs dans le domaine des nouvelles technologies. Des incubateurs sont également prévus dans cette cité, dans laquelle seront également construits des sièges d’entreprises, des entreprises du secteur des nouvelles technologies de l’information et des biotechnologies, ainsi que des centres de recherche et des centres commerciaux.

Pour le développement de cet important projet, le Rwanda vient de bénéficier du soutien de la Banque africaine de développement (BAD). Celle-ci a annoncé son engagement à apporter un financement de 400 millions de dollars à la CIK via son fonds Africa50. De plus, ce fonds, nommé co-sponsor et partenaire du projet, apportera son expertise et aidera le Rwanda à sélectionner d’autres partenaires.

Les retombées de cette cité sont évaluées à 150 millions de dollars d’exportations de connaissances et de technologies de communication annuellement. De même, la CIK permettra d’attirer annuellement 300 millions d’investissement étrangers et créera 50.000 emplois.

Source: 360.com

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