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Le FMI approuve le décaissement de 24 millions de dollars à la Guinée

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Réuni le 21 décembre 2018, le conseil d’administration du Fonds monétaire international (FMI) a approuvé la deuxième revue du programme économique et financier de la Guinée, autorisant ainsi le décaissement de 23,9 millions de dollars au titre du soutien à la balance des paiements renforçant les réserves internationales de change du pays.

Cette décision s’inscrit dans le cadre de l’accord au titre de la facilité élargie de crédit (FEC). Il s’agit, en effet, d’un accord triennal approuvé par le 11 décembre 2017 pour un montant d’environ 167,2 millions de dollars. Il vise à renforcer la résilience, à accroître l’investissement public dans les infrastructures tout en préservant la stabilité, à renforcer le dispositif de sécurité sociale et à promouvoir le développement du secteur privé.

« Au-delà du concours financier qu’elle nous permet de mobiliser, la revue concluante du programme au 30 juin 2018 reflète aux yeux de l’opinion publique internationale les bonnes performances découlant de la gestion macroéconomique mise en œuvre par les autorités guinéennes en 2018. Ces performances pourront déboucher sur des perspectives à moyen terme compatibles avec les objectifs du Plan National de Développement Économique et Social 2016-2020 », commentent les services du ministère de l’économie et des finances.

Source : Finacialafrik.com

Mali : La JCAR reconnait ses récipiendaires et délivre des attestations

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La maison de la presse a servi de cadre pour la cérémonie de remise d’attestation de reconnaissance ce lundi 31 décembre 2018. Cette cérémonie de reconnaissance est placée sous le haut parrainage du premier ministre Soumeylou Boubeye MAIGA, chef du gouvernement. Elle a été organisée par la JCAR (Journalisme Citoyen Action pour la République). L’objectif est de rassembler les hommes de médias à œuvrer pour la bonne citoyenneté de la République. C’était en présence d’une brochette de journalistes et le représentant du premier ministre son excellence Cheick Oumar Coulibaly Conseiller diplomatique à la primature.
A sa prise de parle, Abderrahmane Maiga président de la JCAR « Cette remise d’attestation symbolise votre attachement au journalisme citoyen. Nous vous sollicitons afin de sensibilisé les journalistes pour la citoyenneté. Soyez nos ambassadeurs auprès de la République », dit-il.
Pour le représentant du premier ministre Cheick Oumar Coulibaly a demandé plutôt aux journaliste de mettre l’accent sur le professionnalisme avant de remercier les organisateurs au nom du premier ministre Soumeylou Boubeye Maiga, chef du gouvernent. Il faut dire que ceux qui sont primés ont choisi par des éminent journalistes. Les récipiendaires sont au nombre de 19. Il s’agit entre autres concernés : de M. Soumeylou Boubeye MAIGA ; M. Harouna MODIBO TOURE, Ankoundio Dit LUC TOGO, Mohamed Albachar TOURE, Brehima HAIDARA, Sidiki N’fa KONATE, Adama SANGARE, Mohamed CISSE, Zeinabou Wallet IMIDI, Ibrahim Ben Mamata TOURE, Souleymane WAIGALO, Mountaga TOURE, Nouhoum TOGO, Babaly Bah, Diadié amadou Sangaré, Mouhamadou Boubeye MAIGA, Waly DIAWARA, Mohamed Aba Diallo et Abdel karim KONATE.
Il faut noter que l’association journalisme Citoyen Action pour la République a pour devise : Citoyenneté ; Intégrité et Loyauté.

Dans le cadre de la cérémonie de remise de reconnaissance aux partenaires de la presse, organisée par l’association Journalisme Citoyen Action pour la république (JCAR) présidée par Abdramane Alassane Maiga, une vingtaine de personnalités ont été primés.

Daouda Bakary Koné

 

Source : croissanceafrique.com

 

Mali : 21 migrants retournent à Bamako en provenance d’Angola dont la majorité composée d’enfants.

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Après l’arrivée de quarante-six (46) ressortissants (migrants) irréguliers maliens, la semaine dernière. Le gouvernement du Mali à travers le ministère des maliens de l’extérieur et de l’intégration africaine vient d’accueillir 21 autres migrants venus de l’Angola. Il faut le rappeler que ce rapatriement a été rendu possible grâce au gouvernement et ses partenaires de l’organisation Internationale pour les migrants. C’était ce lundi (soir) 31 décembre 2018, de l’Angola par un vol régulier (d’Ethiopian Airlines). Ils viennent s’ajouter aux 9896 autres migrants arrivés au pays depuis mai 2017, un chiffre qui dépasse largement les prévisions triennales de l’OIM.

Au total 21 autres migrants venus de l’Angola dont 9 enfants, 9 hommes et 3 femmes. Il faut le rappeler que ce rapatriement a été rendu possible grâce au gouvernement et ses partenaires de l’organisation Internationale pour les migrants. Ils ont été accueilli à bras ouvert par le ministre chargé des maliens de l’extérieur et de l’intégration africaine M. Yaya Sangaré. Cet accueil a été organisé par le gouvernement du Mali à travers le ministère des maliens de l’extérieur et l’Intégration africaine. Il rendre dans le cadre des activités menée par le ministre Yaya SANGARE. Le cabinet du ministre des maliens de l’extérieur et de l’intégration africaine a jugé nécessaire d’être présent à l’aéroport avec à sa tête le ministre concerné.

Selon le ministre des maliens de l’Extérieur et de l’Intégration Africaine S.E Yaya Sangaré a affirmé que « Nous avons travaillé en étroite collaboration avec l’OIM pour nous aider à évacuer ses personnes. Ils sont au nombre de 21 personnes et avec la majorité composée d’enfants. C’est pour les sortir vraiment de cette situation en collaboration avec l’OIM. Nous avons tenu à les ramener ici, les accueillir, les installer et les conseiller et voir maintenant dans quelle mesure avec toujours nos partenaires comme l’OIM, on peut les aider à être réinsérer dans le circuit socioéconomique du Mali surtout qu’il y’a des femmes parmi eux donc on verra quelles sont moyens à mettre à leur disposition pour qu’elles puissent souvenir à la prise en charges de ses enfants surtout à leurs éducations. Déjà nous sommes deuxième convois », a – t – affirmé.

Depuis le début de la situation des maliens résidant en Angola le gouvernement a fait montrer de toute sa solidarité. Raison pour laquelle, de l’aéroport, nos compatriotes ont été conduits dans à la cité du Haut Conseil des Maliens de l’Extérieur (HCME) où ils ont été accueillis dans la cour du haut conseil des Maliens de l’extérieur (l’hébergement assuré), avec toute les commodité d’une restauration, il s’agit de l’assistance sociale du gouvernement de la République du Mali.
Daouda Bakary KONE

 

Source : croissanceafrique.com

Mali: L’OCCASION DE LA SAINT SYLVESTRE le ministre Soumana Mory Coulibaly vous souhaite bonne fête

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MESSAGE DU MINISTRE DES TRANSPORTS, Mr SOUMANA MORY COULIBALY A L’OCCASION DE LA SAINT SYLVESTRE

Usagers de la route,
Chers jeunes,

Dans quelques instants, nous allons passer de l’année 2018 à l’année 2019. Au seuil de cette année nouvelle, j’ai l’insigne honneur et l’agréable devoir, au nom du Gouvernement et en mon nom propre, de vous appeler à plus de prudence et de retenue sur les routes.

En effet, la fête de fin d’année est marquée par une mobilité accrue des populations sur les routes ; que ce soit dans les villes ou en milieu rural.

Cette mobilité est souvent source d’accidents de la circulation routière avec ses corollaires de victimes à cause du non-respect des règles élémentaires de la circulation routière, de la vitesse excessive, de l’alcool ou les stupéfiants au volant, du téléphone au volant, de la fatigue pendant la conduite entrainant la somnolence, entre autres.

Or, la fête de fin d’année doit apporter de la joie et de l’harmonie dans nos familles et non la tristesse et la désolation.

Je saisis donc cette occasion pour rappeler à chaque usager de la route, la vision du Président de la République, Son Excellence Monsieur Ibrahim Boubacar KEITA qui est de protéger l’ensemble des citoyens sur la route.

A cet égard, je demande à tous de réserver une attention particulière aux usagers vulnérables que sont les personnes âgées, les personnes en situation de handicap et les enfants.

Pour minimiser les impacts des accidents de la route, je vous encourage au port de casque de protection quand vous êtes conducteur ou passager de moto ou de la ceinture de sécurité lorsque vous êtes en voiture.

En ces instants de joie, notamment pour la jeunesse, je sais pouvoir compter sur la bonne compréhension et le civisme de tous les usagers de la route.
Bonne et heureuse année 2019 à tous. Je vous remercie.

Daouda Bakary Koné

Source : croissanceafrique.com

 

Coton: Inquiétude face à la résistance aux pesticides, une menace sur la production mondiale ?

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Les cours mondiaux du coton pourraient connaître une «stabilisation» ou une «légère augmentation» lors de la campagne 2018-2019. C’est l’un des points qui ressort de la déclaration finale de la 77ème réunion plénière du Conseil international consultatif du coton (CCIC) tenue à Abidjan, du 2 au 6 décembre. C’est pourquoi le journal sénégalais financialafrik n’a pas son inquiétude. Lisez.

 

Selon Finacialafrik « Ces prévisions sur les prix se fondent sur une probable diminution des stocks mondiaux. De 18.8 millions de tonnes en 2017-2018, ils pourraient chuter pour s’établir à 18.2 millions de tonnes en 2018-2019 », dit-il. Le même journal affirme « La même tendance baissière pourrait être observée au niveau de la production mondiale. Elle « s’établira à 26,12 millions de tonnes, contre 26,75 millions de tonnes pour la campagne précédente », selon les termes de la déclaration finale. En cause : une réduction des superficies plantées, la raréfaction de l’eau et l’amélioration limitée des rendements », a-t-il pensé le journal en ligne sénégalais.

Pour les effets néfastes du changement climatique, ce financialaftik persiste encore.

Il dira par la suite que « Environ 56% de la superficie mondiale des champs de coton sont tributaires de la pluie. Le « stress hydrique » peut entraîner une réduction significative des rendements, selon les experts », dit-il. Le journal sénégalais ajoute que « Le changement climatique fait craindre des vagues de chaleur. Ce qui accroîtrait les risques sur la culture cotonnière. Notamment, la prolifération d’insectes ravageurs et la réduction du poids des capsules. La conséquence : perte de rendement et détérioration de la qualité des fibres », ajoute t-il.

Ensuite l’inquiétude face à la résistance aux pesticides

Il explique, (financial Afrik) que « Des pays ont exprimé leurs inquiétudes face à la résistance d’insectes au coton biotech. Particulièrement redoutées, les mouches blanches (aleurodes). Résistantes aux insecticides, elles  causent de graves dommages aux cultures, et transmettent le virus de la frisolée. Le CICC a dit avoir pris note des exposés et recommandations sur la question qui s’impose comme un défi mondial. En collaboration avec les producteurs des États endémiques, il adoptera un plan stratégique de gestion rigoureuse », a-t-il expliqué dans ces colonnes.

Notons que le Conseil international consultatif du coton (CCIC) a réuni 385 personnes, dont 20 gouvernements membres, 6 organisations internationales et 15 gouvernements non membres. Cet article a été repris chez financialafrik et traité par notre rédaction.

Daouda Bakary Koné

Source : croissanceafrique.com

Mali: Soumeylou Boubeye MAIGA au 2 ème congrès de ASMA-CFP « Avant aujourd’hui, il y a eu hier(…) dixit.

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C’était ce 29 au 30 décembre 2018, les délégués du parti de l’ASMA-CFP, venus de l’intérieur et de l’extérieur du pays, auront la lourde tâche de mettre en place un nouveau bureau national qui orientera la direction du parti. L’événement a été placé sous le signe du rassemblement, et d’ouverture, car ayant enregistré la présence de toute la classe politique de différentes tendances.

En effet, l’ouverture du deuxième congrès ordinaire de l’ASMA-CFP, a enregistré, contre toute attente, la présence du parti politique farouchement opposé à la légitimité du pouvoir actuel: l’URD. Une surprise remarquée, par la représentation de ce parti avec Iba N’Diaye. << Notre présence ici peut paraître surprenante pour les uns et les autres » a lancé le premier vice-président de l’URD au début de son intervention.

Mais pour l’ancien maire du district de Bamako, cette présence de l’URD au congrès du parti politique adversaire est bien justifiée: « Avant aujourd’hui, il y a eu hier (…) . Les différents partis politiques de l’opposition et de la majorité ont travaillé en complicité et de manière sincère pour l’instauration de la démocratie et de son encrage » a-t-il martelé.

Toute chose qui constitue, selon le vice-président de l’URD, un acquis que les hommes politiques doivent consolider, malgré leurs divergences et différences, pour « sauver le Mali ».

 

Aussi, du côté du parti ADP-Maliba, le discours est le même. Lors de sa prise de parole, le Président de l’ADP-Mali, honorable Amadou Thiam, a insisté sur la nécessaire entente entre les différentes tendances politiques. Pour lui, l’heure n’est plus aux querelles d’intérêt personnel, et que chacun œuvre pour le développement et la quiétude du Mali.

A sa prise de parole, le Premier Ministre, président du parti ASMA-CFP, tout satisfait des appels à l’unisson lancés par les adversaires politiques d’aujourd’hui, n’a plus eu besoin de son discours officiel.  « Les travaux du deuxième congrès du parti s’ouvrent sous le signe du rassemblement et de l’ouverture >> a-t-il lancé.

Il  ajoutera  par la suite que « le Président de la République est totalement déterminé et disposé à concrétiser le rassemblement et l’ouverture de la gouvernance du pays pour le service de la nation ».

Esuite, le président de l’ASMA-CFP, SEM Soumeylou Boubèye Maiga, ce moment solennelle, doit être mis à profit par les partis politiques de l’opposition et de la majorité, pour dépasser ainsi les divergences afin de rassembler les forces au service du Mali et de créer, à cet égard, « un mouvement de conquête et de consolidation des acquis démocratiques ».

 

Daouda Bakary Koné

Source : croissanceafrique.com

 

Gabon : jamais un discours d’Ali Bongo n’aura été autant attendu

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Voilà un peu plus de 3 mois, que le président du Gabon, Ali Bongo Ondimba, a été victime d’un AVC qui l’a mis à l’écart du pouvoir pour une brève durée. Dans les jours à venir, il doit s’exprimer devant le peuple gabonais.

Présentement du côté du Maroc où il suit sa rééducation, Ali Bongo avait fait sa première apparition publique lors d’un entretien avec le roi Mohamed VI. Sur les images, on pouvait voir les séquelles laissées par l’Accident Vasculaire Cérébral.

Cette apparition d’Ali Bongo, n’avait pas du tout rassuré les gabonais et les leaders de l’opposition ont estimé que le dirigeant gabonais n’était plus apte à diriger le pays. Depuis, les spéculations allaient bon train sur l’état de santé du président et l’opposition réunie autour de Jean Ping, étudiait la possibilité d’une destitution. Cependant, l’entourage du président gabonais avait tenu à rassurer l’opinion sur la capacité d’Ali Bongo à diriger.

Une allocution très attendue

Selon de nombreuses sources, le président gabonais prendra la parole ce 31 décembre depuis le Maroc à l’occasion du nouvel an. Son message est très attendu par le peuple gabonais et l’opposition politique sera sur le qui vive. Durant son allocution, le chef de l’État devra donner des éclaircissements sur son état de santé. Cette annonce tombe à point car l’opposition s’impatientait de plus en plus et mettait la pression pour que Ali Bongo puisse s’exprimer rapidement afin de savoir si son état de santé lui permet de continuer à gouverner. Dans les prochaines heures, ils seront vite renseignés, eux avec le peuple gabonais tout entier.

Omar Traoré

Source : Croissanceafrique.com

Mali:  Mahamadou KASSONGUÉ désigné président du comité exécutif du syndicat autonome de la magistrature.

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À l’issue d’un congrès ordinaire du syndicat autonome de la magistrature, tenu le 29 décembre 2018 à la cour d’appel de Bamako, a présenté un nouveau bureau de 27 membres présidé par  Mahamoudou Kassogué, premier substitut au près du tribunal de la commune V.
Mahamoudou Kassogué, est désormais, le nouveau président du SAM dans son allocution, il a salué tous les membres participants du congrès et ses militants congressistes en  particulier.

 
Selon lui,  » nous avons une justice forte, indépendante, servit par des hommes bien traités. C’est le peuple qui en profite. », dit-il.

Avant d’ajouter « qu’aujourd’hui vous pouvez être du côté des puissants, des forts et vous réjouir de justice en déliquescence. Mais, demain, la route de l’histoire tourne, vous pouvez vous retrouver de côté des faibles. Et là, la justice ne joue pas son rôle ».  C’est pourquoi, nous devons lutté pour que avoir une justice forte, indépendante. C’est par là que se passe le salut de tout le monde, parce-que, la justice est le point d’équilibre de la société », a expliqué M. Kassogué, le nouveau président du comité directeur exécutif de SAM.
Nous devons y veiller sur la formation des militants, nous allons veiller à ce que l’éthique et la déontologie prennent place c’est très important », a laissé entendre l’engagement et l’ambition de ce nouveau bureau.
Il a invité tout le monde à s’engager dans la voie de sensibilisation. Très souvent, la justice est décriée, parce qu’elle est incomprise. Mettons l’accent particulier sur la communication.
M. Mathieu Traoré conseillé technique au ministère de la justice formulé ses vœux au nouveau de SAM ‹‹ Puisse le Tout Puissant guider les pas des nouveaux dirigeants dans leurs activités et dans leurs actes de tous les jours. Nous leurs souhaitons plein de santé, de succès et de concorde,››. Il a aussi adressé ses remerciements au bureau sortant ‹‹ l’occasion est également opportune de recharge nos remerciements aux membres du bureau sortant qui n’ont menacés aucun effort pour lutter afin d’améliorer les conditions de vie des magistrats dans ce Pays,››.  Pour le conseillé technique, Mathieu Traoré, aucun sacrifice n’est de trop pour le département de la justice, accepter d’accompagner le SAM en général et le nouveau en particulier, à l’effet d’aboutir les différents revendications qui en a douté tous légitimes mais dans la possibilité de l’État.

 

Le département de la justice travaille sur l’effet de mettre une stratégie idoine en fin d’institutionnaliser un dialogue franc et politique avec tous les syndicats qui relèvent du ministère de la justice, a-t-il laissé entendre.

 

Amadoun Alphagalo

Source : croissanceafrique.com

 

Tchad : le parlement vote le budget 2019 avec un solde positif de 3 milliards de F CFA

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Après deux jours de discussions, les députés tchadiens ont voté, vendredi 28 décembre, le projet de loi des finances pour l’exercice 2019. Il dégage un solde positif de 3,028 milliards de F CFA.

Le budget prévoit, en effet, des recettes de 983, 003 milliards de F CFA, et des dépenses de 979, 975 milliards. Même si Mahamat Allali Abakar, le ministre des Finances et du Budget, constate des améliorations dans sa confection, « la situation des finances publiques demeure fragile et tributaire de la volatilité du prix du pétrole », reconnait-il.

A noter que les députés ont appelé le gouvernement à assurer une bonne gestion des sociétés et entreprises étatiques ou paraétatiques comme la CotonTchad, la compagnie sucrière du Tchad (CST), les sociétés d’exploitations du ciment, entre autres.

Ils ont également appelé à la bonne gestion des taxes collectées auprès de grandes firmes comme les brasseries ou les sociétés de téléphonie mobile pour le bon déroulement du projet de loi des finances qui a été adopté.

Par croissanceafrique.com

 

La BEI accorde un prêt de 50 millions d’euros au Bénin pour un programme d’assainissement pluvial

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Le Bénin va bénéficier d’un prêt de 50 millions d’euros dans le cadre d’un accord signé le 21 décembre 2018 à Paris avec la Banque européenne d’investissement (BEI) entre Ambroise Fayolle, le vice-président de l’institution et Abdoulaye Bio Tchané, le ministre d’Etat chargé du Plan et du Développement.

L’accord vise à appuyer le programme d’assainissement pluvial de Cotonou. Ce programme a pour objectif de protéger la capitale béninoise des inondations auxquelles elle est confrontée pendant les saisons de pluie.

Pour son financement, Cotonou n’a pas dormi sur ses lauriers : « c’est ce qui nous a conduit à l’organisation d’une table ronde à Paris, le 17 janvier de cette année, au cours de laquelle six Partenaires Techniques et Financiers BID, BAD, Banque Mondiale, AFD, BOAD, Banque Ouest Africaine de Développement et BEI ont annoncé leurs engagements cumulés, d’un montant total de 238 milliards de francs CFA, soit 106% de nos attentes », a rappelé le ministre Abdoulaye Bio Tchané.

Par le passé, la BEI a financé des projets à portée considérable pour le développement du Bénin dans les secteurs de l’eau, de l’énergie et du soutien aux entreprises, totalisant un investissement de 138 millions d’euros.

 

Source : Financialafrik