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Selon la Banque Mondiale « au Niger, plus de trois filles sur quatre sont mariées avant d’atteindre leurs 18 ans »

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—Avec une croissance estimée à 5,9 % en Guinée, 5,1% au Mali, 4,9 % au Niger et 3 % au Tchad en 2018, les perspectives économiques de la sixième édition du Bilan économique AFCW3* publiée aujourd’hui par la Banque mondiale, sont positives à moyen terme, malgré des risques sécuritaires, climatiques et sociaux. Le rapport analyse en particulier les principales tendances de la dette publique qui a augmenté depuis 2010, du fait de la faiblesse des politiques macro-budgétaires, de l’accès à de nouvelles sources de financement et des chocs externes.

Faisant écho au rapport régional publié récemment sur le même thème, cette publication semestrielle aborde essentiellement les conséquences économiques et sociales des inégalités hommes-femmes dans ces pays, en particulier celles qui découlent du mariage précoce des filles et de leur décrochage scolaire.

Au Niger, plus de trois filles sur quatre sont mariées avant d’atteindre leurs 18 ans. Au Tchad, la proportion est de plus des deux tiers. Au Mali et en Guinée, elle est de plus de la moitié. Or, ces pays affichent également les taux d’achèvement d’études secondaires parmi les plus faibles au monde pour les filles, avec seulement une fille sur dix qui achève ses études secondaires, alors qu’ils ont réalisé des progrès importants au primaire avec une augmentation du taux d’achèvement de 22,4%.

Le rapport note que même si d’autres facteurs, tels que le coût de la scolarité ou l’éloignement géographique des écoles, peuvent expliquer ce phénomène, les normes sociales sur le rôle des filles et le mariage précoce sont une cause importante. Lorsqu’une adolescente doit quitter les bancs de l’école pour se marier, son faible niveau d’instruction aura des conséquences importantes tout au long de sa vie, notamment sur ses revenus et sur l’instruction de ses enfants. Elle court également des risques accrus pour sa santé et celle de ses enfants du fait des conséquences de grossesses précoces et répétées. En Guinée, au Mali et au Niger, le rapport relève que les enfants nés de mères âgées de moins de 18 ans risquent davantage de mourir avant l’âge de cinq ans et de souffrir d’un retard de croissance.

« Les inégalités d’instruction entre les filles et les garçons et les problèmes de santé associés à la pratique du mariage précoce constituent un obstacle majeur au développement du capital humain », explique Soukeyna Kane, directrice des opérations de la Banque mondiale pour le Mali, le Niger, le Tchad et la Guinée. « Outre le manque à gagner sur les revenus potentiels de ces jeunes filles, on estime que la réduction des mariages d’enfants pourrait générer près de 1,5 milliard de dollars par an au Mali et 1,7 milliard de dollars au Niger d’ici 2030, notamment grâce à la baisse des taux de fécondité et de croissance démographique. »

Selon l’étude, l’adolescence est donc une période cruciale au cours de laquelle ces quatre pays doivent mettre en place des politiques publiques complémentaires pour que les filles restent à l’école. En présentant des initiatives réussies dans d’autres pays, le rapport préconise davantage de réformes pour faire évoluer les normes sociales et des incitations économiques pour les parents, telles qu’une scolarité plus abordable ou des bourses d’études pour leurs filles. Il insiste également sur l’importance de réduire les trajets dans les zones rurales et d’installer des infrastructures d’eau et d’assainissement dans les écoles. Enfin au niveau des communautés, l’implication des hommes, femmes et dirigeants communautaires est indispensable à la réduction des disparités de genre.

Daouda Bakary kone

Source: ctoissanceafrique.com

Mail: croissanceafrik@gmail.com

France: Sarkozy, conseiller de l’ombre de Macron.

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A gauche l'ex-président Français Nicola Sarkozy et à droit l'actuel président Français en exercice

L’ancien chef de l’Etat a été reçu à l’Elysée par l’actuel président de la République, le 7 décembre. Il semble avoir été écouté sur certaines des mesures annoncées lundi.

On ne l’avait pas entendu depuis le début de la crise. En coulisses, il a pourtant glissé des conseils à l’oreille d’Emmanuel Macron. Nicolas Sarkozy a été reçu à l’Elysée par l’actuel président, vendredi 7 décembre, ont indiqué au Monde plusieurs sources, confirmant une information de Valeurs actuelles. Organisée à la demande de M. Macron, cette rencontre autour d’un déjeuner a eu lieu la veille de la quatrième mobilisation des « gilets jaunes ». Et surtout, trois jours avant le discours de M. Macron, lundi 10 décembre, lors duquel ce dernier a dévoilé des mesures en faveur du pouvoir d’achat, dans l’espoir de dissuader les manifestants de poursuivre leur mouvement.

Lors de leur échange, l’actuel et l’ancien président ont justement évoqué la question du retour à l’ordre, ainsi que la défiscalisation des heures supplémentaires, explique l’entourage de M. Sarkozy, confirmant une information du Figaro. Comme le confie un proche :

« Ils ont échangé sur plusieurs sujets. Il y en a qui comptent plus que d’autres pour Nicolas Sarkozy, en particulier le respect de l’ordre public et la problématique du pouvoir d’achat. »

L’exonération des heures supplémentaires, mesure-phare de M. Sarkozy en 2007

Sur ce dernier point, l’ancien chef de l’Etat semble avoir été écouté. M. Macron a annoncé lundi soir une exonération des heures supplémentaires d’impôt et de cotisations sociales, reprenant une mesure-phare de M. Sarkozy en 2007, qui avait ensuite été abrogée en 2012 par son successeur, François Hollande.

Une décision saluée dans les rangs de la droite. Emmanuel Macron « reprend nos propositions », s’est réjoui le député Les Républicains (LR), Guillaume Peltier, mardi 11 décembre, dans Le Parisien. Le patron du Parti socialiste, Olivier Faure, a, lui, critiqué les idées « made in Sarkozy » de M. Macron mardi lors des questions au gouvernement à l’Assemblée nationale.

Et pour cause : M. Sarkozy a eu une influence réelle sur les décisions prises par M. Macron, selon un proche de ce dernier, qui va jusqu’à présenter l’ex-président comme le « corédacteur » du discours de l’actuel chef de l’Etat. « C’est totalement faux ! », jure l’entourage de M. Sarkozy, qui dresse le portrait d’un homme « en retrait de la vie politique », uniquement prêt à « partager son expérience » pour « le bien de la démocratie ». « Ce qui compte, c’est la France », souligne le député sarkozyste Guillaume Larrivé :

« Tant mieux si l’ex-président parle à l’actuel président, pour tenter d’éteindre le feu qui a été allumé par les erreurs macroniennes. »

« L’anomalie, c’était plutôt entre 2012 et 2017 »
« Il est tout à fait logique que M. Macron consulte d’anciens chefs de l’Etat, même s’il ne les reçoit pas tous », analyse le sarkozyste Brice Hortefeux dans une référence implicite à François Hollande, qui ne voit plus jamais son successeur :

« Cela devrait être l’attitude normale de tout président en exercice. Quand il était à l’Elysée, Sarkozy avait bien vu Giscard, qui lui avait dit : “Finalement, aujourd’hui, il n’y a que vous et moi qui savons ce qu’est le poids des responsabilités présidentielles”. »

« L’anomalie, c’était plutôt entre 2012 et 2017, quand Hollande ne nous consultait pas », poursuit l’ex-ministre de l’intérieur, qui doit lui-même s’entretenir avec Christophe Castaner la semaine prochaine.

L’exécutif assume d’avoir consulté M. Sarkozy

L’exécutif, de son côté, assume d’avoir consulté M. Sarkozy, en lui reconnaissant le mérite de ne pas avoir profité de la séquence pour tenter d’affaiblir M. Macron, comme l’ont fait les responsables de l’opposition. « Il y a un respect mutuel entre eux », souligne l’Elysée. « Sarkozy a été incroyable tout au long de la crise, de loin le plus intelligent à droite : il a été le seul à ne rien dire. Il n’a cherché ni à récupérer, ni à critiquer, ni à soutenir. Pendant tout ce temps, tous les autres se sont jetés dans le marigot », observe un conseiller de Matignon.

En revanche, dans la majorité, la proximité entre MM. Macron et Sarkozy en fait tousser certains. Essentiellement du côté de l’aile gauche. « Ce n’est pas rassurant », juge un député La République en marche (LRM), inquiet de voir le chef de l’Etat sensible à des recettes venues de la droite. Ainsi, le député LRM du Val-d’Oise Aurélien Taché met en garde :

« Ecouter le Sarkozy du “travailler plus pour gagner plus” et s’inspirer de la manière dont cet ancien président, lui aussi détesté par une partie des Français, a réussi à conserver son socle de soutien ne me pose pas de problème. Mais à une condition : que l’on ne reprenne pas sa ligne en matière d’identité et d’immigration. »

Si un député LR dénonce à son tour « un jeu trouble malsain » entre les deux ex-présidents, un pilier de la majorité, issu de la droite, tranche : « Je préfère qu’on soit inspiré par Sarkozy que par Hollande. »

Lire le décryptage : Smic et prime d’activité : les annonces d’Emmanuel Macron en 8 questions Lire : Les mesures pour apaiser les « gilets jaunes » adoptées par les sénateurs dans le projet de budget 2019

Alexandre Lemarié
Source: Lemonde.fr

Rapport de la Banque Mondiale: réduire les inégalités de genre au Mali, au Tchad, au Niger et en Guinée.

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Aujourd’hui, force est de constater qu’en Afrique les pays comme le Mali, le Niger, le Tchad et la Guinée, connu par les inégalités de genre. On sous- entend par là que les filles scolarisées abonnement l’école sans avoir atteint le niveau secondaire. Et cela explique à travers le mariages d’enfants et des grossesses précoces dans ces pays cités. Pour pouvoir stopper ces inégalités Groupe de la Banque Mondiale a publié un rapport intitulé ‹‹ Réduire les inégalités de genre au Mali, Tchad, Niger et Guinée ››, le 10 décembre 2018 au bureau de la banque mondiale au Mali.
En effet, il ressort dans ce rapport qu’au au Niger, plus de trois filles sur quatre sont mariées au de leur enfance. Au Tchad la proportion est de plus en plus deux tiers. Au Mali et en Guinée, elle est de plus de la moitié. Dans ces pays une fille sur dix, tout au plus, achève ses études secondaires, et les taux élevés de grossesses précoces sont prédominants. ‹‹ Les inégalités d’instruction entre les filles et les garçons et les problèmes de santé associés à la pratique du mariage précoce constituent un obstacle majeur au développement du capital humain››, explique Soukeyna Kane, directrice des opérations de la banque mondiale pour le Mali, le Niger, le Tchad et la Guinée.‹‹ Outre le manque à gagner sur les revenus potentiels de ces jeunes filles, on estime que la réduction des mariages d’enfants pourrait générer près 1,5 milliards dollars par an au Mali et 1,7 milliards de dollars au Niger d’ici 2030, notamment grâce à la baisse des taux de fécondité et de croissance démographique.››
Selon l’étude, l’adolescence est donc une période cruciale au cours de laquelle ces quatre pays doivent mettre en place des politiques publiques complémentaires pour que les filles restent à l’école. En présentant des initiatives réussies dans d’autres pays, le rapport préconise davantage de réformes pour faire évoluer les normes sociales et des incitations économiques pour les parents, telles qu’une scolarité plus abordable ou des bourses d’études pour les filles. Il insiste également sur l’importance de réduire les trajets dans les zones rurales et d’installer des infrastructures d’eau et d’assainissement dans les écoles. En fin au niveau des communautés, l’implication des hommes, femmes et dirigeants communautaires est indispensable à la réduction des disparités de genre.

Hamadoun Alphagalo

Source: Croissanceafrique.com
Mail: croissanceafrik@gmail.com

Paul KAGAME révolutionne l’Afrique à travers une innovation moderne de l’armée Rwandaise.

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«Je tiens également à vous remercier car ce travail que vous avez choisi de protéger les citoyens exige plus de vous que … Lisez sa réaction ci-dessous.

« Passer à la langue suivante : anglais«Je tiens également à vous remercier car ce travail que vous avez choisi de protéger les citoyens exige plus de vous que ce qui vous est donné, en termes de salaire ou de moyens disponibles, mais cela ne vous empêche pas de faire le travail que nous faisons.

Vous travaillez sous le soleil, la pluie, au milieu de forêts et de différents environnements et nous nous demandons si ce que nous vous donnons est suffisant. La réponse est que cela ne peut jamais suffire car ce travail va au-delà de l’individu, il est pour la nation.
Ce que nous faisons exige de nous plus que ce que nous avons, mais cela signifie que chaque ressource dont nous disposons est utilisée pour fournir le maximum de nos capacités. Chaque balle que vous tirez compte. Chaque ressource que vous utilisez doit atteindre ses objectifs. Nous n’avons pas de place à perdre. Nous devons produire des résultats allant au-delà des ressources dont nous disposons.
Rien n’est impossible tant que nous avons le juste milieu et les bonnes valeurs. Nos ennemis ne peuvent que nous souhaiter du mal, mais ils ne pourront jamais nous vaincre. Quiconque ose menacer notre sécurité échouera.

-Président Kagame | Entraînement sur le terrain avec armes combinées RDF | Gabiro, le 11 décembre 2018 » affirme Paul Kagamé Président Rwandais.

Dkoné

Source: Croissanceafrique.com

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Mali : CCSC-PURN présente son 2eme rapport alternatif citoyen sur la mise en œuvre de l’accord pour la paix et la réconciliation issu du processus d’Alger.

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Ce mardi 11 décembre 2018, la coalition citoyenne de la société civile pour la paix, l’unité et la réconciliation au Mali son deuxième rapport alternatif citoyen sur la mise en œuvre de l’accord pour la paix et la réconciliation issu du processus d’Alger dans la salle de conférence de l’hôtel Radison Blue de Bamako. Cette présentation s’est déroulé en présence des hauts fonctionnaires de l’Etat du Mali, des chefs de partis politiques, des représentant de Friedrich EBERT STFTUNG. Elle a enregistré la présence de plusieurs journalistes issus de la presse nationale et internationale.

A sa prise de parole, le président de la coalition, après avoir salué l’ensemble des participants affirmé que «  l’application de l’accord de paix est mise en rude épreuve de ces réalités. Les rapports, mémorandum et observations parfois accablantes émanant des partenaires concernés par la crise malienne attestent bien de cela, En effet, on constate que l’esprit de l’accord est parfois sacrifié au profit de sa lettre » a laissé entendre Mohamed AG AMANI.
C’est pourquoi, le président AG AMANI ajoute que « dans cette situation, la société civile, officiellement conviée dans le mécanisme d’accompagnement prescrit dans l’accord, reste prostrée dans une atomisation stérile, sans organisation convaincante. Ainsi, s’avère-t-elle inapte une force alternative de mobilisation favorisant un rythme soutenu de la mise en œuvre de l’accord ? » s’interroge, le président de la coalition.
Il faut dire que la recherche de la paix doit être analysée et comprise en dehors de la conquête du pouvoir. Ensuite, elle requiert un certain nombre de comportements basés sur le dialogue, la confiance, la solidarité, et le patriotisme. En réalité la refondation du Mali, pressentie dans l’accord, doit être voulue et décidée en toute liberté par tous les Maliens.
Pour conclure son allocution Mohamed AG AMANI dira que « c’est à ce dialogue que la coalition citoyenne invite le gouvernement du Mali, la classe politique ainsi que la société civile dans son ensemble voire tout le peuple malien à des débats contradictoires mais sincères pour aplanir les difficultés qui entravent la mise en œuvre de l’accord pour la paix et la réconciliation, issu du processus d’Alger » a -t-il conclu.

Daouda Bakary KONE
Source:croissanceafrique.com
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ASMA: de 4 à 21 députés en 2 mois

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De 145 à 300 Conseillers et de 4 à 21 députés, en 2 mois environ, c’est la performance réalisée par l’Alliance pour la solidarité au Mali/Convergence des forces patriotiques (ASMA/CFP). L’information a été donnée par le 1er vice-président du Parti, Amadou Baba CISSE, lors de la Conférence de section du Parti en Commune III du District de Bamako, hier, au siège national, à N’Tominkorobougou.

Dans ses propos préliminaires, le 1er vice-président, président de la Mission de supervision de la mise en place d’un nouveau bureau, a situé l’objet de leur présence et rappelé que la section doit désigner 5 délégués, dont 1 femme et 1 jeune au moins pour prendre part au Congrès du Parti prévu le 29 de ce mois.

Il a ensuite souligné l’importance de la Section III de l’ASMA dont sont membres : le Président du Parti, Soumeylou Boubeye MAIGA ; le 2e vice-président ; le Secrétaire politique ; le Secrétaire aux élections. ‘’C’est l’image du Parti. Si ça ne va pas ici, ça n’ira pas ailleurs’’, a souligné M. CISSE.
Le Secrétaire général de la Section III ASMA, Abdramane MAIGA, a fait état de la bonne santé du Parti. ‘’Le parti se porte bien. Notre évolution est sûre et continue’’, pouvait-il se satisfaire.
Il a insisté sur l’exercice mené ces derniers temps par le Parti pour s’attirer une vague de sympathie qui a abouti à de nombreuses adhésions, dont des Conseillers et anciens Conseillers. Il fallait absorber cette vague de sympathie. D’où, la nécessité d’un remembrement de la Section et par ricochet des Sous-sections et des Comités. M. MAIGA a ainsi rappelé que pour la Section III, il s’agissait d’un remembrement, au lieu de la mise en place d’un nouveau bureau.
Son intervention a été suivie de la lecture de la liste des membres du bureau remembré de 37 personnes, dont une dizaine de places accordées aux nouveaux arrivants. D’autres arrivants, de même que ceux qui ont cédé leur place dans le Bureau, ont été déployés dans l’une des 3 Commissions de travail (Organisation, Élections ; Communication et mobilisation).
À noter dans ce Bureau a été élu par acclamation conformément à un des 3 modes d’élection (main levée, bulletin secret, acclamation).

En l’absence de toute opposition, le Bureau a été validé par la Mission de supervision dont le président a interpellé ceux qui ont été investis de la confiance de leurs camarades, en soulignant que ce Bureau est un bureau pilote. ‘’Nous comptons sur vous pour dynamiser le Parti en Commune III’’, a-t-il renvoyé à leur mission les membres du Bureau.

Le Secrétaire général reconduit a remercié les militants du Parti pour la confiance renouvelée. Il a pris l’engagement de donner le meilleur de lui-même pour que les attentes soient comblées. Concrètement, il ambitionne d’implanter le Parti là où ce n’est pas encore le cas ; avoir une sous-section dans les 23 quartiers (il est dans 19 quartiers à ce jour). Pour la réalisation d’une telle ambition, M. MAIGA compte sur les anciens membres, mais aussi sur les nouveaux. Il les a invité à les accueillir dans un élan consensuel pour le rayonnement victorieux du Parti.
Bakari SEMEGA, avec dans son escarcelle 2 mandats de Conseiller, a exprimé son bonheur d’être chaleureusement accueilli dans la famille ASMA/CFP. ‘’Nous sommes résolus à changer des choses en Commune III’’, a assuré le nouvel arrivant qui a été conforté par d’autres intervenants qui ont promis de s’investir pour l’essor de l’ASMA et pour le Mali.

PAR BERTIN DAKOUO

ABamako.com

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Angola : le FMI approuve un soutien financier de 3,7 milliards de dollars sur trois ans

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L’Angola a obtenu un prêt de 3,7 milliards de dollars sur trois ans de la part de l’institution de Bretton Woods. Une aide conditionnée à une politique macroéconomique plus restrictive et à des réformes structurelles.

Le Fonds monétaire international (FMI) a annoncé le 7 décembre que son conseil d’administration avait approuvé un prêt de 3,7 milliards de dollars (3,2 milliards d’euros) pour l’Angola, destiné à soutenir un programme de réformes économiques. Cette décision permet le déblocage immédiat d’un premier versement d’environ 990 millions de dollars.

D’une durée de trois ans, cette facilité de crédit « va aider l’Angola à rétablir la soutenabilité externe et budgétaire et à jeter les bases d’une diversification économique durable, impulsée par le secteur privé », détaille la communication du FMI. Dans ce cadre, le pays va devoir mettre en place des coupes budgétaires – destinées à modérer l’endettement public, qui s’établit à 80,5 % du PIB cette année –, rendre plus flexible le régime de change et implémenter une politique monétaire visant à réduire l’inflation, actuellement de 20,5 %.

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Un soutien sollicité en juillet 2018
Les autorités angolaises avaient annoncé en août 2018 avoir sollicité le soutien financier du FMI en raison d’une croissance plus faible que prévue. Dans le cadre de ses efforts pour rétablir la stabilité économique du pays, le gouvernement angolais a dévalué le kwanza de 45 %, rendu plus transparent le mécanisme d’allocation des devises et remis en cause un certain nombre de monopoles liés à la famille dos Santos. Mais les résultats de ces réformes se font pour l’instant attendre.

Le deuxième producteur africain de pétrole a en effet été durement touché par la baisse des prix du brut, ce qui a entraîné une pénurie de liquidités en dollars et a découragé de nombreux investisseurs étrangers. Après – 2,6 % en 2016 et -2,5 % en 2017, le FMI anticipe une troisième année de récession pour 2018 avec -0,1 % en 2018, soit un niveau bien en-dessous des prévisions gouvernementales, qui étaient de 4,9 % pour cette année. L’institution internationale prévoit néanmoins un rebond en 2019, avec 3,1 % de croissance.

Crédit photo togo

Source: Jeuneafrique

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Mali: 4ème EDITION DE LA SEMAINE EURAFRICAINE AU CINEMA A BAMAKO

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Annoncée par l’association Eurafriclap lors de la session tenue à Paris du 18 au 24 juin 2018, la 4ème de la « Semaine Eurafricaine du cinéma » a été dupliquée à Bamako du 30 novembre au 05 décembre 2018 sous le thème « Du devoir de mémoire au droit à la mémoire ».
Organisé avec le soutien de la Représentation de l’Union Européenne au Mali en partenariat avec le Centre Cinématographique du Mali, l’Institut Français, le Complexe Culturel Blonba, le Cinéma numérique ambulant, le festival a été une belle opportunité « de faire revenir les populations au Cinéma dans un pays où elles n’y vont pas assez ».
Les Bamakois ont pu ainsi profiter d’un programme alléchant comprenant projection de films, chants, danses, défilés de mode, rencontres et débats. Toute la semaine, plusieurs thèmes et pays ont été représentés.
Initiative remarquable, le 03 décembre, le festival a été à la rencontre des Bamakois au quartier « Sans fil » à côté de la cité du Niger avec la projection en plein air du film « Toiles d’araignées » de Ibrahim Touré.
De même, le 04 décembre une soirée spéciale a été organisée pour célébrer le Burkina Faso, à travers un hommage au grand cinéaste Idrissa Ouédraogo et la projection du film « Burkina Rising : l’art de la résistance au Burkina Faso » de Lara Lee, suivie d’échanges avec les étudiants, notamment le Bureau de coordination de l’AEEM.
Si nous ajoutons la lecture des poèmes du franco-malien Daouda Keïta, les défilés de mode des stylistes khady Thiam et Mariah Bocoum, la prestation séduisante du groupe musical Tartit de Tombouctou, force est de reconnaitre que le Festival de Cinéma de Bamako a été de richesse avérée.
C’est le lieu de se réjouir de ce regain de vitalité de la coopération culturelle entre l’Ambassade de France au Mali et l’Ambassade du Mali en France représenté pour la circonstance par le Conseiller Culturel Dr Souleymane Diarra.
Enfin, un grand bravo à Moussa Diabaté, Directeur du Centre de Cinématographique du Mali, Claude Fisher-Herzog, Présidente de l’Association Eurafriclap, avec une mention spéciale pour Madame N’Diaye Ramatoulaye Diallo, Ministre de la Culture du Mali et marraine du Festival.

DAOUDA BAKARY

Mail: croissanceafrik@gmail.com

Source : Croissanceafrique.com

Goundam: Les CSRéf doté d’une salle de réunion flambant neuf

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Le Conseil de cercle de Goundam a doté le Centre de santé de référence (CSRéf) d’une salle de réunion flambant neuf pour un montant de 11 603 610 FCFA financé par l’Agence Nationale d’Investissement des Collectivités Territoriales dont le suivi des travaux a été assuré par le Bureau d’Etudes «BERFAC-SARL. C’est le Président de l’autorité intérimaire, M. Abocar Hanga Touré qui a procédé, ce mercredi, 05 décembre 2018, à la remise provisoire des clés de la dite salle au médecin Chef, M. Mamadou Coulibaly. C’était en présence du président sortant du Conseil de cercle, M. Talfi Ag Hamma, du représentant du Conseil communal M. Sory Ibrahim Touré, des représentants de l’ASACO et de la presse.

CAFO Goundam: Sous le signe de la paix, la réconciliation et du bien-être des femmes.La lutte pour l’autonomisation et le bien-être social des femmes, leur implication inclusive dans le retour de la paix et de la cohésion sociale, tels sont entre autres objectifs que se sont assignées les présidentes respectives de la Coordination communale et locale de l’association des ONG et organisations féminines (CAFO) de Goundam lors du lancement officiel de leurs activités.

Bangou

Source : Croissanceafrique.com

Mail: croissanceafrik@gmail.com