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Le Ministère chinois du Commerce tient une conférence de presse sur la participation du président chinois Xi Jinping à la CIIE

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Le Ministère chinois du Commerce a tenu une conférence de presse lundi 29 octobre 2018 sur la participation du président chinois Xi Jinping à la cérémonie d’ouverture de l’Exposition internationale d’importation de la Chine, qui se déroulera du 5 au 10 novembre 2018 dans la grande municipalité de Shanghai.
Lors de laquelle, le vice-ministre chinois du Commerce international, Fu Ziying a donné des détails sur la participation du président Xi Jinping à l’Exposition internationale d’importation de la Chine ( China International Import Expo, CIIE).
Selon Fu Ziying, également négociateur en charge des questions du commerce international, la tenue de la dite exposition a été proposée et annoncée au monde par le président chinois Xi Jinping, qui va lui-même prendre part à la cérémonie d’ouverture, à laquelle participeront également plusieurs personnalités issues des milieux politiques et d’affaires. A ce lot d’invités s’ajoutent aussi des responsables d’organisations internationales, venus d’environs 150 pays.
Fu Ziying a révélé que plusieurs fois le président chinois Xi Jinipng a souligné que la CIIE n’était pas une exposition ordinaire, mais qu’elle devrait plutôt être considérée comme une exposition de classe mondiale. Nous sommes convaincus que la CIIE sera une plate-forme de coopération ouverte pour les pays du monde et que celle-ci leur servira de vitrine dans le cadre du commerce international. Ainsi la CIIE deviendra un produit public de la mondialisation de l’économie
Premièrement, la CIIE va contribuer à la promotion de la mondialisation économique, la tenue de la CIIE montre la détermination de la Chine à s’en tenir au principe de réforme et d’ouverture, et elle est destinée à promouvoir l’ouverture, la tolérance et la coopération gagnant-gagnant.
Deuxièmement, la CIIE va créer des conditions pour les pays du monde d’approfondir la coopération commerciale et économique. La CIIE a permis à d’autres pays de prendre le train express pour le développement rapide de la Chine et à mettre en place des plates-formes pour la coopération commerciale des pays du monde.
Troisièmement, la CIIE permet de multiplier les canaux pour répondre aux besoins d’une vie meilleure de la population. Les consommateurs et les entreprises peuvent expérimenter des produits de qualité à bas prix, venant de tous les pays du monde, sans avoir nécessairement besoin de sortir du pays. Cela, en profitant pleinement de la mondialisation. Aussi, cette exposition répond aux besoins de la montée en gamme de la consommation intérieure tout en promouvant le développement de qualité de l’économie de notre pays.
Quatrièmement, la CIIE va injecter de nouvelles énergies à la réforme et à l’ouverture de la Chine. Pour mener à bien cette exposition, des secteurs intéressés ont modifié et perfectionné le système de gestion, et ont lancé une série de mesures, y compris celle relative à la simplification des dossiers pour dédouaner et à la garantie des services concernés. En tout, ces mesures vont permettre d’accumuler des nouvelles expériences, et de trouver des moyens pour la réforme et l’ouverture dans des domaines concernés.

Source: Radio chine Internationale

Campagne agricole 2018-2019 : des bonnes perspectives

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Pour la campagne agricole 2018-2019, il est attendu une prévision de 10 600 000 tonnes de céréales. A l’heure actuelle, on est proche de l’objectif affiché avec 10 423.000 de tonnes assurées. Si cette tendance se confirme, la prévision pourra être dépassée de 3%.
A l’exception des dégâts causés par la chenille légionnaire et les oiseaux granivores, la campagne agricole 2018-2019 se déroule normalement sur toute l’étendue du territoire. A l’état actuel, les objectifs peuvent être dépassés de 3%, car sur une prévision de 10 600 000 tonnes de céréales, 10 423.000 tonnes sont déjà atteints. L’information a été donnée, hier, par le ministère de l’Agriculture au cours d’une conférence de presse. Ladite conférence était animée par Lassine Dembélé, secrétaire général du ministère, Oumar Tamboura, directeur général adjoint de l’Agriculture et plusieurs cadres du département. L’objectif de cette rencontre avec la presse était de faire le point de la campagne agricole 2018-2019 et d’expliquer le nouveau mécanisme de distribution des engrais.
Dans son exposé, le secrétaire général du département en charge de l’agriculture s’est réjoui de la bonne pluviométrie de cette année par rapport à l’année dernière. Selon lui, à la date du 30 septembre 2018, la quantité de pluviométrie était supérieure à celle de l’année dernière. Une augmentation qui a créé une perte de 6% du riz et 0,6% des autres céréales, explique le département de l’agriculture.
Par contre, Dembélé a déploré quelques dégâts causés par la chenille légionnaire dans la région de Sikasso et les oiseaux granivores dans le cercle du Nioro du Sahel : « L’impact des attaques a été limité grâce à l’intervention terrestre de nos équipes techniques. Nous avons actuellement deux équipes sur le terrain pour lutter contre ces dangers…. A Nioro du Sahel, 22 hectares ont été détruits par les oiseaux. Ces dégâts ne menacent pas l’atteinte des objectifs de la campagne».
Concernant le bilan à mi-parcours de la campagne agricole 2018-2019, le secrétaire général a déclaré que la moisson s’annonce prometteuse. Selon lui, sur une prévision de 10 600 000 tonnes de céréales, 10 423.000 tonnes sont déjà atteints. A en croire le Ségal, à cette allure, les prévisions peuvent être dépassées de 3%.
Mieux, l’Etat table également sur prévision de 750 000 tonnes de coton graine durant la campagne.

Cas de la distribution des engrais

S’agissant de l’épineuse question de distribution des engrais, le directeur général adjoint de l’Agriculture a laissé entendre que contrairement aux autres années, la campagne agricole 2018-2019 a connu d’importantes réformes dans le système de distribution des engrais subventionnés par le Gouvernement pour éradiquer les fraudes liées au système de cautions techniques. Selon lui, ce nouveau système de distribution avait causé des retards au début dans la mise à disposition des engrais dans les villages mais indique-t-il, tout est rentré dans l’ordre. Il a également précisé que le mécanisme mis en place pour mieux distribuer les engrais avait des commissions dans tous les arrondissements. Chaque commission était présidée par le sous-préfet et contenait des représentants des paysans, d’agent d’agriculture, du chef de villages etc.
Tamboura a aussi annoncé que des supports ont été faits, notamment l’attestation provisoire, le registre, le bordereau pour plus de transparence. Pour le DGA, ce mécanisme a permis aux paysans d’avoir le sac de 50 kg d’engrais à 11.000 FCFA sur toute l’étendue du territoire.
Aux dires des conférenciers, toutes les conditions sont aujourd’hui réunies pour une bonne campagne agricole au Mali.
Le coût global pour la mise en œuvre du plan de campagne agricole 2018-2019 est estimé à un peu plus de 353, 690 milliards de FCFA. Le montant qui sera supporté par l’État s’élève à plus de 115, 483 milliards de FCFA, dont 50 milliards FCFA de subvention. Ces subventions sont réparties comme suit : 40 milliards pour les intrants agricoles, 8,719 milliards FCFA pour les équipements agricoles et 238 206 439 395 FCFA pour les producteurs.

Source : L’Indicateur du Renouveau

Par crooissanceafrique.com

10ème Revue du FMI au Mali : Une mission du Fonds monétaire international (FMI) séjourne au Mali.

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La mission, qui a débuté le 24 octobre 2018, s’inscrit dans le cadre de la conclusion de la 10ème et dernière revue de l’accord au titre de la facilité élargie de crédit (FEC) avec le gouvernement du Mali.

Dirigée par Madame Boriana YONTCHEVA, la délégation du FMI rencontrera le Ministre de l’Economie et des Finances Dr. Boubou CISSE et les acteurs économiques et sociaux du Mali, dont notamment : le Directeur National de la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest pour le MALI (BCEAO), la Présidente de l’Association Professionnelle des Banques et Etablissements Financiers du Mali (APBEF), le Président du Conseil National de la Société Civile (CNSC), le Président du Conseil National du Patronat du Mali ( CNPM) , le Président de l’Office Central contre l’Enrichissement Illicite (OCLEI), ainsi que plusieurs hauts fonctionnaires de l’administration malienne et les partenaires techniques et financiers du Mali.

Au cours de cette mission, le Directeur du département Afrique du FMI Monsieur Abebe Aemro Sélassié effectuera une visite de travail à Bamako, le 1er Novembre 2018, afin d’échanger avec les autorités maliennes sur leurs priorités dans le cadre d’un nouveau programme.
La mission du FMI prendra fin le 6 novembre 2018.

Daouda Bakary KONE

Source: croissanceafrique.com/ccom

Maitre Cheick Oumar KONARE « IBK DOIT RENVOYER LES MEMBRES DE LA CENI » dixit

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Depuis le 22 octobre, des bruits de casseroles empêchent de respirer à la Commission électorale nationale indépendante (CENI). Dans cette structure chargée de superviser les élections générales, les 15 membres du bureau se livrent une guerre sans merci. 8 membres prétendent avoir destitué le président au motif de malversations financières. L’intéressé refuse de s’incliner, accusant ses principaux adversaires de détournement de fonds et de textes.

Il s’ensuit que la CENI a perdu tout crédit aux yeux du peuple. Ses rapports n’auront d’ailleurs plus désormais aucune valeur puisqu’ils émaneront d’un bureau totalement divisé qui est allé jusqu’à se donner en spectacle aux visiteurs de l’Union européenne.

Le chef de l’Etat devrait donc, à mon sens, dissoudre le bureau de l’institution en abrogeant le décret de nomination des membres. Et nommer de nouveaux membres qui veilleront davantage à l’image du Mali.

Source: Mr konaré

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Startup : Bamako abrite the Policy Hackathon du Mali

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Ouverture à Bamako Policy Hackathon du Mali, organisé par le Mal’Innov et l’i4Policy en partenariat avec le groupe de la Banque mondiale (ITALIAN AGENCY FOR DEVELOPMENT COOPERATION). Cet événement bénéficie de l’appui du ministère de l’Economie numérique et de la Communication. C’était ce mardi 30 octobre 2018 à Bamako. Le thème de cette rencontre était axé sur le slogan « Améliorons ensemble l’écosystème entrepreneuriale du Mali ».

Le Policy Hackathon a rassemblé les acteurs clefs de l’écosystème entrepreneurial du Mali afin qu’ils conçoivent ensemble des politiques publiques visant à améliorer le climat des affaires pour les startups et PME innovantes. Selon les organisateurs « Il s’agit d’un des projets phares du Tubaniso Agribusiness & Innovation Center (TAIC) le futur hub régional pour le développement et le financement de l’innovation au Sahel. Le TAIC est soutenu par la Banque mondiale, ICRISAT et le secteur privé » affirment-ils.

A l’issu des travaux une startup nous dira que le fait « d’utiliser le Facebook est différent de l’internet » précise-t-elle. Ce n’est pas tout car l’utilisation du numérique est une obligation pour toutes entreprises qui optent pour l’innovation et l’émergence d’un pays. En réalité la « nouvelle technologie de l’information mène à « tout » dira une autre startup.

Pour assurer la pertinence des mesures proposées, une méthode innovante de Co-création de politiques publiques a été adoptée. Les décideurs publics ont présenté leurs initiatives et les acteurs de l’entrepreneuriat et de l’innovation se sont mis dans la peau de ces derniers pour faire des recommandations concrètes qui répondent aux principaux défis qu’ils auront identifiés. Le Policy Hackathon à Bamako s’inscrit dans un mouvement panafricain mené par l’i4Policy, les gouvernements et les écosystèmes entrepreneuriaux africains. L’i4Policy est une alliance de hubs d’innovation à travers l’Afrique travaillant en collaboration avec les décideurs publics dans le but d’accélérer l’entrepreneuriat innovant et l’employabilité des jeunes.

En matière de communication marketing les startups ont proposé des solutions qui permettront à l’amélioration de la sécurité et l’assurance de vie d’une entreprise. Pour d’autres ; il faudra motiver les personnels d’une entreprise à travers une gestion des ressources financières. Une participante affirmera que « quand on emploie quelqu’un ; il qu’il ait un salaire » dit-elle. Aujourd’hui le Mali regorge des jeunes startups qui évoluent dans plusieurs secteurs que sont : l’agro business ; l’informatique ; de l’industrie ; de la communication « médias » etc. c’est pourquoi les startups demandent ; l’appuis du gouvernement de la République du Mali afin d’aider ou donner une nouvelle chance aux futures jeunes entrepreneurs. A cela s’ajoute aux appuis techniques et financiers des partenaires qui ; sans nul doute permettrons à l’améliorations de l’écosystème entrepreneuriale du Mali ; d’Afrique et d’ailleurs.

Daouda Bakary KONE
Source : croissanceafrique.com

Economie: Arrêt des engagements pour 2018 : Le Ministre Boubou Cissé avertit les DFM.

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Croissance solide et forte attractivité auprès des investisseurs sont les points forts de l’économie dans un pays qui doit sans cesse jongler entre développement et lutte contre le terrorisme. © Reuters

Principaux signataires des engagements dans les institutions, les ministères et certains services de l’Etat, les Directeurs de finances et de matériels (DFM) ne doivent signer aucun engagement financier à compter de novembre pour 2018. Arrêté dans le 11e mois de chaque année, le Ministre de l’Economie et des Finances, Dr Boubou Cissé, a, par une Lettre circulaire, informé les concernés.

Dans le souci de veiller à la santé du Trésor Public national, le Ministre Boubou Cissé ne laisse aucune zone d’ombre sur l’établissement des actes d’engagement entre les DFM et les fournisseurs de l’Etat qui, en principe, doivent se faire avant le mois de novembre de l’année en cours. Dans un communiqué du Ministre de l’Economie et des Finances sur l’Arrêt des engagements pour 2018, les textes sont clairs là-dessus.

En effet, précise le communiqué, un engagement, c’est l’acte pour lequel on a reconnu un fait. En général, il est signé par un DFM ou Chargé de service financier auprès d’un ordonnateur.

Selon le communiqué, à partir de cette date, aucun engagement ne peut être fait par un ordonnateur. Cependant, tout mandat de paiement arrive au Trésor avant la date de clôture du Budget en fin décembre sera payé par le Trésor.

Ce que dit la loi

La procédure d’engagement est initiée par l’ordonnance n°028/2013, de la loi relative aux finances publiques. Les étapes de la procédure d’engagement sont :

Etape 1 : L’engagement de la dépense est effectué par l’Ordonnateur Délégué d’un service public à travers un contrat, un marché ou d’une décision.

Etape 2 : L’engagement est visé par le Contrôleur financier qui s’assure de la disponibilité des crédits et de la conformité des calculs et des pièces justificatives.

Etape 3: L’Ordonnateur émet le mandat (après service fait) et le fournit au Prestataire afin qu’il puisse le présenter au Trésor pour recevoir son paiement.

Ousmane Morba

Par croissanceafrique.com

Mali: Sidiki N’fa KONATE inaugure deux forages à Tousséguéla, le coût s’élève à 40 millions de Francs CFA

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Inauguration des forages à Tousséguéla, 40 millions de Francs CFA, c’est le coût de réalisation de trois forages dans les villages de Djibléna, Tousséguéla et Sirakoro, dans le cercle de Kolondiéba.

Ces infrastructures sont réalisées grâce au partenariat entre Sidiki N’Fa KONATE, directeur général de l’ORTM et l’ONG Direct-Aid ou Agence des Musulmans d’Afrique. Ces adductions d’eau vont permettre à 4 mille bénéficiaires d’avoir accès à l’eau potable.

Désormais les villages de Tousséguéla, Djibléna et Sirakoro sont dotés chacun d’un forage. Ces infrastructures sont le fruit d’un partenariat entre Sidiki N’Fa KONATE, directeur général de l’ORTM et l’ONG Direct-Aid ou Agence des Musulmans d’Afrique. Les deux parties sont visiblement satisfaites du partenariat noué.

Les ressortissants de la commune de Tousséguéla et les bénéficiaires se réjouissent de ces adductions d’eau potable.

L’eau c’est la vie a-t-on coutume de dire. Surtou l’eau potable garantit la santé. Et ce sont 4 mille habitants qui ont désormais accès à l’eau potable dans la commune de Tousséguéla.

Daouda Bakary KONE

Source: croissanceafrique.com

Mali: Mahamadou Simpara promoteur de la société Belinké Simpara, la montée d’un jeune entrepreneur en puissance

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Mohamadou Simpara est connu par ses activités dans le commerce général. Aujourd’hui, Société Bélinké SIMPARA est une grande référence dans le secteur de l’entreprenariat au Mali. Le jeune entrepreneur Mahamadou SIMPARA dit Mohamed est le Président Directeur Général de la société Belinké simpara.

Un jeune entrepreneur qui a 10 ans d’expérience professionnelle d’expertise de l’intelligence économique au Mali, il est né et grandit à Bamako, il arrêtera ses études primaires en 2001 , et fera son entré dans le commerce.

Après un long moment de patience dans le domaine du commerce géneral, il devient automatiquement un des meilleur commerçants détaillants en vendant des produits comme  : tissu (pagne de wax), Coton, panneaux etc..

A l’Age de 20 ans , il lance, en 2001 l’établissement SIMPAM, aujourd’hui à la tête de la Société Bélinké Simpara, dont il est fondateur. il est sans doute l’un des jeunes entrepreneur le plus réputé au Mali, spécialisé dans le commerce notamment le négoce, l’import/export et la représentation commerciale, grand distributeur agréer de nos produits locaux et d’ailleurs.
Société Bélinké SIMPARA est ouverte à tous les industriels (elles) évoluant dans le sens d’un partenariat Gagnant- gagnant avec une compétence facilitant la distribution de nos produits locaux.

Société Bélinké SIMPARA se veut dans les jours à venir une puissance économique. Elle a comme stratégique, le choix commercial , la promotion, le développement. La société Simpara comme investir un peu partout en Afrique en embrassant tous les grands secteurs stratégiques des affaires.

Elle vise à devenir la référence africaine dans plusieurs domaine du business. Cette société intervient dans plusieurs domaines quelque soit votre projet (industrie) tels que (import/export) en Afrique.

Selon le PDG de la dite société notre société « existe pour vous une solution de développement qui embrasse aujourd’hui tous les domaines d’activités : commerce général, du colorant moderne, Bazin, Tissu, quincaillerie, sucre, riz huile, transit, transport en passant par le commerce en grossiste ( import/export), et les produits divers » a-t-il dit.

Mahamadou SIMPARA dit Mohamed  est devenu aujourd’hui l’un des plus grands opérateurs Malien de l’importation de marchandises diverses. C’est pourquoi M. SIMPARA, est le Président du conseil administration, et actionnaire dans plusieurs sociétés de la place. Il embrasse également plusieurs secteurs stratégiques

Société Bélinké est membres de plusieurs associations et regroupements professionnels au Mali. Le PDG de la Société Belinké entretient bonne rélation avec la socité civile. Il est connu dans ce millieu à cause de ses activités loyales. Ce n’est pas tout, Mohamadou Simpara est un homme d’affaire hors pair, car selon ses proches , il évoluerait dans le secteur du transit et dans le transport des marchandises. Aujourd’hui considéré comme l’un des jeunes entrepreneur qui monte
en puissance.

N.B : N’hésitez pas à nous contacter si vous avez des questions pour plus d’information veuillez consulter notre site web : www.societebelinkes.ml, ou contactez le +22397979876
Daouda Bakary KONE

Source: croissanceafrique.com

SOCIETE BELINKE SIMPARA

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