Accueil Blog Page 1870

Mali: Visite du Ministre des Transports au Parking de transition de M’Bao (banlieue dakaroise) et à la gare des Beaux Maréchaires.

0

Mr Soumana Mory COULIBALY à la rencontre de ses compatriotes transporteurs.
Sur place, le ministre en charge des transports a visité les installations et a eu de longs échanges avec des transporteurs.
Voici pour vous quelques clichés de cette visite de terrain.

Suite de la mission du ministère des Transports au Senegal.

L’usine d’assemblage Sene-Bus est basée à Thiès, une région du Sénégal. La forte délégation malienne, conduite par le Ministre des Transports, a visité ce mardi matin les installations de cette plateforme industrielle.
L’objectif est de voir le processus d’assemblage des bus urbains et interurbains, et de s’inspirer de l’expérience sénégalaise.
C’est une suite de la large consultation entreprise depuis Bamako en vue de changer progressivement le parc automobile (transports urbains) à Bamako.
Moderniser le secteur des transports, notamment la modernisation des moyens de transports, c’est l’une des missions que le Président de la république et le Premier ministre ont confié au patron du département des transports.
Surle chemin de retour, la délégation a fait escale à la Direction Générale de Tata Groupe (Entreprise indienne).
Cette étape a été marquée par un entretien avec les responsables de Tata Groupe, et une visite guidée des modèles de bus (urbain et interurbain).

Coopération Mali-Sénégal : Bientôt un Parking de transition haut standing pour les transporteurs maliens à Sandiara.

La commune de Sandiara, située dans la région de M’Bour (Sénégal), a reçue la visite de la forte délégation malienne conduite par le Ministre des Transports.
Cette localité constitue une escale importante pour des centaines de véhicules gros porteurs maliens.
Sur place, Mr Soumana Mory COULIBALY a visité le site qui devra accueillir le parking de transition des vehicules poids lourds pour le Mali. L’Etat sénégalais a mis à la disposition du Mali 20 hectares pour la concrétisation de ce projet futuriste.
Dans cette dynamique, le ministre des transports a demandé à ce que les parties maliennes et sénégalaises puissent se rencontrer très prochainement pour définir ensemble les bases juridiques de ce futur parking de transition dans l’intérêt de nos 2 pays. Il a également invité ses compatriotes à respecter les lois du pays de transit.
Juste après la visite du site, le patron du département en charge des transports et sa délégation, ont rencontré les autorités municipales de Sandiara (Sénégal) et les transporteurs maliens. C’était au cours d’une cérémonie symbolique.

Daouda Bakary KONE

Source: croissanceafrique.com

Mali-Sénégal : Inauguration du nouveau siège des Entrepôts Maliens au Sénégal (EMASE).

0

Le nouveau siège des Entrepôts Maliens au Sénégal a été inauguré ce lundi matin dans la capitale sénégalaise. Il est situé en plein cœur du Port Autonome de Dakar. L’espace appartient entièrement à la république du Mali. La réception officielle de l’ouvrage a été faite par le Ministre des Transports, en compagnie de ses homologues du sénégalais, et de l’Ambassadrice du Mali au Sénégal.

Plus de 236 millions de francs CFA, c’est le coût de ce joyau architectural qui va accueillir désormais le personnel des EMASE et ses partenaires (le Conseil Malien des Chargeurs, le Conseil Malien des Transporteurs, les Douanes du Mali et du Sénégal, et la Chambre de Commerce et d’Industrie du Mali).
Ce bâtiment R+1 comprend en tout une quinzaine de bureau, une salle de conférence, deux autres salles pour le serveur et les archives, sans oublier deux parking spacieux.

Le but de cette réalisation est d’améliorer les conditions de travail du personnel, mais aussi de permettre la facilitation de traitement du trafic et l’amélioration de l’échange intra pays.
Plusieurs personnalités maliennes et sénégalaises ont prononcées des discours.
Dans son allocution, le ministre Soumana Mory COULIBALY a salué l’amitié exemplaire entre le peuple malien et sénégalais, des peuples qui sont unis par l’histoire et la géographie.
Pour lui, les relations de transports entre nos deux pays ont toujours été marquées du sceau de la fraternité comme démontrent nos échanges commerciaux.
En effet, plus de 3,6 millions de tonnes demarchandises à l’importation et 180 mille tonnes ee cotons à l’exportation, ont transité par le port de Dakar. Ce qui constitue environ 65% de l’ensemble des marchandises en provenance et à destination du Mali.
Mr Soumana Mory COULIBALY de poursuivre que la réalisation de ce joyau architectural va contribuerà raffermir davantage cet élan commercial.

Cette mission au Sénégal se poursuit ce lundi avec la visite des gares de M’Bao et des Beaux Maréchaires. Demain mardi, le ministre des Transports va rencontrer ses homologues du Sénégal. Les échanges porteront essentiellement sur la relance des chemins de fer.

Daouda Bakary KONE

Source: Croissanceafrique.com

Médias : le journaliste Abdou Semmar arrêté

0

PAR ALGÉRIEMONDEINFOS

Le journaliste Mohamed Abderrahmane Semmar, dit Abdou Semmar, a été arrêté hier mardi par les services de la Gendarmerie nationale, en compagnie de Merouane Boudiab, indiquent ses proches. Les deux journalistes travaillent pour le site AlgeriePart.

Abdou Semmar s’est distingué ces derniers temps par des révélations de documents compromettants sur des personnalités publiques et des hommes d’affaires.

Nous ignorons encore les charges qui pèsent sur lui.

A.O.

CEMAC : Le FMI met la pression pour une dévaluation du F.CFA.

0

« Les faits sont têtus. Ceux qui semblaient réfuter jusque présent l’éventualité d’une dévaluation découplée du F.cfa CEMAC risquent d’en avoir pour leurs frais, car le spectre de cette dernière continue à planer au dessus de cette Communauté Économique Régionale, qui fait de plus en plus figure « d’exception négative » au sein du Continent africain. … ».

« Les faits sont têtus. Ceux qui semblaient réfuter jusque présent l’éventualité d’une dévaluation découplée du F.cfa CEMAC risquent d’en avoir pour leurs frais, car le spectre de cette dernière continue à planer au dessus de cette Communauté Économique Régionale, qui fait de plus en plus figure « d’exception négative » au sein du Continent africain. … » Jean-Chrios Moukala.

Une rencontre des chefs d’Etats de la CEMAC est annoncée très prochainement à N’Djamena. Elle serait en préparation à la demande du FMI, qui souhaite selon les analystes, sensibiliser les Etats de la zone monétaire sur les risques d’une dévaluation à venir, si jamais les résolutions, de la conférence de Yaoundé en 2016, n’étaient pas suivies scrupuleusement. Cependant, pour de nombreux spécialistes, la dévaluation du FCFA n’est plus qu’une question de temps: car les Etats ne pourraient s’endetter éternellement au FMI…Et ne pourraient développer un système de production conséquent sous ajustement structurel.

Le spectre d’une dévaluation plane, à nouveau, sur les économies de la Communauté économique et monétaire des Etats de l’Afrique centrale(CEMAC). De nombreux analystes soutiennent que si en 2017, le taux de couverture extérieur de la monnaie était de 60 % contre 57% à la fin 2016, elle s’appuie essentiellement sur une légère amélioration des balances commerciales et les avances accordées dans le cadre du programme économique avec le FMI, et d’autre bailleurs de fonds (Banque Mondiale, Banque Africaine de Développement et Agence Française de Développement). Des programmes qui dureront en moyenne 03 ans, et à terme les pays sombreront à nouveau dans la crise, faute de solutions endogènes : 70% des échanges, notamment de biens et services, de la zone étant toujours réalisé avec l’extérieur.

A ce sujet, des experts de l’agence Coface affirment d’ailleurs que si « les réserves ont commencé à se stabiliser, elles demeurent, cependant, faibles et leur évolution pourrait retrouver une tendance baissière, si le FMI ne parvient pas à conclure un accord avec la République du Congo et la Guinée Équatoriale », précisent-ils. D’où la rencontre annoncée dans la capitale tchadienne, entre les chefs d’Etats de la CEMAC, le FMI et des représentants du Trésor public français.

Pour le FMI, il est surtout question d’entrainer la Guinée Equatoriale et le Congo à se soumettre au programme sous-régionale d’ajustement structurel, lancé il y a 02 ans à Yaoundé. Faute de quoi, l’embellie actuelle des réserves de change du pays pourrait se transformer, très vite, en une baisse perpétuelle qui conduirait systématiquement à une dévaluation du FCFA. Une mesure que conteste formellement le président équato-guinéen, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, qui demande plutôt que les revers annoncés des réserves extérieurs soient portés par le compte d’opération, logé au Trésor français ; Et son mécanisme qui, pendant plusieurs décennies à largement profité à la France.

La France prête à dévaluer le FCFA

De nombreux analystes affirment, cependant, que pour la France, la dévaluation du FCFA d’Afrique centrale n’est plus qu’une question de temps : car les Etats ne pourraient s’endetter éternellement au FMI…Et ne pourraient développer un système de production conséquent sous ajustement structurel. En juillet 2017, un rapport du Trésor public français envoyé à l’Elysée précisait déjà qu’en « important tout, les pays de l’Afrique centrale ont épuisé rapidement leurs réserves dans le compte des opérations ». Une utilisation excessive des devises dopée par l’ouverture douanière du Cameroun – première économie de la sous-région – aux exportations européennes, à travers les accords de partenariat économiques(APE). Le trésor proposait alors au chef de l’Etat Emmanuel Macron d’envisager la dévaluation du franc CFA XAF (de la CEMAC) au taux de 1 Euro = 1300 francs CFA XAF.

Source: AFP

Depuis l’élection de Macron, grosse progression du nombre de millionnaires

0

Benjamin Lawson Benjamin Lawson

AFP PHOTO / STR

Depuis l’arrivée de Macron à l’Elysée, les millionnaires poussent comme des champignons en France. C’est ce que laisse croire le rapport annuel du groupe bancaire Crédit Suisse sur la richesse dans le monde.

La population de millionnaires est en nette progression dans l’hexagone depuis l’accession d’Emmanuel Macron au pouvoir. Selon le rapport annuel du Crédit Suisse sur la richesse dans le monde , 259 mille ménages français sont devenus millionnaires entre mi 2017 et mi 2018. Le Figaro qui s’est lancé dans les calculs évalue à près de 2 millions le nombre de ménages français ayant un patrimoine supérieur à un million de dollars. Ce chiffre n’a pas de quoi faire pâlir les statistiques de 2011 et de 2014. Durant ces deux années, la France a compté 2, 6 millions de millionnaires. Pour le Figaro, la hausse des placements financiers, la hausse de l’immobilier, le bon climat des affaires et la stabilité de l’euro sont à la base de l’augmentation du nombre de millionnaires en France . En 2023, le pays comptera 3 millions de millionnaires selon les prévisions du Crédit Suisse. .Il faut cependant relativiser les performances de l’hexagone parce qu’il ne figure qu’au cinquième rang des pays ayant enregistré le plus de millionnaires.

Ce sont les états Unis qui tiennent le haut du pavé. La Chine arrive deuxième. Elle est suivie par l’Angleterre et l’Allemagne. Notons tout de même que la progression de la France est la deuxième plus forte au monde après celle des USA. Les Suisses dominent le classement par nationalité. Ils ont un patrimoine moyen de 465 mille 736 euros.

Source: croissanceafrique.com

Des milliers de Franco-algériens quitteraient la France pour bâtir leur avenir en Algérie.

0

Encouragés par les mesures prises en janvier 2018 par le gouvernement algérien sur ordre du Président Abdelaziz Bouteflika pour soutenir les créations d’entreprises, des milliers de Franco-algériens nés et diplômés en France traversent la Méditerranée pour tenter leur chance dans le pays de leurs parents ou de leurs grands-parents.

Pendant que des jeunes Algériens tentent de rejoindre l’Europe sur des embarcations de fortune en traversant la Méditerranée au risque de leur vie, un phénomène migratoire inverse est en cours. Dans un reportage diffusé le 19 octobre, France 3 le décrit. L’enquête signée par Karim Baïla, Laurent Esnault et Alban Poitevin, dont le titre est «Algérie, le nouvel eldorado», raconte l’aventure de plusieurs jeunes français issus de l’immigration et diplômés de l’enseignement supérieur français qui tentent de se faire une situation en Algérie, chose qu’ils n’ont pu réaliser en France. «Des Français d’origine algérienne qui ont choisi d’investir en Algérie, aujourd’hui, ils seraient environ 30.000», a-t-on annoncé dans le reportage.

La Peugeot 208 algérienne fera son baptême le 15 novembre (images)
Les mesures prises en janvier 2018 par le Président Abdelaziz Bouteflika, dont un crédit gratuit allant jusqu’à 1 million d’euros à taux zéro et remboursable à partir de 10 ans d’exercice et une aide au logement, en faveur des jeunes de la diaspora algérienne porteurs de projets, ont notamment poussé l’architecte Bachir, l’exportateur de produits agricoles Kader et la fabricante de smartphones Fellaa a créer leur entreprise en Algérie.

Après avoir rencontré le consul général d’Algérie à Marseille, qui lui a donné des explications quant aux avantages et aux facilités accordés aux jeunes investisseurs algériens venus de l’étranger, Bachir a déclaré qu’«il y a plein de choses à faire là-bas [en Algérie, ndlr], ça on en a tous pris conscience». «Maintenant qu’il y a des outils à notre disposition, on en prend acte, et c’est à nous de les exploiter, personne ne fera rien à notre place en Algérie ou ailleurs», a-t-il encore ajouté.

Kader a mis à profit sa double culture franco-algérienne et ses connaissances en matière de négoce international pour signer d’importants contrats concernant l’exportation de pommes de terre produite dans le Sahara algérien. «Je ne pensais pas qu’il existait encore des pays où on pouvait faire tout ce qu’on veut et dans tous les domaines, il suffit juste d’avoir les compétences nécessaires», affirme-t-il.
Pour sa part, Fella, accompagnée de son mari, travaille à l’ouverture d’une usine de montage de smartphones portant le nom de KenzyOne. Elle sera l’une des plus importantes unités de fabrication de ce genre de téléphones en Afrique du Nord. Dotées de cinq chaînes de production, dont deux seulement seront mises en activité au début de l’activité, l’usine de Fella produira entre 2.000 à 3.000 téléphones par jour.

Alger
© AP PHOTO / TOUFIK DOUDOU
Patron de Suez: voici ce qui fait peur aux entreprises françaises pour investir en Algérie
Pour rappel, les conditions de création de micro-entreprises, introduites en janvier 2018 par le gouvernement algérien sur ordre du chef de l’État, à l’adresse des jeunes de la communauté algérienne vivant à l’étranger sont identiques aux conditions existantes pour ceux établis en Algérie, sauf pour l’apport personnel, qui est en devises, dans le montage financier du projet. Cet apport est de 1% du montant global de l’investissement, si ce dernier est inférieur ou égal à 5 millions de dinars (soit 36.663 euros). Il est de 2% si l’investissement est supérieur à 5 millions de dinars et inférieur ou égal à 10 millions de dinars (soit 73.267 euros).

Source: Sputnik.com

La dédollarisation serait un gage de la sécurité économique de la Russie

0

Dans le contexte des sanctions, l’économie russe a besoin d’une dédollarisation pour garantir sa sécurité, estiment des experts interrogés par Sputnik.

Tout comme Vladimir Poutine, qui a déclaré que la dédollarisation de l’économie russe ne poursuivait pas l’objectif de torpiller la monnaie américaine, mais de garantir sa sécurité, les experts interrogés par Sputnik à ce sujet évoquent eux aussi de la sécurité économique.

L’objectif de la dédollarisation est, en effet, la sécurité, estime Anna Kokoreva, de la société Alpari.

«L’économie russe est très dépendante du taux de change et la haute volatilité du taux de change du dollar rend nos revenus instables. En outre, l’évolution du taux de change produit un impact direct sur les indicateurs macroéconomiques», a-t-elle ajouté.

«Étant donné que le pays émetteur de dollars introduit régulièrement des sanctions contre la Russie et menace d’imposer des restrictions aux obligations d’État, il convient de minimiser les risques et de réduire les paiements en dollars», conclut Mme Kokoreva.

Selon Valeri Bezouglov, de la société d’investissement Freeedom Finance, on entend par dédollarisation le fait d’utiliser en partie des monnaies nationales dans le cadre des échanges extérieurs, sous-entendant aussi que les exportateurs qui concluent des contrats en roubles se voient concéder des avantages.

Évoquant la protection contre les sanctions, il signale que la dédollarisation vise en tout premier lieu à protéger les paiements intérieurs en prévision des restrictions qui pourraient éventuellement concerner les transactions en dollars des banques d’État russes.

Les États-Unis «mettent en doute la fiabilité du dollar»
De nouvelles sanctions américaines contre la Russie étaient entrées en vigueur le 27 août. Un nouveau train de sanctions encore plus dures pourrait être introduit en novembre prochain pour frapper l’octroi de crédits aux personnes morales russes et les opérations d’import-export. Toujours en août, un projet de loi avait été soumis à l’examen du Congrès américain contenant un large éventail de mesures antirusses, y compris des sanctions contre la nouvelle dette publique et les banques d’État russes, parmi lesquelles Vneshekonombank, Sberbank, VTB, Gazprombank, Rosselkhozbank et Promsviazbank.

Les experts ont signalé à Sputnik que les formulations de ce document concernant les banques sont très vagues et que selon toute évidence elles pourraient également être frappées d’interdiction de paiements en dollars.

Source: Sputnik.com

S-400 pour l’Inde: Moscou et New Delhi se passeraient du dollar.

0

Les systèmes de missiles sol-air russes S-400 achetés par New Delhi ne seront pas réglés en dollars américains, mais en roupies, selon un haut responsable russe.

L’Inde se passera des dollars pour régler à la Russie l’achat des systèmes de missiles sol-air S-400, a déclaré aux journalistes le président de l’agence russe Rosoboronexport, Alexandre Mikheev.

«Nous sommes passés au schéma de règlements en devises nationales: la roupie indienne — le rouble», a indiqué le responsable.

Selon lui, la transaction prévoit une participation de banques russes et indiennes.

Le 5 octobre dernier, le Président russe Vladimir Poutine et le Premier ministre indien Narendra Modi ont signé un contrat de 5,4 milliards de dollars prévoyant la livraison de cinq régiments de S-400 Triumph à l’Inde.

Les négociations pour l’achat de ces systèmes antiaériens russes étaient en cours depuis de nombreux mois, en dépit des menaces de sanctions américaines en cas de conclusion d’un accord.

Donald Trump a déclaré le 10 octobre que l’Inde allait «bientôt connaître» sa réponse à la signature de ce contrat.

Précédemment, l’Inde avait indiqué que les sanctions imposées par les États-Unis ne l’empêcheraient pas de commercer avec la Russie.

Le ministre indien de la Défense, Nirmala Sitharaman, avait rappelé que la loi sur les sanctions contre les adversaires de l’Amérique (CAATSA) était une «loi américaine» et non celle «des Nations unies», promettant que l’Inde irait de l’avant dans cet accord sur les S-400.

Source: Sputnik.com

Maroc : légère hausse des virements interbancaires en 2017

0

Les virements interbancaires représentent 51% du volume global des ordres de paiement réglés par le système, selon le dernier rapport annuel de Bank Al-Maghrib sur les infrastructures des marchés financiers et les moyens de paiement, leur surveillance et les initiatives d’inclusion financière.

Les virements interbancaires ont enregistré, au Maroc, une légère hausse de près de 2% passant de 94 012 ordres en 2016 à 95 860 en 2017, selon le dernier rapport annuel de Bank Al-Maghrib sur les infrastructures des marchés financiers et les moyens de paiement, leur surveillance et les initiatives d’inclusion financière du pays.

Ils représentent ainsi 51% du volume global des ordres de paiement réglés par le Système des règlements bruts du Maroc (SRBM), avec une hausse de valeur de 62% en 2017 par rapport à 2016 (plus de 330 milliards de dollars, contre environ 203 milliards).

Quant aux virements pour compte de la clientèle, le rapport de l’autorité de régulation et de surveillance des infrastructures de marchés financiers et des moyens de paiement indique une progression continue depuis plusieurs années. Pour 2017, ils ont « enregistré une hausse de plus de 13%, passant de 81 029 ordres en 2016 à 91 921 en 2017. Leur valeur globale a enregistré une hausse de 8%, s’établissant à 1 411 milliards de dirhams en 2017? contre 1 305 milliards de dirhams en 2016 ».

A noter que le SRBM a permis le traitement agrégé de 187 781 ordres de virement, en hausse de 7,28% par rapport à l’exercice précédent. « La valeur globale de ces ordres a augmenté de 40,67%, passant de 3 226 milliards de dirhams en 2016 à 4 539 milliards de dirhams en 2017 », selon la banque centrale marocaine.

Source: Finacialafrik.com

Le Ghana va émettre ses premières “obligations vertes”

0

Le Ghana va rejoindre les 37 pays du monde qui ont déjà émis des obligations vertes. L’objectif de ces émissions d’obligations sera de financer la lutte contre les effets du changement climatique par l’implémentation de projets respectueux de l’environnement.

La “First National Bank” devrait être mise à contribution, selon l’approche du ministère ghanéen des Finances pour «émettre des obligations durables, écologiques et socialement responsables dans le but de développer des solutions innovantes pour financer des projets ayant un impact social et environnemental positif sur l’économie du Ghana »

L’enjeu à termes pour le Ghana, selon les officiels, c’est d’accélérer la mise en œuvre de l’accord de Paris sur le climat et des Objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies et « mobiliser des financements pour des projets respectueux de l’environnement qui ont un impact sur le changement climatique et soutiennent la transition vers une économie à faibles émissions de carbone ».

En Afrique, le Nigeria et la Cité de Cap Town sont les seuls à avoir émis des obligations vertes aux côtés des banques marocaines dont la BCP.

Source: Finacialafrik.com