Accueil Blog Page 1880

La BAD pose les jalons d’un développement durable de la filière bois en Afrique centrale

0

( Le Nouveau Gabon) – Le 13 septembre prochain, Libreville la capitale gabonaise servira de cadre à la restitution d’une étude sur l’industrialisation durable de la filière bois dans les pays du bassin du Congo, réalisée par la Banque africaine de développement (BAD).

Cette activité qui sera précédée du 10 au 12 septembre, d’un atelier de consultations régionales sur le nouveau Document de stratégie d’intégration régionale (DSIR)-Afrique centrale 2019-2025, sera présidée par le vice-président de cette institution, en charge du développement régional, de l’intégration régionale et de la prestation de services, le Dr. Khaled SHERIF.

La restitution de cette étude verra également la présence du directeur général de la région Centre de la BAD, le Dr. Ousmane DORE, des ministres en charge de la Forêt des pays d’Afrique centrale, des responsables des communautés économiques de la sous-région ainsi que de plusieurs autres personnalités.

Selon la BAD, les conclusions de cette étude fournissent un diagnostic rigoureux du secteur forestier de l’Afrique centrale et proposent un plan d’action stratégique pour un développement durable de la filière à l’horizon 2030.

L’objectif recherché à travers cette étude, souligne la BAD, est de répondre de manière opérationnelle, au défi stratégique de l’industrialisation de la filière bois, pour en faire un des principaux moteurs de la transformation des économies de la sous-région d’Afrique centrale.

L’institution financière panafricaine révèle par ailleurs, que « cette ambition est d’autant plus pertinente et urgente, dans le contexte du repli des cours du pétrole, qui met davantage en exergue, la nécessité de bâtir des économies diversifiées plus résilientes dans les pays de la sous-région».

Au terme de leurs travaux, les délégations effectueront une visite de la Zone économique à régime privilégié de Nkok (ZERP), fleuron de l’industrialisation de la filière bois gabonaise, située à 27 kilomètres de Libreville.

Stéphane Billé
Source: LenouveauGabon.com

L’encours des réserves de change de la Cemac s’est situé à 3 069 milliards FCFA à fin avril 2018, représentant 2,5 mois d’importations

0

(Le Nouveau Gabon) – La Banque des Etats de l’Afrique centrale (Beac) vient de publier un rapport sur la politique monétaire de la région Cemac (Cameroun, Congo, Gabon, Guinée équatoriale, RCA et Tchad) comptant pour le mois de juillet 2018.

Sur la période d’analyse, la Beac indique que les avoirs extérieurs bruts de la Cemac ont reculé de 3,4 %. L’encours des réserves de change s’est situé à 3 069 milliards FCFA à fin avril 2018, représentant 2,5 mois d’importations, en-deçà du seuil minimum requis de 3 mois. Cependant, bien que les réserves de change en mois d’importations des biens et services soient encore en-dessous du niveau adéquat (3 mois), elles se sont tout de même améliorées depuis l’adoption par le Comité de politique monétaire de la Beac, lors de sa session extraordinaire du 22 mai 2017, des mesures visant à consolider la situation des réserves.

Par pays, sur la période sous revue, les avoirs extérieurs nets du système monétaire se sont dégradés diversement : au Cameroun (de 1 970,1 à 1 952,7 milliards), en République Centrafricaine (de 103,7 à 91,4 milliards), au Congo (de 213,3 à 155,3 milliards), au Gabon (de 549,9 à 506,7 milliards), en Guinée équatoriale (de 74,6 à -8 milliards). Cependant, au Tchad, la position extérieure nette débitrice s’est améliorée, passant de (- 299,4 à -252,4 milliards).

Sylvain Andzongo

Source: LenouvelGabon.com

Mali: Déclaration des biens du président nouvellement élu : Communiqué du Président de la cour suprême

0

Taille de la police: Decrease font Enlarge font
Déclaration des biens du président nouvellement élu : Communiqué du Président de la cour suprême
Le président de la République Ibrahim Boubacar KEITA a procédé à la déclaration de ses biens le jeudi 06 septembre 2018 en sa qualité de président nouvellement élu

Le président de la cour suprême du Mali a l’honneur de porter à la connaissance du public qu’en application de l’article 37 de la consittiution du 25 février 1992, Monsieur Ibrahim Boubacar KEITA , président de la République a procédé à la mise a jour annuelle de sa déclaration de biens au titre de l’année 2018 le lundi 03 septembre 2018

En outre, le jeudi 06 septembre 2018 à 10 heures, il a procédé à la décalration de ses biens, en sa qualité de président nouvellement élu.

Source: croissanceafrique

Le patron d’Alibaba et homme le plus riche de Chine prend sa retraite… à 54 ans

0

Il prend sa retraite à 54 ans. Dans une interview au New York Times publiée vendredi, Jack Ma, homme le plus riche de Chine, a annoncé son départ à la retraite ce lundi. Sa fortune, il la doit au géant chinois du commerce en ligne Alibaba dont il est le président et co-fondateur en 1999. Ce départ n’est pas la fin « mais le début d’une ère », a-t-il déclaré au quotidien américain.

Son groupe non seulement domine le commerce électronique en Chine, mais est également présent dans l’informatique en nuage (« cloud »), le cinéma et la finance, mélange – et concurrent – des colosses américains Amazon, eBay et Google.

Egalement derrière le service de paiement électronique mobile Alipay, aujourd’hui omniprésent en Chine, Jack Ma a largement contribué à transformer la façon dont ses compatriotes font leurs achats et les payent.

19e fortune mondiale
Jack Ma prévoit de se consacrer désormais à des projets philanthropiques dans l’éducation, mais continuera à conseiller le groupe, a-t-il précisé au New York Times.

Ex-professeur d’anglais, véritable « self-made-man » adulé par ses employés, Jack Ma est selon l’agence Bloomberg la 19e fortune mondiale, avec un pactole évalué à 40 milliards de dollars. Vendredi, Alibaba pesait quelque 420 milliards de dollars de capitalisation boursière à Wall Street.

Source: 20minutes.fr

Le Fonds Monétaire International devrait-il dédommager l’Afrique pour ses lourdes erreurs de prescriptions ?

0

(Ecofin Hebdo) – Entre 2016 et 2017, le Fonds Monétaire International s’est manifesté en force aux côté de plusieurs pays africains, comme étant la solution en dernier ressort face à leurs problèmes de déséquilibres économiques. Au total 23,7 milliards $ ont été accordés sur la période à une quinzaine de pays. On a presque oublié les épisodes des années des ajustements structurels, qui ont été vécus dans la douleur par beaucoup de peuples africains. Une partie des opinions africaines, et même internationale, estiment le FMI devrait être tenu pour responsable de la situation de dépendance permanente que connaît aujourd’hui, le continent, paradoxalement le plus riche du monde en ressources.

Sur l’ensemble des indicateurs de performances économiques et structurelles, les pays d’Afrique subsaharienne occupent, à quelques exceptions près, les dernières places dans le monde. La région est celle où on retrouve le plus de facteurs de pauvreté, la croissance économique là moins inclusive et la prévalence des inégalités parmi les plus fortes.
Il est admis dans de nombreuses conférences internationales, et même dans les discours des oppositions africaines, que cette situation est due à la mauvaise gouvernance, la faible capacité des dirigeants et même parfois à un déficit de compétences.

Il est admis dans de nombreuses conférences internationales, et même dans les discours des oppositions africaines, que cette situation est due à la mauvaise gouvernance, la faible capacité des dirigeants et même parfois à un déficit de compétences.

Très rarement, les débats portent sur les causes profondes de cette situation, qui ne sont pas éloignées des guerres idéologiques internationales dont l’Afrique a été victime aux sorties des indépendances, et des traitements chocs que le FMI lui a administré.

L’Afrique victime collatérale de la guerre idéologique entre libéraux et communistes, qui tous recherchaient ses matières premières

Pour plusieurs pays d’Afrique, notamment subsahariens, les indépendances sont arrivées une quinzaine d’année après la fin de la deuxième Guerre Mondiale, dans les années 1960. Or deux situations importantes caractérisent la géostratégie mondiale du moment. Les anciens belligérants (vainqueurs comme vaincus), ont besoin de se reconstruire rapidement d’une part, et sont opposés sur le plan idéologique d’autre part.

Le bloc ouest (Etats-Unis, Europe et leurs alliés) qui est libéral et capitaliste est dans une guerre de positions, avec le bloc de l’est, communiste, emmené par ce qui s’appelait encore l’Union des Républiques Socialistes Soviétiques et, d’une certaine manière, la Chine. Ces deux adversaires ne se battent pas seulement dans les idées mais aussi pour le positionnement hégémonique. L’Afrique, malgré elle, s’est retrouvée au milieu de cette bagarre de géants, avec plusieurs des pays qui la composent devenus des champs de bataille. En plus d’être au cœur des plans stratégiques, certains pays africains, bien qu’indépendants, sont gérés comme des sources de matières premières. C’est le cas notamment des anciennes colonies.

L’Afrique, malgré elle, s’est retrouvée au milieu de cette bagarre de géants, avec plusieurs des pays qui la composent devenus des champs de bataille.

Les structures économiquess de base qui existaient sont détruites et elles sont remplacées par des systèmes de production dont le but est de répondre aux attentes de l’ancienne métropole. Ainsi, des pays de pêcheurs, de chasseurs ou de cultivateurs, deviennent des producteurs de pétrole, de bois, de cacao ou de bananes que, parfois, leurs populations ne consomment pas.
Les premiers dirigeants africains, selon l’idéologie qui les avaient conquis, se sont retrouvés à gérer leurs populations et leurs territoires, avec des outils dont ils avaient hérité quelques années auparavant seulement. C’est donc sans surprises, que lorsque sont apparus les premiers chocs extérieurs, plusieurs d’entre eux se sont effondrés. Le mot technique à l’époque était « la détérioration des termes de l’échange ».

Victime, l’Afrique s’est vu appliquée un remède inapproprié

Face à une situation qui se dégradait, la majorité des pays étant proches du bloc capitaliste et libéral, le Fonds Monétaire International est arrivé avec une solution clé en main, l’application du « consensus de Washington ». Cette dernière expression évoque un train de mesures ultra libérales et qui n’avaient fait leurs preuves d’efficacité dans aucun pays dans le monde.

20617 Ecofin Hebdo surcharge

Il est aujourd’hui établi que le « Consensus de Washington » a été contre-productif.

Ces solutions étaient de deux natures. Les unes visaient avant tout de stabiliser la situation sur le court terme. Pour cela, il était demandé à des pays jeunes, avec un secteur privé fragile et un tissu productif à peine naissant, de rentrer dans des austérités budgétaires. Le but noble était de faire en sorte que les Etats réduisent leur endettement interne, afin de pouvoir rembourser leurs créanciers externes. L’autre composante des actions sur la dépense publique était la réduction des subventions.

Certes, les sociétés parapubliques ne réalisaient pas de bonnes performances selon des indicateurs du moment. Mais avec le modèle d’Etat nation qui prévalait, les gouvernements occupaient presque tous les segments de la production de biens et services. C’est la raison pour laquelle des analystes considèrent que, par ces deux mesures, le FMI protégeait les créanciers internationaux, et ouvrait la porte aux multinationales.

C’est la raison pour laquelle des analystes considèrent que, par ces deux mesures, le FMI protégeait les créanciers internationaux, et ouvrait la porte aux multinationales.

Les deux autres actions de court terme étaient monétaires. Il a été demandé aux Etats de réduire la liquidité au sein de leurs économies, en augmentant les taux d’intérêt. Dans le même temps, les ajustements de taux de change des monnaies par rapport au Dollar ont été imposés. De nombreuses monnaies des pays ont ainsi subit de grosses dévaluations. Ainsi, il était impossible aux secteurs privés locaux d’entrer en compétition dans des privatisations, car ils n’auraient jamais eu les ressources suffisantes pour investir dans les actifs libérés par les Etats.

Aussi, la dévaluation supposée accroître la liquidité au sein des économies, a eu deux effets pervers. Les économies africaines étaient devenues extraverties, parce que le peu de forces productives qui existaient, avaient été orientées à fournir aux ex-métropoles les matières premières dont elles avaient besoin. En conséquence, pour leurs consommations, les populations étaient contrainte d’acheter des biens importés, parfois vendus par leurs partenaires commerciaux, essentiellement les ex-colons.

Des ajustements structurels qui ont conduit à des désastres

Les autres mesures, de plus long terme, étaient d’ordre structurel. Il était demandé aux pays de privatiser l’ensemble des secteurs sociaux essentiels, comme l’eau, l’énergie, le transport urbain et même dans une certaine mesure, l’éducation. Le deuxième train de mesures structurelles était la dérèglementation des marchés. Dans ce cadre, il fallait que les pays s’ouvrent, afin de renforcer la compétitivité locale. Mais étant donné la fragilité des économies, cette décision a été un passe-droit pour l’arrivée massive des produits importés. Finalement, au lieu de résoudre le problème du déséquilibre extérieur, le FMI et ses mesures l’ont renforcé surtout en Afrique subsaharienne.

Il fallait que les pays s’ouvrent, afin de renforcer la compétitivité locale. Mais étant donné la fragilité des économies, cette décision a été un passe-droit pour l’arrivée massive des produits importés.

Il est aujourd’hui établi que le « Consensus de Washington » a été contre-productif. Les pays africains ne sont pas parvenus au cercle vertueux de relance de leurs économies qui avait été annoncé. La dette des pays est allée croissante, au point où, dans les années 2000, la thérapie choc de l’Initiative pays pauvre très endettés est venue à la rescousse. L’indice de développement humain et l’environnement des affaires n’ont pas forcément progressé. Les pays qui ont marqué des points dans la région, comme le Botswana, sont d’ailleurs ceux qui ont rejeté l’appui du FMI.

Les pays qui ont marqué des points dans la région, comme le Botswana, sont d’ailleurs ceux qui ont rejeté l’appui du FMI.

Les pays occidentaux qui ont élaboré la philosophie libérale, se sont avérés eux mêmes ne pas être adeptes de l’ouverture. Pour diluer la levée des barrières tarifaires, ils ont mis en place une série des mesures de protections, en rapport aux normes de santé et autre techniques de protection non tarifaires. Des mesures qui leurs permettaient de protéger leurs tissus productifs et leurs emplois, tandis qu’ils maintenaient le déficit extérieur pour les autres pays.

Des actions critiquées parfois des voix les plus autorisées

Les critiques contre l’action du FMI ont reçu des soutiens de poids, comme ceux de Joseph Stiglitz, prix Nobel d’économie, qui a occupé des hautes fonctions au sein de la Banque Mondiale et de l’administration du président américain Bill Clinton. Une de ses critiques concernent la manière dont le FMI faisait passer ses décisions. Face à des Etats presque à genoux, les responsables de l’institution en ont profité pour en réalité imposer leurs règles.
« Le FMI aime régler ses affaires sans que des personnes qui lui sont étrangères ne posent trop de questions. En théorie, il prétend soutenir les institutions démocratiques des pays qu’il aide. En pratique, ces méthodes sapent le processus démocratique en imposant des politiques à mettre en œuvre. Officiellement, le FMI « n’impose rien ». Il « négocie » les conditions de réception de l’aide. Mais tout le pouvoir des négociations pèse d’un côté (le sien), et il accorde rarement suffisamment de temps pour un large consensus ou même des consultations à grande échelle avec les parlements ou la société civile », commentait Mr Stiglitz, dans une interview accordée en 2000 dans le magazine « The New Republic ».

Des réflexions plus complexes tendent même à faire du FMI, le responsable des situations désastreuses, comme l’épidémie d’Ebola qui a sévèrement frappé l’Afrique en 2015-2016. Dans une chronique publiée sur le Washington Post, Adia Benton, une intellectuelle de la Brown University aux Etats-Unis d’Amérique, explique que ce sont les politiques « désastreuses » du FMI, qui ont laminé les réponses médicales dans les pays frappés par cette épidémie et bien d’autres. Une réflexion analogue est faite sur les autres secteurs essentiels et sensible de la vie des pays africains.

Au sein du FMI, on tend très souvent à défendre son bilan. Récemment l’institution a admis qu’elle avait besoin d’adapter ses interventions. Mais, si elles sont désormais moins rigides, ses prescriptions continuent de poursuivre des objectifs libéraux, aux effets contrastés. Pour le professeur Dieudonné Essomba, un ingénieur statisticien camerounais réputé, « tant que le FMI et les autres partenaires des pays africains, s’attaqueront aux problèmes opportun, mais pas à celui plus fondamental du verrou de la contrepartie extérieure, les sorties de crise demeureront un objectifs non atteints ».

Mais, si elles sont désormais moins rigides, ses prescriptions continuent de poursuivre des objectifs libéraux, aux effets contrastés.

Dans un tel contexte, l’Afrique peut-elle demander des réparations au FMI pour mauvais traitement et même aggravation du mal économique de certains pays ? La question demeure posée. Plusieurs pays de la région ont, une fois encore, sollicité l’institution, soit par choix, soit par contrainte, soit par faiblesse.

Le Nigeria, malgré la récession qui l’a affaibli en 2016, a choisi de faire sans l’institution financière de Bretton Woods, et ne s’en sort pas plus mal.

Idriss Linge
Sourec: Agenceecofin

Le Front pour l’Unité du Mali et de l’Afrique sera en congrès constituant le 22 septembre 2018 à Ségou.

0

Contexte et Justification :
Le 19 Novembre 1968, un coup d’Etat met fin à la première République et par la même occasion bascule le pays dans une véritable instabilité politique, économique et socioculturelle. Ce coup d’Etat a sonné la fin de la montée en puissance de la République du Mali et le début de la fin de sa souveraineté.
23 ans de dictature ont vu l’économie malienne s’effondrée, les sociétés nationales disparaître, la monnaie nationale parti en fumée, seule l’armée malienne a survécu. Le 26 mars 1991, un nouveau vent d’espoir souffla de nouveau sur notre pays. Cet espoir était celui du retour à la démocratie et au multipartisme.

Hélas, 27 ans plus tard, les acteurs de la démocratie ont liquidé le pays. Les dernières sociétés nationales ont été privatisées. A ce jour rien n’appartient aux Maliens et au Mali. L’eau, l’électricité, les télécommunications, les hydrocarbures. Les secteurs clés du pays sont tous à terre : Un système éducatif en déphasage avec les besoins du marché, des programmes scolaires incompatibles avec les réalités socioculturelles de notre peuple ; une agriculture en retard ; une Sécurité sous-traitée ; une justice paralysée par la corruption et les politiques ; une Administration lente, minée de corruption et de népotisme ; un système de gouvernance qui favorise l’autocratie et implique très peu le citoyen. La troisième République a tellement échoué qu’aujourd’hui l’existence même du Mali est menacée.
Face à cette situation, il devient important que chaque citoyen à le devoir de protéger la République. C’est conscient de cela que des jeunes Maliens ont répondu largement favorable à la création d’une association politique se démarquant de tous les courants politiques actuels.

Le Front pour l’Unité du Mali et de l’Afrique(FUMA) se veut militant pour la cause de l’unité du Mali et de l’Afrique. Il s’oppose à toute tentative de division sous quelque forme que se soit du pays. Le mouvement se présente comme étant du courant politique suivant : Panafricain et socialiste africain. Il n’est pas opposé à la liberté d’entreprendre mais plutôt à toute forme d’exploitation de l’Homme par l’Homme. Après des larges concertations, le mouvement organise un congrès national, inclusif et constituant le 22 septembre 2018 à Ségou.
Objectifs :

-Adoption des Statuts et du règlement intérieur
-Election du Bureau National
-Adoption du plan d’Action de la première année
-Résultats attendus
-Statuts et règlement intérieur Adoptés
-Bureau National Elu
-Plan d’Action de la première année Adopté

Ibrahim Boiny Adiawiakoy

BMCE Bank intéressée par le système bancaire gabonais

0

( Le Nouveau Gabon) – Dans le cadre de l’amélioration du climat des affaires, le ministre de la Promotion des investissements et des Partenariats public-privé, Madeleine E. Berre, a reçu en audience, ce lundi 3 septembre 2018, à son cabinet, Brahim Benjelloun-Touimi, administrateur directeur général exécutif du Groupe BMCE Bank et président du groupe Bank of Africa.

Les échanges entre les deux personnalités ont porté sur un certain nombre d’opportunités d’investissement de ce groupe bancaire au Gabon et des possibilités de l’apport de leur expertise à la modernisation du système bancaire gabonais.

Il a également été question de voir dans quel sens, des innovations peuvent être mises en mises en place, au regard des réformes ambitieuses portées par le Plan de relance de l’économie.

Facteur clé de l’attractivité du climat des affaires, le gouvernement fait de la modernisation du système bancaire gabonais, un outil majeur pour répondre aux exigences du Plan de relance de l’économie.

Stéphane Billé

NouvelleGabon.com

Lutte pour le pouvoir:au nom de son parti, Soumaila Cissé serait en négociation pour obtenir des départements dans le tout nouveau gouvernement

0

Tous ces tapages, ces meetings et marches de contestations concernant la décision de la cour qui avait tranché confirmant les résultats de l’administration en charge des élections du Président de la République, ne serait d’autres que la quête d’un certain nombre de poste clés.
Selon une source proche du camp l’URD, Soumaila Cissé conscient de la victoire du camp adverse, celui d’IBK, serait en train de jouer la dernière carte dont il dispose désormais, c’est-à-dire faire la pression pour enfin obtenir quelques postes clés au nom du parti et aux jeunes alliés qui ont presque tout perdu durant le mandat écoulé espérant accéder au pouvoir, l’histoire de restaurer les caisses du parti qui, devenues presque vides à cause de la présidentielle de 2018. Tous les moyens seraient bons pour récupérer les milliards gaspillés et la résurrection politique de ces jeunes qui ont critiqué les 5 premières années de la gouvernance IBK. Par contre beaucoup de militants de l’URD ne savent pas que le chef du parti de poigné de main pourrait sortir à la toute dernière minute pour renoncer une fois que ses demandes aurait été prises en compte par le nouveau président qui a souhaité publiquement il y a quelques jours de cela au QG de l’EPM tendre la main à Soumaila Cissé pour enfin rebâtir le Mali avec la contribution de tous les fils et filles de la nation.

Source: Nouvelle patrie

Politique de réforme sociale: Un mandat pour la jeunesse !

0

C’était le mardi dernier, au palais de la culture Amadou Hampathé bah, que, Ibrahim Boubacar Keïta a prêté serment devant la cour suprême et le peuple malien, en plaçant la jeunesse au cœur de sa bataille du nouvel quinquennat.
Pour sa politique de réforme sociale le président de la République place la jeunesse au cœur de sa bataille pour le développement durable et la cohésion sociale, un facteur incontournable pour la restauration de la paix au Mali pour les cinq ans à venir. Notamment en faisant du secteur privé un secteur d’employabilité et d’opportunité pour les jeunes, afin de lutter contre le chômage et la pauvreté. Dans ce quinquennat l’accent sera mis aussi sur l’industrie et de l’entrepreneuriat, facteur d’enrichissement et de croissance économique. Ce quinquennat est un espoir pour le Mali et surtout pour la jeunesse qui sont les acteurs de demain. Déjà beaucoup ont été fait pour la jeunesse travers le projet de deux cent mille emplois qui est d’actualité et beaucoup reste faire aussi. Ce projet sera aussi un moyen pour lutter contre la migration des jeunes. Dont les images effroyables n’ont pas cessé de nous ronger intérieurement. Afin que ce grand chantier puisse voir le jour le président de la République peut compter sur l’ensemble de la population malienne et surtout aux jeunes qui sont les bénéficiaires de ce projet ambitieux. Pour IBK un pays ne peut se développement sans ses filles et fils, donc serrons les ceintures et suivons ensemble le président de la République dans sa vision ‘’ d’un Mali nouveau’’.

Lansine Coulibaly stagiaire

Mandat II du Président IBK:Un mandat de l’espoir !

0

Réélu avec un score exorbitant, IBK a également été le président le plus critiqué dans la gestion du pays.
Le président IBK s’est révélé au grand public par son humilité et son grand honneur, sa bravoure, son courage, son honnêteté et sa rigueur dans le travail. C’est pourquoi aujourd’hui il conduit les destinés du Mali en tant que Chef Suprême des Armées, Chef de la Magistrature Suprême et Première Institution de la République, voit sa responsabilité engagée au cours de cette crise multidimensionnelle qui continue de secouer la mère-patrie. La seule question qui se pose en longueur des journées est de savoir : Quel Président pour les maliens ? Les efforts inlassables déployés par le Président de la République et son Gouvernement dans la résolution de la crise sécuritaire du pays. Des milliers de maliens qui voudraient voir un jour le retour à la paix, à la stabilité, à la réconciliation des cœurs et des esprits, ainsi qu’à la réunification du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest. Pour ceux qui ne savent pas jusque-là, le Gouvernement Malien est sous pression afin de relever les défis majeurs qui frappent les yeux des citoyens. Ils doivent aussi savoir que le fer chaud est en train de se refroidir. Tâche très difficile sur plusieurs plans à savoir sécuritaire éducatif politique social. Ce cauchemar prendra fin un jour lorsque les populations auront foi en Dieu et confiance au Président IBK. Mettons la conscience devant le cœur, ayons un espoir, soyons optimiste et restons derrière le Président afin que le Mali puisse sortir dignement et humblement de cette situation. Chacun de nous est conscient de la gravité de la situation socio-sécuritaire, et unissons-nous pour soutenir notre président pour afin chercher des solutions idoines qui gangrènent et dominent l’image du pays. Notons que ce régime demeure la victime de ce qui s’est passé auparavant. Il faut que les 67,17% des maliens sachent qu’ils ne se sont pas trompés sur leur choix porté sur sa personne. Trêve d’exaction, trêve de tueries, trêve de manifestations est la seule chose que le grand Mali cherche, relative à la paix et à son développement. Il est temps que les maliens se donnent la possibilité de s’entendre, de se communiquer et de se concerter afin de changer de façon collective. Tôt ou tard le nom du Mali s’inscrira dans l’histoire de la paix et de la stabilité, car la guerre n’est pas dans nos habitudes, dans notre culture et dans notre quotidien comme certains pays. Donnons une chance à IBK de pouvoir reconstruire, de rebâtir un Mali nouveau et stable aux yeux de la communauté internationale. Soutenons et encourageons ses actions pour éviter une autre gravité de la situation. Le Mali ira loin et sera l’exemple pour toute la communauté internationale.

Lamine SISSOKO

Source: Nouvelle Patrie