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IBK à Koutiala : « ’aucuns affirment que je ris alors que le pays est en crise. Certes, il y a des difficultés, mais nous sommes à la tâche et Dieu nous est témoin»

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Revigoré par un accueil chaleureux et une foule en liesse à Koutiala, sa ville natale, du jeudi 14 au vendredi 15 février, le président de la République, Ibrahim Boubacar Keïta reste flegmatique face à l’adversité politique. « Ils savent que vous avez su porter la lourde responsabilité qui vous a été confiée. Vous n’avez point déçu les Maliens». Vous : ce sont les habitants de Koutiala et le président IBK. Vendredi 16 février, il est au second jour de sa visite à Koutiala, sa ville natale, ‘’son royaume d’enfance’’ d’après ses propres termes. Le stade municipal de la ville, d’une capacité de 5000 places, est plein comme un œuf. Construite il y a quelques années, ce jour, le président Ibrahim Boubacar Keïta, vient pour baptiser l’infrastructure sportive au nom de feu Seydou Ouattara, le ‘’Jamanatigui’’ (chef traditionnel ndlr) de Koutiala. Tout de blanc vêtu, IBK survole à l’envie ses souvenirs de jeunesse et ses rapports amicaux avec le défunt ‘’Jamanatigui’’, de Koutiala. Il a côtoyé ce dernier à son jeune âge et le considère comme son grand-père.

« J’AI LE SOUCI DU MALI, JE N’AI PAS LA BOULIMIE DU POUVOIR »

« Seydou Ouattara était un homme digne, plein de sagesse, respecté par tout le monde y compris par l’homme blanc (le colon). A Koutiala, nous avons le sens de l’honneur et de la dignité. J’ai grandi avec ces valeurs», rappelle-t-il. Mais très vite, l’émotion fait surface. Le président est trahi par ses larmes. Quelques secondes de calme plat dans le stade. Le discours reprend avec, cette fois-ci, une allure politique plus aiguë. Il est prononcé en langue nationale bamanan. « Tant que j’ai la bénédiction de mes ancêtres, tant que j’ai votre soutien et je me confie à Dieu, ils peuvent continuer à jeter le bâton dans mes roues, je ne tomberai pas », a-t-il déclaré.

« Je n’enfreins pas la loi car je sais de quoi il s’agit. Retenons-nous ! Retenons-nous ! Écoutons-nous les uns les autres. Arrêtons de jeter le bâton dans les roues les uns des autres et donnons-nous les mains. La jalousie et la haine ‘’noire’’ ne servent à rien » poursuit le président IBK. Et il ajoute : « d’aucuns affirment que je ris alors que le pays est en crise. Certes, il y a des difficultés, mais nous sommes à la tâche et Dieu nous est témoin».

En guise d’exemples, il a rappelé entre autres : la réalisation très récente des ouvrages d’approvisionnement en eau potable dont 5000 branchements sociaux à Koutiala pour plus de 3 milliards FCFA. Ou encore, le lancement des travaux d’un hôpital de 2ème référence dans la même ville pour 12 milliards FCFA et d’un vaste projet routier dans les régions de Koulikoro et Sikasso. Soutenue par la banque mondiale à hauteur de 45 milliards FCFA, l’initiative vise à améliorer la circulation des personnes et de leurs biens en milieu rural. Sa première phase sera réalisée dans le cercle de Koutiala. Il consiste à aménager une piste rurale longue de 98km reliant Koutiala-Konséguena-Konina-Fleuve Glo.

Par la même occasion, le président Ibrahim Boubacar Keïta a remis 1680 machines décortiqueuses de riz, 360 repiqueuses de riz et 10 000 kits scolaires. Et le ministre des Sports, Jean Claude Sidibé de promettre la construction très prochaine d’une salle multifonctionnelle de basketball, de handball et d’autres disciplines sportives à Koutiala.

« Vous avez honoré votre engagement envers les populations de Koutiala. La balle est désormais dans notre camp », a déclaré quelques heures plus tôt, Mamadou Coulibaly, porte-parole de la coordination des chefs de quartiers.

Keneya Jemu Kan:Restitution des résultats de l’évaluation de la phase d’introduction de la Chlorhexidine digluconate 7,1% « BARATOULOUNI » au Mali

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La salle Marouane de l’Hôtel « El Farouk Ex Kempesky » de Bamako a servi de cadre le jeudi 08 février 2018 pour la tenue d’un atelier sur la Restitution des résultats de l’évaluation de la phase d’introduction de la Chlorhexidine digluconate 7,1% dans les soins du cordon ombilical dans 4 districts sanitaires du Mali et de l’étude de marché sur la Chlorhexidine.
Au Mali, les infections néonatales dont celles du cordon ombilical occupent une place prépondérante, les taux de mortalité néonatale, infantile et juvénile avec respectivement 34‰, 56‰ et 39‰ selon l’EDS V (2012-2013).
Aussi, les résultats de l’étude de base des projets USAID Keneya Jemu Kan et Services de Santé à Grand impact réalisés en 2015, ont confirmé l’utilisation de substances diverses non recommandées pour les soins du cordon. En effet, dans 94% des cas un produit a été appliqué après la coupure du cordon. Dans 80% des cas, il s’agit du beurre de Karité.
Pour contribuer à réduire la mortalité néonatale dans les pays où le taux de mortalité néonatale est supérieur ou égal à 30 décès pour 1000 naissances vivantes, l’OMS recommande la Chlorhexidine digluconate 7,1% pour les soins du cordon durant la première semaine de vie. Il s’agit d’un produit qui peut être facilement administré par tous les acteurs (prestataires et communauté).
Dans ce cadre, au Mali depuis 2015, la DNS et ses partenaires comprenant USAID/ Services de santé à Grand Impact (SSGI) et USAID/Keneya Jemu Kan (KJK) à travers le groupe technique national sur la Chlorhexidine ont élaboré un plan de démarrage pour l’introduction de la Chlorhexidine dans quatre districts sanitaires: Kéniéba dans la région de Kayes, commune I du district de Bamako, Ouéléssébougou dans la région de Koulikoro et Koutiala dans la région de Sikasso.
Ainsi, les projets USAID Keneya Jemu Kan et Services de santé à grand impact (SSGI) en collaboration avec d’autres partenaires ont appuyé le CNIECS et la DNS dans la conception des directives, des modules de formation, des supports de collecte, de rapportage, de supervision, des matériels de communication pour la phase de démarrage de l’introduction de la Chlorhexidine en vue d’apprécier le processus de mise en œuvre de cette phase, analyser et documenter les leçons apprises en matière d’offre et d’utilisation des services et de communication pour le changement de comportement en faveur de la Chlorhexidine.
La phase d’introduction de la Chlorhexidine di-gluconate 7,1% en gel de 10g dans les quatre districts a démarré en septembre 2016 et a vu la réalisation de plusieurs activités par les projets USAID/SSGI et USAID/KJK dont : l’organisation des sessions d’orientation de toutes les parties prenantes à tous les niveaux. Il s’agit des équipes cadres des districts, des directeurs techniques des centres, des responsables des maternité des CSCOM et des maternités rurales, des agents de santé communautaire, des relais communautaires, des élus locaux, des tradi-praticiens et des groupements de femme. Ces activités ont été soutenues par une large campagne de communication pour le changement social et de comportement auprès de toutes les parties prenantes (prestataires de santé, mamans, grand-mères, leaders communautaires etc.).
Les objectifs de l’atelier de restitution étaient donc de :
 Partager avec l’ensemble des membres du groupe technique nouveau-né et les autres partenaires techniques et financiers en santé les résultats de l‘évaluation de la phase d’introduction de la Chlorhexidine dans les soins du cordon ombilical des nouveau-nées dans quatre districts sanitaires ;
 Partager les résultats de l’étude de marché sur l’introduction de la Chlorhexidine dans les produits du marketing social ;
 Discuter avec les participants les prochaines étapes d’extension de la Chlorhexidine dans toutes les formations sanitaires du Mali.
Placé sous la tutelle de la Ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique à travers la DNS/DRS, cet atelier a regroupé plus d’une centaine de participants venus des régions et du district de Bamako.
L’ouverture officielle de l’atelier a été faite par Dr Saran Boré, chef du service DSR, représentante du Directeur Nationale de la Santé. A ces côtés, figuraient les directeurs pays des deux projets KJK et SSGI, respectivement Dr Issiaga Daffé et Dr Protais Ndabamenye, en plus du représentant du CNIECS.
Des présentations power point ont permis de partager les résultats des évaluations et de l’étude de marché avec les participants. Des séances de discussions, questions, réponses ont été faites, à l’issue desquelles les résultats des études ont été validés.

 

Source : croissanceafrique.com

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Medias Sociaux: La vidéo est prétendue être celle de Ben Kattra, un ministre du gouvernement actuel engagé dans une activité sexuelle.

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Après une analyse de la vidéo, je peux dire avec confiance que c’est une fausse vidéo créée avec la technologie de reconnaissance faciale et de l’intelligence artificielle. On peut remarquer qu’il n’y a pas de changement d’expression sur le visage de la personne tout au long de la vidéo; cela indique qu’une photo a été utilisée. À un certain moment dans la vidéo, on peut remarquer un petit problème où le changement de visage n’était pas assez rapide.

Beaucoup de personnalités publiques et de célébrités aux États-Unis ont été victimes de ce genre de montage appelé DeepFake. Ces vidéos ont été interdites sur plusieurs sites. Grace aux progrès de la technologie, l’application appelée FakeApp qui permet ce genre de trucage est maintenant facilement accessible à toute personne possédant un ordinateur.

La police malienne a publié un communiqué indiquant qu’une enquête a été ouverte pour suivre les auteurs. Leur tache sera difficile. Malheureusement, les Maliens devront s’attendre à beaucoup de vidéos de ce genre. Le génie est sorti de la bouteille.


Amadou O. Wane
Information Systems & Decision Sciences
Cryptographic Public Key ID=6C915A92
@amadouWane
www.amadouwane.ml

Defense: Ahmedou Ould Abdallah, la corruption omniprésente

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Mondafrique a rencontré Ahmedou Ould Abdallah qui nous parle, entre autres, de la corruption qui gangrène le système mondial.

De nationalité mauritanienne, Ahmedou Ould Abdallah est président du Centre pour la Stratégie et la Sécurité dans le Sahel. Il a servi successivement comme directeur de l’industrie puis ministre du Commerce et des Transports, ambassadeur aux États-Unis et auprès des États du Benelux et de l’Union européenne puis ministre des Affaires étrangères et de la Coopération. Puis il rejoint les Nations unies, où après avoir servi au siège à New York, il exerce sur le terrain au Burundi en 1993/95. De 1996 à 2002, il a dirigé la Coalition mondiale pour l’Afrique à Washington DC, en étroite coopération avec la Banque mondiale. De retour aux Nations unies il sert comme Représentant Spécial en Afrique de l’Ouest de 2002 à 2007 et en Somalie de 2007 à 2010. Il a publié ses souvenirs Plutôt mourir que faillir  en avril 2016.

Par le mondeafrique

 

Source : croissanceafrique.com

 

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plus de 1,244 millions de dollars canadien (environ 560 millions FCFA) pour, entre autres, « accélérer l’exploration des propriétés (de la société) au Burkina Faso et au Mali ».

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 Une accélération de l’exploration des mines de Guiro et Kabaya par la junior Komet Resources

Il s’agit, en effet, des mines aurifères de Guiro (Burkina Faso) et Kabaya (Mali) qu’elle exploite depuis quelques années. Le financement s’ajoute aux 592.000 dollars (270 millions de FCFA environ) mobilisés le 25 janvier 2018 par Komet Resources.

La Société avait effectué des travaux d’optimisation sur le site de Guiro et avait « procédé à l’installation de nouveaux équipements de pointe à l’usine tout en révisant et optimisant tous les processus de la chaîne de production », avait-elle annoncé en octobre 2017.

Diplomatie: La RDC se trouve à la croisée des chemins

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Après Addis-Abeba et le Sud-Soudan, la représentante permanente des États-Unis à l’ONU, Nikki Haley, séjourne à Kinshasa où elle a exhorté les acteurs politiques congolais à tenir les élections en 2018 et pas au-delà.

 

L’histoire va-t-elle se répéter à Kinshasa comme il y a 20 ans lorsque Bill Richardson, ambassadeur des États-Unis à l’ONU, débarqua à Kinshasa avec un message de Bill Clinton pour demander à Mobutu de quitter le pouvoir. Cette fois, c’est Nikki Haley qui a débarqué à Kinshasa dans un avion de l’US Navi portant un message de fermeté à Kabila en l’invitant à déclarer à son peuple qu’en 2018 le pays organisera des élections auxquelles il ne sera pas candidat sous quelques formes que ce soit.

Nikki Haley, qui a eu un tête-à-tête avec le président Kabila dont le mandat est arrivé à terme le 19 décembre 2016, a saisi cette occasion pour appeler Kabila à soutenir les élections en 2018 : «Nous avons la capacité de prendre nos décisions en fonction de cela».

La représentante des États-Unis à l’ONU a eu une conversation «ferme» et «franche» avec le chef de l’État Joseph Kabila. Tels sont les propos qu’elle a, elle-même, tenus devant la presse vendredi soir au sortir de sa rencontre avec le président de la République démocratique du Congo.

«Nous avons clairement fait savoir que les États-Unis voulaient voir des élections en République démocratique du Congo être organisées en 2018 et que nous n’accepterions plus les élections», a-t-elle ajouté en faisant passer le message que les États-Unis optent pour les élections au plus tard avant la fin de l’année prochaine.

«Les relations entre lui (Kabila) et les États-Unis dépendront de la façon dont il agira à l’avenir. Il a la capacité de soutenir cela (les élections) ou non, mais nous avons la capacité de prendre nos décisions en fonction de cela», a prévenu Haley.

Bien avant la rencontre du Palais de la Nation, Nikki Haley avait déjà prévenu depuis la CENI que la communauté internationale ne serait pas prête à soutenir les élections en cas d’un nouveau report.

L’ambassadrice américaine à l’ONU a eu aussi entre autres des entretiens avec une délégation de l’opposition conduite par Ève Bazaiba, Vital Kamerhe et Felix Tshisekedi, puis avec les évêques de la conférence épiscopale du Congo, garant de l’accord dit de la Saint Sylvestre.

La RDC se trouve à la croisée des chemins. Le président est ainsi entre le marteau des États-Unis et l’enclume d’une contestation populaire.

Source : croissanceafrique
Par les Afriques
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COMMUNE VI : Des associations pour la levée de la suspension du maire marchent mercredi

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Sensibilisation, meeting, distribution de tracts en passant par le lancement de la pétition, les 12 quartiers de la Commune VI du district de Bamako veulent user de tous les moyens pour la levée de la suspension du maire Alou Coulibaly. Après les meetings dans les quartiers, le Collectif « Respectez nos voix » compte battre le pavé ce 21 février.

Depuis la suspension du maire de la Commune VI du district de Bamako, Alou Coulibaly, la mobilisation citoyenne ne faiblit pas. Des organisations de la société civile, sous le leadership de lUnion de la coordination des déguerpis de Niamakoro, le Collectif pour la défense de la République et le Mouvement populaire plateforme pour le changement, à travers une démarche participative, ont obtenu ladhésion dune frange importante des associations et mouvements de la Commune, notamment lAssociation Nieta, lAssociation des jeunes pour le développement de Yirimadio-Coura, les comités de développement des quartiers, lassociation Siguidiara de Niamakoro-Badianbougou, lAssociation pour le redressement et le développement du quartier de Niamakoro, lAssociation des exploitants de sable et le Groupe daction pour un Mali nouveau. Ils désapprouvent la décision du gouvernement relative à la suspension du maire de la Commune VI du district de Bamako, Alou Coulibaly.
Pour eux, la décision du gouvernement est plus politique quadministrative. Les faits reprochés au maire ont été commis en août 2017. « Sil savère, pourquoi la réaction du gouvernement na pas été immédiate ? Pourquoi attendre le contexte sociopolitique tendu et le moment où il sest engagé personnellement dans la réhabilitation des déguerpis de Niamakoro-Diallobougou dans la zone aéroportuaire, du lotissement de Sénou et de la régularisation de Yirimadio pour lui infliger une telle sanction ? Nous doutons de la bonne foi du gouvernement », a déclaré Boubacar Nanko Samaké de lUnion de la coordination des déguerpis.
« De Niamakoro en passant par Sénou, Missabougou, Yirimadio, Sogoniko, Faladié, Banankabougou, Magnambougou, Dianéguéla, Sokorodji, nous sommes engagés. Nous allons battre le pavé le mercredi prochain »
Moctar Koné, Stagiaire

Source : croissanceafrique.com

 

Mail: croissanceafrik@gmail.com

L’Algérie cherche activement un successeur au président Bouteflika

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Par  La visite récente à Alger du chef d’état major particulier d’Emmanuel Macron avait naturellement pour but d’évoquer le dossier de la sécurité au Sahel qui tient à coeur l’Elysée où l’on sait qu’aucune solution durable dans cette région ne peut se faire sans l’appui, ou du moins la neutralité, de l’Algérie.

Le proche collaborateur du président français, qui a tenu à saluer le président Abdelaziz Bouteflika, s’est entretenu principalement avec les autorités militaires algériennes de la lutte contre le terrorisme au Mali, au Niger et enfin Libye, un pays où la France comme l’Algérie multiplient les contacts.

La succession plus que jamais

à l’ordre du jour

Mais dans l’état de tension où se trouve l’Algérie et alors que chacun des clans au pouvoir affute sa stratégie pour la succession de Bouteflika plus malade et diminué que jamais, le conseiller d’Emmanuel Macron a évoqué également avec ses interlocuteurs la situation politique délicate où se trouve le pays. Du coté algérien, le message est clair. Les différentes composantes du pouvoir sont en train de se mettre d’accord sur le profil idéal du successeur: un homme relativement jeune, c’est à dire selon les critères locaux de moins de 70 ans; un candidat de consensus entre la Présidence et l’Etat Major; enfin un haut cadre de l’Etat qui aie une certaine proximité avec l’appareil sécuritaire mais qui ne soit pas ou plus militaire.

Un nom qui revient ces jours ci à Alger est celui du chef de la police et ancien patron de la gendarmerie, le général-major Abdelghani Hamel, originaire de l’ouest comme Bouteflika et à ce titre soutenu par le chef de l’Etat. La force de cet ancien gradé, qui a quitté les cadres de l’armée voici deux ans, est de bénéficier également de la confiance des dirigeants actuels de l’armée. Un signe parmi d’autres de sa bonne étoile, on évoque même dans les coulisses du pouvoir la possible éviction d’Ahmed Ouyahia du poste de premier ministre et la nomination d’un proche du général Hamel, l’actuel ministre de l’Intérieur.

SourceMonde Afrique

 

Par croissanceafrique.com

Mail: croissanceafrik@gmail.com

Côte D’ivoire: Remaniement ministériel

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Le chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara et son aîné, le Président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire, Aimé Henri Konan Bédié auraient eu une rencontre ce week-end à Daoukro loin des cameras.

Cette rencontre s’inscrirait en prélude au réaménagement ministériel qui interviendra en début de semaine prochaine.

Selon nos sources, Ouattara aurait rencontré Bédié pour une harmonisation de la liste du nouveau Gouvernement qui sera mis en place dans quelques heures.

Par ailleurs que le Président du PDCI ne souhaiterait plus reconduire certains de ses ministres.

Il s’agirait d’Adjoumani Kobenan et de Jeannot Ahoussou Kouadio, respectivement, ministre des Ressources animales et halieutiques et ministre d’Etat, ministre auprès du chef de l’Etat en charge du Dialogue politique.

La raison, ces deux militants du PDCI seraient jugés « trop proches » de Ouattara.

Vrai ou faux ? La réponse sera connue cette semaine à savoir s’ils quitteront ou non le Gouvernement Gon.

Par ailleurs, une chose est pour l’heure avérée, appelé à d’autres fonctions, le ministre Jean-Claude fera ses adieux au Gouvernement, puisqu’il prend officiellement fonction le 1 mars prochain à la présidence de la commission de la CEDEAO.

 

Source : croissanceafrique

 

Mail : croissanceafrik@gmail.com

Société: L’USAID / KJK à Ségou pour le Festival sur le Niger, Edition 2018.

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Depuis le 01 Février, une grande équipe de KJK est déployée à Ségou pour promouvoir les activités de communication.

A cet effet, un stand « jigisigi » est animé en permanence par l’équipe (les promoteurs des produits du Marketing Social, les jeunes ambassadeurs pour la Planification Familiale…).

Des sessions d’enrôlement des jeunes sur l’application iKolosi se déroulent sur tous les sites du Festival.

Une exposition est faite sur les produits du Marketing Social. Des jeunes sont déployés sur le site pour sensibilisation et orientation sur le site Jigisigi.

Notons que le Stand a enregistré plus de 800 visiteurs pour la seule journée du 1er Février.

Source croissanceafrique

Mail: croissanceafrik@gmail.com