Ce jeudi 26 juillet 2018, les syndicats de la magistrature ont tenue leur assemblée générale au cours de la cour d’appel de Bamako. Au menu; il s’agit de faire le point des démarches qui n’ont pas porté fruit et le motif d’observation de la grève encours.
Selon eux , après plusieurs tentatives et de va et vient, le gouvernement du Mali n’a pas donné une réponse favorable aux différentes doléances. Cela dit, le juge Kassongué affirme que « la justice reste l’un des pouvoirs que compose la République, le Mali. Et cela , il ajoute que les autres pouvoirs sont dissociables mais que la justice reste pour l’éternité »,dit-il.
En ce qui la sécurisation des tribunaux et des magistrats, le gouvernement n’a pas tenir compte des doléances déposées sur table. Selon le président du syndicat autonome de la magistrature (SAM), le juge Badra Aliou Nanankassé affirme que le gouvernement, au lieu renforcer la securité des magistrats , il (gouvernement) est passé à la réduction des gardes pénitentiaires et autres agents en chargent de la sécurité des magistrats,cela est innadmissible « , déplore-t-il.
Au cours de son compte rendu, le juge Kassongué a dit que » notre sécurisation est devoir de l’Etat », dit-il. Pour lui, dors et déjà le gouvernement affirme qu’il ne reconnait pas les document signés par le ministre de la justice, il s’agit: (certainement un document qui répond aux doléances déposées). Raison pour laquelle , les deux syndicats (SAM et SYLIMA) ont décidé d’observer cette grève déjà encours..
Au regard de la contuinité ou de la prolongation de cette grève, des intervenants ont suggéré et se sont prononcés sur un éventuel repport de la grève au profit de l’actualité (l’élection présidentielle).
Selon d’autres informations, des magistrats ont donnés des position erronées, comme quoi, la grève est un non événement et qu’il n’y aura pas une Assemblée générale. Le juge Kassongué et le juge Nanankassé affirme que c’est le procureur Dramane Diarra et le juge Cherif qui sont à la base de ces mensonges, et de ces allégations qui n’ont d’autres motifs que de dénigrer les confrères (juges). Le président du SAM (B. A. Nanankassé) invite les magistrats qui composent les deux syndicats de n’est pas porté crédit à leur déclaration sur les ondes d’une radio de la place.