Le secrétaire général Xi Jinping s’est rendu lundi dans la province du Qinghai pour effectuer une inspection. Lundi après-midi, il est arrivé au Groupe de tapis Shengyuan, dans la ville de Xining, pour savoir comment l’entreprise profite des avantages des ressources en matières premières locales, innove le concept de design, renforce la compétitivité de ses produits et aide les habitants locaux à trouver le travail et à augmenter le revenu. Xi Jinping s’est rendu plus tard dans une communauté résidentielle pour inspecter les efforts pour renforcer l’édification du Parti au niveau local, améliorer la gouvernance locale et promouvoir l’unité ethnique.
Affaire dite Menankoto au Mali: Une somme de 500 millions de F CFA payée pour annuler le permis de recherche d’or de Menankoto ?
Par croissanceafrique
Des chancelleries étrangères impliquées en faveur de B2Gold , l’Etat Malien doit encourager les investisseurs locaux/pour plus de détails voici les arguments fallacieux des défenseurs de B2 GOLD.
Depuis près de plusieurs semaines, des actionnaires frustrés parce que le contrat de B2GOLD n’a pas été renouvelé, tentent désespérément de discréditer la procédure d’attribution du permis de Recherche de Ménanko aux investisseurs maliens à travers la société « Litle BIG MINING ». Cette usurpation de comportement malsaine ne marchera plus désormais, car le gouvernement Ouane et ses complices de B2To Gold à travers sa collaboration Américano-Canadienne a été démasquée. Et oui, il s’agit du paiement d’une somme de 500 millions de F CFA pour annuler le permis de recherche d’or de la mine de Menankoto.
Pour rappel, le permis de recherche d’or de Menankoto avait été attribué à la Société Little Big Mining par le ministre des Mines, Lamine Seydou Traoré, le 24 mars 2021, et ce conformément aux dispositions pertinentes relatives aux procédures d’attribution des titres miniers de l’Ordonnance n°2019-022/P-RM du 27 septembre 2019 portant Code minier en République du Mali.
Pourtant, la procédure d’attribution dudit permis a été respectée. Elle répond aux dispositions relatives aux procédures d’attribution des titres miniers de l’Ordonnance n°2019-022/P-RM du 27 septembre 2019 portant Code minier en République du Mali. Donc, dura lex, sed lex. Au-delà de cet aspect, les autorités maliennes ont répondu, à travers cette décision, aux sollicitations des Maliens : encourager nos investisseurs !
Qui en veut aux deux jeunes et vaillants investisseurs maliens responsables de
« Litle BIG MINING » ? Pourquoi abattre ces jeunes employeurs maliens, ceux-là
qui ont accepté d’investir dans leur pays. ? En effet, depuis deux semaines,
certaines personnes, certainement animées de mauvaise foi, tentent de
discréditer la procédure d’attribution du permis de Recherche de Ménanko aux
investisseurs maliens à travers la société « Litle BIG MINING ».
Ces actionnaires de la société B2GOLD sont entrain de distraire les Maliens en faisant passer des informations selon lesquelles, il y a eu de corruption dans la procédure. Faux, rétorque, un connaisseur du dossier qui affirme que la procédure répond aux dispositions relatives aux procédures d’attribution des titres miniers de l’Ordonnance n°2019-022/P-RM du 27 septembre 2019 portant Code minier en République du Mali.
Les arguments fallacieux des défenseurs de B2 GOLD
Les seuls arguments des défenseurs de B2GOLD dans ce dossier, ce sont les
investissements de cette société, les emplois qu’elle créé au Mali. Certains
brandissent, comme des trophées de guerre, les milliards que cette société a
investis au Mali. Mais la vérité que ces actionnaires ne disent pas aux Maliens
: c’est ce que gagne cette société dans le sous-sol malien, dans l’exploitation
de l’or. B2GOLD investit ces milliards au Mali parce qu’elle aime les Maliens ?
Non, elle fait ces investissements parce qu’elle extrait de l’or. Voilà la
vérité. Donc les arguments concernant les investissements sont trop bas pour
pouvoir convaincre les Maliens. Les responsables de l’entreprise « Litle BIG
MINING » feront les mêmes investissements, sinon plus.
Certains défenseurs de B2GOLD annoncent même honteusement des incidents
diplomatiques entre le Mali et le Canada pour cette affaire. Quel argument
fallacieux ! B2GOLD est une société privée canadienne. Alors d’où vient cette
histoire d’incident diplomatique ?
L’objectif de ces personnes est connu : tenter de chanter les autorités maliennes pour qu’elles favorisent B2GOLD au détriment des investisseurs maliens qui ont bénéficié du permis dans les règles de l’art. Tous ces arguments ne passent pas. Ce que les défenseurs de B2GOLD ne disent jamais, ce sont les griefs contre cette société.
Ces griefs se situent à quatre niveaux. Niveau un : le permis querellé (Ménankoto) faisant l’objet d’une entente illicite de cession entre deux (02) sociétés multinationales opérant dans notre pays au détriment des intérêts supérieurs du secteur minier de notre pays ; Niveau deux : la violation de l’Article 32 de l’Ordonnance n°2019-022 du 27 septembre 2019 consacrant le principe du premier venu, premier servi ; Niveau trois : le dépôt de la demande a été fait avant que le permis querellé n’arrive à échéance (la société Ménankoto SA, jugée défaillante après sept (07) ans en tant que société détentrice du permis de recherche, est encore le même postulant pour le même permis pour une nouvelle durée de 3 ans renouvelable 2 fois) ; et enfin Niveau quatre : la Société B2Gold, entité juridiquement différente de Ménankoto SA, n’a jamais postulé pour le permis de Ménankoto.
La procédure d’attribution de permis de
Recherche de Ménankoto respectée
Il n’y a aucun doute. Contrairement aux mensonges distillés partout, la
procédure d’attribution du permis de Recherche de Ménankoto répond bien aux
dispositions pertinentes relatives aux procédures d’attribution des titres
miniers de l’Ordonnance n°2019-022/P-RM du 27 septembre 2019 portant Code
minier en République du Mali. Selon des sources crédibles, le Code minier de
2019, qui a précédé ceux de 1991, 1999 et 2012, et entré en vigueur le 27
septembre 2019, est revenu sur la durée de validité des permis de recherche de
l’Or en République du Mali, qui était de neufs (09) ans. En effet, de 1991 à
1999, le permis de recherche de l’Or était attribué pour une période de trois
(03) ans renouvelable deux (02) fois pour la même durée, soit neuf (09) au
total.
En 2012, avec l’entrée en vigueur d’un nouveau Code minier, le délai ci-dessus cité a été ramené à sept (07) ans (3 ans, 2 ans et 2 ans) avec la possibilité de l’étendre à une (01) année supplémentaire non renouvelable à titre dérogatoire. L’hebdomadaire « l’Express de Bamako », dans sa parution d’hier, a indiqué que conformément à l’article 38A4 du Code Minier de 2012, le Ministère chargé des Mines pouvait, à sa discrétion, accorder une prorogation de douze mois (12) mois, non susceptible de renouvellement d’un permis de recherche d’Or, afin de permettre à une Société demanderesse de finaliser son étude ou son rapport de faisabilité. « De ce fait, le principe de la prorogation d’un permis de recherche d’Or ne se justifiait plus, du point de vue du législateur.
En effet, conformément à l’Article 205 A1 et A4 des dispositions transitoires et finales du Code minier de 2019, une quelconque prorogation ne pourrait être accordée à une quelconque Société demanderesse », précise-t-on. Encourageons nos investisseurs. Les Maliens, en majorité, réclament la promotion des entreprises maliennes. Le président de la Transition, Bah N’daw, a, lors de son investiture, promis de faire « briller l’or au Mali ». L’attribution, dans les règles de l’art, du permis de Recherche de Ménankoto à « Litle BIG MINING » est donc le respect de ces promesses. Il faut donc saluer la décision des autorités maliennes.
Quant aux jeunes investisseurs responsables de « Litle
BIG MINING », ils sont à encourager. Ce sont des jeunes qui ont osé
investir aux Mali. A travers leur société, ils investiront des milliards au
Mali et créeront des milliers d’emplois. Un Mali nouveau, c’est aussi
encourager de nouveaux projets, des investisseurs locaux.
Notons que pour obtenir la signature d’abrogation du décret autorisant les deux investisseurs responsables de « Litle BIG MINING », la Société B2Gold aurait payé d’environ 500 million de F CFA au premier ministre Moctar OUANE : « Moctar Ouane n’avait pas de choix, parce qu’il a reçu une enveloppe de 500 millions de F CFA. C’est pourquoi, il voulait que le ministre de l’Energie et des Mines Lamine Seydou Traoré signe ce décret afin que le permis de Litle BIG MINING soit annulé. Pourtant, ils savaient que ce dernier (ministre) n’était plus en fonction. Alors pourquoi, forcer un ministre à signer un document administratif alors qu’il n’est en fonction ? C’est parce que le premier ministre Moctar Ouane a perçu les 500 millions f CFA. Le premier ministre voulait céder à la pression extérieure. C’est pour dire que l’Ambassade des Etats Unis et celle du Canada sont impliquées. C’est très simple », apprend-on d’une source sûre et concordante. De grâce, encourageons les investisseurs locaux pour le bonheur du Mali
Redaction
Burkina Faso: l’Etat lève 48,360 millions d’euros sur marché financier de l’uemoa
Par croissanceafrique
Au Burkina Faso; la Direction générale du trésor et de la comptabilité publique, a levé le 09 juin 2021 sur le marché financier de l’Union monétaire ouest africaine (UMOA) un montant de 32,240 milliards de FCFA (48,360 millions d’euros) au terme de son émission de bons assimilables du trésor (BAT) de maturité 364 jours organisée en partenariat avec l’agence UMOA-Titre basée à Dakar.
« Cette levée de fonds rentre dans la stratégie du gouvernement burkinabé d’assurer la couverture des besoins de financement du budget de l’Etat. Pour le deuxième trimestre 2021, les intentions d’émissions de titres publics exprimées par les autorités gouvernementales Burkinabés se chiffrent à un montant total de 300 milliards de FCFA contre 150 milliards de FCFA pour le premier trimestre 2021, soit une augmentation de 150 milliards« , rapporte Fianancialafrik.
Par ailleurs, sur un montant global mis en adjudication de 30 milliards de FCFA, l’émetteur s’est retrouvé avec 90,240 milliards de FCFA de soumissions globales provenant des investisseurs, soit un taux de couverture du montant mis en adjudication de 300,80%.
Après adjudication, le Trésor Public burkinabé a retenu 32,240 milliards de FCFA et rejeté les 58 milliards de FCFA restants, soit un taux d’absorption de 35,73%. Le rendement moyen pondéré s’est établi à 3,95%.Le taux marginal est également à 3,95% contre 3,80% pour le taux moyen pondéré.
Notons que le remboursement des bons émis interviendra le premier jour ouvré suivant la date d’échéance fixée au 8 juin 2022. Par contre, les intérêts sont payables d’avance et précomptés sur la valeur nominale des bons qui est d’un million de FCFA.
Daouda Bakary koné
Mali: Ouverture des travaux de l’atelier de renforcement de capacités des acteurs locaux pour l’intégration socioéconomique et l’accès des populations déplacées aux services sociaux de base
Ouverture des travaux de l’atelier de renforcement de capacité des acteurs locaux pour l’intégration socioéconomique et l’accès des populations déplacées aux services sociaux de base ce jeudi 10 Juin 2021 à l’hôtel Onomo de Bamako. Il s’agit d’un atelier de formation rentre dans le cadre du « Projet de soutien à la redynamisation de la coopération décentralisée au sahel ».
Dans son discours d’Ouverture, Isiaka Dembélé, président de l’AAP/sahel, a affirmé que la situation dans le sahel a fait beaucoup de victime. C’est pourquoi, il a demandé aux participants d’observer une minute de silence à la mémoire des victimes.
«
Depuis quelque années, les pays du G5sahel notamment le Burkina Faso, Mali, Mauritanie; Niger; Tchad), font face à des degré divers, à une crise sécuritaire avec des ramifications et conséquences qui dépassent le niveau national et affecte l’ensemble ce pays.
« Parmi ces conséquences, un nombre important de population déplacées, victimes directes et collatérales de cette crise. le Mali; étant l’épicentre de cette crise, en concentre par conséquent les conséquences humaines parmi les plus profondes, avec des milliers de population déplacées« , selon le contexte et justification de l’atelier de formation.
Selon Youssouf Diakité, « l’atelier de renforcement de capacité des acteurs locaux pour l’intégration socioéconomique et l’accès des populations déplacées aux services sociaux de base est basé sur cinq (5) domaines prioritaires notamment : éducation, santé, hydraulique, assainissement, Etat Civil.. », dit-il. En ce qui concerne, la nature de l’activité, elle est consacré sur le renforcement des capacités des acteurs locaux pour l’intégration socioéconomique et l’accès des populations déplacées aux services sociaux de base est basé sur cinq (5) domaines prioritaires notamment : éducation, santé, hydraulique, assainissement, Etat Civil.
L’objectif de cette rencontre est d’améliorer les conditions de vie des population déplacées à travers une meilleure implication des autorités locales. Il s’agira également de procéder à une sensibilisation des acteurs locaux sur leur rôle et responsabilité en matière de prise en charge des déplacés. d’autre part, il y a eu question d’appropriation par les autorités locales de moyens et de stratégie d’intervention en matière de gestion des déplacés et procéder ç la facilitation de l’interaction entre autorités locales et autres intervenant dans la gestion des déplacés comme Ocha mali, des ONG nationales ou internationales; les services déconcentrés de l’Etat du Mali.
A suivre
Le réchauffement climatique en 2021 : causes et conséquences
Le climat se réchauffe par l’accroissement inexorable de la concentration dans l’atmosphère des gaz à effet de serre liés aux activités humaines. Un réchauffement de plus de 2°C par rapport aux niveaux préindustriels pourrait avoir des conséquences irrévocables. Récapitulatif de la situation en 2021.

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Définition : qu’est-ce que le réchauffement climatique ?
Le réchauffement climatique, appelé également réchauffement planétaire, est un phénomène qui se caractérise par l’augmentation du niveau moyen de la température à la surface de la Terre.
Changement climatique ou dérèglement climatique ?

La température moyenne globale de la planète a augmenté de 1.1°C entre 1850 et 2017. Parallèlement, la France a subi une augmentation moyenne de 1.5°C depuis 1900.
Le changement climatique est variable selon les régions. Par exemple, les zones polaires se réchauffent deux fois plus rapidement que le reste du monde. En continuant sur la trajectoire actuelle de réchauffement climatique, la banquise arctique pourrait disparaître totalement d’ici quelques dizaines d’années.
Selon l’un des derniers rapports du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), un réchauffement planétaire de plus de 1,5°C provoquerait des dérèglements climatiques sans précédent : multiplication des épisodes de sécheresse, intensité des précipitations… Ces évènements climatiques extrêmes pourraient devenir plus fréquents et avoir des impacts irréversible sur l’environnement.
Météo ou climat : quelle différence ?
Pour comprendre le réchauffement climatique, il est important de faire la différence entre la météo et le climat :
- La météo indique le temps qu’il fait à un moment donné et à un endroit précis, variant sur de courtes périodes;
- Le climat décrit des évolutions sur de plus longues durées et à plus grande échelle.
Par exemple, une période de froid intense dans une région donnée ne remet pas en cause le réchauffement climatique. Pour l’affirmer, il faut être en mesure d’observer l’augmentation d’un évènement climatique (hausse de la température moyenne, fortes précipitations, sécheresses intenses, etc.) de façon régulière et significative, sur une longue durée et dans une région précise.
Quelle est la cause du réchauffement climatique ?

L’effet de serre est la principale cause du réchauffement climatique. A l’origine, c’est un phénomène naturel qui contribue au maintien du niveau moyen de la température. Cependant, à cause de la concentration de plus en plus importante des gaz à effet de serre dans l’atmosphère liées aux activités humaines, il s’intensifie provoquant un réchauffement climatique.
Source : Earth System Research Laboratories
À quoi correspond 1 ppm ?L’acronyme « ppm » signifie « partie par million ». Il s’agit d’une unité de mesure utilisée pour calculer le taux de pollution dans l’air. Elle permet de connaître le nombre de molécules de gaz à effet de serre présentes dans un million de molécules d’air.
Quelles sont les conséquences du réchauffement climatique ?
Le bouleversement de la biodiversité et l’épuisement des ressources naturelles
Le changement climatique et la perte de terres dues à la montée des eaux, ses impacts sur l’agriculture et la pêche affectant la sécurité alimentaire, ou encore les épisodes climatiques extrêmes de plus en plus fréquents forcent certaines populations à migrer pour survivre. Tout cela provoque ainsi des tensions autour des ressources naturelles disponibles, dont l’eau, renforçant les inégalités entre les populations.
La faune et la flore sont tout aussi sensibles à ces changements climatiques. Alors que les cycles végétatifs sont accélérés et fragilisés, certaines espèces sont obligées de migrer ou de s’adapter pour ne pas disparaître.
La perturbation des océans et des mers

Sous l’effet de la fonte des glaces et du réchauffement climatique, le GIEC prévoit une hausse du niveau moyen de la mer et des océans de 82 cm d’ici 2100 si l’on ne réduit pas nos émissions de gaz à effet de serre.
Cette montée des eaux aurait un fort impact sur les zones côtières dans le monde. Le rapport complet L’océan et la cryosphère dans un climat en évolution (2019) des experts énonce les conséquences du réchauffement climatique sur les océans et la cryosphère et ses impacts sur les sociétés humaines et les écosystèmes.
L’océan est un puits de carbone, c’est à dire qu’il absorbe le CO2 de l’atmosphère et le stocke. Or l’accumulation de dioxyde de carbone dans l’océan modifie sa composition et provoque une acidification ce qui menace directement ses capacités d’absorption.
Réchauffement climatique : la situation actuelle
Le réchauffement climatique en 2021 ne montre aucun signe de ralentissement. La situation alarme les scientifiques, dont le GIEC, un organisme chargé d’évaluer régulièrement le changement climatique. En effet, certains impacts menacent déjà l’environnement.
10 impacts du réchauffement climatique en France :
- Inondations ;
- Submersion ;
- Crues ;
- Cyclones ;
- Vagues de chaleur ;
- Sécheresse ;
- Incendies ;
- Neige ;
- Biodiversité ;
- Économie.
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Il est donc impératif d’agir et d’adapter son mode de vie de façon à limiter son impact carbone.
Les solutions possibles pour lutter contre le réchauffement climatique
Les activités humaines, que ce soit au niveau d’un foyer, d’une entreprise, d’une collectivité ou d’un état, doivent impérativement prendre compte l’évolution du climat et du réchauffement climatique. Certaines mesures peuvent alors être prises, comme le développement des énergies renouvelables, la taxe carbone ou encore l’adaptation au changement climatique.
Mesurer son empreinte carbone
Limiter le réchauffement climatique, c’est donc adapter son mode de vie à la situation actuelle et agir en conséquence. Pour cela, le premier moyen est de prendre conscience de son empreinte carbone, puis d’entamer une démarche de réduction des gaz à effet de serre produit par nos activités. Ensuite seulement, il est possible de compenser les émissions qui n’ont pas pu être évitées lors des actions précédentes.

- Calculer son empreinte carbone est le premier pas pour la réduire : identifier les sources principales d’émissions de gaz à effet de serre de notre quotidien et ainsi adapter son mode de vie de manière à minimiser son impact carbone sur l’environnement ;
- Réduire ses émissions de gaz à effet de serre est impératif pour lutter contre le réchauffement climatique : optimiser sa consommation énergétique, réduire son empreinte carbone numérique ou encore privilégier des transports durables ;
- Compenser ses émissions carbone et contrebalancer ses émissions de dioxyde de carbone via le financement de projets environnementaux afin réduire les émissions de gaz à effet de serre dans l’atmosphère et ainsi de tendre vers la neutralité carbone.
Compenser ses émissions de CO2 doit toujours être accompagné d’efforts de réduction.
Depuis 2019, Selectra propose aux particuliers de compenser une partie ou la totalité de leurs émissions de gaz à effet de serre via le financement d’un projet environnemental, le projet Gandhi. Ce dernier consiste en la construction d’un parc éolien en Inde afin de promouvoir le développement d’énergies renouvelables dans le pays.
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Calculer le bilan carbone de son entreprise
Depuis 2010, certaines entités françaises, comme les entreprises de plus de 500 salariés, les établissements publics de plus de 250 personnes ou les collectivités de plus de 50 000 habitants, sont dans l’obligation de réaliser leur bilan carbone.
Le Bilan Carbone est un outil qui permet aux entreprises de comptabiliser leurs émissions directes et indirectes de gaz à effet de serre. Souvent valorisée dans la politique de responsabilité sociale des entreprises (RSE), cette démarche vise à réduire leur impact environnemental.
Ainsi, le Bilan Carbone est non seulement un moyen de mesurer l’impact de l’entreprise sur la planète, mais aussi d’identifier des pistes d’amélioration afin de mettre en place un plan d’action de réduction des émissions de gaz à effet de serre émises par ses activités.
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L’adaptation au changement climatique
En France, plusieurs politiques nationales d’adaptation au changement climatique ont été mises en place depuis 1999. La France est en effet l’un des pays les plus avancés en matière de planification de l’adaptation au changement climatique.
Le Ministère de la Transition Écologique définit l’adaptation au changement climatique comme “la démarche d’ajustement au climat actuel ou attendu, ainsi qu’à ses conséquences”. Il s’agit donc de réduire la vulnérabilité des Hommes ou de leur environnement face au réchauffement climatique.
Après le succès de la COP 21 avec l’Accord de Paris, la France a lancéson 2ème Plan national d’adaptation au changement climatique (PNACC-2) fin 2019 afin de s’adapter à la hausse de température prévue dans les prochaines années.
Qu’est-ce que l’Accord de Paris ?L’Accord de Paris vise ainsi à éviter un réchauffement climatique supérieur à 2°C par rapport aux niveaux préindustriels et à poursuivre les efforts pour le limiter à 1,5°C. Lors de la COP 21 en décembre 2015, 195 pays se sont alors accordés sur différents objectifs accélérant et intensifiant les actions essentielles pour parvenir à un avenir durable. L’objectif de neutralité carbone est fixé pour 2100.
Le PNACC-2 se résume en 10 actions concrètes :
- Lutter contre les feux de forêt avec l’acquisition de 6 avions bombardier d’eau ;
- Renforcer la vigilance météo avec le déploiement de 5 nouveaux radars ;
- Faire un point complet des normes et référentiels techniques ;
- Identifier les territoires et milieux à risque ;
- Développer un centre de ressources sur l’adaptation ;
- Diffuser des messages de prévention ;
- Intégrer la thématique du changement climatique et de l’adaptation dans les cursus scolaires ;
- Effectuer une étude sur les freins à la mobilisation locale des fonds européens ;
- Établir des prospectives économiques pour identifier les filières à risque ;
- Créer de nouveaux outils d’aide à la décision dans le secteur forestier.
Source : Deuxième Plan national d’adaptation au changement climatique (2018-2022) du Ministère de la Transition écologique
Retrouvez nos autres guides pratiques sur la protection de l’environnement et la lutte contre le réchauffement climatique !Updated on02/06/2021

Diplômée d’un Mastère Spécialisé en Marketing Digital, Caroline a rejoint Selectra en juin 2020 dans le cadre d’un V.I.E. Elle est responsable des contenus du site et travaille sur l’amélioration du référencement des articles.
Source: Par climate.selectra.com/fr
En neuf mois, le chemin de fer Ethiopie-Djibouti rapporte 29 millions USD
Par croissanceafrique
Selon l’Agence ecofin, le chemin de fer Ethiopie-Djibouti s’est montré assez résilient au milieu de la crise sanitaire. Pour l’agence de presse panafricaine, cette voie ferrée qui relie les deux pays d’Afrique de l’Est a rapporté 29 millions de dollars au cours des neuf premiers mois de l’exercice budgétaire éthiopien 2020/2021, qui a débuté le 8 juillet.
Prenant la parole, le gestionnaire Ethio-Djibouti Standard Gauge Railway Share Company (EDR),a annoncé d’environ 1,35 million de tonnes de marchandises et 15 480 passagers ont été transportés au cours de cette période. Par la suite, ce dernier explique que ces chiffres devraient connaitre une hausse dans les prochains mois avec l’assouplissement des restrictions de voyage.
Rappelons que le chemin de fer Ethiopie-Djibouti, long de 756 km, a été construit entre 2013 et 2016 conjointement par China Railway Group Limited (CREC) et China Civil Engineering Construction Corporation (CCECC).
Toutefois, son coût est évalué à 3,4 milliards de dollars. Dans le cadre du transfert complet des compétences, EDR, société gérée par un consortium d’entreprises chinoises, forme actuellement des chauffeurs éthiopiens.
Notons qu’en mai 2021, 34 d’entre eux ont obtenu leurs diplômes après une série de formations en Ethiopie et en Chine.
Zangouna Koné
Gambie: 23 millions USD pour la modernisation de la transmission et de la distribution d’électricité
Par Croissanceafrique
NAWEC a lancé samedi le projet de modernisation de la transmission et de la distribution d’électricité de la région du Grand Banjul. L’initiative d’un coût de 23 millions $ sera mise en œuvre par TBEA, une entreprise chinoise.
La Banque mondiale, l’Union européenne et la BEI ont cofinancé cette initiative dans le cadre du projet de restauration et de modernisation de l’électricité en Gambie (GERMP).
Selon Nani Juwara, directeur général de NAWEC, le projet permettra de construire une ligne de transmission haute tension de 225 kV de Brikama à Jabang. En outre, les travaux comprendront la construction d’une sous-station 225kV/33kV à Jabang et d’une sous-station 33 kV à Kotu. Des lignes 33 kV supplémentaires seront également construites pour assurer l’interface avec le réseau existant.
Pour sa part, l’Agenceecofin précise que « Le gouvernement gambien ambitionne d’assurer à l’accès universel à l’électricité d’ici 2025. Les travaux de ce projet couvriront plus de 685 communautés à travers le pays afin de garantir leur accès à l’électricité dans les 36 prochains mois », a-t-elle rapporté.
A son tour, Ma Jianchun, ambassadeur de Chine en Gambie, a affirmé « Grâce aux efforts incessants du gouvernement, du peuple gambien, et à la coopération des partenaires internationaux au développement, l’infrastructure électrique et le secteur énergétique de la Gambie seront encore améliorés », a-t-il déclaré .
Moussa Koné
Mali: vers l’organisation d’une table ronde des investisseurs pour palier les problèmes liés à la fourniture d’électricité
Par Croissanceafrique
Selon le directeur général d’Energie du Mali (EDM) Oumar Diarra , 2 300 milliards de francs CFA (4,2 milliards $) seront consacrés à la fourniture d’électricité au Mali au cours des cinq prochaines années. Ce montant devrait permettre de résoudre les problèmes liés au fonctionnement de la société.
Pour le responsable, la majorité du montant a déjà été levée. Environ 2,4 milliards $ ont été mobilisés dans le cadre de partenariats public-privé. Des entreprises privées seront chargées d’investir et de vendre l’électricité. Les fonds seront également obtenus à partir des contrats de concession qui sont déjà signés.
« Déjà, une bonne partie des 2 300 milliards est mobilisée. Il y a 1 300 milliards qui sont déjà sous le coup du Partenariat Public-Privé. Après, il y a 500 milliards dont le closing financier est déjà fait. Il est porté par les bailleurs de fonds classiques comme la BOAD, la BID, etc. Ce qui reste à chercher, c’est 499 milliards. Nous allons lever ces 499 milliards sur place à Bamako en organisant dans les semaines à venir une table ronde des investisseurs », précise Oumar Diarra.
« Ces fonds serviront à résoudre les problèmes fondamentaux qui provoquent des coupures de courant dans le pays. Ces contraintes sont dues à l’état défectueux des équipements », rapporte l’agenceecofin.
Notons que « Les réseaux de répartition sont totalement défectueux du fait de leur vétusté et du fait qu’ils n’ont pas été réhabilités depuis fort longtemps », declare, le DG de l’EDM-SA.
Daouda Bakary Koné
Zone CEMAC: le Gabon mobilise 182 milliards de FCFA auprès des investisseurs qui ont sursouscrit de 7 milliards
Par croissanceafrique
Selon le ministère Gabonais de l’économie et des finances, l’emprunt obligataire de l’Etat gabonais lancé le 27 mai 2021 a été souscrit à hauteur de 182 milliards de FCFA, soit 7 milliards en plus sur le montant de départ recherché par l’Etat gabonais.
D’autres sources expliquent que dans cette enveloppe, 98 milliards de FCFA vont servir au paiement de la dette intérieure, a-t- elles, sans donner plus de détails sur les souscripteurs de cet emprunt qui est rémunéré au taux d’intérêt de 6% par an pour une maturité de cinq ans.
«Le succès de cette opération illustre la confiance que les investisseurs placent dans l’action du gouvernement à travers le Plan d’accélération de la transformation (PAT) qui constitue le cadre de mise en œuvre des réformes et des projets prioritaires en vue de renouer avec la croissance post-Covid et de renforcer le modèle social gabonais », indique Nicole Jeanine Lydie Roboty Mbou.
Toutefois, les fonds mobilisés dans le cadre de cette opération devraient servir au remboursement de la dette intérieure du Gabon et financer le plan d’accélération de la transformation de l’économie du pays.
Daouda Bakary Koné
Huawei inaugure son plus grand centre mondial dédié à la cybersécurité et à la transparence
Par croissanceafrique
Huawei a inauguré ce mercredi 9 juin, son plus grand centre mondial de transparence en matière de cybersécurité et de protection de la vie privée à Dongguan, en Chine. Des représentants de la GSMA, de SUSE, de la British Standards Institution et des régulateurs des EAU et de l’Indonésie ont pris la parole lors de la cérémonie d’ouverture.
Parallèlement à l’ouverture du nouveau centre, Huawei a également publié le document portant sur les principes de base en matière de cybersécurité des produits de Huawei. C’est la première fois que l’entreprise met à la disposition de l’ensemble du secteur son cadre de référence en matière de sécurité des produits et ses pratiques de gestion. Ces actions s’inscrivent dans le cadre des efforts plus larges déployés par l’entreprise en vue de communiquer avec les clients, les fournisseurs, les organismes de normalisation et d’autres parties prenantes pour renforcer conjointement la cybersécurité dans l’ensemble du secteur.
Ken Hu, Président tournant de Huawei a déclaré : « La cybersécurité est plus importante que jamais. Nous devons travailler ensemble, partager les meilleures pratiques et renforcer nos capacités collectives en matière de gouvernance, de normes, de technologie et de vérification. Nous devons donner au grand public et aux autorités de réglementation une raison d’avoir confiance dans la sécurité des produits et services qu’ils utilisent quotidiennement. Ensemble, nous pouvons trouver le juste équilibre entre sécurité et développement dans un monde de plus en plus numérique. »
Au cours des dernières années, la numérisation de l’industrie et les nouvelles technologies comme la 5G et l’IA ont rendu le cyberespace de plus en plus complexe. À cela s’ajoute le fait que les gens ont passé une plus grande partie de leur temps en ligne tout au long de la pandémie de Covid-19. Ces tendances ont entraîné une augmentation des nouveaux risques en matière de cybersécurité.
Le nouveau centre mondial de transparence en matière de cybersécurité et de protection de la vie privée à Dongguan offre aux parties prenantes du secteur une plateforme leur permettant de partager leur expertise en matière de cybergouvernance et de travailler ensemble sur des solutions techniques. Le centre est conçu pour faciliter la communication et l’innovation conjointe, et soutenir les tests et la vérification de la sécurité. Il sera ouvert aux régulateurs, aux organismes de test tiers indépendants et aux organismes de normalisation, ainsi qu’aux clients, aux partenaires et aux fournisseurs de Huawei.
Pour favoriser une approche homogène de la cybersécurité dans le secteur des télécommunications, des organisations comme GSMA et 3GPP ont également travaillé avec les parties prenantes du secteur pour promouvoir les spécifications d’assurance de sécurité NESAS et les certifications indépendantes.
Mats Granryd, Directeur général de la GSMA a souligné : « La fourniture de services existants et nouveaux à l’ère de la 5G reposera largement sur la connectivité fournie par les réseaux mobiles et dépendra fondamentalement de la sécurité et de la fiabilité de la technologie sous-jacente »
Au fil des années, Huawei a construit plus de 1 500 réseaux qui connectent plus de 3 milliards de personnes dans 170 pays et régions. Aucun de ces réseaux n’a jamais connu d’incident de sécurité majeur.