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L’utilisation des lois sur la cybercriminalité au Kenya et au Nigéria dans la lutte contre la covid-19 : Des organisations de défense des droits numériques répriment les restrictions sur les droits et libertés

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Accra, 1er juin 2020 – Le mercredi 27 mai 2020, neuf (9) organisations de la société civile réunies sous le nom d’African Internet Rights Alliance (ou AIRA), ont soumis deux (2) lettres conjointes au Rapporteur spécial – Commission africaine des droits de l’homme et les droits des peuples et les Nations Unies – axés sur la liberté d’opinion et d’expression et l’accès à l’information. Ces deux lettres exprimaient une vive inquiétude quant à l’utilisation de la loi kenyane sur l’utilisation abusive des ordinateurs et la cybercriminalité (ou CMCA, 2018) et de la loi nigériane sur les cybercrimes (interdiction, prévention, etc.) (ou CA, 2015).

Les organisations partenaires d’AIRA – ARTICLE 19 Afrique de l’Est, le Centre de droit de la propriété intellectuelle et des technologies de l’information (CIPIT), Paradigm Initiative (PIN), BudgIT, Co Creation Hub (CcHub), Legal Resources Centre (LRC), la Collaboration on International Politique des TIC pour l’Afrique orientale et australe (CIPESA), Kenya ICT Action Network (KICTANet) et Amnesty International – ont vivement invité les deux rapporteurs spéciaux à appeler les gouvernements kenyan et nigérian à:

    Imposer un moratoire sur l’utilisation de la législation sur la cybercriminalité au Kenya et au Nigéria. Plus précisément, les organisations partenaires ont demandé qu’un moratoire soit imposé sur les dispositions relatives aux «fausses nouvelles» et au cyber-harcèlement au Kenya et sur les dispositions relatives au cyber-harcèlement et à la conservation des documents au Nigéria;  Supprimer toutes les accusations imposées à toute personne en vertu de la CMCA, 2018 et de la CA, 2015;

    Examiner toute affaire civile et / ou pénale en cours dans laquelle des personnes ont été condamnées à une amende et / ou à une peine d’emprisonnement en utilisant les dispositions de la CA, 2015 et de la CMCA, 2018; et  Initier des processus participatifs et transparents pour réformer le CMCA, 2018 au Kenya et le CA, 2015 au Nigeria, tout en garantissant leur stricte conformité aux normes régionales et internationales relatives à la liberté d’expression, la vie privée et la liberté des médias.

Les organisations partenaires ont insisté sur le fait que la situation au Kenya et au Nigéria était désastreuse, en particulier pendant la période COVID-19 où les libertés, en particulier la circulation, l’accès aux tribunaux, ainsi que les droits économiques et sociaux étaient restreints en raison de la possession des gouvernements kenyan et nigérian. des pouvoirs extraordinaires.

Les organisations partenaires de l’AIRA ont exhorté les deux rapporteurs spéciaux à appeler publiquement les gouvernements du Kenya et du Nigéria à veiller à ce que leurs cadres de cybercriminalité ne restreignent pas les droits et libertés fondamentaux pendant la pandémie de COVID-19.

À propos d’AIRA:

Le travail de l’African Internet Rights Alliance repose sur quatre valeurs : la responsabilité, la transparence, l’intégrité et la bonne gouvernance. En utilisant ces valeurs comme guide, AIRA entreprend des interventions collectives et exécute des campagnes stratégiques qui engagent le gouvernement, le secteur privé, les médias et la société civile pour instituer et protéger les droits numériques. L’alliance est composée de neuf organisations de la société civile basées dans des pays d’Afrique subsaharienne. AIRA est une coalition d’organisations régionales et nationales qui entreprennent des interventions collectives pour promouvoir la protection des données et de la vie privée, l’accessibilité à Internet, l’accès à l’information et les libertés de réunion, d’expression et de la presse en Afrique. Les membres sont composés de: Article 19 Afrique de l’Est, The Collaboration on International ICT Policy for East and Southern Africa (CIPESA), Co-Creation Hub, The Center for Intellectual Property and Information Technology Law (CIPIT), iHub, Kenya ICT Action Network (KICTANet), Legal Resource Centre (LRC), Paradigm Initiative, Amnesty International, BudgIT.

Maroc: Abderrahmane El Youssoufi, un destin du socialisme arabo-africain

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Grande figure du socialisme marocain, Abderrahmane El Yousfi a tiré sa révérence, le 29 mai à l’âge de 96 ans , au terme d’une vie faite de soubresauts et d’adaptation à la mesure du socialisme arabo-africain, qui a passé par le marxisme-léninisme révolutionnaire avant d’adopter, à l’orée des années 90, sa propre Perestroïka à petits pas vers la social-démocratie de marché. Le premier ministre du gouvernement d’alternance marocain du 14 mars 1998, leader de l’Union Socialistes des Forces Populaires (USFP), est resté quatre ans aux commandes d’un gouvernement de cohabitation.

Né en 1924 à Tanger, El Youssoufi a vu l’ascension inéluctable de l’islamisme depuis le printemps algérien de 1988, à la place du socialisme, l’opium des jeunesses estudiantines maghrébines et africaines, de Tunis à Casablanca mais aussi de Dakar à Kano. Dans sa jeunesse, sous protectorat français, le rifain est d’abord militant à l’Istiqlal, parti indépendantiste marocain de Allal El Fassi, figure emblématique du Grand Maroc dont il voyait les frontières s’étendre du Détroit de Gibraltar aux rives du fleuve Sénégal. Tout comme l’auteur du Manifeste du Parti Communiste en 1848, c’est après son séjour en France où il obtint un DESS en enseignement supérieur, en 1952, que El Youssoufi développe son penchant pour la cause de la classe ouvrière. De 1953 à 1956, il s’inscrit dans la résistance comme nombre des millions de marocains révoltés par la destitution de Mohammed V, exilé à Madagascar. Trois ans après l’indépendance, il sera avec Abderrahim Bouabid et un certain Mehdi Ben Barka, à l’origine de la fondation de l’UNFP, sortie de l’aile gauche de l’Istiqlal. La même année, il est brièvement arrêté pour “offense au roi”.

Après l’assassinat de Ben Barka en 1965 dans ce qui sera un des épisodes les plus mystérieux de la guerre froide, Abdrrahmane El Youssoufi entame un long exil en France. Sur ses pas, le procureur requiert la peine de mort contre lui lors du procès de Marrakech qui démarra en 1969 et prit fin en 1975. Durant cette période, le royaume connaîtra deux tentatives de coup d’Etat qui pèseront sur la vie politique . L’USFP change de nom pour solder son passé de l’UNFP en contacts plus ou moins prouvés avec les régimes militaires arabes.

Devenu délégué extérieur du parti, El Youssoufi, gracié en 1980, rentre au Maroc. L’USFP poursuit sa structuration et sa transformation, prenant acte des mutations de son idéologie fondatrice. En 1992, il succède à Abderrahim Bouabid à la tête du parti. Une année après, El Youssoufi s’exile à Cannes en dénonçant des résultats truqués lors des législatives de 1993. Rentré en 1995 , il porte son parti à la victoire des législatives de septembre 1997 annonciatrices d’une ouverture sans précédent de l’espace politique marocain. Retiré depuis 2003 de la vie politique au terme d’une primature de quatre ans, El Youssoufi incarnait la conviction dans l’engagement et le compromis permanent, deux vertus qui font les grands hommes.

Hommages

A sa disparition, les hommages se sont multipliés. “Un serviteur exemplaire du Royaume du Maroc et du peuple marocain”, a indiqué le Président de l’Institut du Monde Arabe, Jack Lang, figure haute des années Miterrand. Le président algérien Abdelmadjid Tebboune a salué “un grand militant du Maghreb”. Le quotidien algérien El Watan rappelle en effet, que “feu Abderrahmane El Youssoufi était l’un des artisans de la Conférence de Tanger (Maroc) ayant jeté les bases du projet du Grand Maghreb et ayant réuni, en 1958, les partis maghrébins nationalistes de l’Algérie, du Maroc et de la Tunisie à laquelle avait pris part une personnalité phare du Front de libération nationale (FLN),  le moudjahid Abdelhamid Mehri”. En compagnie de sa femme, Hélène, cet homme politique laisse à la postérité ses mémoires “Récits du passé” sur le ton apaisé de ceux qui ont vécu beaucoup pour dire peu.

C’est à coup sûr, “la fin d’une époque”, comme le titre le quotidien marocain l’Economiste qui rappelle que ce politicien engagé, n’a pas amassé fortune et a vécu dans un modeste appartement du quartier Bourgogne à Casablanca. Une maison aussi discrète que ses funérailles au cimetière Chouhada de Casablanca. Un dernier message, sans doute, à la gauche caviar et Cadillac qui se retrouve jusque dans les rangs de l’USFP et un peu partout dans le monde arabe et en Afrique.

Côte d’Ivoire : Avec des réserves de 24,854 milliards Fcfa, l’AIRMS veut transférer ses valeurs mobilières à la CDC-CI

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La collaboration entre la Caisse de dépôts et de consignation de Côte d’Ivoire (Cdc-CI)  et l’Agence Ivoirienne de régulation de la mutualité sociale(Airms) vient de se formaliser, ce mercredi 27 mai, par une signature de partenariat entre les deux institutions envisagée depuis octobre 2019.

Par cet acte, Lassina Fofana, le directeur général de la Cdc-CI, et la directrice générale de l’Airms, Colette Koné facilitent la mise en œuvre de la loi n°2018-574 du 13 juin 2018 portant création, attributions, organisation et fonctionnement de la Cdc-CI, à disposer  des valeurs mobilières des sociétés et caisses mutualistes, notamment les mutuelles sociales immatriculées et leurs structures faitières tout comme des comptes desdites sociétés inscrites désormais dans leur livres.

Selon la patronne de l’Airms, la Côte d’Ivoire compte à ce jour 35 mutuelles sociales immatriculées au registre national d’Immatriculation, pour une population couverte estimée à environ 1 500 000bénéficiaires. Soit un taux de couverture d’environ 6,25% de la population ivoirienne. « Ce taux qui n’englobe que les mutuelles régulièrement constituées représente, à n’en point douter, un véritable indicateur de performance quand on sait que seuls 10% de la population ivoirienne bénéficient d’une assurance maladie ».

Dotées de plus  24 milliards Fcfa de réserves générées par leurs activités en 2018 contre 25,623 milliards Fcfa en 2017, les mutuelles sociales brassent plus de 51 milliards Fcfa  comme volume global des cotisations, selon les chiffres 2018-2017 de l’Airms. Des performances qui peuvent être améliorées d’autant plus que 62% des mutuelles sociales ne mènent aucune activité de placement. « Alors que celle-ci peut renforcer considérablement leur capacité financière et favoriser une meilleure prise en charge des mutualistes », conseille Colette Koné. Qui a remercié le directeur général de la Cdci-CI, Lassina Fofana pour tous les efforts consentis pour le rayonnement en Côte d’Ivoire dans la protection sociale sinon dans la mutualité sociale , dont une grand partie de ces membres exercent encore dans l’informel. Pour Lassina Fofana sa Caisse se met entièrement à la disposition des structures étatiques et non étatiques dans le cadre de la garantie et de la sécurisation des fonds.

La faillite du Trader Zen Rock à Singapour bouscule les financiers suisses et les pétroliers africains

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Par Rodrigue Fénélon Massala, grand reporter.

La mise sous scellés, vendredi, du siège du trader ZenRock à Singapour provoque la frayeur des milieux financiers suisses et pétroliers africains. Dénoncée par HSBC, qui se plaint de “pratiques malhonneêtes”, ce trader rejoint une liste de trois sociétés soupçonnées de fraude dont le légendaire Hin Leong. Les découverts se chiffrent à 5 milliards de dollars pour les grandes banques, notamment suisses, l’ONG Public Eye. Derrière les banquiers, les acteurs du négoce sont sur les dents. Au rang des lésés, le trader genevois Totsa, la branche singapourienne de Crédit Agricole et la discrète Banque de Commerce et de Placements (BCP).

Une ardoise salée

La faillite de ZenRock, une société de négoce fondée en 2014 à Singapour, disposant de filiales en Chine, dans les Emirats et à Genève (fraîchement inaugurée il y a un an), et dont les actionnaires sont connus dans le secteur pour se déplacer en vol affrété spécialement et réserver les meilleures suites à l’Armani Hotel de Dubaï, laisse une ardoise salée. L’alerte avait été donnée dès la fin avril quand la banque HSBC a alerté l’autorité de réglementation de Singapour (ACRA) sur une «série de transactions hautement frauduleuses» de la part de ZenRock.

La banque demande dans la foulée la nomination d’une tierce partie indépendante pour régler la restructuration. Le 6 mai, le trader demande officiellement des mesures de protection judiciaire contre ses créanciers. Outre HSBC, exposée à hauteur de 51 millions de dollars, la BCP est également aspirée dans la faillite de Singapour. La seule banque autorisée sous Obama à faire des transactions avec l’Iran avait prêté 19,2 millions de dollars à ZenRock, un montant qui arrivait à échéance le 27 avril dernier et qui n’a pas été réglé, selon la déclaration sous serment (affidavit) du patron de ZenRock auprès de la Haute Cour de Justice de Singapour, datée du 6 mai, que Public Eye a publié durant le mois de mai.

L’ardoise de ZenRock auprès de Crédit Agricole pourrait, elle, se monter à 23,7 millions de dollars si le groupe ne remplit pas ses obligations d’ici au 5 juin. Par ailleurs il sied de noter, si ZenRock est noyé, c’est parce que ses traders pratiquaient ce qui est considéré comme «un sport national» sur le marché chinois, à savoir obtenir plusieurs financements pour une seule et même cargaison de matières premières. L’opération rappelle certaines escroqueries comme la pyramide de Ponzi. «J’ai beaucoup de mal à comprendre comment les banques ont pu accepter cela, résume un avocat genevois spécialiste du domaine. En principe, les Bills of Lading (connaissements, titres de propriété, NDLR) sont endossés au nom d’une seule banque. Beaucoup de gens ne comprennent pas comment cela marche. »

Cette situation embarrasse les gouvernements de plusieurs pays pétroliers qui collaborent avec les traders qui utilisent la plateforme financière Singapourienne pour les placements. En effet, selon les informations en notre possession, les sociétés de négoce suisses et singapouriennes achètent une part considérable du pétrole provenant du continent. Les paiements versés par les firmes des traders génèrent une part significative des recettes de ces pays, dont certains figurent parmi les plus pauvres de la planète. Ces paiements présentent en outre d’importants risques de gouvernance puisqu’ils sont effectués dans des contextes caractérisés par des institutions faibles et une corruption endémique. Mais jusqu’à présent et malgré leur importance, ces transactions ont échappé à toute surveillance, suite aux pratiques peu transparentes adoptées par les firmes comme ZenRock et à la faiblesse des réglementations.

Aujourd’hui où tout éclate au grand jour du fait la faillite de ZenRock ,on se rend compte de l’opacité qui a toujours entouré la vente et la commercialisation du pétrole des pays africains à l’instar du Congo.

Comme tous les pays producteurs de pétrole africains, l’économie du Congo est fortement dépendante du secteur pétrolier, qui représente 80 % des recettes de l’État. La compagnie pétrolière nationale, la Société Nationale des Pétroles du Congo (SNPC), est chargée de commercialiser des volumes importants, lesquels se sont élevés à 151 000 barils par jour jusqu’à la période de l’embellie et à 126 000 en 2012 et 2014. La société compte à son actif des épisodes de gabegie financière et de détournement de fonds publics.

Par exemple, en 2005, une procédure engagée au Royaume-Uni a révélé que la SNPC vendait du pétrole à travers un réseau de sociétés offshore contrôlées par des officiels congolais. Les sociétés fictives avaient été créées pour tenir les revenus pétroliers hors de portée des nombreux créanciers de l’État, une partie du profit ayant également été détournée par les officiels qui les dirigeaient. Glencore ,Vitol et Zenrock ont acheté du pétrole à ces sociétés offshores. L’affaire ZenRock vient faire tomber le château de cartes, suscitant des inquiétudes banquiers suisses et des milieux politiques et pétroliers africains.

Hassan Zein rejette les mensonges fabriqués « Je n’ai pas été arrêté »

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Le philanthrope de renom Hassan Zein a qualifié de mensonge une histoire publiée par un journal basé à Accra selon laquelle il a été arrêté. Ceux qui se cachent derrière ces mensonges cherchent à couvrir une affaire de souillure qui les hante, ajoutant que ces personnes ont lancé une campagne de diffamation contre lui au cours des trois dernières années.

Sa seule faute est qu’il a accepté l’invitation du chef national de l’imam à venir arbitrer l’affaire portée contre la famille yéménite, qui, selon lui, est à l’origine des machinations. Il a dit qu’il recourrait au tribunal pour demander réparation.

Le célèbre philanthrope, qui est un Ghanéen d’origine libanaise, a poursuivi ses agresseurs devant deux différentes hautes cours du Ghana et a obtenu un jugement interlocutoire dans l’une des affaires pendantes devant la Haute Cour d’Accra et une autre de ces affaires pendantes devant la Kwabenya Tribunal.

Le tribunal de Kwabenya avait émis un mandat d’arrêt pour l’arrestation du violeur présumé et de neuf autres membres de sa famille, cinq déclarés recherchés par les services de police du Ghana. Le juge Abdulai du Crown Legal Bureau a confirmé qu’en effet, son client est un homme bien concentré, décent et inébranlable par la tentative de ternir sa réputation simplement en raison de sa tentative de représenter Sheikh Sharabutu et de faire la tâche qui lui a été assignée par Son Éminence.

Ceux qui cherchent à le diffamer, a-t-il ajouté dans un communiqué, ont des liens avec le Mali et engagent certains médias dans ce pays pour poursuivre leur campagne contre lui. Poursuivant, il a déclaré que le jugement avait été rendu contre ses détracteurs dans les six mois suivant lesquels l’affaire avait atterri sur les bureaux de la justice dans ce pays.

Les avocats ont déclaré que lui et son client étaient stupéfaits de voir les publications des agresseurs du client alors que ce sont eux qui ont fait l’objet de plusieurs plaintes pénales contre eux dans divers postes de police du pays.

Source: Daily Mail GH

L’homme d’affaire Hassan ZEIN ira jusqu’au bout contre ses agresseurs Mohamed Ould Ibrahim

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Le philanthrope de renom Hassan Zein a déversé sa frustration face à la tentative de le salir de mensonges fabriqués, sans fondement et inhumains par ses agresseurs et leur famille. La tentative de ses agresseurs d’échapper à une prétendue affaire de souillure a donné lieu à des mensonges et à une attaque médiatique contre le philanthrope au cours des trois dernières années. Il est déterminé et résolu face aux allégations non fondées de poursuivre ses agresseurs avec sa dernière goutte de sang.

Il est résolu dans sa décision de poursuivre ses agresseurs dans l’affaire Son Éminence le Dr Sheikh Nuhu Sharabutu, un homme qu’il appelle son père lui a ordonné de servir de médiateur. Ayant toléré ses agresseurs pendant si longtemps, il a promis que ses agresseurs ne réussiraient jamais à l’empêcher de demander justice par les voies légales appropriées disponibles.

Le philanthrope de renom qui est ghanéen a poursuivi ses agresseurs devant deux hautes cours différentes au Ghana, obtenant plus de 50 000 000 millions de Cedis du Ghana et a obtenu un jugement interlocutoire dans l’une des affaires pendantes devant la Haute Cour d’Accra et une autre de ces affaires pendantes devant le Tribunal de Kwabenya.

En effet, cet écrivain peut confirmer que le tribunal de Kwabenya a émis un mandat d’arrêt contre le violeur présumé et neuf autres membres de sa famille, cinq déclarés recherchés par les services de police du Ghana et publiés dans un journal officiel. Les maisons des médias ont contacté les avocats de Hassan Zein, le juge Abdulai du Crown Legal Bureau, il a confirmé qu’en effet, son client est un homme bien concentré, décent et inébranlable par la tentative de ternir sa réputation simplement en raison de sa tentative de représenter Sheikh Sharabutu et de faire la tâche qui lui a été confiée par Son Éminence.

Les avocats du Mali ont également confirmé qu’il a effectivement fallu moins de six mois pour prononcer un jugement contre les médias qui ont été utilisés par Mohammed Ould Ibrahim, ses enfants et d’autres membres de la famille pour attaquer et diffamer Hassan Zein. Mais il a fallu un certain temps pour obtenir une justice similaire au Ghana. Les avocats ont également confirmé qu’ils étaient stupéfaits de voir les publications des agresseurs de leurs clients alors qu’il s’agissait plutôt de ceux qui portaient plainte contre eux dans plusieurs postes de police du pays.

Hassan Zein a également obtenu un jugement dans d’autres pays d’Afrique de l’Ouest où ses agresseurs ont utilisé certaines maisons de presse pour nuire à sa réputation. Ce soi-disant Omar et sa famille sont des experts dans le mensonge, cependant, la vérité prévaudra tôt ou tard.

Source: ASEMPANEWS.COM

Bamako : Une société française en bonne position pour être le futur concessionnaire des Aéroports du Mali

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Par Croissanceafrique

La mise en concession des Aéroports du Mali défraye aujourd’hui la chronique, depuis la publication sur les réseaux sociaux d’un avis de réunion signée par le secrétaire général du ministère de l’Economie et des Finances, Bengaly N’Ko Traoré, invitant les représentants de certaines structures à y participer. Selon notre confère du journal Aujourd’hui-Mali « Il s’agissait d’examiner l’ouverture des offres financières des soumissionnaires dans le cadre de la mise en concession de l’Aéroport international Président Modibo Kéïta », a-t- il écrit dans sa parution de la semaine dernière.

Cette réunion a eu lieu le mois de mai dernier entre les membres du ministre de l’économie et des finances dont les représentants de Direction générale des marchés publics (Dgmp), de l’Agence nationale de l’aviation civile (Anac) des Aéroports du Mali, de la Délégation de l’Asecna, de la Direction des finances et du matériel du ministère de l’Economie et des Finances ainsi que du représentant du ministère des Transports et de la Mobilité Urbaine.

 Selon des sources généralement bien informées, le Groupe « EGIS » serait en bonne position pour être le futur concessionnaire des Aéroports du Mali. Cette entreprise française dispose d’une expérience professionnelle. Il s’agira de faire de l’Aéroport Modibo Kéïta un aéroport moderne et digne de ce nom.

Selon une source proche du dossier « cette affaire a débuté, il y a plusieurs années. Vous savez, les aéroports doivent être gérés de façon professionnelle. Ce n’est pas une mauvaise chose de confier la gestion à un privé. C’est pour vous dire que ce n’est pas une vente, mais une mise en concession comme cela se fait habituellement. L’entreprise EGIS est soutenue par l’Etat français », a-t-il confié à financialafrik. Il ajoute par suite que « avec cette mise en concession, il y a des investissements lourds à faire et c’est préférable de le faire par des capitaux privés », ajoute-il.

S’agissant de l’entreprise EGIS, selon d’autres sources « elle est très connue pour son expertise à travers plusieurs pays ». Elle propose un portefeuille unique d’expertise grâce à sa compréhension des problématiques des différents marchés de l’aviation : aéroports, gestion du trafic aérien, institutions et autorités de l’aviation, aéronefs et compagnies aériennes. EN Plus, l’entreprise EGIS est actionnaire et partenaire stratégique en exploitation et management d’un réseau de 17 aéroports dans 8 pays.

Daouda Bakary KONE

Le coronavirus pousse l’or vers les sommets au profit de l’Australie et au détriment de l’Afrique

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On le répète depuis 5000 ans, l’or est la valeur refuge. À 1.734 dollars l’once d’or vendredi à 17h, le cours du métal précieux porte son avance depuis le début de l’année à +13,5%. Le métal jaune est dopé par les inquiétudes, le confinenement, la recherche du vaccin, l’insaisissable remède, les tweet de Donald Trump, l’agenda de Pékin et des politiques publiques du sauve-qui-peut qui montrent leurs limites.

Dans ce climat d’incertitudes, l’or avait même tutoyé le niveau des 1 800 dollars avant de vite battre retraite, le 20 mai, sous l’effet des prises de bénéfice et, aussi, suite à l’annonce d’un essai prometteur du vaccin Moderna.

La dépréciation prévisible des devises (dollars, euros) sous les politiques d’asspoulissement quantitatif (la FED a un bilan de 7 000 milliards de dollars) ajoutées aux incertitudes géopolitiques expliquent cette course aux abris, déclare en substance Charles-Edouard Bilbault, gérant chez Rothschild & Co Asset Management Europe au site “Mieux Vivre”. Suivez la suite de l’article en bas à travers financialafrik:

https://www.financialafrik.com/2020/05/31/le-coronavirus-pousse-lor-vers-les-sommets-au-profit-de-laustralie-et-au-detriment-de-lafrique/

Côte d’Ivoire : Avec des réserves de 24,854 milliards Fcfa, l’AIRMS veut transférer ses valeurs mobilières à la CDC-CI

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La collaboration entre la Caisse de dépôts et de consignation de Côte d’Ivoire (Cdc-CI)  et l’Agence Ivoirienne de régulation de la mutualité sociale(Airms) vient de se formaliser, ce mercredi 27 mai, par une signature de partenariat entre les deux institutions envisagée depuis octobre 2019.

Par cet acte, Lassina Fofana, le directeur général de la Cdc-CI, et la directrice générale de l’Airms, Colette Koné facilitent la mise en œuvre de la loi n°2018-574 du 13 juin 2018 portant création, attributions, organisation et fonctionnement de la Cdc-CI, à disposer  des valeurs mobilières des sociétés et caisses mutualistes, notamment les mutuelles sociales immatriculées et leurs structures faitières tout comme des comptes desdites sociétés inscrites désormais dans leur livres.

Selon la patronne de l’Airms, la Côte d’Ivoire compte à ce jour 35 mutuelles sociales immatriculées au registre national d’Immatriculation, pour une population couverte estimée à environ 1 500 000bénéficiaires. Soit un taux de couverture d’environ 6,25% de la population ivoirienne. « Ce taux qui n’englobe que les mutuelles régulièrement constituées représente, à n’en point douter, un véritable indicateur de performance quand on sait que seuls 10% de la population ivoirienne bénéficient d’une assurance maladie ».

Dotées de plus  24 milliards Fcfa de réserves générées par leurs activités en 2018 contre 25,623 milliards Fcfa en 2017, les mutuelles sociales brassent plus de 51 milliards Fcfa  comme volume global des cotisations, selon les chiffres 2018-2017 de l’Airms. Des performances qui peuvent être améliorées d’autant plus que 62% des mutuelles sociales ne mènent aucune activité de placement. « Alors que celle-ci peut renforcer considérablement leur capacité financière et favoriser une meilleure prise en charge des mutualistes », conseille Colette Koné. Qui a remercié le directeur général de la Cdci-CI, Lassina Fofana pour tous les efforts consentis pour le rayonnement en Côte d’Ivoire dans la protection sociale sinon dans la mutualité sociale , dont une grand partie de ces membres exercent encore dans l’informel. Pour Lassina Fofana sa Caisse se met entièrement à la disposition des structures étatiques et non étatiques dans le cadre de la garantie et de la sécurisation des fonds.

PAr Youssouf MAGATE/ Financialafrik.com

La Conférence inaugurale de The Africa Road Builders aura lieu le 13 juillet prochain

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Par Croissanceafrique

Abidjan, le 27 mai 2020. Reportée en raison de la situation sanitaire mondiale affectée par le Coronavirus Covid-19, la Conférence Inaugurale de The Africa Road Builders – Trophée Babacar NDIAYE 2020 aura finalement lieu le lundi 13 juillet 2020 à partir de 12h00 GMT. “Cette session aura lieu par visioconférence, compte tenu du contexte international qui continue de rendre les rencontres physiques très complexes”, annonce Barthélemy Kouamé commissaire général de la conférence.

Le Commissariat Général met tout en œuvre pour que cette session soit mémorable, poursuit M Kouamé. Le 13 juillet est la date anniversaire du rappel à Dieu de Dr Babacar NDIAYE, ancien Président de la Banque Africaine de Développement (BAD), qui a donné gracieusement son nom à cette initiative. Ce sera donc l’occasion de se souvenir de l’ensemble de son œuvre et de lui rendre un hommage solennel.

La Conférence Inaugurale de The Africa Road Builders – Trophée Babacar NDIAYE est un forum de haut niveau dont le thème, cette année, est ainsi libellé : « Routes et transports pour améliorer la qualité de vie des populations en Afrique ». Elle est également l’occasion de désigner le lauréat du Super Prix Grand Bâtisseur – Trophée Babacar NDIAYE.

En 2020, la Conférence Inaugurale permettra aussi de dévoiler deux Prix spéciaux dont l’adoption sera proposée au Comité de Sélection. La Conférence Finale est prévue pour le 25 août 2020, à l’occasion des Assemblées Annuelles de la BAD à Abidjan, en Côte d’Ivoire. Le Commissariat Général remercie à nouveau tous les partenaires qui depuis 5 ans travaillent pour faire rayonner ce projet et surtout pour le développement de la route et des transports en Afrique. Il remercie tout particulièrement le Président de la BAD, Dr Akinwumi ADESINA, Parrain de l’événement.