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Affaire Mohamed ould Ibrahim et Hassan ZEIN : le Malien brandirait une arme pour menacer les Libanais

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Hassan Zein, un homme d’affaires libano-ghanéen, a paré des allégations de harcèlement portées contre lui par un certain Haled Ould Ibrahim, un ressortissant malien domicilié au Ghana.

Haled Ould Ibrahim /criminal

Haled a affirmé hier dans un article de presse que Hassan Zein avait engagé des policiers pour le harceler ainsi que les membres de sa famille. Réagissant à la publication, Hassan Zein a déclaré que c’était plutôt le Malien qui avait pris les lois du Ghana entre ses mains et attaquait sa famille.

«Haled Ould Ibrahim et ses cohortes sont plutôt ceux qui harcèlent notre famille. Ils nous menacent d’impunité », a-t-il affirmé. Selon Hassan Zein, le Malien qui, selon lui, jouait à la victime s’est tourné vers les médias sociaux pour mener une guerre psychologique persistante contre lui et sa famille, ainsi que des associés, et a allégué qu’il les avait même menacés de mort.

Il a dit qu’il avait également signalé un cas de viol contre Ould Ibrahim et son gang à la police, et que l’affaire était en instance. Samedi dernier, les choses ont atteint un point critique lorsque Ould Ibrahim s’est tourné vers le siège du Département des enquêtes criminelles (CID) pour faire arrêter Hassan Zein pour, selon ses propres termes, aucun crime commis.

«Il est ironique d’entendre que j’utilise la police pour les harceler. Je ne suis entré en contact avec eux que lorsque l’imam en chef national, le Dr Sheikh Osman Sharubutu, m’a invité à venir afin qu’il puisse être arbitre en la matière après que Mohamed Ould Ibrahim (Oumar), leur père, a levé la caution dans une affaire criminelle présumée. , » il a dit.

«Ils ne sont pas contents de moi parce que je voulais que justice soit rendue. Je ne veux pas dire grand-chose par respect pour Son Éminence, le chef Imam, qui est intervenu pour résoudre le problème. Les allégations sont sans fondement », a-t-il ajouté.

Source: DailyGuideNetwork

Mali: Polémique autour d’un reportage de l’ORTM sur la toile

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La réception de 6000 masque dont le coût avoisinerait une bagatelle de 300 millions de F CFA selon l’ortm, la chaîne d’État du pays.

L’information économique est une autre spécialité dans ce métier du journalisme. Dans un papier pareil quand tu ne maîtrise pas les chiffres, méfie toi de les annoncer dans un reportage ou compte rendu institutionnelle et cela, donne la parole l’interwieuwé.

C’est pourquoi, très généralement en Europe ou chez les occidentaux, la plus part des journalistes économistes sont des financiers de formation en cheval journaliste de formation pour jongler les chiffres. Dans un tel reportage, le choix du journaliste est important, voila ce que l’ortm n’a pas porté attention.

Mais, peut être, ils n’ont pas pensé à cela, car il s’agit d’un programme présidentiel d’urgence (donc c’est l’institutionnel), et dans ce jeu des chiffres, il fallait envoyé un journaliste qui intervient généralement dans les activités économiques et financières afin d’éviter les petite rigolarde au sein des téléspectateurs. Ci-dessous une capture d’un tweet du directeur général de l’ORTM M Salif SANOGO:

Eh oui, même s’il s’agissait d’une petite réception, petite qui intéresse les téléspectateurs plus que les grand dossiers, oui je sais çà arrive suivent, car je sais que je ne vous apprends rien. En plus, dans cet élément, la journaliste s’est probablement trompée du chiffre en annonçant que 6000 masques ont coûté 300 millions de f CFA; Salif Sanogo voila ce que je pense!

Pourtant selon Ibrahim TRAORE rédacteur en chef de l’ORTM1 « Dans le JT 20H ORTM1 de ce vendredi 29 mai 2020, un lapsus nous a fait annoncer dans les brèves six mille masques au prix de 300 millions. Il fallait plutôt comprendre six cent mille (600 000) masques. Une erreur entièrement indépendante de notre volonté. Nous en assumons toute la responsabilité et en profitons pour vous remercier de vos remarques et critiques. Nos sincères excuses et meilleure compréhension », a-t-il assumé. C’est ce qui fait la beauté de notre métier. Reconnaître son erreur et avancer dans sa mission de combattant et cela en s’excusant aux téléspectateurs et à ses auditeurs ou encore ses lecteurs.

rédaction

Donald Trump annonce que les États-Unis mettent fin à leur relation avec l’OMS

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Le président américain Donald Trump a annoncé vendredi mettre fin à la relation entre son pays et l’OMS, qu’il accuse depuis le début de la pandémie de coronavirus de se montrer trop indulgente avec Pékin.
« Parce qu’ils ont échoué à faire les réformes nécessaires et requises, nous allons mettre fin aujourd’hui à notre relation avec l’Organisation mondiale de la Santé et rediriger ces fonds vers d’autres besoins de santé publique urgents et mondiaux qui le méritent », a déclaré M. Trump devant la presse.

Banques : NSIA Banque Côte d’Ivoire réalise un bénéfice de 13,617 milliards FCFA en 2019

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NSIA Banque Côte d’Ivoire, membre du groupement financier du même nom, a réalisé au terme de l’exercice 2019, un bénéfice après impôts de 13,617 milliards de FCFA (20,425 millions d’euros), ont annoncé les dirigeants de cet établissement bancaire.

Par rapport à l’exercice 2018 où il s’élevait à 12,196 milliards de FCFA, ce bénéfice connait une progression de 11,65%.

Le total bilan de la banque s’est établi à 1193,793 milliards FCFA contre 1084,734 milliards FCFA en 2018 (+10,05%).

Durant la période sous revue NSIA Banque Côte d’Ivoire a collecté  auprès de sa clientèle 753,787 milliards de FCFA contre 714,546 milliards de FCFA un an auparavant (+39,241 milliards). En retour, ses créances sur la clientèle se sont élevées à 809,906 milliards FCFA contre 736,553 milliards FCFA en 2018 (+73,353 milliards).

Les intérêts et produits assimilés ont vu leur niveau augmenter de 3,222 milliards de FCFA, passant de 65,053 milliards en 2018 à 68,275 milliards un an plus tard. De leur côté, les intérêts et charges assimilés se sont établi à 27,448 milliards contre 23,289 milliards au terme de l’exercice 2018, soit une hausse de 4,159 milliards.

Au terme de l’exercice 2019, les commissions perçues par la banque sur ses produits ont baissé de 1,785 milliard de FCFA avec une réalisation se situant à 17,749 milliards contre 19,534 milliards en 2018. En parallèle, les commissions sur les charges ont été comprimées de 1,616 milliard de FCFA à 3,313 milliards contre 4,929 milliards un an auparavant.

Le produit net bancaire de la banque s’est contracté de 4,612 milliards de FCFA, passant de 67,762 milliards de FCFA en 2018 à 63,150 milliards de FCFA en 2019.

NSIA Banque Côte d’Ivoire a relativement bien maîtrisé ses charges générales d’exploitation qui ont évolué que de 0,84% à 37,150 milliards de FCFA contre 36,846 milliards de FCFA en 2018.

Le résultat brut d’exploitation s’est replié de 21,21%, s’élevant à 19,986 milliards de FCFA au 31 décembre 2019 contre 25,368 milliards de FCFA à la même période de l’année 2018.

Durant la période sous revue, la banque a beaucoup amélioré son coût du risque qui est passé de 10,401 milliards de FCFA en 2018 à 4,728 milliards de FCFA.

Le résultat d’exploitation est apparu en légère hausse de 1,94%, s’établissant à 15,258 milliards de FCFA contre 14,967  milliards de FCFA en 2018.

La Banque Mondiale accorde 376 millions de dollars à la Mauritanie

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Le Conseil des administrateurs de la Banque mondiale a approuvé aujourd’hui un financement de l’Association internationale de développement (IDA)* d’un montant de 376 millions de dollars dont 60 millions de dollars pour la Mauritanie, afin de renforcer le capital humain et d’améliorer les résultats de la région en matière de développement humain. Il s’agit du quatrième financement additionnel au titre du Projet pour l’autonomisation des femmes et le dividende démographique au Sahel (SWEDD, selon l’acronyme anglais), une initiative régionale de grande ampleur mise sur pied en réponse à l’appel lancé en 2014 par les présidents du Niger, du Burkina Faso, du Tchad, de la Côte d’Ivoire, du Mali et de la Mauritanie. Ce nouveau soutien porte l’investissement total de la Banque mondiale en faveur du SWEDD à 680 millions de dollars, auxquels s’ajoutent 10 millions d’euros supplémentaires investis par l’Agence française de développement (AFD) au titre d’un financement parallèle.

La phase 2 du projet permettra d’intensifier les activités en cours en Côte d’Ivoire, au Mali, en Mauritanie et au Tchad et de les étendre à deux nouveaux pays : le Cameroun (75 millions de dollars) et la Guinée (60 millions de dollars).

En Mauritanie, ce financement additionnel vise à élargir un projet ayant fait ses preuves et pleinement aligné sur la Stratégie de Croissance Accélérée et de Prospérité Partagée (SCAPP) « La Mauritanie a joué un rôle de premier plan au cours de la première phase du SWEDD, notamment grâce à l’implication des chefs religieux aux niveaux local et régional, pour promouvoir la scolarisation des filles, leur insertion dans l’activité économique et assurer la maternité sans risques à partir de l’âge adulte », a déclaré Laurent Msellati, responsable des opérations de la Banque mondiale pour la Mauritanie. « Alors que le projet prend de l’ampleur, le nouveau montant de 60 millions de dollars accordé au pays permettra de poursuivre les activités au niveau communautaire, tout en appuyant la mise en œuvre de la stratégie du gouvernement, avec un accent sur l’autonomisation des femmes dans la cadre du programme visant à promouvoir l’inclusion sociale dans le pays. »

De manière générale, le projet continuera à investir dans des activités qui ciblent les adolescentes et leurs communautés afin d’améliorer les compétences psychosociales et les connaissances des jeunes filles en matière de santé sexuelle et reproductive, de les maintenir à l’école et d’élargir leurs perspectives économiques. Il s’agira également de créer un environnement favorable à l’autonomisation sociale et économique des filles en conjuguant les lois et normes réglementaires, religieuses et coutumières, et notamment en insistant sur la prévention et une meilleure réponse aux violences à l’égard des femmes. Les investissements permettront également de faciliter l’accès à des médicaments essentiels, y compris en ce qui concerne la délivrance de moyens de contraception au niveau communautaire, et de renforcer la capacité des sages-femmes à intervenir auprès des femmes et des adolescentes dans les zones rurales.

L’un des volets importants du SWEDD 2 est l’accent mis sur le renforcement des cadres juridiques qui soutiennent les droits des femmes à la santé et à l’éducation. Les activités financées par le projet ont été définies au niveau national et régional à la suite de consultations entre parlementaires, juges et avocats, dans les pays couverts par le projet SWEDD et au-delà. Elles portent sur le renforcement de la législation et des capacités de l’appareil judiciaire, ainsi que sur la promotion de la diffusion et de l’application de la législation existante dans les communautés où des pratiques néfastes sont très répandues.

Le SWEDD 2 soutiendra également l’Organisation ouest-africaine de la santé (OOAS) — la branche Santé de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) — dans son action en faveur d’un dialogue régional sur l’amélioration des perspectives dans les zones rurales, ainsi que dans l’organisation d’ateliers régionaux pour faciliter le partage des connaissances. Le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) reste un partenaire important pour la coordination de l’assistance technique et l’appui à la mise en œuvre du projet, notamment à travers le recours à des partenaires spécialisés et en ce qui concerne la conduite de la campagne régionale de communication et de promotion des changements de comportements sociaux.  

Par ailleurs, le projet s’est enrichi, avec l’Union africaine (UA), d’un nouveau partenaire stratégique. Rassemblant 55 États, l’UA est la plus grande organisation intergouvernementale du continent et, à ce titre, elle constitue une enceinte de premier plan en faveur des transformations sociales et économiques. Ce partenariat viendra consolider la capacité de l’UA à servir de cadre à la codification de réformes politiques et juridiques, à faciliter l’échange entre pairs et à communiquer les progrès réalisés dans les domaines liés à la promotion de l’autonomisation des femmes sur le continent.

Le projet SWEDD s’inscrit dans la ligne de l’Agenda 2063 de l’UA, ainsi que des stratégies nationales des différents pays bénéficiaires. Il contribue également à la stratégie d’aide à l’intégration et à la coopération régionales du Groupe de la Banque mondiale, qui met l’accent sur le développement du capital humain et s’attache en particulier à favoriser l’émancipation économique des femmes.

* L’Association internationale de développement (IDA) est l’institution de la Banque mondiale qui aide les pays les plus pauvres de la planète. Fondée en 1960, elle accorde des dons et des prêts à taux faible ou nul pour financer des projets et des programmes de nature à stimuler la croissance économique, réduire la pauvreté et améliorer la vie des plus démunis. L’IDA figure parmi les principaux bailleurs de fonds des 76 pays les plus pauvres de la planète, dont 39 se trouvent en Afrique. Ses ressources bénéficient concrètement à 1,6 milliard de personnes. Depuis sa création, l’IDA a soutenu des activités de développement dans 113 pays. Le volume annuel de ses engagements s’est élevé en moyenne à 21 milliards de dollars au cours des trois dernières années, 61 % environ de ce montant étant destinés à l’Afrique.

Mali : Le trésor public lève 30,981 milliards de FCFA sur le marché financier de l’UMOA

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La direction générales du Trésor et de la comptabilité publique est chargée de : l’exécution des opérations du budget de l’État, des Collectivités Territoriales et des Établissements publics à l’exception des opérations dont l’exécution a été expressément confiée à d’autres structures ...

L’Etat du Mali, à travers sa Direction nationale du trésor et de la comptabilité publique a levé le 27 mai 2020 un montant de 30,981 milliards de FCFA (46,471 millions d’euros) sur le marché financier de l’Union monétaire ouest africaine (UMOA) au terme de son émission de bons assimilables du trésor à 364 jours.

Sur un montant global mis en adjudication de 30 milliards de FCFA, l’agence UMOA-Titres organisatrice de l’opération a répertorié des soumissions globales des investisseurs de 34,209 milliards de FCFA. Ce qui donne un taux de couverturedu montant mis en adjudication de 114,03%.

Au terme de l’opération d’adjudication, le trésor public malien a retenu que 30,981 milliards de FCFA et rejeté les 3,228 milliards de FCFA restants, soit un taux d’absorption de 90,56%. Les trois meilleures soumissions retenues par l’émetteur sont celles des investisseurs résidant au Mali (13,379 milliards), au Sénégal (7,500 milliards) et de la Côte d’Ivoire (5,100 milliards)

Les titres émis sont remboursables le premier jour ouvré suivant la date d’échéance fixée au 26 mai 2021. En revanche, les intérêts sont payables d’avance et précomptés sur la valeur nominale des bons qui est d’un million de FCFA.

Tombouctou(Mali): les radios locales dotées de kits de protection contre la Covid-19

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Par croissanceafrique

Ce jeudi 28 Mai à Tombouctou, la MINUSMA a doté les huit radios de la ville en matériel de prévention et de protection contre la maladie du Coronavirus. La remise a eu lieu au cours d’une cérémonie organisée à l’aéroport.

Alors qu’il doit informer et sensibiliser les communautés locales sur la COVID-19 ainsi que les mesures à adopter, le personnel des radios n’est pas à l’abri de la maladie.

Boukary Mouhamadou, le médecin principal de l’Unité médicale de niveau 1 de la MINUSMA rappelle d’ailleurs que « les hommes de médias doivent être très prudents dans le contexte actuel de pandémie. Cela veut dire qu’il faut porter son masque, ses gants et sa solution hydro alcoolique pour se désinfecter les mains et le matériel après chaque activité ».

Force est de constater cependant que peu de radios pouvaient équiper leurs journalistes de ce matériel. Le coordinateur de l’Union des Radios et Télévisions Libres (URTEL) estime que dans l’exercice de leurs fonctions, le personnel des médias est vulnérable, autant que leurs homologues de la santé. « Nous devons recueillir l’information sur la maladie auprès des médecins, souvent auprès de personnes qui peuvent porter la maladie sans en présenter les signes. Or en en l’absence de certaines précautions, le risque d’être contaminé est évident, » affirme-t-il.

Pour aider à prévenir et atténuer ces risques, Le bureau régional de la MINUSMA à Tombouctou, a remis un lot de kits individuels et collectifs aux radios locales de la ville : masques, gel hydro alcoolique, gants.

«… En vous remettant ce lot composé de kits collectifs et individuels, la MINUSMA veut contribuer à sécuriser votre environnement de travail. Dans la quête de l’information, les journalistes que vous êtes, n’échappez pas au risque d’être contaminés… Notre espoir est que vous continuerez à apporter la bonne information aux populations mais surtout en adoptant les mesures-barrières, pour vous protéger, et protéger les autres ». C’est en ces mots queM. Alassane GOBI, représentant le Chef du Bureau régional de la MINUSMA à Tombouctou a exhorté les journalistes présents à la cérémonie.

Avec l’intensification des tests, Tombouctou fait face à une montée importante de contamination à la COVID-19. Avec cet appui de la MINUSMA, le personnel des radios peut continuer à informer et sensibiliser les populations.

 Depuis le début de la pandémie au Mali, la Mission onusienne est engagée aux côtés du gouvernement et des autorités locales dans les efforts de riposte contre le virus. Il y a quelques semaines, le Mécanisme Opérationnel de Coordination de la ville avait été doté par la section RSS-DDR de la MINUSMA d’un important lot de matériels de protection et de prévention.

Pourquoi l’Arabie saoudite est le producteur pétrolier qui, au final, profitera le plus du chaos

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(Ecofin Hebdo) – L’Arabie saoudite sortira plus forte de la situation chaotique actuelle du marché pétrolier, tant sur le plan économique que géopolitique, avec avant tout, plus de parts de marché. C’est ce qui ressort d’une analyse du Pr Jason Bordoff, fondateur du Center for Global Energy Policy de l’université de Columbia à New York. Une thèse appuyée par Sir Mark Moody-Stuart, ancien président de la Royal Dutch Shell et l’un des plus anciens directeurs de Saudi Aramco.

Le premier semestre 2020, bien que n’étant pas achevé, représente déjà la plus douloureuse des périodes de revers pour l’industrie pétrolière, notamment en raison de l’apparition de la pandémie du coronavirus. La demande s’est fortement contractée avec le confinement de près de 4 milliards de personnes dans le monde. Ceci, couplé à la surabondance de l’offre, a fragilisé les cours au point que le WTI est descendu sous la barre de 0 dollar le baril, durant un instant, au mois d’avril.

Une seule de ces grandes compagnies a décidé de respecter son engagement de payer ses 75 milliards de dollars de dividendes cette année. Il s’agit de Saudi Aramco

Aux Etats-Unis, par exemple, le schiste vit ses heures les plus pénibles depuis le boom de ces dernières années. Criblées de dettes, plusieurs compagnies ont déjà mis la clé sous la porte. Ailleurs, certaines tournent à perte depuis le début de l’année tandis que d’autres ont réduit leurs dépenses d’investissement et leurs dividendes, comme Shell, pour la première fois en plus de 70 ans.

1Saudi Aramco

Le royaume a la possibilité d’emprunter jusqu’à 58 milliards de dollars en 2020.

Mais une seule de ces grandes compagnies a décidé de respecter son engagement de payer ses 75 milliards de dollars de dividendes cette année. Il s’agit de Saudi Aramco, la société publique saoudienne du pétrole.

Un important coussin de sécurité

Pour les experts, il ne s’agit pas de montrer que l’Arabie saoudite ne subira pas la crise. D’ailleurs, le pays a besoin d’un baril à 80 dollars pour équilibrer ses charges budgétaires. Or, aujourd’hui, le combustible s’échange à moins de 25 dollars. Comme tous les autres pays producteurs, le Royaume wahhabite a également vu ses recettes fiscales chuter alors qu’il impose des restrictions économiques pour stopper la propagation de la pandémie. Moody’s a réduit les perspectives financières de l’Arabie saoudite, il y a une dizaine de jours, car le pays a enregistré un déficit de 9 milliards de dollars au cours du premier trimestre. La semaine dernière, Mohammad Al Jadaan, le ministre des Finances, a déclaré : « les dépenses publiques devraient être profondément réduites et certaines composantes du plan de diversification économique Vision 2030 seront retardées ».

Mais contrairement à la plupart des autres producteurs, le pays dispose non seulement de réserves budgétaires importantes, mais aussi d’une capacité d’emprunt colossale.

Mais contrairement à la plupart des autres producteurs, le pays dispose non seulement de réserves budgétaires importantes, mais aussi d’une capacité d’emprunt colossale. Le 22 avril dernier, Al Jadaan a révélé que le royaume a la possibilité d’emprunter jusqu’à 58 milliards de dollars en 2020. Son ratio dette/PIB était de 24% en 2019. C’est relativement faible par rapport aux autres pays producteurs du monde. Avec 474 milliards de dollars détenus par la Banque centrale dans les réserves de change, l’Arabie saoudite reste confortablement au-dessus du niveau d’environ 300 milliards de dollars, que beaucoup considèrent comme le minimum pour assurer l’inviolabilité de sa monnaie, qui est ancrée au dollar, ajoute Jason Bordoff. suivez la suite de l’article avec le liens en bas :

https://www.agenceecofin.com/hydrocarbures/2705-76958-pourquoi-l-arabie-saoudite-est-le-producteur-petrolier-qui-au-final-profitera-le-plus-du-chaos

Afrique : Rugby Afrique propose aux arbitres de ses fédérations membres une série d’ateliers en ligne

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Par Croissanceafrique

Cette initiative contribuera à améliorer les compétences des arbitres dans les domaines clés du rugby, et le programme se déroulera sur deux mois
LE CAP, Afrique du Sud, 29 mai 2020/ — Des arbitres et des entraîneurs d’officiels de matchs (CMO) sélectionnés de par tout le continent Africain suivent une série d’ateliers en ligne dirigés par Alain Rolland, responsable des arbitres de matchs haute performance de rugby à XV pour World Rugby. Cette initiative contribuera à améliorer les compétences des arbitres dans les domaines clés du rugby, et le programme se déroulera sur deux mois.

Avec 42 participants (dont 11 femmes), le groupe anglophone, composé du Botswana, du Ghana, du Lesotho, du Kenya, de la Namibie, du Rwanda, de l’Ouganda, de la Zambie et du Zimbabwe, a démarré le 19 mai 2020. Le groupe francophone, avec 35 participants (dont huit femmes) du Burkina Faso, de la Côte d’Ivoire, de Madagascar, du Sénégal et de la Tunisie, a de son côté démarré sa première session le 21 mai 2020. 

Selon Mudiwa Mundawarara, responsable des arbitres de Rugby Afrique (www.RugbyAfrique.com), la pandémie COVID-19 et les restrictions qu’elle a entraînées ont contraint Rugby Afrique à recourir à la technologie. « Ce sera très probablement souvent le cas à l’avenir. Nous souhaitons prendre de pareilles initiatives de développement à un niveau large et ne pas les restreindre au groupe d’experts de Rugby Afrique. Il faut souligner notre insistance sur l’inclusion des femmes lors de ces ateliers. Les chiffres sont encore faibles, mais c’est un bon début. Nous espérons y remédier grâce à des initiatives de développement visant spécifiquement les femmes arbitres », a déclaré Mundawarara.

Chaque groupe participera à sept sessions d’une heure, toutes les deux semaines. Le facilitateur, Alain Rolland, s’engage auprès du public en ligne via la plateforme Zoom en présentant des vidéos sur les différentes phases du jeu. Les sujets abordés sont les suivants : 

– Semaine 1 Regroupement (plaquage et ruck)

– Semaine 2 Mêlée

– Semaine 3 Fautes 

– Semaine 4 Fautes 2

– Semaine 5 Touche/Maul

– Semaine 6 Espace

– Semaine 7 Divers et conclusion

Beryl Akinyi, une femme arbitre du Kenya, a commenté : « L’atelier a été très instructif, un grand merci pour cette opportunité. J’ai apprécié la session. J’ai appris quelques astuces et rafraîchi mes connaissances. » Jacky Husselman, CMO de Namibie, a déclaré « Cette première session était très réussie. Peut-être un peu trop courte, mais je suppose que chacun est assez occupé de son côté et que nous ne pouvions pas la prolonger. J’attends impatiemment le prochain cours. » 

Alhambra Nievas, responsable du développement des talents d’arbitre au sein de World Rugby, a exprimé sa satisfaction. Elle a reconnu que « bien que la pandémie de Covid-19 ait engendré de nombreux défis, World Rugby a identifié cela comme une opportunité idéale de travailler avec les régions et les fédérations. Nous nous appuyons sur notre capacité et notre compétence à fournir une expérience d’apprentissage sur mesure. Ce projet de formation passe en revue les principaux domaines du jeu et a permis de convenir de lignes directrices, nous préparant, en tant qu’arbitres de match, à être plus cohérents lorsque le rugby reprendra ».

« Nous avons commencé cette semaine avec la première session sur le regroupement. L’environnement est nouveau pour tout le monde, car nous ne sommes plus réunis dans une seule et même pièce. Néanmoins, les groupes étaient très motivés et les discussions ont été larges suite aux différents scénarios et vidéos passés en revue », a conclu Alain Rolland, responsable des arbitres de matchs de haut niveau de rugby à XV au sein de World Rugby.Distribué par APO Group pour Rugby Africa. Voir le contenu multimédiaNouvelles et résultats :
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Site web : http://www.RugbyAfrique.com/

Contact avec les médias :
Stefanie Burkert et Halima Djigo
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À propos de Rugby Afrique :
Créée en 1986, Rugby Afrique (www.RugbyAfrique.com), anciennement la Confédération Africaine de Rugby (CAR), est l’une des six associations régionales composant la World Rugby (www.WorldRugby.org), l’organisation internationale responsable de la gestion de Rugby Union et de Rugby Sevens. Rugby Afrique regroupe tous les pays africains pratiquant le rugby à 15, le rugby à 7 et le rugby féminin. Rugby Afrique organise les éliminatoires de la Rugby World Cup, ainsi que l’Africa Sevens, une compétition de qualification pour les Jeux Olympiques. Rugby Afrique compte 39 membres, dont 22 membres et membres associés de World Rugby, 10 membres et membres associés de Rugby Afrique, et 16 nouveaux pays collaborant avec Rugby Afrique.

Covid-19 Mali: La cité des enfants fait don de kits sanitaires aux personnes vulnérables

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La salle de spectacle de la cité des enfants a abrité la cérémonie de remise de kits sanitaires ce jeudi 28 mai 2020.Placée sous la présidence de la directrice générale de la cité des enfants Mme Amina Cissé Koumaré ,la cérémonie a enregistré la présence effective du président de l’association Sira et Bafing,de la directrice régionale du ministère de la femme, de l’enfant et de la famille et les bénéficiaires.


À l’entame de son allocution, le donateur M.Simbo Keita,un malien installé aux États-Unis s’est dit fier de ce don qui s’inscrit dans le dynamique de la lutte contre la covid-19 au Mali.Par ce geste,il entend vouloir contribuer auprès du gouvernement malien à la lutte contre cette pandémie à l’endroit surtout des plus nécessiteux.


Dans la foulée, le porte-parole des bénéficiaires M.Zakaria Diallo dit Karamoko a remercié le donateur pour le geste humanitaire. Il aussi rappelé les conditions difficiles des réfugiés de Faladié Grabal qui accueille le plus grand nombre des réfugiés au Mali.  » Nous manquons de nourriture, de médicaments. Notre sit est parti entièrement en fumée et a rendu tout le monde malade » a t-il déclaré. Ce don a concerné le site des réfugiés de Faladie, les associations d’orphelins et des talibets des mosquées.


Par la suite,la directrice de la cité des enfants Mme Amina Cissé koumaré a remercié le président de l’association Sira et Bafing pour ce don.Elle a en outre rappelé la réalité de cette pandémie mondiale et exhorté les bénéficiaires au respect des mesures barrières telles que le lavage des mains,la distanciation et le port de masques.Elle a tenu à remercier très chaleureusement le donateur :  » Nous avons bénéficié ce don pour la cité des enfants de la part d’une association américaine dénommée association Sira et Bafing .Saluons cette initiative et souhaitons la bonne continuation de cette collaboration au bénéfice des plus démunis. »


En concluant, elle a prié pour la fin de cette pandémie et annoncé la visite et soins médicaux gratuits des enfants tous les mardis,mercredis et jeudis.
Vivement d’autres dons !!!

Yah Bagayogo