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Transport aérien: La compagnie Emirates ne prévoit pas de retour à la normale avant 18 mois

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Le fait qu’Emirates reprenne ses vols vers l’Afrique du Sud sera essentiel pour le tourisme et les affaires en Afrique, et contribuera fortement à la reprise post COVID-19. En donnant aux délégués venant au Cap un moyen de transport de classe mondiale et en leur offrant, également, des tarifs réduits, la compagnie aérienne collaborera grandement au succès de l’événement.

La compagnie aérienne de Dubaï Emirates a estimé ce dimanche qu’il faudrait au moins 18 mois, avant que la demande de voyages ne retrouve « un semblant de normalité ». Elle affiche, pour la période d’avant la crise du nouveau coronavirus, un résultat annuel en hausse.

La compagnie aérienne de Dubaï, la plus importante du Moyen-Orient, a enregistré 1,1 milliard de dirhams (288 millions de dollars) de bénéfices nets pour l’exercice annuel se terminant en mars, contre 237 millions de dollars l’année précédente, selon un communiqué. C’est la 32e année consécutive de bénéfices pour Emirates qui exploite une flotte de 115 Airbus A-380 et 155 Boeing-777.

Liaisons limitées depuis le 22 mars

La compagnie a suspendu ses vols le 22 mars avant de reprendre des liaisons limitées, deux semaines plus tard. Le président et directeur général du groupe Emirates, Cheikh Ahmed ben Saïd Al-Maktoum, a déclaré que la compagnie avait réalisé une forte performance au cours des 11 premiers mois de l’année fiscale.

« Toutefois, à partir de la mi-février, les choses ont rapidement changé, la pandémie de Covid-19 a déferlé sur le monde entier provoquant une chute soudaine et énorme de la demande de voyages aériens internationaux, les pays ayant fermé leurs frontières et imposé de strictes restrictions aux voyages », a-t-il indiqué.

« Nous prévoyons qu’il faudra au moins 18 mois avant que la demande de voyages ne revienne à un semblant de normalité », a-t-il souligné, dans le communiqué.Contenus SélectionnésAilleurs sur le WebLes 20 plus beaux parcs nationaux dans le mondePetit FutéUne rémunération « dans la moyenne européenne » pour les infirmières : ça fait quelle augmentation ?par Taboola

Les bénéfices d’Emirates ont été stimulés par une baisse de 15 % des coûts de carburant, qui ont atteint 7,2 milliards de dollars, soit 31 % des coûts d’exploitation.

Cependant, la compagnie a vu son revenu annuel diminuer de 6 %, à 25,1 milliards de dollars, en raison de la pandémie du nouveau coronavirus et de la fermeture, pour entretien, d’une piste de l’aéroport de Dubaï.

Une économie dépendante de l’aviation et du tourisme

La compagnie a déclaré avoir transporté 56,2 millions de passagers au cours de l’exercice annuel, soit une baisse de 4 % par rapport à l’année précédente, et son fret a diminué de 10 % à 2,4 millions de tonnes.

Un dollar fort a érodé ses bénéfices de 272 millions de dollars et le résultat net a également été affecté par la faiblesse de la demande de fret aérien et une concurrence active.

Avant même que la pandémie de coronavirus ne paralyse l’industrie aéronautique, Emirates avait réduit ses commandes d’Airbus et de Boeing.

Le gouvernement de Dubaï, dont l’économie dépend fortement de l’aviation et du tourisme, a déclaré le mois dernier qu’il injecterait des capitaux dans Emirates pour l’aider à faire face aux retombées de la pandémie.

Covid-19 : Au Rwanda, des robots pour limiter l’exposition du corps médical au virus

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Par AFrique. Tribune.FR

Le Rwanda s’offre des robots qui réaliseront certaines tâches au sein des centres dédiés à la gestion du coronavirus. Objectif : limiter les risques de propagation de la maladie au sein du personnel de santé.

Livraison de nourriture et de médicaments aux patients, prise de la température de masse avec une capacité de 50 à 150 personnes par minute, détection de personnes non-masqués, saisie des données audio-vidéo et  les agents de service des anomalies détectées pour une gestion rapide …, sont autant de tâches que peuvent effectuer les robots que s’offre le Rwanda, rapporte New Times. Lors d’une cérémonie au Centre de traitement COVID-19 de Kanyinya (banlieue de Kigali) hier, mardi 19 mai, le ministre de la Santé a dévoilé cinq robots de haute technologie en appui au personnel de santé dans le cadre de la lutte contre la pandémie.

« Les médecins et autres intervenants de première ligne visitent la chambre des patients à plusieurs reprises pour délivrer des médicaments, des repas, effectuer des tests, entre autres – et cela peut présenter pour eux un risque de contamination. […] Ces robots accéléreront la prestation de services tout en protégeant nos précieux agents de santé contre l’exposition à la COVID-19 », a déclaré Dr Daniel Ngamije, ministre de la Santé.

Officiellement, le Rwanda n’a pas jusqu’ici enregistré des cas de contamination de médecins, excepté un agent d’hygiène dans l’un des centres de gestion de la pandémie.

Conçus par Zora Bots, un spécialiste belge des solutions robotiques, ces cinq robots seront déployés dans différents centres de gestion de la Covid-19. Les agents du ministère de la Santé suivront une formation d’un mois pour en maîtriser l’utilisation. Selon Daniel Ngamije, le Rwanda réceptionnera prochainement d’autres robots du même type.

Le Rwanda fait partie des pays les moins touchés par la pandémie en Afrique avec 308 cas confirmés au 20 mai, 209 guérisons, tandis qu’aucun décès n’a été enregistré.

Gaz : Total décroche 14,4 milliards de dollars de financement pour son projet mozambicain

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Par Afrique.Tribune

L’accord de financement regrouperait une vingtaine de banques, selon Reuters. Ainsi sur les 20 milliards de dollars nécessaires à la mise en oeuvre du méga-projet de GNL au Mozambique, Total garantit ainsi 14,4 milliards de dollars.

La pandémie du coronavirus n’a pas raison de certaines bonnes affaires. Total vient de conclure un accord de financement de 14,4 milliards de dollars pour son projet de gaz naturel liquéfié (GNL) au Mozambique, rapporte Reuters, citant deux sources proches du dossier.

L’accord de financement regrouperait, d’après les mêmes sources, une vingtaine de banques dont l’identité n’a pas été révélée.

Lire aussi : Avec l’acquisition des actifs d’Anadarko, Total conforte son leadership dans le GNL

En acquérant les actifs (26,6%) de l’Américain Anadarko dans le projet de GNL du Mozambique en septembre dernier pour 3,9 milliards de dollars, Total a pris le contrôle du plus grand projet de GNL jamais approuvé en Afrique.

Lire aussi : Plainte contre les GAFA : une nouvelle stratégie pour contrer le travail des enfants dans les mines de cobalt en RDC

Estimé à 20 milliards de dollars, ce projet qui s’inscrit dans le cadre d’un plan stratégique national au Mozambique, permettra notamment la construction de la première usine onshore de GNL, le développement de champs gaziers ou encore la construction de deux infrastructures de liquéfaction d’une capacité totale de 12,9 millions de tonnes par an.

La digitalisation peut favoriser une sortie de crise « par le haut » en Afrique

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Par Croissanceafrique

Alors que l’Afrique a franchi la barre des 100 000 cas de coronavirus officiellement recensés, certains analystes imaginent une sortie de crise « par le haut ». Cependant, pour qu’un tel scénario puisse se concrétiser, il apparaît nécessaire que le continent capitalise sur cette période historique pour accélérer sa transformation numérique.

« À moyen terme, affirme l’économiste et ancien ministre Kako Nubukpo dans les pages du journal Le Monde, se posera la question des transformations structurelles à mettre en œuvre au sein de l’espace économique africain afin d’augmenter la résilience économique et sociale des populations ». Or, s’il est une transformation sur laquelle chacun s’accorde à dire qu’elle est cruciale pour la résilience économique et sociale actuelle, c’est celle qui relève du numérique.

Les leçons du confinement et du déconfinement

Alors les mesures de confinement, souvent partiel, ont imposées des limites aux déplacements, le déconfinement progressif dans un contexte de propagation du coronavirus installe un « new normal » social qui se résume aux gestes barrières dont la distanciation physique. Tout cela fait que les solutions technologiques sont plus que jamais plébiscitées. Outils de collaboration à distance, VPN, plateformes vidéo et éducatives… Ces solutions sont principalement utilisées pour permettre aux individus et entreprises de rester opérationnels à distance, sans perdre en efficacité ni en organisation. Leur utilisation massive conduit le trafic internet du continent vers de nouveaux records.

En Afrique du Sud par exemple, où l’état de catastrophe naturelle a été déclaré par le chef d’État Cyril Ramaphosa le 15 mars, l’un des principaux fournisseurs de point d’Internet, NAPAfrica, a vu une augmentation substantielle du trafic internet de 1 à 1,1 peu après l’annonce présidentielle. De même, la société Seacom, qui exploite plusieurs des principaux câbles à fibres sous-marins du continent a déclaré avoir constaté une forte augmentation du trafic Internet sur son réseau sur l’ensemble de ses marchés africains.

Cependant l’appréhension limitée de ces outils et la fragilité des réseaux internet de certains États soulignent aussi la « fracture numérique » continentale. Avec un taux de pénétration estimé à 39,3% sur le premier trimestre 2020 par l’organisation Internet World Stats, l’Afrique est encore contrastée dans son adoption de l’Internet et des outils numériques. Ce qui se traduit par l’exclusion d’une partie de la population qui, en l’absence d’un point d’accès à domicile et en incapacité de se déplacer, se trouve fort réduite dans ses possibles, avec les frustrations et difficultés qu’une telle situation implique. Comment éduquer les jeunes populations rurales en limitant les attroupements sans accès à un matériel connecté à Internet ? Comment permettre aux entreprises de demeurer compétitives et rentables si les solutions technologiques mises à leur disposition ne sont pas viables compte tenu de la vétusté du réseau ? Des questions qui se posent désormais et auxquelles il faudra être en mesure de répondre au plus tôt si nous voulons tirer quelque chose de cette crise.

À ce titre, de nombreux secteurs Tech pourraient se voir renforcer. Le cas du secteur des FinTech est assez intéressant. Au Kenya par exemple, le Président Uhuru Kenyatta a annoncé vouloir favoriser le déploiement du mobile payment pour éviter que les échanges physiques d’argent ne contribuent à la propagation du Covid-19. Dès lors, l’opérateur kényan leader Safaricom a mis en place la gratuité des frais de transactions en dessous de 1 000 shillings kényans (près de 9 euros) en plus de doubler la limite quotidienne de transactions autorisées via son service (de 70’000 à 150 000 shillings – Soit de 610 à 1 310 euros environ). Même scénario dans l’ensemble de la zone UEMOA où les transferts d’argent sont devenus gratuits à partir du 3 avril, pour une durée renouvelable de 30 jours, selon des questions bien spécifiques. À long terme, ces actions devraient nourrir l’adoption du mobile payment et contribuer à renforcer cette « industrie » encore en structuration.

La crise sanitaire actuelle doit nourrir une évolution profonde et réfléchie

Autant d’initiatives qui rendent compte des opportunités générées par ces temps d’une complexité inédite. L’essor de la Health Tech – sur le continent comme à l’international – illustre parfaitement cette situation. Au Nigéria, la start-up LifeBank (qui, à l’origine, facilite l’acheminement de produits médicaux comme le sang ou l’oxygène vers les hôpitaux grâce à sa plateforme) a par exemple lancé une plateforme en ligne permettant aux établissements de santé de dresser l’inventaire des appareils respiratoires, ventilateurs médicaux et lits de soins intensifs qu’ils possèdent dans le but de cartographier les ressources disponibles et d’avoir une visibilité claire de la situation. D’après les premiers résultats, 900 hôpitaux comptabilisés à travers le pays disposent de 109 appareils respiratoires et de 139 lits de soins intensifs. Une application qui pourra servir même après la crise.

L’élan d’innovation conjoncturelle auquel nous pousse – de manière contrainte – la crise sanitaire actuelle doit nourrir une évolution profonde et réfléchie du continent africain sur le plan technologique et numérique par le biais de ses différents acteurs politiques et économiques. Ces nombreux cas d’usages développés sous la nécessité peuvent être mis à profit d’une transformation numérique permettant « d’augmenter la résilience [mais aussi le développement et l’épanouissement] économique et sociale des populations ». C’est ainsi que nous parviendrons à sortir de cette crise « par le haut ».

Journée internationale des casques bleus: L’engagement pour la paix au Mali de Bridgette Che Fomunyam

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par croissanceafrique

Tous les jours Bridgette compile et analyse les informations pour la rédaction du rapport journalier sur Kidal, assure la gestion de crise sécuritaire dans la région avec le chef de bureau mais également coordonne et planifie les sorties des différentes sections. Elle anime aussi la réunion d’échanges d’informations quotidienne. Nommée point focal genre au sein du bureau régional par le Représentant du Secrétaire général, Bridgette organise et participe avec ses collègues civiles et militaires aux activités de sensibilisation sur les violences basées sur legenre.

La situation de crise sanitaire liée au Covid19 affecte son travail comme celui de ses collègues. Mais pour Bridgette, « c’est un challenge supplémentaire qui nous pousse à nous surpasser pour avoir des informations crédibles afin de les partager avec le JOC de la Mission à Bamako et les collègues du bureau régional ».

Même si à Kidal les risques sécuritaires sont réels en raison des attaques subies, la satisfaction vient des encouragements de la population pour qui la MINUSMA est présente.

Le rêve de Bridgette c’est qu’un jour les Kidalois puissent se déplacer librement, sans avoir peur des attaques et des mines. « Comme pour la Cote d’Ivoire, je serais fière d’avoir contribué au retour de cette paix » conclut Bridgette Che Fomunyam.

Numérique: Lancement de la série des webinaires « Fashionomics Africa »

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La BAD, dont le siège est à Abidjan (Côte d'Ivoire), a été fondée en 1964. Le groupe comprend trois entités : la Banque africaine de développement, le Fonds africain de développement, créé en 1972, et le Fonds spécial du Nigéria, créé en 1976.
Par Croissanceafrique
Les entrepreneurs de mode africains : prospérer dans un monde post-COVID-19
ABIDJAN, Côte d’Ivoire, 26 mai 2020/ — Quelles perturbations entraîne le COVID-19 sur le marché de la mode en Afrique ? Opportunités et menaces pour les entrepreneurs de la mode et les investisseurs.

Quoi ? Lancement de la série des webinaires « Fashionomics Africa »

Qui ? Département Genre, Femmes et Société Civile (AHGC)

Quand ? Mardi 2 juin de 10h à 12h

Où ? Virtuel sur Zoom

Le département Genre, Femmes et Société Civile du Groupe de la Banque Africaine de Développement (www.AfDB.org) va lancer la série des webinaires « Fashionomics Africa » de son initiative phare Fashionomics Africa. (https://FashionomicsAfrica.org)

Le webinaire, intitulé « Quelles perturbations entraîne le COVID-19 sur le marché de la mode en Afrique ? Opportunités et menaces pour les entrepreneurs de la mode et les investisseurs », portera sur le rôle des entrepreneurs de mode africains dans un monde post-COVID-19.

Des entrepreneurs de la mode, des investisseurs, des experts de l’industrie et des acteurs du monde des affaires échangeront sur la nécessité et les possibilités d’adaptabilité, de créativité et d’innovation pour développer une industrie africaine de la mode numérique dans une réalité post-COVID-19.

Le panel identifiera les dernières innovations dans l’industrie de la mode en réponse à la crise du COVID-19, mettra en lumière les enseignements à en tirer, abordera la question des investissements dans une industrie de la mode numérique et discutera des mesures que les entrepreneurs de la mode doivent prendre pour adapter leur modèle d’affaires.Distribué par APO Group pour African Development Bank Group (AfDB). Pour accéder au lien Zoom du webinar, veuillez contacter :
Solange Kamuanga-Tossou
Département de la Communication et des Relations extérieures
Tél : +225 75 75 09 22
Courriel : s.kamuanga-tossou@afdb.org

À propos du Groupe de la Banque africaine de développement :
Le Groupe de la Banque africaine de développement (www.AfDB.org) est la principale institution de financement du développement en Afrique. Il comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). Représentée dans 41 pays africains, avec un bureau extérieur au Japon, la Banque contribue au développement économique et au progrès social de ses 54 États membres régionaux. Pour plus d’informations : www.AfDB.org

Remise des Trophées Annuels de Global Finance, les Innovators 2020: Global Finance nomme Ecobank la Banque la plus innovante en Afrique

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Par croissanceafrique
L’annonce a été faite à l’occasion de la huitième édition de la cérémonie de remise des Trophées Annuels de Global Finance, les Innovators 2020
LOME, Togo, 26 mai 2020/ — Global Finance a désigné Ecobank (www.Ecobank.com) comme la banque la plus innovante d’Afrique. L’annonce a été faite à l’occasion de la huitième édition de la cérémonie de remise des Trophées Annuels de Global Finance, les Innovators 2020, qui récompensent les entreprises qui demeurent créatifs par de nouvelles approches et de nouveaux outils financiers. Ces prix se déclinent en plusieurs catégories : les meilleures innovations en finance d’entreprise, paiements, financement du commerce, gestion de trésorerie, finance islamique, avec des lauréats sélectionnés dans différentes régions du monde. Les catégories de prix comprenaient les banques les plus innovantes en Afrique, en Asie-Pacifique, en Europe centrale et orientale, en Amérique latine, au Moyen-Orient, en Amérique du Nord et en Europe occidentale; Les sociétés Fintech les plus innovantes en Asie-Pacifique, en Europe centrale et orientale, en Amérique du Nord et en Europe occidentale; et les meilleurs laboratoires d’innovation financière.

Lors de l’annonce virtuelle des lauréats, Anita Hawser, rédactrice en chef européenne de Global Finance et responsable de l’équipe d’évaluation des Global Finance Awards, a noté que les entreprises reconnues au salon Innovators 2020 se démarquaient considérablement. Elle a déclaré que le jury a examiné l’innovation dans le contexte de l’innovation de produit ou de procédé, car ils étaient finalement plus préoccupés par l’impact de l’innovation en termes de création de valeur pour les clients ou de réponse à un besoin spécifique, comme l’accélération du processus de prêt ou d’examen du crédit pour petites entreprises; permettant aux entreprises de déposer des chèques à distance et de ne pas avoir à visiter les agences.

Selon elle, ce sont des innovations qui réduisent considérablement le temps ou le coût des entreprises pour effectuer des tâches financières et qui transforment vraiment la vie professionnelle des clients en les aidant à fonctionner plus efficacement dans un environnement commercial et économique très difficile.

Ade Ayeyemi, Directeur général du Groupe Ecobank, a commenté : « Nous sommes heureux d’être reconnus comme la ‘Banque la plus innovante en Afrique’ par Global Finance. Cela témoigne de la force de notre marque dans plusieurs pays d’Afrique, de notre plateforme panafricaine unique et de nos produits et solutions bancaires innovants rendus possibles par le succès de notre parcours de transformation numérique. »

Avec une couverture géographique africaine plus grande que celle de toute autre banque opérant en Afrique de l’Ouest, du Centre, de l’Est et australe, Ecobank est la seule banque ayant des opérations bancaires qui couvre 33 pays africains, exploitant un réseau africain véritablement intégré qui déploie des produits et services opérant de manière uniforme à travers l’ensemble de son implantation, notamment, une application bancaire Ecobank Mobile intégrée et unifiée, opérationnelle dans les 33 pays d’exploitation en Afrique; les services Ecobank Omni et Omni Lite à l’intention des multinationales et des PME en Afrique; une application Rapidtransfer qui transcende les frontières et permet à la communauté de la diaspora d’envoyer de l’argent directement à ses proches, instantanément et à moindre coût à travers l’Afrique; une plateforme de Banque en Ligne Ecobank, accessible facilement dans 33 pays africains.

La plateforme panafricaine de Ecobank, unique et la plus grande en Afrique, est conçue pour aider à débloquer les opportunités dont recèle le continent, au profit du continent, grâce à la standardisation des processus, permettant ainsi l’intégration régionale, ainsi que le commerce et l’investissement transfrontaliers.

Grâce à cette magnifique performance, le Groupe a été reconnu comme «Meilleure banque de détail en Afrique en 2019» aux African Banker Awards ; «Marque de services financiers la plus admirée en Afrique en 2019» par Brand Africa 100; «Meilleure banque numérique en Afrique en 2017» par Euromoney Awards ; «Meilleure banque de détail et innovation bancaire en 2018» par African Banker Awards, pour ne citer que ces distinctions.

Lutte contre la pandémie à coronavirus ou COVID-19 : Eucap Sahel Mali au chevet de l’Ecole Nationale de Police

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la mission civile de l’Union Européenne au Mali Eucap Sahel Mali a remis ce mardi 26 mai 2020, des livres et manuels pédagogiques ainsi qu’un lot de masque contre le COVID-19 en faveurs des élèves commissaires et officiers de Police. La cérémonie s’est déroulée dans la cour du GMS en présence du représentant Eucap Sahel Mali, le Colonel José Carlos, du Directeur de l’Ecole Nationale Police, le Contrôleur Général Seydou Diarra et l’ensemble de son staff.Dans une courte intervention, le représentant de Eucap colonel José Carlos a souhaité que les matériels remis aident les apprenants à faire leur travail en tenant compte des mesures édictées par le Gouvernement malien pour combattre la propagation de la pandémie du coronavirus.Pour le Directeur de l’Ecole Nationale de police, ce don est une assistance exceptionnelle, parce que l’une des plus grandes visions de la hiérarchie policière est le renforcement des compétences démocratiques et républicaines des forces de sécurité. L’un des piliers de cette orientation est le respect des libertés individuelles et ces documents offerts par Eucap encadrent parfaitement tous les actes posés par le policier. Selon le Contrôleur Général Seydou DIARRA, ce lot de masques et ces appareils de contrôle de température viennent à point nommé, parce qu’ils interviennent dans un domaine qu’est la lutte contre le COVID-19 et, qui demeure aujourd’hui pour les plus hautes autorités de la police une préoccupation majeure surtout dans la protection des agents afin qu’ils puissent assurer leurs missions régalienne sans risque pour eux et pour les concitoyens bénéficiaires de leurs prestations.« C’est un réel plaisir pour moi de réceptionner cet important lot que vous venez d’offrir aux futurs cadre de conception et commandement de la police. En plus, ces dons viennent renforcer les multiples efforts consentis par la hiérarchie tant dans le cadre de la formation en cours que dans la lutte contre la pandémie » a déclaré le Directeur de l’Ecole Nationale de Police. Le Contrôleur Général Seydou DIARRA dira que ce lot de matériels traduit la volonté de Eucap Sahel Mali à accompagner la Direction Générale de la Police Nationale dans la mise en œuvre de son plan d’action globale en matière de renforcement des capacités de l’école et en matière de prévention contre la pandémie. S’adressant aux élèves, le Directeur de l’Ecole Nationale de Police dira que : « je suis convaincu que ces dons vous seront forcément utiles surtout dans un contexte où la hiérarchie ne tolère aucune atteinte aux libertés individuelles et n’accepte aucune faiblesse dans la prévention de la pandémie ». Pour terminer, le Contrôleur Général Seydou DIARRA a remercié l’Eucap Sahel Mali, au nom du Directeur de la Formation, du Directeur Général de la Police Nationale, de l’ensemble du personnel et à son nom propre pour cette contribution qui suit d’autres actions de la part de la mission Eucap surtout en matière de formation.Une remise symbolique et une photo de famille ont été les temps forts de cette cérémonie.

Covid-19: le Gabon lance un laboratoire de 10 000 tests par jour

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Le Gabon a lancé, lundi 25 mai, un laboratoire P2+ capable de réaliser 10 000 tests par jour, ce qui permet au pays de se positionner pour intégrer le top ten africain des tests par million d’habitants. Financé par l’Etat sur fonds propres pour un montant de 3,2 milliards de FCFA (environ 5 millions d’euros), le laboratoire Pr Daniel Gahouma, fruit d’un partenariat avec la firme chinoise Beijing Genomics Institute (BGI), qui a formé une équipe locale de 70 techniciens et cadres, vient renforcer la stratégie nationale résumée en trois mots: diagnostiquer, isoler et traiter.

La vocation de ce laboratoire flambant neuf visité par le président Ali Bongo la semaine dernière est de de répondre à la demande nationale et régionale. “En termes de capacités, c’est le plus important laboratoire de la zone de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC)”, assurent les autorités gabonaises. Des discussions sont en cours avec les pays voisins pour une coopération scientifique essentielle dans la lutte contre le coronavirus. Suivez la suite de l’article en bas à travers ce liens :

https://www.financialafrik.com/2020/05/26/covid-19-le-gabon-lance-un-laboratoire-de-10-000-tests-par-jour/

Coronavirus : la ministre zambienne de l’Information déclarée positive

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La ministre zambienne Dora Siliya de l’Information et porte-parole du gouvernement a annoncé samedi 23 mai avoir été positive au test du nouveau coronavirus (covid-19), précisant qu’elle était asymptomatique et s’était mise en isolement.

Dans une vidéo postée sur le réseau social Twitter, la ministre a indiqué qu’elle avait pourtant pris « toutes les précautions », avant d’appeler les populations à rester calmes et à respecter les règles d’hygiène et de distanciation sociale. Premier haut fonctionnaire zambien à rendre public son statut, Dora Siliya a ajouté dimanche que ses contacts ont également été testés, avant de rendre hommage au personnel médical. « Le coronavirus est une réalité », a également précisé la ministre zambienne. suivez le liens en bas pour la suite de l’article: https://www.financialafrik.com/2020/05/25/coronavirus-la-ministre-zambienne-de-linformation-declare-positive/