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Huawei a annoncé aujourd’hui ses résultats financiers pour le premier trimestre de 2020.

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Rédaction Daouda Bakary KONE

Au premier trimestre de cette année, l’entreprise a enregistré un revenu de CNY 182.2 milliards, soit une augmentation de 1.4% en glissement annuel. La marge bénéficiaire nette de la société au T1 2020 était de 7.3%.

Alors que le Covid-19 continue de se propager dans le monde entier, Huawei prend des mesures proactives pour assurer la sécurité de ses employés. L’entreprise travaille également avec son réseau de fournisseurs pour relever conjointement les défis de la production afin de reprendre les opérations. Les activités de Huawei poursuivent sa course normale et ses résultats financiers au premier trimestre 2020 sont à la hauteur des attentes.

Les réseaux sont une bouée de sauvetage pour toute personne durant cette crise de santé publique. Il est donc primordial de garantir le fonctionnement normal des réseaux. Huawei fait tout ce qui est dans son pouvoir pour aider les opérateurs à garantir un fonctionnement stable et sécurisé du réseau. Ensemble, nous travaillons pour répondre à la demande de réseau créée par la distanciation sociale alors que les gens se tournent vers le télétravail, l’enseignement à distance et le commerce électronique pour leurs besoins quotidiens.

Dès le début de la crise, Huawei et ses partenaires ont rapidement lancé de nombreuses applications médicales alimentées par la 5G et l’intelligence artificielle. Nous mettons en valeur notre expertise dans le domaine des technologies des communications pour lutter contre la pandémie et sauver plus de vies. La solution de dépistage de Covid-19 alimentée par l’IA réduit le temps d’analyse de la tomodensitométrie (TDM) de 12 minutes à seulement 2 minutes, aidant les médecins à améliorer leur efficacité diagnostique. La téléconsultation alimentée par la 5G permet de faire face au manque d’experts de première ligne et augmente l’efficacité du diagnostic et du traitement des patients dans une situation critique. Les appareils d’imagerie thermique alimentés par l’IA peuvent prendre la température des individus, ce qui augmente l’efficacité de la prévention et du contrôle de la pandémie dans les lieux publics. En outre, Huawei a fait de son mieux pour fournir des masques, des kits de test et d’autres équipements de protection aux pays et aux organisations qui en ont besoin. 

Une graine qui survit à la tempête va germer puis fleurir. Même si le tournant de la pandémie à l’échelle mondiale n’est pas encore arrivé, nous sommes convaincus qu’ensemble et unis, nous relèverons enfin ce défi. 

Lutte solidaire contre le Coronavirus : l’engagement de Huawei se poursuit en Afrique

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Alors que la crise de Covid-19 touche le continent africain, Huawei continue de s’engager aux côtés des gouvernements pour lutter de manière conjointe contre la propagation du virus.

Depuis l’apparition du virus Covid-19 sur le continent africain, Huawei a mis son savoir-faire et son expertise à la disposition de plusieurs gouvernements, tels que celui de la Tunisie, de la République Démocratique du Congo ou encore du Cameroun.  Le 20 avril dernier, c’est le Maroc qui a établi un partenariat solide et de confiance avec Huawei, dans une démarche solidaire et sociale.

Cette collaboration avec le gouvernement marocain a ainsi permis la mise en place d’un système de communication à distance entre les différents départements et les intervenants des institutions publiques, à travers la technologie de téléconférence. Huawei a également proposé au département de la santé marocain l’accès gratuit à distance à une plateforme d’Intelligence Artificielle (IA), afin d’accélérer la phase de diagnostic des malades. Huawei Cloud a en effet développé et lancé un service d’analyse d’images médicales quantitatives assisté par Intelligence Artificielle dans le cadre de la pandémie de COVID-19. Les technologies de vision par ordinateur et d’analyse d’images médicales de Huawei Cloud combinent des informations cliniques et des résultats de laboratoire pour aider les médecins à distinguer plus précisément les stades précoces, avancés et sévères du COVID-19, facilitant le dépistage précoce ainsi que la prévention et le contrôle.

Ces deux solutions devraient permettre aux responsables gouvernementaux et aux autorités nationales de gérer efficacement cette crise sanitaire, tout en assurant au maximum la sûreté des ressources médicales.

Le Chef du Gouvernement, M. Saad Dine ELOTMANI, a salué l’engagement et la parfaite coopération de l’entreprise :  

« Au nom du gouvernement du Royaume du Maroc, je voudrais vous exprimer ma gratitude pour cette action de solidarité dans un domaine qui revêt une grande et urgente priorité, eu égard au contexte sanitaire national et international. »

 Pour sa part, le Directeur Général de Huawei Maroc, M. Guohui ZHAO, a affirmé l’engagement fort de l’entreprise pour soutenir les efforts acharnés du gouvernement marocain dans sa lutte contre cette pandémie :

 « En tant qu’acteur majeur et pionnier de la technologie, Huawei met son savoir-faire et son expertise à la disposition du gouvernement Marocain pour lutter contre la propagation du Coronavirus et pour accompagner et stimuler la transformation digitale du pays, notamment en réponse aux urgences publiques majeures ».

Huawei a déjà expérimenté avec succès plusieurs projets technologiques de par le monde pour faire face à la pandémie de Covid-19, comme en Chine, aux Philippines, en Équateur et en Malaisie. Accompagner et stimuler la transformation digitale des pays partenaires, notamment en réponse aux urgences publiques majeures, a toujours été l’un des objectifs principaux de Huawei.

Aujourd’hui en Afrique, Huawei est en mesure de mettre à disposition des gouvernements partenaires de nombreuses solutions technologiques de pointe pour lutter contre la propagation du Covid-19. Ainsi, l’installation de systèmes de visioconférence, et plus largement de télécommunication entre les hôpitaux, est une solution proposée pour une meilleure coordination des soins. Tout doit être fait pour accompagner les autorités publiques dans leur lutte contre la propagation du virus, dans le respect des gestes barrières, et en soutien de la poursuite de l’activité économique. C’est par un partenariat audacieux et novateur entre les autorités publiques, le secteur privé et la société civile qu’ensemble nous viendrons à bout de cette épidémie.

À propos de Huawei

Huawei est l’un des principaux fournisseurs mondiaux d’infrastructures et d’appareils intelligents dans le domaine des technologies de l’information et des communications (TIC). Avec des solutions intégrées dans quatre domaines clés – réseaux de télécommunications, TI, dispositifs intelligents et services en nuage – nous nous engageons à apporter le numérique à chaque personne, foyer et organisation pour un monde entièrement connecté et intelligent. Le portefeuille de produits, de solutions et de services de bout en bout de Huawei est à la fois compétitif et sécurisé. Grâce à une collaboration ouverte avec des partenaires de l’écosystème, nous créons une valeur durable pour nos clients, en travaillant à responsabiliser les gens, à enrichir la vie familiale et à inspirer l’innovation dans les organisations de toutes tailles et de toutes formes. Chez Huawei, l’innovation se concentre sur les besoins des clients. Nous investissons massivement dans la recherche fondamentale, en nous concentrant sur les percées technologiques qui font avancer le monde. Nous comptons plus de 194 000 employés et nous sommes présents dans plus de 170 pays et régions. Fondée en 1987, Huawei est une société privée entièrement détenue par ses employés.

Daouda Bakary KONE

Fonds Covid-19 : les compagnies d’assurances Maliennes contribuent à hauteur de 100 millions de FCFA.

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Daouda Bakary KONE !rédaction

Le ministre délégué chargé du Budget, Mme Barry Aoua SYLLA a reçu, ce mercredi, des mains du président de l’association des compagnies d’assurances du Mali M. DOYE un chèque de 100 millions de FCFA en guise de soutien au gouvernement dans la lutte contre la pandémie du Covid-19 et de ses conséquences au Mali.

Le chèque sera déposé sur le compte « fonds Covid-19 » qui a été ouvert sur les livres de la banque malienne de solidarité (BMS-sa) pour recueillir les dons des généreux donateurs qui se manifestent, suite à l’appel à la solidarité nationale et internationale lancé par les plus hautes autorités du Mali dans le cadre à la lutte contre la pandémie du Covid-19 et de ses conséquences au Mali.

A la date d’aujourd’hui, le Mali a enregistré 35 nouveaux cas positifs de personnes atteintes de coronavirus et 16 patients guéris et 03. Ce qui porte à 293 le nombre total de cas positifs de Covid-19 dans notre pays dont 73 patients déclarés guéris. Toutes les communes de Bamako ont enregistré des cas.

Tunisie : la BIAT acquiert la quasi-totalité des parts de Tunisie Valeurs

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La Banque internationale arabe de Tunisie (BIAT) est montée à 98,39% dans le capital social de la société Tunisie Valeurs à la faveur d’une opération d’Offre publique d’achat obligatoire qu’elle a initiée.

Ouverte le 26 mars et clôturée le 16 avril 2020, l’opération portait sur les actions de la société au prix unitaire de 18,150 dinars (6 dollars environ). La BIAT visait notamment l’acquisition de 1 981 063 actions représentant 49,53% du capital de la société – à la date d’ouverture, elle détenait déjà 50,47% du capital.

Au soir de l’OPA, la banque a déclaré avoir acquis en bourse, durant la période de l’Offre, 1 916 792 actions et détient ainsi 3 935 729 actions, représentant 98,39% du capital de la société « Tunisie Valeurs ». A la date limite fixée au lundi 20 avril 2020 à 14h30, il n’y a eu aucun dépôt de pli à la Bourse en réponse à la présente OPA obligatoire, indiquent les sources officielles.

Premier gestionnaire local avec une part de marché de 17,6%, Tunisie Valeurs a annoncé, au titre du premier trimestre, un chiffre d’affaires en baisse de 27,3% à 3 millions de dinars tunisiens (un peu plus d’un millions USD).

Le Covid-Organics de Madagascar face au scepticisme de l’académie française

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Alors que le «remède traditionnel amélioré» contre le Covid-19 annoncé par le président malgache, Andry Rajoelina, a déjà fait le tour du monde, la communauté scientifique internationale reste sceptique sur son efficacité. L’Académie nationale de médecine en France a tiré sur la sonnette d’alarme, avertissant sur d’éventuelles dérives. Apportant des éclaircissements sur cette question, la professeure Sandrine Houzé, parasitologue à l’hôpital Bichat à Paris, a expliqué : « si la molécule d’artémisinine contenue dans une des variétés d’artemisia est effectivement utilisée dans la plupart des médicaments antipaludéens, c’est son association avec d’autres molécules qui est nécessaire pour soigner efficacement la maladie en retardant l’apparition de résistances ».

La spécialiste a également soutenu que toutes les espèces d’artemisia ne contiennent pas d’artémisinine. Et, contrairement aux comprimés qui garantissent une posologie constante, la concentration en artémisinine contenue dans la plante varie en fonction de son mode de culture , a-t-elle rajouté. Pour sa part, Olivier BOUCHOT, chef de service des maladies infectieuses et tropicales à l’hôpital Avicenne a laissé entendre que la prise de l’artemisia, peut bel et bien engendrer d’autres complications. suivez la suite de l’article sur ce liens en bas:

https://www.financialafrik.com/2020/04/22/le-covid-organics-de-madagascar-face-au-scepticisme-de-lacademie-francaise/

Mali: 40 personnalités africaines appellent à la libération de l’honorable Soumaila Cissé dans un bref délai

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Monsieur Soumaila CISSE, président de l’Union pour la République et la Démocratie (URD), chef de file de l’opposition malienne, ancien ministre, ancien président de l’Union Économique Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) et candidat à plusieurs reprises à l’élection présidentielle au Mali, a été enlevé en compagnie des membres de sa formation politique, en délégation, le mercredi 25 mars 2020.

Cet enlèvement a eu lieu dans la circonscription électorale de Niafunké (région de Tombouctou/au nord du Mali). Le candidat Soumaïla CISSE était en campagne électorale en vue des élections législatives du 29 mars et 19 avril 2020. Il a été enlevé par des hommes armés non identifiés.

Au cours de cet enlèvement, le garde du corps de Monsieur Soumaïla CISSE a été tué par balle. Deux autres personnes de sa délégation ont été grièvement blessées.  

A ce jour, Monsieur Soumaïla CISSE est toujours otage de ses ravisseurs.

Sa famille, son parti politique, ses militants et alliés ainsi que ses nombreux soutiens tant au Mali qu’à l’étranger sont inquiets. Les motifs de son enlèvement restent inconnus.

D’ailleurs, ses ravisseurs, étrangement n’ont à ce jour exprimé aucune revendication précise ni exposé un quelconque motif de son enlèvement.

Loin des siens, privé de liberté d’aller, de venir et de s’exprimer à sa guise, sans doute détenu dans des conditions difficiles et inacceptables, la santé et la vie de Monsieur Soumaïla CISSE sont exposées de manière dangereuse, ce, depuis bientôt un mois.

Depuis le début de la crise sécuritaire que traverse le Mali, l’enlèvement d’une personnalité nationale de cette envergure est unique et sans précédent. La zone dans laquelle a été enlevé Monsieur Soumaïla Cissé, dans la région de Tombouctou, est un secteur où opèrent habituellement des djihadistes, affiliés à Al-Qaïda. Cela peut légitimement faire craindre le pire à tout moment pour Monsieur Soumaïla CISSE.

La situation qui est la sienne ne peut laisser aucune personne éprise de paix et de justice sans réaction.

Aussi, les personnes signataires du présent appel, dont certains sont par ailleurs, membres du Comité pour la Libération de Soumaila CISSE en appellent :

– À une plus forte implication du chef de l’Etat du Mali, Monsieur Ibrahim Boubacar KEITA en personne, ainsi que de ses homologues de la sous-région et du continent pour la libération de Monsieur Soumaïla CISSE

– À un engagement accru du gouvernement de la République du Mali et l’appui de ses homologues de la sous-région et de la région, pour la libération de Monsieur Soumaïla CISSE,

– A l’implication des partenaires sécuritaires du Mali (MINUSMA, BARKHANE et forces africaines stationnées au Mali et dans la sous-région) pour entreprendre des actions communes en vue d’obtenir sans délai la libération de Monsieur Soumaila CISSE  et de le ramener sain et sauf à sa famille.

Ont signé :

1- Khalifa Ababacar SALL, homme politique sénégalais, ancien maire de Dakar, ancien ministre, Sénégal,

2- Zéphirin DIABRE, homme politique burkinabé, ancien ministre, chef de parti, chef de file de l’opposition burkinabé, Burkina Faso,

3- Ibrahim YACOUBA, homme politique nigérien, ancien ministre, Niger,

4- Dr Succès MASRA, homme politique tchadien, chef de parti, Tchad,

5- Célou DALEN DIALLO, homme politique guinéen, ancien premier ministre, chef de file de l’opposition guinéenne, République de Guinée,

6- Robert DOSSOU, Avocat à la Cour, ancien Bâtonnier, ancien ministre, ancien président de la Cour constitutionnelle, Bénin,

7- Marie Roger BILOA, journaliste, présidente MRB-Networks.com, Cameroun,

8- Nicolas TIANGAYE, Avocat à la Cour, ancien Bâtonnier, ancien premier ministre, République de Centrafrique,

9- Bernard VATIER, Avocat à la Cour, ancien Bâtonnier, Secrétaire général de la Conférence Internationale des Barreaux francophones, France,

10- Saleh KEBZABO, homme politique tchadien, Tchad,

11- William BOURDON, Avocat à la Cour, Plateforme de protection des lanceurs d’alerte en Afrique, France,

12- Jean François AKANDJI-KOMBE, Professeur à l’université Paris 1, Président de l’Institut Panafricain d’Action et de Prospective, République de Centrafrique,

13- Salama SY, ancienne ministre, présidente d’association de la société civile, Mali,

14- Ousmane SY, ancien ministre, Mali,

15- Tierno MONENEMBO, écrivain, République de Guinée,

16- Cheick SAKO, Avocat à la Cour, ancien ministre, République de Guinée,

17- Seidik ABBA, journaliste, écrivain, Niger,

18- Tiéman Hubert COULIBALY, homme politique, chef de parti, ancien ministre, Mali,

19- François KATENDI, journaliste, chef d’entreprise, RD Congo,

20- Elie ELKAIM, Avocat à la Cour, ancien Bâtonnier du Barreau du vaudois, Suisse,

21- Gaston STANLEY, Avocat, ancien Bâtonnier, Haïti,

22- Aminata BOUNE KONATE, enseignante, CPE, France,

23- Adama WADE, journaliste, Mauritanie,

24- Kako NUBUBKPO, Homme politique togolais, macro économiste, ancien ministre, Togo,

25- Jackson Francis GNIE KAMGA, Avocat, ancien Bâtonnier, Président de la Conférence des Barreaux de l’espace OHADA, Cameroun,

26- Kadiatou KONARE, éditrice, Mali,

27- Daouda SAMNA, Avocat à la Cour, ancien Bâtonnier, Niger,

28- Vincent GOMEZ, Avocat à la Cour, République du Congo,

29- Mossadeck BALLY, Administrateur de société, PDG du groupe AZALAI, Mali,

30- Bouchaib FACHAR, ancien cadre de banque dans la zone UEMOA à la retraite, Royaume du Maroc,

31-Demba Cire BATHILY, Avocat à la Cour, Sénégal,

32- Abdoulaye SAKHO, Professeur agrégé de droit à la retraite, Sénégal,

33- Morin YAMONGBE, journaliste, directeur de publication de Wakat Séra, Burkina Faso,

34- Martin ZIGUELE, homme politique, député, ancien premier ministre, République de Centrafrique,

35-Séga DIARRAH, Politologue, Mali,

36-Ousmane N’GOM, Avocat à la Cour, ancien ministre, Sénégal,

37-Mema Alioune Blondin BEYE, Co-fondateur Aidons Mali, Tutu Fellow, Mali,

38-Coumba DIOKHANE, adjointe au Maire d’Évreux, Sénégal,

39-Boucounta DIALLO, Avocat à la Cour, Sénégal,

40-Mamadou Ismaila KONATE, Avocat à la Cour, ancien ministre, Mali

Daouda Bakary KONE

Source:Croissanceafrique.com

L’AUDA-NEPAD et le Groupe Ecobank définissent un cadre continental pour soutenir les micro, petites et moyennes entreprises africaines

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Le Dr Ibrahim Mayaki, Secrétaire exécutif de l’AUDA-NEPAD, et M. Ade Ayeyemi, Directeur général du groupe Ecobank, ont convenu de collaborer à une initiative continentale dont le but est de soutenir les micro et petites et moyennes entreprises (MPME) africaines face aux défis économiques et sociaux posés par la pandémie de COVID-19.

Cette initiative a pour objectifs de :

  1. Créer une plateforme centralisée qui abordera les enjeux, les défis et les besoins des MPME pendant et après la COVID-19, et qui sera un outil global, flexible, complet et universel pour les MPME dans les secteurs formel et informel sur le continent ;
  2. Identifier les opportunités et les moyens novateurs d’appuyer et de protéger les MPME et les opportunités d’emploi, notamment dans les entreprises alimentaires et agroalimentaires, les start-ups technologiques, les entités spécialisées dans la santé et celles qui opèrent en parallèle des chaînes d’approvisionnement, en notant que les MPME représentent environ 90 % des entreprises dans la plupart des économies africaines ; 
  3. Coordonner et harmoniser les initiatives et les efforts en cours qui aident les MPME à accéder à l’information, au financement et aux mesures de relance budgétaire pendant l’épidémie. La plateforme vise également à garantir un accès continu des MPME aux marchés nationaux, régionaux et continentaux tout en formulant des recommandations aux décideurs politiques sur les solutions à apporter aux dettes intérieures qui pourraient être remises en question en raison des difficultés économiques auxquelles les États membres seront confrontés.
le logo des structures concernées

Le Dr Ibrahim Mayaki a souligné que « la pandémie COVID-19, tout en frappant les économies mondiales, aura un effet dévastateur sur les économies et les entreprises africaines. »

« L’AUDA-NEPAD et le groupe Ecobank ont l’intention de construire conjointement une plateforme continentale fondée sur notre campagne initiale ‘100 000 PME en 2020’ quiapportera une réponse immédiate à l’impact potentiel de COVID-19 sur les PME et la création d’emplois sur le continent », a déclaré le Dr Mayaki.

Il a également ajouté que l’AUDA-NEPAD s’appuiera sur ses instruments, réseaux et programmes existants pour rassembler les parties prenantes autour d’une plateforme numérique qui mettra en avant et suivra les progrès réalisés.

M. Ade Ayeyemi a précisé que la fragilité de certaines économies africaines est plus prononcée avec l’impact de COVID-19 et par conséquent la coordination continentale est essentielle pour soutenir les mesures nationales prises par les gouvernements afin d’endiguer la propagation du virus sur le continent. Il a en outre souligné que les MPME, qui constituent une grande partie des différentes économies africaines, ont une capacité d’absorption faible ou nulle face aux effets de la pandémie.

« En tant que partenaire de longue date de l’AUDA-NEPAD, nous nous réjouissons de pouvoir travailler avec l’Agence pour codiriger cette plateforme continentale qui apportera aux MPME des connaissances, des ressources, un mentorat, une expertise technique et un soutien financier pour assurer la durabilité de leurs entreprises pendant et après la COVID-19. L’objectif de la plateforme continentale est en effet conforme à la vision d’Ecobank, qui est de contribuer au développement économique et social de l’Afrique, notre continent, » a déclaré M. Ayeyemi.

Pour de plus amples informations, contactez Mme Fati N’zi Hassane de l’AUDA-NEPAD FatiN@nepad.org et Mme Adenike Laoye du groupe Ecobank alaoye@ecobank.com.

À propos la plateforme :

L’AUDA-NEPAD et le groupe Ecobank travailleront avec d’autres institutions et entreprises africaines qui partagent notre vision afin d’utiliser la plateforme pour le suivi et l’analyse comparative, permettant ainsi aux membres et aux MPME de faire part de leurs expériences, des meilleures pratiques, des politiques nationales et des défis, et de disposer de ressources pour aider les entreprises et les économies africaines à surmonter les défis posés par la pandémie. Cela permettra de hiérarchiser les actions de l’Agence à court, moyen et long terme vis-à-vis des États membres et des partenaires, afin i) d’atténuer l’impact économique de COVID-19, et ii) de tirer parti des enseignements tirés du projet 100 000 PME et d’autres initiatives nationales, régionales et continentales visant à accroître le niveau de résilience des économies africaines face à la pandémie.

À propos du plan d’action de l’AUDA-NEPAD pour la lutte contre le COVID-19 :

Le plan d’action AUDA-NEPAD COVID-19 est une réponse proactive, efficace et directe pour améliorer la couverture continentale et l’accès à des services de santé durables et résistants, tout en assurant la protection des fondements économiques de l’Afrique. L’ensemble des domaines thématiques abordés par le plan crée un écosystème permettant au secteur privé de contribuer à sa mise en œuvre et de bénéficier de sa valeur ajoutée, en ouvrant de nouveaux marchés selon une approche gagnant-gagnant. L’AUDA-NEPAD bénéficiera d’investissements financiers et de dons pour son plan d’action de réponse au COVID-19. L’Agence jouera le rôle d’intermédiaire entre les différents prestataires de services et les gouvernements, et coordonnera la chaîne de valeur, des opérations aux mécanismes institutionnels.

À propos d’Ecobank Transnational Incorporated (‘ETI’ ou ‘Le Groupe’)

Ecobank Transnational Incorporated (‘ETI’) est la maison-mère du Groupe Ecobank, le principal groupe bancaire panafricain indépendant. Le Groupe Ecobank emploie plus de 15 000 employés et sert plus de 20 millions de clients à travers ses pôles services bancaires aux particuliers, aux PMI-PMEs et aux grandes entreprises dans 33 pays africains. Le Groupe a une licence bancaire en France et des bureaux de représentation à Addis Abéba en Ethiopie, Johannesburg en Afrique du Sud, Pékin en Chine, Londres au Royaume-Uni et Dubaï aux Emirats Arabes Unis. Le Groupe offre une gamme complète de produits, services et solutions bancaires par le biais de comptes de dépôt, prêts, trésorerie, conseil, financement du commerce, titres et gestion d’actifs. ETI est cotée à la Nigerian Stock Exchanges à Lagos, à la Ghana Stock Exchange à Accra, et à la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières à Abidjan.

Pour de plus amples informations, veuillez consulter le site www.ecobank.co

Covid-19: la réponse incompétente de l’Occident face à la pandémie va accélérer le transfert de pouvoir vers l’Est

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Kishore Mahbubani : « La crise met en évidence le contraste entre les réponses compétentes des gouvernements d’Asie de l’Est (notamment la Chine, la Corée du Sud et Singapour) et les réponses incompétentes des gouvernements occidentaux (comme l’Italie, l’Espagne, la France, la Grande-Bretagne et l’Amérique) ».

Par Kishore Mahbubani, ancien diplomate singapourien et doyen fondateur de la Lee Kuan Yew School of Public Policy, NUS de 2004 à 2017.

L’HISTOIRE est à un tournant. L’ère de la domination occidentale touche à sa fin. La résurgence de l’Asie dans les affaires mondiales et l’économie mondiale, qui se produisait avant l’émergence de Covid-19, sera accentuée dans un nouvel ordre mondial après la crise. La déférence à l’égard des sociétés occidentales, qui était la norme aux XIXe et XXe siècles, sera remplacée par un respect et une admiration grandissants pour les sociétés est-asiatiques. La pandémie pourrait ainsi marquer le début du siècle asiatique.

La crise met en évidence le contraste entre les réponses compétentes des gouvernements d’Asie de l’Est (notamment la Chine, la Corée du Sud et Singapour) et les réponses incompétentes des gouvernements occidentaux (comme l’Italie, l’Espagne, la France, la Grande-Bretagne et l’Amérique). Les taux de mortalité beaucoup plus bas subis par les pays d’Asie de l’Est sont une leçon pour tous. Ils reflètent non seulement les capacités médicales, mais aussi la qualité de la gouvernance et la confiance culturelle de leurs sociétés.

Ce qui a beaucoup choqué en Asie, c’est la réticence de certains gouvernements occidentaux à autoriser la science – et la modélisation épidémiologique de base – à déterminer les réponses politiques. Après ses premiers faux pas à Wuhan (qui étaient clairement désastreux), la Chine a fermement déployé de bonnes connaissances scientifiques et de solides mesures de politique publique pour venir à bout du problème. Pékin a publié de manière responsable les données génétiques dès que les scientifiques chinois ont séquencé le génome du virus le 12 janvier.

il y a un demi-siècle, si une pandémie mondiale similaire avait éclaté, l’Occident l’aurait bien gérée et les pays en développement d’Asie de l’Est auraient souffert. Aujourd’hui, la qualité de la gouvernance en Asie de l’Est établit la norme mondiale. Les dirigeants qui ont transformé leur pays, comme Deng Xiaoping en Chine et Lee Kuan Yew à Singapour, ont semé les graines de la connaissance, de l’internationalisme et de l’ordre dans leurs sociétés. Ceux-ci se sont transformés en un respect pour la science et la technologie, une culture de pragmatisme, une volonté d’apprendre les meilleures pratiques du monde entier et un désir de rattraper l’Occident. Cela s’est accompagné d’investissements importants dans des biens publics essentiels tels que l’éducation, les soins de santé et l’environnement. Le résultat est que le monde post-Covid-19 sera un monde dans lequel d’autres pays se tourneront vers l’Asie de l’Est comme modèle, non seulement pour gérer une pandémie, mais aussi pour gouverner plus généralement.

Depuis que Ronald Reagan a déclaré: «le gouvernement n’est pas la solution à notre problème; le gouvernement est le problème », dans son discours inaugural de 1981, il y a eu une délégitimation progressive et, par conséquent, une démoralisation des services publics en Amérique. Le président Donald Trump n’a pas créé ce problème. Il l’a aggravé. Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) d’Atlanta étaient l’une des agences les plus respectées au monde. Pourtant, M. Trump a proposé de réduire le budget du CDC même après l’émergence de Covid-19. Le monde haleta d’horreur.

En revanche, les sociétés d’Asie de l’Est ont cru en la sagesse d’Amartya Sen, lauréate du prix Nobel d’économie, que pour réussir, les sociétés ont besoin de la main invisible des marchés libres et de la main visible de la bonne gouvernance. La Chine a maintenant sans doute le gouvernement le plus méritocratique du monde. Le monde post-covid-19 verra la Chine accélérer à la fois dans l’intérêt du public – et l’équilibre des marchés solides et de la bonne gouvernance sera un modèle attrayant pour les autres pays. La Chine a été une société féodale pendant des milliers d’années et le cerveau de la grande majorité au bas de la société n’a jamais été utilisé. Compte tenu des tribulations qu’elle a subies au cours de son «siècle d’humiliation» du milieu des XIXe et XXe siècles, la Chine comprend bien les dangers d’un gouvernement faible. Et parce que la psyché chinoise craint le chaos plus que toute autre force, le peuple accueille favorablement un État fort. La confiance du public envers ses dirigeants a été renforcée par la réponse positive à Covid-19.

De toute évidence, il existe de fortes différences entre le système communiste chinois et les sociétés de Corée du Sud, du Japon, de Taïwan et de Singapour. Pourtant, une caractéristique qu’ils partagent en commun est la croyance en des institutions gouvernementales fortes dirigées par les meilleurs et les plus brillants. Cet accent mis sur la méritocratie a également des racines profondes dans la culture confucéenne. La barre d’entrée au Parti communiste chinois est très haute: seuls les meilleurs étudiants diplômés sont admis. Il est tout aussi important de noter que l’augmentation des niveaux de gouvernance compétente est à la fois alimentée et contribue à l’augmentation des niveaux de confiance culturelle. Tout cela érode progressivement la déférence naturelle envers l’Occident qui était la norme en Asie.

Ensemble, la compétence et la confiance de l’Asie de l’Est remodèleront l’ordre mondial. Cela a déjà commencé. Il y a vingt ans, aucun ressortissant chinois ne dirigeait une organisation des Nations Unies. Aujourd’hui, ils en supervisent quatre: l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture, l’Union internationale des télécommunications, l’Organisation des Nations Unies pour le développement industriel et l’Organisation de l’aviation civile internationale. Si le Fonds monétaire international et la Banque mondiale restent des bastions de la puissance occidentale, insistant sur le fait que seuls les Européens et les Américains peuvent diriger la boutique, ils perdront progressivement leur crédibilité à moins qu’ils ne permettent aux Asiatiques (ainsi qu’aux Africains et aux Latino-Américains) de les gérer. L’absence d’adaptation nuit à tout organisme, y compris aux organisations internationales.

L’ordre mondial fondé sur des règles était un cadeau de l’Occident au monde après la seconde guerre mondiale. La Chine la renversera-t-elle lorsqu’elle deviendra la puissance économique incontestée du monde, comme elle finira par le faire? Voici la bonne nouvelle. En tant que principal bénéficiaire actuel de cet ordre (puisque la Chine est déjà la plus grande puissance commerciale du monde), le pays préservera les règles. Cependant, la Chine tentera systématiquement de réduire l’influence américaine dans les organisations internationales. Début 2020, la Chine a présenté un candidat pour diriger l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle. L’Amérique a fait campagne férocement contre elle. Au final, un candidat neutre de Singapour a gagné. Cela donne un avant-goût des batailles à venir.

Les Européens se désenchantent d’un ordre mondial dirigé par les Américains. Peu de gens oublieront que la même semaine où l’administration Trump a interdit les voyages en provenance d’Europe (sans préavis), le gouvernement chinois a envoyé du matériel médical comprenant des masques, des respirateurs, des combinaisons de protection et des médecins en Italie et en Espagne. C’est pourquoi les pays du Groupe des Sept ont résisté aux pressions de l’Amérique pour appeler Covid-19 le «virus de Wuhan» dans un communiqué après une réunion virtuelle en mars. Cependant, cela ne signifie pas que le monde passera à un ordre uniquement dirigé par la Chine. Les pays ne veulent pas être obligés de choisir entre la Chine et l’Amérique, comme je le montre dans mon dernier livre, “La Chine a-t-elle gagné?” (Affaires publiques, 2020).

La montée en puissance de la Chine restera préoccupante, en particulier chez ses voisins. Personne ne se sent à l’aise de partager une petite pièce avec un éléphant, aussi bénin soit-il. La plupart accueilleraient favorablement une présence américaine continue pour équilibrer l’influence de la Chine. Pourtant, ils souhaitent voir une présence américaine compétente et attentive, pas une qui les oblige à choisir entre les deux systèmes – comme si l’éthique américaine «avec nous ou contre nous» était la seule option.

Pour maintenir son rôle et son respect, l’Amérique devra faire preuve d’une remarquable dextérité diplomatique. Pourtant, son service extérieur n’a jamais été aussi démoralisé; le chinois jamais plus confiant. Heureusement, tout n’est pas perdu pour l’Amérique. En Asie du Sud-Est, par exemple, il reste d’énormes réservoirs de bonne volonté après de nombreuses années d’engagement américain dans la région, que ses diplomates peuvent exploiter. À mesure que le poids de la Chine dans les affaires mondiales augmentera, elle devra assumer de plus grandes responsabilités. L’Amérique s’est progressivement éloignée de la famille des institutions des Nations Unies. La Chine ne l’a pas fait et pourrait utiliser sa nouvelle confiance pour jouer un rôle plus important.

Par exemple, avant la pandémie, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) avait été affaiblie par un effort mené par l’Occident, à partir des années 1970, pour réduire la part de financement que les États membres sont obligés de payer et faire en sorte que la majeure partie de son budget des contributions volontaires. Aujourd’hui, environ 80% du budget de l’OMS est volontaire. La Chine pourrait faire preuve de leadership mondial en réclamant une redevance pour ramener le financement obligatoire à son niveau antérieur d’environ 60%, car l’OMS ne peut développer des capacités à long terme que sur la base de contributions obligatoires prévisibles. Mais ce n’est peut-être qu’un début. Après la crise, le monde verra peut-être un Occident entravé et une Chine plus audacieuse. Nous pouvons nous attendre à ce que la Chine utilise son pouvoir. Paradoxalement, un ordre dirigé par la Chine pourrait se révéler être un ordre plus «démocratique». La Chine ne veut pas exporter son modèle. Il peut vivre avec un monde multipolaire diversifié. Le prochain siècle asiatique ne doit pas être inconfortable pour l’Occident ou le reste du monde.


Note: la première version de cet article, parue en anglais, a été publiée dans The Economist.

A propos de l’auteur .

Kishore Mahbubani est un ancien diplomate singapourien et doyen fondateur de la Lee Kuan Yew School of Public Policy, NUS de 2004 à 2017. Il est actuellement membre distingué de l’Asia Research Institute, NUS et auteur de nombreux livres sur l’Asie et l’Occident. , plus récemment «La Chine a-t-elle gagné?». Cet article fait partie d’une série de contributeurs extérieurs sur le monde après Covid-19.

Mali: Prix de reconnaissance des Médias « Restez à la Maison » dans le cadre de la lutte contre la Pandémie du COVID- 19

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Initié par la Fondation Merck en partenariat avec le Cabinet de la Première Dame du Mali

Appel à Candidature
de la Première Dame Keita Aminata Maiga

“La pandémie du COVID 19 qui n’a épargné aucun continent, est venue bouleverser toutes nos certitudes et croyances. L’Humanité est plongé dans un monde mélancolique dû au confinement.

C’est un défi sanitaire mondial auquel nous ne saurions apporter une réponse que si tous ensemble « nous respectons les gestes barrières recommandés par les autorités en charge de la santé ». Des gestes qui sauvent nos VIES.

affiche

Toutefois, Cette lutte si ardue ne sera efficace que si les enjeux sont compris par nos populations des villes et des campagnes. D’où l’importance de communiquer. Ainsi la place des médias et réseaux sociaux reste un facteur hautement décisif.

Je ne le répéterai jamais assez. Vous, journalistes et communicateurs de toutes les plateformes : presse écrite, presse en ligne, radio et télé, communicateurs Traditionnels, vous êtes des RELAIS auprès des populations pour les sensibiliser en donnant la bonne information aux fins d’un changement des comportements.

C’est pourquoi je m’associe à la Fondation Merck qui lance le Prix de Reconnaissance des Médias « Restez à la Maison » sur le thème « Sensibiliser sur la façon de Rester en Sécurité et en Bonne Santé Physique et Mentale pendant le confinement due au Coronavirus ».

Je me suis engagée à soutenir cette initiative salvatrice car la lutte contre le COVID 19 nécessite l’implication effective de tous !

J’invite donc les média du Mali, toutes catégories confondues à souscrire au concours qui récompensera les publications les plus créatives et originales en matière de lutte contre la pandémie du COVID 19.

Vous trouverez sur les liens suivants tous les renseignements relatifs audit concours.

J’ai espoir que vous journalistes et animateurs maliens remporterez le maximum de prix.

Je vous sais à la fois créatifs et engagés pour les Grandes Causes.

Ensemble, Contribuons à l’effort de lutte contre la pandémie du Covid 19” !

Keita Aminata Maiga
Première Dame du Mali
Présidente de l’ONG Agir

Liens pour les informations et l’inscription au concours 👇🏽

La Fondation Merck:
www.merck-foundation.com
Les inscriptions peuvent être soumises par e-mail à info@merck-foundation.com

Les inscriptions peuvent être soumises jusqu’au 30 juin 2020

Covid 19 : le Premier ministre ivoirien annonce l’importation de 200 millions de masques

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Le Premier ministre, ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat, Amadou Gon Coulibaly, a annoncé, ce mardi 21 avril, lors d’un point de presse, à la Primature,  l’importation de 200 millions de masques par le gouvernement, face à la riposte contre le Covid 19.

Compte tenu de la situation du personnel de santé et des Forces de Défense et de Sécurité, plus directement exposés à la maladie, «une commande de 131 millions de masques a déjà été passée ; dont 30 millions seront disponibles dans le courant de cette semaine et le reste le 5 mai 2020», a soutenu le chef du gouvernement. Qui ajoute que la  Nouvelle pharmacie de la santé publique (Npsp)  a aussi été mise à contribution. Car, dit-il, elle «s’attèle à passer en commande 69 millions de masques complémentaires ».

Dans  cette fourniture de masques,  le gouvernement ivoirien met aussi l’accent sur la production locale afin de permettre aux couches les plus vulnérables de se prémunir contre la maladie à Coronavirus. « Les essais et tests réalisés par le laboratoire national de la santé publique sur les spécimens de masques proposés par le groupe Utexi/Cotivo et l’armée, sont concluants. Les autres offres de productions reçues suivront le même processus. Une première commande de cinq (5) millions de masques textiles certifiés sera passée cette semaine»,  rassure Amadou Gon Coulibaly.

Quant à leur distribution, le gouvernement cible déjà des lieux comme les marchés, les centres de commerce et les transports publics. Mais, le Premier ministre tient à préciser que «les modalités pratiques de distribution de ces masques seront définies en liaison avec la Nouvelle Pharmacie de la Santé Publique ». Il faut dire que le gouvernement ivoirien a engagé  95,880 milliards Fcfa pour le plan de riposte sanitaire au Covid-19, en plus des 1700 milliards Fcfa qui devraient être dégagés pour le plan de soutien social économique et humanitaire.