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Total attribue deux contrats-cadres de services à Worley Parsons sur Mozambique LNG

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Au Mozambique, Total vient d’attribuer deux contrats-cadres de services (MSA) à la société australienne d’études et de conseil en ingénierie Worley Parsons. Les contrats concernent le projet de gaz naturel Mozambique LNG.

Selon les termes de l’accord, Worley fournira des services à l’intérieur et à l’extérieur du pays, notamment des services de conseil et d’ingénierie dans la livraison d’installations terrestres et offshore (sous-marines). Ces services soutiendront les travaux de développement de la nouvelle installation de GNL.

Pour une meilleure application des normes sur le contenu local, la société australienne a indiqué que les activités seront menées par sa filiale locale, avec le soutien de certaines de ses branches dans le monde, dont Advisian. Aucune information sur les détails financiers de l’accord n’a filtré.

« Nous sommes heureux de continuer à fournir des services pour le développement du GNL et de soutenir l’un des plus grands projets d’Afrique. Par le biais des MSA, nous aiderons Total et ses partenaires du projet GNL au Mozambique à répondre à l’évolution des besoins énergétiques mondiaux », a commenté Andrew Wood, directeur général de Worley.

Il faut dire que Worley est déjà intervenue dans le processus de développement depuis les découvertes jusqu’à ce jour.

Mozambique LNG produira 12,88 millions de tonnes par an de GNL.

Olivier de Souza

Afrique du Sud : MultiChoice envisage de lancer un fonds spécial d’innovation dans le domaine de la vidéo

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MultiChoice, le fournisseur sud-africain de chaînes de télévision payantes prévoit de lancer dans les prochains mois, un fonds dénommé MultiChoice Innovation Fund, dédié aux entrepreneurs sud-africains qui évoluent dans le secteur du divertissement vidéo.

La nouvelle structure ciblera des entreprises et start-up qui réalisent un chiffre d’affaires d’au moins 50 millions de rands et dont l’activité porte sur les solutions numériques et Internet, les contenus innovants et les technologies de diffusion. Le fonds accordera une attention particulière aux projets et entreprises dirigées par des femmes et des jeunes.

 « Nous voulons nous associer aux entrepreneurs les plus passionnants d’Afrique du Sud en leur donnant les outils, les compétences et le soutien financier nécessaire pour donner vie à leurs idées originales. Nous espérons aider à créer des solutions de pointe et des entreprises compétitives qui façonneront l’avenir du secteur technologique et de l’industrie du divertissement vidéo en Afrique du Sud », a fait savoir Calvo Mawela (photo), CEO de MultiChoice Group, selon des propos rapportés par des médias sud-africains.

Selon l’opérateur de télévision, le fonds annoncé viendra renforcer l’action de MultiChoice Enterprise Development Trust mis en place en 2012 dans le but de soutenir des entreprises et fournisseurs de services dans le secteur des technologies de l’information.

Chamberline Moko

La Banque centrale sud-africaine veut céder ses 50 % de parts détenues dans le capital d’African Bank Holdings Limited

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South African Reserve Bank, la Banque centrale de l’Afrique du Sud qui est actionnaire à hauteur de 50 % dans le capital d’African Bank Holdings Limited (ABHL), a récemment annoncé la nomination d’un conseiller qui l’assistera dans le processus de cession de sa participation dans le capital d’ABHL.

Selon les prévisions de la Banque centrale, l’opération de vente sera finalisée d’ici 18 à 24 mois, dans le cadre d’un arrangement concluant. Dans une note aux investisseurs, elle justifie cette décision par sa volonté d’éviter un potentiel conflit d’intérêts entre son rôle de régulateur du système bancaire sud-africain et celui d’actionnaire majoritaire au sein d’ABHL.

C’est en 2016 que le régulateur sud-africain avait acquis 50 % de parts dans le capital d’ABHL dans le cadre d’une opération de restructuration de la banque. La Banque centrale y avait injecté 5 milliards de rands.

Dans ses résultats financiers comptant pour l’exercice annuel clôturé le 30 septembre 2019, on note que l’établissement bancaire a affiché un résultat net déficitaire se situant à 254 millions de rands contre un résultat net bénéficiaire de 698 millions de rands sur la même période en 2018.

Chamberline Moko  

UEMOA : le Mali boucle une levée de 33 milliards FCFA sur le marché des titres publics

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Le Mali a réalisé avec succès, mercredi 19 février 2020, une levée d’un montant total de 33 milliards FCFA (environ 54,3 millions $) sur le marché des titres publics de l’UEMOA. C’était via l’émission d’obligations assimilables du Trésor (OAT) sur une maturité de 36 mois (3 ans) pour un montant initial sollicité de 30 milliards FCFA (environ 49,3 millions $).

A l’issue de cette opération, le Mali a reçu 38,4 milliards FCFA (environ 63,2 millions $) d’offres des investisseurs ; ce qui correspond à un taux de couverture de 128%. Cette émission d’OAT se caractérise également par un remboursement in fine à un taux d’intérêt de 6,1% l’an, payable dès la première année.

Selon le calendrier des émissions de titres publics rendu disponible par l’Agence UMOA-Titres, c’est un montant total de 567 milliards FCFA (environ 933 millions $) que le Mali prévoit de lever sur le marché des titres publics de l’UEMOA en 2020. Ce, à raison de 122 milliards FCFA de bons assimilables du Trésor (BAT) et 445 milliards FCFA d’obligations assimilables du Trésor (OAT).

Notons que le Mali est engagé depuis quelques années dans une dynamique de croissance économique malgré les défis sécuritaires auxquels il fait face. Le taux de croissance du PIB est passé, selon les autorités du pays, à 4,7% en 2018 et 5,1% en 2019 soutenu principalement par une bonne tenue des secteurs agricole et minier.

Le Mali fait figure de 4e producteur d’or en Afrique avec 67 tonnes en 2018, pour une contribution de 9,1% à son PIB. Cette part devrait, selon les estimations des autorités, passer à 9,4% en 2019. La production aurifère est même attendue à 72 tonnes en 2020, pour des réserves d’or des mines en exploitation estimées à près de 800 tonnes.

Le Mali est par ailleurs, le deuxième pays producteur de coton en Afrique avec 656 548 tonnes en 2018. Selon les autorités maliennes, la croissance économique du pays devrait ressortir à 5% en moyenne sur la période 2020-2022.

Angola : l’Angola réhabilite ses 3 principales usines de textile pour un coût de 251 millions $

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Le président angolais João Lourenço a procédé, le mercredi 19 février 2020, à la cérémonie d’inauguration de la fabrique de textile de « Nova Textang II ».

Selon le Secrétaire d’état à l’industrie de l’Angola, la réhabilitation de cette usine, à travers la réparation des infrastructures et la fourniture de machines nécessaire au travail industriel, va permettre à «  Nova Textan II » de produire mensuellement 250.000 mètres linéaires de tissus. Tout ajoutant que « la réfection des trois principales usines textiles du pays (Satec, Alassola et Textang II) permettrait aux entreprises textiles privées de produire, annuellement, au moins 20 millions de pièces de vêtements ».

La réhabilitation de ces 3 principales usines de textiles est estimée à 251 millions $.

Selon les autorités angolaise le pays dépense plus de 200 millions $ dans l’importation de vêtements, à savoir plus de 170 millions USD dans l’importation des habits neufs, et 65 millions de dollars dans l’importation des vêtements usagés.

André Chadrak

Mésentente entre la BEAC et le Conseil d’administration de la BVMAC : le recrutement du DG de la Bourse est reporté en 2021

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– Le Conseil d’administration de la Bourse régionale de valeurs mobilières d’Afrique centrale (BVMAC) s’est réuni le 20 février en son siège social à Douala, capitale économique du Cameroun, sous la conduite du Gabonais Henri Claude Oyima, son président.

Au terme des travaux, le Conseil a décidé, entre autres, de reporter le processus de recrutement d’un nouveau directeur général. Celui-ci devrait maintenant prendre fonction à compter du 1erjanvier 2021. La Banque des États de l’Afrique centrale (Beac), qui a lancé ce recrutement au mois de décembre 2019, prévoyait la prise de service au mois de mars 2020. 

La BVMAC n’a pas expliqué les raisons de ce report. Mais, selon Investir au Cameroun, il se dégage clairement un conflit de compétence entre le Conseil d’administration de la BVMAC et la Beac, chargée du processus de fusion et de dynamisation du marché financier d’Afrique centrale. 

L’ancien président de la Commission des marchés financiers (CMF), l’ex-régulateur de la Douala Stock-Exchanges (DSX), le Camerounais Jean Claude Ngwa, a été nommé au poste de DG au sortir d’une session du Conseil d’administration de la BVMAC, organisée le 4 juillet 2019 à Douala. Le processus de recrutement d’un nouveau DG lancé par la banque centrale a donc surpris plus d’un, ce d’autant plus que la BVMAC est une société contrôlée en majorité par des capitaux privés.

Pour la Beac, le cahier de charges du nouveau directeur général est d’établir et exécuter des plans pour atteindre les objectifs stratégiques de la bourse (compétitivité, efficacité opérationnelle, diversification et croissance vigoureuse). Il devra donner des éclairages et une orientation permettant d’accroître les liquidités et d’approfondir les marchés financiers de la Cemac.

Sous l’autorité du Conseil d’administration, le nouveau DG aura, toujours selon la banque centrale, la responsabilité de gérer, superviser et promouvoir les activités de la bourse au profit de ses membres, de toutes les parties prenantes et du public qui y fait des placements, selon les indications de la Banque centrale des six États de la Cemac (Cameroun, République centrafricaine, République du Congo, Guinée Équatoriale, Gabon et Tchad).

Mali: La Pharmacie Populaire du Mali presente un bilan possitif.

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La pharmacie populaire du Mali a procédé à la cérémonie d’ouverture des travaux de la 86e session du conseil administration ce jour à Bamako, dans ses locaux. Selon le président du conseil, l’ordre du jour portait sur l’adoption du procès-verbal de la Session Extraordinaire du Conseil d’Administration tenue le 16 mai 2019, du rapport d’activité 2019 ainsi que du budget 2020 et de l’organigramme.

Le président directeur général de la Pharmacie Populaire du Mali, Mamady Sissoko, a déclaré que la structure a réalisé un chiffre d’affaires de 14,3 milliards de Franc CFA (exactement 14 323 364 943 FCFA) contre une prévision de 10 722 618 000 FCFA et pour un résultat positif de 1 318 865 266 FCFA. Ainsi, après deux années consécutives de résultats négatifs, la Pharmacie Populaire sort la tête de l’eau. Lisez le liens a travers le site financialafrik ci-dessous:

https://www.financialafrik.com/2020/02/23/la-pharmacie-populaire-du-mali-presente-un-bilan-positif-apres-deux-annees-de-purgatoire/

Mali: Web-journalisme: Difference entre credibilité de l’information et la rapidité dans sa diffusion.

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L’impact positif du numérique sur notre rapport à l’information est indéniable : finies les longues heures passées dans des encyclopédies papier à rechercher une information telle une aiguille dans une botte de foin, sans même la certitude de la trouver.

C’est pourquoi, nous pouvons penser que le web-journalisme n’est pas loin du journalisme radio-phonique. Pour rappel, la radio est le medias e plus ancien par rapport aux autres. Mais elle, restait la plus rapide. Parce qu’autre fois, le journaliste se permettait, après verification et confirmation de son information, la diffusion de son produit fini. Et la télévision etant la plus magnifie fait partie des medias les plus lentes, parce que, tout simplement, la télévision, c’est aussi l’image.

Après avoir filmer, il faudra monter les images afin de leur diffuser. Et la presse ecrite etant la plus lente, elle explique l’information de façon explicite et vaste. Donc tres lente. Elle reste la plus traditionnelle après, la radio. Car, nous pouvons confirmer toute sa source et ensuite proceder a sa diffussion.

Mais, aujourd’hui, la presse en ligne a la même cadence de rapidité que la radio. Parce que, le web-journalisme etant basé sur la verification, la credibilité du journaliste est engagée et ce dernier peut diffuser son produit fini en toute rapidité. Un web-journaliste ne peut se comporter comme un journaliste de TV et encore à celui qui travaille dans un journal de presse ecrite. C’est pourquoi, la rapidité est differente de la verification. Le moteur du web-journalisme, ne peut fonctionner sans verification mais cela ne veut pas dire qu’il faut être lent. L’internet a été crée pour sa rapidité et pour sa fiabilité. « En web-journalisme, on peut bel et bien verifier et reverifier, et être rapide dans sa diffusion. Mais ceux qui veulent, detourner cela pour d’autres causes. N’ont rien compris« , affirme une journaliste Gabonnais, Mme LAURE RASSA.

Aujourd’hui, entre toutes les ressources numérisées, la possibilité de commander un livre à l’autre bout du monde ou encore les informations disponibles en accès libre, les internautes ont accès à (quasiment) tout, tout le temps et les moteurs de recherche sont rapidement devenus leurs meilleurs amis.


Malheureusement, cette incroyable accessibilité, dont on ne cesse de repousser les limites, s’accompagne également d’inconvénients parfois lourds de conséquences pour les utilisateurs. Car, si ces derniers peuvent trouver facilement l’information, celle-ci peut à son tour les trouver avec une facilité déconcertante et l’on finit par se retrouver assailli par une quantité d’informations qui ne nous sont pas forcément utiles et dont la qualité laisse parfois perplexe.

Certes, Internet représente une source de connaissance incroyable et constitue un levier de sensibilisation et de rassemblement époustouflant, mais il s’agit également d’un redoutable outil de manipulation. Si l’objectivité de l’information semblait impossible à atteindre auparavant, Internet a d’autant plus accentué sa subjectivité en donnant la possibilité à chacun de s’exprimer sans aucune contrainte, sans obligation de vérifier ses données. Là encore, il est possible d’atteindre un public très large, très vite, avec un impact parfois effrayant.

Notons que nous pratiquons, un metier très difficile. Mais, ils y en a qui profite pour faire des reglements de comptes. Les journalistes Maliens sont exposés aux critiques, choses qui sont bonne, d’ailleurs. Mais, d’autres profitents pour se vendre. Ne faisons pas ce trrrain, un lieu de reglement de comptes. Le web-journalisme est là, pour sa rapidité et son éfficacité, surtout, pour ses verifications et pour ses reverifications avant de proceder à la diffusion. Restons dans le domaine des critiques possives. Elles forment. Mais, si vous êtes lent dans vos tactiques, soyez rapide, c’est grace cela que vos lecteurs seront edifier contre le mal et beneficieront le bien. Ne soiyez pas mechant. Sortez dans vos histoires.

Financement des projets d’infrastructure : Guarantco donne des recettes à une cinquantaine d’entreprise de banques

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La facilitatrice senior d’Euromoney,  Sylvaine Chubert affirme que les besoins mondiaux en infrastructure sont estimés à un volume de 57 trillons de dollars en tenant compte des  estimations de croissance 2013-2030.

Si la couverture de tous ces besoins est un challenge, les mécanismes  et instruments à mettre en place pour réussir à capter des flux de capitaux n’en demeure pas moindre.

C’est pour cette raison que Guarantco a organisé les 17 18 et 19 un atelier de formation à l’endroit des banques et institutions financières locales  pour explorer plusieurs approches de  transactions de financement de projets dans différents secteurs. Ce, autour du thème : Créer une meilleure compréhension du financement des projets d’infrastructures  auprès des instituions financières locales ». Il faut noter que cette formation est entièrement financé par le Technical Assistant Facility (TAF) qui appartient également au Private Infrastructure Development Group communément appelé PIDG.

Pour la réussite de cette formation, Gurantco a fait appel à Euromoney, un cabinet réputé pour la qualité de ces formations en finance dans le monde entier et particulièrement sur le continent africain. Sylvaine Chubert animatrice de l’atelier pour le compte de ce cabinet a souligné que les émissions obligataires, longtemps pratiquées par les économies solides a basculé vers les  économies émergentes et même les pays à revenu intermédiaire. Un grand pas qui mérite cependant d’être soutenu par les émissions en monnaie locale. Ce qui semble peu fréquent sur le continent, dans la quête de financement conséquent pour combler le déficit infrastructurel d’où l’importance des Institutions de garantie tel que GuarantCo qui offre des instrument d’atténuation du risque en monnaie locale.

Donc, GuarantCo « se charge de peut fournir une variété de produits contingents selon les besoins pour un projet particulier comprenant: Les garanties partielles de risque, les garanties de liquidité permettant de rallonger la maturité de s financement en monnaie locale, les garanties EPC, les garanties conjointes et toutes ces garanties sont a première demande.

Dans l’optique de devenir un centre d’excellence pour la monnaie locale des solutions de crédit pour le financement des infrastructures les pays à faibles revenu, contribuant ainsi à la réduction de la pauvreté, a effectué 50 transactions pour les financements de projet dans 17 pays en Afrique. Ce qui a permis un investissement de 6,5 milliards de dollars et la création de 235000 emplois.

Notée AA- par Fitch, A1 chez Moodys et AAA par Bloomfield, GuarantCo met l’accent sur la réduction du risque  des institutions financières qui décident d’investir  dans des projets d’infrastructures. D’autant plus que ses instruments  sont reconnus par la Banque centrale et le régulateur du marché financier d’où l’impact qu’elle peut apporter sur un certain nombre de ratio prudentiel.

Mali: Sortie ratée du ministre Yaya Sangaré: « Den bé bin â tâbâgà bolo »dit les Bambara

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《Den be bi a tabaga de bolo》essai en français: 《l’enfant ne tombe que de la main de la dorloteuse》. Isaac Coulibaly c’est bien dit, j’espère.

Le ministre a été très courageux je trouve de revenir sur son Tweet. Et il faut savoir que donner une information qui se révèle autrement par le temps est différent de donner une fausse information.

Cette gaffe pour moi, a été juste une erreur de jeu de mot entre « disparus et tués ». Car on pouvait revenir sur le mot « disparus » si on les retrouve mais on ne peut que démentir sur le mot « tués ».

Le ministre par initiative personnelle décide de nous faire vivre l’actualité et même si souvent c’est un peu trop, je pense que c’est aussi trop d’appuyer inlassablement sur une simple erreur.

Bon juste de passage et demande à ce qu’on tourne cette page. L’erreur est humaine. On en commet tous. Rire……

KC/Mali-tribine