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L’application de la nouvelle réglementation de change aux entreprises pétrolières et minières en zone CEMAC est renvoyée au 31 décembre 2020

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Après plusieurs concertations, la BEAC a décidé de donner un délai supplémentaire aux entreprises pétrolières et minières pour l’application de la nouvelle réglementation de change, nous apprend Investir au Cameroun.

Concrètement, après deux premiers renvois, notamment au 1er septembre et au 10 décembre 2019, cette réglementation, officiellement entrée en vigueur depuis mars 2019, ne sera opposable aux entreprises pétrolières et minières en activité dans la Cemac qu’à partir du 31 décembre 2020.

 Le gouverneur de la Beac, Abbas Mahamat Tolli (photo), a fait cette révélation le 18 décembre 2019 dans la capitale économique camerounaise, au sortir du dernier Comité de politique monétaire (CPM) de cette banque centrale, pour le compte de l’année 2019.

Pour rappel, l’entrée en vigueur de cette nouvelle réglementation de change a été suivie par une pénurie des devises dans la zone Cemac, à cause du non-respect des règles par les banques commerciales. Des concertations entre ces établissements de crédit, les opérateurs économiques et la Beac ont abouti à la prise de mesures d’assouplissement, qui ont finalement permis de mettre un terme à cette crise des devises et de fluidifier les transferts internationaux.

Défis

Au demeurant, six mois après l’entrée en vigueur de cette réglementation, qui permet de mieux tracer la circulation des devises dans l’espace Cemac, les entreprises pétrolières et minières n’y sont toujours pas soumises. Et pour cause, ces dernières s’opposent à l’obligation de rapatriement des devises issues de leurs exportations, comme l’impose la nouvelle réglementation de change.

Ces entreprises, du fait de la particularité de leurs activités, bénéficient en effet de facilités accordées par les États de la Cemac, et qui leur permettent de ne pas rapatrier les fonds issus de leurs activités d’exportation.

Afin de trouver un terrain d’entente sur cette question, la Beac, tout en soulignant la nécessité pour tous de respecter les dispositions de la nouvelle réglementation de change (posture soutenue par le FMI), a engagé des concertations avec ces opérateurs pétroliers et miniers.

Selon les sources d’Investir au Cameroun, la banque centrale des États de la Cemac a d’ailleurs recruté un cabinet de renom, pour aider à la prise de décisions idoines et aux réajustements nécessaires devant conduire au respect de cette réglementation de change par les sociétés pétrolières et minières, sans que cela n’entrave le bon déroulement de leurs activités.

Brice R. Mbodiam

Mali : Iamgold et AngloGold quittent la mine d’or Sadiola

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Au Mali, les compagnies minières AngloGold Ashanti et Iamgold ont conclu un accord avec Allied Gold Corporation pour lui céder leurs parts respectives de 41% dans la mine d’or Sadiola pour un montant total de 105 millions $.

La transaction qui devrait être bouclée d’ici fin avril 2020, est soumise à certaines approbations réglementaires, dont celle du gouvernement malien, propriétaire à 18% du projet. Dans le détail, les deux compagnies recevront chacune 52,5 millions $ en plusieurs tranches dont 25 millions $ pour le premier paiement.

« Cette transaction est conforme à notre stratégie […] de rationaliser notre portefeuille et d’intensifier notre concentration sur les actifs qui ont le potentiel de constituer une masse critique à long terme », a commenté Kelvin Dushnisky, PDG de la compagnie. De son côté, Gord Stothart, président et COO de Iamgold, a indiqué que la mine Sadiola a été l’actif fondateur de la société et qu’il est heureux de conclure cette transaction pour lui assurer un futur à long terme.

Pour rappel, Sadiola est située dans le sud-ouest du Mali et possédait au 31 décembre 2018, des ressources minérales estimées à 7,9 millions d’onces et des réserves de minerai de 4 millions d’onces.

Malawi : le FIDA accorde 70 millions $ pour l’amélioration de la commercialisation agricole

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Au Malawi, le Fonds international de développement agricole (FIDA) a signé le 20 décembre dernier, un accord de financement de 70 millions $ au profit du Programme de transformation de l’agriculture par la diversification et l’entrepreneuriat (TRADE).

Cette initiative d’un coût total de 125,4 millions $ vise à améliorer la commercialisation de la production de l’agriculture familiale par le biais du renforcement de l’accès au marché. Elle entend également booster la productivité agricole tout en contribuant à l’adaptation des exploitants au changement climatique.

« Ce nouveau programme pour le Malawi consolidera les succès et les bonnes pratiques du Programme d’amélioration des moyens de subsistance des populations rurales et de l’économie, qui s’est achevé, et les reproduira à plus grande échelle », a notamment souligné Ambrosio Barros, directeur du FIDA pour le Malawi. Le projet cible particulièrement 7 produits de base que sont le soja, le miel, la viande bovine, la pomme de terre, le tournesol, l’arachide et les produits laitiers.

300 000 familles devraient être impactées dans 11 districts que couvre le projet. Pour rappel, l’agriculture génère 80 % des recettes à l’export et emploie plus de 75 % de la population active.

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Côte d’Ivoire : lancement de la phase 2 du Projet de promotion du riz local

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Le ministre ivoirien de la Promotion de la riziculture, Gaoussou Touré, et le représentant résident de l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA), Fujino Kojiro, ont procédé, lundi 23 décembre 2019, à la signature d’un procès-verbal pour la mise en oeuvre de la 2e phase du Projet de promotion du riz local (PRORIL).

Prévue pour durer cinq ans, à compter d’avril 2020, cette deuxième phase vise la dynamisation de la production et la distribution du riz local ivoirien. Il s’agit notamment de renforcer la chaîne de valeur du riz par la méthode de l’aval vers l’amont, mieux structurer le mécanisme durable du système de crédit et du service de mécanisation, en partenariat avec le secteur privé et les institutions de microfinance, et d’améliorer la qualité du riz produit au plan national.

Intervenant à cette occasion, Fujino Kojiro a souligné que ces trois approches clés, qui ont été introduites dans le cadre de cette seconde phase, sont indispensables pour booster la production et la distribution du riz local.

Selon les données du ministère ivoirien de la Promotion de la riziculture, le PRORIL 1 a connu des résultats satisfaisants matérialisés par le renforcement de la chaîne de valeur du riz local ; la mise en place du système de crédit pour améliorer l’accès aux intrants des producteurs et la hausse de la préférence des consommateurs  pour le riz local à Abidjan à près de 31%, entre autres.

Notons que la production nationale de riz paddy s’élève à 2 118 610 tonnes contre 1 355 911 tonnes pour le riz blanchi.

D’un coût total de 4,2 milliards FCFA (environ 7 milliards $) dont 3,7 milliards FCFA pour le Japon et 500 millions FCFA pour la Côte d’Ivoire, le PRORIL est destiné à renforcer les compétences techniques des producteurs et usiniers.

André Chadrak

Bénin : le kilogramme de soja coûtera 175 Fcfa en 2019/2020

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Au Bénin, la campagne de commercialisation du soja s’est ouverte hier à Glazoué dans le centre-sud du pays sur la base d’un prix plancher de 175 Fcfa/kg. Ce tarif validé en Conseil des ministres le 24 décembre dernier, sera en vigueur jusqu’au 31 mai prochain.

Avec le lancement de cette nouvelle campagne, les acteurs de la filière espèrent notamment capitaliser sur la bonne dynamique enregistrée par la légumineuse depuis quelques années. En effet, la filière soja est l’une des plus dynamiques du pays avec une production qui a plus que décuplé en 10 ans, passant de 12 500 tonnes en 2007 à environ 156 900 tonnes en 2016.

L’exécutif entend porter cette production à au moins 200 000 tonnes d’ici 2021 avec 50 % de ce volume qui devrait être exporté et la part restante prévue pour être transformée localement.

Pour rappel, le secteur agricole fournit plus de 30 % du PIB du Bénin et génère 75 % des recettes d’exportation.

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L’Afrique centrale, c’est 13% de la population subsaharienne, mais seulement 10 % des comptes de Mobile Money

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L’Afrique centrale affiche un certain retard dans le développement du Mobile Money. Selon le Groupement mondial des opérateurs de téléphonie mobile (GSM), sur les 400 millions de comptes actifs en Afrique subsaharienne, moins de 10% sont localisés en Afrique centrale (Cemac et RDC). La sous-région héberge pourtant plus de 13% de la population africaine, fait remarquer le GSM.

Selon le GSM, la pénétration de l’usage du Mobile Money en Afrique centrale a été particulièrement forte au Gabon. Dans ce pays, 43% de la population de plus de 15 ans possédait un compte en 2017. Mais l’évolution est beaucoup plus lente dans les autres pays de la région. On recense 16% de la population adulte en RDC en 2017, 15% au Cameroun et au Tchad, et 6% au Congo. Des indicateurs bien insignifiants, en comparaison avec ceux d’un pays comme le Kenya qui affiche 73%.

Ce sont les pays d’Afrique de l’Est qui ont vu le plus grand développement du Mobile Money (Kenya, Ouganda, Rwanda et Tanzanie), suivi dans l’ordre par les pays d’Afrique australe, puis d’Afrique de l’Ouest et enfin d’Afrique centrale.

La lente pénétration du Mobile Money en Afrique centrale contraste ce pendant avec le dynamisme des transactions. Depuis 2016, le volume et la valeur des transactions doublent pratiquement chaque année, selon la direction du Trésor français.

Le nombre de transactions financières en monnaie électronique est en effet passé de 300 millions en 2017 à 567 millions en 2018. Et la valeur des transactions globales de Mobile Money, qui s’élevaient à 4 512 milliards de FCFA en 2017, a dépassé 7 964 milliards de FCFA à la fin de l’année 2018. Ces transactions ont été réalisées, pour l’essentiel, au Cameroun (76%) et au Gabon (18%).

Stéphane Billé

Africa Finance Corporation débourse 59 millions $ pour acquérir 10 % de parts d’Olam dans le capital d’Arise Industrial Zones au Gabon

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Africa Finance Corporation (AFC) a acquis 10 % de parts du groupe agro-industriel Olam, dans le capital d’Arise Industrial Zones (Arise IZ), une unité créée suite à la réorganisation des activités de la firme Gabon Special Economic Zone (GSEZ). L’institution financière panafricaine a déboursé 59 millions $ pour cette acquisition.

A la suite de cette opération, le singapourien Olam qui détenait 40,5 % de parts dans le capital d’Arise IZ se retrouve à 30,5 % de parts. Le groupe coté sur le Singapore Exchange affirme avoir réalisé un gain de 27 millions $ suite à la cession de cette participation minoritaire.

La joint-venture Gabon Special Economic Zone, mise en place en 2010 par Olam et l’Etat gabonais, a réorganisé ses activités de logistique et infrastructures, en trois principales unités à savoir : Arise Port & Logistics, Arise Industrial Zones et Arise Infrastructure Services. Suite à cette réorganisation, le groupe Olam a décidé de la vente d’une part minoritaire de ses actions à l’AFC. Les raisons ayant motivé cette décision n’ont pas été évoquées.

L’opération permet à l’AFC de se renforcer dans le capital de GSEZ. L’institution financière avait investi en 2016, 140 millions $ pour entrer dans le capital de GSEZ.

Chamberline Moko

La BVMAC, bourse régionale de la Cemac, à la recherche de son nouveau directeur général

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 La Banque des États de l’Afrique centrale (Beac) vient de lancer un avis pour le recrutement du directeur général (DG) de la Bourse des valeurs mobilières de l’Afrique centrale (BVMAC) qui a son siège à Douala, la capitale économique du Cameroun.

La BVMAC a été instituée en juillet 2019 à la suite de la fusion de l’ancienne Douala Stock-Exchanges (DSX) et de l’ancienne Bourse des valeurs mobilières de l’Afrique centrale créée à Libreville (Gabon). Cette fusion devrait servir d’impulsion pour élargir et approfondir les marchés financiers de la Cemac et assurer un meilleur accès aux liquidités pour les entités cotées en Bourse, remarque Investir au Cameroun.

Dans la foulée de cette fusion, le poste de DG a été confié au Camerounais Jean Claude Ngbwa, ancien secrétaire général de la Commission interafricaine des marchés d’assurances (Cima) et la présidence du conseil d’administration au Gabonais Henri-Claude Oyima, président directeur général du groupe BGFI Bank.

« Le nouveau directeur général devra établir et exécuter des plans pour atteindre les objectifs stratégiques de la bourse, à savoir compétitivité, efficacité opérationnelle, diversification et croissance vigoureuse. Il devra donner des éclairages et une orientation permettant d’accroître les liquidités et d’approfondir les marchés financiers de la Cemac. Sous l’autorité du conseil d’administration, il aura la responsabilité de gérer, superviser et promouvoir les activités de la bourse au profit de ses membres, de toutes les parties prenantes et du public qui y fait des placements », indique la Banque centrale des six États de la Cemac (Cameroun, République centrafricaine, République du Congo, Guinée Équatoriale, Gabon et Tchad).

Le contrat à temps plein sera d’une durée de un an renouvelable et la date de démarrage de services est prévue pour le mois de mars 2020 ; les trois premiers mois constituant une période probatoire. Le lieu de travail se trouve au siège de la BVMAC à Douala.

Qualifications requises

Les candidats doivent fournir les informations démontrant qu’ils possèdent les qualifications requises et l’expérience pertinente pour l’exécution de cette mission, notamment : être titulaire d’un diplôme d’études supérieures ou Master (bac +5) en administration des entreprises ou d’un diplôme équivalent ; avoir 10 ans d’expérience en lien direct avec les marchés des capitaux (bourse des valeurs, régulateur ou opérateur des marchés des capitaux) ou 15 ans d’expérience dans le secteur financier, dont au moins cinq à des postes de cadre supérieur ou de direction ; avoir une connaissance approfondie du fonctionnement des institutions financières de la CEMAC et être citoyen d’un de ses pays membres.

En outre, la maîtrise du français et de l’anglais est requise. La connaissance de l’espagnol ou l’arabe serait un avantage. Les manifestations d’intérêt rédigées en français doivent être déposées à l’adresse mentionnée au siège de la Beac à Yaoundé, la capitale du Cameroun, ou envoyées par courrier électronique à la Banque centrale au plus tard le 15 janvier 2020 à 14 heures (heure du Cameroun).

La sélection se fera en deux étapes. La première consiste en l’évaluation des candidats par une agence de recrutement sur la base d’une lettre de candidature, d’un CV et de tout autre document probant sur l’expérience acquise. La seconde étape sera consacrée aux entretiens des candidats short-listés. Les candidats éligibles ressortissants de la Cemac passeront un entretien avec le conseil d’administration de la Bourse. C’est le Conseil qui, en dernier ressort, procédera à la sélection finale du candidat le mieux qualifié pour être nommé au poste de directeur général.

Sylvain Andzongo

Mali : Remise de cadeaux par l’ambassadeur de Chine au Mali à la presse

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Pour célébrer l’arrivée du Nouvel An, l’ambassadeur de la République Populaire de Chine au Mali , Monsieur Zhu Liying a organisé ce jeudi 26 décembre à l’ambassade de Chine au Mali, une réception à l’intention de la presse malienne pour sa bonne collaboration avec son ambassade. Plusieurs confrères de la presse ont effectué le déplacement pour venir répondre à l’appel dont le Directeur de l’ORTM, Salif Sanogo et son Staff.


Pour l’ambassadeur de Chine au Mali, Zhu Liying, l’année 2019 est une année millésime pour les relations de coopération amicale sino-malienne. Mais c’est d’ailleurs grâce à la presse malienne que la population malienne apprend toujours davantage les nouvelles de cette coopération exemplaire, et que l’amitié sino-malienne s’enracine toujours plus profondément dans le cœur des Maliens partout dans le pays.
Au cours de l’année 2019, des événements majeurs ont été réalisés dans le cadre de la coopération sino-malienne selon M. Zhu Liying. Ces événements sont entre autres, la rénovation complète du Centre International de Conférence de Bamako (CICB), inauguré le 26 janvier 2019 après 2 ans de travaux ; le renouvellement des contingents des casques bleus chinois de la MINUSMA, avec une augmentation sensible des effectifs pour atteindre 413 personnes.
Le 25 juillet à Koulouba, signature sur la Nouvelle Route de Soie. La Chine vient d’accorder au Mali un don de 20 milliards de FCFA pour des projets d’infrastructure, et un don de kits scolaires d’une valeur de 3 milliards de FCFA.
En fin septembre dernier, démarrage des travaux de Kabala II de la cité universitaire , qui constitue la plus grande de la sous-région et qui donnera une dimension encore plus importante pour l’enseignement supérieur du Mali. Sans oublier les soixantaines de bourses offertes par la Chine chaque année aux jeunes talents maliens.
En ce qui concerne la question du visa pour aller en Chine , l’ambassadeur chinois au Mali a affirmé à ses hôtes du jour que ce problème est complètement résolu. Dans ses dires, cette année, 4300 visas ont été délivrés, soit une croissance de 66% par rapport à l’année dernière. Plus de 1300 visas de longue durée avec multiples entrées ont été délivrés à des maliens qui ont l’habitude de voyager souvent en Chine.


On dit que la main qui donne est toujours au dessus de celle qui reçoit, mais aves la coopération sino-malienne, les deux mains sont équidistantes, a laissé entendre le Directeur de l’ORTM, Salif Sanogo. Ce dernier trouve la coopération sino-malienne une coopération sincère. C’était une occasion pour le premier responsable de la chaîne publique du Mali de remercier l’ambassadeur de la République Populaire de Chine au Mali pour tout ce que son pays a fait pour notre pays, particulièrement pour l’ORTM.


A noter que des cadeaux ont été remis à une dizaines d’organes de presse privée et à L’ORTM pour les efforts fournis dans le cadre de la coopération sino-malienne.
IB KONE

Huawei récompense les étudiants ingénieurs des programmes « Tunisian Seeds for the Future » et « Huawei ICT Academy »

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Tunis, Tunisie, le 23 décembre 2019 – Huawei Tunisie, filiale du groupe industriel parmi les leaders du secteur des Technologies de l’Information et de la communication (TIC), a organisé la cérémonie de remise des diplômes de ses étudiants des programmes « Tunisian Seeds for the Future 2019 » et « Huawei ICT Academy », le vendredi 20 décembre 2019 à l’hôtel Le Concorde Lac 1. Cette cérémonie officielle s’est tenue en présence du Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique par intérim, M. Hatem Ben Salem, de l’Ambassadeur de la République Populaire de Chine M. Wang Wenbin ainsi que du Directeur général de Huawei Tunisie M. Spark Zhang.

Inscrit dans la coopération bilatérale sino-tunisienne, le programme « Seeds for the Future 2019 » s’est déroulé en Chine et en Tunisie, en juillet dernier. Après une sélection exigeante, des étudiants tunisiens ingénieurs ont pu rejoindre leurs pairs, originaires du Canada, du Ghana, du Maroc et de l’Espagne. Ainsi, Huawei accueille chaque année 1000 étudiants de divers horizons, pour des promotions d’une grande richesse.

Félicitant les étudiants pour leur excellent travail, M. Hatem Ben Salem a déclaré : « La Tunisie est un vivier de talents et les initiatives telles que le programme Huawei ICT Academy et Seeds for the Future permettent aux futurs ingénieurs d’améliorer leurs compétences tout en s’échangeant les meilleures pratiques grâce à un recrutement international ».

Dans le cadre de ce programme, reflet de la coopération entre la Chine et la Tunisie, M. Wang Wenbin a ajouté : « Huawei ICT Academy et Huawei Seeds for the Future doivent être perçus comme des investissements de demain. En outre, ils permettent de renforcer la collaboration entre la Tunisie et la Chine dans le partage des connaissances entre nos deux cultures, notamment dans le domaine des nouvelles technologies. »

M. Spark Zhang a précisé : « En tant qu’acteur international majeur du secteur des TIC, Huawei attache une grande importance à la technologie et au transfert de connaissances aux jeunes talents, le partage d’informations, tous deux promus par ces programmes, créent des opportunités de formation et d’apprentissage de grande qualité. Nous sommes fiers et heureux de la pérennité du programme « Seeds for the Future » qui en est à sa cinquième édition cette année en Tunisie. »

Chaque année, Huawei envoie 10 brillants étudiants tunisiens en deuxième année de cycle d’ingénieur pour deux semaines en Chine avec le soutien du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique ainsi que du Ministère des Technologies de la Communication et de l’Économie Numérique. Depuis la création du programme en Tunisie, Huawei a coopéré avec plus de 20 universités et envoyé plus de 55 étudiants en Chine.

À propos de Huawei

Huawei est l’un des principaux fournisseurs mondiaux d’infrastructures et d’appareils intelligents dans le domaine des technologies de l’information et des communications (TIC). Avec des solutions intégrées dans quatre domaines clés – réseaux de télécommunications, TI, dispositifs intelligents et services en nuage – nous nous engageons à apporter le numérique à chaque personne, foyer et organisation pour un monde entièrement connecté et intelligent. Le portefeuille de produits, de solutions et de services de bout en bout de Huawei est à la fois compétitif et sécurisé. Grâce à une collaboration ouverte avec des partenaires de l’écosystème, nous créons une valeur durable pour nos clients, en travaillant à responsabiliser les gens, à enrichir la vie familiale et à inspirer l’innovation dans les organisations de toutes tailles et de toutes formes. Chez Huawei, l’innovation se concentre sur les besoins des clients. Nous investissons massivement dans la recherche fondamentale, en nous concentrant sur les percées technologiques qui font avancer le monde. Nous comptons plus de 188 000 employés et nous sommes présents dans plus de 170 pays et régions. Fondée en 1987, Huawei est une société privée entièrement détenue par ses employés. Pour plus d’informations, veuillez visiter Huawei en ligne à www.huawei.com où nous suivre sur :

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