Accueil Blog Page 1666

Mali( Ouéléssebougou): 26 techniciens d’élevage , en entreprise agricole et agro-pastoral reçoivent ses attestations

0

Cérémonie de remise d’attestations à la 1ère promotion du Collège Technique Rural de Ouelessebougou. C’était ce matin.


Ils étaient 26 techniciens d’élevage , en entreprise agricole et agro-pastoral à décrocher leurs diplômes en BT2.


Plusieurs personnalités du monde de l’enseignement et autres acteurs sociaux ont honoré leur présence parmi lesquelles des professeurs, des parents d’élèves, des directeurs de second cycle, des établissements secondaires de la ville, le Cap, la Mairie, la radio Ciwara.


Une cérémonie placée sous la présidence du Promoteur M Ya SAMAKE. « L’occasion était opportune pour remercier les formateurs, les partenaires et féliciter les récipiendaires » à en croire le patron dudit centre.

Il précise que quelques uns sont déjà employés. Il faut aussi rappeler que les récipiendaires peuvent, à travers leur diplôme accéder à la fonction publique ou encore travailler avec les projets et entreprises en rapport avec leur domaine de formation.

La vision de notre compatriote Yah Samaké est le développement de l’entrepreneuriat jeune.

Yah Bagayogo du delta news et du malitribune.

Mali: Le chef de l’État appelle l’opposition, associations et groupes armées « à regagner ce grand moment », qui n’appartient pas à lui même, mais au « peuple du Mali et à son avenir »

0

MESSAGE A LA NATION DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE SEM IBRAHIM BOUBACAR KEITA SUR LE LANCEMENT DU DIALOGUE NATIONAL INCLUSIF

Mes chers compatriotes,
Maliens de l’intérieur et de la diaspora,
Hôtes du Mali,

Voici que pour la troisième fois en six mois, l’enjeu particulier du moment m’amène à m’adresser à vous.
Ce soir également, ce soir comme les fois précédentes, comme à chaque fois où j’ai pris la parole, j’appelle au rassemblement et au sursaut, en droite ligne de ce que chaque dirigeant de cette vieille terre a fait quand les temps l’exigeaient, et en droite ligne de ce que ce peuple résilient a su faire contre tous les périls qui menaçaient son unité et son identité.

Or, aujourd’hui notre unité et notre identité sont en jeu. Le pays est en guerre, je ne cesserai de le rappeler.
Et si elle a connu quelques courtes trêves, cette guerre est la même, depuis le 17 janvier 2012 où elle a endeuillé Menaka ; depuis le 24 janvier 2012 où nos soldats furent lâchement assassinés à Aguel Hock, depuis mars-avril 2012, avec la reddition des capitales régionales que sont Gao, Tombouctou et Kidal.

Cette guerre est la même depuis bientôt une dizaine d’années, compromettant l’investissement pour le développement national, fauchant nos civils, et nos soldats, ceux de l’armée nationale comme ceux des forces étrangères, venues nous prêter main forte, mais venues à notre appel.

Non pas par charité, non pas parce que le Mali est un pays de mendiants. Mais parce que nous aussi, nous avons aidé partout, sur tous les fronts où il s’agissait de tendre la main à l’homme, de le sauver contre la bête.

Ce fut le cas lors des deux grandes guerres mondiales, ce fut le cas dans les missions onusiennes ou africaines de maintien de la paix, ce fut le cas aux côtés des freedom figthers en Afrique Australe.

Nous avons donné. Nous sommes en train de recevoir.
Nous n’avons aucune raison de nous glorifier d’avoir tendu la main à ceux qui en avaient besoin hier.

Mais nous n’avons non plus aucune raison de mordre la main de ceux qui nous tendent les leurs aujourd’hui.
L’humilité et la gratitude sont des valeurs de ce pays ; il importe de ne pas les jeter dans le torrent de nos récriminations personnelles.

Etant de ce pays, forgé par les vertus qui nous ont été inculquées au berceau et qui fondent notre humanité, je suis de ceux qui, parmi vous, n’oublient jamais que les soldats que nous vouons aux gémonies, sont Français, Sénégalais, Tchadiens, Burkinabé, Togolais, des êtres de chair et de sang, de jeunes mariés parfois, comme nos propres soldats.

Chaque mort m’endeuille, chaque mort m’interpelle ; civil, militaire, Malien, Non Malien.

C’est pourquoi, je m’incline devant la mémoire des dernières victimes de la déchirante guerre du Sahel, à savoir les soldats français morts à Indelimane.

Lundi, Inchallah, avec une délégation qui dit le Mali, qui reflète le visage et la parole du Mali, je serai à Paris aux obsèques de ces jeunes héros fauchés en terre malienne.

Mes Chers compatriotes,
Si le préambule a été long, en raison de la gravité du moment, l’objet de ce message est une fois encore d’inviter toutes les forces vives de la nation à participer et contribuer au Dialogue National Inclusif, entré dans la dernière ligne droite.
En saluant du fond du cœur l’équipe en charge de la préparation de ce Dialogue inclusif, trois hommes et une femme, tous de mission, d’engagement et de perspicacité, je voudrais convier toutes et tous au lancement officiel du Dialogue National Inclusif le 14 Décembre, au Palais de la Culture Amadou Hampaté Bâ.

Vous le savez, depuis quelques mois, les concertations se déroulent dans ce cadre, à tous les échelons de notre pays, avec en arrière-plan la triple crise institutionnelle, sécuritaire et politique de 2012, qui a révélé toutes nos forces mais aussi toutes nos faiblesses.
Mon adresse à la Nation du 16 avril 2019 a ouvert la voie à l’éventualité d’un audit de notre histoire immédiate, de nos institutions, de notre société, de notre capacité et de notre volonté à vivre ensemble.
Au vu de la mobilisation générale, de la passion que suscitent les débats, la question n’est donc plus de savoir si le pays va vers un dialogue mais quand et avec qui.

Depuis plusieurs semaines déjà, l’intitulé retenu pour ce forum est Dialogue National Inclusif.
Dialogue en raison de l’opportunité d’échanger qu’il promet; inclusif ensuite parce que ce dialogue doit être représentatif de nos terroirs et de nos préoccupations ; national enfin parce qu’embrassant l’étendue du territoire national, à l’instar des 605 communes où les débats eurent lieu sur les 611 prévues ; les 46 Cercles et les 6 Communes du District de Bamako ; les 10 Régions administratives et le District de Bamako ; les 25 Ambassades et Consulats où la Diaspora malienne a pu apporter sa contribution.

Nous ne faisons pas dans le mimétisme.
Nous ne lorgnons pas vers la spécificité pachtoune du loya jirga. Pas plus que vers la spécialité française du grenelle.
Nous avons de qui tenir et ce que nous voulons est simplement le « massâla » à la malienne !
Car, après tout, nous sommes le peuple de Kouroukan Fougan dans le Mandé, nous sommes le peuple du batou mawdo dans le Macina.
Tous d’accord qu’il est devenu crucial de revérifier le projet, d’évaluer sans complaisance le chemin parcouru par la 3è République née dans les clameurs, dans la fureur et dans le sang, nous devrions saisir l’opportunité offerte de la mise à plat, et du diagnostic profond, dans la plus grande courtoisie et dans la plus grande convivialité.

Réfléchissons à la solidité du pays.

Vérifions une fois de plus ses piliers et faisons en sorte qu’aucune lézarde, qu’aucune fissure ne nous échappe, et qu’à l’appel immortel du Roi Ghezzo, nous assemblions nos mains !

Faisons en sorte que la belle diversité de notre pays soit une richesse et non pas un aléa qui donnera libre cours à toutes les velléités, y compris celles de faire bande à part parce qu’une minorité armée ou vocale en impose à une majorité silencieuse !

Faisons en sorte que tous les acquis des assises précédentes soient pris en compte, en particulier les Etats généraux de la Décentralisation, dont les recommandations dessinent le Mali de demain où la dévolution du pouvoir aux populations à la base devient une réalité tangible !

Faisons en sorte que la démocratie se conforte d’un taux de participation conséquent, que la communauté nationale s’approprie plus la langue et le langage par lesquels le pays est gouverné !

Faisons en sorte que ce pays préserve et accroisse ses niches d’excellence dans le but d’enrayer la pauvreté !

Mes chers compatriotes,

Pour cette phase nationale je me suis moi-même, impliqué en rencontrant des personnalités politiques et de la Société civile afin que ce Dialogue d’intérêt national ne laisse aucune malienne, aucun malien au bord de la route.

Car c’est du Mali qu’il s’agit. Toutes les préoccupations peuvent et doivent y être exprimées sans tabou.
Toutes les forces, toutes nos forces, sont convoquées et invitées.
Je réitère mon appel au Chef de file de l’opposition, aux partis politiques et associations à regagner ce grand moment, qui n’appartient pas à Ibrahim Boubacar Keita, lequel passera, mais au peuple du Mali et à son avenir.

J’en appelle également à mes frères de la CMA, de la Plateforme et de tous les autres mouvements qui participent au processus de paix, pour qu’ils viennent à ce carrefour d’échanges que je pressens féconds et refondateurs.


Autorités religieuses et traditionnelles, vous qui avez toujours été les piliers moraux de notre Nation, je vous exhorte une fois de plus à poursuivre votre engagement heureux, sensible depuis la phase communale.

Garant de la Constitution, je tiens à rassurer l’ensemble national que la mise en œuvre des conclusions et résolutions issues de ce Dialogue National Inclusif, sera assurée par le mécanisme indépendant de suivi-évaluation dont les Congressistes me proposeront, et le format et la composition.

Bons débats,
Et qu’Allah bénisse le Mali !

11.000 scientifiques déclarent l’urgence climatique

0
Les scientifiques tirent une fois de plus la sonnette d’alarme. Des mesures doivent être prises d’urgence pour limiter le réchauffement climatique. Sans quoi l’humanité devra faire face à une « souffrance indescriptible ». © sergei_fish13, Adobe Stock

PLANÈTE

Un rapport signé par plus de 11.000 scientifiques issus d’un large éventail de disciplines résonne aujourd’hui comme un nouveau cri d’alarme. Selon ces experts, notre Terre fait aujourd’hui « face à une urgence climatique claire et non équivoque ». Ils proposent quelques pistes pour y faire face.Vous aimez nos Actualités ?Inscrivez-vous à la lettre d’information La quotidienne pour recevoir nos toutes dernières Actualités une fois par jour.

« 40 ans de négociations n’y ont rien fait. Nous avons continué à nous comporter comme si de rien n’était. » C’est le constat de William Ripple, chercheur à l’université de l’Oregon (États-Unis) et chef de file d’une coalition scientifique internationale qui lance aujourd’hui un cri d’alarme. « Le changement climatique est en cours. Il s’accélère même plus rapidement que prévu par de nombreux scientifiques », poursuit l’expert. Sans changements profonds et durables visant à limiter nos émissions de gaz à effet de serre« une souffrance humaine indescriptible » apparait inévitable.

C’est la conclusion d’un rapport rédigé par l’équipe de William Ripple et signé par plus de 11.000 scientifiques issus de 153 pays. Une façon pour eux de déclarer une véritable urgence climatique. Une situation face à laquelle ils refusent toutefois de nous laisser sans quelques pistes de solutions.

Ainsi les chercheurs pointent plusieurs grands domaines dans lesquels des mesures immédiates devraient être prises pour ralentir les effets du réchauffement de la planète. Et avant tout dans le secteur de l’énergie. Secteur dans lequel les scientifiques appellent bien sûr à un remplacement immédiat des combustibles fossiles par des ressources renouvelables. Pour y parvenir, ils suggèrent de supprimer les subventions aux entreprises fortement émettrices de CO2 et d’imposer des redevances sur le carbone suffisamment dissuasives. Ils recommandent aussi de protéger — et le cas échéant de restaurer — les écosystèmes susceptibles de stocker le CO2 atmosphérique. Comme les forêts, les prairies ou les mangroves.

« La température de surface mondiale et celle des océans, les conditions météorologiques extrêmes et leurs coûts, le niveau de la mer, l’acidité des océans et la superficie brûlée aux États-Unis sont en hausse », prévient William Ripple, chercheur à l’université de l’Oregon (États-Unis). « Globalement, la glace est en train de disparaître rapidement. Tous ces changements rapides soulignent le besoin urgent d’agir enfin. » © troutnut, Adobe Stock

« La température de surface mondiale et celle des océans, les conditions météorologiques extrêmes et leurs coûts, le niveau de la mer, l’acidité des océans et la superficie brûlée aux États-Unis sont en hausse », prévient William Ripple, chercheur à l’université de l’Oregon (États-Unis). « Globalement, la glace est en train de disparaître rapidement. Tous ces changements rapides soulignent le besoin urgent d’agir enfin. » © troutnut, Adobe Stock 

Une urgence à limiter les émissions polluantes

Autre levier mis en avant, celui des polluants dits de courtes durées. Ainsi les chercheurs demandent une réduction rapide des émissions de méthane, de suie ou encore d’hydrofluorocarbones. Selon eux, cette mesure permettrait, à elle seule, de réduire de plus de 50 % la tendance au réchauffement à court terme. Les scientifiques encouragent notamment dans ce cadre à un changement d’habitudes alimentaires. Il faut bien sûr réussir à limiter le gaspillage alimentaire. Mais aussi manger plus de plantes et consommer moins de produits d’origine animale. Ceci réduirait considérablement les émissions de méthane et d’autres gaz à effet de serre et libérerait des terres agricoles pour la production de nourriture humaine plutôt que d’aliments pour le bétail. Suivez la suite de l’article à travers ce liens ci-dessous :

https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/climatologie-11000-scientifiques-declarent-urgence-climatique-69220/

Cameroun : la Société nationale des hydrocarbures dévoile les avantages du nouveau code pétrolier

0

Dans sa récente publication de son magazine SNH Infos, la Société nationale des hydrocarbures (SNH) présente les principaux avantages du nouveau code pétrolier dont s’est doté le Cameroun au cours du deuxième trimestre 2019.

Au plan fiscal, indique Jean-Jacques Koum, le président de la Commission permanente de négociation des contrats pétroliers et gaziers mise en place par la SNH, « le nouveau code pétrolier contient tout un chapitre consacré aux incitations susceptibles d’être accordées par le Cameroun aux compagnies pétrolières, pour les amener à prendre plus de risques, notamment lorsque le contexte pétrolier international est peu favorable à l’investissement, ou que le domaine offert présente des difficultés avérées ».

M. Koum ajoute que le nouveau texte prévoit notamment des mesures de consolidation fiscale, des périodes d’exonérations d’impôts, un taux d’imposition revu à la baisse à 35%, des incitations à l’acquisition de données sismiques, l’exonération du paiement de bonus de signature, etc. Le texte précise également que les programmes d’investissement spécifiques, destinés à augmenter la production, comme la récupération tertiaire, peuvent bénéficier des incitations.

« Au plan contractuel, le nouveau code pétrolier introduit un troisième type de contrat pétrolier, en plus des contrats de partage de production et de concession déjà bien connus, à savoir, le contrat de service à risque, en vertu duquel le titulaire assume la conduite et le financement des opérations pétrolières et reçoit une rémunération en espèces », souligne Jean-Jacques Koum.

D’autres innovations sont contenues dans le texte, comme celles ayant trait au contenu local. Il confirme, par exemple, la priorité accordée aux entreprises camerounaises pour diverses prestations de services pétroliers et introduit le principe de transfert des technologies.

SA

Les deux Soudan conviennent de prolonger jusqu’en mars 2022 leur coopération pétrolière

0

Jeudi, les gouvernements des deux Soudans ont signé un accord portant sur la prolongation de la coopération pétrolière jusqu’en mars 2022. Le précédent avait été signé en 2012 et arrivait à expiration le 30 novembre 2019.

L’accord couvre principalement le transport du brut pompé par le Soudan du Sud via des pipelines contrôlés par le Soudan. Les deux parties ont également convenu de poursuivre les travaux techniques pour la deuxième phase d’exploration du champ 5A et aussi d’exploiter conjointement (via leurs compagnies publiques) les domaines de Toma et de Saluth.

Hamid Suleiman Hamid, sous-secrétaire soudanais au ministère de l’Énergie et des Mines ..suivez le liens ci-dessous :

https://www.agenceecofin.com/gestion-publique/2911-71652-les-deux-soudan-conviennent-de-prolonger-jusqu-en-mars-2022-leur-cooperation-petroliere

Libye : reprise de la production d’huile dans le champ Al-Feel, l’un des plus importants du pays

0

La société publique du pétrole de Libye (NOC) vient d’annoncer la réouverture du champ Al-Feel, situé dans une concession clé du sud-ouest du pays. Le périmètre avait cessé de fonctionner depuis plusieurs mois, en raison des affrontements.

« Suite à l’arrêt des activités militaires sur le champ de pétrole (Al-Feel), la production a repris », a indiqué un communiqué publié sur le site internet de la société.

Les forces soutenant le gouvernement autoproclamé de l’Est et qui se sont emparées d’Al-Feel plus tôt cette année, ont accusé les milices qui soutiennent le gouvernement d’union nationale basé à Tripoli, d’avoir attaqué et d’être responsable de l’arrêt de la production sur le site.

Al-Feel produit quelque 70 000 barils de pétrole par jour dans le cadre d’une coentreprise entre la NOC et le géant italien de l’énergie ENI. Suivez ce liens ci-dessous :

https://www.agenceecofin.com/production/2911-71656-libye-reprise-de-la-production-d-huile-dans-le-champ-al-feel-l-un-des-plus-importants-du-pays

Cameroun : selon le SNH, le gaz pourrait représenter entre 20 et 30% du mix énergétique national

0

Comment la Société nationale des hydrocarbures (SNH) peut-elle participer à la diversification du mix énergétique camerounais ? Cette question est posée à Adolphe Moudiki, Administrateur-directeur général (ADG) de la SNH, dans la récente publication interne (SNH Infos) de cette société.

M. Moudiki répond : « Depuis 2012, la SNH a démontré que le gaz peut contribuer de manière significative au développement du secteur de l’électricité au Cameroun en assurant un approvisionnement continu de la centrale à gaz naturel de 216 MW construite dans la ville côtière de Kribi, la première du Cameroun. Le gaz pourrait représenter entre 20% et 30% du mix énergétique au plan national ».

Toujours selon l’ADG, la SNH reste fidèle à son ambition de contribuer à la diversification des sources d’alimentation en électricité du pays. C’est ce qui explique certains projets déjà à l’étude, comme ceux visant la mise en place d’une centrale à gaz de 300 MW à Limbe et la conversion au gaz de plusieurs centrales alimentées au diesel ou au fioul.

À juillet 2019, selon les données d’Eneo, le gaz représente 17,7% de la production d’électricité du Cameroun, chiffrée à 1391,98 MW ; l’hydro (55,8%) et le fioul/diesel (26,5%) étant les autres sources. La contribution du solaire reste proche de zéro. 

SA

Zimbabwe : la compagnie nationale de diamant vendra ses produits sur le marché international dès 2020

0

La Zimbabwe Consolidated Diamond Company (ZCDC), producteur de diamant appartenant à l’État zimbabwéen, veut commercialiser ses pierres précieuses sur le marché international à partir de l’année prochaine. Elle prévoit des ventes aux enchères à l’extérieur du pays, y compris dans des villes asiatiques, ainsi que 11 appels d’offres internationaux en 2020.

Pour le PDG par intérim Rob de Pretto, pénétrer le marché international est désormais une nécessité pour augmenter les volumes de ventes et élargir les options de commercialisation. Suivez ce liens ci-dessous :

https://www.agenceecofin.com/diamant/2911-71627-zimbabwe-la-compagnie-nationale-de-diamant-vendra-ses-produits-sur-le-marche-international-des-2020

Botswana : Lucara prendra une décision d’investissement pour le projet d’extension souterraine de Karowe en 2020

0

Lucara Diamond décidera au deuxième semestre 2020 si elle développe le projet d’extension souterraine censé doubler la durée de vie de sa mine botswanaise de diamants Karowe. C’est ce qu’elle indique cette semaine dans ses perspectives opérationnelles pour l’année prochaine, précisant que la décision est sujette à l’obtention de toutes les autorisations requises et l’arrangement d’un financement pour le projet.  

« S’appuyant sur la solide performance opérationnelle réalisée en 2019, Lucara continuera à se concentrer en 2020 sur l’optimisation des activités de base […] et la préparation d’une extension souterraine à Karowe », a déclaré le PDG Eira Thomas. Suivez ce liens ci-dessous :

https://www.agenceecofin.com/diamant/2911-71644-botswana-lucara-prendra-une-decision-d-investissement-pour-le-projet-d-extension-souterraine-de-karowe-en-2020

Le Togo inaugure les ponts de Kara et de Koumongou construits à 20 milliards FCFA avec l’aide du Japon

0

Le Togo poursuit ses chantiers de modernisation des infrastructures routières. Le jeudi 28 novembre, le président de la République, Faure Gnassingbé,  a présidé la cérémonie d’inauguration des ponts sur les rivières Kara (120 m) et Koumongou (160 m) dans le nord, en présence de l’Ambassadeur du Japon au Togo, Kuramitsu Hideaki.

Démarrés en avril 2017, ces deux ouvrages, dont le coût s’élève à 20 milliards FCFA, ont été cofinancés par l’Etat togolais et le Japon à travers l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA). Leur mise en service s’inscrit dans le projet de réhabilitation de la nationale n°17 qui s’étend sur 210 km, une composante stratégique du corridor logistique du Togo.

Ils vont significativement contribuer à la circulation des biens et des personnes entre le port autonome de Lomé et les pays de l’hinterland, avec une réduction considérable des risques et du temps de parcours. Ce…suivez ce liens ci-dessous :

https://www.agenceecofin.com/gestion-publique/2911-71629-le-togo-inaugure-les-ponts-de-kara-et-de-koumongou-construits-a-20-milliards-fcfa-avec-l-aide-du-japon