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La Bourse Ghislaine Dupont-Claude Verlon 2019 décernée à deux Congolais

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Six ans jour pour jour après l’assassinat de Ghislaine Dupont et Claude Verlon, à Kidal dans le nord du Mali, RFI a attribué ce samedi 2 novembre à Kinshasa, en RDC, la sixième Bourse portant leurs noms à Myriam Iragi Maroy, jeune journaliste, et Vital Mugisho, jeune technicien radio.

Les deux lauréats de la Bourse Ghislaine Dupont et Claude Verlon ont été désignés à l’issue de deux semaines de formation dispensée par l’Académie France Médias Monde à Kinshasa, en partenariat avec la Radio-télévision nationale congolaise (RTNC). Vingt candidats – dix journalistes et dix techniciens –, sélectionnés parmi 200 dossiers, en ont bénéficié. Un diplôme sera remis à chacun d’eux.

Pour les journalistes, la Bourse a été décernée à Myriam Iragi Maroy. Agée de 30 ans, elle est actuellement journaliste à Radio Top Congo à Kinshasa où elle présente notamment des éditions d’information et réalise des journaux. Le jury l’a distinguée pour la limpidité du récit et la qualité des témoignages recueillis dans son reportage Les filles-mères.

Chez les techniciens, la Bourse a été attribuée à Vital Mugisho, 26 ans, actuellement chef technique à la Radio Star Bukavu. Le jury a retenu la qualité de sa prise de son, ainsi que le choix et la pertinence des ambiances sonores utilisées dans son travail de réalisation dans le reportage Le travail des enfants sur les chantiers.

Les deux lauréats sont invités à Paris pour suivre une formation intensive en février 2020, à la fois en immersion à RFI, et au sein des établissements partenaires de la Bourse : l’Ecole de journalisme de Sciences Po pour Myriam Iragi Maroy, et le centre de formation de l’Institut national de l’audiovisuel (INA) pour Vital Mugisho.

Créée en 2014 en hommage à ses deux reporters assassinés le 2 novembre 2013 à Kidal, dans le nord du Mali, la Bourse Ghislaine Dupont et Claude Verlon récompense chaque année, dans un pays d’Afrique, un(e) jeune journaliste radio et un(e) jeune technicien(ne) de reportage.

Lutte anti-corruption au Mali: Madame Makoye Sissoko, ex-DG de l’AZI-SA, écrouée à BOLLÉ

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Au Mali, par les temps qui courent, la justice continue de traquer les bandits financiers soupçonnés d’être auteurs ou complices de détournements. Cette lutte contre la corruption que le Chef de l’Etat, les dignitaires religieux et une très grande partie de l’opinion publique malienne disent soutenir continuent de marquer des points.

En tout cas, les dossiers d’éventuels délinquants publics et de leurs complices sont examinés par les différentes juridictions à travers le pays. Au tribunal de la Commune VI de Bamako, le procureur a inculpé Mme Makoye Sissoko, hier vendredi pour détournement de fond et abus de confiance. Aussitôt, un juge d’instruction, rapporte notre source, a décidé de la placer sous mandat de dépôt à la prison des femmes de BOLLÉ.

Selon nos premières informations, c’est l’audit effectué à l’arrivée du nouveau DG Abdoulaye Maiga, qui aurait révélé que Makoye Sissoko serait l’architecte du détournement des fonds orchestré au sein de AZI-SA (Agence pour l’aménagement et la gestion des Zones Industrielles). Une source au sein de l’agence explique même que l’affaire porterait sur un montant de près de 6 milliards FCFA. (Croissanceafrique.com )

Selon un proche du dossier, plus de 300 personnes auraient été victimes. L’actuel Directeur Général de AZI-SA compterait aussi déposer plainte au nom de la structure. C’est une plainte concernant un abus de confiance de 43.500.000 FCFA qui aurait valu à Makoye Sissoko son incarcération à la prison de BOLLÉ.

Mme Makoye Sissoko est la soeur de l’ex ministre des finances, Mme Bouaré Fily Sissoko et présidente des femmes de l’ASMA, parti de l’ex Premier Ministre Soumeylou Boubeye Maïga.

Nous y reviendrons.

Source : Le Figaro du Mali

Urgent:Un militaire français tué au Mali par un engin explosif

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La victime, le brigadier Ronan Pointeau, faisait partie du 1er régiment de Spahis de Valence.

Un militaire français a été tué lors d’une opération ce samedi matin au Mali, après « le déclenchement d’un engin explosif improvisé au passage de son véhicule blindé », a indiqué l’Élysée dans un communiqué. 

Par Croissanceafrique.com

La victime, le brigadier Ronan Pointeau, faisait partie du 1er régiment de Spahis de Valence. Le chef de l’État a salué « le sacrifice » du militaire, et exprimé « ses pensées vers ses camarades engagés dans les opérations au Sahel ». 

Les violences djihadistes persistent dans le nord du Mali, six ans après l’intervention militaire française Serval, et se sont propagées vers le centre du pays ainsi qu’au Burkina Faso et au Niger voisins, se mêlant souvent à des conflits intercommunautaires ayant fait des centaines de morts. 

Ce drame survient au lendemain d’une des plus grosses attaques terroristes ayant atteint l’armée malienne. Vendredi, 49 soldats sont morts lors d’une attaqueayant visé l’un des plus importants camps de l’armée à Indelimane, près du Niger, dans une attaque qui remet en cause les capacités de cette armée à faire face aux djihadistes.

Source : L’Express.fr

Mali: Les ressources tirées de l’or contribuent à hauteur de 401 milliards de FCFA dans le budget de 2019

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C’est dans un tweet dans un que le ministre malien de la communication, chargé des relations avec les institutions de la République, porte-parole du gouvernement, M.Yaya Sangaré informe l’opinion nationale et internationale sur la contribution de l’or malien à hauteur de 22% dans les recettes fiscales du budget de l’État en 2019.

Selon le ministre malien, porte-parole du gouvernement malien « les ressources tirées de l’or au Mali contribuent de 22% dans les recettes fiscales totales du budget de l’État 2019, soit 401 milliards FCFA. Elles se répartissent entre les recettes (374 milliards FCFA) et les recettes non fiscales (27 milliards FCFA) », a-t-il posté, Yaya Sangaré, ministre malien de la communication issu du gouvernement Boubou cissé.

Cissé Ousmane Ali reste plus sceptique quant à la supériorité des dépenses, malgré les avancés annoncées par le ministre malien de la communication, porte-parole du gouvernement. Un internaute plus vigilant que son ministre ? Car il n’a pas manqué de soulever des problématiques face au post du ministre Sangaré. Pour lui (Cissé Ousmane Ali), le ministre doit expliquer les pourquoi, des différentes dépenses. Il dira ceci: « Et pourquoi les dépenses sont plus élevées que la recette elle même (2410, 400 milliards et la recette 2023, 150 milliards de FCFA soit un déficit budgétaire de 387 et quelques milliards), cette année? », s’interroge Ousmane Cissé Ali.

Il faut préciser que la plus part des Maliens pensent que l’or contribue faiblement dans l’économie nationale. En tout cas, c’est le constat général au vu et au su de tout le monde. Cette affaire est un secret de polichinelle. Bref une plaie qui dérange plus d’un. Vivement une bonne explication.

Daouda Bakary Koné

Source : Croissanceafrique.com

Mali, financement d’un projet de viabilisation & de construction des logements sociaux à Samanko: Un accord de 25 milliards de FCFA signé à Bamako

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Il s’agit d’une signature de convention au tour d’un projet de construction et de diabolisation dont le montant est à hauteur de 25 milliards de FCFA. En tout cas, c’est ce qu’à annoncé le ministre malien de la communication, chargé des relations avec les institutions de la République, porte-parole du gouvernement M.Yaya Sangaré. C’était en collaboration de la Banque Ouste Africaine de développement (BOAD) à travers sa représentation à Bamako.

Selon le ministre de la communication du Mali , Yaya Sangaré affirme ceci sur sa page facebook « le Mali a signé un prêt avec la BOAD de 25 milliards de FCFA pour financer le projet de viabilisation et la construction de 1.085 logements et économique à Samanko , commune du Mandé. Ce projet améliorera le cadre des vie des des populations et réduira la vulnérabilité des ménages au Mali« , a-t-il posté, le porte-parole du gouvernement malien à Bamako.

Notons que la Banque Africaine de Développement (BOAD) reste un partenaire stratégique pour le Mali, et surtout, elle contribue aux financements des infrastructures routières et tant d’autres.

Daouda Bakary Koné

Source : Croissanceafrique.com

Mali: Les impôts font un résultat de près de 700 milliards de FCFA sur une prévision de 908 milliards.

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Selon une informations donnée par le ministre de la communication, chargé des relations avec les institutions de la République, porte parole du gouvernement M. Yaya Sangaré « la direction générale des impôts semble bien partie pour terminer en l’année 2019 en beauté termes de mobilisation des récentes. Sur un objectif de 908 milliards FCFA. Elle est à un taux de recouvrement de 77% a la date du 28 octobre 2019, soit 700 FCFA. Nos impôts« , a-t-il posté sur page twitter.

Selon la Banque mondiale une « Vaste pays semi-aride et enclavé de la ceinture sahélienne, le Mali est une économie à faible revenu, peu diversifiée et exposée aux fluctuations des prix des matières premières. Sa forte croissance démographique (avec un taux de fécondité de 6 enfants par femme en 2017) et le changement climatique représentent des risques importants pour l’agriculture et la sécurité alimentaire du pays« , explique l’institution de la breton wood.

Perspectives : facteurs positifs et négatifs

La croissance du PIB réel devrait ralentir en 2019 pour s’établir à 4,7 % et s’y maintenir en 2020. L’inflation devrait être de l’ordre de 1,7 % en 2019 et 1,8 % en 2020. Grâce à l’assainissement, le déficit budgétaire devrait se réduire progressivement, passant d’environ 2,4 % du PIB en 2019 à 1,5 % en 2020. Le déficit de la balance courante devrait rester supérieur à 6 % jusqu’en 2020.

L’accroissement des recettes et l’efficacité des dépenses publiques

Le Mali a commencé à mobiliser davantage de recettes et à accroître l’efficacité et la qualité des dépenses publiques, afin de créer la marge de manoeuvre budgétaire nécessaire à l’investissement public. Il rationalise les exonérations fiscales, améliore l’efficacité du régime fiscal minier, et renforce l’administration et l’efficacité du recouvrement de la taxe sur la valeur ajoutée. En outre, le gouvernement a mis en place un cadre de consultation pour faciliter la mise en oeuvre de l’accord de paix de 2015.

Les autorités ont commencé à appliquer une loi contre l’enrichissement illicite, notamment en exigeant des hauts fonctionnaires qu’ils déclarent leurs avoirs. Dans le secteur de l’énergie, les réformes ont cherché à renforcer les finances d’Électricité du Mali (EDM), une entreprise publique, pour atténuer les risques budgétaires connexes et libérer les ressources pour les investissements et les dépenses dans d’autres domaines.

Ratification des accords sur la libre circulation des personnes et des biens

Le Mali a ratifié tous les accords sur la libre circulation des personnes et des travailleurs au sein de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et de l’Union économique et monétaire ouest-africaine. Aucune mesure ne limite la circulation des personnes ou le droit d’établissement en tant que travailleur indépendant ; ainsi les ressortissants de la CEDEAO n’ont pas besoin de permis de séjour et peuvent s’installer librement au Mali pour travailler ou pour exercer une profession libérale. Toutefois, dans la pratique, ces droits sont bafoués par des obstacles non officiels à la frontière, où de multiples points de contrôle de différents types entraînent des coûts de transaction élevés.

Notons que la Banque mondiale aide le Mali à faire face à ses enjeux économiques en mettant l’accent sur l’éducation, la santé, l’agriculture et l’énergie.

Daouda Bakary Koné

Source : Croissanceafrique.com

Défense-Attaque d’Indelimane (Mali): Le nouveau bilan est de 54 morts

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Le bilan de l’attaque du camp des forces armées du Mali à Indelimane a évolué au cours de la soirée du 1er novembre. Le bilan officiel fait état de 54 morts.

La croissance de l’Afrique subsaharienne devrait atteindre 3,6% en 2020, selon le FMI

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Selon les perspectives économiques régionales du Fonds monétaire international (FMI) 2019 publiées jeudi lors de la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA) réunie à Addis-Abeba, la capitale éthiopienne, la croissance en Afrique subsaharienne devrait passer de 3,2% en 2019 à 3,6% en 2020.

Le rapport du FMI indique toutefois que les deux tiers des pays de la région devraient connaître une croissance plus lente que prévu.

Dans sa présentation du rapport, Papa N’diaye, responsable de la Division développement de l’Afrique du FMI, a déclaré que la croissance devrait rester forte dans les pays à faible consommation de ressources, avec une moyenne d’environ 6%, tandis qu’elle devrait progresser lentement dans les pays à forte consommation de ressources.

D’après le rapport, 24 pays comptant environ 500 millions d’habitants verront leur revenu par habitant augmenter plus rapidement que le reste du monde, tandis que la croissance devrait ralentir dans les pays à forte consommation de ressources (2,5%). Ainsi, dans 21 pays, la croissance par habitant devrait être inférieure à la moyenne mondiale.

Dans le même temps, l’inflation devrait s’atténuer. Alors que le fardeau moyen de la dette à l’échelle de l’Afrique subsaharienne se stabilise, les vulnérabilités en matière de dette publique et la faiblesse des marges de sécurité extérieures continueront de limiter la marge de manœuvre de plusieurs pays en termes de politiques, souligne le rapport.

Parallèlement, les perspectives sont confrontées à d’autres risques à la baisse. Les difficultés externes se sont ainsi intensifiées par rapport à avril et comprennent la menace d’un protectionnisme croissant, une forte augmentation des primes de risque ou une inversion des entrées de capitaux en raison du resserrement de la situation financière mondiale, et un ralentissement plus rapide que prévu en Chine et dans la zone euro.

Au niveau régional, les risques de dégradation à court terme incluent les chocs climatiques, l’intensification des problèmes de sécurité et la propagation potentielle de l’épidémie d’Ebola au-delà de la République démocratique du Congo, indique le rapport, ajoutant que des dérapages budgétaires, notamment ceux précédant les élections dans certains pays, et les réformes dans les pays clés pourraient aggraver les pressions sur le déficit et la dette.

Enfin, prévoit le rapport, à moyen terme, une mise en œuvre réussie des réformes, notamment dans le contexte de la Zone de libre-échange continentale africaine, pourrait conduire à d’éventuelles hausses importantes.

Bamako: CAD-MALI contribue à l’amélioration de protection et la commercialisation des produits des exploitations agricoles

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Session d’analyse des textes de loi réagissant la commercialisation et la protection du marché national des produits étrangers, a eu lieu ce mardi 29 octobre 2019 à la maison de partenariat. C’était présidée par M. Dembélé, directeur exécutif de CAD-MALI.


Après avoir salué et remercié tous les participants à cette session, il affirmera que l’objectif général de la présente session est de contribuer à l’amélioration de protection et la commercialisation des produits des exploitations agricoles. Comme objectif spécifique, il ajoute ‹‹ amener les participants à s’approprier des textes et lois qui régissent le commerce des produits agricoles au niveau national, régional et international; amener les participants à connaître les politiques agricoles et politiques commerciales; cerner les mécanismes d’intégration des économies agricoles et des échanges en rapport avec les enjeux des marchés locaux, régionaux et internationaux; Connaître les entraves liées au commerce agricole, intra-africain et international.››
Il faut noter qu’au cours de cette session les participants partageront les idées fructueuses et aussi ils auront à analyser à fond les textes de loi réagissant la commercialisation et la protection du marché national des produits étrangers.

Gabon: Noureddine Bongo-Valentin sur le point de prendre le Pouvoir à Libreville (acte 1)

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Quelques  mois seulement après avoir installé ses quartiers au palais du bord de mer de Libreville, juste à côté du bureau de son père encore convalescent et après que Brice Laccruche Alihanga, directeur de cabinet du chef de l’Etat gabonais a déblayé le chemin pour lui, Noureddine Bongo, premier fils d’Ali Bongo et Sylvia Bongo a décidé de passer à la vitesse supérieure pour succéder à son père. A la manoeuvre, Maixent Accrombessi, ancien directeur de cabinet d’Ali Bongo dont il est le filleul.

Les événements ce sont accélérés ces derniers jours à Libreville. Noureddine Bongo ne cache plus son intention de prendre le contrôle du Gabon et succéder ainsi à son père. Pour y parvenir, il s’est entouré d’anciens barrons du régime, dont Maixent Accrombessi, Ali Ackbar Onanga, Pacôme Moubelet et de ses deux amis intimes, Mohamed Ali Saliou, récemment nommé directeur de cabinet adjoint d’Ali Bongo et Abdoul Ousseni Ossa, tous deux fils d’Ismaël Ousseni, Imam de Libreville.

Agé de 28 ans seulement, le fils du numéro Un gabonais a clairement annoncé ses couleurs lors du Conseil des ministres du 15 octobre 2019. Il est le seul auteur du remaniement opéré au sein du cabinet du chef de l’Etat gabonais. Un remaniement qui a favorisé le retour aux affaires de Brice Clotaire Oligui Nguema, ancien aide de camp d’Omar Bongo, à la très puissante direction générale des services spéciaux en lieu et place de Frédéric Bongo, demi-frère d’Ali Bongo, nommé attaché militaire à l’ambassade du Gabon en Afrique du Sud, qui s’est toujours ouvertement opposé à l’arrivée de Noureddine à la tête du Gabon

Dans son viseur, plusieurs hauts cadres de la Présidence de la République et de la haute administration gabonaise dont les têtes devraient tomber lors du Conseil des ministres, peu probable, annoncé pour le 05 novembre prochain.

Pour l’instant, il entreprend des consultations au pas de course, sur instructions de Maixent Accrombessi en séjour à Libreville depuis deux semaines. Membres du Gouvernement et directeurs généraux sont à tour de rôle convoqués et auditionnés à son bureau par ses soins.

Bien qu’agacé, Ali Bongo encore fragilisé par son AVC, peine à contenir les ambitions de son fils. Des ambitions qui ne surprennent pas les connaisseurs de la vie politique gabonaise. Beaucoup avaient vite compris que l’agenda très médiatisé de Brice Laccruche Alihanga préparait l’arrivée de Noureddine Bongo. Le risque d’implosion du Gabon est imminent, tant très peu d’informations filtrent sur le moyen par lequel Maixent Accrombessi réussira à imposer son poulain en lieu et place de son père dont le mandat court jusqu’en 2023.

Brigitte Casel

Source : La lettre du Gabon