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Mali: L’EUMOA tient sa revue annuelle, des réformes, politiques, programmes et projets communautaires à Bamako

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Ce mercredi 16 octobre 2019, a tenue la revue annuelle (Édition 2019), des réformes, politiques, programmes et projets communautaires à l’hôtel Radison Blue de Bamako. Cette rencontre qui est vue comme une session technique a été le cadre de plusieurs discussions entre les participants. C’était en présence du représentant de la commission de lUEMOA au Mali, son excellence M. Mahamadou Moustapha BARO.

Dans son mot de bienvenue Mahamadou Moustapha Baro, représentant de la commission de l’UEMOA au Mali  » l’édition 2019, de la annuelle vise l’évaluation de la performance des États en ce qui concerne l’application des réformes communautaires. Elle permettra de relever les résultats atteintes et les difficultés auxquelles les États membres sont confrontés afin les solutions idoines soient apportées dans le but d’améliorer la compétitivité de nos économie et leur potentiel de croissance économique « , dit-il M.BARO de l’UEMOA.

Notons que les résultats de ces travaux donneront certainement lieu a un mémorandum qui sera soumis à l’examen des ministres lors de la session politique de la revue en présence du président de la commission de l’Union.

ECOBANK-MALI : Une Banque avec des services de mauvaises qualités!

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La banque constitue pour beaucoup de gens l’endroit où ils peuvent sécuriser leur argent. Pour ce faire, il faut choisir une banque et aujourdhui ceux qui sont affiliés à l’ECOBANK-Mali ne font que décrier cette institution financière. Par ses services de mauvaises qualités, la file d’entente indésirable, les pannes récurrentes de réseau d’internet entre autres.

Si l’Ecobank était sollicitée pour ses services d’antan, aujourd’hui les choses ont changé. Cette banque est devenue celle qui n’offre guère de satisfaction à ses clients. Il suffit qu’un client se rende dans une de ses agences, pour trouver devant lui une file d’entente insoutenable.

Chacun est assis avec impatience attendant d’effectuer son opération bancaire. En effet, cette banque devrait avoir un réseau de connexion d’internet de haut débit. Mais loin de là, c’est les clients qui vont ramasser les pots cassés avec une perte de temps pour une seule opération dans cette banque. Pire, les agences d’Ecobank sont quasiment en panne de réseau d’internet, surtout pour la délivrance de récépissé pour se procurer un passeport. Retenons qu’elle est aujourd’hui la seule banque qui a le monopole de cette opération indispensable pour les demandeurs du passeport biométrique. Il est temps pour les responsables de penser au bonheur de leurs clients en mettant en œuvre des ressources humaines qualifiés et des matériels sophistiqués pour la satisfaction des clients. Sinon la perte d’une journée entière à cause d’une opération bancaire est très dégoûtante dans le monde actuel, révolutionné par les technologiques adéquates et efficaces.

M.L. KONE

Source : Le Fondement

UEMOA : 647,9 milliards FCFA à mobiliser par les Etats sur le Marché des Titres Publics au cours du quatrième trimestre 2019

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Les Etats membres de l’Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA) prévoient de lever un montant global de 647,9 milliards FCFA (environ 1 milliard $) par voie d’adjudication sur le Marché des Titres Publics (MTP) au cours du quatrième trimestre 2019.

C’est ce qui ressort du calendrier des émissions de titres publics pour le quatrième trimestre de cette année rendu public par l’Agence UMOA-Titres (AUT), l’agence régionale en charge de l’émission et de la gestion de ces titres dans la zone UEMOA.

Ce programme d’émissions de titres publics se répartit à raison de 235 milliards FCFA (environ 393 millions $) de bons du Trésor et 412,9 milliards FCFA (environ 690,5 millions $) d’obligations du Trésor.

Au niveau des Etats, la Côte d’Ivoire arrive en tête des émissions avec une prévision de 177,9 milliards FCFA (environ 297,5 millions $) au cours de cette période. Suivie du Niger avec 125 milliards FCFA (environ 209 millions $), du Sénégal et du Burkina Faso avec chacun 100 milliards FCFA (environ 167,2 millions $). Viennent ensuite le Togo et le Mali qui prévoient également de lever chacun 65 milliards FCFA (environ 108,7 millions $). La Guinée Bissau ferme le tableau avec une prévision d’émission de 15 milliards FCFA (environ 25 millions $).

Rappelons que le Marché des Titres Publics (MTP) est constitué par l’unique marché régional par adjudication qui est exclusivement dédié au financement des Etats membres de la zone UEMOA. Et c’est à l’Agence UMOA-Titres que revient la mission d’accompagner les Etats dans la mobilisation des ressources nécessaires au financement de leurs politiques de développement économique à des coûts maîtrisés grâce au système de l’adjudication, tout en contribuant à bâtir avec l’ensemble des acteurs concernés, un MTP conforme aux standards.

Ainsi, depuis sa création en 2013 par le Gouverneur de la BCEAO, sur autorisation du Conseil des Ministres de l’UMOA, l’AUT a aidé les Etats de l’Union à mobiliser plus de 12 500 milliards FCFA (environ 20 milliards $).

Www.agenceecofin.com

Le défi du financement des infrastructures africaines

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Du 7 au 11 octobre, Paris Europlace organisait la 3e édition du Forum international du financement des infrastructures à Paris. Le Kenya et le Maroc représentaient l’Afrique autour de questions centrées sur les infrastructures « durables », une thématique pour laquelle Paris cherche à imposer son expertise face à l’Empire du Milieu…

L’événement organisé par Paris-Europlace en partenariat avec le ministère de l’Economie et des finances et de nombreux partenaires publics et privés a réuni l’ensemble de l’écosystème des infrastructures : financiers, industriels, porteurs de projets ou avocats. « Nous comptons 1200 inscrits et quelque vingt nationalités sont représentées dont la moitié vient du continent africain », se félicite  directeur des études de Paris Europlace, l’organisation en charge de promouvoir la place financière de Paris.Karim Zine-Eddine,

Entre réaménagement des espaces urbains et développement des smart cities, l’Afrique est aujourd’hui engagée dans de vastes projets où la Tech occupe une place stratégique. « En matière d’infrastructures, l’enjeu tourne désormais autour des pays émergents, notamment en Afrique où la population doublera dans les 30 prochaines années. Les villes doivent être intelligentes dans leur gestion globale et inclure tous les aspects du digital qui permettront de dépenser le moins d’énergie possible », précise-t-il.

Ce n’est pas un hasard si les organisateurs de cette semaine consacrée aux infrastructures se sont penchés sur le Kenya et le Maroc. Le royaume chérifien a développé toute une série d’infrastructures innovantes, où la France parvient à tirer son épingle du jeu. Selon les chiffres du Trésor, avec 10,2 milliards d’euros en 2017, la France est, en stock, le 1er investisseur étranger du royaume qui accueille 900 filiales d’entreprises françaises et 33 entreprises du CAC 40 (la France est le 2e partenaire commercial du Maroc derrière l’Espagne). « Nous avons notamment décidé de parler de la ligne grande vitesse Tanger-Casablanca qui représente la 1ere ligne de TGV d’Afrique, rendue possible par Colas Rail. Ce projet intègre tous les critères de qualité requis », souligne-t-il.

A l’est du continent, la locomotive kényane avec son projet de « Silicon Savannah » et ses nombreux défis urbains attise les appétits des opérateurs internationaux toujours plus nombreux. Avec ses 5,9 % de croissance moyenne depuis 2010, le pays intéresse de plus en plus l’hexagone, sous les bons auspices de l’Elysée. En mars dernier, Vinci, Airbus Helicopter ou encore GE-Alstom y ont décroché des contrats pour un montant global d’environ 2 milliards d’euros, à l’occasion de la visite du président Emmanuel Macron au Kenya.

Le défi du financement des infrastructures africaines

Le manque de financement dans les infrastructures fait toujours cruellement défaut sur le continent. Selon le rapport Perspectives économiques en Afrique de 2018 publié par la Banque Africaine de Développement (BAD), l’Afrique  devrait investir entre 130 et 170 milliards de dollars par an dans ses infrastructures, alors que les investissements atteignaient péniblement 62 milliards de dollars en 2016. Dès lors, comment mobiliser davantage de ressources pour atteindre cet objectif tout en réduisant la perception des risques ?

« Nous travaillons sur plusieurs pistes comme le développement de l’assurance et de la réassurance », explique Augustin de Romanet, à la tête de Paris-Europlace. « Plusieurs pistes sont à l’étude pour renforcer le volume des financements mixtes, les partenariats public-privés […] nous avons élaboré une database Emerging Market destinée aux acteurs privés. Ensuite, nous disposons du FASEP (Fonds d’étude et d’aide au secteur privé, ndlr) », poursuit le PDG du Groupe ADP.

« L’Afrique est un enjeu de développement durable fort où l’on peut avec l’énergie propre, les transports et les infrastructures essentielles, avoir un impact positif considérable par rapport aux investissements réalisés, c’est la raison pour laquelle nous voulons faire progresser la part de l’Afrique dans notre portefeuille » estime pour sa part Thierry Déau, le PDG-fondateur de Meridiam, le fonds français qui gère près de 7 milliards d’euros d’actifs dont 500 millions sur le continent (un montant qui a doublé en 3 ans). Meridiam Infrastructure Africa Fund créé en 2016 compte aujourd’hui une vingtaine de collaborateurs répartis entre Dakar et Addis-Abeba et accompagne des projets du Gabon (Terminal portuaire d’Owendo) à Madagascar (Aéroports de Tananarive et de Nocibé) en passant par la Côte d’Ivoire dans l’énergie solaire et le Kenya (route reliant Nakuru à Nairobi). Meridiam tient à suivre les projets dans lesquels il investit, sur toute la durée de la concession : une spécificité française face à l’approche du géant chinois ?

La qualité « made in France » face aux yuans de Beijing ?

« La qualité des infrastructures qui est la priorité définie par la présidence japonaise du G20 est le fil conducteur de cette édition de Paris Infraweek », déclare Karim Zine-Eddine. « Elle recouvre le financement et la maintenance sur du long terme, la soutenabilité des projets ainsi que les critères ESG [critères environnementaux, sociaux et de gouvernance, ndlr] avec un impact carbone maîtrisé », poursuit-il. Des normes de qualité qui sont bien souvent avancées face aux concurrents chinois, engagés dans de vastes projets d’infrastructures en Afrique. « La qualité fait toute la différence. Les infrastructures de la place de Paris sont reconnues pour leur qualité à l’échelle internationale. Ces critères sont peut-être plus difficiles à mettre en place en Chine », confie-t-il. L’enjeu est bien là : comment s’organiser pour affronter la concurrence chinoise, devenue le 1er partenaire commercial de l’Afrique depuis 2009?

De la ligne ferroviaire qui relie Nairobi à Mombasa sur 472 km pour 3 milliards d’euros (financée  à 90 % par la Chine) au pont suspendu de Maputo financé à 95 % par l’Empire du Milieu pour un montant de 692 millions d’euros en passant par le tramway d’Addis-Abeba pour un coût de 475 millions d’euros financé également par Beijing, on ne compte plus les projets titanesques engagés par la Chine sur le continent qui poursuit sa stratégie de nouvelles « routes de la soie ». Face aux milliards avancés par la Chine, la concurrence dénonce un impact carbone élevé (Pékin n’est pas signataire de l’Accord de Paris), une qualité aléatoire des infrastructures, eu égard aux accidents de rails relevés en Chine ces dernières années.

Toutefois, c’est la soutenabilité de la dette qui attise le plus de critiques. Depuis 2000, la Chine est devenue le principal créancier du continent dont le taux d’endettement atteindrait à 57 % du PIB. D’après le FMI, la Chine détiendrait l’équivalent de 82 % de la dette publique extérieure de Djibouti. Au total, ce sont plus de 113 milliards d’euros que l’Afrique aurait contractés à la Chine depuis 2000, selon l’Institut américain China Africa Research Initiative. La Chine est régulièrement accusée « d’étrangler » financièrement l’Afrique et Paris dans un contexte de Brexit, cherche à se positionner comme la nouvelle place financière européenne, en première ligne dans le financement des infrastructures sur le continent, arguant l’expertise et la qualité de ses services face à la menace d’une perte de souveraineté possible à terme pour des pays africains aux prises avec la dette chinoise…

Les acteurs européens réunis à Paris sont prêts à mener l’offensive : « Paris Europlace travaille actuellement sur un rapport concernant les grands défis mondiaux dans les pays émergents et en particulier en Afrique, qui sera présenté à la presse courant octobre », annonce d’ailleurs Karim Zine-Eddine.

La croissance en Afrique fléchit mais reste robuste en Afrique de l’Ouest

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La croissance de l’Afrique subsaharienne ne parviendrait pas à décoller en 2019 et ne sera que de 2,6%, selon Africa’s Pulse, une publication semestrielle de la Banque mondiale. C’est 0,2% en moins par rapport aux estimations du mois d’avril. En cause, les incertitudes persistantes de l’économie mondiale, la chute des produits de base, les tensions commerciales mais aussi « un faible rythme des réformes nationales ».

En raison des tensions commerciales, « les prix de la plupart des exportations de produits de base d’Afrique subsaharienne se sont affaiblis depuis le deuxième trimestre de 2019. Les prix du pétrole brut et des métaux de base devraient rester inférieurs au sommet atteint en 2018. Si les conditions financières mondiales se sont assouplies, les entrées de capitaux dans la région sont néanmoins restées modestes, l’incertitude des politiques commerciales continuant de peser sur l’opinion des investisseurs » observe l’organisation.

Toutefois, les évolutions sont très différenciées suivant les pays et le poids des trois grandes économies du continent – Afrique du Sud, Angola et Nigeria – dont la reprise tarde à se manifester tire vers le bas les perspectives régionales. En outre, les économies à fort coefficient de ressources devraient enregistrer une croissance modérée tant pour les pays de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC) que les pays exportateurs de métaux.

En revanche, dans les pays à faible coefficient de ressources, la croissance est plus marquée et soutenue par la demande et les investissements publics. C’est le cas des pays membres de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) qui progressent à un rythme rapide au premier semestre. « Le Bénin et la Côte d’Ivoire ont enregistré une croissance de 7%, compensant un ralentissement au Sénégal
 en raison d’un besoin de 
recourir à une politique fiscale plus stricte » note la Banque mondiale.

© Banque MondialeLa croissance devrait s’accélérer en 2020 avec le renforcement de la demande intérieure et le redressement progressif des investissements. La Banque mondiale estime que la croissance plus dynamique des pays non riches en ressources viendra compenser la croissance modeste des pays riches en ressources.

http://www.ecodafrik.com/la-croissance-en-afrique-flechit-mais-reste-robuste-en-afrique-de-louest/

DIALOGUE NATIONAL INCLUSIF AU MALI’: Le Triumvirat se dote d’un site-web (portail).

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Lundi, 14 octobre 2019, le bureau du Médiateur de la Republique, a été le cadre d’une conférence de presse, animée par le Triumvirat. C’était pour informer l’opinion nationale Internationale par le biais de la presse, sur le déroulement des travaux du Dialogue National inclusif. Au cours de cette rencontre, le triumvirat a présenté son nouveau site web, le portail.

La conférence était animée par les trois facilitateurs qui sont : Mme Aminata Dramane Traoré, Ousmane Issouf Maïga, Baba Akhib Haïdara. A l’issue de la rencontre M. Baba Akhib Haidara a indiqué que les concertations communales se sont déroulées dans toutes les régions de la République du Mali. Il a ajouté que, ce sont 605 communes qui ont tenues leurs concertations régionales dans le cadre du Dialogue National Inclusif. Lors de cette façon rencontre, il indiquera que les concertations débutent au niveau des cercles (la 5ème phase).

« Le Dialogue au niveau national aura lieu lorsque nous aurons fini la phase décentralisée et de la Diaspora. Les thématiques qui ont été adoptées vont être reprisent dans une forme identique par les experts qui produiront des notes techniques pour faciliter d’avantage la compréhension », a indiqué Ousmane Issoufi Maiga, membre du Triumvirat.

Pour sa part, Aminata Dramane Traoré a mis l’accent sur la participation active de tous au Dialogue national inclusif, tel est leur objectif principal. « Nous sommes confrontés à des questions de vie ou de morts, à des questions de sécurité, nul n’a le monopole de l’inclusivité. Il faut qu’on aille de l’avant », a-t-elle déclaré.


Les membres du Triumvirat, pour la participation du plus grand nombre de Maliens au Dialogue national inclusif, ne négligent aucune initiative. Le groupe de facilitateurs sachant que, les outils TIC constituent un puissant moyen d’atteindre le maximum de maliens de l’intérieur et de l’extérieur, a sollicité le Ministère en charge du Numérique pour la conception et l’administration d’un portail web.

Selon les facilitateurs du dialogue national inclusif, les canaux de communication digitaux permettent d’atteindre toutes les cibles sans exception. Cela permettra de consolider l’inclusivité du dialogue.
Ainsi, pour eux ce portail est un moyen de plus, pour donner la parole à tous les maliens.

Il est accessible à l’adresse : www.dialoguenational.ml via tous les navigateurs web. Il a été développé par l’Agence des Technologies et de l’Information (AGETIC). Et, page Facebook y est associée, dans le but d’atteindre le maximum de cible.

Hamed Salif CAMARA, directeur général de l’AGETIC, a expliqué que le portail web dialoguenational.ml est une plateforme mettant en relation tous ceux qui souhaitent contribuer au Dialogue, de la façon la plus inclusive possible, car totalement ouvert à tous sans exception. Il est suivi en temps réel par des équipes afin de garantir la sécurité et la continuité du service. Aussi, cette plateforme donne la possibilité aux Maliens qui ne savent pas lire, d’enregistrer leur voix en langue nationale.

En termes d’innovation et d’originalité, selon M.Camara, la plateforme permet des contributions en temps réel des intervenants, la remontée des informations à toutes les étapes du Dialogue National, la production de statistiques de participation ou de la dynamique des interventions.

Retenons que les documents relatifs à l’organisation du Dialogue National Inclusif sont accessibles sur le portail. Il s’agit notamment : des termes de référence et du Règlement intérieur approuvés par l’Atelier de validation tenu les 14, 15 et 16 septembre 2019 au Centre International de Conférence de Bamako (CICB), des Directives générales relatives à l’organisation et au déroulement des travaux du Dialogue National Inclusif au niveau décentralisé et de la diaspora.
Hamadoun Alphagalo

Source : Croissanceafrique.com

Prix Norbert Zongo du meilleur journaliste d’investigation 2019 du continent africain :IBK reçoit le lauréat Serge DANIEL, journaliste et écrivain

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« Ainsi Serge est décoré » c’est par ces mots que le Président de la République, Chef de l’Etat , Son Excellence Monsieur Ibrahim Boubacar KEÏTA a commencé l’audience qu’il a accordée dans l’après-midi du 15 Octobre 2019 , au Palais présidentiel de Koulouba , au Journaliste et Ecrivain africain Serge Daniel.

Le Président de la République accorde un grand prix à l’excellence dans le domaine de la presse et surtout à la qualité de traitements de l’information, les comptes rendus, analyses , que les journalistes , mettent à la disposition des usagers de l’information. Serge Daniel accompagné des représentants de la Maison de la presse du Mali, était venu présenter au Président de la République, Champion pour les Arts , la Culture et le Patrimoine de l’Union Africaine ses prix: le Prix continental Norbert Zongo du meilleur journaliste d’investigation Presse écrite et en ligne sur le continent Africain, et le Prix Norbert Zongo d’investigation GRAND PRIX SEBGO d’OR sur le continent Africain, toutes catégories ( presse écrite, radio, Télévision). L’article primé intitulé : « Nord du Mali, un carreau de feu placé dans le ventre du Sahel », a été publié dans un supplément dans la lettre confidentielle du Mali ( LLCM) dont il est également directeur de publication .
Le prix continental a été décerné lors de la 8e édition du festival international de la liberté d’expression et de la presse ( FILEP) de Ouagadougou .

Fier et très heureux d’avoir été de la délégation malienne à cette grande rencontre de la presse africaine du 28 septembre 2019 à Ouagadougou en présence d’éminents hommes de médias , Serge Daniel à sa sortie d’audience a exprimé sa gratitude au Président de la République.

Par rapport à la situation actuelle au Mali , le journaliste et Ecrivain, grand investigateur en concluant a lâché «  il y a des forces centrifuges , des forces centripètes. C’est avec l’implication de toutes ces forces qu’on va s’en sortir. J’ai toujours dit que Le Mali est un pays immortel ».

En plus de ces deux prix , Serge Daniel avait reçu du jury constitué de journalistes, de juristes chevronnés un chèque de deux millions de fcfa .

L’audience s’est déroulée en présence du Ministre en charge de la communication, le Ministre secrétaire général de la Présidence de la République et le Conseiller Technique en Charge de la Communication et des Relations Publiques de la Présidence de la République du Mali. Sekou Tangara journaliste Africable Télévision, Alou Dramane Koné , Président de la Maison de la Presse, Alexy Kalembry Vie Président de la Maison de la Presse et Kassim TRAORÉ , Président de l’Association des Jeunes Reporters ont accompagné Serge Daniel à l’audience .

Madou’s Camara

Gestion publique au Mali: Yéah SAMAKE reçoit une nouvelle distinction aux États-Unis

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Actuellement actif sur la rentrée scolaire en milieu rural , l’ex Ambassadeur du Mali en Inde vient de rafler un nouveau prix : celui du Service Publique Distingué.

De plus en plus présent dans le Mali profond , Yeah Samaké multiplie la réalisation d’infrastructures. La plupart d’entre elles sont portées sur les écoles afin que les enfants du monde rural jouissent d’infrastructures indiquées. Sauf que l’ancien de la Brigham Young University-BYU a été suivi par son université basée aux USA. Auparavant étudiant de cette prestigieuse école , ses actions depuis son arrivée à la mairie de Ouelessebougou ainsi que ses œuvres sociales n’ont pas échappé à cette structure située à Utah.

C’est ainsi que Yeah Samaké a été primé pour ses actions faisant acte d’exemplarité et de leadership. Notre compatriote est le lauréat du Prix du Service Publique Distingué des Anciens Étudiants de Brigham Young University-BYU ( 2019). Un honneur pour le Mali qui se retrouve sous les projecteurs par son digne fils du Djitumu qui vient d’ailleurs de boucler la nouvelle école du village de Moro Moro. Une localité située dans la Commune de Madina à Kita dans la région de Kayes .

Notons que l’ancien diplomate plénipotentiaire a un minimum de 39 écoles construites en plus de dons de bourses d’études et l’envoi des médecins étrangers spécialisés pour des consultations gratuites. Des éléments qui ont joué pour sa distinction par l’université BYU.

Idriss Keita Pour Malizine

Nous croyons fermement que #DIRIGERCESTSERVIR!

Arcane politique : une rencontre de haut niveau entre les Responsables de la jeunesse ADP-MALIBA, Yelema et le PACP

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A l’initiative conjointe des jeunes de YELEMA et du PACP, les Présidents Diakaridia Diakité (YELEMA) et Niaga Diop (PACP), accompagnés d’une forte délégation, ont été reçus par le Président Cheick Oumar Diallo et des cadres du Bureau National des Jeunes au siège national de l’ADP-Maliba. Les trois jeunesses politiques ont échangé sur la perspective d’une unité de la jeunesse politique pour faire face aux grands défis de l’heure. C’était ce lundi 14 octobre 2019 à Bamako.

Les trois délégations ont regretté la dégradation de la situation générale du pays et appelé à ce que les jeunes du Mali assument pleinement leur responsabilité dans le rétablissement de la paix et de la sécurité au Mali.

Les jeunes de YELEMA et du PACP ont présenté l’embryon d’une plateforme commune de travail et d’échanges qui sera approfondi par l’ensemble des partis.

La délégation de la jeunesse de l’ADP-Maliba a, pour sa part, réaffirmé son engagement initial à œuvrer dans ce sens. Elle a indiqué qu’une telle initiative doit s’élargir à l’ensemble des acteurs qui souhaitent y participer, sans aucune exclusive.

Les trois délégations se sont réjouies de leur convergence de vue sur cette question. Elles ont convenu d’approfondir très prochainement les échanges après avoir rendu compte de cette rencontre à leurs états-majors respectifs.

La délégation qui était aux côtés du Président de la jeunesse de l’ADP-Maliba était composée de Bintou Kebe, 1ere Vice-présidente, Abdou Sidibé, 6e Vice-président chargé de la Structuration de Bamako, Cheick Sow, Secrétaire Général Adjoint, Hassana Diakité, Secrétaire à la Communication et à l’information, Gabdo Dramé, Secrétaire à l’organisation, Youssouf Kone, Adjoint au Secrétaire à l’organisation, Sanamba Coulibaly, Secrétaire à la Promotion de la jeunesse féminine, Mohamed Chérif Siby, Secrétaire à la mobilisation, Mohamed Bah, Trésorier Général, Moussa Hassimi Sangaré, Secrétaire aux relations extérieures.

La Cellule Com/ADP-Maliba

Nioro du Sahel (Mali): Des campagnes de dénigrement et d’intoxication contre le DCAP Abou Haïdara.

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Un enseignant en situation d’abandon de poste se livre à une campagne de dénigrement et d’intoxication contre le Dcap, Abou Haïdara. Nos sources sont formelles.

Le ridicule ne tue plus dans ce pays. Au lieu que cet enseignant rejoint son poste pour rectifier le tir,ce dernier en manœuvre avec certaines complices sans vergognes s’en prennent au Dcap, Haïdara sur les réseaux sociaux , en multipliant des publications dont la véracité reste à prouver.

Faut-il penser comme Honoré de Balzac dans le #père_Goriot ! : »l’honnêteté ne sert à rien ».

En vérité, chaque labeur mérite une reconnaissance digne de ce nom.Il est indéniable que le DCAP, Haïdara depuis sa prise de fonction à Nioro du Sahel a assaini la gestion du système éducatif et a enregistré plusieurs résultats dans son CAP.

L’homme est réputé pour le respect des valeurs et les textes qui régissent l’éducation en République du Mali.

D’où, l’origine de cette campagne de calomnie des indisciplinés à son égard.

Le parcours de cet éminent Dcap est parsemé de distinctions hautement qualificatives.

Comme dit un adage : »Le vrai bonheur on ne l’apprécie que lorsqu’on l’a perdu. »
Haïdara est une chance pour le succès de l’éducation à Nioro du Sahel.

Les bonnes nouvelles dérangent toujours l’ennemi et le mettent dans une situation égoïste.

Daouda Bakary Koné

Source : Croissanceafrique.com