Le gouvernement sud-africain envisage de réaliser de nouveaux emprunts en 2019, pour faire face à une faiblesse des recettes fiscales. C’est ce qu’a annoncé cette semaine le ministre sud-africain des Finances, Tito Mboweni (photo), s’exprimant devant le parlement.
D’après le responsable, les recettes fiscales de l’Afrique du Sud pour l’exercice budgétaire 2019-2020 pourraient être « nettement inférieures » aux prévisions. Cette situation couplée à la hausse des coûts liés à la compagnie d’électricité Eskom, à laquelle l’Etat vient d’accorder une aide de 4,2 milliards $, devrait augmenter considérablement les besoins d’emprunts du gouvernement pour cette année.
Cette nouvelle aide accordée à l’entreprise publique qui fournit à l’Afrique du Sud plus de 90% de son électricité, intervient dans un contexte de ralentissement de la croissance de la société et de son incapacité à rembourser sa dette. Ce, alors que l’économie la plus industrialisée d’Afrique tourne au ralenti depuis plusieurs mois, avec une croissance prévue à seulement 1,2% pour cette année, contre une estimation de 0,8% l’année dernière.
D’après le ministre Mboweni cité par Reuters, le gouvernement devra réviser sa stratégie de financement et ses émissions obligataires hebdomadaires à des « niveaux supérieurs à ce qui était prévu ».
La société japonaise d’assurance et de réassurance, Sompo Holdings, s’est associé au groupe de services financiers Sanlam Kenya dans le but d’étendre son influence et ses investissements en Afrique.
Ce nouveau partenariat permettra à Sompo, basée à Tokyo, de se focaliser sur l’Afrique de l’Est, où le Kenya attire un intérêt substantiel de la part des investissements japonais.
« L’accord permettra à Sompo Holdings présent se positionner comme un acteur majeur de l’assurance et de la réassurance dans la région. Cela offrira également un bien meilleur service à nos clients japonais entrant dans le pays », a déclaré Daisuke Taoka, responsable du bureau de représentation de Nipponkoa Insurance Johannesburg à Sompo Japan. Le PDG du groupe Sanlam Kenya, Patrick Tumbo, a pour sa part indiqué que l’alliance permettra à Sanlam d’accéder à la région de l’Afrique de l’Est et de soutenir ses opportunités de croissance au Kenya.
A noter que les deux groupes sont liés par un premier accord de partenariat signé en octobre 2017 par le biais de Sompo Japan Nipponkoa Insurance, dans le but de fournir un soutien en assurance à long terme à ses clients entreprises en Afrique.
La Consolidated Bank of Kenya a décidé de prolonger de trois mois l’échéance de son obligation d’un montant de 2 milliards de shillings (19,39 millions de dollars). Le but est de permettre à son principal actionnaire, le gouvernement, d’injecter plus de capital.
L’échéance de l’obligation de sept ans émise en 2012, qui était fixé au 22 juillet, se retrouve repoussé au 22 octobre aux mêmes conditions, avec des paiements d’intérêts supplémentaires.
Dans un communiqué publié lundi 22 juillet, la banque indique avoir demandé une prolongation, dans l’attente d’une injection de capital de la part du Trésor, son principal actionnaire.
Créée en 1989 lors de la fusion de neuf sociétés financières en difficulté, Consolidated Bank est détenue à 85,8% par le gouvernement. Parmi les autres actionnaires de la Banque figurent le Fonds de pension des autorités locales, le Fonds de prévoyance des autorités locales, le NSSF, la Kenya Reinsurance Corporation et la Co-operative Bank of Kenya.
journaliste économique, titulaire d’un Master II en Communication et Journalisme de l’Institut Supérieur des Sciences de l’Information et de la Communication de Dakar (ISSIC). Grande amatrice de lecture et de musique. Féministe dans l’âme et passionnée de mode.
HILJOHN TECHNOLOGIES est une entreprise de services numériques et services d’ingénierie informatique. Elle développe de multiples activités afin de proposer une formule dite à «360° » aux entreprises cliente. Le consulting sur les domaines du management de données, déploiement d’ERP tout support, et conseil stratégique sur la Business Intelligence font partie des services de cette entreprise.
La Start-up dans l’optique de son développement, ouvre 20% de son capital équivalent à 2000 parts. La valeur d’une part est estimée à 350
Ces fonds que PJT souhaite lever permettrons la mise en œuvre du projet d’expansion de la Start-up PHILJOHN TECHNOLOGIES dans la sous-région d’Afrique Centrale. Pour ce faire, PJT envisage créer plus de 30 emplois directs et 200 indirects sur 3ans, afin de répondre au besoin de la clientèle.
Avec ces fonds, PHILJOHN TECHNOLOGIES prévoit également mettre en place un centre de formation d’excellence. Il s’articule principalement sur la formation des utilisateurs d’une entreprise et/ou à des étudiants sur des technologies Data Management (BI & Big DATA).
L’objectif étant de pouvoir créer de la valeur compétencielle locale afin de pouvoir la vendre à l’international et aussi de réaliser au minima la formation de 500 personnes chaque année.
Le nouveau commandant 14ème RM a pris le commandement du 14ème Régiment mixte de Ménaka le mardi 16 juillet 2019. Son prédécesseur, le lieutenant-Colonel Mamadou Konaté, lui a passé le flambeau lors d’une cérémonie présidée par le Commandant de la Région Militaire n°1 (RM-1), le colonel Yacouba Sanogo.
Cette unité est située à environ 217 kilomètres de Gao, dans une région sensible et d’une importance capitale dans la lutte contre le terrorisme. Le commandant de Régiment sortant, le Lieutenant-colonel Mamadou Konaté a salué le courage et la bravoure des éléments avant de remercier les partenaires qui n’ont ménagé aucun effort pour leur soutien au quotidien. Toute chose ayant contribué à la réussite de la mission confiée.
Il a aussi invité le nouveau Commandant de Régiment à pérenniser les rapports de franche collaboration avec les autorités administratives, politiques, coutumières dont le concours est tout aussi indispensable. Le nouveau commandant, le Chef de Bataillon Ousmane Guindo se dit conscient de la responsabilité. « J’ai beaucoup de projets et ambitions pour ce camp, nous allons évoluer tactiquement et techniquement. Des formations de renforcement physiques et intellectuelles seront organisées », envisage-t-il. Une rencontre sécuritaire des forces de défense et de sécurité au gouvernorat de Ménaka a mis fin à cette cérémonie.
Le régime fiscal de Casablanca Finance City va subir des changements. Le hub financier situé au coeur de la capitale économique marocaine taxera désormais de la même manière les activités locales et celles destinées à l’exportation, a déclaré à Reuters Saïd Ibrahimi, CEO de CFC. La réforme affectera le business plan des 180 entreprises établies dans cette zone spéciale. Une taxe forfaitaire basée sur les dépenses de fonctionnement sera également examinée, ajoute M. Ibrahimi, minimisant .
FBNBank Ghana annonce la nomination de Victor Yaw Asante au poste de directeur général de la banque en remplacement de Gbenga Odeyemi, qui se retrouve à la tête de FBNBank Sierra Leone.
Riche d’une expérience dans le milieu bancaire de 20 ans, Victor Asante devient le premier ghanéen à occuper ce poste. Précédemment, Asante était responsable des services bancaires aux grandes entreprises et aux institutions, avec la responsabilité de superviser les activités de banque commerciale chez First National Bank Ghana, une filiale du groupe First Rand en Afrique du Sud.
Il compte un passage à la Standard Chartered Bank en tant que directeur général de la banque et responsable des entreprises et des clients institutionnels de sa filiale au Botswana, ainsi que directeur général et chef régional de Transaction Banking, basé au Ghana, avec des responsabilités supplémentaires par rapport à d’autres pays d’Afrique de l’Ouest. y compris le Cameroun, la Côte d’Ivoire, la Gambie et la Sierra Leone. Victor a travaillé chez Merchant Bank (maintenant Universal Merchant Bank) et Unilever Ghana Limited.
Victor Asante est titulaire d’un MBA de la Business School de l’Université du Ghana et d’un baccalauréat en sciences (spécialisé) en économie agricole de l’Université Kwame Nkrumah des sciences et de la technologie (KNUST).
journaliste économique, titulaire d’un Master II en Communication et Journalisme de l’Institut Supérieur des Sciences de l’Information et de la Communication de Dakar (ISSIC). Grande amatrice de lecture et de musique. Féministe dans l’âme et passionnée de mode.
Les engagements pris par le Groupe de la Banque mondiale pour aider les pays à améliorer leurs résultats de développement se sont élevés à 59,5 milliards de dollars sur l’exercice 2019 (clos le 30 juin dernier). Ces investissements, conjugués aux services de conseil et d’analyse offerts par le Groupe, aident les pays à progresser en matière de croissance, d’emploi, de réduction de la pauvreté, de gouvernance, de capital humain, d’infrastructure et de transparence de la dette. Une part de plus en plus importante des financements concernent en outre la lutte contre le changement climatique et la protection de l’environnement, ainsi que l’amélioration de la situation des femmes et des filles, et l’aide aux États fragiles ou touchés par un conflit.
Engagements du Groupe de la Banque mondialeExercices 2019 et 2018 (en milliards de dollars)
Ex. 19*
Ex. 18
23,2
23,0
21,9
24,0
8,9**
11,6**
5,5
5,3
59,5
63,9
* Chiffres préliminaires non audités au 8 juillet.
** Financements de long terme pour le compte d’IFC. Ces chiffres ne comprennent pas les ressources mobilisées auprès d’autres investisseurs (soit 10,2 milliards de dollars environ sur l’ex. 19 et 11,7 milliards sur l’ex. 18).
« Nous mobilisons l’ensemble des institutions du Groupe — BIRD/IDA, IFC et MIGA — pour renforcer davantage nos programmes d’activités dans les pays et améliorer ainsi leurs performances de croissance et de développement. Nous amplifions notre soutien en direction des pays à plus faible revenu et des États touchés par un conflit, soulignele président du Groupe de la Banque mondiale, David Malpass. Nous nous attachons à fournir plus de prêts, de financements et de garanties en faveur de résultats qui permettent d’augmenter les niveaux de vie dans les pays où ces ressources font le plus cruellement défaut. L’objectif est de s’attaquer efficacement aux problématiques qui sont au centre de notre mission d’élimination de la pauvreté et de promotion de la prospérité, en tenant compte du ralentissement mondial de la croissance, d’une montée de l’endettement qui ne s’accompagne pas de bienfaits réels, des graves lacunes en matière d’accès à l’eau potable, à l’électricité, à la santé et à l’éducation, des effets du changement climatique et de bien d’autres obstacles à l’amélioration de la condition des populations pauvres. »
Les engagements de la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD) ont totalisé 23,2 milliards de dollars sur l’exercice 2019, en hausse par rapport à l’exercice précédent où ils ressortaient à 23 milliards. Au cours de l’exercice écoulé, la BIRD a débuté la mise en œuvre des mesures liées à son augmentation de capital, dont notamment l’instauration d’une limite de prêt durable annuelle. Elle a par ailleurs émis pour 54 milliards de dollars d’obligations libellées dans 27 devises dans le but de financer des programmes qui promeuvent une croissance inclusive et des réformes visant à améliorer le niveau de vie des populations dans les pays à revenu intermédiaire.
Les engagements de l’Association internationale de développement (IDA), qui accorde des prêts sans intérêts, ou à faible taux d’intérêt, et des dons aux 75 pays les plus pauvres du monde, sont ressortis à 21,9 milliards de dollars durant l’exercice 2019. Le montant cumulé des engagements au titre des exercices 2018 et 2019, qui correspondent aux deux premières années du 18e cycle de reconstitution des ressources de l’IDA (IDA-18), s’élève à 45,9 milliards de dollars, ce qui marque une hausse de 31 % par rapport à la même période d’IDA-17 (35,1 milliards de dollars).
Les programmes de la Banque mondiale (BIRD et IDA) ont ainsi aidé un plus grand nombre de pays à se rapprocher de leurs objectifs de développement. La demande d’investissements dans le capital humain a continué de progresser, alors que les pays sont de plus en plus conscients de l’importance, à long terme, de ces financements pour une croissance sans exclus et pour la réduction de la pauvreté. Plus de 60 % des opérations de la Banque mondiale se sont efforcées de remédier aux disparités entre les sexes et d’encourager la pleine intégration des femmes dans l’économie des pays. Autre fait notable : les engagements de l’IDA en faveur de pays en situation de fragilité, de conflit et de violence ont atteint 8 milliards de dollars durant l’exercice 2019.
La Banque mondiale s’emploie à augmenter ses financements en soutien à des réformes économiques et institutionnelles visant à favoriser l’investissement privé et la création d’emplois dans les pays en développement. Le Guichet de promotion du secteur privé (PSW) mis en place dans le cadre d’IDA-18 a engagé un montant total de 578 millions de dollars, parallèlement au 1,3 milliard de dollars fournis par le biais d’investissements d’IFC et de garanties de la MIGA. Ces financements devraient permettre de lever 1,7 milliard de dollars supplémentaires auprès d’autres bailleurs de fonds, au sein du secteur privé notamment.
Au cours de l’exercice qui vient de s’achever, 30 % des engagements de la BIRD et de l’IDA ont promu des effets connexes positifs sur le climat, dépassant ainsi la cible de 28 % fixée par la Banque à l’horizon 2020. En novembre 2018, l’institution s’est donné pour objectif de consacrer 200 milliards de dollars à la lutte contre le changement climatique en cinq ans, en mettant sur le même plan prioritaire le financement de mesures d’atténuation et d’adaptation.
La Société financière internationale (IFC) a intensifié ses activités dans les pays les plus pauvres et les environnements fragiles, conformément à l’augmentation de capital avalisée par les actionnaires en avril 2018. Principale institution mondiale d’aide au développement dont les activités concernent exclusivement le secteur privé, IFC s’attache à créer des marchés et des opportunités d’investissement durable là où les besoins sont les plus importants. Selon des données préliminaires non auditées, IFC a engagé sur l’exercice 2019 près de 8,9 milliards de dollars d’investissements de long terme pour son propre compte et mobilisé environ 10,2 milliards de dollars auprès d’autres sources de financement, soit un montant total de plus de 19 milliards de dollars. Ces opérations complexes sont venues soutenir 269 projets de financement à long terme dans des pays en développement. Il faut y ajouter 4,5 milliards de dollars de crédits commerciaux à court terme, dont plus de la moitié (2,5 milliards de dollars) ont concerné des pays admissibles à emprunter à l’IDA ou en situation de fragilité et de conflit.
Dans le cadre des objectifs liés à son augmentation de capital, IFC recentre actuellement son approche pour développer ses activités en amont dans les pays les plus pauvres et créer ainsi un vivier de projets susceptibles d’obtenir des financements et attirer des investissements privés. Au titre de l’exercice 2019, IFC a apporté plus de 4,8 milliards de dollars de financements de long terme en faveur de l’accélération du développement dans les pays IDA (ressources mobilisées auprès d’autres investisseurs comprises). Ces pays ont représenté près de 25 % du montant total des engagements d’IFC. Les investissements dans des entreprises situées dans des États fragiles ou touchés par un conflit se sont élevés à plus de 500 millions de dollars (en incluant les fonds levés auprès d’autres investisseurs). IFC a continué de privilégier le financement de projets ne portant pas atteinte au climat et d’intensifier ses investissements dans des régions confrontées à de graves défis de développement. Les engagements d’IFC pour son compte propre en direction de l’Afrique, du Moyen-Orient et de l’Asie du Sud ont atteint une proportion record de 45 %. Enfin, IFC a élaboré des principes directeurs pour l’investissement à impact, posant ainsi les bases d’une augmentation des investissements dirigés vers des projets produisant des effets positifs sur le plan social et environnemental. Soixante-trois investisseurs internationaux ont adopté à ce jour les Principes directeurs en matière de gestion de l’impact.
L’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA), principale source multilatérale de services d’assurance contre les risques politiques, a pour mission de faciliter les investissements directs étrangers dans les pays en développement. Elle a émis lors de l’exercice écoulé 5,5 milliards de dollars de nouvelles garanties, contribuant ainsi à mobiliser un montant total de 9,3 milliards. Les projets soutenus par la MIGA permettront d’assurer l’accès à l’électricité de quelque 3,6 millions de personnes et d’engranger 791 millions de dollars d’impôts et de redevances par an au profit des gouvernements concernés. Près de 30 % des garanties fournies par la MIGA au cours de l’exercice 2019 ont bénéficié à des projets situés dans des pays IDA ou des environnements fragiles, et quasiment les deux tiers ont favorisé l’adaptation au changement climatique ou l’atténuation des émissions de carbone. L’encours du portefeuille de garanties de la MIGA a doublé au cours des six dernières années, pour atteindre 23,3 milliards de dollars. Afin d’accroître son impact sur le développement, la MIGA a revu et normalisé ses contrats, tout en renforçant sa collaboration avec la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), la Banque asiatique de développement (BAsD) et la Société islamique d’assurance des investissements et du crédit à l’exportation (ICIEC), conformément à la préconisation du Groupe de personnalités éminentes du G20 sur la gouvernance financière mondiale.
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Le président de l’Assemblée Nationale ,Issiaka Sidibé a effectué ce lundi 22 juillet 2019 une visite chez les victimes pour s’enquérir des faits.
Un fait qui relève du litige foncier qui oppose la famille Diakité à Monsieur, Mohamed Lamine Maîga . Ils sont tous résident du quartier Ouolofobougou Bamako.
Il faut rappeler que la famille Diakité a vu sa concession démolie suite à une décision de justice qui donne tous les droits à Mr Maïga.
En réponse aux cris de détresses de la famille Diakité, le Président de l’Assemblée Nationale du Mali, Honorable Issiaka Sidibé est venu leur rendre une visite.
Une visite porteuse d’espoir pour la famille Diakité dans affaire qui leurs dépasse aujourd’hui.
Il s’agit du début des paiements de la dette interieure dont les benefiaires ne sont d’autres que les operateurs économiques. Selon, plusieurs sources, l’Etat malien a ardonné le paaiement des operateurs économiques. Notre source dira que la somme de 500 millions d’euro serait encours de mobilisation pour éponger la dette interieure pour trois ans.
Le gouvernement a commencé l’apurement de la dette intérieure depuis la semaine dernière. Les paiements ont déjà commencé et il est attendu le payement de près de 103 milliards de CFA dans les jours à venir pour apurer et relancer l’activité économique.
En ce qui concerne la mobilisation des fonds pour eponger la dette interieure, l’Etat et ses partenaires seraient en etroite collaboration avec les partenaires dans ces derniers temps afin de trouver une solution aux problèmes de la dette interieure pour le bon, et cela, deux cabinets d’etude seraient engagés, à savoir un cabinet Canadien et celui d’ivoirien.
Répartition des paiements
Tranche de 101 a 200 millions : 10 574 202 465 F CFA
– Tranche de 201 a 300 millions : 6 784 557 299 F CFA
– Tranche de 301 a 400 millions : 6 097 503 431 F CFA
– Tranche de 401 a 500 millions : 4 959 755 433 F CFA
– Tranche de 501 d 1 milliard : 14 857 218 105 F CFA
– Tranche de plus de 1 milliard : 59 363 246 976 F CFA