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Mali: IBK lance le dialogue politique inclussif

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Ce mardi 25 Juin 2019, le président de la Republique, chef d’Etat SEM Ibrahim Boubacar KEITA à procedé au lancement sollennel du dialogue politique inclussif au palais de Koulouba (salle des banquets). Cette rencontre a regroupé plusieurs acteurs de la societé toutes confondues, les groupes armées, les reprrsentants diplomatiques et les membres du gouvernements. C’edt en presence des Triumvrat.

Selon IBK « A l’instant, nous installerons les trois personnes sur lesquelles le choix que me confèrent mes charges, s’est porté, pour conduire le dialogue politique inclusif ainsi que le processus subséquent de réformes institutionnelles », dit-il.

Le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Ibrahim Boubacar Keita, a procédé ce mardi 25 juin 2019 au lancement officiel du dialogue politique inclusif. L’événement a eu lieu dans la Sale des Banquets du Palais présidentiel de Koulouba à 11 heures. Au total 400 personnes ont été invitées à ce lancement.


Il s’agit d’une femme et deux hommes. Pour le chef de l’Etat, Ibrahim Boubacar KEITA explique que  » La femme, d’abord : une femme attachée au terroir, au territoire, à l’Afrique, dans un monde
partageux où les uns ne sont pas des loups pour les autres. Une femme au verbe et clair et haut : Aminata Dramane Traoré. Merci chère sœur de nous avoir fait l’honneur d’accepter ! Maintenant les deux hommes, mes aînés respectables.
Baba Hakib Haidara, le médiateur de la République, militant infatigable, persuasif et loyal. Il vient à cette mission, fort de décennies d’expérience, dans la science de l’écoute, de l’interaction et de la synthèse.
Puis, Ousmane Issoufi Maiga, ancien Premier ministre, homme d’action porté sur le résultat, avec la poigne et l’autorité qui lui sont reconnues, mais également avec le respect qui lui est témoigné, y compris par ses adversaires », a-t-il expliqué.

Le chef de l’Etat n’a pas manqué de remercier M. Baba Hakib Haidara et Ousmane Issoufi Maiga.Il les remercie également pour avoir fait l’honneur d’accepter.

Selon lui, « Dans ces travaux, vous aurez certes besoin de tout le Mali dans son ensemble mais pour coordonner et harmoniser cet ensemble, un homme d’expérience vous accompagne,
l’Ambassadeur Cheick Sidi Diarra dont le parcours pour le moins élogieux milite en tous points pour lui, là encore au bénéfice du pays tout entier », s’est-il rejouit, le président Ibrahim Boubacar KEITA.

Daouda Bakary KONE

ource: Croissanceafrique.com

Telecom:L’opérateur français Orange quitte le Niger

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La multinationale française Orange quitte le marché nigérien où elle opère depuis 2008. Une décision annoncée en début d’année à la suite du contentieux opposant Orange Niger aux autorités fiscales. Le groupe télécoms est désormais à la recherche d’un repreneur de sa filiale nigérienne.

Cette fois, c’est officiel ! L’opérateur français Orange quitte le Niger dès qu’un accord sera trouvé avec un éventuel repreneur. La confirmation de ce départ a été faite par Alioune N’Diaye, directeur exécutif du groupe Orange pour la région Afrique et Moyen-Orient (AMEA), qui vient de séjourner à Bamako au Mali, où il a rencontré le président Ibrahim Boubacar Keita (IBK).

A l’occasion de la conférence de presse qu’il a tenue en marge de la visite et interrogé sur le cas de la filiale nigérienne d’Orange, N’Diaye a confirmé ce que la presse locale évoquait depuis quelques mois, c’est-à-dire la fin de l’aventure de l’opérateur télécoms dans le pays. Saluant les autorités maliennes pour avoir su créer un environnement propice aux investissements et au développement des activités des entreprises, le directeur exécutif d’Orange AMEA a par contre indiqué qu’au Niger, la pression fiscale est décourageante.

«Aujourd’hui, il y a plus de téléphones actifs au Mali que de Maliens. En contrepartie, le Mali est aussi le pays où l’Etat récolte plus de recettes taxes, impôts redevances, de droits de douane. C’est un système vertueux», a avancé Alioune N’Ndiaye avant d’ajouter que «par contre, au Niger, l’Etat a mis un niveau d’impôts tel que cela fait environ 10 ans qu’on y est avec un investissement de 190 milliards de Fcfa, mais à la clé zéro-bénéfice».

«Le Niger a pris le contraire du système vertueux du Mali, c’est pourquoi on va quitter ce pays, mais dans l’ordre. Nous sommes en train de chercher un repreneur pour que l’activité continue et que les emplois soient préservés. Nous avons des offres et des gens sont intéressés pour reprendre», a confié Alioune N’Diaye, directeur exécutif du groupe Orange pour la région Afrique et Moyen-Orient (AMEA).

Contentieux fiscal

En attendant l’arrivée d’un éventuel repreneur, Alioune N’Diaye a indiqué qu’Orange a reçu plusieurs offres sans toutefois évoquer de nom. D’ailleurs, plusieurs repreneurs ont été annoncés sans que cela soit confirmé par la direction d’Orange Niger (ONI). Les plus probables parmi ces derniers et dont les noms ont été relayés par la presse locale, l’on retrouve l’homme d’affaires Mohamed Rhissa, dit «Rimbo». Déjà actionnaire majoritaire local d’Orange Niger, il pourrait reprendre les actifs d’Orange dans le tour de table de la filiale locale et ainsi étendre ses activités sur le marché juteux des télécoms, après avoir fait prospérer ses affaires dans le transport, le transfert d’argent et les hydrocarbures.

Selon nos sources, la décision d’Orange sera prise dans les prochaines semaines à la suite des négociations toujours en cours et qui s’avèrent difficiles au regard du passif de l’entreprise surtout à la suite du contentieux qui l’oppose à l’administration fiscale. C’est d’ailleurs à la suite d’un redressement fiscal contesté fin 2018 que la société a décidé de quitter le pays.

En février dernier, Orange Niger s’est mise sous protection judiciaire auprès du tribunal de commerce de Niamey, après la mise sous scellé, pendant plus d’un mois, de ses locaux par la Direction des impôts qui lui réclamait 22 milliards de francs CFA (33 millions d’euros), soit près de 50% de son chiffre d’affaires. Depuis, la maison-mère n’a pas caché sa volonté de quitter le pays et a ainsi engagé des discussions avec de potentiels repreneurs.

Présente au Niger depuis 2008, Orange Niger compte quelque 2,5 millions de clients et a réalisé 86 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2018.

Aboubacar Yacouba Barma 

La Tribune Afrique

Mali: Première visite de prise de contact du ministre Yaya Sangaré avec l’Autorité Malienne de Régulation des Télécommunications/TIC et des Postes

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Le Ministre en charge de la Communication, M. Yaya SANGARE, accompagné des membres de son Cabinet, a rendu ce matin 24 juin 2019 sa première visite de prise de contact avec l’AMRTP (Autorité Malienne de Régulation des Télécommunications/TIC et des Postes).

Il a été reçu à son arrivée par le Directeur Général de l’AMRTP, M. Cheick Sidi Mohamed Nimaga, entouré de ses plus proches collaborateurs dont les membres du Conseil de régulation, les directeurs des départements techniques présents à Bamako ou leurs intérimaires.

Après une large introduction par le DG sur les missions de l’Autorité, le Ministre et sa suite ont eu droit à une visite de l’ensemble des départements techniques dont les agents font au quotidien un travail remarquable de régulation par un contrôle à temps réel du spectre des fréquences, des installations des opérateurs de télécommunications auxquelles l’ARMTP est directement connecté par des liaisons spécialisées en fibre optique à la quête constante d’anomalies éventuelles à relever et signaler en vue d’assurer au Mali une meilleure qualité des services de télécommunication, des postes et d’internet au Mali.

Pour le Ministre Yaya SANGARE, impressionné par la qualité des installations techniques de l’Autorité, a déclaré que l’AMRTP est une fierté qui doit travailler à une baisse des coûts des télécommunications, l’accès universel à tous les citoyens sur toute l’étendue du territoire nationale y compris les régions de Kidal, Tombouctou et Gao en ce moment difficile d’accès à cause de l’insécurité.

Le Ministre a informé le DG de l’ARMRTP de la rencontre qu’il aura dès demain avec les Directeurs de la SOTELMA- Malitel et de Orange Mali, en présence du président de la CMA, pour étudier concrètement les conditions rapides du retour des opérateurs de téléphonie dans les régions du pays ci-citées, en vue d’y assurer un accès universel aux services de télécommunication.

Le Directeur Général de l’AMRTP, Cheick Sidi Mohamed Nimaga, par ailleurs président du Conseil de régulation de l’Autorité, s’est bien disposé après l’audience du Ministre avec les opérateurs de reprendre le dossier pour voir à son tour avec eux comment accélérer ce processus de redéploiement.

Aissatou TRAORE

Source: Croissanceafrique.com

Turbulences à l’ASECNA : 15,7 milliards de francs CFA volatilisés pour la seule année 2017

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Jeune Afrique a eu accès aux trois derniers rapports d’audit annuel, confidentiels, de l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (Asecna), qui couvre dix-sept pays africains. Ordres de paiements et règlements en espèces sans justificatifs, clients non identifiés, factures volatilisées… Les centaines de pages de documents que nous avons décryptées sont accablantes.

ces documents dévoilent, outre une gestion budgétaire catastrophique, l’évaporation depuis au moins six ans de sommes considérables : 15,7 milliards de francs CFA (24 millions d’euros) pour la seule année 2017.

VOIR+: Air Côte d’Ivoire: Attention! Ça « vole » à bord [témoignage]

À qui ont profité ces détournements ?

« La gestion pour le moins archaïque de l’agence, en particulier son informatisation encore très insuffisante, a sans nul doute favorisé ces dérives. L’insuffisance, voire l’absence, de contrôle interne et de validation hiérarchique, aussi », explique Jeune Afrique dans son enquête.

Où sont passés ces fonds ? Qui sont les responsables ? Pourquoi les directeurs généraux et les dix-sept ministres des Transports de la zone n’ont-ils pas réagi alors qu’ils étaient informés depuis des années ? À qui ont profité ces détournements ?

Jeune Afrique

Anniversaire du prêcheur Farouck: Ses fidèles debloquent une bagatelle de 25 millions de CFA pour ses beaux yeux

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Célébrer son anniversaire est devenu, aussi bien pour les pauvres que pour les riches, une contagion et une exigence de prouver son existence. Plusieurs leaders religieux ont prouvé cette extravagance, comme à l’occidentale dont la pratique est de tradition.

À Bamako, ce 22 juin 2019, a été célébré l’anniversaire de Cheick Oumar Coulibaly dit Farouck au Palais des Sports avec une grande prière en son honneur. Aussi, une grande mobilisation à son domicile au quartier Baco-Djicoroni où plusieurs cadeaux, en nature, ont été offerts par ses partisans. On pourrait noter des animaux, des habits, des téléphones ou des céréales.

Les personnes mobilisées seraient estimées à environs 3500 fidèles pour commémorer l’anniversaire. Des sources rapportent que 25 millions de FCFA auraient été collectés par ses partisans( associations ikimaldine) comme cadeau d’anniversaire au prêcheur. La fête n’a connu aucun incident. Le titre est de la redaction de croissanceafrique.com

Source: Figaro du Mali

CEDEAO: « Consensus » autour du nom de la monnaie unique

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APA-Abidjan (Côte d’Ivoire)

Un « consensus » s’est dégagé, mardi à Abidjan, sur la dénomination de la monnaie unique de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), à l’issue d’une réunion des ministres des Finances et des gouverneurs des banques centrales de la région.

« Il y a eu un consensus autour d’un nom et c’est ce consensus qui va être porté à la connaissance des chefs d’États qui auront à décider» à l’occasion d’un Sommet à Abuja fin juin 2019, a dit à la presse le ministre ivoirien de l’Économie et des finances, Adama Koné, en marge de la clôture de la session.

Selon le projet de rapport consulté par APA, « à l’issue des échanges, un consensus s’est dégagé sur la dénomination ECO comme monnaie unique de la CEDEAO. Toutefois, un accord n’a pu être trouvé pour le symbole. A cet égard, il a été recommandé d’approfondir les réflexions sur le symbole associé au nom ECO ».

Concernant le nom de la monnaie unique, la réunion a été informée que le Groupe de travail sur le nom et le symbole, a « retenu trois noms pour la monnaie unique de la CEDEAO sur un ensemble de 13 propositions soumises à son appréciation ».

Par ordre, les noms proposés sont « ECO (1), AFRI (2) et KOLA (3) », souligne le projet de rapport qui mentionne que « les choix de ces noms ont été opérés sur la base des critères pondérés préalablement définis », prenant en compte l’identité de la CEDEAO (40%), la signification (25%), la facilité de prononciation (20%) et la créativité (15%).

Interrogé, le président de la Commission, Jean-Claude Brou, a relevé que les ministres ont, au cours de la rencontre, « beaucoup insisté sur la convergence macroéconomique » au regard des tailles des différentes économies de la région.

La convergence, souligne-t-il, « dépend des efforts des pays et il y a des critères de premier rang et de deuxième rang » que les États membres de la CEDEAO « doivent continuer à respecter pour aller à cette monnaie unique ».

Évoquant la convergence macroéconomique 2018 de la Communauté, la réunion a noté que la région a enregistré « une croissance de 3,0% en 2018 contre 2,3% en 2017. Elle devrait connaître une croissance de 3,4% en 2019 ».

Le rapport fait, en outre, état de ce que les performances des Etats membres sont restées relativement stables par rapport à celles de 2017. Quant aux performances au niveau des critères primaires en 2018, il ressort que « la situation s’est détériorée pour le critère du déficit budgétaire ».

Pour le critère du déficit, « cinq pays respectent la norme contre sept en 2017. Par contre, l’on note des améliorations en termes de conformité aux critères relatifs à l’inflation et au financement du déficit budgétaire par la banque centrale avec un pays supplémentaire, portant respectivement à 12 et à 14 le nombre total de ces pays qui respectent ces critères », poursuit le rapport.

La performance concernant le critère des réserves brutes en mois d’importations est, quant à elle, « restée stable en 2018 avec quatorze pays comme en 2017 ». Celle au titre des critères secondaires en 2018 s’est améliorée en termes de stabilité du taux de change nominal.

S’agissant de la conformité au critère de la dette publique, « la situation est demeurée inchangée avec douze pays respectant la norme en 2017 et 2018», poursuit le document.

Cette réunion de la Commission de la CEDEAO, tenue du 17 au 18 juin 2019, avait pour objectif d’examiner les rapports du Comité technique tenu du 13 au 15 juin 2019, du Groupe de travail sur le régime de change, le cadre de politique monétaire, le nom et le symbole de la monnaie unique.

La rencontre a réuni les gouverneurs des banques centrales de la BCEAO, de la Banque centrale de la Guinée (BCRG), la Banque centrale du Ghana (BoG), la Banque centrale de la Gambie (CBG), la Banque centrale du Libéria, la Banque centrale du Nigeria (CBN) et la Banque centrale de la Sierra Leone (BSL).

Par croissanceafrique.com

Mali, rentrée politique de l’ASMA à Segou : Une remobilisation pour les échéances électorales futures!

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La rentrée politique du parti ASMA s’est tenue hier dans la capitale de la 4ème région, Ségou. Elle était placée sous la présidence de Soumeylou Boubeye Maïga, président du parti. D’abord, nos sources ont constaté une exhibition des véhicules V8 neufs dans le cortège de l’ancien Premier Ministre, une douzaine selon la même source.

Selon les confidences de certains militants, les dépenses de la rentrée politique auraient vu la participation et l’implication d’un opérateur économique Ibrahim Doucoure.
Nos réseaux discrets ont aussi rapporté que la majorité des participants ont quitté Bamako pour participer à l’ événement. La mobilisation des Segoviens semblerait minime

Des forces de l’ordre ont escorté le convoi du Tigre. La pluie ,suivie d’un vent violent, a provoqué une tempête de sable qui a quelque peu perturbé les travaux de cette rentrée politique.

Plusieurs annonces de coalition avec l’ADEMA en particulier pour les échéances électorales à venir. Des piques auraient été lancées aux détracteurs du parti et de son président. Il s’agirait de Mahamoud Dicko et des opposants qui auraient torpillé les efforts de Soumeylou Boubeye.

Des visites ont été rendues dans huit (08) familles dans la ville dont celles de Simaga et Doucoure, l’opérateur Économique qui est à remercier. Selon des recoupements effectués, le président de l’ASMA, pendant ses visites aux notabilités, se serait confié aux Segoviens. Il se considèrerait comme ressortissant de cette ville autant que celle de Gao à cause de son amour pour la région de segou.

Deux équipes de l’ORTM ont couvert l’événement sous la vigilance de la police qui a interrompu la circulation pendant le passage de la délégation.

Source: Figaro du Mali

CEDEAO: Le Groupe de travail sur le nom et le symbole de la monnaie unique(AFRI, KOLA et ECO)

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Le groupe de travail a retenu trois noms pour la monnaie unique de la CEDEAO sur un ensemble de treize (13) propositions soumises à son appréciation.

Par ordre, les noms proposés sont : 1) ECO, 2) AFRI et 3) KOLA. Les choix de ses noms ont été opérés sur la base des critères pondérés préalablement définis, à savoir : i) Identité de la CEDEAO (40 %) ; (ii) Signification (25%) ; iii) Facilité de prononciation (20%) ; et iv) Créativité (15%). De même, les symboles associés à chacune des trois propositions de nom ont été présentés.

Notons les travaux du groupe de travail s’est deroulé à Abidjan, les 17 et 18 juin 2019.

Aissatou Traoré

Source : croissanceafrique.com

Mali: IBK, reçoit le Triumvirat du dialogue politique inclusif

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Le Président de la République, Chef de l’Etat Son Excellence Monsieur Ibrahim Boubacar Keita, a reçu en audience dans l’après-midi du samedi 22 juin 2019 , les membres du Triumvirat chargés de conduire le dialogue politique inclusif au Mali et Son Excellence l’Ambassadeur Cheick Sidi Diarra , président du comité d’organisation qui va assurer la préparation matérielle et scientifique du dialogue politique. C’est la première fois que le Chef de l’Etat reçoit ces 4 grandes personnalités de notre pays ensemble depuis leur nomination le 7 juin 2019 lors d’un Conseil des ministres extraordinaire. La rencontre a eu lieu à la Villa des Hôtes du Mali , Ex-Base B.

Le dialogue politique inclusif portera sur l’ensemble des sujets d’intérêt national notamment les réformes institutionnelles, les réformes politiques, les réformes institutionnelles et Sécuritaires, le nouvel élan accélérateur du processus de mise en œuvre de l’Accord pour la paix et la réconciliation nationale issu du processus d’Alger et signé à Bamako. 

La situation générale dans notre pays évolue dans le sens de l’apaisement social et politique. Avec sa main tendue à tous ses frères , camarades politiques de tous bords et en appelant au sursaut national pour régler définitivement les nombreux problèmes auxquels notre pays est confronté , le Président de la République entend trouver une solution définitive participative , pour le retour rapide du Mali dans le concert des nations . 

Pour rappel les personnalités chargées de conduire le processus du dialogue politique inclusif sont : le Pr Baba Akhib HAIDARA, Médiateur de la République ; Ousmane Issoufi MAIGA, ex Premier ministre et Aminata Dramane TRAORE, ex ministre et Son Excellence l’Ambassadeur Cheick Sidi Diarra du Comité d’organisation pour la préparation matérielle et scientifique du dialogue politique.

L’audience s’est déroulée en présence du Premier ministre , Chef du gouvernement, du Ministre de l’Administration territoriale et de la décentralisation, du Ministre Secrétaire Général de la Présidence de la République, du Chef de Cabinet du Président de la République .

Cellule de Communication et des Relations Publiques de la Présidence de la République

Mali: IBK rencontre son Haut Représentant pour le Centre du Mali.

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« Lorsque le Mali me fait appel , je réponds » dixit Dioncounda Traoré

Le Président de la République, Chef de l’Etat Son Excellence Monsieur Ibrahim Boubacar Keita, a reçu en audience en début de soirée du samedi 22 juin 2019 , l’ancien Président de la Transition, le Professeur Dioncounda Traoré nommé Haut représentant du Président de la République pour le Centre.

Venu échanger pour la première fois avec le Chef de l’Etat depuis sa nomination à ce poste , le Haut représentant du Président de la République à sa sortie d’audience a mesuré à la fois l’importance et la difficulté de la tâche à lui confiée par IBK: « J’ai été honoré d’être choisi pour mener à bien cette mission; du fait qu’elle est difficile, on me fait appel à moi, c ‘est probablement dû à la qualité. Mais au-delà de cela, je reçois la mission avec humilité mais aussi avec beaucoup de détermination , avec bonne volonté . J’espère contribuer à la résolution de ce problème au Centre du Mali
avec l’accompagnement de chaque Malien, de chaque Malienne parce que mon pays aujourd’hui a besoin de ça . Donc c’est une lourde tâche. Je disais tout à l’heure à mon frère Président que j’avais pensé que désormais j’allais passer le reste de ma vie dans le confort….mais lorsque lui me fait appel, je réponds et lorsque le Mali fait appel à moi je réponds ». A évoqué le Prof Dioncounda Traoré.

L’audience s’est déroulée en présence du Premier ministre, du ministre de l’administration, du ministre secrétaire général de la Présidence de, du Chef d’état major particulier du président de la République, du Chef de Cabinet du Président de la République.

Cellule de Communication et des Relations de la Présidence de la République