Accueil Blog Page 1828

Mali : C’est parti pour la 5ème édition du salon des jeunes entrepreneurs de la zone UEMOA.

0

Ce samedi 24 novembre 2018, les organisateurs du salon des jeunes entrepreneurs de la zone UEMOA ont procédé à l’ouverture de la 5ème édition du SAJE-UEMOA. Il s’agit de quatre jours les participants et acteurs évoluant dans l’entreprenariat des jeunes venant des pays de l’UEMOA échangeront sur divers thématiques qui semblent essentiellement incontournable pour bâtir le socle fort et solide pour l’émergence économique et monétaires de la zone de l’Union Economique Monétaire Ouest Africaine. La 5èédition est placée sous le thème : Oser le partenariat inter-entreprises PME-pmi « opportunités, enjeux et défis dans l’espace UEMOA ».

A sa prise de parole le président de la commission d’organisation monsieur Idrissa Coulibaly a rappelé « qu’après une année d’absence, 2017, qui nous d’ailleurs permis de mieux échanger et de sceller nos contacts avec les partenaires, le SAJE-UEMOA se donne comme leitmotive d’offrir aux entrepreneurs jeunes ; un cadre d’échanges mutuels ; avantageux et fructueux basés sur nos propres expériences et celles de nos mentors, des myriades d’opportunités qui se présentent. Il nous revient de nous accorder sur des propositions appropriées de développement d’affaires fructueuses et durable propre à notre zone économique et monétaire » a-t-il rappelé.
Au cours de son allocution Idi Coulibaly a invité l’implication des gouvernements de la zone UEMOA et partenaires techniques et financiers d’y soutenir d’avantage ce projet dans la mobilisation des jeunes entrepreneurs des 8 pays de la zone tout en mobilisant soit « 10 entrepreneurs par pays à prendre part à ce rendez-vous du Mali et cela aura sans nul doute , des incidences positives et des incitations à la création et à la gestion des entreprises afin de d’alléger nos gouvernements des millions de jeunes diplômés ou jamais formés et donc , sans emplois stables » a-t-il invité.
Pour sa part, le président de l’association des jeunes entrepreneurs de la cote d’Ivoire M. JEAN PAUL BAYA « Il nous faut une synergie d’action afin que SAJE-UEMOA devient plus forte, nous avons un marché commun, une monnaie commune, un langage commun, donc prenons des initiatives pour les 8 pays, allons à la création des capitaux et fédérons nos capitaux » a-t-il exigé.
Dans son intervention, l’Universitaire et coach des jeunes entrepreneurs M. Ibrahim TEO LAM commencera son discours par des problématiques « pourquoi doit-on oser l’entreprenariat en tant que pays Africain ? qu’est-ce qu’on doit faire en tant que jeunes entrepreneurs ? Il répondra par la suite que la jeunesse africaine doit procéder à l’innovation et à la création des capitaux. Il ajoute ensuite qu’il ne faut s’arrêter aux bien et à l’utilisation de la création d’autrui (mettant l’accent sur les occidentaux et leur créativité pour nous manipuler). « Vous êtes à l’école ou pas, tout le monde peut procéder à la création de son packaging » il faudrait apprendre que « l’entreprenariat commence par moi-même, réfléchissons ensemble et nous allons prendre notre destin en main », a exhorté le coach LAM.
A son tour le représentant résident de l’UEMOA au Mali, M. Mamadou Moustapha BARO affirme que « cette 5 ère du SAJE-UEMOA 2018 « édition les jalons pose essentiellement les jalons des nouvelles ères de la zone UEMOA. Les défis s’articulent autour de la facilitation des financements des projets jeunes dans l’espace UEMOA. En matière d’accompagnement, les structures de la zone l’UEMOA ont bénéficié un programme de Co- développement dans plusieurs secteurs dont les collectivités locales et territoriales », a laissé entendre.

Daouda Bakary KONE

Source: croissanceafrique.com

Mail: croissanceafrik@gmail.com

Mali: le ministre Yaya Sangaré, l’Invité au dîner Gala « Osez le retour »

0

Voici les impressions du ministre des maliens de l’extérieur et de l’intégration Africaine « J’étais l’invité d’honneur de Mme Yara Fatoumata Camara, initiatrice de la soirée Gala « Osez le retour » hier au musée national de Bamako.

Cette soirée visait à sensibiliser la jeunesse malienne de la Diaspora à rentrer au pays et y contribuer à son développement. C’est une initiative qui rentre dans le cadre de la politique du gouvernement du Mali à travers mon département.

Elle visait également à collecter des donations pour venir en aide aux jeunes excellents bacheliers maliens qui par manque de moyens des parents auraient leurs études s’arrêté et aussi elle visait à accompagner les femmes victimes de fistule dans la région de Mopti » a-t-il donné comme impression.

Daouda B koné

Mail: croissanceafrik@gmail.com

Source: croissanceafrique.com

Mali: L’autopsie de la gouvernance IBK et le péril malien!

0

Dans un régime démocratique, la conquête et l’exercice du pouvoir se fait à partir des règles édictées dans une loi fondamentale appelée constitution.

Le Mali a adopté par référendum une constitution le 25 février 1992 et c’est celle-ci qui régit le règles de fonctionnement des pouvoirs en république depuis plus de 20 ans.

Cette constitution est un bon compromis pour assoir les bases d’un exercice équilibré des pouvoirs législatif, judiciaire et exécutif au Mali et son respect scrupuleux conditionne la bonne gouvernance du pays.

Mais malheureusement cela n’a pas été le cas et l’un des pouvoirs en occurrence le pouvoir judiciaire est en panne depuis 1992 et peine à dire le droit et forcer le pays sur les sentiers l’état de droit et de la bonne gouvernance.

Toutes les dérives de la république et de la nation malienne trouvent leur source dans le non respect de nos règles de fonctionnement de la société de nos lois et règlements.

Bien qu’étant très critique des régimes Alpha et ATT pour leur mauvaise gouvernance du pays, je me suis farouchement opposé aux putschistes du 22 mars 2012 parce qu’ils mettaient en cause l’existence même du régime démocratique et faisaient retourner le pays dans les sombres moment du CMLN, donc d’un régime politique d’exception qui ouvrait la porte à toutes les aventures.

Alors que le régime démocratique garantit les libertés fondamentales du citoyens surtout l’égalité devant la loi, la liberté d’expression et d’opinion, la protection des patrimoines privés et publics, etc.

Les journalistes et les politiques qui ont été lâchement agressés par la soldatesque ivrogne de Kati sont là pour témoigner la différence fondamentale en matière de liberté entre un régime démocratique et un régime d’exception conduite par des militaires à la limite analphabètes et qui dirigent le pays par leur instinct et non par la loi.

Mais le régime démocratique, n’est pas non plus une assurance tout risque pour un peuple, surtout s’il est travesti, il peut conduire le pays au chaos.

Que Dieu nous en préserve.

Elu à 77% des suffrages exprimés en aout 2013 au Mali, IBK s’est littéralement entouré de sa famille et de ses amis pour diriger un pays en crise.

Ces discours enflammés et provocateurs, à commencer par celui du 2 octobre 2013, ont d’abord eu raison aux têtes brûlées de la junte militaire de Kati, en overdoses de mutineries fin septembre 2013.

Le général météorite Sano De Gaulle et sa nuée de spadassins indisciplinés, inventeurs des charniers de Diago et environs croupissent désormais derrière les barreaux en attente de procès pour assassinat et autres chefs d’inculpations.

Si la junte est rentrée dans les rangs, IBK qui montrait une « main fer dans un gang de velours » aux rebelles du Nord et qui a juré ne pas « négocier avec des hommes en armes » ni de les permettre de « se hisser à son niveau », en est réduit aujourd’hui à donner des villes entières du Mali à ces mêmes « hommes en armes » après avoir été « ivre de bonheur ».

Entre ces deux positions diamétralement opposé, il faut partir de la doctrine IBK sur la crise du Nord du Mali qui est de:

Tout est négociable sauf l’intégrité territoriale du Mali et la forme forme laïque de la république.

C’est doctrine n’est pourtant pas une invention d’IBK c’est la ligne de conduite de tous les pouvoirs successifs du Mali depuis Moussa Traoré et c’est également la position édictée dans les résolutions de l’ONU sur le Mali votées par le conseil de sécurité en 2013 bien avant l’élection d’IBK.

Négocier, c’est le fil conducteur voulu par la communauté internationale précipitée au chevet du Mali depuis que les bidasses fuyards des combats au nord et pilleurs à Bamako ont sabordé notre constitution le 22 mars 2012 et qu’ils ont entraînée la chute vertigineuse des 3 régions du nord et d’une bonne partie de celle de Mopti moins de 10 jours plus tard.

Le régime transitoire de Dioncounda Traoré et son négociateur attitré, Tiebilé Dramé, avait aussi réussit dans l’accord préliminaire de Ouagadougou du 18 juin 2013, à préserver le principe de l’intégrité du territoire national et la forme laïque de la république.

Mais cet accord préliminaire était une invitation à négocier qui a permis de faire les élections qui ont vu élire IBK et il lui donnait 6 mois pour cela.

IBK enfermé dans une sorte d’euphorie de la victoire électorale et des fastes de son investiture XXL avec rois et présidents du 19 septembre 2013 à Bamako, à cru bon de se la jouer Mandé Massa.

Il va privilégier les voyages coûteux en jets privés ultra luxueux, s’arroge le droit de s’offrir un second avion présidentiel abondamment surfacturé et multiplie des marchés publics de gré à gré à des coûts de centaines de milliards, en violation flagrante de toutes les règles des finances publiques au Mali.

La famille et les copains, tout au tour, bouffent à deux mains l’argent public, mais ni l’Etat malien, ni ses institutions comme l’armée, la justice, l’école, l’administration, n’ont réussit la moindre cure d’amélioration de la gouvernance qui a été pourtant à l’origine de l’effondrement du pays en 2012.

La communauté internationale qui s’était félicitée des élections réussies dans le pays en 2013, avait promis 3,2 milliards d’euros pour la stabilisation et la reconstruction du pays.

Mais l’attitude budgétivore du Mandé Massa, belliciste et attentiste pour rouvrir les négociations de paix avec les groupes armés non terroristes du nord, refroidit les ardeurs de beaucoup de partenaires techniques et financiers du pays qui traînent du coup pour décaisser les milliards promis au pays.

Le chef de file des bailleurs de fonds, le FMI, coupe les cordons de la bourse au pays depuis juin 2014 quand il découvre une avalanche de marchés publics extra budgétaires et en dehors de toutes règles alors que le pays est sous perfusion financière internationale.

Comment peut-on gaspiller inconsciemment l’argent de son propre pays malade de partout quand on a la main tendue aux autres?

C’est vous qui le savez sublime Mandé Massa de la 25ème heure!

Le FMI ayant obligé IBK et son gouvernement à budgétiser toutes les dépenses publiques, le résultat a été l’explosion du budget de Koulouba qui passe (sans raisons valables) de 9 milliards pour 2014 à 14 milliards pour 2015 suivi par celui de l’assemblée nationale qui augmente de 3 milliards lui aussi.

Alors que Mme Fily Bouaré, ex ministre des finances d’IBK, l’architecte du gaspillage de nos sous, se ventait que les dépenses publiques ont diminué dans le budget 2015.

Comprenez par là que les dépenses d’investissement publics pour plus d’écoles, plus d’hôpitaux, plus d’universités, plus d’électricité, plus d’eau potable, plus de logements sociaux, plus de routes, etc, diminuent pour nous tous mais les dépenses de fonctionnement de Koulouba et de l’assemblée nationale augmentent pour plus de caviar et plus de voyages luxueux pour IBK et sa famille et copains.

Dans cette situation il n’est pas étonnant que l’armée ne soit pas équipée à hauteur de souhait, il n’est pas étonnant que nos bacheliers font seulement 17% de réussite au baccalauréat malien en 2014.

C’est une politique publique à l’envers qui consiste à inverser les priorités dans le pays et à prendre des chemins tordus avec l’argent public qui a fait partir Oumar Tatam Ly.

Moussa Mara qui lui a succédé n’a pas été courageux, par opportuniste outrancier, de redresser la barre de la restructuration de l’État au Mali.

Au contraire il a excellé dans l’excès de zèle et le mensonge éhonté jusqu’à vouloir précipiter l’armée dans une guerre non préparée à Kidal, une armée malienne dont il n’a rien donné de surcroît ni avions de combat ni hélicoptères de combat, ni orgues de Staline.

Les rebelles de la CMA sachant cela montent tous les jours la surenchère car ils savent que le pays n’a plus de mordant pour leur faire rentrer dans les clous de la république.

Pour préserver leurs communautés menacées de toutes sortes d’exactions par ces rebelles surexcités, violeurs, voleurs et pilleurs, des milices d’autodéfense patriotiques et déterminées se sont constituées et chassent les rebelles de la CMA de leurs terres qu’ils squattent depuis la bérézina de Moussa Mara en mai 2014.

Comme entre temps le régime médiocre d’IBK a signé du n’importe quoi qu’il appelle « arrangements sécuritaires » avec les voyous de la CMA, même les défaites militaires ces rebelles sans vergogne de la CMA face aux milices d’autodéfense patriotiques se transforment désormais en victoire pour eux car la communauté internationale est friande du respect des engagements pris et abuse d’un État inconscient du Mali pour appuyer ses pions auprès des rebelles sans scrupules de la CMA.

Cette situation est incubateur de guerre civile car ceux qui sont armés pour défendre leurs communautés au nord du Mali, ne vont pas indéfiniment se plier aux désidératas d’une communauté qui se dit internationale et qui collabore avec des voyous de la CMA au nom d’une paix usurpée et extravertie.

Il n’y a pas de paix au nord du Mali, sans les communautés du Nord du Mali et vouloir à tout pris leur imposer la domination des voyous faiblards de la CMA sur toute l’étendue du Nord du Mali est une irresponsabilité grave de la communauté internationale et le régime IBK qui se plaint aujourd’hui qu’il a été empêché d’équiper l’armée malienne en est le principal responsable de cette situation car personne ne lui a empêcher de s’offrir un Boieng 737 surfacturé à bloc.

Allabonnima!

Salute!

Source: croissanceafrique.com

Contribution d’un internaute.

Mail: croissanceafrik@gmail.com

Mali: Le chef jihadiste peulh Amadou Kouffa aurait été tué par l’armée française

0

Amadou Kouffa aurait trouvé la mort dans une attaque menée dans la nuit du 22 au 23 novembre par l’opération Barkhane dans la région de Mopti où le chef jihadiste tenait une katiba dénommée le front de libération du Macina. L’annonce a été faite sut le réseau social Twitter par la ministre française des armées, Florence Parly.
Mais c’est le site des forces armées françaises qui a donné plus de détails sur cet assaut qui aurait permis de neutraliser le numéro trois du Groupe de soutien à l’Islam et aux musulmans.
Selon defense.gouv.fr, une « trentaine de terroristes a été mise hors de combat, parmi lesquels figurent probablement le chef de la katiba Massina, Hamadoun Kouffa, et ses principaux cadres ».
Si la mort d’Amadou Kouffa se confirme, ce sera sans doute une perte énorme pour le GSIM qui enregistrera au cas échéant, la mort encore de l’un de ses cadres en moins d’un an.
Rappelons que Mohamed Ould Nouini, alors numéro 3 de cette fédération d’organisations jihadistes s’activant au Mali et dans la sous région, a été neutralisé par l’Armée française le 14 février dernier dans région d’In-Aralouas, non loin de la frontière avec l’Algérie.
Cette opération de l’armée française intervient moins de deux semaines après la diffusion d’une vidéo de Kouffa appelant les peulhs de toute l’Afrique de l’Ouest au jihad.

Daouda B

Source: croissanceafrique.com

Mail: croissanceafrik@gmail.com

Russie : décès du chef du service de renseignement militaire

0

Le chef du service de renseignement militaire russe, Igor Korobov, est mort à 62 ans des suites d’une « longue maladie », après avoir dirigé deux ans ce service accusé de l’empoisonnement d’un ex-agent en Angleterre et de cyberattaques à travers le monde, ont indiqué jeudi les autorités.

Le successeur d’Igor Korobov, qui était à la tête de la Direction générale des renseignements (GRU) de l’état-major des armées depuis 2016, n’a pas encore été désigné, ont précisé les agences d’information russes, citant un communiqué du ministère de la Défense.

Son prédécesseur Igor Sergoun était décédé en janvier 2016.

Le général Korobov était entré dans l’armée soviétique en 1973 et avait rejoint le renseignement militaire en 1985. Il était visé par des sanctions de Washington, qui l’ont placé sur liste noire pour les ingérences présumées du GRU dans l’élection de Donald Trump en 2016.

Le ministre russe de la Défense, Serguei Choïgou, a salué dans un communiqué la mémoire « d’un grand homme, un Russe fidèle et un patriote ».

Le président russe Vladimir Poutine a aussi présenté ses condoléances « à sa famille, ses proches et ses collègues », a indiqué aux journalistes le porte-parole du Kremmlin, Dmitri Peskov. « Ils avaient un dialogue constant, en tant que commandant en chef et directeur d’un des grands services de renseignement », a-t-il précisé.

– Service centenaire –

Fondé en 1918, le GRU, longtemps considéré comme un rival du KGB pendant l’époque soviétique, a la réputation d’être la plus puissante agence d’espionnage russe, tout en étant restée pendant longtemps peu connue du grand public.

Il fait partie des trois grandes agences de renseignement russes, avec le FSB, héritier du KGB spécialisé dans les affaires intérieures, et le renseignement extérieur civil (SVR).

Ces derniers mois, plusieurs pays occidentaux ont accusé le GRU d’être impliqué dans des cyberattaques et piratages dans le monde entier et Londres l’a mis en cause dans l’empoisonnement en mars en Angleterre d’un ex-agent double russe, Sergueï Skripal.

Les autorités britanniques ont émis des mandats d’arrêt contre deux agents présumés du GRU, soupçonnés d’avoir perpétré l’attaque au Novitchok, un puissant agent innervant, contre l’ex-espion russe Sergueï Skripal et sa fille Ioulia le 4 mars à Salisbury, en Angleterre.

Aux Etats-Unis, le GRU a notamment été accusé d’être à l’origine du piratage des ordinateurs du parti démocrate américain, prélude au scandale de l’ingérence russe dans l’élection présidentielle américaine de 2016. Dans cette affaire, 12 Russes présentés comme des agents du GRU ont été inculpés en juillet.

Ces accusations sont rejetées par la Russie.

L’expert militaire Pavel Felgenhauer a estimé qu’un nouveau chef n’entraînerait pas « de grand changement » car les décisions stratégiques dépendent de Vladimir Poutine ou du ministre de la Défense. « S’ils l’ordonnent, il y aura des changements », ajoute-t-il.

Le premier adjoint d’Igor Korobov, le vice-amiral Igor Kostioukov, est pressenti pour lui succéder, ont indiqué des sources militaires citées par l’agence de presse officielle TASS.

Il avait été nommé directeur par intérim du service de renseignement militaire avant même la mort d’Igor Korobov, selon le site RBK.

Malade, ce dernier n’avait pas participé à la cérémonie marquant le centenaire du service, début novembre, en présence de Vladimir Poutine. C’est le vice-amiral Kostioukov qui l’avait présidée.

Vladimir Poutine avait ce jour-là fait l’éloge de ses « capacités uniques, y compris dans le domaine des opérations spéciales ».

« Je suis convaincu de votre professionnalisme, de votre courage personnel et de votre résolution, convaincu que chacun de vous fera tout pour la Russie et notre peuple », avait-t-il souligné.

Source: AFP

Mail: croissanceafrik@gmail.com

Afrique excelle : Un sommet d’envergure mondiale bientôt à Bamako

0

Le Mali abritera en Mars 2019, un sommet de la banque mondiale appelé “Afrique Excelle”. C’est un accélérateur à forte potentialité pour les pays d’Afrique francophone et qui concerne toute entreprise issue du digital, numérique ou des nouvelles technologies dans 20 pays d’Afrique subsaharienne . C’est un programme d’accélération d’une durée de 6 mois visant à soutenir les 20 start-ups les plus prometteuses du secteur du numérique en Afrique francophone.

Le ministre de l’économie numérique et de la communication, Arouna Modibo Touré, se dit d’ailleurs “heureux et fier” de cette opportunité offerte aux entrepreneurs des TIC au Mali.

Le programme « Afrique Excelle » a été lancé le 12 novembre, à Cap Town, en Afrique du Sud, lors de l’Africa early stage investor summit. « Afrique Excelle » débutera par une résidence d’une semaine à Bamako, et se terminera par une semaine de résidence à Paris, à l’occasion de VivaTech 2019.

Le programme L’Afrique Excelle a été initié par le Groupe de la Banque mondiale et le Tubaniso Agribusiness and Innovation Center, avec l’aide financière de l’Agence italienne de coopération pour le développement, et mis en œuvre par VC4A, Suguba et SahelInnov. L’objectif est de servir de cadre de réseautage pour les start-ups à forte croissance avec des mentors et des investisseurs au Sahel et en Afrique francophone.

Un sommet de networking par excellence

Ses distingués partenaires témoignent du fabuleux opportunité de réseautage qui est offerte aux entrepreneurs. Notamment Orange Digital Ventures, Investisseurs et Partenaires, Brightmore Capital, AHL Ventures, Outlierz, TLcom Capital, Accion, Goodwell Investments, Blue Haven Ventures, Comoe Investments et IFC Venture Capital, Orange et GSMA. Des fonds d’investissement et des business angels de premier plan !

De plus les investisseurs associés joueront un rôle clé dans le processus de sélection des finalistes et accompagneront les entrepreneurs tout au long du processus de préparation à la levée de fonds jusqu’à 5 millions de dollars américains. Les participants profiteront des conseils avisés de la part d’investisseurs, d’entrepreneurs et d’experts. Durant ces sessions interactives, des outils et du contenu éducatif seront mis à disposition des participants grâce au XL Académie qui comprend neuf modules intensifs de formation, conçus pour compléter le soutien et conseil apporté par les mentors.

Un sommet africain par excellence

Afrique Excelle est en effet l’édition francophone de l’accélérateur XL Africa mis en œuvre par la Banque mondiale en 2017. Celui-ci a permis à 19 entreprises sur 20 de sécuriser leurs investissements. Le sommet concerne toutes les entreprises qui exerce dans le domaine du digital/numérique ou des nouvelles technologies, quel que que soit le secteur d’activité. Elle devra juste être présente sur l’un des pays suivants : Bénin, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, République centrafricaine, Tchad, Comores, Congo, République démocratique du Congo, Djibouti, Gabon, Guinée-Bissau, Guinée, Côte d’Ivoire, Madagascar, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal et Togo. En effet, ce sont vingt (20) entreprises qui seront sélectionnées pour assister à une formation résidentielle, tous frais payés au Centre d’agribusiness et innovation de Tubaniso de Bamako ( dont on a parlé dans un précédent article : https://www.afribone.com/spip.php?article86894).

Au cours de cette formation, une deuxième sélection aura lieu et dix entreprises seront choisies afin de poursuivre le programme et participer à une semaine de formation à Paris, à la Station F. Un pitch oral sera ainsi organisé lors de la présentation finale des dix start-up à l’événement VivaTech 2019 à Paris.

De surcroît, le programme propose notamment un soutien aux start-ups grâce à des levées de fonds auprès d’investisseurs de grande envergures jusqu’à 5 millions de dollars américains, des conseils avisés de la part d’investisseurs, d’entrepreneurs et d’experts ; des sessions interactives, des outils et du contenu éducatif via son XL Académie qui comprend neuf modules intensifs de formation et qui a été conçu pour compléter le soutien et conseil apporté par les mentors.

Les entreprises intéressées peuvent postuler en ligne sur le site web de L’Afrique Excelle, www.Afrique-Excelle.com, au plus tard le lundi 14 janvier 2019.

Aissata Keita

Mail: croissanceafrik@gmail.com
©Afribone

Mali: Le ministre Yaya Sangaré accorde une audience aux chargé d’affaire de l’Ambassade de la Libye.

0

Le ministre Yaya Sangaré accord une audience aux chargé d’affaire de l’Ambassade de la Libye. C’etait ce vendredi 22 novembre (après-midi) , ke cite « j’ai accordé une audience à S.E.M Zaidan Ali Zaidan, Chargé d’affaires de l’Ambassade de la Libye au Mali. S.E.M Zaidan était venu pour une visite de courtoisie et de prise de contact avec le département » fin de citation.

Au cours de l’audience, les deux personnalités ont parlé du solide et historique partenariat entre le Mali et la Libye qui a abouti à des nombreuses réalisations au Mali. Ensuite ils ont aussi abordé les difficultés que traverse la Libye depuis 2011 et son impact sur le peuple malien et son économie.

Son le ministre sangaré « Nous avons échangé sur les conditions de séjour et de rapatriement de nos compatriotes installés en Libye, surtout les prisons privées où sont détenus certains de nos ressortissants, les nouvelles taxes aéroportuaires imposées à nos compatriotes volontaires au retour » dit-il.

Sur toutes les questions abordées, il y’a eu convergence de vues et le diplomate libyen s’est engagé à transmettre à qui de droit les doléances des autorités maliennes et à renforcer davantage la coopération entre les deux pays.

Il faut rappeler que malgré la crise libyenne, le Mali est l’un des rares pays à maintenir son Ambassadeur en terre Libyenne.

Daouda Bakary KONE

Source: croissa’ceafrique.com

Mail: croissanceafrik@gmail.com

Algérie, Maroc : l’armée de Bouteflika de loin plus puissante que celle de Mohammed VI

0

L’Algérie est la première puissance militaire dans le Sahel et passe loin devant le Maroc et autre Tunisie.

Dans le classement des armées les plus puissantes au monde, établi par le site américain spécialisé sur les questions de défense, Global Fire Power (GPF), l’Algérie est la première puissance militaire dans le Sahel. L’armée algérienne est également la 2ème puissance militaire dans la région MENA (Moyen Orient et Afrique du Nord). C’est l’Egypte qui caracole en tête dans cette région MENA et occupe la 12ème place mondiale.

Le Global Fire Power indique que l’Algérie compte 520 000 militaires actifs et un personnel réserviste estimé à 272 350 personnes. Ajoutant que l’armée algérienne dispose de 2 405 véhicules de combat blindés, 528 avions militaires dont 257 hélicoptères. Sans compter les 2405 chars de combat, les 85 navires de guerre dont 13 corvettes et 8 sous marins. Ce dispositif militaire fait de l’Algérie, la première puissance militaire en Afrique du Nord et la 23ème au niveau mondiale, là où le Maroc arrive loin derrière à la 55ème place et la Tunisie à la 77ème place.

Dans le top 5 des armées les plus puissantes au monde, les Etats-Unis d’Amérique arrivent en tête, suivis par la Russie et la Chine, l’Inde et la France.

Hamadoun Alphagalo

Source: croissanceafrique.com

Mail: croissanceafrik@gmail.com

APE : la Côte d’Ivoire va ouvrir son marché « à 80% à l’Union européenne à partir de janvier 2019 »

0

La Côte d’Ivoire va ouvrir son marché « à 80% à l’Union européenne à partir de janvier 2019 » a rapporté le site abidjan.net qui cite Stéphane Aka-Anghui, le directeur de cabinet adjoint du ministre en charge de l’Intégration africaine. La déclaration a été faite au cours d’un atelier sur la mise en œuvre de l’APE, l’accord de partenariat économique, tenu ce 19 novembre à Abidjan.

Le pays en effet a signé un APE intérimaire, en attendant un accord pour un APE régional au niveau de la CEDEAO, au travers duquel ses exportations bénéficient de franchises douanières aux portes de l’UE. Ainsi les exportations ivoiriens de bananes, de conserves de thon et de produits dérivés de cacao, entre autres, bénéficient de ce régime préférentiel qui en garanti la compétitivité sur le sol européen. En dehors de cet accord, une taxation de 20% de l’industrie thonière ivoirienne, aurait des effets désastreux sur un secteur qui emploie des milliers de personnes, a fait remarquer Stéphane Aka-Anghui.

Aussi, les exportations ivoiriennes vers l’UE, premier partenaire commercial du pays, sont-elles évaluées à 4 500 milliards FCFA contre 2 500 d’importation, soit un excédent de 1 500 milliards FCFA.

Et c’est pour se conformer au principe de réciprocité au risque de perdre ces avantages que le pays entend libéraliser ses importations en provenance de l’UE. Toutefois, « la plupart des produits fabriqués localement ont été exclus de cette libéralisation » et pour « les premières années ne sont concernés que les matières premières et les intrants » a expliqué Stéphane Aka-Anghui.

La Côte d’Ivoire espère tirer son épingle du jeu, préserver son économie et ses relations commerciales avec son principal marché d’exportation et compenser éventuellement les pertes de recettes douanières dont 40% proviennent de ses échanges avec l’UE.

La Côte d’Ivoire, avec le Ghana, se préparent donc à faire un pas supplémentaire dans la mise en place de l’APE, alors qu’au niveau de la CEDEAO, les négociations pour un APE régional reste bloquées du fait de l’opposition catégorique du géant nigérian qui met en avant les menaces sur son industrie.

Pour certains experts, la mise en œuvre pleine de l’APE intérimaire par la Côte d’Ivoire va torpiller le processus d’intégration au sein de la CEDEAO, les autres Etats devant être amenés à rétablir les barrières douanières afin de prémunir contre une invasion de produits européens.

Source: finacialafrik.com

Mail: croissanceafrik@gmail.com

Mali: L’Opposition lâchée par ses députés et la loi organique sur la prorogation du mandat des députés à l’AN vient d’être adoptée : 137 POUR ; 5 ABSTENTIONS et 0 CONTRE.

0

Outre 106 députés de la Majorité, 31 députés au moins de l’Opposition ont voté la loi.
Seul cinq (5) députés de l’Opposition se sont abstenus. Ce sont :
1.Mody N’Diaye (URD)
2.Soumaïla Cissé (URD, procuration à Mody N’Diaye)
3.Nango Mariko (SADI)
4.Oumar Mariko (SADI, procuration à Nango Mariko)
5.Ibrahim Ahmadou Dicko (démissionnaire du RPM, élu Gao).
Décompte :
Deux (2) députés de l’URD sur 21 députés que compte le Groupe parlementaire VRD, deux députés de SADI sur 14 que compte le groupe parlementaire ADP-SADI; et un député démissionnaire du RPM.
Donc ont voté pour la prolongation du mandat des députés :
-19 députés sur 21 que groupe VRD (19 députés URD, 1 député Parena et 1 député PRVM)
-12 députés sur 14 que compte le Groupe parlementaire ADP-SADI (5 députés pour le Sadi et 9 députés pour ADP-Maliba).

SIGMA/Sambo A TOURE
Source: croissanceafrique.com

Mail: croissanceafrique.com