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Mali: Entre l’ASSEP et l’ORTM, c’est le DG Sidiki N’Fa KONATE qui n’a pas raison.

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Lors d’une conférence de presse animée par Bassiki TOURE, président de l’ASSEP « Il s’est dit révolte par l’attitude du directeur général del’ORTM,Sidiki N’Fa Konaté qui avait validé la diffusion de ce communiqué où le soutien est apporté aux membres de la Cour Constitutionnelle, condamnant le journaliste avant toute décision de justice. Pensant à la confraternité, le DG de l’ORTM doit bel et bien diffuser le communiqué l’ASSEP. « Donc Sidiki Nfa n’a pas raison » je le dit pian.

Des actions sont envisagées pour donner à la presse sa vraie dimension, plus de moyens et plus d’organisation afin qu’elle puisse constituer le contre-pouvoir indépendant et constructif.

Cour Constitutionnelle contre Boubacar Yalkoué : L’ASSEP trouve « inconcevable » que des journalistes soient persécutés et fait confiance enla justice!
La presse malienne compte changer de fusil d’épaule et montrer aux autres pouvoirs sa vraie capacité et ses vraies responsabilités. Depuis plus de trois (3) semaines, la Cour Constitutionnelle, l’une des plus contestées institutions de la République, s’est cachée derrière une plainte contre notre confrère du « Le Pays »pour diffamation.

L’ASSEP (Association des Editeurs de Presse Privée), ce samedi 15 Décembre 2018, a animé une conférence de presse sur l’affaire judiciaire qui oppose la Cour deManassa Danioko à la presse dans son écrasante majorité.Cette conférence a enregistré une mobilisation massive et qualitative des confrères. Elle était animée parBassidiki Touré, président légal et légitime de la faitière.Dans une déclaration liminaire, le porte-étendard des Directeurs de Publication a exprimé toute son admiration et son estimation à l’endroit des Conseils de notre confrère.

Il a nommément cité Me Demba Traoré, Me Abdourahmane Ben Mamata Touré, à Me Zana Sidiki Koné, à Me Maliki Ibrahim et Me Mamadou Camaraqui, selon lui, avaient survolé les débats. Aussi, il dit réitérer toute sa confiance en la justice malienne qui, jusque-là, a conduit avec professionnalisme, le procès« nous faisons entièrement confiance en la justice malienne »,a insisté plusieurs fois Bassidiki Touré. Pour l’ASSEP,la date du 27Décembre,jour du verdict, sera celui de la vérité.

Il a également rappelé la diligence et la lumière sur la disparition de notre confrèreBirama Touré du « Le Sphinx » et la presse reste mobilisée afin qu’il soit retrouvé.La presse malienne, à travers cette imposante et gigantesque association qu’est l’ASSEP, continue d’apporter son soutien ferme aux journalistes Salif Diarra de Mali-actu, à Hamidou Elhadj Touré de Malimedia.com, et à Abdourahmane Doucouré de « La Sirène »,tous victimes d’abus divers.

Pour les nombreux compatriotes, il été rappelé que la liberté de presse est consacrée par la Constitution. Il est inconcevable que des journalistes soient fréquemment persécutés, surtout au moment où les autorités évoquent la dépénalisation de la presse.

Les questions des confrères ont tourné autour des vrais plaignants concernant la citation directe introduite par la Cour Constitutionnelle, l’affaire Birama Touré, lesblocages au niveau de l’obtention de la carte de presse, la récurrence des plaintes à ce moment-ci, la position des confrères regroupés au sein du Patronat et autres questions internes à la corporation.

Les journalistes, par l’entremise de leur instance dirigeante que conduit M. Touré, disent attendre la suite que donnera la justice et en fonction de cela, ils sauront réagir. Certains même ont préconisé une journée presse-morte pour exprimer la désapprobation de la presse face à ces atteintes répétées de violence physiques et morales dont ils sont victimes.C’est avec une sérénité olympienne et une bonne humeur rarissime queBassidiki Touré,assisté du doyenMamadou Daboet deMakan Koné, secrétaire général du TAEFa expliqué de façon responsable et mesurée, la lecture de son association.

Le dernier point d’indignation, c’est la triste et déshonorable attitude de Cheick Mohamed Chérif Koné, un homme qui serait seul membre de son SAM. Le tire de ce papier est de Daouda Bakary KONE

ABC

Figaro du Mali

Mali : encore une fois, Soumaila Cissé persiste et répète, « Nous avons gagné l’élection du 12 août 2018 » a lâché tomber. Une ignominie répétée par lui

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Cette 9 eme édition de la conférence nationale de l’URD a enregistré la présence des militants et sympathisants du parti venu de toutes les régions du Mali. Une occasion pour les personnels du parti malheureux aux élections de passer aux nouvelles accolades en guise de salutation avant le démarrage des travaux de la neuvième conférence. « Nous avons gagné l’élection du 12 août 2018 » dixit, le malheureux politique.
Se réjouissant envers la mobilisation de ce samedi matin, voilà ce qu’affirme le candidat malheureux de l’URD « votre mobilisation de ce matin est la preuve éclatante, que vous ne céderez rien pour la justesse de notre combat, pour le respect de la vérité des urnes et le rétablissement de notre démocratie acquise au prix de sacrifices ultimes de centaines de nos compatriotes » s’est-il-réjouit.
Ensuite Soumaila Cissé n’est pas allé avec le dos de la cuillère, car très content, il n’est d’autre perroquet politique qui ne cherche qu’envenimer la scène politique en disant ceci « Oui, nous ne devons jamais oublier que des centaines de Maliennes et de Maliens de toutes conditions ont accepté de donner leur vie pour défendre la liberté, pour arracher la démocratie. Oui, nous ne devons jamais oublier que des centaines de Maliennes et de Maliens ont fait don de leur vie pour arracher la liberté de manifester qu’on voudrait aujourd’hui rayer d’un trait de plume par un simple arrêté d’un gouverneur. Avant de dire que « Nous disons et répétons haut et fort : Nous avons gagné l’élection du 12 août 2018 » a encore lâché tomber.
Concernant la liberté d’expression, Soumaila Cissé a montré son indignation face aux censures de ses activités sur les médias d’Etats. Il mettra l’accent sur la migration et les réfugiés « Oui, nous ne devons jamais oublier que des centaines de maliennes et maliens ont fait don de leur vie pour arracher la Liberté de presse, aujourd’hui, hélas, confisquée par une mise au pas des Media d’État. J’ai une pensée solidaire avec tous les Déplacés de l’intérieur et tous les Réfugiés qui vivent loin de leur si chère terre natale qu’est le Mali. Je pense également dit-il aux Migrants qui souffrent dans leur chair les affres de l’exil que sont la violence et la xénophobie, loin du pays » a dénoncé, le président Cissé.
« Le 03 mai 2018, la Conférence nationale extraordinaire me faisait l’insigne honneur de porter son choix sur ma personne pour porter les couleurs du parti lors de l’élection présidentielle du 29 juillet 2018 ». Ouf, chers lecteurs, il s’agit d’une élection qu’il a perdu depuis le 12 AOUT 2018. L’URD doit choisir un candidat jeune et machinalement formé pour briguer la présidentielle de 2023 au détriment de Soumaila Cissé. Pour n’est pas vous dire que la candidature prochaine de Soumaila Cissé est dépassée. C’est ce que le peuple revendique (Electeurs). Bref Soumaila Cissé n’est pas le gout du peuple.

Remerciant la diaspora (militant de l’URD), le malheureux candidat Cissé a affirmé que les faits sont le têtus « Bravo à la DIASPORA militante et engagée, Bravo à l’ensemble du peuple malien pour sa formidable capacité de résilience et son inébranlable volonté de changement et d’alternance ». « Ils sont des dizaines, que dis-je, des centaines de milliers de Maliennes et de Maliens qui, à juste titre, se demandent, encore aujourd’hui, où sont passées leurs voix ». « Ces élections ont malheureusement donné raison à l’adage selon lequel : « Ce ne sont pas les voix qui comptent mais ceux qui comptent les voix ! Oui, « Ce ne sont pas les voix qui comptent mais ceux qui comptent les voix ! » Et nul ne peut nous faire admettre le contraire ! Les faits sont là ! Têtus et implacables ! » dit-il. Mais il parle desquels faits?, contester, le résultat d’une élection que lui-même reconnait philosophiquement, accepter par lui-même au détriment du peuple ? Soumaila Cissé fait le faut haro devant la foule mais pourtant un bluffeur politique qui s’est piégé lui-même, en laissant ses députés votés la lois sur la prorogation du mandant des députés en 2029.

La neuvième conférence de l’Urd, c’est de vous informer que Le thème de notre Conférence Nationale est : « LA VERITE AU PEUPLE » En effet, l’URD est née de la vérité, pour dire la vérité aux militants, la vérité au peuple malien. Mais quelle vérité ? Soumaila Cissé peut arrêter de manipuler le citoyen malien?C’est pour vous dire que Soumaila Cissé a dirigé des structures de l’Etat, nation et nous avons tous entendus des soupçons de corruption qui planes sur sa carrière depuis des moments immémoriaux. Qu’il sache raison garder. Le Mali a compris sa politique de fantoche qui n’a pas de sens politique, au moins qu’il se repose.

Selon lui, « La vérité est que le pays a urgemment besoin d’autres propositions, d’autres perspectives, d’autres raisons d’espérer ». Et affirme ensuite que « Pendant ces cinq années, l’opposition n’a jamais manqué de faire éclater la vérité chaque fois que le pouvoir a cherché à la cacher ou à la travestir » déclare-t-il. Mais Soumaila Cissé parle de quelle vérité qu’ils ont éclaté en 5 ans ? Pour vous dire que Soumaila Cissé est un manipulateur qui ne sait pas où mettre son pied en matière de navigation politique. Dans notre pays qu’est le Mali, le peuple doit se dire la vérité afin de rejeter les bouffeurs de nos fonds publics en se cachant sous le drap de la politique. Il nous faut une innovation politique pour un Mali apaisé. Dites-lui que le peuple ne l’écoute plus ; que tous ce qu’il laisse entendre sont considérés comme des répétions à l’ignominie.
Daouda Bakary KONE

Source: croissanceafrique.com

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Mali : Soumaila Cissé à la 9 eme conférence nationale de l’URD « l’URD reconnaissante vous dit : MERCI !! Merci beaucoup » dixit

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Ce samedi 15 décembre 2018, s’est tenue au palais des sports de Bamako, la 9 eme conférence nationale de l’Union pour la République et la Démocratie (URD). Cette 9 eme édition de la conférence nationale de l’URD a enregistré la présence des militants et sympathisants du parti venu de toutes les régions du Mali. Une occasion pour les personnels du parti malheureux aux élections de passer aux nouvelles accolades en guise de salutation avant le démarrage des travaux de la neuvième conférence.

A sa prise de parole, le candidat malheureux et président de l’URD a affirmé ceci « permettez-moi, tout d’abord de rendre grâce à Allah, le Très Miséricordieux, dont la volonté́ nous permet d’être ici, ce matin », Je voudrais ensuite, souhaite – t-il « au nom de tous les militants et sympathisants de l’URD, remercier toutes les personnalités et l’ensemble de nos invités pour le très grand honneur qu’ils nous font par leur présence à nos côtés en ces moments importants de la vie de notre cher pays, le Mali » a – t –il souhaité.

Soumaila Cissé a singulièrement salué « la présence des responsables du Front pour la Sauvegarde de la Démocratie, de la Coalition des Forces Patriotiques et de l’ADEMA Association. Oui, je rends hommage aux membres du FSD, du COFOP et de l’ADEMA ASSOCIATION, qui travaillent, sans relâche, pour défendre, avec générosité et foi, la démocratie malienne au péril de leurs libertés, voire parfois de leur vie. Pour dire que l’URD reconnaissante vous dit : MERCI !! Merci beaucoup » dixit. 

Soumaila CISSE « votre présence ce jour, déterminés et enthousiastes, prouve à suffisance votre attachement aux valeurs d’unité, de justice, et de travail. Nous le devons pour restaurer le Mali de la dignité, le Mali de l’honneur, le Mali éternel, notre MALIBA » s’est-il réjouit.

Il noter qu’en avance président de l’URD s’est adressé à l’ensemble du peuple malien, ses vœux les meilleurs à l’occasion des Fêtes de Noel et de Nouvel An. Ainsi qu’avec quelques jours d’avance, bonne et heureuse année 2019, dans la Paix et la Concorde retrouvées.

Daouda Bakry KONE

Source: croissanceafrique.com

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Mali: La Première Dame Keïta Aminata Maïga, distingue le réalisateur Maroco-Malien Souhel Ben Barka,

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Dîner Gala -Journées cinématographiques Mali-Maroc

C était à l’occasion du dîner Gala offert par l’Ambassade du Royaume du Maroc au soir du premier coup de clap donné par Keita Aminata Maiga , Première Dame du Mali et Présidente de l’ONG AGIR dans la matinée du 14 décembre 2018 au Conservatoire des Arts et des Métiers Balla Fasseké Kouyaté.

Le dîner gala a eu lieu dans un grand hôtel de Bamako en présence de nombreuses grandes personnalités dont les proches collaborateurs de la Première Dame , l’Ambassadeur et le personnel de l’Ambassade du Royaume du Maroc.

Marraine des journées cinématographiques, la Première Dame a remis au réalisateur Maroco-Malien Souhel Ben Barka une distinction pour ses œuvres cinématographiques utiles au public et à la société. La projection du film intitulé « Les Tambours du feu » dont il est le réalisateur aura lieu demain à 17 h au Ciné-Magic Babemba. Le film parle de trois Rois marocains .

Après la remise de la distinction à Souhel Ben Barka, la Première Dame a rendu hommage au realisateur qui leur a donné le goût du cinema dans leur jeunesse. L’occasion était bonne pour Keita Aminata Maiga de remercier l’Ambassade du Maroc pour l’initiative et inviter les cinéastes maliens et marocains à realiser plus d’oeuvres cinématographiques.

Souhel Ben Barka fut également Directeur du Centre Cinématographique Marocain de 1986 à 2003.Le Réalisateur Maroco-Malien est né à Tombouctou (Mali) en 1942, Souhel Ben Barka a fait des études au Maroc, puis en Italie, au Centro Sperimentale de Rome. il a tourné son premier long métrage, « Les Mille et Une mains » en 1972, puis « La guerre du pétrole n’aura pas lieu » en 1975. Ses activités de réalisateur (Noces de sang, Amok, La bataille des trois rois, Les tambours de feu, Les amants de Mogador) sont indissociables de son travail de producteur et de distributeur-exploitant de salles. Il possède parallèlement des studios à Ouarzazate, où il accueille les tournages étrangers (américains pour l’essentiel). Il prépare actuellement un film sur le grand géographe du XVIe siècle « Léon l’Africain », qui aura pour titre « Le chrétien de la Mecque ».

Pour rappel , « Cinéma et Migration » est le thème des journées et traite de l’actualité cauchemardesque que vit les jeunes du Continent à la recherche de l’Eldorado.

D’autres distinctions ont été remises au cours de l’événement, notamment à des personnalités maliennes et marocaines du domaine du cinéma pour la reconnaissance de leur mérite dans leurs efforts au développement du cinéma en Afrique et dans le monde entier .

Il faut noter qu’actuellement le patrimoine filmique du Mali est archivé au Royaume Chérifien.

Madou camara

Source: croissanceafrique.com

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Mali: Ecole Militaire d’Administration, déjà, des nouveaux sous-officiers prêts à administrer

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Selon nos informations  » au total 30 stagiaires dont 4 femmes sous-officiers de la 20ème promotion du Certificat Technique de deuxième degré (CT-2) prêts à gérer les finances de leurs différentes armées après une formation de qualité à l’école militaire d’administration de Kayo à Koulikoro » nous confirme notre source.

C’est une école qui incarne aujourd’hui l’intégration sous régionale sous la direction de la France. Durant 4 mois, ces stagiaires venus du Mali, du Sénégal, de la Côte d’Ivoire, du Burkina Faso, du Niger, de la Centrafrique, du Djibouti, de la Guinée Conakry, du Madagascar, du Cameroun, du Togo, du Gabon et du Bénin ont pris part à cette formation.

Pour conclure il faut noter que le sergent-chef Mideton du Bénin a été le major de la promotion avec une moyenne de 17, 1.

Source: croissanceafrique.com

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Le Mali et la Banque Mondiale signent un accord de financement additionnel d’un montant de 17 milliards FCFA environ sous forme de don.

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Ce vendredi 14 décembre 2018 le ministère de l’économie et des finances en partenariat avec la Banque Mondiale ont procédé à la Signature d’un accord de financement additionnel du Projet de reconstruction et de relance économique (PRRE) sur financement de la Banque mondiale et en cours d’exécution depuis cinq ans. Cette rencontre a enregistré la présence du ministre Malien de l’économie et des finances Dr Boubou Cissé, de la directrice de la Banque mondiale Mali Mme Soukeyna KANE ainsi que plusieurs acteurs venant dans le secteur de la fiance publique et l’économie (économistes de la Banque mondiale).

A l’entame de ses propos, le Ministre malien de l’économie et des finances, Dr Boubou Cissé affirme ceci « il me plait de rappeler avec satisfaction que la signature de cet Accord de financement additionnel est le 9ème accord signé avec vous depuis le début de l’année 2018, totalisant un montant de plus de 342,2 millions de dollars américains, soit environ 198 milliards de F.CFA », a – t- il affirmé.
L’Accord de financement additionnel que le gouvernement du Mali à travers son ministre de l’économie et des finances vient de signer, d’un montant de 30 millions de dollars US, soit 17 milliards FCFA environ sous forme de don, permettra de consolider les acquis du financement initial de ce projet et d’étendre ses activités et ses bénéfices à d’autres populations vulnérables du nord et du centre du Mali touchées par la crise multidimensionnelle de 2012.
C’est pourquoi, le chef de l’hôtel des finances ajoute que « le Projet de Reconstruction et de Relance Economique est un instrument très important du Gouvernement de la République du Mali pour favoriser le relèvement socio-économique des zones nord et centre du Mali par : la restauration des services de base et des activités productives ; et le retour de la confiance et de la paix », a – t-il ajouté, le ministre Cissé.

Avant de conclure son allocution Dr Boubou Cissé a précisé pour une dernière fois que « le présent financement permettra de consolider les réalisations du financement initial et surtout, entreprendre des actions de développement dans les zones économiques comme celle de Konna pour la relance des activités de pêche, d’Ansongo et de Goundam ainsi que des activités d’élevage entre autres », a conclu

Pour sa part la directrice pays de la Banque Mondiale au Mali Mme Soukeyna KANE s’est montrée satisfaite du déroulement du projet disant que « malgré les défis rencontrés dans sa mise en œuvre, notamment un retard de près de 12 mois dans son démarrage et depuis, une situation sécuritaire particulièrement difficile dans plusieurs zones d’intervention, dit-elle « il demeure que le projet a pratiquement atteint, à date, sa cible de 1.4 million de bénéficiaires affectés par la crise dans les régions du Centre, du Nord et les déplacés internes dans le Sud », a laissé entendre Mme la directrice de la Banque Mondiale au Mali.

D’autres part, il faut rappeler par exemple que les infrastructures locales ciblées par le projet ont été réhabilitées et équipées à concurrence de 98% pour les salles de classe, et 73% pour les systèmes d’approvisionnement en eau. Par ailleurs, 93% des micro-projets productifs prévus ont été financés dont 38% au profit d’organisations féminines. Une aide d’urgence a été apportée à environ 50.000 personnes vulnérables contre un objectif initial de 52.000.

Selon Mme Soukeyna KANE « en matière de participation communautaire et de gouvernance locale, le projet a permis d’initier et maintenir une bonne dynamique de mobilisation sociale autour : (i) de la détermination des priorités d’intervention du projet au niveau communautaire ; et (ii) du suivi participatif des activités tant de réalisation des investissements que d’exploitation des actifs mis en place. C’est ainsi que 290.000 personnes au moins ont pu participer à diverses consultations locales contre un objectif initial de 322.000 ce qui a permis de renforcer tant l’appropriation du projet par les bénéficiaires que la cohésion sociale au niveau de plusieurs communautés pour une sortie de crise rapide », a mis fin à son allocution.

Daouda Bakary KONE

Source: croissanceafrique.com

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Côte d’Ivoire : Henri Konan Bédié laisse planer le doute sur sa candidature à la présidentielle

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Après avoir rompu avec Alassane Ouattara, le président du PDCI n’exclut pas une alliance avec le FPI de Laurent Gbagbo, dans une interview à France 24.

On le dit taiseux et mystérieux, alors quand Henri Konan Bédié s’exprime, toute la classe politique ivoirienne est suspendue à ses lèvres. Costume bleu roi sur les épaules et imposantes défenses d’éléphants en arrière-plan, le président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) a confirmé la rupture avec le président ivoirien Alassane Ouattara, dans une interview accordée depuis son fief de Daoukro, dans le centre du pays, à la chaine de télévision française France 24.

« L’alliance RHDP [Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix] n’existe plus. Nous nous sommes séparés après beaucoup de divergences », a déclaré l’ancien président. Nouée en 2005, elle avait mené Henri Konan Bédié à appeler à voter Alassane Ouattara lors du second tour de la présidentielle contestée de 2010-2011.

Bédié « regrette » l’alliance avec Ouattara.

En 2014, le « Sphinx », comme il est surnommé, avait même appelé dans son à soutenir la candidature à un second mandat d’Alassane Ouattara, dès le premier tour, renonçant à lancer un prétendant dans la course à la présidentielle de 2015. Des « sacrifices », qu’Henri Konan Bédié dit « regretter » aujourd’hui.

« Il y a eu des manquements au bon déroulement de notre alliance. L’alternance au profit du PDCI est un de ces problèmes mais il y en a d’autres. Il y a surtout une volonté de créer un nouveau parti, le parti unifié RHDP, qui s’est fait sans désirer véritablement la participation du PDCI-RDA », déclare Henri Konan Bédié, qui a dénoncé, en août dernier, l’accord politique qui le liait au parti présidentiel.

La main tendue à Gbagbo et Soro
Le PDCI doit lancer un nouveau groupement politique, qui rassemblera des organisations de la société civile et d’autres partis politiques. Henri Konan Bédié tend la main notamment au Front populaire ivoirien (FPI) de Laurent Gbagbo et à Guillaume Soro, le président de l’Assemblée national, avec lequel il s’affiche régulièrement ces derniers mois. « C’est leur souhait [de nous rejoindre] », affirme-t-il, assurant que l’ancien président ivoirien avait donné son accord pour que des contacts soient établis.

Depuis plusieurs mois en effet, des rencontres ont lieu entre représentants de chacun des deux partis. Selon nos sources, jusqu’ici, le FPI excluait néanmoins tout alliance formelle avec le parti houphouëtiste.

Quant au nom du candidat du PDCI pour la présidentielle de 2020, Henri Konan Bédié refuse toujours de le dévoiler. Mais alors que jusque là le Sphinx excluait de se présenter, il laisse désormais planer le doute. « Il se pourrait que je ne le sois pas. […] Il le pourrait que je le sois », dit-il avec malice à France 24. Une convention du parti doit en décider courant 2019.

Source: Jeuneafrique.com

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Mali: Le but de la couverture universelle en matière de santé est de faire en sorte que tous les individus aient accès aux services de santé sans encourir de difficultés financières.

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SéancePlénière à l’Assemblée Nationale
La 6ème séance plénière de la session ordinaire d’octobre en cours s’est tenue ce jeudi 13 décembre 2018 dans la salle Modibo KEITA de l’Assemblée Nationale.
A l’ordre du jour : Adoption de procès verbal, des délibérations sur des projets et propositions de loi ainsi que des communications.
Au chapitre des délibérations la plénière a examiné les projets de loi portants :

1- Ratification de l’Ordonnance n°2018-024/P-RM du 03 septembre 2018 autorisant la ratification du protocole au traité instituant la communauté africaine relatif à une libre circulation des personnes au droit de résidence et au droit d’établissement.
Justification :
le Mali est un pays de grande émigration et la première destination de cette émigration se trouve en Afrique. Notre pays a déjà ratifié le texte sur la ZELCA qui porte sur la circulation des biens et services.
En plus des avantages explicités ci-haut, il convient de noter la diversité et la complémentarité économique en Afrique que les ensembles régionaux ne prennent pas suffisamment en compte seront promues par ce texte.
Il permet non seulement d’aller et de venir, mais aussi de se fixer sur les territoires des pays africains et d’y mener des activités professionnelles sans entrave.
Ledit projet de loi a été adopté à l’unanimité des 103 députés présents

2- Institution du Régime d’Assurance Maladie Universelle (RAMU).
Initié par le Ministère de la Solidarité et de l’Action Humanitaire, L’Assurance Maladie Universelle est fondée sur le principe de la solidarité, de la contribution, de la mutualisation des ressources, des risques et du tiers payant.
Sont assujetties à ce régime toute personne physique résidant au Mali, toute personne physique ou morale qui emploie au moins un travailleur salarié au sens de la législation en vigueur. Les cotisations des personnes assujetties sont définies selon leur statut. Le RAMU donne droit à la prise en charge directe des frais de soins curatifs, préventifs et réhabilitation médicalement requis par l’état de santé ou par la maternité des bénéficiaires.
Le but de la couverture universelle en matière de santé est de faire en sorte que tous les individus aient accès aux services de santé sans encourir de difficultés financières.
Les six amendements proposés ont été adopté à 105 Voix POUR, 00 CONTRE et 00 ABSTENTION
Ledit projet de loi a été adopté à l’ unanimité des députés présents ; soit 114 Voix POUR.

3- loi de Finances pour l’exercice 2019 (DEUXIÈME PARTIE).
Ce projet de loi, initié par le Ministre de l’Economie et des Finances, a été adopté par le conseil des Ministres en sa séance du 19 septembre 2018.
La réforme budgétaire en cours a introduit la pluri annualité dans la gestion budgétaire à travers d’une part, l’institution de la procédure des autorisations d’engagement et des crédits de payement et d’autre part, l’élaboration de nouveaux documents accompagnant la loi de finances.
Le passage d’un budget de moyens à un budget de résultats à de nouvelles exigences en ce qui concerne son mode de votations.
Le projet de loi de finances comprend deux parties. La première partie consacrée aux conditions générales de l’équilibre budgétaire et financier a été adopté par le parlement lors de la dernière séance plénière le jeudi 06 décembre 2018. Les travaux de la présente plénière sont essentiellement consacrés à la deuxième partie de ladite loi dans les articles 22 à 28 relatifs aux différents programmes.
A ce niveau les débats ont porté sur les missions et les programmes des différents départements ministériels, les observations et les observations.
Ainsi, la Commission des Finances, de l’Economie, du Plan et de la Promotion du Secteur Privé après l’étude des politiques publiques, recommande au Gouvernement :
– Une meilleure définition des politiques publiques par les différents départements ;
– De diligenter la création des cellules financières et du matériel auprès des responsables de programmes ;
– Une meilleure formulation du cadre de performance des programmes notamment les indicateurs par les départements ;
– De poursuivre la formation des différents acteurs impliqués dans la mise en œuvre du budget de mode programme.
NB : les différents programmes de la loi de Finances 2019 ont été adoptés en moyenne par 108 Voix POUR, 14 CONTRE et 11 ABSTENTION

Daouda Bakary KONE

Source:croissanceafrique.com

Mail: croissanceafrik@gmail.com

Mali: Le Président de l’Assemblée a reçu une délégation du système des Nations Unies, et le nouveau Ambassadeur de la France dans notre pays.

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Ce vendredi 14 décembre 2018, M. Issiaka Sidibé, Président de l’Assemblée a reçu une délégation du système des Nations Unies ainsi que le nouvel ambassadeur de France au Mali. La délégation Onusienne était conduite par Madame #BintouKEITA sous-secrétaire général au département de maintien de la paix.

Avec le président SIDIBE, ils ont fait un tour des questions de paix et de sécurité dans le sahel et particulièrement au Mali. La deuxième personnalité qui a rendu visite au Président de l’Assemblée Nationale, est l’Ambassadeur de France nouvellement accrédité au Mali, selon la cellule de communication.

Selon la direction de la communication « Joel_MEYER qui vient juste de prendre fonction a dit vouloir œuvrer à maintenir le bon climat qui caractérise les relations entre notre pays et la France. Il a évoqué la coopération particulièrement dynamique entre les parlementaires des deux pays comme l’atteste le sommet interparlementaire Co organisé par le G5 sahel et l’alliance pour le sahel, qui se tiendra ce mercredi 12 Décembre à Paris » a posté sur la page facebook de l’assemblée Nationale.

Hamadoun Alphagalo

Source: croissanceafrique.com

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Mali: Fonds de la paix de l’Union africaine, Bamako juge le résultat important avec 75 millions de dollars recueillis.

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C’est au cours d’une conférence de Haut niveau sur le financement de la Paix par
L’Union Africaine que le Premier ministre Soumeylou Boubèye Maïga a salué et encouragé l’initiative de la tenue d’une telle rencontre dans notre pays.

Le Premier ministre Soumeylou Boubèye Maïga a présidé le mercredi 12 décembre 2018 la conférence de haut niveau sur le renforcement de l’efficacité des opérations de soutien à la Paix mandatées et autorisées par l’Union Africaine à travers le Fond de la Paix. C’était à l’ École de Maintien de la Paix Alioune Blondin Bèye (EMPABB), en présence de plusieurs personnalités, dont PierreBuyoya, Haut représentant de l’Union africaine pour le Mali et chef de la MISAHEL, Dr Donald Kaberuka, Haut représentant de l’UA pour le Financement de l’Union et le Fonds de la paix et madameBintou Keïta, Sous-secrétaire générale pour les opérations au département des opérations de maintien de la paix des Nations Unies.

A l’occasion, le Premier ministre Soumeylou Boubèye Maïga, a apprécié que la présente conférence de Bamako sur le fonds de la paix de l’UA revêt d’un intérêt stratégique pour toute notre région. Face au manque de financement durable dans la consolidation de la paix en Afrique, Soumeylou Boubèye Maïga s’est réjoui de la création, depuis 1993, du Fonds de la paix de l’Union africaine qui engrange, fort heureusement à Bamako de résultats importants avec 75 millions de dollars recueillis.

Pour le Premier ministre, c’est grâce à ce mécanisme de financement que « nous arrivons progressivementà réduire notre dépendance financière vis-àvis des apports extérieurs » a t – il déclaré. Le Chef du Gouvernement est convaincu qu’il faille adopter des«solutions africaines aux problèmes africains », seul gage pour de solutions durables.

Avant de terminer, le PM a tenu à saluer les efforts inlassables et le leadership remarquable du président Paul Kagamé du Rwanda, président en exercicede l’UA et Moussa FakiMahamat, président de la Commission de l’UA.

Daouda Bakry koné

Source: croissanceafrique.com

Mail: croissanceafrik@gmail.com