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Le Mali et le FIDA signent un accord au profit de l’inclusion financière des petits producteurs

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(Agence Ecofin) – Gilbert Houngbo, président du Fonds international de développement agricole (FIDA) et Boubou Cissé, ministre malien de l’Economie et de des Finances, ont entériné le 6 juillet dernier, un accord financier relatif à la mise en œuvre du Projet de services financiers inclusifs dans les filières agricoles (INCLUSIF).

Couvrant la période 2018-2024, le projet d’un coût global de 105,5 millions $ verra une contribution du FIDA à hauteur de 58 millions $ et de 4,6 millions $, de la part de l’Etat malien.

Son objectif est d’accroître l’inclusion financière des petits agriculteurs ainsi que de leurs organisations (organisations professionnelles agricoles et des agro-PME-PMI), à travers le développement de services financiers et produits financiers et l’amélioration de l’accès au financement des filières.

Ses principales régions cibles sont Ségou, Koulikoro, Sikasso, Kayes et Mopti. En matière d’impacts, il est attendu, entre autres, que l’initiative conduise à la bancarisation de 440 000 petits producteurs et 360 organisations professionnelles agricoles et contribue au renforcement de 110 PME agricoles.

D’après le FIDA, l’inclusion financière en zone rurale au Mali est de seulement 20%. De plus, indique l’institution, l’agriculture a bénéficié en 2016, de moins de 1% du portefeuille de crédits octroyés par les banques.

Espoir Olodo

Salon de l’Action Gouvernementale : « L’Office du Niger assure aujourd’hui plus de 50% des besoins du Mali en Riz »

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Dans le cadre du salon de l’action gouvernementale qui s’est tenue du 04 au 07 juillet 2018 à l’hôtel Sheraton de Bamako, notre rédaction s’est intéressée aux différentes réalisations du Gouvernement dans la zone de l’Office du Niger. C’est le Directeur de l’Appui au Monde Rural de l’Office du Niger, monsieur Bamoye Keita qui répond à nos questions. Voici ses réponses.

Monsieur le directeur, nous sommes ici dans le cadre du Salon de l’Action Gouvernementale, alors peut-on savoir quelles sont les actions réalisées dans la Zone de l’Office du Niger de 2013 à nos jours?

Les actions réalisées par le gouvernement en zone de 2013 à nos jours peuvent-être résumées comme suit :
En matière de réalisation des nouvelles superficies pour augmenter la production agricole, de 2013 à 2018, dans le cadre de différents projets, 10 270 ha nouveaux ont été aménagés, 5 850 ha ont été réhabilités, soit au total 16 120 ha qui nous permettent d’obtenir une production additionnelle de 104 780 tonnes à raison d’un rendement moyen de 6,5 tonnes par hectare.
Quand on a des superficies, on a aussi besoin d’équipements agricoles pour les exploiter, dans ce sens aussi, nous avons bénéficié en zone Office du Niger de 16 tracteurs dans le cadre du programme 1000 tracteurs. Lors de la journée du paysan, organisée à Ségou en 2017, le Président de la République a offert aux exploitants de la zone Office du Niger 3 000 repiqueuses manuelles et 500 décortiqueuses de maïs. Dans le cadre du programme d’urgence présidentielle en cours, la zone Office du Niger doit bénéficier de 100 motoculteurs subventionnés dont 24 ont été déjà réceptionnés. Ces matériels nous permettent vraiment d’améliorer les conditions d’exploitation de nos parcelles.
En zone Office du Niger, nous pratiquons de l’irrigation gravitaire en maitrise totale de l’eau dont la pièce maitresse est le barrage de Markala. Cet ouvrage stratégique avait un grand besoin d’entretien après plus 80 ans d’exploitation. Le Président de la République a été sensible à cette urgence et a mobilisé 1 milliard de nos francs pour l’entretien du barrage. Ce qui a permis de réalisation toutes les réparations nécessaires sur le génie-civil, la charpente métallique et les éléments souterrains, de mettre en place un système de vidéosurveillance, l’éclairage publique, et de reprendre le revêtement en peinture. Ces réalisations vont nous permettre d’exploiter cet ouvrage pendant plusieurs années encore.
En plus, en zone Office du Niger nous pratiquons l’irrigation gravitaire en maitrise totale de l’eau, ce qui nécessite de mettre en œuvre beaucoup d’ouvrages hydrauliques, notamment le barrage de Markala qui est la pièce maitresse de l’ensemble du réseau d’irrigation. Cet ouvrage clé avait beaucoup de problèmes, notamment des besoins de réparations d’urgence. Ces éléments ont été rapportés au président de la république qui nous a offert un (01) milliard de F CFA pour l’entretien du barrage. Ainsi, Toutes les réparations d’urgences qui étaient nécessaire pour la bonne exploitation de cet ouvrage pendant plusieurs années encore ont été faites en plus de la mise en place d’un système de vidéo surveillance et l’éclairage public sur près d’un kilomètre. Donc, c’est vraiment une action salutaire du gouvernement en zone Office du Niger.
Dans le cadre des différents projets menés en zone Office du Niger, plusieurs infrastructures socioéconomiques ont été réalisées pour améliorer les conditions de vie des populations. On peut noter, entre autres, 6 écoles, 4 centres de santé, 826 maisons d’habitation, 1 maison des jeunes, 1 maison des femmes, 6 magasins, 5 hangars, 2 parcs de vaccination, 3 lavoirs, 24 kilomètres de piste d’accès, 40 forages, 27 puits à grand diamètre, 1000 hectares de reboisement.
En résumé, toutes ces réalisations ont grandement contribué à l’atteinte de la sécurité alimentaire, à la lutte contre la pauvreté et à l’amélioration des conditions de vie des populations de la zone Office du Niger.
Monsieur le directeur, vous aviez aussi des objectifs à atteindre, où en est-on aujourd’hui ?
Justement, comme je l’ai dit tantôt, l’objectif global de l’office du Niger, c’est vraiment d’améliorer les conditions de vie des populations et d’assurer la sécurité alimentaire, notamment en ce concerne le riz. Et aujourd’hui, l’Office du Niger à lui seul assure plus de 50% des besoins en riz du Mali, ce qui est quand même une grande avancée. Et comme, les besoins vont croissants aussi, ce taux-là a du mal à monter. Avec toutes les actions qui sont en cours, en tous cas, d’ici 5 ans, nous espérons que nous allons peut-être assuré 60 à 70% des besoins en riz du Mali. Mais de façon générale, les objectifs qui sont fixés pour nos campagnes sont atteints, voire même dépassés, si nous faisons l’évaluation sur la base des superficies réellement disponibles. Il faut toutefois noter que les objectifs annoncés dans le Contrat-Plan ne sont pas atteints à cause du rythme faible des aménagements, faute de financement adéquat.
Avez-vous d’autres commentaires ?
Je veux juste ajouter que ce salon est une belle initiative en ce sens qu’il a pour but de mettre en exergue le travail gouvernemental et de donner plus de visibilité aux actions du Chef de l’Etat en direction des populations.
Il permet aussi de récolter les besoins des populations mais surtout de juger l’action gouvernementale de façon à apporter, si nécessaire, des mesures correctives. Vous savez, dans toute action humaine, il y a souvent des imperfections, des choses qui marchent, d’autres qui ne marchent pas et il faut souvent donner l’occasion aux gens de juger un peu ce que qu’on fait de façon à pouvoir s’améliorer à travers les conseils et critiques. C’est le sens que je donne à ce salon.

Source : La Lettre du Mali (Amadou Kodio)

Les Maliens devraient voter par raison et non par sentiment

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C’est parce que je ne veux pas voter par sentiment que je me méfie des consignes de vote. Les leaders religieux ou de la société civile qui appellent à voter pour tel ou tel candidat ne savent pas mieux que nous ce qui est bien pour le Mali, écrit la blogueuse Nathalie Sidibé.

Alors que je prenais un taxi la semaine passée, j’ai demandé au chauffeur pour quel candidat il allait voter. « Je suis Samaké, je vais voter pour mon cousin Yeah Samaké », m’a-t-il répondu. Cette réponse m’a bouleversée et je me suis longuement posé la question: est-ce raisonnable de voter pour un candidat juste parce que vous êtes de la même famille, du même clan, du même groupe ethnique ou de la même communauté religieuse ? Comme le chauffeur de taxi, j’ai l’impression que c’est ce que font beaucoup de Maliens. Cette manière de voter est ce que j’appelle le vote par sentiment.

Le vote par sentiment est destructeur
L’élection présidentielle devrait être un moyen de choisir, parmi tous les candidats, celui qui est le plus capable de faire du Mali un pays paisible et prospère. Toutes les autres considérations sont destructrices car elles permettent de mettre au pouvoir des hommes irresponsables. Ce n’est pas parce que quelqu’un est de la même famille ou région que nous qu’il fera un bon président de la République.

A qui la faute ?
La faute est avant tout aux politiciens. Pour eux, tous les moyens sont bons pour arriver au pouvoir ou le conserver. Par manque de projet convaincant, beaucoup de politiciens commencent par séduire leurs « semblables », les gens de leur famille ou de leur tribu de voter pour eux. D’autres courtisent les religieux, car ils savent que ceux-ci sont très influents dans leur communauté. D’autres encore essaient de séduire les rappeurs et autres célébrités influentes chez les jeunes, parce qu’ils savent que ces derniers constituent la majorité des électeurs.

Méfions-nous des consignes de vote
C’est parce que je ne veux pas voter par sentiment que je me méfie des consignes de vote. Les leaders religieux ou de la société civile qui appellent à voter pour tel ou tel candidat ne savent pas mieux que nous simples électeurs ce qui est bien pour le Mali. C’est pourquoi je demande aux Maliens de décider par eux-mêmes pour qui ils vont voter, au lieu de suivre moutonnement ce que leur recommandent leurs idoles.

D’ailleurs, je ne suis pas de ceux qui pensent qu’il suffit d’avoir un bon programme pour devenir un bon président. Pour moi, le meilleur programme, ce sont les actes. Ce que le candidat a déjà fait pour le pays avant de conquérir le pouvoir est plus intéressant que n’importe quel programme. Celui qui n’a rien fait avant d’avoir le pouvoir ne fera probablement rien avec le pouvoir.

Nathalie Sidibe

Source: Bembere

Mali: Exécution à moitié, la loi D’orientation et de programmation militaire (LOPM).

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En provenance du Brésil, 4 avions légers d’attaque A-29 Super Tucano d’Embraer et leur armement sont arrivés à Bamako le 10 juillet 2018. Ils seront officiellement réceptionnés le 11 juillet à la Base aérienne 101 de Sénou par le Président IBK.

Ces 4 avions d’attaque peuvent être armés de 2 mitrailleuses de 12,7 mm et disposent de pylônes sous les ailes leur permettant d’emporter un canon de 20mm, des nacelles lance-roquette ou des bombes. Ils vont renforcer les capacités d’intervention de l’Armée de l’air du Mali.

En dotant les Forces Armées Maliennes de moyens aériens efficaces (et sur ressources nationales), le Président du Mali IBK confirme son engagement de reconstruire l’Armée malienne et de lui donner les moyens de lutter efficacement contre le terrorisme.

Anw Ka Mali Ba Be ka ta ñe

Source: Jigi.

Les 10 plus grandes fortunes de France et leur entreprise

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Les 10 plus grandes fortunes de France et leur entreprise en 2018.
Challenges vient de sortir son classement 2018 des 500 Fortunes de France.
Nous vous présentons donc les 10 plus grandes fortunes de France et leur entreprise.

Les 10 plus grandes fortunes de France et leur entreprise
1- Bernard Arnault, fortune: 73,2 milliards d’euros – Société: LVMH, société regroupant de nombreuses marques mondialement connues et dont l’activité principale est constituée de la vente de vêtements et accessoires de luxe.

2- Alain et Gérard Wertheimer, fortune: 40 milliards d’euros – Société: CHANEL

3- Axel Dumas, fortune: 39,6 milliards d’euros – Société: HERMES PARIS

4- Françoise Bettencourt – Meyers, fortune: 39,3 milliards d’euros – Société: L’OREAL

5- Gérard Mulliez, fortune: 38 milliards d’euros – Société: AUCHAN

6- François Pinault, fortune: 30,5 milliards d’euros – Société: KERING

7- Famille Dassault, fortune: 23,8 milliards d’euros – Société: DASSAULT

8- Pierre Castel, fortune: 12,5 milliards d’euros – Société: CASTEL

9- Emmanuel Besnier, fortune: 12 milliards d’euros – Société: LACTALIS

10- François Perrodo, fortune: 8,5 milliards d’euros – Société: PERENCO

Daouda Bakary kone

Classement des pays producteurs de pétrole en Afrique

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Classement des pays producteurs de pétrole en Afrique.
Ce classement des pays producteurs de pétrole en Afrique est basé sur la production de 2017.

Voici le Classement des pays producteurs de pétrole en Afrique
1- Nigeria
Avec une production pétrolière de plus de 2037 000 barils par jour, le Nigéria est incontestablement le premier producteur de pétrole d’Afrique.

2- Angola
La production pétrolière angolaise est estimée à 1707 000 barils par jour. Ce qui en fait, le deuxième producteur de pétrole en Afrique.

3- Algérie
Avec une production pétrolière de plus de 1641 000 barils par jour, L’Algérie se classe troisième producteur de pétrole d’Afrique.

4- Libye
La Libye se classe quatrième producteur de pétrole d’Afrique avec une production journalière d’environ 852 000 barils.

5- Egypte
Classé cinquième producteur de pétrole d’Afrique, l’Egypte produit environ 653 000 barils par jour.

6- Congo (Brazzaville)
Le Congo (Brazzaville) est classé sixième avec 354 000 barils produit par jour.

7- Guinée Équatoriale
Avec une production journalière d’environ 206 000 barils, la Guinée Équatoriale est classée septième producteur de pétrole d’Afrique.

8- Gabon
Classé huitième producteur de pétrole, le Gabon produit environ 198 000 barils de pétrole par jour.

9- Ghana
Avec une production de 152 000 barils par jour, le Ghana se classe neuvième producteur de pétrole d’Afrique.

10- Soudan du sud
Le Soudan du sud se classe dixième avec une production quotidienne d’environ 150 000 barils.

11- Afrique du Sud
L’Afrique du Sud se classe onzième avec environ 132 000 barils produits par jour.

12- Chad
Le Chad se classe douzième avec une production pétrolière quotidienne d’environ 130 000 barils.

13- Soudan
Avec une production journalière d’environ 105 000 barils, le Soudan se classe treizième.

14- Cameroun
Le Cameroun se classe Quatorzième avec une production journalière d’environ 81 000 barils.

15- Cote dIvoire
Avec une production journalière d’environ 55 000 barils, la Côte d’ivoire se classe quinzième producteur de pétrole d’Afrique.

16- Tunisie
La Tunisie se classe seizième avec une production journalière d’environ 38 000 barils.

17- Congo (Kinshasa)
Le Congo se classe dix-septième avec une production journalière d’environ 19 000 barils.

18- Niger
Avec une production journalière d’environ 11 000 barils, le Niger se classe dix-huitième producteur de pétrole d’Afrique.

Les autres pays qui ne figurent pas dans le Classement des pays producteurs de pétrole en Afrique ont encore une production faible.

Daouda Bakary kone

M. Ghanem succède à Makhtar Diop, qui devient vice-président de la Banque mondiale pour les infrastructures.

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WASHINGTON, 9 juillet 2018 — La Banque mondiale a nommé M. Hafez Ghanem au poste de vice-président pour la Région Afrique. Expert du développement ayant à son actif plus de trente années d’expérience, M. Ghanem a pris ses nouvelles fonctions le 1er juillet. Il sera responsable d’un portefeuille régional de plus de 600 projets, pour un engagement total supérieur à 71 milliards de dollars.

Il succède à Makhtar Diop, qui devient vice-président de la Banque mondiale pour les infrastructures.

La Banque mondiale poursuivra, sous la houlette de M. Ghanem, son ambitieux programme pour le continent, où elle s’attache à promouvoir une croissance inclusive et réduire la pauvreté en finançant des projets visant à valoriser le capital humain, encourager le développement du secteur privé, accroître la productivité agricole, améliorer l’accès aux infrastructures, renforcer la résilience au changement climatique et promouvoir l’intégration régionale. Une importance particulière sera accordée aux programmes et projets offrant des opportunités d’emploi aux jeunes et promouvant l’égalité entre les sexes. La Banque mondiale intensifiera également son action en faveur des pays fragiles ou en conflit.

Ayant travaillé dans plus de trente pays d’Afrique, d’Europe et d’Asie centrale, du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord et d’Asie du Sud-Est, M. Ghanem apporte à sa nouvelle fonction une vaste expérience. Avant d’être nommé à ce poste, il était vice-président de la Banque mondiale pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord et dirigeait à ce titre le programme de l’institution dans la région, soit un portefeuille de projets, d’assistance technique et de financements représentant plus de 13 milliards de dollars.

Alors que les pays d’Afrique subsaharienne cherchent à accélérer la croissance, mettre fin à l’extrême pauvreté et à mieux s’intégrer à l’économie mondiale, le Groupe de la Banque mondiale reste résolument à leurs côtés pour déployer des stratégies de développement et de financement innovantes.

Daouda Bakary kone , journaliste economique fondateur du magazine croissanceafrique.com

Mali : la Banque mondiale appuie la productivité agricole, la résilience des habitants des zones arides, la croissance inclusive et la protection sociale

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WASHINGTON. La Banque mondiale a approuvé aujourd’hui une enveloppe de financements d’un montant de 172 millions de dollars allouée par l’Association internationale de développement (IDA)* au Mali, afin d’améliorer la productivité agricole et la résilience des habitants des zones arides, de promouvoir une croissance sans exclus et d’appuyer la protection sociale.

«Ces projets, qui viennent d’être approuvés par le Conseil d’administration, devront aider le pays à accélérer la réduction de la pauvreté en améliorant les sources de revenus et réduisant la vulnérabilité de certaines des familles les plus démunies. Ils contribueront ainsi à la réalisation du double objectif de la Banque mondiale, à savoir mettre fin à l’extrême pauvreté et promouvoir une prospérité partagée. Ces projets devront soutenir l’amélioration de la productivité agricole et la résilience des populations rurales ciblées notamment les femmes », explique Soukeyna Kane, directrice des opérations de la Banque mondiale pour le Mali.

Le programme d’aide porte sur les projets suivants :

La Deuxième (et dernière) opération à l’appui des politiques de développement pour la réduction de la pauvreté et la croissance inclusive au Mali jette les bases d’une croissance économique sans exclus et améliore la protection des plus vulnérables. Avec des réformes dans le domaine de la propriété foncière, de l’énergie, des subventions agricoles, des télécommunications, de la protection sociale et du microfinancement, cette opération favorisera la lutte contre la pauvreté, renforcera les droits fonciers et améliorera la concurrence dans le secteur des télécommunications. Elle est financée par un don et un crédit de l’IDA d’un montant de 60 millions de dollars au total.

Le Projet de développement des zones arides au Mali regroupe un ensemble d’interventions susceptibles d’atténuer les conséquences de la sécheresse et du changement climatique sur une zone couvrant approximativement la partie septentrionale des régions de Kayes, Koulikoro et Ségou, ainsi que l’intégralité de la région de Mopti. Il se compose à la fois de transferts monétaires directs et d’aides à la production, par la fourniture d’intrants, de services et d’infrastructures agricoles, mais aussi d’un appui aux institutions communautaires et nationales. Cette opération protègera ainsi au moins 20 000 ménages vivant dans des régions parmi les plus pauvres du Mali. Elle est financée par un don et un crédit de l’IDA d’un montant total de 60 millions de dollars.

Le Projet de filets sociaux « Jigisemejiri » bénéficie d’un financement supplémentaire de 52 millions de dollars grâce à un don de l’IDA. Il s’inscrit dans la continuité du Projet d’urgence de filets sociaux, approuvé en 2013. À ce jour, ce projet procure des transferts monétaires trimestriels à 67 845 familles (90 % de l’objectif visé), soit 390 465 personnes, dont 49 % de femmes, dans les régions de Kayes, Sikasso, Koulikoro, Ségou, Mopti et Gao, ainsi qu’à Bamako. Les interventions qui seront menées au titre du financement supplémentaire contribueront à promouvoir le développement et la sécurité alimentaire des ménages. Ce projet vise à renforcer le système de filets sociaux du pays et à améliorer la résilience des ménages pauvres et vulnérables.

* L’Association internationale de développement (IDA) est l’institution de la Banque mondiale qui aide les pays les plus pauvres de la planète. Fondée en 1960, elle accorde des dons et des prêts à faible taux d’intérêt ou sans intérêts en faveur de projets et de programmes de nature à stimuler la croissance économique, à réduire la pauvreté et à améliorer la vie des plus démunis. L’IDA figure parmi les principaux bailleurs de fonds des 75 pays les plus pauvres de la planète, dont 39 se trouvent en Afrique. Les ressources de l’IDA permettent d’apporter des changements positifs dans la vie de 1,5 milliard de personnes résidant dans les pays éligibles à son aide. Depuis sa création, l’IDA a soutenu des activités dans 113 pays. Le volume annuel des engagements est en constante augmentation et s’est élevé en moyenne à 18 milliards de dollars au cours des trois dernières années, 54 % environ de ce montant étant destinés à l’Afrique.

Daouda Bakary KONE, journaliste économique , fondateur du magazine croissanceafrique.com

SOUMAILACISSÉ : « l’homme face à son destin, pour le Mali, prêt pour un Autre Mali pour restaurer l’espoir » dixit.

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Technocrate hors paire, financier, économiste rompu et non contesté ni de l’intérieur ni de l’extérieur, l’homme politique est prêt pour le Mali et le bonheur des maliens.
Pour cela il veut briser cette idéologie propagandiste négative sur sa propre personnalité enfin de se hisser au sommet de la gouvernance et pour une autre gouvernance pour le Mali.

D’abord prenons les critiques des opposants de l’homme et analysons les avant de mettre en exergue la pertinence de certains points clés de l’excellent programme que l’homme propose aux maliens.
En lisant ça et là on constate que certains veulent continuer d’abord dans la stigmatisation de ceux qui ont participé à la gestion du Mali de 1992 à aujourd’hui.
Ils trouvent que tout ceux ci ont échoué et n’ont plus rien à prouver aux maliens et qu’il faut les déposer sans ambages. Ils trouvent que le Trou dans le quel le Mali est n’est imputable qu’à ceux-ci et Soumi avec .
Certains vont jusqu’à s’en prendre à l’homme car ils prêtent une certaine richesse sur le dos du contribuable par vol , détournement des deniers publics d’autres vont jusqu’à affirmer qu’il est nordiste ou que le malien ne l’aime pas et j’en passe.

N’est il pas temps pour le malien d’aller au delà de cette stigmatisation sans aucune preuve matérielle ? Allons nous continuer à croire aux « on dis » qui altèrent nos jugements de façon aveugle ?
Soumaila a participé à la gestion de ce pays à divers degrés de compétences mais quelqu’un peut il venir nous prouver ici qu’il n’a pas assuré à ces postes ? Quelqu’un peut il venir nous avancer les preuves certaines des détournements de deniers publics de la part de l’homme quand il était aux affaires dans les différents départements ?
Ce n’est pas un défi que je lance mais beaucoup pataugeront , spéculeront, affirmeront sans pouvoir prouver.

Mais bien avant je voudrai interpeller cette jeune génération qui connaît moins l’homme et qui se fait embarquer par certains en traitant l’homme de tous les maux sans en avoir la moindre preuve.

Voici ce qu’ils vous diront jamais de Soumi:
Au plan national : en 1984 la cmdt avec le monde rural , assurer le développement et l’assise du secteur c’est soumi qui l’a assuré en tant que coordinateur des projets Mali sud.
Assurant le succès dans le secteur, il fût nommé directeur du programme et du contrôle de gestion puis PDG en 1991.

Sous la transition et en récompense de l’excellent travail au niveau de la CMDT , il fut appelé pour créer et gérer l’ACI dont tous les maliens sont fières aujourd’hui car ayant permis l’avènement des premiers quartiers modernes dans la capitale.

Aussi Soumi fut SG de la présidence en 1992 avec à la clé la gestion des grands dossiers de la nation avec rang de ministre.

En 1993 ministre des finances il fera étalage de son talent d’économiste et de financier pour maintenir l’économie Malienne au gré des flots de vague d’une crise économique sociale sans précédent qui sévit en 1994 : la dévaluation du franc CFA.
Cette crise l’impose de part son savoir faire comme le premier président du conseil des ministres de l’uemoa pour toute la zone .
Au plan national, il réussi à convaincre les bailleurs de fonds en l’occurrence le FMI et la banque mondiale de rester aux côtés du Mali pays pauvre très endetté en leurs donnant la garantie de la mise en œuvre de 3 accords sans lesquels aucune économie de la sous région ne pouvait survivre : le FAS ( facilité d’ajustement structurel) ensuite FASR ( facilité d’ajustement structurel renforcé) et enfin le FASSE ( facilité pour la réduction de la pauvreté et pour la croissance).

Au moment où l’homme quittait le ministère de finances, le FMI estimait que le Mali n’avait plus besoin de programme avec les institutions de bretton Woods ni de résident du FMI.
Alors le FMI conseilla au Mali de conclure un accord cadre qui permettait au pays de s’adresser directement au marché financier international pour couvrir les besoins de financement en investissement.

Outre, la mise en œuvre continue des programmes appuyés par la communauté internationale à permis au Mali de remplir un des critères clés d’accès au bénéfice de l’annulation de la dette multilatérale ( initiative PPTE pays pauvres très endettés).

Les nationalistes non éclairés ne comprendront ou ne voulons rien comprendre de ce sacrifice car ignorant à coup sûr ce que devaient subir nos pays pauvres pour s’en sortir dans un contexte économique délétère et avec le vent de la démocratie qui donnait aux peuples le rêve de vivre une démocratie et de pleinement profiter d’une économie libérale qui n’existait point.

Si on juge un homme à travers le degré et l’application qui à lui a été confié, qui peut me dire que l’homme n’a pas pu?

J’ai écouté et vu un ancien PM dire au sujet de la lutte contre la corruption déclarer:  » En tant que PM mon rôle s’arrêtait à transmettre les dossiers de corruption à la justice, je pouvais rien faire de plus ».

J’ai compris alors que l’exercice du pouvoir est tributaire d’un champ d’action et d’un degré de compétence.

Bref rendons à César ce qui appartient à César.
Arrêtons la politique politicienne , voyons la compétences, la vision d’un homme d’un économiste chevronné d’un financier qui veut et qui peut pour le Mali.

Très prochainement un décryptage du programme du candidat : « Ensemble restaurons l’espoir dans ses 5 piliers » qui sont :

_ 1 Restaurer la paix , la sécurité du pays.
La sécurité du pays et l’autorité de l’État.
_2 Instaurer un véritable dialogue entre les maliens
_3 Mettre l’État au service des populations.
_4 Donner aux jeunes et Aux femmes la place qui leur est due dans la société malienne.
_5 Construire une économie compétitive performante et solidaire.

Boubacar Koumare

Lancement de la campagne du candidat Soumaïla Cissé en Bambara : « Jaamana té djô ni doussou yé. A bé djô ni hakili deyé » a t-il affimé

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| Dimanche 8 juillet 2018 sur le Boulevard de l’Indépendance à Bamako.

Début de la cérémonie de lancement officiel de la campagne du Président Soumaïla Cissé. Les artistes Doussou Bagayoko, Sydney et Michelle Kaniba, entre autres, donnent le ton des festivités…

Arrivée du Président Soumaïla Cissé accompagné, entre autres, de son épouse Cissé Assitan Traoré et de son Directeur de campagne M. Tiébilé Dramé au Monument de l’Indépendance, puis sur la scène pour le lancement officiel de sa campagne. L’hymne de L’URD retentit pour lancer la cérémonie…

Le Président Soumaïla Cissé debout devant le peuple pour chanter l’hymne national du Mali | Discours d’ouverture de la directrice adjointe de campagne, Mme Diakité Kadidia Fofana « J’étais militante de l’ADEMA mais malheureusement ce parti est devenu un club de soutien »

Mme Diakité Kadidia Fofana : « Soumaïla Cissé a fait un travail extraordinaire à la CMDT. Il a été le premier à instaurer l’audit interne dans cette entreprise. » « Le régime IBK a passé les 5 dernières années à dilapider les fonds publics. Il est temps d’en finir ! »

Mme Diakité Kadidia Fofana : « Chers compatriotes nous avons le choix. Faisons le bon. Votons Soumaïla Cissé ! » | Habib Dembélé / Guimba National : « Je vous annonce ma décision de soutenir Soumaila Cissé.

Habib Dembélé / Guimba National : « Nous avons en place un régime qui reste inerte face à la crise au centre mais organise des concerts » « Je ne peux laisser mon pays dans cet état donc je réaffirme mon soutien au candidat Soumaïla Cissé. »

Discours du Directeur de Campagne du Président Soumaïla Cissé, M. Tiébilé Dramé : « Nous remercions tous les partis politiques, mouvements et associations qui soutiennent la candidature de Soumaila Cissé. » « Tous ces soutiens démontrent une volonté ferme d’instaurer l’alternance ! »

Discours du Directeur de Campagne du Président Soumaïla Cissé, M. Tiébilé Dramé : « Donc tous ensemble mettons-nous en marche pour Koulouba avec Soumaïla Cissé ! » « Allez retirer vos cartes d’électeurs pour mettre fin au calvaire que vit notre pays depuis cinq ans ! »

Discours du Président Soumaïla Cissé : « Je souhaite qu’on observe une minute de silence en hommage au doyen des chefs de quartiers de Bamako, El Hadj Ibrahim Traoré et toutes les victimes maliennes, africaines et étrangères de la crise. »

Discours du Président Soumaïla Cissé : « Le Mali ne peut plus être spectateur de son destin comme c’est le cas depuis 5 ans » « Aucun membre de ma famille ne sera nommé à une fonction ministérielle, je vous en fait le serment! » « Cette élection est la vôtre, ne vous la laissez pas voler ! »

Discours du Président Soumaïla Cissé : « Je salue les familles fondatrices de Bamako pour le travail de sensibilisation qu’elles font au quotidien pour l’apaisement. »

Président Soumaïla Cissé en Bambara : « Jaamana té djô ni doussou yé. A bé djô ni hakili deyé / Diriger un pays se fait avec l’esprit et non avec le cœur. »

Daouda Bakary KONE