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Sortie de crise pour la CEMAC, 2,1% de croissance attendue en 2018

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Après une année 2017 sans croissance (-0,1%), la Communauté économique des États d’Afrique centrale (CEMAC) prévoit une croissance économique de 2,1% en 2018, a déclaré mercredi 21 mars Abbas Mahamat Tolli, gouverneur de la Banque des États de l’Afrique centrale (BEAC).

Selon le gouverneur de la BEAC, cette amélioration s’explique par la hausse des prix du pétrole brut, ainsi que par la mise en œuvre accélérée des réformes économiques, monétaires et financières prescrites par la banque.« Ce regain de vitalité est la conséquence de la stabilisation des réserves de change grâce à un afflux de devises favorisé par des aides financières octroyées par le Fonds monétaire international (FMI) avec d’autres bailleurs de fonds internationaux, suite à la signature par la RCA, le Cameroun, le Gabon et le Tchad d’un programme économique et financier chacun, en vue de la relance de leurs économies respectives en crise» a-t-il commenté.

Selon un récent rapport de la Banque, la croissance moyenne de la région devrait atteindre les 2,4 % cette année, contre 3,4 % en 2019.

Côte d’Ivoire : le profit de la SIB bondit de 32%, à 22,5 milliards FCFA

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La Société ivoirienne de banque (SIB), filiale du groupe marocain Attijariwafa Bank, a réalisé un profit net de 22,529 milliards FCFA, soit 34,3 millions d’euros, au terme de l’exercice 2017. Un résultat en hausse de 31,8% qui vient confirmer la bonne dynamique de la banque qui avait soldé 2016 avec un bénéfice en progression de 15%.

La SIB qui a accru ses crédits à l’économie de 5% a bénéficié d’une hausse de ses ressources de 8% des dépôts, principalement des particuliers.Durant cet exercice, l’établissement indique avoir réussi à faire progresser la rémunération de ses services (commissions de 14%) ainsi que de ses activités de commerce extérieur et de son portefeuille titre de 21%, ce qui a soutenu son PNB en croissance de 15,6% à 58,62 milliards FCFA, soit 83,37 millions d’euros.

A contrario les charges ont augmenté de 12%, le coût du risque restant quasiment stable (+1,9%).

Au final, le total bilan qui se rapproche des 1 000 milliards FCFA s’établit à 995,51 milliards FCFA, soit 1,52 milliards d’euros.

10,5 milliards FCFA de dividendesSur ce bénéfice net de 22,5 milliards, l’établissement compte distribuer à ses actionnaires 10,5 milliards FCFA, soit un peu plus de 16 millions d’euros, ce qui représente une « rémunération brut de 1 050 FCFA (1,6 euros) par action ».

Par ailleurs, conformément à la réglementation, l’Assemblée générale prévue ce 6 avril devra valider la proposition de fractionnement du titre SIB dans un rapport de 1 pour 5.

Il faut en outre noter que , anticipant l’entrée en vigueur du nouveau cadre comptable et prudentiel dont les exigences en terme de fonds propres pourrait impacter le financement de l’économie, la SIB annonce avoir levé en décembre dernier des fonds propres complémentaires sous forme de dette subordonnée à hauteur de 10 milliards FCFA

Signature d’une convention de coopération entre la China Development Bank (CDB) et BMCE Bank of AfricaI

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Une cérémonie a été organisée au siège de BMCE Bank of Africa, le 23 Mars 2018, au cours de laquelle un Mémorandum d’Entente a été signé entre Monsieur Liu Xin, Directeur Général, Branche Zhejiang de China Development Bank d’une part et Messieurs Brahim BENJELLOUN TOUIMI, Administrateur Directeur Général Exécutif Délégué de BMCE Bank of Africa et Président de BoA GroupMohammed AGOUMI, Directeur Général Délégué, en charge de la Coordination de l’International de BMCE Bank of Africa d’autre part.

 

A travers cet accord China Development Bank – CDB – et BMCE Bank Of Africa visent à renforcer la coopération et l’investissement entre les entreprises des deux pays, en marge du Mémorandum d’entente relatif à l’initiative « One Belt, One Road » signé entre le Maroc et la République Populaire de Chine en Novembre 2017, sous l’égide de sa Majesté le Roi Mohammed VI.

La signature du Mémorandum d’entente intervient dans un contexte de développement des programmes d’infrastructure incluant, celles des transports, construction automobile, parc technologique, d’investissement et de commerce outre des projets de développement durable liés aux questions sociales et à l’environnement, qui renforcent la pertinence des projets précités.

Par ailleurs, cet accord qui intervient en marge de l’ouverture imminente de la succursale BMCE Bank of Africa à Shanghai définit dans les opportunités Business & Trade au Maroc et en Chine de même qu’il offre une base solide de coopération dans les domaines d’’intérêt du secteur privé des deux pays, dans la perspective de consolider le positionnement du Maroc, en tant que porte d’entrée privilégiée de l’Afrique et d’insuffler, à travers ce partenariat, une nouvelle dynamique aux relations entre le Maroc et la Chine.

 

À propos de China Development Bank :

La China Development Bank (CDB) est une institution financière placée sous la juridiction directe du Conseil d’Etat. Elle dispose de 37 succursales à travers le pays, une succursale offshore à Hong Kong et des bureaux de représentation au Caire et à Moscou. La banque a pour vocation de financer principalement les infrastructures, les industries de base, l’énergie et les transports. D’ailleurs, au cours de la dernière décennie seulement, CDB a accordé 1,6 milliard de yuans de prêts à plus de 4000 projets dans les secteurs de l’infrastructure, des communications, du transport et des industries de base.

 

Croissanceafrique.com

Fortune: Comment les Africains super-riches gagnent leur argent ? 

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(Ecofin Hebdo) – L’Afrique, continent le plus pauvre de la planète, compte plus de 145 000 individus fortunés. Ce club de privilégiés, que les banquiers privés appellent dans leur jargon les High net worth individuals (HNWI), n’est plus exclusivement composé d’une caste de chanceux héritiers et de princes endogames. On y trouve de plus en plus des self-made men qui travaillent dur pour fructifier leur argent, dépensent fastueusement et consacrent une partie de leur fortune à des œuvres philanthropiques. Plongée dans l’univers feutré de l’Afrique des grandes fortunes.

Toujours plus nombreux, et plus riches ! Alors que les Bourses n’ont pas fait d’étincelles et que les prix des matières premières peinent à remonter durablement la pente, les grandes fortunes africaines ne connaissent pas la crise. Selon l’édition 2017 de l’étude «Africa Wealth Report» que publient chaque année le cabinet de recherche britannique New World Wealth et AfrAsia Bank, l’Afrique comptait à fin 2016 quelque 145 000 individus fortunés (High net worth individuals/HNWI).

Mansa Moussa Mali

Le Malien Mansa Moussa reste à ce jour l’homme le plus riche de tout les temps.

La fortune cumulée de ces personnes détenant un patrimoine d’au moins un million de dollars, hors résidence principale, s’est élevée à 800 milliards de dollars. Entre 2006 et 2016, le nombre de ces nantis africains a enregistré une croissance de 19% tandis que leur magot s’est étoffé de plus de 300 milliards de dollars.

Entre 2006 et 2016, le nombre de ces nantis africains a enregistré une croissance de 19% tandis que leur magot s’est étoffé de plus de 300 milliards de dollars.

L’Afrique du Sud est largement en tête du classement des pays où vivent ces grandes fortunes avec 40 400 personnes, devant l’Egypte (18 100) et le Nigeria (12 300). Mais c’est l’Ile Maurice qui arrive en tête du classement des pays africains ayant enregistré la plus forte croissance du nombre de HNWI vivant sur son sol entre 2006 et 2016. Cet Etat insulaire de l’océan Indien a vu le nombre de ses milliardaires, multi-millionnaires et millionnaires grimper de 230% durant la période sous revue, à 3800 personnes.

Quatorze autres pays du continent ont enregistré des hausses à deux ou trois chiffres du nombre de leurs super-riches entre 2006 et 2016, dont l’Ethiopie (219%) et le Rwanda (107%).

fillette rolls

En 2017, le continent africain comptait 22 970 personnes ayant une fortune de plus de 5 millions de dollars.

Un rapport plus récent publié par le cabinet de conseil en immobilier Knight Frank a, d’autre part, fait ressortir que le continent le plus démuni du monde comptait en 2017 quelque 22 970 personnes ayant une fortune de plus de 5 millions de dollars contre 21 460 en 2016.

Intitulée «Wealth Report 2018», cette étude dénombre aussi 1190 Africains possédant plus de 50 millions de dollars en 2017 contre 1110 en 2016.

Le nombre des ultra-riches africains disposant d’une fortune de plus de 500 millions de dollars est, quant à lui, resté stable, à 80 personnes.

Cette étude dénombre aussi 1190 Africains possédant plus de 50 millions de dollars en 2017 contre 1110 en 2016. Le nombre des ultra-riches africains disposant d’une fortune de plus de 500 millions de dollars est, quant à lui, resté stable, à 80 personnes.

Les cryptomonnaies séduisent, l’or perd de son éclat

L’étude de Knight Frank, qui a sondé 500 banquiers privés et conseillers en gestion de patrimoine représentant 50 000 clients à travers le monde, montre que les membres du club des super-riches africains sont majoritairement aux antipodes du cliché éculé des gens oisifs sirotant sans discontinuer du champagne Dom Perignon à bord de leurs yachts de luxe, au point de devenir rapidement gras et déprimés à force d’inactivité et d’absence d’objectifs… La grande majorité de ces personnes fortunées ne sont pas des noctambules qui passent leur temps à peigner la girafe. Ils travaillent et s’occupent de leurs investissements. Pour eux, devenir riche demande du travail… Le rester également.

bitcoins

Les riches Africains apprécient les cryptomonnaies.

Leur patrimoine financier est dominé par les actions (26%) et le cash (26%), même si les cryptomonnaies (24%) et les obligations (15%) les séduisent de plus en plus.

Ils travaillent et s’occupent de leurs investissements. Pour eux, devenir riche demande du travail… Le rester également.

L’immobilier, qui représente 12% des avoirs des super-riches africains, reste aussi un placement fétiche. 34% de personnes appartenant à cette caste possédaient des biens immobiliers en dehors de leurs pays d’origine en 2017. Les villes les plus prisées pour l’achat de résidences secondaires sont Londres, New York, Genève, Sydney et Paris. Dubaï est particulièrement populaire auprès des HNWI originaires d’Egypte, du Nigeria, d’Algérie et du Maroc.

Le private equity représente, par ailleurs, 12% des placements contre 9% pour les investissements alternatifs. L’or a cependant beaucoup perdu de son éclat ces dernières années et ne représente désormais que 3% des avoirs des individus fortunés africains, qui semblent avoir compris que le fait d’avoir un portefeuille peu diversifié peut coûter très cher lorsque le marché se retourne.

L’étude de Knight Frank révèle dans ce cadre que les Africains les plus aisés éprouvent une importante aversion au risque. 53% d’entre eux ne sont pas disposés à s’engager dans des investissements rentables, mais dont le profil de risque est élevé contre 24% aux Etats-Unis, 19% en Asie et 25% en Amérique Latine.

 

Voitures de luxe, vêtements griffés, yachts et jets privés

S’il est vrai que les nantis africains se montrent prudents et tiennent à constituer un bas de laine pouvant leur servir de nouvelle pompe d’amorçage en cas de coup dur, il n’en demeure pas moins qu’ils ne regardent pas à la dépense quand il s’agit d’acheter le bonheur. On ne leur connaît pas de gros caprices, comme l’acquisition par le prince saoudien Al-Walid Ben Talal d’un Airbus A 380 pour voyager tranquille, ou la construction d’un mini Etat bien à soi par les jumeaux britanniques David et Frederick Barclay. Mais ils n’hésitent pas, à quelques rares exceptions près, à afficher sans complexe un style de vie princier.

africas millionaire

Au total, le marché africain du luxe a dégagé un chiffre d’affaires d’environ 5,9 milliards
de dollars en 2016.

Les millionnaires, multi-millionnaires et milliardaires africains adorent les objets de collection, en particulier les œuvres d’art, les vins, les voitures de sport rutilantes et les automobiles classiques.

Selon les calculs du cabinet New World Wealth, ils ont flambé environ 8,8 milliards de dollars, soit 1,1% de leurs actifs, dans des objets de collection au cours de la dernière décennie.

Selon les calculs du cabinet New World Wealth, ils ont flambé environ 8,8 milliards de dollars, soit 1,1% de leurs actifs, dans des objets de collection au cours de la dernière décennie.

A la fin 2016, les super-riches africains détenaient des œuvres d’art d’une valeur globale de 870 millions de dollars. Le multi-millionnaire congolais Sindika Dokolo détient la plus importante collection d’art africain contemporain. La collection de cet époux d’Isabel dos Santos, femme la plus riche d’Afrique et fille de l’ex-président angolais José Eduardo dos Santos, regrouperait aujourd’hui plus de 3000 œuvres de plusieurs centaines artistes issus de la majorité des pays du continent.

Sindika Dokolo

Sindika Dokolo détient la plus importante collection d’art africain contemporain.

Les objets de collection incluent également des vins, des voitures classiques, des antiquités, des bijoux et des montres de luxe. En 2016, la valeur totale des ventes des montres de luxe en Afrique a atteint 46 millions de dollars. Au total, le marché africain du luxe a dégagé un chiffre d’affaires d’environ 5,9 milliards de dollars en 2016. Les principales composantes de ce marché étaient les voitures de luxe, les yachts, les biens de luxe personnels comme les montres, le prêt-à-porter, les accessoires et les bijoux.

Quelque 1500 ultra-riches africains possèdent, par ailleurs, des jets privés, dont 580 en Afrique du Sud, 400 Nigéria, 190 Egypte et 140 Kenya.

 

7 milliards $ par an pour les œuvres philanthropiques

Bien qu’ils soient majoritairement des adeptes du bling-bling à haute dose, les grands-bourgeois africains pensent à leurs dissemblables. Les grandes fortunes du continent consacrent chaque année 7 milliards de dollars à des œuvres philanthropiques, selon l’African Grantmakers Network (AGN).

Les grandes fortunes du continent consacrent chaque année 7 milliards de dollars à des œuvres philanthropiques, selon l’African Grantmakers Network (AGN).

L’approche caritative classique, qui consistait à distribuer vivres et médicaments aux plus démunis, a cédé peu à peu la place à une philanthropie plus stratégique qui cible le développement de secteurs ayant un impact socio-économique important comme la santé, l’éducation et l’entrepreneuriat.

Le magnat sud-africain des mines Patrice Motsepe a été le premier Africain à signer «The Giving Pledge» (Promesse de don), un appel aux dons lancé en 2010 par les milliardaires américains Warren Buffett et Bill Gates. En 2013, le patron African Rainbow Minerals (ARM) a fait don de la moitié de sa fortune, alors estimée à plus de 2 milliards de dollars, à une fondation caritative qui porte son nom.

Patrick Mosepte

Patrice Motsepe a fait don de la moitié de sa fortune.

En 2010, l’homme d’affaires nigérian Tony Elumelu a créé une fondation qui récompense chaque année mille créateurs africains de start-up dans la santé, l’éducation ou l’agriculture.
Ce président du conseil d’administration du groupe bancaire panafricain United Bank for Africa (UBA) et fondateur la société d’investissement Hiers Holding est l’inventeur de l’expression «l’africapitalisme» qu’il définit comme étant une philosophie économique et sociétale dans laquelle le succès repose sur deux axes : l’engagement du secteur privé et la philanthropie. «On se bat pour réussir puis, l’objectif atteint, on regarde autour de soi et on décide de redistribuer», a-t-il expliqué.

Le milliardaire britannique d’origine soudanaise Mo Ibrahim a, quant à lui, choisi d’investir dans la démocratie et la bonne gouvernance. Après la cession de sa société de télécommunications Celtel en 2006, il a lancé une fondation portant son nom qui publie un indice annuel de bonne gouvernance et octroie le «Prix Mo Ibrahim pour l’excellence du leadership». Ce prix, qui récompense les chefs d’Etat africains ayant quitté le pouvoir sans avoir dépassé leur mandat électif et laissé derrière eux un bilan positif, est doté 5 millions de dollars sur dix ans puis d’une rente à vie de 200 000 dollars par an.

James Mwangi, le patron du groupe bancaire Kenyan Equity Bank, envoie, lui, les meilleurs élèves de son pays poursuivre leurs études aux Etats-Unis dans l’espoir de les voir revenir, plus tard, à Nairobi avec la même culture de philanthropie.

 

Walid Kéfi

Forbes : Le fondateur d’Amazon, Jeff Bezos devient l’homme le plus du monde .

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Jeff Bezos (Amazon) termine 2017 en tant qu’homme le plus riche du monde

Avec une fortune de 120 milliards de dollars, le fondateur du géant américain de la distribution en ligne, Amazon, Jeff Bezos est devenu l’homme le plus riche dans le monde et le seul centi-milliardaire dans le classement 2018 des fortunes mondiales, publié mardi par le magazine américain Forbes.

La fortune de Bezos a bondi de plus de 39 milliards de dollars depuis 2017, soit le plus important gain en un an. Il devance Bill Gates, le fondateur de Microsoft, devenu maintenant le numéro 2 avec une fortune de 90 milliards de dollars, et réalise le plus grand écart entre le numéro 1 et 2 depuis 2001.

En troisième position vient l’homme d’affaires américain Warren Buffet, qui a conservé sa troisième place, suivi du Français Bernard Arnault, patron du groupe de luxe LVMH, en quatrième position, après un bon de 7 places depuis le dernier classement.

Deux milliardaires chinois font leur entrée parmi les vingt plus riches au monde: Ma Huateng, patron du géant de l’internet Tencent, qui est devenu l’homme le plus fortuné d’Asie en décrochant la 17e place mondiale, et Jack Ma, l’emblématique fondateur du géant chinois du commerce en ligne Alibaba, qui se hisse à la 20e place.

 

Nord du Mali: Soumeylou Boubeye Maiga, premier ministre malien à Kidal ce vendredi matin.

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Le Mali un pays de paix et de dialogue. Le Premier Ministre et sa délégation dans la capitale de l’Adrar des Ifogas Kidal 8 ieme région administrative du Mali.

Monsieur Soumeylou Boubeye Maiga , chef du gouvernement est arrivé à kidal en milieu de matinée de ce vendredi 23 mars 2018. Après un accueil chaleureux par les populations de la ville , le PM s’est rendu à la résidence de l’Amanokal Mohamed Ag Intallah.

Madou’s camara

Journée mondiale de l’eau: Selon le directeur Général Adjoint de l’hydraulique, Djorou Bocoum,  » le stress hydrique n’a jamais été aussi présent au Mali, depuis 1984. D’habitude, les cours d’eau se retirent à partir de janvier « …dixit 

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C’est ce jeudi 23 mars 2018 la CNCPA à tenue une conférence débat à la creche de Badala boubou.  C’est  rencontre s’est tenue en présence de plusieurs acteurs et experts du domaine. Cette conférence débat rentré dans le cadre de la célébration de la journée mondiale de l’eau potable. Avec comme thème « la solution se trouve dans la nature »

 

Instituée en décembre 1992 par les Nations Unies, la Journée mondiale de l’eau vise à sensibiliser le public sur la gestion et la préservation des ressources en eau. A travers des documentaires, des conférences-débats ou des expositions sur les connaissances liées à l’eau. Cette année, le Mali célèbre l’évènement dans un contexte particulièrement alarmant. Selon le directeur Général Adjoint de l’hydraulique, Djorou Bocoum, le stress hydrique n’a jamais été aussi présent au Mali, depuis 1984. D’habitude, les cours d’eau se retirent à partir de janvier, mais cette année, explique-t-il, ils ont commencé à se retirer dès le mois de septembre.

En abondant dans le même que M. Bocoum, Drissa Samaké indique cette situation d’assèchement des cours est en partie due à l’action de l’homme. L’homme, explique-t-il, à travers les activités d’exploitation aurifère par dragage dans les lits des cours d’eau des bassins du Niger, du Bani et de la Falémé, a des impacts négatifs sur les différentes activités socioéconomiques. L’action de l’homme, estime Samaké, a trois conséquences majeures: le manque d’eau potable, la menace sur la sécurité alimentaire et la baisse de la production de l’hydroélectricité. Selon le représentant du ministre, des efforts sont pourtant faits par le gouvernement. Ainsi, affirme-t-il, le taux d’accès à l’eau potable au niveau national est passé de 66,6 à 68% en 2017.

 

Daouda Bakary KONE

 

Source : CROISSANCE AFRIQUE

 

croissanceafrik@gmail.com

Finance: La Banque mondiale annonce 1,5 milliard de dollars en faveur de la Côte d’Ivoire.

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Le président ivoirien Alassane Ouattara en compagnie de Makhtar Diop, vice-président de la Banque mondiale pour l’AfriquLa Banque mondiale va décaisser 1,5 milliard de dollars en faveur de la Côte d’Ivoire. En visite officielle à Abidjan, Makhtar Diop, le vice président de l’institution pour l’Afrique, en a fait l’annonce ce 22 mars au président ivoirien Alassane Ouattara au cours d’une audience.

L’institution va ainsi débloquer 200 millions de dollars pour appuyer un projet dans le secteur de l’anacarde et un financement de 300 millions de dollars sera dégagé au profit de la filière cacao.Egalement, Makhtar Diop a annoncé que le groupe de la Banque mondiale mettra à la disposition du pays une enveloppe de 1 milliard de dollars d’ici le mois de juin pour soutenir ses efforts de développement.

Autre sujet abordé, l’interconnexion des réseaux électriques dans la sous région ouest africain dont la Côte d’Ivoire est un acteur central et pour lequel l’institution entend apporter son appui.

Durant son séjour ivoirien, Makhtar Diop se rendra à l’INPHB, l’Institut national polytechnique Houphouët-Boigny de Yamoussoukro, un établissement supérieur dont la Banque mondiale veut renforcer le statut de référence internationale pour la formation de haut niveau des jeunes africains.Il procédera, par ailleurs, au lancement de l’initiative « Sports pour le développement », l’institution s’étant engagée à intégrer le sport dans certains de ses programmes dans le pays.

Kenya: Equity Bank confirme sa résilience en 2017

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Malgré un contexte difficile, le groupe bancaire a vu son activité et son bénéfice rebondir en 2017. Equity Group Holding, le premier établissement bancaire kényan…..

Amazon dépasse Google / Alphabet en termes de capitalisation boursière et se retrouve juste derrière Apple, le cours de l’action explose.

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Le géant du e-commerce prouve sa bonne santé et n’en finit pas d’enchaîner les succès. Amazon pèse désormais plus de 760 milliards de dollars et l’entreprise semble bien partie pour continuer sur cette lancée.

amazon bourse apple google
Crédit : Amazon

Apple reste sur la première marche du podium des entreprises les plus cotées en bourse avec une valorisation culminant à 889 milliards de dollars. Jusqu’à présent c’est Alphabet (Google) qui restait en seconde position. Néanmoins, les choses changent et justement Amazon vient de voler la seconde place au géant de la recherche (761 milliards de dollars). Sa valorisation est à présent estimée à 768 milliards de dollars, un véritable carton puisque au cours des 5 dernières années la valeur d’Amazon a augmenté de 500%.

Amazon cartonne en bourse en surpassant Google

Nous avions appris que le PDG d’Amazon Jeff Bezos est devenu l’homme le plus riche du monde en dépassant Bill Gates ou encore Mark Zuckerberg selon Forbes. Dans le classement des entreprises les plus cotées en bourse, actuellement nous retrouvons à présent en 4e position Microsoft avec 717 milliards de dollarsau compteur. Un faussé demeure pour atteindre la valorisation de la firme à la pomme qui reste loin devant ses compatriotes.

Comme le mentionne AndroidPolice, il n’est pas impossible que l’entreprise spécialisée dans le e-commerce puisse dépasser un jour Apple même si cela demandera encore très certainement du temps. Amazon a profité du succès d’événements comme le Black Friday qui a permis d’enrichir énormément Jeff Bezos. Rien n’est figé dans le marbre et nous verrons bien dans les mois à venir si cette tendance se confirme ou non. D’ici là, le trio derrière Apple pourrait encore jouer un peu au jeu de la chaise musicale. N’hésitez pas à nous partager votre opinion sur la valorisation d’Amazon dans les commentaires.

A suivre