Après le siège de l’Union africaine en Éthiopie, la Chine va construire celui de la Cedeao au Nigeria. L’Empire du milieu a mobilisé pour ce faire une enveloppe de 32 millions de dollars (un peu plus de 17 milliards de francs Cfa).
Le président de la Commission de la Cedeao, Jean-Claude Brou, et l’ambassadeur de la Chine au Nigeria, Zhou Pingjian, ont signé un protocole dans ce sens mercredi dernier à Abudja.
Selon le site Afrique La Tribune, repris par Les Échos, Jean-Claude Brou a déclaré avoir demandé aux Chinois, qui ont l’habitude de construire des bâtiments épousant les contours de leur architecture austère et gigantesque, de veiller à ce que les traits du futur siège de la Cedeao soient africains.
Le choix de la Chine pour construire le siège de l’organisation régionale intervient alors que ce pays est accusé d’avoir mis en place un système d’espionnage du siège de l’Union africaine dont il est le constructeur. Les Chinois ont jugé ces accusations grotesques et sans fondement.
Après une journée agitée et décisive, la Commission centrale électorale passe au dépouillement des suffrages exprimés. Les Russes ont pu voter dans plus de 97.300 bureaux de vote en Russie et dans 401 bureaux de vote à l’étranger.
D’après la Commission centrale électorale, le taux de participation avait atteint 59,93% à 18h00, heure de Moscou. Le vice-Président de la Commission électorale centrale de la Fédération de Russie, Nikolaï Boulaev, a affirmé n’avoir reçu aucune plainte importante des partis, ni des candidats.
Il y a huit candidats dans le bulletin de vote, le nombre maximal de candidats depuis 2000, ou sept personnes étaient en lice. Parmi les candidats de 2018 on trouve: le Président actuel Vladimir Poutine, candidat indépendant, le leader du LDPR Vladimir Jirinovski, le candidat du Parti communiste Pavel Groudinine, le président du Parti de la croissance Boris Titov, la candidate de l’Initiative civile Ksénia Sobtchak, le candidat de l’Union populaire russe Sergueï Babourine, le dirigeant du parti Iabloko Grigori Iavlinski et le candidat des Communistes de Russie Maxime Souraïkine.
Présidentielle 2018
21:05 heure de Moscou
La diffusion des résultats préliminaires commencera après 21h00, heure de Moscou
À l’heure actuelle, 0 bureaux de vote sont ouverts.
97 027 bureaux de vote sont déjà fermés.
En Russie, le processus de vote dure au total 22 heures. Les bureaux de vote sont ouverts de 8h00 à 20h00, heure locale. La région du Kamtchatka sera la première à voter, la région de Kaliningrad, la dernière. Après la fermeture de tous les bureaux de vote commencera la diffusion des premiers résultats
Assuré d’être réélu, Vladimir Poutine n’a quasiment pas fait campagne. L’opposition signale des irrégularités, telles que des bourrages d’urnes ou des votes multiples.
Par LE MONDE.FR avec Isabelle Mandraud
Temps de lecture : 8 min
Les Russes inscrits sur les listes électorales au 1er janvier commenceront à voter à 8 heures (heure locale), le 18 mars. ALEXANDER NEMENOV / AFP
Dimanche 18 mars, 108 968 869 électeurs russes sont appelés aux urnes pour le premier tour de l’élection présidentielle qui voit s’affronter huit candidats, sept hommes et une femme. Un scrutin dans lequel l’actuel président, Vladimir Poutine, est grand favori, et qui survient au cœur de nouvelles tensions entre la Russie et plusieurs pays occidentaux.
Selon la Commission électorale, la participation globale s’établissait à 14 heures, heure locale (12 heures, heure française) à 34,72 %, soit davantage que lors du précédent scrutin de 2012 à la même heure. L’agence de presse publique TASS a pour sa part fait état de taux de participation dépassant 60 %, voire 70 %, dans les régions de l’Extrême-Orient russe, où le vote s’est terminé plus tôt en raison du décalage horaire.
Fraudes et incitations au vote
L’ONG Golos, spécialisée dans la surveillance des élections, dresse sur son site Internet une carte des fraudes montrant en début d’après-midi 2 033 cas d’irrégularités, tels que du bourrage d’urnes, des cas de votes multiples ou des entraves au travail des observateurs.
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Le principal opposant au Kremin Alexeï Navalny – déclaré inéligible par la commission électorale –, a dépêché plus de 33 000 observateurs dans les bureaux de vote. Dès dimanche matin, il a diffusé une vidéo présentée comme montrant un bourrage d’urne dans un bureau de vote en Extrême-Orient, et sur lequel la commission électorale a promis d’enquêter.
La correspondante du Monde, Isabelle Mandraud, rapportait sur son compte Twitter des bourrages d’urnes signalés en Tchétchénie et en Iakoutie.
Faute de suspense et vu les appels au boycottage d’Alexeï Navalny, le Kremlin a tout fait pour que la participation, seul véritable baromètre de ce scrutin, soit aussi forte que possible dimanche. Les autorités ont mené des campagnes massives d’information et d’incitation au vote, facilitant le vote hors du lieu de résidence mais aussi, selon des médias, en faisant pression sur les fonctionnaires ou les étudiants pour aller aux urnes. Des militants de l’opposition ont fait état dimanche d’électeurs amenés en bus dans les bureaux de vote par la police ou de coupons de réductions distribués aux citoyens se rendant aux urnes.
L’organisation Golos a de son côté rapporté des informations faisant état de contraintes exercées par des employeurs ou universités forçant employés et étudiants à voter non pas dans le bureau correspondant à leur lieu de domicile mais sur leur lieu de travail ou d’études, « où l’on peut contrôler leur participation au scrutin ».
Comment se déroule le vote
De la péninsule du Kamtchatka, à l’est, jusqu’à l’enclave de Kaliningrad à l’ouest, les plus de 108 millions de Russes inscrits sur les listes électorales au 1er janvier ont commencé à voter à 8 heures, heure locale. L’immense pays comptant onze fuseaux horaires, les premiers bureaux de vote de l’Est russe ont ouvert samedi soir à 20 heures GMT. Les derniers bureaux fermeront dimanche soir, à 18 heures (heure de Paris).
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A l’étranger, Kiev a décidé de bloquer le vote des électeurs russes résidant en Ukraine pour protester contre la tenue de la présidentielle en Crimée, péninsule annexée par Moscou en 2014.
Qui sont les candidats ?
Les candidats à l’élection présidentielle russe : Vladimir Poutine, Pavel Groudinine, Vladimir Jirinovski, Ksenia Sobtchak, Gregori Iavlinski, Sergueï Babourine, Boris Titov, Maxime Suraïkine. STAFF / REUTERS
Le grand absent de ce scrutin est Alexeï Navalny, principal opposant (41 ans) de Vladimir Poutine qui avait mené campagne sur le terrain de puis des mois, écarté de l’élection en raison de condamnations pénales qu’il réfute.
Le favori : Vladimir Poutine, 65 ans
Désigné comme le successeur de Boris Eltsine en 1999, il a été élu pour la première fois président de la Fédération de Russie le 23 mars 2000, avec 52,9 % des voix, puis en 2004 avec 71,3 % des voix. La Constitution russe limitant le nombre de mandats présidentiels consécutifs à deux, Vladimir Poutine a pris la place de son premier ministre, Dmitri Medvedev, en 2008, tandis que celui-ci prenait la sienne au Kremlin après avoir été élu avec 70,2 % des voix. Sous sa présidence, la Constitution a été modifiée afin de repousser la durée du mandat de quatre à six ans. En 2012, malgré des manifestations importantes dénonçant des fraudes, Vladimir Poutine a été réélu avec 63,6 % des voix. Il brigue aujourd’hui un 4e mandat.
L’outsider : Pavel Groudinine, 58 ans
Pavel Groudinine, candidat de l’élection présidentielle russe. KIRILL KUDRYAVTSEV / AFP
Pour la première fois, le candidat qui porte les couleurs du Parti communiste n’est… pas encarté. Directeur du sovkhoze Lénine, une exploitation agricole dans la région de Moscou fondée en 1917 et privatisée en 1995, il a créé la surprise en remportant une mini-primaire organisée au sein du PC russe et de quelques formations nationalistes de gauche. Ce chef d’entreprise atypique, numéro un de la fraise en Russie, avait participé à la première campagne électorale de Vladimir Poutine en 2000, avant de se retirer totalement du parti au pouvoir, Russie unie, en 2010. Les experts lui prédisent la deuxième place à l’issue du scrutin.
Le senior : Vladimir Jirinovski, 71 ans
Président fondateur depuis 1990 du Parti libéral démocrate de Russie (LDPR), il défend des idées ultranationalistes, xénophobes et antisémites, à l’opposé du libellé de sa formation. Candidat lors de la première élection présidentielle russe de 1991, où il avait obtenu 8 % des voix, il s’est présenté toutes les fois suivantes, à l’exception de 2004, en obtenant invariablement la cinquième, la troisième ou la quatrième place.
La benjamine : Ksenia Sobtchak, 36 ans
La journaliste Ksenia Sobtchak. ALEXANDER ZEMLIANICHENKO / AP
Fille de l’ancien maire de Saint-Pétersbourg, Anatoli Sobtchak, mentor en politique de Vladimir Poutine, la journaliste se présente comme une opposante résolue à Vladimir Poutine sous l’étiquette « contre tous » – une ligne qui figurait autrefois sur les bulletins de vote pour les électeurs mécontents. Accusée d’être une « marionnette du Kremlin »par ses détracteurs, elle est néanmoins l’une des rares voix, en Russie, à oser évoquer l’annexion de la Crimée comme une « violation du droit international ». Soutenue par de riches donateurs, Ksenia Sobtchak veut incarner un courant libéral « qui n’existe plus en Russie » depuis les années 1990.
L’entêté : Gregori Iavlinski, 65 ans
Cet économiste a travaillé avec les réformateurs de la perestroïka. En 1993, il a cofondé le parti démocrate libéral Iabloko, qui attira une partie de l’intelligentsia russe et compta dans ses rangs jusqu’à 16 parlementaires en 2003. Candidat à deux reprises de l’élection présidentielle, en 1996 et en 2000, opposé au retour de Vladimir Poutine en 2012, il avait été écarté de la compétition cette année-là au motif qu’il n’avait pas les deux millions de signatures alors nécessaires.
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L’entrepreneur : Boris Titov, 57 ans
Fondateur du Parti de la croissance (libéral et conservateur), il est aussi délégué aux droits des entrepreneurs auprès du président russe. Sa candidature, il ne s’en cache pas, n’est pas là pour gêner le favori, mais pour faire entendre la voix des PME, et promouvoir « l’esprit d’initiative ».
Le rouge-brun : Sergueï Babourine, 59 ans
Député du peuple au dernier Soviet suprême de Russie, en 1990, il est l’un des sept élus à avoir voté contre la dissolution de l’URSS. Réélu par la suite, vice-président de la Douma en 2004, il préside le parti La Volonté du peuple, aujourd’hui renommé « Union des peuples russes ». En 2003, Jean-Marie Le Pen s’était rendu à Moscou à son invitation. Sergueï Babourine a soutenu publiquement le Serbe Radovan Karadzic, surnommé le « Boucher des Balkans », lors de son procès pour « génocide, crimes contre l’humanité et crimes de guerre ».
Le cadet : Maxime Souraïkine, 40 ans
Président du parti Communistes de Russie, d’obédience marxiste-léniniste, il est le fondateur d’un mouvement de jeunes présenté comme l’héritier du Komsomol, les jeunesses du Parti communiste en URSS. Il revendique aujourd’hui 50 000 membres pour son parti, qui a obtenu 2,3 % des voix lors des élections législatives de 2016. Le portrait de Staline s’affiche sur son site de campagne.
La non-campagne de Vladimir Poutine
Assuré d’être réélu, Vladimir Poutine n’a quasi pas fait campagne, se contentant de deux participations de deux minutes chacune lors de concerts de soutien et snobant les débats télévisés.
Il s’est surtout illustré par un discours très musclé devant le Parlement, le 1er mars, pendant lequel il a longuement vanté les nouveaux missiles « invincibles » de l’armée russe développés en réaction aux projets de bouclier antimissile, sommant les Occidentaux d’« écouter » enfin la Russie. S’il a déclaré que la Russie devait augmenter de moitié le PIB par habitant d’ici à la mi-2020, M. Poutine n’a cependant pas donné la marche à suivre ni présenté de programme économique.
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Le contexte international s’est cependant emballé dans les derniers jours de la campagne, depuis l’annonce des sanctions britanniques contre la Russie, et les nouvelles tensions causées par l’empoisonnement de l’agent double russe Sergueï Skripal à Salisbury. Moscou, accusé par le Royaume-Uni et certains de ses alliés, nie être responsable de cette attaque, mais répond avec retenue pour le moment, préférant concentrer l’attention sur le scrutin de dimanche.
La participation, principal enjeu
Depuis 2000, Vladimir Poutine a toujours été élu dès le premier tour, et selon les sondages, cette élection ne devrait pas briser cette tendance. Le taux de participation est donc le principal enjeu du scrutin, l’actuel dirigeant russe ayant besoin d’une forte participation pour légitimer sa victoire. L’opposition estime qu’un taux inférieur à 50 %, voire à 55 %, mettrait en question la crédibilité de Poutine.
La participation est restée particulièrement stable depuis 2000, avec un peu plus de 64 %, mais en 2006, le taux minimal de 50 % de votants, nécessaire pour valider l’élection, a été supprimé.
Un électeur dépose son bulletin de vote tandis que d’autres font la queue, à Vladivostok, en Extrême-Orient russe, le 18 mars. YURI MALTSEV / REUTERS
Selon l’institut de sondages public VTsIOM, 74 % des électeurs russes ont l’intention de se rendre aux urnes le 18 mars. Mais, le seul grand institut indépendant, le Levada Center, affirme, lui, que moins d’un tiers des Russes sont vraiment décidés à aller voter.
Pour s’assurer une participation au niveau des précédentes élections, les autorités ont décidé d’organiser la plus grande campagne d’incitation au vote depuis l’arrivée de Vladimir Poutine au pouvoir en 2000. La Commission centrale électorale a réservé un budget de 770 millions de roubles (plus de 10 millions d’euros) pour faire la publicité du scrutin.
« Si vous n’allez pas voter, vous serez automatiquement inscrit comme électeur gréviste, et on ajoutera que vous doutez du statut russe de la Crimée », a écrit sur son blog – et en dépit de la réserve imposée aux fonctionnaires et élus – le maire de Moscou, Sergueï Sobianine, rendant au passage un vibrant hommage à Poutine.
La promotrice de TIMISSKI BOUTIQUE est une femme d’affaire hors du commun. Une trentenaire vivante à Bamako originaire de Fana dans région de Koulikoro . Mme Fatoumata Amadou Keita, la Betencours Malienne. Roulant dans un véhicule de couleur blanche de marque Hyundai (Santafe) Mme KEITA est une femme mure dans les affaires.
Mme Fatoumata Amadou Keita connue sous le nom de TIMISSKI est une femme battante évoluant dans le commerce des articles divers. Une vendeuse des vêtements de tout genre (hommes et dames) confondues.
Sortante de l’université de Bamako, Mme Fatoumata Amadou Keita est diplômée en droit des affaires. Après une brève passage dans les airs et dans les représentation en charge de financements de projet (AFD), Mme KEITA s’est donnée le temps de créer une véritable boutique d’habillement avec à la clé, la communication digitale afin de promouvoir et reconquérir la clientelle.
Au cours de la journée, des centaines de photos et vidéos sont prises et partagées sur les différents réseaux sociaux (tweeter, Facebook, Viber et WhatsApp, Intagramm, etc).
Tenez vous biens le réseau social le plus utilisé est le facebook avec des diffusion en direct sous des fonds sonores radiophoniques et des danses romantiques accompagnées d’ambiance sporadique et enviable. Objectif: conquérir et convaincre les clients potentiels.
Mme Fatoumata Amadou Keita ramasse des clients dans les 20 minutes après ses publications d’articles (photos des vêtements) sur ses différentes pages Webs. Certe, elle réalise aujourd’hui un score favorable dans la promotion d’une boutique chique sise en plein coeur de Bamako (Magnabougou Faso Kanu). La TIMISSKI boutique est l’une des supermarchés vestimentaires la plus visité à Bamako.
Ce n’est pas tout, Mme Fatoumata Amadou évolue dans d’autres secteurs, selon une source proche d’elle. Il s’agit entre autres de l’immobilier et de la couture qui sont des secrets qu’elle garde et dorlotte jalousement aux yeux des bamakois (es).
Aujourd’hui, la promotrice de TIMISKI boutique réalise un chiffre d’affaire considérable dans la vente de l’habillement. Nous avons demandé à ce qu’elle nous parle les vérandas du chiffre d’affaire qu’elle accumule , mais elle n’a pas voulu communiquer . Mais une chose est sûre, c’est que Mme Fatoumata Amadou Keita est l’amazone à ne pas négligée, parce que tout simplement par rapport à ce qu’on a vu, nous avons l’impression qu’elle gère des chiffre d’affaire conséquents.
Notons qu’à peine une année de lancement de la TIMISSKI boutique, elle devient millionnaire. Mme Fatoumata Amadou Keita est une icône parmi les femmes influentes du Mali.
Le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Ibrahim Boubacar Keïta a reçu en audience dans l’après-midi du samedi 17 mars 2018 dans la Salle des Banquets du Palais Présidentiel de Koulouba une forte délégation des 9 communes rurales du Cercle de Gourma-Rharous, région de Tombouctou.
Les communautés rharoussiennes, à leur demande, se retrouvaient pour la première fois depuis l’indépendance de notre pays en face d’un Chef de l’Etat pour le remercier dans son investissement citoyen au quotidien, notamment dans leurs localités du Gourma en matière de sécurité, de stabilité, de cohésion sociale et de développement, d’appui du gouvernement, et ce, depuis sa prise de fonction à la magistrature suprême en 2013.
Elles ont également profité de l’occasion pour réaffirmer à IBK leur totale adhésion à l’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali issu du processus d’Alger signé à Bamako en 2015. Rappelant devant le Président IBK l’évolution de la situation sécuritaire depuis 2012 jusqu’à la signature de l’Accord pour la Paix et la réconciliation nationale au Mali issu du processus d’Alger, les populations rharoussiennes ont appelé IBK à se porter candidat à l’élection présidentielle de juillet 2018 car selon elles IBK est l’homme de la paix contre les terroristes, un grand patriote ayant un sens élevé de l’écoute de ses compatriotes.
Pour elles, il doit poursuivre le processus qu’il a entamé pour une sortie de crise définitive et aller vite au développement du Mali. En dehors de tout clivage politique, elles ont assuré IBK de leur soutien total et de leur engagement patriotique pour sa réélection pour un second mandat.
Profitant de cette occasion, sollicitée depuis longtemps, les porte-paroles des populations de Rharous ont présenté au Président IBK des doléances touchant notamment les domaines de la santé, de l’éducation, du désenclavement, de la sécurité alimentaire, des infrastructures de loisir pour la jeunesse, ainsi quel le souhait de voir transformer Gourma-Rharous en région.
IBK a remercié ses hôtes d’avoir effectué si nombreux le déplacement de Rharous vers leur Palais présidentiel de Koulouba pour venir lui réaffirmer leur patriotisme. Le Président de la République s’est dit sensible à leur démarche. Il a assuré les Rharoussiens de sa détermination à répondre au contrat social que le lie aux populations maliennes.
IBK s’est une nouvelle fois engagé à donner tous les moyens nécessaires aux FAMa dans le cadre de l’exercice de leur mission de sécurisation des citoyens et de leurs biens. Le Chef de l’Etat n’a pas manqué de lancer un appel à ses visiteurs dans leur collaboration citoyenne avec les FAMa s’agissant de tout cas suspect dans leur environnement, appelant à une vigilance constante afin de circonscrire toute attaque terroriste.
Avant de souhaiter bon retour dans leur localité aux populations rharoussiennes, IBK a déclaré avoir prêté une oreille attentive à leurs doléances et a demandé au Tout Puissant de faire en sorte qu’il n’oublie jamais Rharous.
La délégation, constituée de chefs coutumiers, d’élus locaux, des associations de femmes, de jeunes et ressortissants de la localité à Bamako, était conduite par Mohamed Youssouf Ag Ghallas, président du Conseil de Cercle, porte-parole des élus, Younouss Mohamed Ibrahim Maïga, porte-parole de la société civile, Madame Touré Sagada Touré, porte-parole des femmes et Mohamed Ag Mohamed, porte-parole des jeunes.
Elle a remis à IBK, au nom des femmes Rharoussiennes, un kit cadeau composé de deux nattes artisanales et de trois coussins artisanaux en cuir qui ont tout leur sens dans leur coutume.
Symbole de l’amitié entre le Mali et l’Egypte, cet hôtel se dresse sur 16 étages au coeur de Bamako et rayonne sur un vaste parc verdoyant où les golfeurs pourront d’adonner à leur sport favori. Dans le plus grand hôtel de la capitale et pendant très longtemps l’unique 5 étoiles, vous trouverez sans conteste la plus grande des piscines de Bamako, un confort à l’occidental, des espaces spacieux, du choix concernant les loisirs et la restauration. Bref, le meilleur moyen de passer des vacances dans la capitale du Mali sans être dépaysé en matière d’hôtellerie ! Il est l’un des plus grands complexes hôtelières du Mali.
Non loin du fleuve Niger, l’hôtel l’Amitié est situé en plein cœur de la capitale du Mali à côté des ambassades et du grand marché.
L’aéroport international de Bamako se trouve à 17 km de l’hôtel. Prévoyez 30 minutes en voiture pour le rejoindre en raison des nombreux embouteillages de la ville !
Ces voyageurs ont séjourné dans cet hôtel. Découvrez leur avis pour connaître les points forts et points faibles de l’hôtel .
« j’adore ce pays j ai passe un moment agreable dans l’un de plus beau hotel de bamako.de chambre bien meublé et aéré j aime bien je vous le conseille » temoigne une cliente.
La société d'assistance aéroportuaire du Mali (ASAM) en activité depuis 2007, se positionne comme partenaire du développement du Mali
Elle se positionne comme partenaire du développement du Mali et compte sur la mise à niveau et l’agrandissement et l’aéroport de Bamako – Senou pour en faire un « Hub » capable de rivaliser avec Dakar et Abidjan.
L’activité d’ASAM sa consiste à négocier des contrats avec des compagnies afin de remplir toutes leurs obligations au sol: Traitement des passagers, de leurs bagages, du fret, des opérations aériennes, la mise en œuvre opérationnelle d’engins spécialisés, du nettoyage de la cabine et autres services indispensables à toute compagnie pour les besoins d’un avion. Avec un capital de 1 milliard de Fcfa reparti entre l’État malien à hauteur de 51 %, les opérateurs privés nationaux à hauteur de 30 %, le partenaire technique et financier à hauteur de 15 % et les travailleurs à hauteur de 4 %.
Le groupe Europe Handling a la responsabilité de la société ASAM-SA et est partenaire technique et financier, choisi suite à un appel d’offres international, possède une expertise certaine, une grande notoriété dans le domaine de l’assistance aéroportuaire et présente toutes les certifications internationales relatives à l’assurance qualité. Depuis 1998, ce groupe a créé sa propre structure de formation pour soutenir sa politique de spécialisation et de polyvalence des agents sur le terrain.
Une société Malienne, située à 18 km de Bamako sur la route de Bougouni, la société des Brasseries du Mali (BRAMALI SA) fut créée en 1985 et inaugurée le 25 janvier 1986. BRAMALI fait partie du Groupe Castel, présent dans 27 pays africains avec plus de 120 usines.
Filiale du groupe BGI (BRASSERIES et GLACIERES INTERNATIONALES), BRAMALI est une société anonyme qui fabrique et commercialise sous licence les produits BGI et de grandes sociétés internationales telles que Coca Cola & Guinness.
Elle a pour but de satisfaire la demande locale. En tant que filiale du Groupe Castel, elle bénéficie donc à ce titre de certains avantages comme le contrôle de la qualité des produits, l’assistance marketing et commerciale, les compétences techniques, la participation au budget, etc.
Après dix ans d’expérience, et suite à une évolution de ses activités, il est apparu nécessaire de créer une nouvelle société, BRADIBO (BRAMALI Distribution Boissons) pour la commercialisation de ses produits.
Bradibo est la société de commercialisation de Bramali. Présente à Bamako, Kayes et Koutiala, elle assure la bonne diffusion des produits Bramali sur l’intégralité du territoire grâce à son dense réseau de distributeurs.
La Brasserie du Mali (BRAMALI) est une entreprise qui fabrique et commercialise des boissons gazeuses, bières et eaux minérales destinées aux clients et consommateurs sur l’ensemble du territoire malien et la sous-région.
Société nationale de tabac et allumettes(Sonatam), est une entreprise malienne créée en 1965 en grâce à la coopération sino–malienne.
La Sonatam a été privatisée en 2002. Depuis cette privatisation, la société connaît d’importante difficulté. En 1990, elle réalisait un bénéfice de plus d’un milliard de francs CFA avec un chiffre d’affaires de plus de 15 milliards et elle employait 8 000 travailleurs, seulement 150 travailleurs en 2009.