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Mali: Bamako abrite le séminaire de partage d’expérience et de lutte contre l’impunité.

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Ouverture ce matin du séminaire International de partage d’expérience et stratégie de lutte Contre l’impunité pour le Mali, du 14 au 15 février à l’hôtel Radisson de Bamako.

Cette rencontre s’est débuté en présence de plusieurs acteurs et experts venant de plusieurs d’Afrique, d’Europe et d’Asie.

Notons que les travaux se déroule à l’hôtel Radison blu de Bamako.

Source:Croissanceafrique.

L’élection anti textes de Souleymane Satigui Sidibé président du CNJ : Habib Dakuo dénonce la complaisance du ministre Amadou Koita.

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La crise que connait le conseil national de la jeunesse du Mali n’est jusqu’à pas close. Certains membres s’opposent farouchement au nouveau bureau dirigé par l’ancien vice-président Souleymane Satigui Sidibé. Ils estiment que c’est un bureau complaisant et illégitime. Pour mieux comprendre les raisons de leur opposition, nous avons rencontré Habib Dakuo, secrétaire général du conseil communal de la commune V du district de Bamako qui nous a fait le point de ce qu’ils reprochent à ce bureau
Lisez l’interview
Le pays : qui êtes-vous et quel poste occupez-vous au CNJ ?
Habib Dakuo : Je suis Habib Dakuo, secrétaire général du conseil communal de la jeunesse de la commune V du district de Bamako. Sur le plan national, je suis secrétaire adjoint chargé de l’atteinte des objectifs du développement durable.
Selon notre information, il y a jusqu’à présent une crise au sein du conseil national de la jeunesse. Certains comme vous, s’opposent à l’actuel bureau dirigé par Souleymane Satigui Sidibé. Pouvez-vous nous expliquer ce qui s’est réellement passé ?
Au fait, depuis la démission du président Mohamed Salia Touré, le CNJ est confronté à la plus difficile période de son existence. Cette difficulté est due à la mauvaise foi de l’ancien vice-président, Souleymane Satigui Sidibé et certains responsables politiques qui sont ses complices. Dans les normes des choses, deux mois après la démission du président élu, les textes du CNJ proposent deux possibilités : organiser un congrès extraordinaire ou assurer la transition par le 1er vice-président .Pour ce cas, la 2ème option n’est pas possible car le mandat de Salia venait de commencer quand il démissionnait. Le juin 15 2017, jour de la démission de Salia Touré, on n’avait même pas atteint un an sur les trois de son mandat .Donc on ne pouvait pas faire plus de deux ans d’intérimaire. Dans le souci de bien respecter les textes de notre structure, nous avons organisé une conférence nationale extraordinaire à Sikasso en juillet dernier. L’objectif, c’était de mettre au même niveau d’information les cellules de base et remembrer le bureau .Cette conférence, ne pouvant pas trancher de la question du successeur du président démissionnaire, le vice-président Souleymane Satigui devait organiser le congres dans les deux mois qui ont suivi la conférence de Sikasso . A notre retour à Bamako, au lieu de commencer les préparatifs du congrès, il passait le clair de son temps à négocier les uns et les autres pour lui reconnaitre comme président sans la tenue d’un quelconque congrès. Il faisait cela en complicité avec la direction nationale de la jeunesse et du ministère de la jeunesse et de la reconstruction citoyenne. Apres avoir constaté sa mauvaise foi, je lui ai exprimé mes inquiétudes dans une lettre. Je lui ai invité à respecter le chronogramme .Je lui ai aussi souligné que la tenue du congrès est une obligation pour la légitimité du bureau car nos textes disent que les membres du conseil nation de la jeunesse sont forcément élus. Il m’a jusqu’à présent pas répondu. Pis, il avait même cessé d’organiser nos réunions ordinaires. Je lui ainsi envoyé une seconde correspondance avec plusieurs structures en ampliation. Toutes ces structures n’ont tenté que de faire la conciliation au lieu d’inviter Souleymane Satigui Sidibé au respect des textes. J’ai ensuite adressé une lettre ouverte au président de la république pour l’inviter à ne pas encourager la complaisance et la violation des textes.
Nous avons appris que Souleymane Satigui Sidibé a été élu président du CNJ lors de la dernière conférence nationale tenue à Ségou. Vous vous y opposez ?
A ce que je sache, il n’y a pas eu d’élection. L’élection du bureau du CNJ ne se fait pas de la sorte et nous ne le reconnaissons pas comme un président légitime car les conditions prévues par nos textes ont été violées.
Mais que reprochez-vous concrètement à son élection ?
J’ai d’abord été très surpris d’apprendre l’élection du bureau du CNJ lors d’une conférence nationale. La conférence nationale n’a pas habilité à élire un bureau. Son élection est anti textes. Selon les textes du conseil national de la jeunesse, on ne peut jamais être président sans congres. Je voudrais préciser que la taille des participants à la conférence ne vaut même pas 1/3 du congrès. Pour preuve, les conseils communaux qui envoient 3 délégués au congrès, n’envoient qu’un seul à la conférence. La diaspora aussi ne participe qu’au congrès. Elle n’est pas représentée à la conférence.
Je voudrais par ailleurs souligner une autre irrégularité de l’élection de Souleymane Satgui Sidibé. N’eut été la complaisance du ministère de la jeunesse et de la reconstruction citoyenne, il ne pouvait même pas être candidat pour la présidence du CNJ car il était secrétaire général de l’UPJ. Hors les textes de cette structure de la jeunesse Africaine précisent qu’une fois qu’un membre siège à son niveau, il démissionne de la base. Je vous précise que quand il faisait ces tripatouillages ici, son mandat à l’UPJ n’avait pas pris fin.
Pour vous, vous qui responsable de ces violations flagrantes des textes ?
J’accuse le ministère de la jeunesse et de la reconstruction citoyenne qui, après avoir pris connaissance des textes, a validé ce bureau illégitime. Je suis déçu que les membres de ce même bureau soient reçu par le ministre de la tutelle et beaucoup d’autres personnalités.
Quel appel avez-vous à lancer et à qui ?
Je voudrais une fois de plus inviter le gouvernement et le président de la république à ne pas encourager l’illégalité .Les textes sont faits pour être respectés et on ne doit pas les violer .J’invite le ministère de la tutelle qui a été complaisant dans cette affaire de prendre toutes ses responsabilités en se désolidarisant de ce bureau illégitime de Souleymane Satigui Sidibé.

Réalisé par Boureima Guindo

CEREMONIE DE REMISE DE DISTINCTION, CE MARDI 13 FEVRIER AU MINISTERE DE L’ECONOMIE NUMERIQUE ET DE LA COMMUNICATION

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Ils étaient plusieurs récipiendaires à recevoir leurs médailles, repartis entre les services du département : l’AGETIC, l’ORTM, l’AMAP, la SOTELMA, l’ANCD et la POSTE.

La cérémonie présidée par le Ministre de l’Economie Numérique et de la Communication a regroupé parents et amis des récipiendaires.

L’occasion était bonne pour le Ministre de mettre en valeur le travail effectué par les décorés au sein de leurs structures. Il a au nom du chef de l’Etat et à son nom propre félicité les récipiendaires à mériter davantage cette distinction pour servir d’exemple.

Au total trois cadres de l’AGETIC ont été décorés : Monsieur Bouréima Keïta, le DRH de l’agence a été décoré Chevalier de L’Ordre Nationale.

Quant aux deux autres : Monsieur Boubacar Ndiaye, Chef de Division RSI et Mademoiselle Aminata Sidibé, Chef de Section BLR/FO ont reçu, chacun la médaille effigie abeille. Félicition aux lauréats!

Source:croissanceafrique

Media:7ème édition de la journée mondiale de la radio 

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Radio et sport’’ au cœur de la célébration de l’événement au Mali
A l’instar des autres pays du monde, le Mali a célébré hier, mardi 13 février 2018, la 7ème édition de la journée mondiale de la Radio. L’union des Radios et Télévisions libre (URTEL), en partenariat avec le studio Tamani, la maison de la presse, l’UNASAM, AJSM a organisé une conférence débat à la maison de la presse en ce sens .Le thème retenu pour cette année est ‘’Radio et Sport’’.
Les travaux de ladite cérémonie étaient était présidés par le ministre de l’économie numérique et de la communication Harouna Touré en présence du ministre des sports ; du président de l’URTEL Bandiougou Danté ; du président de la maison de la presse, Dramane Alou Koné.
Dans son allocution, le président de l’URTEL, Bandiougou Danté a salué l’efficacité et le pragmatisme du ministre de l’économie numérique et de la communication. Il a profité de l’occasion pour attirer son attention des deux défis majeurs des Radios au Mali. Ces défis sont entre autre la clarification de la situation fiscale des radios et la réduction des montants de la redevance jugée élevé.
S’agissant du thème :’’Radio et Sport’’, Bandiougou Danté affirme c’est de l’actualité vu l’important rôle que joue la radio dans le sport. Pour terminer, le président de l’union des Radios et Télévisions libre du Mali a invité les propriétaires et animateurs de radio au professionnalisme dans le travail.
Quant au ministre de l’économie numérique et de la communication, Il a laissé entendre que le thème choisi est d’actualité .Pour lui, c’est travers des émissions radiophoniques sportives que beaucoup font des échanges passionnés. Pour le ministre Touré, la radio est un moyen de d’union, de sensibilisation et d’éducation et doit être valorisée .Il avance aussi que le sport joue les mêmes rôles. « La radio et les sports ont le pouvoir de rassembler et d’unir les communautés, d’encourager le respect et l’inclusion et de promouvoir les valeurs universelles de non-violence, de solidarité, de tolérance et de partage… », a-t-il déclaré. Il a enfin remercié l’UNESCO et l’URTEL pour avoir initié cette aussi importante journée.
La cérémonie a été clôturé par la remise des trophées aux supporteurs et journalistes sportifs .Les récipiendaires étaient au nombre de 11 dont les familles de 3 supporteurs et 3 journalistes sportifs décédés. Parmi les 5 vivants, figure le nom de la première femme journaliste sportive, Assan Soumaré. Vivement la prochaine édition

Source: Croissanceafrique par le pays

Niewouleni: La population dénonce les rackets des gendarmes.

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Partis en renfort pour instaurer la stabilité à Nièwouleni, village situé à la frontière Mali-Guinée, les gendarmes présents sur le lieu semblent se donner pour sport favori, racketter les populations. Un jeune homme D.K, habitant de Nièwouleni, nous explique : « Les gendarmes sont venus en renfort suite à l’affrontement meurtrier entre la Guinée et le Mali dans le village de Nièwouleni.

Depuis un certain temps, ces gendarmes s’emploient à prendre de l’argent avec les populations surtout les orpailleurs. Ils demandent les pièces des motos et trouvent tout le temps les moyens pour vous soutirer de l’argent. Ils commencent par la vignette, le dédouanement et ensuite la carte grise pour les motos tricycles. Si une de ces pièces vous manque, ils vous réclament au minimum 5000 francs CFA et si vous n’avez aucune de ces pièces, ils vous demandent de payer 50.000 francs. Il y a quelques jours, je venais de la brousse quand ils m’ont arrêté. Je n’avais pas mes pièces sur moi. Ils m’ont demandé de l’argent, je leur ai dit que je n’en ai pas. Alors, ils m’ont dit de leur donner 3 grammes d’or, ce qui fait 60.000 francs cfa.

Ces gendarmes nous fatiguent beaucoup. Leur présence impacte sur nos activités car nous sommes obligés de rester à la maison si nous n’avons rien à leur donner. S’ils vous sifflent, votre libération est conditionnée au paiement de quelque chose ».

Kèlètigui Danioko

Source: Le Pays

Marche sur le tribunal de Kati : Les manifestants dénonce la spéculation foncière dans la localité

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Suite à la plainte de Amadou Diop contre certains Habitants de N’toubana pour expulsion et démolition sur son prétendu titre foncier, les habitants de Kati et environ ont marché sur le tribunal pour non seulement apporter leurs soutiens aux victimes mais aussi informer le procureur de leur détermination à lutter contre la spéculation foncière dans le cercle de Kati.

Au fait, tout est parti d’une confusion de la part de Amadou Diop, le plaignant. Selon ce que nous est revenu, il se serait proclamé tuteur d’un titre foncier de 4 hectares à Sirakoro Niaré sur le sol d’un autre village, N’toubana.

Aux dires des habitants du village victime, ceux qui ont créé ces faux titres fonciers n’ont pas su faire la différence Sirakoro Niaré et leur village. Le problème n’a été découvert que quand le morcèlement desdites parcelles a été fait par N’toubana à travers la mairie de Kati.

Le porte-parole des APM de Kati nous apprend que jusqu’à 11 familles habitent sur les parcelles que réclament que Amadou Diop. « Parmi ces 11 familles, il y’a deux agents de police », nous précise-t-il.

Celui avance que c’est contre ces familles que le nommé Amadou Diop a porté plainte pour expulsion et démolition sur son site.

Fâchés de l’illégalité de l’octroi du titre foncier par Diop, les habitants de Kati et de tous les villages concernés par la spéculation foncière étaient au tribunal pour soutenir les victimes dans un premier temps et inviter le procureur à s’impliquer pour faire barrage à la spéculation foncière dans le cercle de Kati.

Selon ce que nous a confié Drissa Niaré, le procureur a promis aux manifestants qu’il travaillera conformément à la loi pour qu’il n’ait plus de la spéculation foncière.

Parmi les familles concernées, Issa Diarra, un des agents de police concerné a été interrogé lors de l’audience.

Il a, selon un habitant présent sur le lieu, fait savoir au président du tribunal que sa parcelle se trouve à N’toubana et non Sirakoro Niaré, village auquel le plaignant Diop fait allusion.

Le porte-parole des APM nous informe que le jugement est reporté au début de mars.

Source:croissanceafrique

Finance islamique : le Mali émet son premier sukuk de 150 milliards de Fcfa sur le marché régional

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Le Mali a lancé une première émission d’obligations islamiques pour un montant de 150 milliards de Fcfa sur le marché régional de l’UEMOA. L’opération qui s’étale jusqu’au 16 février vise à permettre au pays de mobiliser davantage de financements pour des projets de développement.

Le Mali entre dans le club encore restreint des pays africains à recourir à la finance islamique. Le pays a en effet lancé une émission d’obligations islamiques, les sukuk, sur le marché des capitaux de l’UEMOA. L’opération d’appel public à l’épargne dénommée «Sukuk État du Mali 6,25% 2018-2025» a démarré le 2 février et les souscriptions seront clôturées ce 16 février.

Pour cette sortie, le gouvernement malien a fait recours au service de la Société islamique de développement (SID), la filiale de la BID dédiée au secteur privé, ainsi que la firme Taiba Titrisation et la Banque Islamique du Sénégal, avec un taux d’intérêt annuel de 6,25% pour chacun des 15 millions de titres émis d’une valeur de 10 000.

Selon les détails de l’opération, la maturité de l’emprunt est de 7 ans, bien que le remboursement du principal débutera seulement deux ans après la clôture officielle des souscriptions. Les investisseurs commenceront aussi à percevoir les intérêts à partir du 23 août et afin de mieux garantir la réussite de l’émission, le profit global a été estimé à 45,16 milliards de Fcfa, exempté de taxes, à répartir entre les investisseurs sur les 7 prochaines années.

A travers cette sortie sur le marché des sukuk, le Mali devient le quatrième pays de l’UEMOA à émettre des obligations islamiques via la firme Taiba, après le Togo, la Côte-d’Ivoire et le Sénégal.

Mobilisation des financements

Selon les autorités maliennes, les ressources mobilisées serviront à financer des projets de développement économique et social, notamment un programme de 3 665 logements sociaux, dont plus de 1 250 nouvelles constructions.

En recourant à la finance islamique, l’Etat malien s’offre une nouvelle alternative qui vient s’ajouter aux émissions de bons et obligations du Trésor sur le marché régional, prévues pour cette année. «Afin de réaliser les infrastructures nécessaires à son développement économique, l’Etat du Mali, à l’instar des autres pays de la zone, recourt au marché financier régional de l’Union, une source de financement importante», avait expliqué il y a quelques semaines, Boubou Cissé, le ministre de l’Economie et des finances.

africatine

Mali: en marge de son CA, l’AGMCPB signe un accord de partenariat de grande taille avec les grossistes de l’halle de Bamako.

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L’ Agence de Gestion du Marché Central à Poisson de Bamako (AGMCPB) tient un Conseil d’administration extraordinaire pour renforcer son partenariat.

Structure dédiée aux grossistes et détaillants avec hangars, kiosques et autres installations commodes, l’AGMCPB vient de signer un partenariat de taille avec les grossistes de l’Halle de Bamako.

En présence des Ministères de pêche, du commerce et plusieurs structures techniques en rapport avec la pisciculture et le commerce, la coopérative, les grossistes de l’Halle de Bamako (Nouveau partenaire) ainsi que le partenaire japonais, le conseil démarre à 09h.

L’AGMCPB était auparavant avec la coopérative qui n’a pas su exploiter les avantages offerts par le marché, la structure a alors décidé de donner la chance aux grossistes de l’Halle de Bamako.

Dans son discours la PDG de l’AGMCPB Mme Diawara AISSATA TOURE a salué les efforts du Japon à travers JICA qui a investit plusieurs centaines de millions pour un marché de poisson commode que les grossistes et détaillants se doivent de valoriser pour un bon partenariat avec l’Agence de Gestion du Marché Central à Poisson de Bamako (AGMCPB).

Notons qu’une visite de la structure met fin à ce conseil d’administration extraordinaire.

Croissanceafrique

Mali: Un braquage à ciel ouvert manqué grâce à l’intervention des éléments de la CCR (police Malienne).

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Ce mardi Matin en pleine journée soit à 11 h heures précises, un client de l’ECOBANK suivi par deux individus armés a été dépossédé de son sac après avoir effectué des opérations bancaires.

Après le forfait, les deux braqueurs sur une moto ont tenté de s’en fuir et ils ont été poursuivis par des éléments de la CCR.

Les malfrats ont sorti des pistolets comme pour effrayer les éléments de la police, courageux et déterminés, les éléments ont également sortis leurs armes tout en pourchassant les braqueurs étant sur leur moto.

Paniqués, ils se sont vite débarrassés du sac pour chercher leur peau en tirant dans l’air. C’est ainsi que le sac a été récupéré par les policiers pour le remettre à son propriétaire.

Croissanceafrique

Mali: Agrobusines, sagouberie Agro prod bénéficie un soutient financier au près BMS sa.

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Selon le président de la dite Abdourahamane Maiga  » Grâce au prêt accordé par la Banque Malienne de Solidarité (BMS sa), Sagouberi Agro-Prod apporte un soutien financier à ses partenaires marchands de bétails de Kati et Neguela, dit dans un post publié sur sa page facebook.

A sa sortie d’audience le président a dit merci à la BMS sa pour la confiance placée à l’organisation agricole.