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Les cours du pétrole ont atteint leur niveau le plus élevé depuis sept semaines

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Le mardi 10 juin, les cours du pétrole ont atteint leur niveau le plus élevé depuis sept semaines, soutenus par des signaux positifs concernant les discussions commerciales entre les États-Unis et la Chine.

Le Brent, référence du pétrole brut, a enregistré une hausse de 1,2 %, atteignant 67,85 dollars le baril.

Cette remontée des prix, après plusieurs semaines de ralentissement, pourrait influencer les anticipations du marché. Harry Tchilinguirian, responsable de la recherche chez Onyx Capital, note un certain optimisme autour de ces négociations : « Le marché attend d’en voir les résultats, ce qui soutient les prix. »

Les discussions portent sur la levée de restrictions américaines sur certaines exportations vers la Chine, un point de tension majeur entre les deux pays.

Parallèlement, l’Arabie saoudite, en tant que fournisseur clé de pétrole pour la Chine en 2023, ayant livré 86 millions de tonnes, représentant 16,5 % de ses importations, prévoit de réduire légèrement ses expéditions vers Pékin en juillet.

Notons que cette hausse des cours du pétrole apporte un certain soulagement aux pays africains producteurs comme le Nigeria et l’Angola, dont les budgets 2025 reposent sur un prix du baril compris entre 70 et 75 dollars.

Afrique: SORA Technology, une start-up japonaise lève 4,8 millions USD pour l’expansion de ses activités 

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(CROISSANCE AFRIQUE)-Au Japon, la start-up  SORA Technology, fondée en 2020 par Yosuke Kaneko, annonce avoir finalisé la première clôture de son tour late seed pour un montant d’environ 670 millions de yens (4,8 Millions USD), incluant des financements par dette.

Des investisseurs institutionnels d’envergure tels que Nissay Capital Sustainability Challenge Fund, SMBC Venture Capital, DRONE FUND, Central Japan Seed Fund et Rheos Capital Works ont répondu présents.

Renforcer les algorithmes IA de prévision des maladies infectieuses, Étendre les opérations terrain dans les pays partenaires africaines, Accroître les partenariats avec autorités publiques, universités et institutions internationales, Améliorer les systèmes de drones et capacités déloyales localement

SORA opère déjà dans six pays africains — Ghana, Sierra Leone, Bénin, RD‑Congo, Sénégal et Kenya — pour lutter contre le paludisme via ses drones et son IA, notamment à travers le projet phare SORA Malaria Control. 

Cette technologie permet une détection efficace des gîtes larvaires grâce à l’analyse aérienne (température, profondeur, végétation), offrant ainsi des interventions ciblées. Selon Weetracker, elle permettrait de réduire de 70 % l’usage d’insecticides et de 50 % les coûts de main-d’œuvre.

Aussi, le CEO, Yosuke Kaneko, souligne que cette levée de fonds “valide notre vision” et permettra d’accélérer le développement produit, l’extension des opérations locales et le recrutement de nouveaux talents pour renforcer l’impact sur le terrain.

En parallèle, SORA est reconnue par des initiatives internationales telles que Triple I for Global Health (soutenue par le G7 2023), ainsi que par des sommets tels que celui de Malaria No More en mars 2025. 

Notons que la start-up a aussi intégré des programmes universitaires et de financement liés à la durabilité, notamment à Cambridge et via le X-HUB Tokyo, en cohérence avec ses ambitions de croissance et d’application de la technologie à la santé publique et au climat.

Guinée: l’AFD et la Banque Mondiale investissent 119 millions d’euros dans les secteurs de la pêche et de l’aquaculture

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(CROISSANCE AFRIQUE)- En Guinée, le gouvernement a lancé, le projet Kounki « Pêche & Aquaculture », un programme ambitieux d’un montant de 78,058 milliards de FCFA (119 millions d’euros), le lundi 9 juin 2025.

Ce projet, soutenu par l’Agence française de développement (AFD) et la Banque mondiale, vise à améliorer les moyens de subsistance des communautés côtières et rurales, tout en renforçant leur résilience face aux effets du changement climatique.

Ainsi,  le projet Kounki bénéficie d’un financement diversifié, comprenant un prêt souverain de 13,119 milliards de FCFA (20 millions d’euros) et une subvention de 2,623 milliards de FCFA (4 millions d’euros) de l’AFD, via le Contrat de Désendettement et de Développement (C2D). 

À cela s’ajoute un cofinancement majeur de la Banque mondiale, qui apporte 57,350 milliards de FCFA (100 millions USD), ainsi qu’un soutien de 2,867 milliards de FCFA (5 millions USD) du fonds fiduciaire PROBLUE.

Par ailleurs, le projet s’articule autour de trois composantes essentielles : la gestion durable de la pêche, l’amélioration des chaînes de valeur et la création d’opportunités économiques, notamment par un meilleur accès au crédit et la diversification des activités économiques locales.

Notons que la pêche représente un pilier majeur de l’économie guinéenne, contribuant à hauteur de 4,5 % du PIB national et générant plus de 238 000 emplois directs. Cependant, ce secteur est menacé par les effets du changement climatique, qui impactent les ressources maritimes et les moyens de subsistance des communautés côtières. Le projet Kounki vise à moderniser les pratiques de pêche et à développer l’aquaculture pour répondre à ces défis pressants.

Pour rappel, Kounki contribue également aux engagements internationaux de la Guinée en matière de gouvernance des océans. Le projet marque activement la participation du pays à la Conférence des Nations Unies sur les océans (UNOC 2025), illustrant ainsi l’importance de la coopération internationale dans la gestion des ressources maritimes.

Zangouna KONÉ 

Maroc: la Banque Mondiale annonce 350 millions USD destinés à la mobilité ferroviaire 

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(CROISSANC AFRIQUE)-Au Maroc, le Conseil d’administration de la Banque mondiale a approuvé un financement de 350 millions de dollars pour le pôle de mobilité et de logistique du Grand Casablanca. Ce projet vise à améliorer l’accès aux emplois et aux services essentiels en renforçant les services ferroviaires de passagers dans cette zone géographique, centre névralgique du réseau ferroviaire marocain.

Le programme entend également renforcer les capacités de planification et de financement de l’Office national des chemins de fer (ONCF), l’opérateur ferroviaire national, pour la gestion et l’expansion des infrastructures ferroviaires.

Le Maroc connaît une urbanisation rapide, avec 60% de sa population vivant actuellement en milieu urbain, une proportion qui devrait atteindre 70% d’ici 2050. Cette croissance, particulièrement marquée dans la région de Casablanca-Settat, moteur clé de l’économie nationale, offre d’importantes opportunités de développement.

Les villes contribuent de manière significative au PIB du Maroc et constituent des pôles d’investissement et d’emploi. En relevant des défis majeurs tels que la mobilité limitée des habitants des zones périurbaines, la congestion routière et la pollution liée aux véhicules, les villes marocaines pourront aller encore plus loin.

Pour répondre à ces défis, le Royaume investit dans le développement des infrastructures de transport ferroviaire et de transport public afin d’améliorer l’accessibilité et de réduire les impacts environnementaux, en ligne avec les objectifs nationaux en matière de solutions de transport urbain durables.

Dans la zone du Grand Casablanca, le programme « Service intra-métropolitain rapproché » (SIR) modernise les services ferroviaires en rénovant et construisant des gares, tout en augmentant la fréquence des trains de voyageurs.

Notons que cette initiative garantit l’accès à des lieux clés en 45 minutes, élargissant ainsi les opportunités pour les habitants et les entreprises, tout en améliorant la connectivité et en réduisant l’impact environnemental.

Aussi, la nouvelle initiative de financement de la Banque mondiale appuiera le programme SIR dans la mise en place d’un service ferroviaire électrifié de voyageurs, reliant le centre urbain aux banlieues telles que Zenata, Mohammedia, Nouaceur et Bouskoura.

Le programme s’appuiera sur une emprise ferroviaire de 73 kilomètres pour accroître la capacité des voies et améliorer l’infrastructure, notamment les systèmes électriques et de signalisation, avec une attention particulière portée à la résilience climatique. L’initiative vise à désengorger les lignes actuelles et à renforcer la capacité de fret vers le port de Casablanca.

Elle comprend également des investissements dans l’entretien et la modernisation des infrastructures dans la région de Casablanca-Settat. Quinze gares ferroviaires multimodales seront construites ou réaménagées, en intégrant des principes de développement axés sur les transports en commun et des normes d’accessibilité universelle.

Par ailleurs, le programme améliorera par ailleurs les installations logistiques du Grand Casablanca, en mettant l’accent sur la logistique ferroviaire à Aïn Sebaâ et sur la connectivité autour d’une nouvelle zone logistique à Zenata.

« L’appui de la Banque mondiale renforcera la gouvernance et les capacités opérationnelles de l’ONCF, appuyant ainsi sa vision à long terme de transformation en société anonyme, jouant un rôle de premier plan dans la prestation de services clients», déclare Ahmadou Moustapha Ndiaye, directeur de division pour le Maghreb et Malte à la Banque mondiale.

«Cet investissement stratégique témoigne d’un engagement en faveur du développement durable et de l’amélioration de la qualité de vie de l’ensemble des habitants du Grand Casablanca», poursuit-il. D’ici juin 2031, le programme SIR devrait avoir un impact significatif en facilitant l’accès à des infrastructures de transport durables pour plus de 560. 000 résidents.

Korotoumou Sylla 

Au Mali, l’ISPRIC éclaire ses apprenants sur le choix de filière de formation

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(CROISSANCE AFRIQUE)-L’institut des Sciences Politiques, Relations Internationales, Communication organise du 10 au 12 juin 2025 sa troisième édition de la semaine professionnelle dans les locaux de l’établissement.

Placée pour le thème « Emploi et digitalisation : Nouvelle compétences et opportunités », cette édition propose une série d’activités pratiques et interactive, qui va permettre aux étudiants de découvrir les défis et les perspectives liés à l’utilisation des nouvelles technologies de l’information dans le cadre de la recherche d’emploi.

Séances de Coaching. Village des Entreprises. Célébration des partenaires de l’ISPRIC. Ce sont les principales activités à mener durant cette initiative de trois jours.

Selon Aminata DIAWARA, Responsable, Coopération et Insertion professionnelles à l’ISPRIC, la Semaine Professionnelle est une initiative originale de l’Univers des experts. << Elle s’inscrit dans la volonté de l’Institut de réduire le fossé entre le monde académique et le monde professionnel, en favorisant des échanges dynamiques et mutuellement bénéfiques entre les étudiants, les entreprises et les organisations partenaires >>, a-t-elle ajouté.

Dans ses précisions, Aminata Diawara, a expliqué que les séances de coaching permettent de faire des simulations d’entreprises pour préparer au mieux les étudiants à l’entretien de stage et d’emploi.

Elle a souligné que le village des entreprises, c’est sous forme de foire à
travers laquelle notamment les entreprises présenteront aux étudiants leurs activités, leurs métiers, leurs besoins en compétences.

<< Le village des entreprises, est aussi un cadre qui permettra aux futurs diplômés de se présenter directement aux entreprises présentes à l’événement pour s’informer sur les métiers et déposer une candidature pour un stage ou un emploi >>, a ajouté la responsable en charge de l’insertion professionnelle, Avant d’ajouter que que la troisième journée sera exclusivement consacrée à la célébration des partenaires.

En outre, elle a fait savoir que ces actions ont pour but d’éclairer davantage les apprenants sur leur choix de filière de formation et leurs perspectives professionnelles.

L’un des objectifs spécifiques de l’événement est de permettre aux entreprises d’identifier des talents, de faire la promotion de leurs services et/ou produits et de faire du networking entre elles.

La visite des stands a permis à la délégation et aux étudiants de l’établissement de découvrir une trentaine d’entreprises et Organisations partenaires de l’Institut et leurs réalités.

La délégation était composée de Dr Mohamad GAKOU, Directeur général, de Oumar DAFFÉ, Directeur Conseiller, Aminata DIAWARA, Responsable Coopération et Insertion Professionnelle, Djibril BAH, Chargé de Communication et Aminata DAO, Coordinatrice du Centre ISPRIC Expertise.

Créé à Bamako en 1999, l’ISPRIC (Institut des Sciences Politiques, Relations Internationales et Communications) est un établissement privé d’enseignement supérieur faisant partie du Complexe Scolaire et Universitaire GAKOU.

Drissa KEITA

Au Mali, le gouvernement s’engage fortement en faveur de l’emploi des jeunes

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(CROISSANCE AFRIQUE)- Au Mali, le gouvernement s’engage fortement en faveur de l’emploi des jeunes. Dans cette optique, un programme a été lancé avec la collaboration de la Suisse, visant à accompagner 40 formateurs dans leur mission d’insertion professionnelle.

Le 10 juin 2025, le Centre de formation professionnelle de Sénou, situé à Bamako, a inauguré une session de formation essentielle sous l’égide du Programme Régional de Formation Professionnelle (PROFOR).

La ministre Oumou Sall Seck a souligné l’importance de cette initiative pour synchroniser les compétences des jeunes avec les exigences du marché du travail malien.

Cette formation, qui se déroulera jusqu’au 12 juin, a pour objectif d’améliorer les aptitudes pédagogiques des formateurs, assurant ainsi un transfert de connaissances de qualité.

Le projet bénéficie d’un partenariat stratégique avec la Haute École Fédérale de la Formation Professionnelle (HEFP) de Lausanne, en Suisse, ce qui confère une grande crédibilité à son approche.

Notons que cela fait partie du Plan d’action gouvernemental 2025-2026, qui vise à former 7 516 jeunes dans des secteurs prometteurs et à fournir des apprentissages à 1 700 personnes déscolarisées, dans le but de diminuer le chômage et d’augmenter la compétitivité locale.

Mariam KONE

Côte d’Ivoire: l’Etat et l’UE signent un protocole d’accord de 3 millions d’euros en faveur de la pêche

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(CROISSANCE AFRIQUE)- La Côte d’Ivoire et l’Union européenne ont signé un nouveau protocole d’accord sur la pêche, mettant fin à une interruption d’une année dans leur coopération, le 6 juin 2025.

Ce protocole prévoit un engagement de l’UE d’environ 3 millions d’euros (2,97 millions d’euros) sur quatre ans. En échange, l’UE obtient un accès annuel à 6 100 tonnes de thon et d’autres espèces migratrices dans les eaux ivoiriennes.

Détails de l’Accord :

  • Financement : 740 000 euros par an, soit environ 485,4 millions FCFA.
  • Objectifs : Au-delà de la capture de thon, le protocole alloue 435 000 euros par an pour :
  • Soutenir la pêche artisanale.
  • Renforcer les capacités scientifiques.
  • Améliorer la gestion des ressources halieutiques.
  • Professionnaliser les pêcheurs locaux et créer des emplois.
  • Renforcer l’attractivité du port d’Abidjan.

Lutte contre la Pêche Illicite :

Le protocole inclut également des mesures visant à lutter contre la pêche illicite, non déclarée et non règlementée, avec un meilleur suivi et contrôle de l’activité maritime. L’UE aidera la Côte d’Ivoire à identifier des projets pour sécuriser ses eaux maritimes.

Coûts pour les Armateurs :

Les armateurs européens devront payer des redevances de 80 euros par tonne de poisson pêché, qui augmentera à 85 euros à partir de la troisième année. Des garanties pour améliorer les conditions de travail à bord des navires sont également incluses, stipulant le respect des normes internationales.

Le protocole entrera en vigueur de manière provisoire dès sa signature, et sera pleinement effectif après ratification par les deux parties.

Contexte Régional :

Cet accord contraste avec la situation au Gabon, qui a récemment dénoncé son propre accord avec l’UE, invoquant un partenariat déséquilibré. Alors que la Côte d’Ivoire relance sa coopération avec Bruxelles, d’autres pays de la région reconsidèrent leurs engagements.

Moussa KONÉ

Afrique: Mediterrania Capital Partners mobilise 600 millions d’euros pour soutenir ses activités

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(CROISSANCE AFRIQUE)-Mediterrania Capital Partners, un acteur clé du capital-investissement pour les PME en Afrique, a réussi à lever 600 millions d’euros (393,5 milliards FCFA) pour son quatrième fonds, le Mediterrania Capital IV Mid Cap (MC IV).

Ce montant record renforce sa position parmi les investisseurs les plus actifs sur le continent. Le fonds, d’une durée de dix ans, se concentre sur des entreprises à fort potentiel en Afrique du Nord et de l’Ouest, tout en explorant d’autres marchés africains.

Mediterrania Capital a pour objectif de prendre des participations significatives dans des sociétés locales bien établies, visant à devenir des leaders régionaux ou continentaux, en préparation d’éventuelles introductions en Bourse.

Les fonds levés serviront à intensifier les investissements dans des secteurs clés tels que la santé, les services financiers et les biens de consommation. Hatim Ben Ahmed, Managing Partner, a souligné le potentiel énorme dans ces domaines pour les années à venir, avec près de 75 % des fonds devant être déployés dans les quatre prochaines années, indiquant une stratégie offensive malgré les incertitudes économiques mondiales.

Le PDG Albert Alsina a mis en avant la résilience du continent et la confiance des investisseurs dans la capacité de Mediterrania à générer une valeur durable pour ses investisseurs et les économies locales. Les entreprises soutenues par Mediterrania emploient plus de 30 000 personnes pour un chiffre d’affaires combiné de plus de 2,2 milliards d’euros, touchant plus de 100 millions d’Africains.

Avec le MC IV, Mediterrania vise à doubler ce chiffre pour atteindre 200 millions de bénéficiaires, tout en témoignant du succès de sa stratégie de soutien aux entrepreneurs africains, ayant déjà vu deux entreprises de son portefeuille atteindre le statut de licorne.

Ghana: les Sociétés de Télécom annoncent 150 millions USD destinés à améliorer leurs réseaux d’ici fin 2025

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(CROISSANCE AFRIQUE)-Les principaux opérateurs télécoms du Ghana, à savoir MTN, Telecel et Airtel, prévoient d’injecter collectivement 150 millions de dollars (86 milliards FCFA) pour améliorer leurs réseaux d’ici fin 2025.

Cette initiative a été annoncée par le ministre des Communications, Samuel Nartey George, lors d’une conférence de presse le 10 juin à Accra.

En réponse à des désabonnements dus à la gestion antérieure et afin de moderniser leurs infrastructures, le gouvernement a imposé une période de mise à niveau des réseaux entre juillet et septembre, avec des pénalités en cas de non-conformité. Une évaluation rigoureuse par l’Autorité nationale des communications est prévue pour le dernier trimestre de l’année.

À partir du 1er juillet, les trois opérateurs augmenteront également le volume de données de leurs forfaits sans augmenter les prix. Airtel Ghana et Telecel proposeront respectivement 236 Go et 250 Go pour leurs forfaits à GH₵400, tandis que MTN introduira une option à GH₵399 offrant 214 Go, améliorant ainsi la valeur offerte aux consommateurs.

Notons que ces mesures visent à renforcer la concurrence sur le marché et à améliorer durablement l’expérience client.

Korotoumou Sylla

Mali: le gouvernement amplifie des actions en faveur de la digitalisation de l’administration publique

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(CROISSANCE AFRIQUE)- Au Mali, la digitalisation de l’administration est en plein essor, avec un accent particulier sur la mise en œuvre d’un logiciel de gestion de l’état civil et d’un Système Intégré de Gestion des Ressources Humaines (SIGRH).

Aussi, ces initiatives ont été discutées lors d’une réunion conduite par le Premier ministre Abdoulaye Maiga, visant à moderniser l’administration publique du pays, conformément à la vision du Président Assimi Goita.

Le logiciel de gestion de l’état civil, élaboré par l’agence nationale dédiée, est conçu pour faciliter l’identification et l’authentification des documents comme les actes de naissance, de mariage et de décès.

De plus, le SIGRH devrait améliorer la gestion des ressources humaines à travers des avancées technologiques, incluant l’interconnexion au serveur et la mise en place de la fibre optique.

Notons que le Premier ministre a témoigné de l’appréciation pour le travail effectué par les experts, ce qui souligne l’ambition de présenter ces applications au Chef de l’État dans un avenir proche.