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Le Mali célèbre la 15 ème édition de la journée internationale du lait « sous le signe de la covid-19 »

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Au Mali, les acteurs du secteur dans la sous-région ont organisé une réunion à Bamako. L’objectif de cette réunion était la validation de la stratégie et du programme prioritaire d’investissements pour l’offensive régionale pour la promotion des chaines de valeur du lait local de la CEDEAO. Il s’agit de réduire substantiellement la dépendance extérieure de la région en lait et produits laitiers. La journée est célébrée à Bamako chaque 1er Juin.

Prenant la parole en visioconférence, Madame KANE Rokia MAGUIRAGA, le ministre de l’Elevage et de la Pêche a laissé entendre que le « Mali jouera toute sa partition pour l’opérationnalisation de ce programme prioritaire d’investissement ». Elle annonce par la suite, la mise en place d’une unité laitière fonctionnelle dédiée à la transformation du lait local. 

Selon un éleveur, cette annonce est : « une concrétisation de l’ambition présidentielle afin d’impulser une nouvelle dynamique à la stratégie nationale de valorisation du lait cru local », a-t- il affirmé. Dans cette optique a été question de la mise en œuvre du Projet de Développement et de la Valorisation de la Production Laitière au Mali (PRODEVALAIT II) initié en 2018 pour un coût total de 9.344.675.000 FCFA. L’initiative a pour but d’assurer un environnement favorable à l’investissement privé non seulement dans le secteur de l’élevage, mais si dans le domaine l’agro-alimentaire.

Précisons que cette journée a été initiée par la FAO (Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture) en 2001 pour valoriser le lait en ventant ses bienfaits sur la santé, ses richesses naturelles et sa valeur nutritive. La même organisation annonce que la norme recommandée de consommation en lait par personne et par an est de 62 litres. La consommation est de 30 à 40 litre par personne et par an. Puisque tout simplement l’offre en lait local reste faible.

Daouda Bakary KONE

USA: Le Minnesota Human Rights Department lance une enquête sur la police de Minneapolis

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Selon nos confrères startribune, un magazine américain géneraliste « L’enquête examinera les politiques et procédures de la police de Minneapolis au cours des 10 dernières années pour déterminer si la police s’est livrée à des pratiques discriminatoires ».

Le Département des droits de l’homme du Minnesota ouvrira une enquête sur le département de police de Minneapolis après avoir déposé une plainte pour violation des droits civils liée au décès de George Floyd, décédé alors qu’il était coincé dans la rue par la police la semaine dernière.

L’enquête, annoncée mardi par le gouverneur Tim Walz, examinera les politiques et procédures de la police de Minneapolis au cours des 10 dernières années pour déterminer si le département s’est engagé dans des pratiques discriminatoires à l’égard des personnes de couleur.

«Il ne s’agit pas de tenir personnellement des personnes pénalement responsables», a déclaré la commissaire aux droits de l’homme Rebecca Lucero, qui dirigera l’enquête. «Il s’agit de changer les systèmes.»

Dans un communiqué publié mardi soir, le chef de la police, Medaria Arradondo, a reconnu qu’il y avait du travail à faire.

«Avec l’aide de la Commission nationale des droits de l’homme, nous pouvons examiner honnêtement les barrières systémiques qui nous ont empêchés d’atteindre notre plus grand potentiel pour ceux que nous servons», a-t-il déclaré.

Lucero a déclaré que cela différerait des examens antérieurs du département de police. Premièrement, le Département d’État des droits de l’homme travaillera avec les dirigeants de la ville pour essayer d’apporter des changements rapides, a-t-elle déclaré. Il y aura également un processus plus long pour potentiellement parvenir à un décret de consentement, qui peut être appliqué par les tribunaux, a déclaré Lucero.

Daouda BakarY KONE

Le milliardaire HongKongais passe le témoin à ses enfants: Ils Co-présideront la destinée du Groupe Henderson Land Development.

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Selon site Hongkongais.com « le deuxième homme le plus riche de Hong Kong, Lee Shau Kee, 91 ans, vient d’annoncer qu’il se retire de la présidence de son groupe Henderson Land Development. Lee Shau Kee appartient à cette génération de tycoons qui ont bâti leur fortune au XXème siècle en accompagnant l’extraordinaire essor de l’ex-colonie britannique« .

C’est l’immobilier (rien de nouveau sous le soleil) qui a permis à Lee Shau Kee de se hisser au deuxième rang des fortunes hongkongaises, totalisant 30 milliards de dollars. Lee Shau Kee transmet les rênes du groupe à ses fils Peter et Martin Lee, qui vont devenir co-PDG. Le patriarche demeurera toutefois directeur exécutif.

Qui est Lee Shau Kee ?

Lee Shau Kee est souvent présenté comme un “self-made man”, né à Canton et débarqué à Hong Kong après la Seconde Guerre mondiale, avec quelques yuans en poche. L’histoire est plus subtile : on ne peut certes pas lui retirer son côté entrepreneur de génie, mais les choses sont toujours plus simples avec un père banquier plein aux as.

Dans les interviews, il évoque souvent les années 60 comme le “bon vieux temps”, car c’est à cette époque qu’il a cofondé le promoteur immobilier Sun Hung Kai avec Kwok Tak Seng and Fung King Hey (ensemble, ils seront surnommés “les trois mousquetaires”).

Fort de son succès, il lancera en 1976 Henderson Land Development. C’est aujourd’hui le troisième plus grand promoteur immobilier de Hong Kong par capitalisation.

Henderson Land Development

Henderson Land Development est présent dans de nombreux secteurs d’activité, mais son cœur de métier est le développement de projets dans l’immobilier.

Henderson fait notamment partie de la coentreprise qui a bâti et est propriétaire de l’International Finance Centre (IFC), un projet immobilier qui compte notamment le deuxième plus haute tour de Hong Kong (415 mètres).

Parmi la centaine d’immeubles résidentiels construits par Henderson Land Development, figure également 39 Conduit Road, un projet controversé situé dans les mid-levels.

En octobre 2009, le promoteur a, en effet, déclaré avoir vendu pour 439 millions de dollars hongkongais un duplex au “68e étage” de l’immeuble… qui n’en compte que 46.

A l’époque, cette transaction a occasionné moult débats sur les règles de sécurité qui encadrent la numérotation des étages à Hong Kong – une numérotation confuse empêchant notamment une intervention rapide des secours en cas de besoin.

Les papys font de la résistance

Lee Shau Kee emboîte ainsi le pas à toutes une génération de milliardaires hongkongais ayant récemment pris leur retraite. Tous ont en commun de s’être accrochés à leurs sièges au-delà de 90 ans, au grand désespoir de leurs enfants.

Et pour cause, Hong Kong considère comme des héros cette génération de milliardaires, symboles vivants de l’essor et du rayonnement de la ville.

L’homme le plus riche de Hong Kong, Li Ka-shing, 90 ans, n’a pris sa retraite que l’an passé, et encore, c’etait pour mieux se consacrer a son musée d’art bouddhique.

La Thaïlande vote un plan de relance de 1 900 milliards de bahts

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Selon le site thailander-fr « le montant total des fonds distribués devrait atteindre 1 900 milliards de baht (environ 54 milliards d’euros) soit plus de 10% du PIB de la Thaïlande« , a-t-il annoncé dans sa publication du &er mai 2020.

Le parlement thaïlandais a approuvé hier un plan de relance d’un montant record de 1,9 trillion de bahts (59,7 milliards de dollars), la plus importante injection de liquidités jamais décidée par le royaume.

La chambre basse du Parlement a approuvé hier dimanche 31 mai trois décrets d’urgence accordant un soutien financier aux entreprises et aux personnes touchées par les retombées de Covid-19.

Notons que le montant total des fonds distribués devrait atteindre 1 900 milliards de baht (environ 54 milliards d’euros) soit plus de 10% du PIB de la Thaïlande.

IB KONE

Bangkok Airways rouvre ses vols intérieurs à partir du 15 mai – Tourisme

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Bangkok Airways reprendra partiellement ses vols intérieurs à partir du 15 mai 2020, avec une réouverture de la liaison Bangkok – Samui (aller-retour) deux fois par jour.

La compagnie aérienne avait annoncé la suspension temporaire de tous ses vols intérieurs du 7 au 30 avril 2020, ainsi que la fermeture temporaire de ses trois aéroports – Samui, Sukhothai et Trat, dans le cadre des mesures visant à freiner la propagation du coronavirus Covid-19.

L’aéroport de Samui reprendra également ses opérations quotidiennes le 15 mai 2020, de 8h00 à 19h00.

La réouverture des aéroports de Sukhothai et Trat et des autres routes de Bangkok Airways sera annoncée ultérieurement.

La direction de l’aviation civile de Thaïlande a autorisé la reprise des vols intérieurs partir du 1er mai, mais à condition de respecter de nouvelles conditions de vols liées aux mesures anti Covid-19.

Bangkok Airways rouvre ses vols intérieurs à partir du 15 mai - Tourisme 1

• Les passagers devront toujours porter un masque.

• Les passagers ne pourront occuper qu’un siège sur deux pour respecter les règles de distanciation.

• Les membres d’équipage doivent porter des masques, des écrans faciaux et des gants. 

• La distance sociale doit être strictement observée aux…

Source : thailandefr

Affaire des lanceurs d’alerte à la BAD: Akinwumi ADESSINA obtient la bénédiction du président Muhammadu Buhari

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Selon nos confrères de Financialafrik « le feuilleton de la Banque Africaine de Développement (BAD) prend des tournures diplomatiques. A la suite de sa ministre des Finances, Zainab Ahmed, qui s’était opposée à l’injonction du secrétaire d’Etat américain au Trésor, de diligenter une enquête, c’est autour du président Muhammadu Buhari de s’immiscer dans le dossier« 

« Je resterai à tes côtés”, a déclaré l’ancien général de l’Armée, connu pour une fibre nationaliste particulièrement sensible. La déclaration a été faite à la présidence(State House), le 2 juin 2020, à la fin d’une courte de visite du président de la Banque Africaine de Développement (BAD), Akinwumi Adesina. ” Celui-ci repart rassuré du soutien de son pays, premier actionnaire de la BAD, precise financialafrik dans sa publication du mardi 02 mai 2020.

Pour le journaliste Adama WAde, MUhamadou BOUARI declare que “En 2015, lorsque vous deviez être élu pour le premier mandat, j’ai écrit à tous les dirigeants africains pour vous recommander le poste. Pourtant, vous étiez ministre du Parti démocratique populaire (PDP) et j’appartenais au Congrès progressiste (APC), donc je refuserais mon soutien. Je resterai cohérent avec vous, car personne n’a mis en cause la décision de vous soutenir que j’avais prise au nom du Nigéria », a déclaré le président Buhari.

Daouda Bakary KONE

Cabo Verde : le Groupe de la Banque africaine de développement approuve l’octroi d’un prêt de 30 millions d’euros pour la lutte contre le COVID-19

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Akinwumi Adesina, né le 6 février 1960 au Nigéria, est un homme politique nigérian. Il est ministre de l'Agriculture et du Développement rural pour le Nigeria de 2011 à 2015, avant d'être nommé président de la Banque africaine de développement le 28 mai 2015
Par croissanceafrique
Le prêt, approuvé le 26 mai, servira à financer les mesures d’action sanitaire et sociale prises par le pays, à soutenir sa stabilité au niveau macroéconomique et à aider le secteur privé
ABIDJAN, Côte d’Ivoire, 2 juin 2020/ — Le Conseil d’administration de la Banque africaine de développement (www.AfDB.org) a accordé un prêt de 30 millions d’euros au Cabo Verde pour aider ce pays insulaire d’Afrique de l’Ouest à lutter contre la pandémie de COVID-19 et à limiter l’incidence de celle-ci sur son économie.

Le prêt, approuvé le 26 mai, servira à financer les mesures d’action sanitaire et sociale prises par le pays, à soutenir sa stabilité au niveau macroéconomique et à aider le secteur privé.

Au 27 mai, le Cabo Verde avait enregistré 390 infections,  155 guérisons et 4 décès depuis le début de la pandémie. Seule une des dix îles du pays a été touchée, à savoir Santiago, où se trouve la capitale, Praia. Le Cabo Verde axe actuellement ses efforts sur la relance progressive de ses activités économiques, et l’aide de la Banque permettra au pays d’y parvenir de manière plus sûre.

La Banque constate que, bien que le système de santé du Cabo Verde dispose de moyens plus importants que ceux de nombreux pays de la région, il a néanmoins besoin de capacités supplémentaires pour faire face à la crise sanitaire.

La pandémie a interrompu la période ponctuée de solides résultats économiques récemment enregistrés par le Cabo Verde. En 2019, son PIB a progressé de 5 %. Le pays, qui dépend fortement de l’économie bleue et du tourisme, devrait voir sa performance économique se contracter de 4 % en 2020.

Le financement de la Banque permettra de soutenir l’engagement pris par les autorités de faire passer d’ici la mi-juin le nombre d’appareils respiratoires dans les chambres d’isolement de 20 à 86, et au total, de 35 à 130.

Un programme d’extension du revenu social d’insertion sera introduit. Il permettra d’atteindre un total de 8 000 foyers vulnérables dirigés par des femmes, sur les quelque 9 000 foyers connaissant l’extrême pauvreté. Actuellement, 5 000 foyers reçoivent cette aide.

En outre, un plan de financement d’une partie des salaires du personnel mis en congé dans les entreprises touchées par la pandémie sera mis en place. Le personnel dont le contrat de travail est provisoirement suspendu recevra 70 % de la totalité de son salaire pendant la durée de la crise.  

Ce financement entre dans le cadre des activités du Mécanisme de réponse rapide contre le COVID-19, doté de 10 milliards de dollars américains et dont la mise en place a été approuvée le 8 avril de cette année par le Conseil d’administration.

La Banque a déclaré que les mesures de confinement au Cabo Verde y avaient ralenti la propagation de la pandémie.

Ces mesures pourraient avoir une incidence disproportionnée sur certains segments de la population, ce qui pourrait aggraver les inégalités. Les jeunes en particulier, compte tenu des taux de chômage et de sous-emploi déjà élevés les concernant, devraient en subir les effets. Les femmes, qui sont représentées de manière disproportionnée dans les secteurs sinistrés comme ceux des services, constituent également un groupe à haut risque, aux côtés de celles les plus exposées à la pandémie exerçant des professions en première ligne, par exemple comme infirmières. Parmi les autres groupes vulnérables figurent les personnes ayant une activité professionnelle sans protection sociale comme les travailleurs indépendants ou celles travaillant dans des secteurs formels importants tels que le tourisme.

Le gouvernement du Cabo Verde a mis sur pied une équipe nationale d’action et d’intervention technique, et il prévoit le financement d’une augmentation du volume du matériel médical indispensable et des salaires pour le nouveau personnel médical.

Le ministère de la Santé et de la sécurité sociale a approuvé en janvier le Plan national d’urgence de lutte contre le COVID-19 en présentant dans les détails les stratégies pour tous les stades de la pandémie, l’attribution des responsabilités, les priorités et les plans d’action retenus à tous les niveaux du gouvernement.

Covid-19: Rupture des relations avec l’OMS, les Etats-Unis se tirent une balle dans la tête

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Par Radio chine Internationale

«Tant qu’on ne me plaît pas, je me retire.» Voilà ce que l’on pourrait comprendre de la politique étrangère des Etats-Unis sous l’ère Donald Trump. Depuis son arrivée au pouvoir en janvier 2016, les Etats-Unis se sont retirés ou arrêtés leur participation dans plusieurs organisations et traités internationaux, parfois sans raisons valables. L’Accord de Paris, l’Unesco…La liste n’est pas exhaustive. Leur rupture de coopération avec l’OMS est le dernier exemple en date de cette politique américaine. C’est en période difficile où l’humanité fait face à la pandémie du COVID-19, que le dirigeant américain a choisi pour annoncer la fin de coopération de son pays avec l’OMS. Le dirigeant américain reproche à l’OMS d’’avoir «échoué à faire les réformes requises». Les contributions américaines seront désormais allouées à d’autres besoins de santé publique, a prétendu le président américain. Cette décision insensée a été condamnée par l’opinion internationale.

Impossible pour un pays, quel soit son rang, de faire face seul à la propagation de la pandémie, et la victoire sur ce fléau passent nécessairement par la solidarité et la coopération. Toutefois, certains politiciens américains, aveugles devant la science, ne se focalisent que sur les intérêts économiques et politiques. Voyant que la pandémie nuirait à leurs intérêts, ils ont décidé de faire porter le chapeau à l’OMS, elle qui respecte la science et défend la vérité. Ces politiciens américains ont d’abord menacé d’interrompre le financement des Etats-Unis à l’OMS, ensuite définitivement mis fin à leurs relations. En mettant leurs propres intérêts politiques au-dessus de la lutte contre la pandémie, les Etats-Unis sont devenus des brebis galeuses.

En réalité, la prétendue raison invoquée par les politiciens américains est tout simplement intenable. En tant que l’une des institutions spécialisées des Nations Unies, l’OMS n’a aucune affiliation avec le gouvernement fédéral américain. Comment les Etats-Unis peuvent-ils exiger à l’agence de santé d’agir selon leur volonté? Ou s’attendaient-ils aussi à ce que l’OMS recommande leur thérapie des désinfectants?

En tant qu’organisme international reconnu en matière de la sécurité sanitaire mondiale, l’OMS a joué un rôle indispensable dans la coordination de la réponse des pays au COVID-19. L’OMS a été présente depuis la première alerte donnée sur des cas de pneumonie inexpliqués au monde et le partage des informations relatives à la détection des cas potentiels de cette maladie. Cette organisation a été également dans la coordination de la livraison d’équipements de protection individuelle et de kits de test dans plus de 100 pays. Il en est de même de son implication dans la coopération avec différents pays pour accélérer les études sur le vaccin. L’Assemblée mondiale de Santé, tout récemment organisée par l’OMS, avait pour but de rédiger une feuille de route pour la lutte internationale contre le virus. Tous ces efforts déployés par l’OMS ont été largement salués par la communauté internationale.

Raison pour laquelle la communauté internationale a beaucoup critiqué le retrait unilatéral des Etats-Unis de l’OMS. Dans un communiqué conjoint, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen et le chef de la diplomatie de l’UE, Josep Borrell, ont exhorté la Maison Blanche à reconsidérer sa décision. Selon eux, l’OMS doit continuer à être en mesure de diriger la réponse internationale aux pandémies et pour cela, la participation et le soutien de tous sont indispensables. Le ministre allemand de la Santé, Jens Spahn, a jugé que cette rupture constituait «un sérieux revers pour la santé mondiale». Le ministre italien de la Santé, Roberto Speranza, a, lui, souligné la nécessité d’avoir une OMS plus forte après les réformes, au lieu d’une OMS affaiblie.

Face à la crise du coronavirus, les Etats-Unis sont le pays le plus touché tant en nombre de morts (plus de 103 000) que de cas des contaminations (presque 1 800 000). Dans ce contexte, le retrait des USA de l’OMS va sans doute aggraver la situation. Le président de l’Association médicale américaine Patrice Harris a indiqué qu’il n’y avait aucune logique de rompre les relations avec l’OMS dans le contexte d’une pandémie qui a déjà coûté les vies de plus de 100 000 Américains, et que cette rupture rendait plus difficile la lutte contre cette crise de santé publique.

Le virus ne connaît pas de frontières. Il est impossible de le vaincre tout seul. La décision de Washington de rompre ses relations avec l’OMS nuira à lui-même. La fonction de l’Organisation mondiale de la Santé ne s’arrêtera pas suite au retrait des Etats-Unis, mais le peuple américain fera face au danger encore plus critique à cause de la décision insensée et égoïste des politiciens américains. Alors que ces derniers, qui se prétendent toujours un défenseur des droits de l’homme, ne le voient point.

CHINE: Xi Jinping souligne l’importance du Code civil et une meilleure protection des droits et intérêts légitimes du peuple

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Xi Jinping, secrétaire général du Comité central du Parti communiste chinois (PCC), a mis l’accent sur la pleine reconnaissance de l’importance de la promulgation et de l’application du Code civil nouvellement adopté par le pays et une meilleure protection des droits et des intérêts légitimes du peuple conformément à la loi.
M. Xi a fait ces remarques vendredi alors qu’il présidait une session d’étude de groupe du Bureau politique du Comité central du PCC sur la mise en œuvre effective du Code civil.

Chine: En s’immisçant dans les affaires de Hong Kong, les politiciens américains s’attirent le feu

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Par la radio chine Internationale

Un homme noir résident de l’Etat américain de Minnesota est mort lundi après qu’un policier blanc l’avait maintenu à terre avec un genou sur le cou, malgré ses appels à la pitié. Cet incident a suscité des violentes manifestations dans plus de 70 villes américaines. Des manifestants se livrent à des actes de violences, saccageant et pillant des magasins. Certains édifices sont incendiés. Et des scènes similaires se sont également produites l’année dernière à Hong Kong.

Cependant, tout le monde a constaté une scène dramatique: il semble que les hommes politiques américains capricieux ont complètement oublié comment ils avaient soutenu les activités de violence dans les rues de Hong Kong. Ils ont qualifié les manifestations survenues à travers les Etats-Unis d’«émeutes». Ils ont en outre menacé de directement «ouvrir le feu» et mobiliser l’armée pour réprimer. En réalité, ce « scénario àdouble critère», mis en scène par les politiciens américains, a révélé au monde la confusion du noir et blanc et la négligence de la justice dont font preuve ces hommes politiques à la recherche des faveurs électorales.

Selon les médias hongkongais, entre 1995 et début 2015, la Fondation nationale de la Démocratie des Etats-Unis, fondée en vertu de la législation du Congrès américain, a financé à hauteur de plus de 3, 95 millions de dollars les activités des forces de l’opposition de Hong Kong. Depuis l’éclatement des agitations et troubles liés à un projet de loi d’extradition, cette fondation a agi de connivence avec les fauteurs de troubles en vue d’organiser « la révolution de couleur » à Hong Kong. Le vice-président américain Mike Pence, le secrétaire d’Etat Mike Pompeo et la présidente de la Chambre des représentants Nancy Pelosi, ont tous rencontré les chefs des forces anti-chinoises de Hong Kong.

Pour cela, John Ross, chercheur britannique de renom, a, à travers les réseaux sociaux, fait une comparaison entre les situations à Minnesota et à Hong Kong. Il est évident, dit-il, que la police de Minnesota a tué et violé les droits de l’homme, chose que la police de Hong Kong n’a pas fait. Ces réflexions de John Ross montrent plus clairement que certains politiciens américains ne pensent qu’à gagner les votes et autres avantages politiques en contrant le développement de la Chine au détriment du bien-être de la population hongkongaise!

Il y a quelques jours, le dirigeant américain a menacé de prendre des actions contre la Chine, notamment révoquer le traitement commercial préférentiel dont bénéficie Hong Kong. Le but n’est que de freiner le développement de la Chine en sapant Hong Kong.

La perfidie retourne sur son auteur. Pendant la dernière décade, la balance commerciale favorable des Etats-Unis vis-à-vis de Hong Kong s’est élevée à environ 297 milliards de dollars. Un chiffre que les Etats-Unis n’ont jamais réalisé avec leurs autres partenaires commerciaux à travers le monde. En 2019, le volume total du commerce entre Hong Kong et les Etats-Unis a dépassé 517 milliards de dollar de Hong Kong, tandis que les exportations des articles hongkongais aux Etats-Unis n’ont représenté que 3, 7 milliards de dollar de Hong Kong. Si les Etats-Unis persistent dans cette voie, leurs exportations subiront un coup dur.

Le gouvernement chinois se montre inébranlable pour sauvegarder la souveraineté nationale et appliquer le principe « Un pays, deux système ». La Chine s’oppose fermement à toute ingérence dans les affaires de Hong Kong venant de n’importe quelle force extérieure. Si les politiciens américains continuent à jouer le jeu sur Hong Kong, ils risquent d’attirer les ennuis sur eux-mêmes.