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Covid-19: l’Egypte rouvre ses hôtels pour sauver son tourisme

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Les autorités égyptiennes ont décidé de rouvrir les hôtels (qui doivent fonctionner à 25 % de leur capacité jusqu’à la fin du mois de mai), rapportent lundi 4 mai, des sources officielles. La mesure est destinée à sauver l’économie du pays et le tourisme qui perd 1 milliard de dollars par mois à cause du confinement. Le secteur touristique représente 12 à 15% du PIB du pays des pharaons. Pour limiter la vitesse de propagation du virus, la réouverture des hôtels s’accompagnera d’une série de mesures sanitaires.

Ainsi, le cabinet du ministère de tutelle a informé que «pour que les hôtels reprennent leurs activités, ils doivent avoir une clinique avec un médecin résident, contrôler régulièrement les températures et installer du matériel de désinfection». De même, les clients doivent être enregistrés en ligne et les travailleurs dsubir des tests rapides de coronavirus lors de leur entrée dans les stations. Autre mesure, un étage de l’hôtel ou un petit bâtiment doit être affecté comme zone de quarantaine pour les cas de coronavirus positifs ou suspectés.

À partir du 1er juin, les hôtels seront autorisés à travailler avec une capacité maximale de 50%. Les complexes hôteliers ne sont pas autorisés à organiser des mariages ou des fêtes, à organiser des activités de divertissement et à offrir des buffets ouverts. Les restaurants de l’hôtel serviront des menus prédéfinis et seront disposés avec de larges espaces entre les tables. L’Égypte est le deuxième pays le plus touché par le coronavirus en Afrique avec 6465 cas enregistrés dont 429 décès au dimanche 3 mai 2020.

3 Mai: journée mondiale de la liberté d’expression et de la presse

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Bonne fête à vous mes frères de la presse, maîtres de la plume, soldats de l’info, rois de l’expression de la démocratie, les voix des sans voix et sacerdoce.Vous occupiez jadis, une très bonne position dans le continent et dans le monde en matière de liberté d’expression avant 2013.Maintenant, nous sommes 108ème sur 180 pays en matière de la liberté de la presse et d’expression. Vous travaillez dans toutes sortes de difficultés en risquant chaque jour vos vies. Ce n’est pas facile. Je sais que nous n’allons jamais abdiquer pour autant.La démocratie malienne compte sur vous. Portons le flambeau haut et avec fierté. Je suis fier de chacun d’entre vous dans son domaine et dans sa rédaction. Avec humilité, je tiens à vous souhaiter tous une très bonne fête.

Albadia Dicko président de l’UNAJEP

Le porte-avions HMS Queen Elizabeth passe ses dernières évaluations avant d’être déclaré opérationnel

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Premier des deux porte-avions commandés par la Royal Navy, le HMS Queen Elizabeth a entamé ses essais en mer il y a maintenant trois ans. Et, au-delà les soucis inhérents à la mise au point d’un tel navire [comme un problème d’étanchéité ayant provoqué une voie d’eau en décembre 2017], le fleuron de la marine britannique monte progressivement en puissance.

En octobre 2019, le navire est entré dans le vif du sujet en menant pas moins de 500 manoeuvres d’appontage et de lancement de 7 F-35B aux couleurs britanniques [jusqu’alors, seuls des F-35B américains avaient pu y être testés] au cours d’une campagne de 11 semaines.

Mais pour être déclaré pleinement opérationnel, le HMS Queen Elizabeth doit encore franchir une ultime étape, consistant en une évalution de ses capacités par le Flag Officer Sea Training [FOST], un organisme relevant de la Royal Navy, chargé de veiller à ce que tous les navires britanniques soient aptes à rejoindre une flotte opérationnelle.

Là, le FOST aura à s’assurer que « le Royaume-Uni aura la capacité à de déployer un groupe aéronaval d’ici la fin de cette année », a expliqué la Royal Navy, via un communiqué publié le 30 avril. En clair, cette évaluation est un élément clé en vue du premier déploiement opérationnelle de ce porte-avions.

Aussi, à cette fin, le navire a appareillé de Plymouth pour une campagne devant durer au moins huit semaines. « L’entraînement avec des avions de chasse F-35, des simulations de dégâts de combat ainsi que des répétitions de mission feront partie du processus », a indiqué la Royal Navy.

Un ultime exercice aura lieu vers la fin de cette année afin de s’assurer qu’une formation formée autour du porte-avions sera « prête à être déployée en tant que groupe aéronaval ».

Cela étant, l’épidémie de Covid-19 a contraint la Royal Navy a prendre des mesures particulières. L’ensemble de l’équipage du porte-avions a été testé… Et cette précaution a été utile puisque deux marins ont été testés positifs. Ils ont depuis été mis à l’isolement.

Lors d’une audition parlementaire, le 23 avril, le secrétaire britannique à la Défense, Ben Wallace, a indiqué que les commandants de la Royal Navy sont autorisés à retourner au port dès lors qu’ils estiment que c’est la meilleure décision à prendre en cas d’épidémie à bord de leur navire. « Je ne les forcerai pas à partir en mer avec un équipage infecté », a-t-il dit.

Et cela vaut pour le HMS Queen Elizabeth. Le navire « sera dans les eaux britanniques, donc pas très loin. Il sera à distance d’hélicoptère si nous devons y récupérer quelqu’un », a souligné M. Wallace.

Pour rappel, avec ses 62.000 tonnes [pour 280 mètres de long et 70 mètres de large], le HMS Queen Elizabeth est actuellement le navire le plus imposant d’Europe. Devant être rejoint par le HMS Prince of Wales [son « sister ship »], il pourra emporter jusqu’à 36 F-35B et 4 hélicoptères AW-101 Merlin « ASaC » [Crowsnest airborne surveillance and control, c’est à dire l’alerte avancée]. À la différence des porte-avions américains et français, il ne dispose pas de catapultes pour lancer ses aéronefs… mais d’un plan incliné. Ce qui limite grandement l’interopérabilité avec l’US Navy et la Marine nationale.

Les Philippines envisagent d’acquérir six hélicoptères d’attaque auprès des États-Unis

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Quand Rodrigo Duterte arriva au pouvoir, en 2016, les Philippines prirent leurs distances avec les États-Unis, avec lesquelles elles entretenaient jusqu’alors une relation militaire très forte, et se tournèrent vers la Russie et la Chine, quitte à mettre en sourdine les différends territoriaux en mer de Chine méridionale, notamment ceux concernant le récif de Scarborough.

Cependant, l’offensive de groupes terroristes affiliés à l’État islamique, qui, en 2017, occupèrent la ville de Marawi [sur l’île de Mindanao] pendant plusieurs semaines, raviva la coopération militaire avec les États-Unis, ces derniers ayant dépêché des conseillers auprès des forces philippines.

Pour autant, malgré la menace jihadiste et les appétits de la Chine, qui lorgne désormais sur le récif philippin de Pag Asa, Manille a décidé, en février, de mettre un terme au « Visiting Forces Agreement » [VFA, accord sur les forces étrangères] qui, signé en 1998, donne un cadre légal à la présence de militaires américains dans l’archipel et permet l’organisation de manoeuvres conjointes avec les forces armées philippines.

« C’est une décision grave avec des implications importantes pour l’alliance entre les États-Unis et les Philippines. […] « Nous allons réfléchir avec soin à la meilleure façon de faire avancer nos intérêts mutuels », avait réagi, à l’époque, l’ambassade américaine à Manille. Cela étant, les deux pays sont toujours liés par un traité signé en 1951 et dont l’article 4 prévoit une clause de défense mutuelle

Quoi qu’il en soit, et malgré des relations distandues avec Washington, Manille envisage de se procurer six hélicoptères d’attaque de facture américaine. Mais, pour le moment, l’état-major philippin semble hésiter entre deux modèles, à savoir l’AH-64E « Apache » de Boeing et l’AH-1Z « Viper » de Bell Helicopters.

En tout cas, dans un avis publié le 30 avril, la Defense Security Cooperation Agency [DSCA], l’agence chargé des exportations d’équipements militaires américains, a recommandé au Congrès de ne pas s’opposer à la vente de 6 AH-64 ou de 6 AH-1Z aux Philippines.

Les montants des deux possibles contrats évoqués par la DSCA vont du simple au triple. Ainsi, les 6 AH-64E Apache sont proposés au prix de 1,5 milliard de dollars, avec des systèmes associés, des pièces détachées et, surtout, 200 missiles AGM-114 Hellfire, 1.700 roquettes de type APKWS [Advanced Precision Kill Weapon System] ainsi que 200 FIM-92H Stinger.

La facture serait moindre pour Manille dans le cas d’un achat de 6 AH-1Z « Viper » puisque la DSCA a évalué un « éventuel » contrat à 450 millions de dollars. La différence vient en partie de l’offre réduite en matière d’armement puisqu’il est question de seulement 6 AGM-114 Hellfire II et de 26 APKWS.

Dans les deux avis publiés, la DSCA souligne que, quel que soit le modèle retenu, la vente d’hélicoptères d’attaque aux Philippines « soutiendra la politique étrangère et la sécurité nationale des États-Unis en contribuant à améliorer la sécurité d’un pays ami qui continue d’être une force importante pour la stabilité politique, la paix et le progrès économique en Asie du Sud-Est. »

Et d’ajouter : « La vente proposée aidera les Philippines à développer et à maintenir de solides capacités d’autodéfense, de lutte contre le terrorisme et de protection des infrastructures essentielles. Les Philippines n’auront aucune difficulté à absorber cet équipement et ce soutien dans leurs forces armées. »

Jusqu’à présent, les États-Unis envisageaient de donner aux Philippines 8 hélicoptères d’occasion, dont 4 AH-1 Cobra [attaque] et 4 UH-60 [transport], ainsi que 5 avions C-12 Huron pour le transport et l’évacuation sanitaire.

« À l’avenir, nous achèterons également de nouveaux hélicoptères d’attaque légers, des hélicoptères de reconnaissance armés et des hélicoptères polyvalents de transport moyen. Ces atouts permettront à l’armée philippine de mener une meilleure gamme d’opérations aériennes pour soutenir les forces terrestres et être plus », avait cependant indiqué un officier philippin à One News, en février dernier.

D’après le chef de la diplomatie philippine, Teodoro Locsin Jr, les États-Unis auraient l’intention de fournir une aide militaire de plus de 200 millons de dollars en 2020 et 2021.

Entre 2016 et 2019, l’administration Duterte aurait, toujours d’après M. Locsin, bénéficié d’une aide améiricaine à la « sécurité » d’un montant 554,55 millions de dollars, dont 267,75 millions pour l’achat de matériels militaires.

L’armée chinoise confirme la mise en service du PCL-181, un nouveau canon automoteur de 155 mm

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Jusqu’à présent, les unités d’artillerie de l’Armée populaire de libération [APL] mettent en oeuvre six modèles différents de canons automoteurs, dont quatre montés sur des chenilles, à savoir le PLZ-05 [155 mm], le PLZ-82/83 [152 mm], le PLZ-07A [122 mm] et le PLZ-89 [122 mm].

Ces dernières années, deux obusiers montés sur des châssis à roue ont été mis en service, dont le PLL-09 [122 mm] et le PCL-09 [122 mm], dont le concept se rapproche du CAESAr [Camion équipé d’un système d’artillerie] français.

Or, un autre type de canon automoteur, conçu par Norinco et appelé PCL-181, s’est fait remarquer lors du défilé militaire organisé le 1er octobre dernier, à l’occasion du 70e anniversaire de la République populaire de Chine [RPC]. Et la chaîne publique chinoise CCTV a révélé qu’il avait déjà été mis en service, ce qui a été confirmé par l’APL, le 30 avril.

En effet, cette dernière a indiqué que des unités relevant de son commandement de théâtre oriental [qui fait face à Taïwan, ndlr] venaient récemment de recevoir leurs premiers exemplaires du PCL-181, dont on ne sait que peu de choses, si ce n’est qu’il s’agit d’un canon de 155 mm, monté sur le châssis 6×6 d’un camion militaire.

Le quotidien Global Times, qui suit la ligne du Parti communiste chinois, a surtout insisté sur la masse du PCL-181, laquelle serait de 25 tonnes [contre 17 à 18 tonnes pour la version du CAESAr en service au sein des forces françaises]. Cela « le rend beaucoup plus léger et plus rapide […] que l’ancien obusier automoteur qui utilise des chenilles et pèse plus de 40 tonnes », assure le journal, avant de souligner qu’il « peut également frapper cible à plus longue portée avec une puissance de feu accrue. » Seulement, aucun chiffre n’a été avancé sur ce point précis.

Toujours au sujet de la masse du PCL-181, un analyste militaire, cité par Global Times, a relevé qu’elle lui permet d’être transporté par de « gros avions de transport comme le Y-20, qu a une capacité de chargement de plus de 60 tonnes ».

« Un seul Y-20 peut transporter deux PCL-181 ou une combinaison d’un PCL-181 et d’un char léger type 15 de classe 30 tonnes, soit deux options qui offrent aux troupes de première ligne une puissance de feu immense […] ainsi que plus de souplesse tactique », a insisté cet analyste militaire.

Le PCL-181 est mis en oeuvre par six artilleurs, lequels prennent place à bord d’une cabine protégée et abritant des « panneaux de commandes numérisées ». Le chargement des obus est semi-automatique et sa cadence de tir serait de l’ordre de 4 à 6 coups par minute, ce qui est moins élevé que le CAESAr [6 à 8 coups par minute]. Sa portée maximale serait de 53 km [en utilisant des obus propulsés]. Enfin, il a été rapporté que ce canon peut tirer des munitions de précision, grâce à une technologie inspirée du système russe Krasnopol, dont la Chine a obtenu une licence de production à la fin des années 1990.

À noter que, pour l’exportation, Norinco a également mis au point le canon automoteur SH-15 de 155 mm, lequel a plusieurs composants en commun avec le PCL-181, à commencer par le châssis.

La Chine est prête à travailler ensemble avec l’Iran et la communauté internationale pour vaincre le COVID-19, déclare le président Xi

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Le président chinois Xi Jinping a déclaré lundi que la Chine était prête à travailler ensemble avec l’Iran et le reste de la communauté internationale pour renforcer la coopération anti-pandémie et obtenir la victoire finale contre le COVID-19.

M. Xi s’est exprimé ainsi au cours d’une conversation téléphonique avec son homologue iranien Hassan Rohani.

Au nom du gouvernement et du peuple chinois, M. Xi a fait part de toute sa sympathie et de son soutien ferme au gouvernement et au peuple iraniens qui luttent contre l’épidémie de COVID-19. Les deux pays, qui s’entraident mutuellement dans les bons comme dans les mauvais moments, ont pleinement démontré la profonde amitié entre les deux pays et leurs peuples qui les unit dans la bataille contre la maladie, a dit le président chinois.

Le peuple chinois se soucie de la lutte du peuple iranien contre l’épidémie depuis le début, a déclaré M. Xi, ajoutant que la Chine avait envoyé à la partie iranienne plusieurs cargaisons de matériel médical pour l’aider dans cette lutte, ainsi que la première de ses équipes d’experts détachées auprès de pays étrangers.

M. Xi a indiqué que le peuple chinois était disposé à continuer à travailler avec l’Iran en vue d’approfondir leur coopération pour lutter contre l’épidémie, à partager des expériences en la matière et à offrir l’aide de la Chine dans la limite de ses capacités. Le président chinois a dit estimer que sous la direction de M. Rohani, le peuple iranien vaincra bientôt le virus.

M. Xi a souligné que face à cette urgence de santé publique mondiale, la communauté internationale n’a pas d’autre choix que de mener des efforts concertés pour surmonter l’épidémie en renforçant sa coordination et sa coopération. Selon lui, les actions unilatérales ne font qu’entraver les efforts de l’Iran et de la communauté internationale pour contenir la propagation du COVID-19.

La partie chinoise soutient fermement le développement du partenariat stratégique global bilatéral et les efforts de l’Iran pour préserver sa souveraineté nationale et sa dignité, a affirmé M. Xi, ajoutant que la Chine est prête à travailler ensemble avec l’Iran et le reste de la communauté internationale pour renforcer la coopération anti-pandémie afin d’obtenir la victoire finale contre la maladie et de contribuer à la protection de la sécurité sanitaire publique mondiale.

M. Rohani s’est, quant à lui, déclaré ravi de voir que la Chine avait réussi à contrôler l’épidémie de COVID-19 sur son territoire, et a souligné que d’autres pays pourraient s’inspirer des expériences de la Chine en matière de lutte contre le virus.

Face à la pandémie, l’Iran et la Chine se sont toujours mutuellement soutenus, et l’amitié entre les deux peuples s’est renforcée, a-t-il ajouté.

La partie iranienne est profondément reconnaissante envers la Chine de lui avoir offert en temps opportun de précieux équipements de lutte contre la pandémie, a-t-il affirmé, soulignant que son pays était prêt à renforcer la coopération bilatérale dans le domaine de la santé et dans divers autres secteurs, et à continuer à développer leur partenariat stratégique bilatéral.

Dans la situation actuelle, les sanctions unilatérales illégales imposées à l’Iran devraient être levées immédiatement, a ajouté M. Rohani, soulignant que l’Iran souhaitait travailler de concert avec d’autres pays pour protéger conjointement le multilatéralisme, défendre l’équité et la justice internationales, ainsi que les droits légitimes de l’Iran.

Le président chinois SE Xi Jinping a publié un article sur la réduction de la pauvreté

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 Un article du président Xi Jinping sur la réduction de la pauvreté sera publié vendredi par la revue Qiushi.

L’article est un discours prononcé par M. Xi, qui est également secrétaire général du Comité central du Parti communiste chinois (PCC) et président de la Commission militaire centrale, lors d’un symposium sur la réduction de la pauvreté.

La réduction ciblée de la pauvreté est d’une grande importance pour la construction d’une société modérément prospère à tous égards à la date prévue, note l’article.

Depuis le 18e Congrès national du PCC en 2012, le Comité central du PCC a dirigé la bataille contre la pauvreté sur tous les plans et a obtenu les meilleurs résultats dans l’histoire de la réduction de la pauvreté du pays, selon l’article.

Les efforts d’éradication de la pauvreté ont atteint un niveau sans précédent en matière d’intensité, d’ampleur et d’impact, ouvrant un nouveau chapitre dans l’histoire de la lutte de l’humanité contre la pauvreté, d’après l’article.

L’article évoque les expériences importantes sous six aspects, dont le respect de la direction du Parti, les stratégies ciblées et la mobilisation sociale. Il appelle à reconnaître pleinement les difficultés et les défis dans la bataille contre la pauvreté, et à se préparer à y faire face et à les surmonter.

Avec le succès prévu de la lutte contre la pauvreté, la pauvreté absolue, un problème qui a miné la nation chinoise depuis des milliers d’années, sera résolue dans notre génération, déclare l’article.

JO de Tokyo 2020 : le chef du comité d’organisation dément un nouveau report des Jeux

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Le directeur général du comité d’organisation des Jeux olympiques (JO) de Tokyo 2020, Toshiro Muto, a déclaré jeudi à Tokyo qu’ils n’avaient aucun plan de repli en faveur d’un nouveau report ou de l’annulation des Jeux olympiques s’ils ne peuvent pas être organisés en 2021.

Au cours d’un point de presse en ligne, il a indiqué aux journalistes que « beaucoup de personnes nous ont déjà posé cette question. (Le comité d’organisation des Jeux de) Tokyo 2020 organisera les Jeux olympiques et paralympiques de juillet à septembre 2021. Nous menons des efforts soutenus pour préparer les Jeux ».

« C’est la position que nous avons adoptée et c’est notre réponse. »

Le Premier ministre Shinzo Abe a déclaré l’état d’urgence il y a deux semaines pour Tokyo, Osaka et cinq autres préfectures japonaises, avant de l’étendre à l’ensemble du pays le 16 avril.

Mercredi, un employé du comité d’organisation des Jeux de Tokyo 2020 a été confirmé positif au COVID-19, suscitant de nouvelles inquiétudes sur la tenue des JO après un report d’une année.

« Personne ne peut prédire quand le virus disparaîtra », a fait remarquer M. Muto. « Nous avons assez de temps jusqu’à juillet de l’année prochaine. Je pense que le gouvernement japonais et les gouvernements des autres pays du monde vaincront le virus. »

« Le Premier ministre Abe a proposé de reporter les Jeux d’une année. Il estime que la nature des Jeux olympiques serait changée s’ils étaient reportés de deux ans. »

M. Muto a poursuivi en expliquant que l’employé infecté, qui est actuellement en convalescence à domicile, travaillait chez lui depuis deux semaines et avait eu des contacts étroits avec seulement quelques personnes.

« Plus de 90% du personnel travaille à domicile et je pense que le télétravail fonctionne bien. »

Au sujet de la déclaration controversée sur le site internet du Comité international olympique (CIO) concernant les coûts supplémentaires de l’organisation de ces Jeux, M. Muto a affirmé que les deux parties s’étaient entretenues par téléphone mais n’a pas révélé si le CIO s’était excusé.

« Cette page web est inappropriée », a-t-il déclaré. « Elle a été effacée. Nous avons échangé nos points de vue par téléphone. Le CIO a rapidement géré ce problème. »

Le CIO avait provoqué la colère du comité d’organisation avec la publication d’une série de questions-réponses affirmant que le Japon prendrait en charge les coûts engendrés par le report des JO. Le comité d’organisation a fait part de son indignation et a demandé au CIO de retirer la publication.

M. Muto a ajouté que les deux parties poursuivraient leurs discussions à ce sujet.

Chine : la nouvelle génération de trains maglev passe un test à une vitesse de 160 km/h

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Une nouvelle génération de trains à lévitation magnétique (maglev) à vitesse modérée-faible, développée par la Chine, est capable d’atteindre une vitesse maximale de 160 km/h et a passé mardi un test à vitesse modérée dans la province du Hunan (centre), une étape importante avant sa mise en service officielle.

Le test qui dure dix mois a été mené par CRRC Zhuzhou Locomotive Co.,Ltd., le Centre de recherche technologique de maglev du Hunan et l’Université nationale des technologies de défense.

En tant que première ligne de maglev chinoise, la première génération de trains avec une vitesse maximale de 100 km/h a été mise en opération commerciale en mai 2016 à Changsha, capitale du Hunan.

La nouvelle génération de trains conçue en juin 2018 a une augmentation de 30% en termes d’efficacité de traction et de 60% en termes de vitesse, a précisé Tong Laisheng, chef de l’institut de recherche maglev de CRRC Zhuzhou Locomotive Co.,Ltd., le développeur.

Le nouveau modèle est adapté au transport entre la ville centrale et les villes satellitaires, alors que la première génération convient à une exploitation au sein d’une ville.

CRRC Zhuzhou Locomotive Co.,Ltd. accélère également le développement d’un modèle maglev plus avancé avec une vitesse maximale de 200 km/h, pour le transport inter-villes.

Guinée : William Bourdon et Vincent Brengarth veulent trainer Alpha Condé à la CPI

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Alpha Condé, né le 4 mars 1938 à Boké en Basse-Guinée, est un homme d'État guinéen. Il est président de la République de Guinée depuis le 21 décembre 2010

Depuis mercredi 29 avril 2020, Me William Bourdon et Vincent Brengarth, avocats au Barreau de Paris, ont saisi la Cour Pénale Internationale (CPI) pour des «faits de crime contre l’humanité en Guinée» sous la présidence d’Alpha Condé.

Ce signalement transmis à la cour pénale internationale à travers une documentation de 51 pages étaye dans les moindres détails, selon le pool d’avocats du Front national pour la défense de la constitution (FNDC), des faits d’exactions et de répressions politiques ayant conduit à des dommages humains et matériels graves susceptibles de revêtir la qualification de «crimes contre l’humanité». «En menant une répression violente contre l’opposition politique depuis plusieurs années, le gouvernement du Président Alpha Condé s’est en effet rendu coupable de violations graves et répétées de droits fondamentaux d’une partie de la population. Ces persécutions qui visent ces derniers mois le Front National pour La Défense de Constitution et ses partisans sont fondées sur des considérations politiques et ethniques, de nature à justifier la qualification de crimes contre l’humanité», relèvent William Bourdon et Vincent Brengarth.

En effet, l’article 15 des statuts de Rome ratifiés justement par la Guinée depuis juillet 2003, offre la possibilité au procureur d’ouvrir une enquête de sa propre initiative au vu de renseignements concernant des crimes relevant de la compétence de la CPI. Ensuite commence toute une procédure de vérification des informations de leur crédibilité pour éventuellement aboutir à l’ouverture d’une enquête par la cour qui, éventuellement, peut aboutir à une mise en accusation.

Même si la procédure est longue et peut probablement ne pas aboutir à l’objectif, les responsables du FNDC sont plutôt confiants: «nous avons estimé qu’il fallait faire recours au bureau du procureur de la CPI à travers des documents que nous avons constitués sur les cas de violation de défense des droits de l’homme. Des documents bien élaborés à Conakry tout comme à l’intérieur du pays. Notre attente est d’amener le procureur de la CPI à ouvrir une enquête préliminaire sur les crimes commis en Guinée avant, pendant et après le coup d’État constitutionnel du 22 mars 2020 dans un bref délai » a réagi Ibrahima Diallo.

Du côté du palais présidentiel de Sekhoutoureya, aucune réaction officielle pour l’instant face au déclenchement de cette procédure. Si elle venait à aboutir, cela n’augure rien de bon pour le régime d’Alpha Condé puisque les rapports d’enquête périodiques des institutions internationales des droits de l’homme sont tous aussi caustiques les uns que les autres sur les violations flagrantes des droits de l’homme en Guinée sous Alpha Condé. Sachant que l’ouverture éventuelle d’une enquête préliminaire pourrait s’appuyer sur les experts de ces différentes institutions des droits humains y’a de quoi s’inquiéter.