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HECATOMBE AU SEIN DU PARTI YELEMA : La Coordination de Diré rejoint à son tour la Codem

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Que restera-t-il du parti Yelema dans les semaines ou mois à venir ? Même pour les analystes politiques, il est difficile de répondre à cette question, d’autant plus que les velléités de départs pour la Codem se dessinent jours après jours au sein de plusieurs coordinations. En plus de Diré, Bankass, Koro, San, Tominian, Badiangara auraient également annoncé la couleur. Plus rien ne semble arrêter, l’explosion des frustrations de certains éminences grises accumulées pendant des années. Le manque de respect et un égo démesuré de Moussa Mara seraient à la base de cette situation compromettante pour l’existence de son parti. Du côté de la Codem, cette vague d’adhésion apparait comme du pain béni, car elle confirme le leadership du président Housseini Amion GUINDO et fait de lui la seule figure politique capable de rassembler le peuple malien dans le cadre d’un tournant générationnel bien accompli.

Aguissa Ahmadou

Exclusive:L’Arabie Saoudite prévoit de financer une raffinerie pétrolière et une usine pétrochimique en Afrique du Sud pour 10 milliards $.

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Nous pensions tous qu’Apple était la société la plus rentable au monde, jusqu’à ce que…
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(Ecofin Hebdo) – Le 1er avril 2019, les agences de notation ont révélé que Saudi Aramco, la société publique saoudienne du pétrole, a réalisé un bénéfice net de 111, 1 milliards de dollars, pour un bénéfice avant impôts de 224 milliards de dollars en 2018. Ceci, malgré la faiblesse des cours du pétrole. Un faux poisson d’avril qui va bouleverser les marchés et modifier la hiérarchie des plus importantes compagnies du monde.

Des chiffres vertigineux

Jamais une compagnie n’a été aussi rentable. Ces 111,1 milliards de dollars, c’est plus que le montant cumulé des bénéfices d’Exxon Mobil, Chevron, BP, Royal Dutch Shell et de Total sur la même période.

Ces 111,1 milliards de dollars, c’est plus que le montant cumulé des bénéfices d’Exxon Mobil, Chevron, BP, Royal Dutch Sell et de Total sur la même période. 

Jusqu’à la publication de ces chiffres, la société la plus rentable au monde était Apple, croyait-on. L’année dernière, par exemple, l’entreprise à la pomme a signalé un bénéfice net de 59 milliards de dollars. Des résultats financiers qui avaient choqué le monde, tant les montants évoqués étaient énormes. De fait, Saudi Aramco a réalisé presque le double sur la même période…

Mais pourquoi donc la compagnie ne dévoile ses chiffres que maintenant ?

D’entrée, il faut dire que depuis sa nationalisation dans les années 1970, la compagnie pétrolière a toujours nourri un grand silence autour de ses recettes. Ses résultats périodiques sont préparés et analysés par un groupuscule très influent de financiers et d’économistes proches du roi. Etant exclusivement contrôlée par la monarchie, elle n’est donc soumise à aucun contrôle extérieur. Plus de 60% des recettes de l’Etat proviennent de ses activités.

Il y a plusieurs mois, des sources proches de Saudi Aramco ont révélé qu’elle cherchait à racheter le mastodonte saoudien de la chimie Sabic (Saudi Basic Industries Corporation) pour une enveloppe de 69 milliards de dollars, une volonté officialisée peu après. Le besoin de cash estimé était alors de 10 milliards de dollars.

Selon l’économiste Steffen Hertog, spécialiste de l’Arabie Saoudite à la London School of Economics, les autorités ont compris que, malgré des caisses bien remplies, puiser dans les réserves aurait des conséquences négatives pour l’économie. Parmi les risques encourus, on parle de l’augmentation du déficit public.

Riyad a donc validé le recours aux marchés pour financer une telle acquisition. Il fallait donc, pour le pouvoir, se conformer aux exigences des investisseurs et dissiper tout soupçon d’activités opaques, pour lever les fonds. Ainsi, les agences de notation ont scruté les comptes de la société, d’où les chiffres publiés. Cette notation n’est toutefois que partielle, selon Fitch et Moody’s.

Une ouverture sur la plus grosse opération IPO du monde ?

La publication des résultats de Saudi Aramco pourrait, par ailleurs relancer la question de son introduction en bourse, mise en sourdine depuis quelques temps. En 2016, les réformes opérées par le jeune prince Mohammed Ben Salmane prévoyaient de céder une partie des parts de la société en 2018. L’idée était de lever plus de 100 milliards de dollars pour un nouveau fonds souverain, créant à cette occasion la société cotée la plus importante du monde.

Mohammed Ben Salmane

Le jeune prince Mohammed Ben Salmane voulait céder en bourse une partie du capital de Saudi Aramco.

La compagnie pourrait ainsi atteindre une valeur boursière de 2,5 trillions de dollars, soit plus du double de celle d’Apple. Mais le processus devant conduire à la finalisation de l’opération s’est enrayé. Les investisseurs doutaient jusqu’ici de la valeur de l’offre proposée, sans parler des réactions hostiles à l’industrie pétrolière, partout dans le monde, face aux dangers du changement climatique.

Quoiqu’il en soit, à l’annonce de ces résultats financiers, le marché s’est rué sur le carnet d’ordres, portant aussitôt la demande au-delà de la barre symbolique des 100 milliards de dollars. Puis elle est retombée à 92 milliards une fois l’opération clôturée, indique Bloomberg.

Au final, pour acquérir la Sabic, la société a facilement levé 12 milliards de dollars ventilés sur cinq tranches à 3, 5, 10, 20 et 30 ans. Les coupons fixes, quant à eux, s’étalent dans une fourchette comprise entre 2,75% et 4,375%.

Une emprise de géant sur le marché global

Aucun superlatif n’est suffisant pour décrire la présence de la firme dans la chaine de valeurs mondiale du pétrole. En effet, Saudi Aramco produit à elle seule 10% de l’offre mondiale de pétrole, soit environ 10,5 millions de barils par jour. C’est sept fois la production actuelle du Nigéria, premier producteur africain de pétrole.

Saudi Aramco produit à elle seule 10% de l’offre mondiale de pétrole, soit environ 10,5 millions de barils par jour. C’est sept fois la production actuelle du Nigéria, premier producteur africain de pétrole.

Le swing producer et chef de peloton de l’OPEP assure ainsi une production annuelle de 3,828 milliards de barils, dont 75% sont exportés. Selon l’Institut parisien de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS), elle est avec le Russe Gazprom, l’un des deux plus grands producteurs de pétrole et de gaz avec plus de 8 Mboe.

saudi aramco bourse

La compagnie pourrait atteindre une valeur boursière de 2,5 trillions de dollars.

Dans l’industrie du raffinage, Saudi Aramco est,avec les Etats-Unis, l’un des leaders avec près de 660 millions de barils traités chaque année dont environ 300 sont destinés au marché de l’export. Ses réserves de pétrole sont évaluées à 261,1 milliards de barils et celles de gaz naturel à 8458 milliards de m³. Ce qui lui offre la possibilité de production à un rythme soutenu sur encore plus de 60 ans. Le cauchemar absolu pour les défenseurs de l’environnement.

Ses réserves de pétrole sont évaluées à 261,1 milliards de barils et celles de gaz naturel à 8458 milliards de m³. Ce qui lui offre la possibilité de production à un rythme soutenu sur encore plus de 60 ans.

Depuis une dizaine d’années, la société créée en 1933, s’ouvre progressivement sur le reste du monde, loin de sa zone de prédilection, le Moyen-Orient. Récemment, ses responsables ont fait part de leur intérêt pour les marchés russe, américain et australien, avec un penchant particulier pour le gaz de schiste et l’électricité.

En Afrique, la société est pratiquement absente de l’amont pétrolier. Si ses responsables envisagent une plus grande ouverture sur le monde, le continent était, jusqu’à ce jour, peu évoqué. Cependant, l’Afrique commence à apparaître dans les plans de développement de Saudi Aramco qui livre déjà plus de 700 000 tonnes de produits pétroliers par mois à l’Egypte. Un accord qui va arriver à terme en 2021.

saudi arabia south africa ramaphosa

L’Arabie Saoudite prévoit de financer une raffinerie pétrolière et une usine pétrochimique en Afrique du Sud pour 10 milliards $.

Il y a deux semaines, des sources proches des ministères nigérian et saoudien du pétrole ont révélé que les deux pays, par le biais de leurs sociétés pétrolières respectives, préparent une base juridique pour encadrer une coopération. Ce partenariat devrait couvrir l’aval pétrolier et le gaz naturel liquéfié.

Cependant, Saudi Aramco livre plus de 700 000 tonnes de produits pétroliers par mois à l’Egypte. Un accord qui va arriver à terme en 2021.

Dans le but de devenir la plus grande entreprise énergétique intégrée du monde, la société a décidé d’investir massivement dans l’aval pétrolier. Pour cela, un accord a été signé entre l’Arabie Saoudite et l’Afrique du Sud en janvier dernier, qui verra la construction d’une raffinerie pétrolière et d’une usine pétrochimique dans le pays de Mandela. Les investissements cumulés de ces deux projets pourraient avoisiner les 10 milliards de dollars.

Olivier de Souza

Mali: Usurpation foncière, un faux colonnel de la gendarmerie et un chinois du nom de M. Liu CHUANYI veulent escroquer un paissible citoyen de son immeuble.

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Disposition de bien d’autrui, dépossession frauduleuse, faux et usage de faux, escroquerie qualifiée le chinois Liu CHUANYI et un faux colonel de la gendarmerie lime M. Mahadi TRAORE de son immeuble après la fin de session d’un contrat de bail.


Incroyable mais vrai, la justice Malienne soumet un paisible citoyen Malien et son propre bien a une contrainte sous ordonnance de référée à un chinois du nom de Liu CHUANYI.


De quoi sagit il ? Selon notre source corcondante, « Monsieur M. Mahadi TRAORE est propriétaire d’un immeuble de Trois Etage à Niamakoro sur la route de l’aéroport qui se décrit comme suite :
Rez de chaussé (RDC) avec 7 Chambres + annexe + dépendance, 1er Etage avec 6 chambres + annexe et réduits, 2ème Etage avec 6 chambres + annexe et réduits
3ème Etage avec 6 chambres + annexe et réduits » dit-il.

  • Notre source nous explique les contenus de la clause spéciale du contrat de bail. En effet, l’immeuble a été construit par ses soins sur fond propre et sur son Titre de propriété régit en commune 6 du district de Bamako.

  • Selon la même source, « dès la réception de son chantier fini, son Immeuble est convoité par Monsieur Liu CHUANYI pour en faire un Hôtel. Un contrat de Bail est établit avec une durée de Trois ans (3 ans) a compté du 1er /03 /2013 pour se terminer le 26 /09/2017.

  • Une fois terminée, la construction, le calvaire de Monsieur Mahadi TRAORE commence, et le contrat de bail date de 2017 quand, il a décidé de mettre fin à la clause de Bail avec Liu CHUANYI.

  • Sur un préavis et une demande de fin et non renouvellement de contrat M. Liu CHUANYI poursuit Monsieur Mahadi TRAORE au tribunal de la commune 5. Le Procureur DOUMBIA sans ouvrir une information judiciaire impose à M. Traoré laissé son immeuble à Liu CHUANYI pour renouvellement et de le réintégré l’immeuble Immédiatement sous astreinte.

  • Par suite un huissier est commis d’office pour réintégré Liu CHUANYI dans les locaux de Monsieur TRAORE sans son accord avec sommation et intimidation. Un Faux Contrat Nouveau pour réintégration est brandit, avec imitation de signature faux, et qui réagit usage de faux au Tribunal de commerce. Le procureur DOUMBIA et les avocats de Liu CHUANYI remontent le dossier au tribunal de commerce auprès d’un juge d’instruction sous astreinte de payer 400 000F par jour en cas de refus de réintégration de Liu CHUANYI.
  • Monsieur Mahadi TRAORE n’a pas signer un nouveau contrat, et demande son bien après trois ans de bail. Mais la justice se fait partie civile pour Liu CHUANYI et le force à satisfaire de force Liu CHUANYI. Selon nos source, « son Immeuble est devenu un ballais des avocats, huissier et gendarme sous sanction ou relever de service pour faute lourde ».

  • Comment un Malien, un Malien se voit rabaissé dans son propre pays par la justice de son pays pour un chinois qui veut le déposséder de son bien, de la façon frauduleuse?

  • En suite, « le juge d’instruction du tribunal de commerce a pris une ordonnance de référé sous astreinte contre Monsieur Mahadi TRAORE pour une sommes de 126 .000 .000F CFA (Cent vingt six million de franc )
    et cela sans attendre la dite grosse sera exécutée par un Faux Colonel du nom de Alou TOURE pendant Trois
    Jours avec une innervation musclée.
    Plus de 30 hommes avec fausses identités saisisse le locale pour Liu CHUANYI », nous affirme un temoin.

  • Aux dires de nos sources, « c’est l’Avocat Sidiki Zana KONE et l’huissier Alou TRAORE par son collaborateur Sow, ont sommé M. TRAORE de payer la somme de 126 800 000F CFA sous la base du référé d’ordonnance » a-t-il temoigne un proche du dossier sous l’anonymat.

  • Mecontent, faché, Monsieur Traoré saisie les éléments du 11ème Arrondissement pour vider ses locaux et jouir de son droit. Ce qui met frein à Alou TOURE et ses éléments dans leur coup de force contre la Famille TRAORE.
    Ou va ce pays avec de tel comportement.

  • Un bras de fer opposerait la Famille TRAORE et Liu CHUANYI qui d’ailleurs est surpris la notification de TRAORE pour appel au tribunal de la cours d’appel.

  • Notre pays va mal et de plus en plus mal pour des comportements ignobles, de la justice arbitraire et surtout du faux et usage de faux contre les fils de ce pays.

  • En réalité, Monsieur Mahadi doit rentrer dans son droit et indemnisé pour tous les maux et a tous les niveaux.
    Cette histoire se poursuit depuis 2017 nous vous y reviendrons pour la suite.

  • Source: Redaction Croissanceafrique.com

Mali: L’homme d’affaire M. Aliou Boubacar Diallo, annonce avoir cédé ses actions dans Wassoul’Or à de nouveaux actionnaires

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Voici sa declaration publiée par Croissanceafrique.com

J’ai l’honneur de vous communiquer ce message que j’ai partagé avec l’ensemble du personnel de Wassoul’Or S.A. à l’occasion de la cession de mes parts dans la société:

« Message à l’attention de l’ensemble du personnel de Wassoul’Or:

La société Wassoul’Or que j’ai eu l’honneur de créer et de diriger pendant plusieurs années est à un tournant de son existence.

Pendant ces années, que de chemin parcouru !

Ce projet, que beaucoup croyaient utopique, je l’ai porté contre vents et marées avec parfois une hostilité de prédateurs et des entraves de toutes sortes. Jour après jour ; pierre après pierre, nous avons tracé notre chemin. Durant toute la période de recherche, avant même le début de la production industrielle, nous n’avons jamais oublié les communautés villageoises auxquelles nous avons apporté aide et assistance multiformes.

Ce projet je l’ai mené à son terme en commençant la production industrielle de l’or. Avant même l’introduction de la cyanuration sur tous le minerai traité, nous avons dépassé une tonne d’or produite avec un procédé essentiellement gravimétrique.

Pionnier dans ce secteur, avec votre aide, j’ai eu l’honneur, le privilège et aussi le mérite d’être le 1er malien arrivé à ce niveau d’exploitation industrielle de l’or. Ce mérite et cette place n’ont pas été offerts sur un plateau d’argent !
Jours et nuits, je me suis consacré corps et âme à ce projet. Je me suis battu pour son aboutissement, sans repos, ni répit, mais pas sans risques pour ma vie de famille. J’ai eu la chance et le mérite de le concrétiser grâce à vous tous. Vous les travailleurs de Wassoul’Or ! Par dizaines et dizaines et maintenant par centaines et centaines, nous avons relevé ensemble ce défi.

Certains travailleurs ont trouvé en Wassoul’Or un véritable plan de carrière. J’ai fait du chômage des jeunes une préoccupation majeure en recrutant aussi bien du personnel qualifié que non qualifié. Nous avons offert à plusieurs d’entre eux leur 1er emploi. Certains travailleurs débutants ont évolué en catégorie, en qualification jusqu’à la retraite.

Je disais à l’entame de cette adresse, que Wassoul’Or arrive à un tournant de son histoire.
En effet, j’ai l’honneur de vous annoncer que j’ai cédé mes actions dans Wassoul’Or à de nouveaux actionnaires et que je quitte la Direction de la société. J’ai confiance en la capacité des nouveaux responsables et j’ai pu mesurer l’importance et l’intérêt qu’ils accordent au projet Wassoul’Or.

Leur volonté affichée d’introduire la cyanuration, à l’image de ce que toutes les autres mines d’or font au Mali, permettra d’augmenter le taux de récupération et de pérenniser ainsi l’exploitation du site principal et des satellites.

Pendant toutes ces années, j’ai pu mesurer votre sérieux au travail et votre sens de responsabilité. Je vous demande de continuer d’aimer votre travail, d’avoir une conscience professionnelle élevée auprès de vos nouveaux dirigeants et de les servir avec loyauté.

Notre pays, le Mali, renferme d’énormes potentialités minières. A l’instar du rôle que j’ai joué pour l’aboutissement du projet Wassoul’Or, j’invite d’autres compatriotes à s’investir dans ce domaine pour l’essor socio- économique de notre cher Mali.

De tout mon cœur, je souhaite à tous mes compatriotes qui investissent déjà ou qui souhaitent investir dans ce secteur, beaucoup de réussite et plein de succès, en espérant qu’ils pourront mettre leurs projets en production puis les céder afin de mettre de nouvelles mines en production.

De cette façon, le Mali aura plus de mines en production, plus de valeur ajoutée et plus d’emplois créés.

Pour ma part, j’ai d’autres projets et de nouveaux défis à relever pour le Mali et pour le bien être des maliens.

Qu’Allah continue de nous guider ! Amine.

Je vous remercie et vous souhaite bonne chance.

Aliou Boubacar Diallo »

Classement Forbes 2019: Une bonne année pour le Zimbabwéen Strive Masiyiwa

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Moins de milliardaires, mais plus riches en moyenne. C’est ce qui ressort du classement des grandes fortunes africaines du magazine Forbes. Si l’Africain le plus riche reste Aliko Dangote (10,3 milliards de dollars), la deuxième place revient à son compatriote, le magnat des télécoms Mike Adenuga (9,2 milliards de dollars).

Le magazine américain a publié le 9 janvier une actualisation de son classement des milliardaires africains. Comme depuis huit ans, cette liste est dominée par le géant du ciment nigérian Aliko Dangote, dont la fortune atteint 10,3 milliards de dollars. Sa fortune a cependant reculé de 2 milliards de dollars en un an, en raison de la chute d’environ 20 % du prix des actions de Dangote Cement.

Sur le continent, le nombre de milliardaire a reculé de 23 en 2018 à 20 en 2019, notamment en raison de la chute des cours boursiers et de l’affaiblissement des monnaies africaines. Quatre hommes d’affaires sont sortis du classement cette année, tandis qu’un seul y est revenu après une absence de quatre ans. Tous, sauf quatre, voient leur fortune en baisse par rapport à douze mois auparavant.

Recul de 8,8 %

D’un point de vue global, la fortune des 20 milliardaires africains atteint 68,7 milliards de dollars, contre 75,4 milliards de dollars l’an dernier, soit un recul de 8,8 %. En revanche, la richesse moyenne des milliardaires africains a légèrement augmenté, passant de 3,3 milliards de dollars en 2018 à 3,4 milliards de dollars en 2019.

Avec une fortune estimée à 9,2 milliards de dollars, la seconde place du classement échoit au Nigérian Mike Adenuga, propriétaire de Globalcom, le deuxième opérateur mobile du Nigeria, ainsi que de la société d’exploration pétrolière Conoil. Sa fortune a fait un bond de 3,9 milliards de dollars au cours des douze mois écoulés, en raison « des informations plus détaillées qu’il a fournies sur son patrimoine ».

Haut du formulaire

Le podium est complété par le Sud-Africain Nicky Oppenheimer, qui occupait auparavant la deuxième place. Ancien dirigeant de l’entreprise De Beers, il a revendu en 2012 ses parts dans le groupe diamantaire au géant minier Anglo American. La fortune de Nicky Oppenheimer est estimée à 7,3 milliards de dollars, contre 7,7 milliards de dollars en 2017.

Une bonne année pour le Zimbabwéen Strive Masiyiwa

L’un des rares tycoons africains à s’être enrichi cette année est le Zimbabwéen Strive Masiyiwa, dont la fortune est passée de 1,6 milliard de dollars à 2,3 milliards entre 2018 et 2019, en raison de la hausse du prix de l’action d’Econet Wireless Zimbabwe et d’un investissement du brittanique CDC dans Liquid Telecom, qui a augmenté la valeur de sa participation.

Si les Sud-Africains Stephen Saad (Aspen Pharmacare), Desmond Sacco (Assore Group) et Christo Wiese (Pekpor, ex Steinhoff), ainsi que l’Égyptien Onsi Sawiris, sont passés sous la barre du milliard de dollars, le Nigérian Abdulsamad Rabiu, à la tête du conglomérat BUA Group (ciment, sucre), fait son grand retour dans le classement pour la première fois depuis 2015, avec 1,6 milliard de dollars.

Issad Rebrab conserve sa sixième place

Issad Rebrab (Cevital) conserve sa sixième place, avec une fortune en légère baisse, à 3,7 milliards de dollars en 2019 contre 4 milliards de dollars en 2018. Le ministre marocain de l’Agriculture et de la Pêche maritime, Aziz Akhannouch (Akwa Group), recule de la douzième à la treizième place, avec 2,1 milliards de dollars, tandis que son compatriote Othman Benjelloun, le président de Finance.com, se maintient à la quinzième place, avec 1,7 milliards de dollars.

Le classement Forbes des milliardaires africains ne compte toujours que deux femmes, l’Angolaise Isabel dos Santos (8e place) et la Nigériane Folorunsho Alakija (15e place). La fortune de la fille de José Eduardo dos Santos a reculé de 400 millions de dollars pour atteindre 2,3 milliards de dollars, en raison de la baisse de la valeur de ses participations dans les entreprises Galp (pétrole) et Nos (communication), et de la situation de l’opérateur mobile angolais Unitel, en conflit avec l’un de ses actionnaires.

Urgent: LE DRAPEAU MALIEN TRAÎNÉ PAR TERRE ET BRÛLÉ A KIDAL .

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Aujourd’hui 17/07/2019 a kidal est organisé une grande manifestation par les jeunes, les femmes et quelques notabilités. L’objectif de ladite manifestation est d’empêcher a la délégation des députés maliens venue a kidal de faire flotter le drapeau du Mali dans les endroits tel que :le Gouvernorat, l’assemblée et le camp qui abrite le MOC.


Tôt ce matin la manifestation s’est dirigée vers le Gouvernorat de kidal ou elle a ordonnée au protocole du gouverneur d’enlever le drapeau du Mali qui s’y trouve.


Le dit drapeau est traîner a terre par tout a kidal et ensuite brûler en public, une manière selon les manifestants de dire que la population de Kidal en particulier et celle de l’Azawad en générale ne veux plus du Mali. Le retour immédiat au Mali de la délégation des députés est ordonné par les manifestants sinon des conséquences pourrait résulter de leur entêtement.
Désormais, on peut apercevoir les drapeaux de l’Azawad flottés au dessus du Gouvernorat de Kidal sous les yeux de la communauté internationale.

RT

Par Croissanceafrique.com

CAISSE MALIENNE DE SECURITE SOCIALE : Un challenge sur mesure pour Mme Diéminatou Sangaré

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La CMSS vient d’avoir pour Directrice Générale Mme Diéminatou Sangaré. Inspectrice de sécurité sociale, elle est parfaitement dans son élément où ses 27 ans d’expérience dans le milieu l’aideront dans ses nouvelles fonctions. 


C’est un important challenge pour celle qui prend désormais les rênes de la Caisse Malienne de Sécurité Sociale à un moment où le renouveau dans la gestion des affaires publiques est une exigence. 
Nul doute que les brillants parcours académique et professionnel de Mme Diéminatou Sangaré seront un atout pour réussir sa mission. Elle qui a passé la quasi-totalité de sa carrière professionnelle dans le domaine de la sécurité sociale, saura faire siens les principes de rigueur qui caractérisent la gouvernance au sein de cette structure.


Auparavant la désormais Directrice Générale de la CMSS, juste après avoir décroché en 1991 son diplôme d’Ingénieure économiste à l’Institut des Ingénieurs Economistes de Léningrad, actuelle Université d’État de Saint-Pétersbourg d’Ingénierie et d’Économie, fut la chargée des études et des statistiques au service informatique et de la statistique de l’INPS. 
Avant de faire son entrée dans l’administration malienne, Mme Diéminatou Sangaré passera d’abord à l’Université d’État de Tachkent en Ouzbékistan où elle effectua de 1985 à 1986 son année préparatoire de langue Russe. Elle approfondira sa connaissance en système de gestion de bases de données relationnelles 1997, 1998 et 1999 au Canada et à Bamako. 


De 1997 à 2003, elle a été Cheffe Adjointe du service de l’informatique et de la statique de l’INPS dont elle prendra la tête de 2003 à 2011.


Inspectrice de la sécurité sociale depuis 2001, la nouvelle patronne de la CMSS a été sollicitée hors des frontières du Mali. La forte implication et sa maîtrise des systèmes d’information de la Sécurité sociale ont motivé cet appel qui met en avant l’expertise malienne. C’est ce qui explique que l’Inspectrice de sécurité sociale soit en 2014 membre du comité d’experts en charge de la mutualisation des systèmes d’information des Organismes de Prévoyance Sociale des pays membres de la zone CIPRES. 


Son expertise s’illustre par le fait qu’elle soit partie renforcer ses capacités à travers le continent. Diéminatou Sangaré a intégré en 1999 le Centre Régional Africain d’Administration du Travail (CRADAT) à Yaoundé, pour des cours de perfectionnement des cadres supérieurs des institutions nationales de sécurité sociale. 


Ensuite ce sera le Centre Ivoirien de formation des Cadres de Sécurité Sociale qui la verra intégrer ses rangs en 2001 où elle sortira Major de la 11ème promotion des lieux. Le second de cette formation la conduira à l’Ecole Normale Supérieure de Sécurité Sociale de Saint Etienne en France. Là aussi notre compatriote de 53 ans écrasera la concurrence en s’imposant première du second cycle de la formation des cadres supérieurs de sécurité sociale. 
Son passage au cours de cette formation au sein de la Caisse Nationale de Prévoyance Sociale de la Côte d’Ivoire et de la Mutualité Sociale Agricole de Reims en France lui ont permis de renforcer ses connaissances pratiques des différents aspects de la gestion des organismes de protection sociale.


Mme Diéminatou SANGARE a également participé activement à différents ateliers de formation de la CIPRES, s’imprégnant ainsi des principes de gouvernance qui s’appliquent aux Organismes de Prévoyance Sociale de la zone CIPRES. 
C’est dire que le casting est indiqué pour sa nouvelle mission après 10 années au compte de la CANAM. Jusqu’à son arrivée à la tête de la CMSS, Mme Diéminatou Sangaré était la Directrice des systèmes d’information de la Caisse Nationale d’Assurance Maladie.


Une polyvalence qui sera utile pour conduire à bon port son challenge post CANAM.

DBKONE

Source: Croissanceafrique.com

Horizon 2019- 2023: Plus de 72 milliards F CFA seront injecté dans la planigication familiale pour « sauver des vies »

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L’Hôtel Salam, a abrité le lancement officiel de plan d’action national budgétisé de la planification familiale au Mali 2019-2023, ce mardi 16 juillet 2019. Sous la présidence du ministre de la santé et des affaires sociales.


‹‹ Investir dans la planification familiale c’est sauver des vies ! C’est contribuer au développement durable.››, ceci était la thématique de ce lancement.
L’objectif stratégique est d’augmenter le taux de prévalence contraceptive des méthodes modernes de 16℅ en 2019 à 30℅ à l’horizon 2023 pour les FAP.
Le ministère de la santé et des affaires Sociales a développé ce plan d’Action National Budgétisé de Planification Familiale pour servir de cadre de référence à toutes les intentions de promotion et d’offre de services de Planification Familiale de 2019 à 2023. Élaboré de façon participative, ce document national souligne l’importance de la mise en oeuvre d’une approche multisectorielle et inclusive permettant à divers acteurs d’apporter leurs contributions à l’atteinte de l’objectif ambitieux de prévalence contraceptive moderne de 30℅ d’ici 2023.
Le coût total de la mise en oeuvre du plan d’action national budgétisé s’élève à 72186854 157 Franc CFA.
Ce PANB a été élaboré autour de six priorités stratégiques qui sont entre autres :

  • Créer la demande auprès des populations notamment chez les jeunes, adolescents, femmes et hommes y compris en contexte humanitaire en développant un partenariat stratégique avec les élus locaux, les leaders communautaires et religieux, Accroître l’offre des services de PF de qualité y compris en contexte humanitaire à travers le renforcement des interventions à haut impact et le développement des partenariats public privé, Assurer la sécurisation des produits et intrants PF à travers le respect des engagements financiers, l’amélioration de la qualité des données logistiques, le renforcement des capacités des ressources humaines et de la disponibilité des produits et intrants jusqu’à dernier Km, créer un environnement habilitant à la PF comme moyen de lutte contre la mortalité maternelle, néonatale et infantile et pour contribuer à l’atteinte du dividende démographique à travers le renforcement de la multisectorialité, de l’ancrage institutionnel, de l’implication des responsables au plus haut niveau, de l’application des textes juridiques et politiques, Renforcer l’engagement de l’État par l’augmentation du budget national alloué au programme de PF y compris l’achat des produits contraceptifs et la mobilisation des ressources des collectivités, celles des PTF et du secteur privé, Renforcer la coordination des interventions à tous les niveaux, sous le leadership du MSHP, par la mise en place des comités de coordination et de suivi du PANB au niveau des régions et des districts, la compilation, l’analyse, la remontée et l’utilisation des données pour la prise de décisions, Madame Josiane Yakibo, a salué au nom de tous les partenaires cet ambitieux objectif qui a le taux de prévalence contraceptive des méthodes modernes de 16℅, Elle a réitéré ensuite, au nom de tous les partenaires pour leurs accompagnements et engagements, financièrement que techniquement, Ministre de la santé et des affaires sociales, M. Michel Amallah Sidibé, pour sa part, dira que ‹‹ la planification familiale est plus qu’indispensable, aujourd’hui.›› Pour lui, la planification est l’une des stratégies les plus efficientes pour sauver les vies, Il dira ensuite, que ‹‹ Depuis 1990, en Amérique la mortalité maternelle a baissé 26 ℅ et 20℅ en Asie et 2℅ en Afrique du Sud du Sahara ››, a-t-il affirmé. Il a dit que le taux de prévalence contraceptive des méthodes modernes de 16℅ à l’objectif 15℅. Que de nombreux défis persistants existent à hauteur d’un coût total de plus 72 milliards de francs CFA.
  • Hamadoun Alphagalo
  • Source: Croissanceafrique.com

UCCI G5 SAHEL: Bamako abribe la première réunion

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1ere Session de la réunion de Bureau de l’Union des chambres de commerce et d’industrie du G5 Sahel ( UCCI G5 SAHEL ), a eu lieu à l’hôtel Sheraton, ce lundi 15 juillet 2019. La cérémonie d’ouverture a été présidée par ministre de l’industrie et de commerce, M. Mohamed Ag Erlaf.


M. Youssouf Bathily, président de chambres de commerce et d’industrie du Mali, s’est dit ravie que le choix porté sur le Mali pour abriter cette réunion.
Il nous a informé que ‹‹ En créant l’UCCI-SAHEL sous l’impulsion de la Chambre sœur de la Mauritanie, montrent leurs préoccupations et leurs soucis pour leurs ressortissants qui sont les principales victimes de la crise sécuritaire qui frappe de plein fouet région sahélienne. Notre pays, le Mali est l’une des victimes de cette crise multidimensionnelle.››
Pour lui, la mise en place de cette organisation commune, les chambres consulaires de l’espace G5 Sahel, manifestent leur volonté d’accompagner les chefs d’État dans la stabilisation de la région sahélienne en participant activement à la mise en œuvre des projets économiques et sociaux.
Il faut noter le chômage et la pauvreté attisent à l’aggravation de l’insécurité, de ce fait, L’UCCI-SAHEL, contribue à lutter contre ce phénomène dans l’espace du G5 Sahel, sur cette lancée, M.Bathily, président des chambres de commerce et d’industrie du Mali, explique ‹‹ Elles ont compris que l’insécurité est le résultat de la misère des populations, de l’insuffisance de l’emploi qui plonge nos jeunes dans l’oisiveté et les pousse facilement à se jeter dans la méditerranée pour en mourir par millier à la recherche d’un hypothétique emploi.››
Il dira ensuite ‹‹ Cette préoccupation situation économique est la conséquence directe de cette crise sécuritaire qui crée les conditions idéales, facilitant ainsi l’enrôlement de nos jeunes dans les réseaux mafieux et terroristes.››
A défaut de vaincre les terroristes, il a dit ceci ‹‹ Si les dispositions économiques ne sont pas prises pour lutter farouchement contre la pauvreté, le chômage des jeunes, on ne vaincra jamais l’insécurité.››
Partant de cela, il n’a caché sa conviction ‹‹ J’ai la ferme conviction que si nos autorités et notre Union se mettent ensemble pour affronter la crise multidimensionnelle, chacun jouant pleinement son rôle, nous vaincrons inévitablement la crise sécuritaire au moyen d’un développement économique équilibré, créateur de richesse et de promotion d’emplos qui nous offrira, j’en sûr la paix et la stabilité, ›› a-t-il exprimé.
Il a adressé la cordiale bienvenue à ses homologues délégués des membres du bureau de l’Union des Chambres de Commerce et d’industrie du G5 Sahel et leur a
demandé de passer un agréable séjour au Mali.
Pour le ministre Mohamed Ag Erlaf, le choix porté sur le Mali pour abriter cette réunion du Bureau de L’UCCI-SAHEL, honore tout le peuple du Mali.
Il a dit ‹‹ J’ai noté avec satisfaction votre volonté à participer au développement économique à la lutte contre le chômage et la pauvreté et la fluidité des échanges sur les différents corridors de l’espace G5 Sahel. Il dira aussi que le gouvernement du Mali s’en réjouit d’autant plus que cet engagement, est pris au moment où nous célébrons le lancement officiel, par les Chefs d’État et de gouvernement de la Zone Libre Échange Continentale Africaine ( ZLEAF ) 7 juillet 2019 à Niamey.
Il a réitéré, à L’UCCI-G5 SAHEL, le soutien du gouvernement et son accompagnement dans la mise en oeuvre du vaste et noble chantier économique qu’elle envisage.
Cette réunion était pour deux jours, après les discussions ils ressortiront des recommandations pertinentes.

Amadoun Alphagalo

Le Khalife de Sergine Fallou Mbacké prie pour IBK et le Mali

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Le Président de la République, Chef de l’Etat , Son Excellence Monsieur Ibrahim Boubacar KEÏTA a reçu en audience en fin de journée du 16 juillet au Palais de Koulouba, Sergine Abo Mbacké, petits fils de Cheick Ahmadou Bamba, fondateur du Mouridisme. Accompagné de l’Ambassadeur du Sénégal au Mali et ses collaborateurs, il était venu rendre une visite de courtoisie à IBK qu’il considère comme un homme de paix .

Après avoir évoqué avec IBK les liens séculaires de fraternités entre le Mali et le Sénégal , Sergine Abo Mbacké a fait des prières pour le Chef de l’Etat et sa famille , tout le peuple malien et le Mali. « Ce qui touche le Mali , impacte le Sénégal » a souligné l’Ambassadeur de la République du Sénégal au Mali.

Cellule de Communication et des Relations Publiques de la Présidence de la République