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Mali: 181 migrants en situation de détresse de retour, en provenance de la Libye

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C’etait ce jeudi 28 Mars 2019, le Gouvernement du Mali, à travers le Ministère des Maliens de l’Extérieur et de l’Intégration Africaine, en collaboration avec l’Organisations internationale pour les migrations (OIM), a volontairement rapatrié 181 maliens en situation de détresse en Libye.

Pour des conditions de vie très difficiles dont la non facilitation pour l’échange de monnaie, le refus de payer leur travail, la maltraitance etc. , ils sont 181 maliens a avoir décidé de quitter la Libye aujourd’hui d’où le retour volontaire. Ce retour, pour nos compatriotes, était inimaginable. À l’image de Faniamé Nomoko, un ressortissant du cercle de Kita, commune de Tambaga, qui nous avoue avoir fait 7 fois la prison de 2014 à nos jours et qu’il n’a souvent jamais reçu à trouver son argent après avoir fait le travail avec certains libyens.  » Je ne permettrai jamais à aucun membre de ma famille ou à aucun malien d’aller migrer encore en Libye « , a-t-il souhaité. Ce retour devient aujourd’hui un rêve pour eux car, ils l’ont cru dès leur arrivée à l’aéroport International Modibo Keita Bamako-Senou gràce au concours du gouvernement malien et son partenaire (OIM).

À leur descente d’avion aux environs 21 heures, nos compatriotes ont été accueilli par le chef de Cabinet du Département en charge des Maliens de l’Extérieur Moussa Aliou Koné. C’était en présence du Délégué Général des Maliens de l’Extérieur Amadou Diakité et de représentants de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM).


Selon le Chef de Cabinet du ministre des Maliens de l’Extérieure et l’Intégration Africaine, ces migrants maliens sont majoritairement retournés de deux grandes villes de la Libye à savoir : Tripoli et Sabaha. Moussa Aliou Koné a également souligné que les particularités de ce retour de nos compatriotes, étaient que 39 enfants de 0 à 12 ans et 18 bébés de 0 à 2 ans se trouvaient à bord de l’avion qui les a transportés pour le Mali. Aussi, parmi eux, on déplore des malades dont une fracture de bras et de jeunes qui auraient besoin de traitement psychologique afin d’éviter d’autres maladies graves.

Daouda Bakary Koné

Source : Croissanceafrique.com

Urgent: Un ex-agent des renseignements français tué par balles en Suisse

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Le corps d’un ex-agent des renseignements français, mis en cause dans un complot d’assassinat visant un opposant congolais, a été retrouvé criblé de balles, la semaine dernière.

Daniel Forestier avait été mis en examen dans un projet d’assassinat de Ferdinand Mbaou, un opposant à Dennis Sassou-Nguesso, le président du Congo.

Son corps a été retrouvé avec cinq impacts de balle, à la tête et au cœur.

Cet ancien agent des renseignements français a passé 14 ans à la Dirla sécurité extérieure (DGSE), les renseignements extérieurs français.

En septembre dernier, il a été accusé, avec un ancien collègue de la DGSE, de comploter en vue de l’assassinat du général Ferdinand Mbaou.

Lire aussi :

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Daniel Forestier, auteur de plusieurs romans d’espionnage, avait nié toute implication dans un complot contre le général Mbaou.

Le général Mbaou, considéré comme un opposant au président Sassou-Nguesso, vit en France depuis 20 ans. Il y a trois ans, il avait reçu une balle dans le dos.

Les avocats de M. Forestier et de son collègue affirment que les deux hommes craignaient pour leur sécurité, après que des informations sur le complot présumé et leurs identités ont été partagées sur les médias sociaux.

Source : BBC Afrique

MALI: COMMUNIQUE DU CONSEIL DES MINISTRES DU JEUDI 28 MARS 2019

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Le Conseil des Ministres s’est réuni en session ordinaire, le jeudi 28 mars 2019 dans sa salle de délibérations au Palais de Koulouba sous la présidence de Monsieur Ibrahim Boubacar KEITA, Président de la République.

Après examen des points inscrits à l’ordre du jour, le Conseil a adopté :

  • des projets de texte ;
  • et procédé à une nomination.

AU CHAPITRE DES MESURES LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES

AU TITRE DU MINISTERE DE L’INNOVATION ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE

Sur le rapport du ministre de l’Innovation et de la Recherche scientifique, le Conseil des Ministres a adopté un projet de décret fixant le cadre organique de la Direction des Finances et du Matériel du Ministère de l’Innovation et de la Recherche scientifique.

La Direction des Finances et du Matériel a pour mission d’élaborer les éléments de la politique nationale dans les domaines de la gestion des ressources financières et matérielles et de l’approvisionnement des services publics relevant de ce ministère.

L’adoption du présent projet de décret vise à doter, pour les cinq prochaines années, la Direction des Finances et du Matériel du Ministère de l’Innovation et de la Recherche scientifique en personnel nécessaire pour la mise en œuvre de ses missions.

AU TITRE DU MINISTERE DE L’ELEVAGE ET DE LA PECHE

Sur le rapport du ministre de l’Elevage et de la Pêche, le Conseil des Ministres a adopté des projets de texte relatifs à la création, à l’organisation, aux modalités de fonctionnement et au cadre organique du Programme de Développement intégré des Ressources animales et aquacoles au Mali.

Le Programme de Développement intégré des Ressources animales et aquacoles est créé sous la forme d’un service rattaché et aura pour mission de contribuer à l’optimisation des potentiels des sous-secteurs de 1’élevage et de la pêche.
Il vise notamment :

  • l’amélioration durable de l’alimentation et de la santé des animaux ;
  • l’accroissement de la production et de la productivité du bétail ;
  • l’amélioration de la qualité de la viande et des produits laitiers ;
  • l’accroissement des productions avicoles et aquacoles ;
  • la création d’emplois.
    Aussi la mise en œuvre du Programme contribuera à l’atteinte des objectifs de sécurité alimentaire et nutritionnelle, à l’augmentation des revenus des exploitants des sous-secteurs de l’élevage et de la pêche et à la croissance économique durable.
    AU TITRE DU MINISTERE DE LA JEUNESSE, DE L’EMPLOI ET DE LA CONSTRUCTION CITOYENNE

Sur le rapport du ministre de la Jeunesse, de l’Emploi et de la Construction citoyenne, le Conseil des Ministres a adopté des projets de texte relatifs à la création, à l’organisation et aux modalités de fonctionnement du Conseil supérieur de la Jeunesse.
La jeunesse, qui constitue une des plus grandes richesses de notre pays, est confrontée à de nombreuses difficultés pour participer activement au développement économique et social.
Pour remédier à ces difficultés, un Conseil supérieur de la Jeunesse a été créé.
La création de ce Conseil s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du Plan d’actions de la Politique cadre de développement de la Jeunesse adoptée en janvier 2012 et du Programme d’Action mondiale pour la Jeunesse.
Elle vise à renforcer la concertation entre l’Etat et la Jeunesse afin de relever les défis auxquels celle-ci est confrontée.
Le Conseil supérieur de la Jeunesse aura pour mission d’examiner les politiques et programmes de promotion et d’insertion socio-économique et professionnelle des jeunes et de proposer des actions appropriées en vue d’en assurer leur mise en œuvre effective.

AU TITRE DU MINISTERE DE LA REFORME DE L’ADMINISTRATION ET DE LA TRANSPARENCE DE LA VIE PUBLIQUE

Sur le rapport du ministre de la Réforme de l’Administration et de la Transparence de la Vie publique, le Conseil des Ministres a adopté un projet de loi portant Code d’éthique et de déontologie de l’Agent de l’Administration publique.
La Stratégie Nationale de Contrôle Interne 2012-2016, adoptée dans le cadre du renforcement du contrôle interne et de l’amélioration de la gouvernance, prévoit notamment la promotion de l’éthique et du respect de la déontologie par les agents publics.
Le présent projet de Code d’éthique et de déontologie, fruit d’une large consultation, a été élaboré en vue d’une part, d’encadrer les codes sectoriels de déontologie et d’autre part, de contribuer à la mise en œuvre de la Stratégie Nationale de Contrôle Interne et la Politique Nationale de Transparence.

AU CHAPITRE DES MESURES INDIVIDUELLES

Le Conseil des Ministres a procédé à la nomination suivante :

AU TITRE DU MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES ET DE LA COOPERATION INTERNATIONALE

Ambassadeur du Mali à Nouakchott (République Islamique de Mauritanie): Monsieur Mohamed DIBASSY, Economiste.

Bamako, le 28 mars 2019

Le Secrétaire général du Gouvernement

Madame SANOGO Aminata MALLE
Officier de l’Ordre national

Source : Croissanceafrique.com

Urgent: Un Malien arrêté à Paris avec une valise diplomatique contenant 23 millions d’euros.

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Il s’agit d’une arrestation qui a eu lieu à l’aéroport international Rosy Charles-de-Gaulle . Source notre source , la personne en question ( malien) en transitait pour la Malaisie et aurait été arrêté avec 2 valises contenant 23 million d’euros, presque 15 milliards de francs CFA. Il s’agirait d’une valise diplomatique contenant d’une somme faramineuse.

« Ce matin à l’aéroport Rosy Charles-de-Gaulle de Paris un malien en transit pour la Malaisie aurait été arrêté avec 2 valises contenant 23 million d’euros, presque 15 milliards de francs CFA. On parle d’une valise diplomatique donc en lien avec l’État Malien », selon l’activiste Samba Gassama Général.
A suivre ….

Source : Croissanceafrique.com

AFRIQUE: Le mode opératoire de l’armée Française en 8 étapes

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Phase 1: La France finance et arme les milices rebelles et affamées pour déstabiliser et fragiliser un État X ou Y

Phase 2: L’État se trouve obligé d’acheter les armes pour se défendre contre ces milices. La France les leur vend.

Phase 3: Comme l’Etat n’a pas d’argent liquide, la France le lui prête à des taux les plus élevés au monde, en connivence avec les personnages politiques (confer: « le concubinage incestueux endogène avec les forces exogènes » de J.D Ayissi)

Phase 4: Pendant que État X et milices se battent, la France vole les richesses minières via des contrats signés depuis l’époque coloniale ou sur le tas en catimini avec toujours les mêmes politiques.

Phase 5: Dans la bataille, l’État réussit à capturer certains rebelles et les fait prisonniers. Les chefs rebelles appellent les français et leur disent qu’ils vont abandonner la guerre si les amis sont en prison.

Phase 6: La France, qui ne veut pas que les milices s’arrêtent, récupère l’un de ses militaires à la retraite, le forme et le donne aux rebelles comme otage. Puis CNN, BBC, France 24 et RFI publient que les rebelles ont capturé un otage français dans le désert et que l’État X est dangereux comme destination touristique parce que son chef est dictateur et ne travaille pas pour son peuple.

Phase 7: Pour laver son image, le chef d’État X libère les rebelles prisonniers et paye une rançon pour que le français soit libéré.

Phase 8: les rebelles jubilent avec leur argent et les prisonniers relâchés. Ils appellent la France pour dire merci et confirmer qu’ils vont continuer le travail. Ils remettent l’argent qu’ils ont reçu à la France, qui en retour leur donne plus d’armes.

Et le cycle recommence…


Question de réflexion:

  • Qui est perdant et qui est gagnant dans ce « jeu » ?
  • Que peut faire le citoyen lambda à son niveau ?
  • Par Bakary PAOUÉ
  • Source : Croissanceafrique.com

Urgent: Kémi Seba veut porter plainte contre l’Etat ivoirien et un ministre béninois

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L’activiste Kémi Seba, qui milite notamment contre le Franc CFA, compte porter plainte contre l’Etat ivoirien et le ministre Béninois de l’Intérieur. Il l’a fait savoir ce matin lors d’une conférence de presse à Cotonou à laquelle a assisté notre correspondante sur place, Yen Houssou.

« Lorsque partout où vous allez il y a des milliers de gens un peu partout en Afrique qui suivent notre combat politique et que la seule réponse qu’on a à nous imposer pour nous contredire, ce sont des moyens coercitifs tels que la menace ou les expulsions, il en va de notre devoir de marquer symboliquement notre refus », a déclaré Kémi Seba.

Béninois d’origine, le président de l’ONG Urgence Panafricaniste, en tournée de sensibilisation sur le néocolonialisme, dit avoir a été expulsé de la Côte d’ivoire parce qu’il serait une menace à l’ordre public.PUBLICITÉS

Lire aussi :

En visite en Côte d’Ivoire, Kémi Séba reconduit vers son pays

Guinée : l’activiste Kémi Séba refoulé

Une fois au Bénin, il a été interpelé puis relâché hier après une discussion avec le ministre de l’intérieur. Ce dernier l’aurait menacé de restreindre ses libertés s’il continue de déranger les partenaires économiques du Bénin, selon ses propos.

Joint par la BBC, le ministre béninois de l’intérieur nie avoir menacé l’activiste. Sacca Lafia affirme lui avoir demandé de mener ses activités sans troubler l’ordre public.

« Moi à titre personnel je n’ai pas peur de la prison, je l’ai fait à plusieurs reprises et ça ne m’a pas empêché de ressortir plus fort à chaque fois », a martelé Kémi Seba lors de la conférence de presse.

Il a promis de continuer « plus que jamais et avec encore plus de densité » ses mobilisations dans tous les pays d’Afrique francophone.

Aissatou TRAORÉ

Source : Croissanceafrique.com

Mali: Le FMI bien disposé pour un nouveau programme de coopération

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Soumeylou Boubèye Maïga a eu une rencontre mardi à Washington avec la directrice de l’Institution de Bretton Woods. A l’issue de cette rencontre, les deux parties ont exprimé leur volonté de consolider les relations de confiance qui ont permis à notre pays jusque-là de préserver son cadre macroéconomique et sa crédibilité interne et externe aux Etats-Unis, et au sortir d’une séance de travail avec la directrice générale du FMI, Christine Lagarde, le Premier ministre, Soumeylou Boubèye Maïga, a déclaré que le programme entre les deux parties étant arrivé à expiration, «nous préparons un nouveau programme».

Le chef du gouvernement, qui est accompagné du ministre de l’Economie et des Finances, Boubou Cissé, de la ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Kamissa Camara, et du ministre de la Cohésion sociale, de la Paix et de Réconciliation nationale, Lassine Bouaré, a ajouté avoir indiqué à Mme Lagarde que le Mali souhaite “accélérer le rythme d’adoption de ce nouveau programme».

«Parce que cela nous permettrait de mobiliser des ressources importantes auprès de partenaires bilatéraux et multilatéraux», a-t-il argumenté. Après avoir plaidé pour une reprise rapide du programme du Mali pour faire face aux défis sécuritaires, M. Maïga a justifié les différentes contraintes qui ont émaillé le programme finissant, notamment les élections, le déploiement militaire et sa logistique.

Pour sa part, la directrice générale du FMI, qui s’est montrée sensible aux arguments de son hôte, a rappelé que notre pays est un partenaire de longue date du Fonds monétaire international (FMI). «Nous avons un partenariat pour essayer de travailler à améliorer la situation économique. Nous avons parlé ensemble de la situation économique actuelle, de la situation sécuritaire», a ajouté Christine Lagarde.

Elle a indiqué avoir exprimé au Premier ministre «toutes les condoléances du FMI à la suite du massacre terrible qui a affecté le Centre du pays», où un village entier a vécu des atrocités et des cruautés inommables.

«On est terriblement affecté et très soucieux de pouvoir participer à un effort de redressement sur le plan économique et permettre ainsi de donner une confiance aux opérateurs, aux investisseurs et permettre de récréer de l’activité économique et de la valeur ajoutée dans le pays», a dit la première responsable du FMI. Elle a assuré avoir discuté avec son hôte malien du calendrier, de la manière dont les deux parties peuvent travailler à cette restauration dans les prochains mois.

Quant à la santé financière du Mali, Mme Lagarde a indiqué que c’est un sujet sur lequel «nous travaillons ensemble et sur lequel nous allons, à nouveau, renouer les liens d’une coopération approfondie qui se négociera dans les mois qui viennent».
Soumeylou Boubèye Maïga a assuré avoir pris bonne note des efforts internes que notre pays doit faire et qu’il a déja engagé des actions en matière de fiscalité.

«Cela a pu produire des résultats que nous espérions. Maintenant, nous devons améliorer tout cela. Et, avec la directrice générale, je crois que nous partageons le souci de faire en sorte qu’un certain nombre de priorités puissent être à la portée de l’Etat».
Il s’agit notamment, «des questions de sécurité, de protection sociale afin de permettre aux populations les plus vulnérables et donc les plus exposées, d’être maintenues en capacité de résilience et ainsi soutenir aussi les efforts qui sont faits.
En somme, notre pays a devant lui un chantier important «mais qui est à notre portée», a dit le chef du gouvernement. La séance de travail avec la présidente par intérim de la Banque mondiale, Kristalina Georgieva, élargie à la délégation, a été l’occasion de réaffirmer que la stratégie d’accroissement de l’investissement dans le capital humain pour réduire la pauvreté et la promotion d’une prospérité partagée est accompagnée et soutenue par la Banque mondiale qui, à travers plusieurs projets, appuie notre pays dans l’atteinte de ses objectifs.
Les autres secteurs clés auxquels la Banque apporte son soutien sont : les télécommunications, les infrastructures et l’énergie. Sur ce dernier point, il faut rappeler que la Banque mondiale et le gouvernement ont signé une convention de 90 millions de dollars relative à un projet d’électrification rurale.
Aussi, les responsables de la Banque mondiale accordent-ils plus de crédit à la gestion publique au Mali. En ce sens qu’ils réitèrent leur soutien au gouvernement pour sa «bonne stratégie de développement».
Par ailleurs, les institutions de Bretton Woods ont salué, lors de leurs différentes rencontres annuelles, les performances économiques du Mali et exprimé leur disponibilité à accompagner notre pays dans sa politique de réforme, en vue de stimuler la croissance économique.
Rappelons que le vice-président de la Banque mondiale pour la région Afrique, Hafez Ghanem, a effectué, le 25 février 2019, une visite officielle au Mali.

Envoyé spécial
Moussa DIARRA

Essor

Medias: Communiqué de L’APPEL Mali

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Depuis l’attaque du village Ogossagou, le samedi le 23 mars dernier par des individus armés qui a coûté la vie à plus de 130 personnes, les discours tribalistes et les messages à caractères xénophobes envahissent les réseaux sociaux au Mali. Ces discours de haine ont pris une ampleur inquiétante, ces derniers jours, sur Facebook, Wahtssap, Twiter, et autres. L’Association des Professionnels de la Presse en Ligne (APPEL Mali) a le devoir de rappeler à tous ses membres qu’il est formellement interdit de diffuser toute information à caractère xénophobe.
A cet effet, l’APPEL Mali invite les Directeurs de publications des sites d’informations, et d’autres professionnels en ligne à s’abstenir de relayer ces discours tribalistes et xénophobes.
Enfin, l’APPEL MALI en appelle au professionnalisme et au respect de l’éthique et la déontologie afin de sauvegarder l’unité nationale, la paix et le vivre ensemble.

Bamako, le 28 mars 2019
Modibo L Fofana
Président de l’APPEL Mali .

Source : Croissanceafrique.com

Conseil Supérieur de la Diaspora et le Parti FARE se sont rencontrés pour échanger pour une sortie de crise du Mali.

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Ce mardi, le 26 mars 2019, il est effectué une rencontre entre le Conseil Supérieur de la Diaspora Malienne et FARE, dans la salle de conférence de CSDM. C’était dans l’optique, d’effectuer de discussion et faire de proposition de sortie de crise du Mali.
M. Modibo Sidibé, à sa sortie de d’échange avec le président de CSDM, Mohamed Cherif Haïdara, il a exprimé sur notre micro pour expliquer le but de cette rencontre.
Modibo Sidibé, a d’abord remercié le CSDM de l’avoir accepté à leur demande de rencontre. Dira-t-il, ensuite, depuis plusieurs jours, plusieurs semaines, ils ont entamé quelques discussions, quelques échanges avec tous les maliens qui le souhaitent pour qu’ils puissent essayer d’avoir des convergences et un véritable projet de sortie de crise du Mali, soit le maximum partager.
Il a fait une pensée à l’endroit des militaires qui ont tombés à Dioura, aussi condamne-t-il, le drame qui a eu lieu à Ogossagou, est inacceptable pour lui.
Ils se sont dits, il faut les maliens quel qu’ils soient, où ils soient, ils se ressemblent en un seul peuple, qui a son histoire de Nation pour dire non. Que le peuple malien ne cédera pas à aucune contrainte de cette nature, à aucune pression de cette nature, parceque c’est un peuple uni, c’est un peuple solidaire qui entend récurer, qui entend agiter la solidarité, la fraternité qu’ils avaient, ajouter la fraternité républicaine qui fait de tous les citoyens égaux en droit et en devoir sur quelques parties sur territoire ce soit. Pour lui, en se rensenblant aussi, ils vont dire à leur État, il a le devoir. Il est de son devoir de protéger chaque malien et malienne où qu’ils se trouvent, même protéger ceux qui font l’amabilité d’être avec eux sur le territoire. Quant à Sidibé, l’autorité de l’État, l’autorité républicaine d’être rétablie et qu’ils esperont que ce serait dans le cas, dans les semaines avenir, ils continueront à discuter avec les autres, comment qu’ils pourront aider à aller dans ce sens là. Pour le président de FARE, c’est inacceptable que les périls deviennent de plus en plus nombreux, le temps joue contre le Mali, il est clair qu’ils ont besoin d’engager un processus. ‹‹ C’est ce processus que nous venons de discuter avec le CSDM, qui représente la Diaspora Malienne ››, a-t-il expliqué. Pour lui, la Diaspora a une part importante à prendre dans le redressement du Mali, par ce que, le Mali a besoin d’un projet, d’un programme de redressement sur tout le plan. ‹‹ C’est pour ça que nous sommes venus discuter ››, a-t-il dit. Qu’ils ont trouvé des citoyens qui ont aussi leur réflexion. Et qu’ils ont trouvé des convergences, leur volonté commune que le Mali ne reste pas dans les conditions qu’ils connaissent aujourd’hui, qui a leur avenir aussi pour le Mali, à condition que les maliens eux même qui s’emparent de cela, qui s’emparent des règnes, qui s’emparent en sorte que la direction soit tracée et qu’ils puissent avancer cette direction. ‹‹ Avec les Maliens, où qu’ils soient, nous allons travailler pour accélérer dans les jours à venir ››, tel est l’aveu de M. Modibo Sidibé.
Mohamed Cherif Haïdara, pour sa part, dit qu’ils se sont rencontrés plusieurs fois, Modibo Sidibé m’a dit qu’il craint que le temps joue contre le Mali. ‹‹ Aujourd’hui, il est de l’avis de tout le monde, le temps effectivement joue contre le Mali ››, a-t-il dit. Ainsi, a-t-il ajouté que ‹‹ Dans nos discussions, il est ressorti d’un projet qu’il a pour le Mali. Il a fait une saine appréciation de la situation qui prévaut dans le Mali actuellement. Il a également de proposition cohérente et correcte que nous le CSDM, partage avec les FARE, partage avec le président Modibo Sidibé pour la sortie de crise ‹‹ les Dialogues refondateurs qu’on a, il n’y a pas d’autres solutions que ça ››, a-t-il rassuré. Selon le président du Conseil Supérieur de la Diaspora, Modibo Sidibé, est une personne qui fait partir de la structure même du Mali. C’est l’une des rares personnes qui depuis 1991 jusqu’aujourd’hui, il a été dans l’administration malienne. M. Haïdara pense personne ne pourra dire qu’il connait le Mali mieux que Modibo Sidibé. Pour cela, il dit ‹‹ je ne vois pas une autre solution au delà de ce qu’il a proposé.›› Ainsi, nous a-t-il affirmé la position de la Diaspora ‹‹ nous, la Diaspora, nous adhérons parfaitement avec cette démarche, à ces propositions de sortie de crise et surtout. ‹‹ Et surtout le temps qui se doit prendre, celui qui pense qu’on va régler ça en deux ans ou un an non, ça va au delà de ça ››, a-t-il dit. Ainsi, aborde-t-il les angles de sortie de crise du Mali ‹‹ Il faut qu’on mette les personnes qui ont une meilleure compréhension, qui ont une meilleure appréciation à leur niveau pour faire une proposition au Mali. ›› Pour être persuasif, il dit ‹‹ Modibo Sidibé en est la personne qui peut nous faire sortir de là parcequ’il à compris le problème.›› Pour terminer, il a remercié Modibo Sidibé pour son acte de patriotisme en rencontrant le président de la république ‹‹ je remercie Modibo Sidibé d’avoir accepté de rencontrer le président de la république pour le Mali. Il est quelqu’un qui porte le Mali dans son cœur.››

Hamadoun Alphagalo

Source : Croissanceafrique.com

Mali: Boubeye reçu en audience par John BOLTON, un autre complot encours contre Mali

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« J’ai rencontré, ce mercredi matin, l’Ambassadeur John Bolton, Conseiller à la Sécurité Nationale du Président Donald TRUMP. Nos échanges ont porté sur la situation sécuritaire dans notre pays et le renforcement de la coopération militaire dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. Une convergence de vues s’est dégagée autour de la nécessité de promouvoir les investissements américains au Mali », dit-il sur son compte facebook.

D’aucun affirmerait , « qu’ils seraient entrain de comploter contre le Mali. Surtout le problème du centre du Mali. Notre affirme que « Soumeylou Boubeye Maïga est un vrai guépard qui ne cherche qu’a se blanchir face aux accusations émanant de de plusieurs dossiers à savoir le fameux dossiers concernant les deux journalistes Français », révèle-t-il.

Notons que Soumeylou Boubeye Maïga est soupçonné dans plusieurs dossiers tels ceux du centre . La majeure partie des observateurs affirment que « des qu’ils effectue un déplacement au centre du Mali, et son retour à Bamako deux ou trois, nous attendons informations concernant les tueries, les massacres, les ravages dans cette zone, essentiellement habitée par les dogons et les peuls. D’aucun parlent de l’existence des mercenaires anglophones recrutés par des hommes politiques du pays », ajoute-t-il, notre source.

Le gouvernement doit rassurer me peuple malien sur ce dossiers qui dérange plus d’un.

Zangouna KONÉ

Source : Croissanceafrique.com