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Gabon : le budget 2019 en baisse de 3,8%

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C’est un projet de loi de finances estimé à 2 806,9 milliards de F CFA, en baisse de 3,8% par rapport à 2018, que le futur parlement gabonais devra étudier dans les prochains jours pour le compte de l’exercice 2019.

Adopté le 15 octobre 2018 en conseil des ministres présidé par le président Ali Bongo Ondimba, le texte prévoit une poursuite du Plan triennal de Relance de l’Economie (PRE) et le maintien des objectifs de relance économique, avec notamment la mise en œuvre des mesures d’assainissement des finances publiques.

Selon le gouvernement, cette baisse d’environ 112 milliards (le budget 2018 révisé en juin dernier s’équilibre en ressources et en charges à 2 918,5 milliards) s’explique par le recul des ressources de financement à hauteur de 219,8 milliards, malgré une hausse des recettes budgétaires estimée à environ 108 milliards.

Les recettes passent, en effet, de 2 042,2 milliards en 2018, à 2 150,3 milliards en 2019, « grâce aux effets attendus des nouvelles mesures de mobilisation des recettes fiscales et douanières ». Il est prévu, toutefois, une baisse des ressources de financement et de trésorerie (656,6 milliards), occasionnant ainsi un solde déficitaire des opérations de trésorerie et de financement (68,1 milliards).

Les dépenses budgétaires, quant à elles, sont estimées à 2082,2 milliards, contre 1969,1 milliards en 2018, soit une hausse de 113,1 milliards que Libreville impute « aux efforts d’investissement et à la prise en compte de la part patronale de l’Etat employeur ».

A noter que le texte – qui tait les objectifs de croissance du Gabon – est élaboré autour de quatre axes que sont l’optimisation des recettes, l’allègement du train de vie de l’Etat, la restructuration de la dette intérieure et la réduction des dépenses de personnel.

Aïssatou Traoré

Source: croissanceafrique
Mail: croissanceafrik@gmail.com

Gabon : baisse du chiffre d’affaires du secteur hôtelier au premier semestre 2018

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Le Méridien est l’un des acteurs majeurs de l’hôtellerie gabonaise.
Au Gabon, le chiffre d’affaires du secteur hôtelier est passé de 10,2 milliards de F CFA au premier semestre 2017 à 7,5 milliards au premier semestre 2018, soit une diminution de 26% annoncée par la direction générale de l’économie qui l’impute à «la rareté des évènements d’envergure internationale et la faiblesse du flux touristique».

La même source indique que le nombre de chambres occupées sur la même période a connu une baisse de 12%, passant de 63 054 à 55 403. Le prix moyen de la chambre a pourtant chuté de 98 105 F à 80 782 F entre le premier semestre 2017 et le premier semestre 2018.

A noter que le taux de fréquentation dans les hôtels avait connu une hausse en 2017, lorsque le Gabon a accueilli la Coupe d’Afrique des nations de football entre janvier et février.

Hamadoun Alphagalo

Source: croissanceafrique
Mail: croissanceafrik@gmail.com

Sans Ali Bongo Ondimba, le conseil des ministres du Gabon concocte un emprunt

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Le vice-président Pierre-Claver Maganga Moussavou, « ancien opposant », a dirigé son premier conseil des ministres suite à une décision de la Cour constitutionnelle après réaménagement express de l’article 16 de la Constitution.

Tenu vendredi le 16 novembre à Libreville, le premier conseil des ministres sans le président Ali Bongo Ondimba, hospitalisé, a adopté un projet de texte autorisant l’Etat à contracter un emprunt d’un montant équivalent à 19,8 milliards de F CFA auprès de la China Construction Bank Corporation.

Présentée par le ministre de l’économie, de la prospective et de la programmation du développement, cette opération, selon l’exécutif, s’inscrit dans le cadre du plan de financement de la construction du Palais des Sports de Libreville.

C’est le tout premier conseil des ministres tenu en l’absence d’Ali Bongo Ondimba depuis sa réélection contestée d’août 2016. Il a été dirigé par son vice-président Pierre-Claver Maganga Moussavou, ancien « opposant », suite à une décision de la Cour constitutionnelle qui a expressément réaménagé l’article 16 de la Constitution en sa faveur.

Le conseil a de même voté un second projet de texte portant sur la création d’un Comité national de la dette publique (CNDP). « Ce projet de texte vise l’appropriation du Règlement Communautaire relatif au cadre de référence de la politique d’endettement public et de gestion de la dette publique dans les Etats de la CEMAC. Ce cadre prévoit la mise en place d’un organe de coordination de la politique d’endettement dans chaque Etat membre », indique-t-il.

Hamadoun Alphagalo

Source: croissanxeafrique.com

Mail: croissanceafrik@gmail.com

Mali: Partenariat entre le projet USAID KJK, l’Association des Médecins de Campagne et l’ONG JIGI

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Dans le cadre de l’amélioration de la santé maternelle, néo natale et infantile à travers l’offre des services, le projet USAID KJK a initié depuis deux ans une série de formation sur l’insertion et le retrait des méthodes de contraception de longue durée en Planification Familiale à l’intention des professionnels de santé (Médecins généralistes, sages-femmes, infirmières).

A cet effet, en septembre dernier 36 médecins, membres de l’Association des Médecins de Campagne (AMC) et 4 sages-femmes de l’équipe santé de l’ONG JIGI ont été formés sur la technologie contraceptive basée sur les méthodes de longue durée d’action de Planification Familiale.

A la suite de ces formations, afin de mieux outiller les personnels formés, le projet USAID KJK, a procédé à une remise de remise de matériels d’insertions et retraits des méthodes de longues durées en planification familiale aux prestataires formées.

La cérémonie solennelle s’est tenue, le 26 octobre 2018 au siège du projet à Sotuba ACI, sous la présence effective des représentants du Conseil National de l’Ordre des Médecins, la repentante de la Division santé de la reproduction, de l’Association des Sages-femmes du Mali, des bénéficiaires (le président de l’Association des Médecins de Campagne (AMC), le directeur exécutif de l’ONG JIGI) et de nombreux invités.

L’occasion était toute belle, pour le Directeur pays du projet USAID KJK, le Dr Issiaga Daffé, qui après avoir rappelé les principales missions du projet a procédé à la remise des kits de matériels et produits PF d’une valeur de 12 342 600 FCFA aux bénéficiaires en les exhortant d’un bon usage du matériel au profit de la santé de la communauté.
Les bénéficiaires à leur tour, se sont engagés à un bon usage du matériel et produits reçus pour améliorer les indicateurs de santé maternelle, néonatale et infantile au niveau de leur communauté respective.

Aïssatou Traoré

Source:croissanceafrique.com

Mail: croissanceafrik@gmail.com

Ethiopia-UA : ARRIVEE DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE TCHADIENNE Idriss DEBY ITNO A ADDIS-ABEBA.

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Addis-Abeba, s’apprête à accueillir la 11ème session extraordinaire des Chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union africaine. Le Président de la République IDRISS DEBY ITNO, à la tête d’une délégation, est l’un de tous premiers à rallier la capitale Ethiopienne ce vendredi, 16 novembre 2018. Le Chef de l’Etat participe ce samedi aux travaux du 11ème sommet extraordinaire des Chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union africaine convoqué sur initiative du Président en exercice de l’organisation, le rwandais Paul Kagamé.

A l’aéroport international Bole d’Addis-Abeba, la ministre éthiopienne de la planification, Mme Fitsum Assefa, l’Ambassadeur du Tchad auprès de l’Ethiopie et de l’Union africaine, Fadlassit Ali Naffa, le chef de la diplomatie tchadienne, Cherif Mahamat Zène, le Conseiller diplomatique du Chef de l’Etat, Hissein Brahim Taha ainsi que le personnel de l’ambassade et les tchadiens fonctionnaires à l’Union africaine étaient à l’accueil.

Après les subtilités protocolaires d’usage, le Président de la République et sa délégation sont conduits à la résidence de l’Ambassadeur du Tchad à Addis-Abeba.

Hamadoun Alphagola

Source: croissanceafrique.com

Mail: croissanceafrik@gmail.com

Russie-Centrafrique: France contrainte de réviser son projet de résolution onusien.

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La Russie a demandé jeudi à la France de fournir des “efforts supplémentaires significatifs” pour rendre possible un renouvellement régulier du mandat de la mission de maintien de la paix de l’ONU en République centrafricaine.

Jeudi, le Conseil de sécurité a été contraint d’approuver un renouvellement technique de cette mission pour une durée d’un mois, afin de donner plus de temps aux négociations portant sur le projet de résolution français. Ce projet de résolution a pour but de renouveler pour une année supplémentaire le mandat de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation en Centrafrique (MINUSCA).

Après plusieurs semaines de consultations entre les membre du Conseil de sécurité, le projet de résolution soumis par la France a finalement échoué à obtenir l’aval de la Russie, qui dispose d’un droit de véto au Conseil de sécurité.

La Russie veut que sa présence et ses efforts de paix en République centrafricaine soient reconnus par le projet de résolution français, alors que celui-ci indique seulement que le processus politique en République centrafricaine doit être dirigé par l’Union africaine (UA).

Dimitri Polyanski, premier vice-représentant permanent de la Russie aux Nations unies, a averti jeudi la France qu’elle devrait fournir des “efforts supplémentaires significatifs” pour réviser son projet initial et le faire adopter par le Conseil de sécurité dans un délai d’un mois.

M. Polyanski a indiqué que la France, l’ancienne colonisatrice de la République centrafricaine, devait “mettre de côté les complexes historiques, l’égoïsme et les étroits intérêts nationaux” à ce sujet.

“Ceux qui ont approché ce dossier avec de bonnes intentions ne doivent avoir ni motifs ultérieurs ni intérêts compétitifs malveillants”, a-t-il indiqué après le vote du Conseil de sécurité sur le renouvellement technique de la mission.

© Bur-csa – A.H / N.A – African Daily Voice (ADV)

Mail: Croissanceafrik@gmail.com

Miss Bamako édition 2018 : Aminata Dia est la nouvelle ambassadrice de la beauté

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Le comité syndical de l’ORTM renoue avec la tradition en organisant sa traditionnelle soirée dite « Miss Bamako » édition 2018. C’était ce vendredi 16 Novembre 2018 au jardin de l’hôtel Sofitel de l’Amitié, en présence d’un charmant public composé des membres du comité syndical, des travailleurs de l’ORTM, et les supporters des 15 postulantes.

A l’issue de cette belle soirée riche en couleur, en émotion, en son et en spectacle, le jury de cinq personnes présidé par Sidi Mohamed Koné dit junior a rendu son verdict au grand bonheur des invités. C’est ainsi, la place de la deuxième dauphine est revenue à Kandia Dembélé étudiante à l’ECOSUP en 1ère année communication journalisme. Elle empoche la somme de 200.000FCFA. Sira Samboura, étudiante en médicine 1ère année, est élue première dauphine et empoche la somme de 300.000FCFA. Enfin la couronne de la miss Bamako 2018 est revenue à Aminata Dia, étudiante en licence Transit et Ressources humaine à l’ITB. En plus de nombreux cadeaux, elle s’est frotté les mains avec la somme de 500.000FCFA.

Pour cette édition les organisateurs ont mis la barre haute avec des critères bien définis tels : (la beauté, l’éloquence, la démarche, la manière de s’adresser au public et surtout la taille qui était un élément déterminant qui a défavorisé certaines postulantes qui étaient pourtant très belles, et très éloquentes.

Aux dires des organisateurs, l’étape de Bamako est un avant-goût de la grande finale prévue pour le 21 Décembre 2018.

Pour ses premiers mots a l’endroit des invités, la nouvelle ambassadrice de la beauté à Bamako Aminata Dia, la voix cassée par l’émotion n’a pas caché sa joie et a donné rendez-vous à ses supporters pour le 21 Décembre 2018 pour la grande finale.

Qui sera la miss ORTM 2018 ? Rendez-vous le 21 Décembre 2018 pour le verdict.

Mohamed Kanouté
Source: Mali24.infos

Paul Folmsbee, Ambassadeur des USA au Mali fait ses adieux au Président de la République et au peuple malien.

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Le Président de la République, Chef de l’Etat , Son Excellence Monsieur Ibrahim Boubacar Keita a reçu en audience en milieu d’après-midi du 16 Octobre 2018, SEM Paul Folmsbee Ambassadeur des USA en fin de mission diplomatique dans notre pays. Le diplomate américain honoré d’avoir servi au Mali, était venu faire ses adieux au Président de la République, Chef de l’Etat. D’importants sujets ont été évoqués au cours de l’audience, notamment l’assistance Sécuritaire et économique.

« Les relations entre le Mali et les USA sont fortes. Nous sommes deux pays grands amis . C’est un grand honneur pour moi d’avoir été ici comme ambassadeur des USA » a déclaré le diplomate américain à sa sortie d’audience.
SEM Paul Folmsbee a été nommé ambassadeur auprès de la République du Mali par le Président Barack Obama le 18 septembre 2014 et confirmé par le Sénat américain le 23 mai 2015.

IBK a offert un Ciwara en cadeau à son hôte du jour en guise de souvenir du Mali.

L’audience s’est déroulée en présence du Ministre Secrétaire Général de la Présidence de la République du Mali, du Chef de Cabinet du Chef de l’Etat, du Général de division, Chef d’Etat Major Particulier du Chef de l’Etat, du Représentant de la Cellule diplomatique du Chef de l’Etat.

Madou’s Camara
Crédits photographies Madou’s

Mail: croissanceafrik@gmail.com

Le Mali adopte la Zone de Libre-Echange Continentale Africaine (ZLECA)

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L’Assemblée Nationale a adopté, le 15 novembre 2018, la loi autorisant la ratification de l’accord portant création de la Zone de Libre-Echange Continentale Africaine (ZLECA), qui avait été adopté par le 10è sommet extraordinaire de l’Union Africaine, tenu à Kigali (Rwanda) en mars 2018.
« À court et moyen terme, nous aurons un bénéfice de 6 à 7 milliards de nos francs en recettes fiscales » a déclaré le Ministre de l’Economie et des Finances du Mali lors de sa présentation face aux députés.

La Zone de Libre-Echange Continentale Africaine (ZLECA) émane de la volonté des 55 Etats membres de l’Union Africaine de créer un marché élargi et sécurisé pour les marchandises et les services des Etats parties, grâce à une infrastructure adéquate et à la réduction ou à l’élimination progressive des barrières tarifaires.
« Par cette initiative les Etats membres de l’Union Africaine auront un marché élargi et sécurisé pour les marchandises et les services, avec une réduction ou à l’élimination progressive des barrières douanières. Mieux, il permet à nos entreprises d’être plus compétitives Cette zone va faciliter les droits de douane entre Etats africains. Ce qui aura un impact positif pour notre économie » a expliqué Dr. Boubou CISSE.
La ZLECA regroupera 55 Etats, soit un marché de 1,2 milliard de personnes, représentant un produit intérieur brut de 2500 milliards de dollars. Elle représentera la plus grande zone de libre-échange du monde depuis la création de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC).

Face aux craintes des parlementaires face à la concurrence que l’avènement de cette zone pourrait engendrer, le Ministre assure en ces termes : « Il faut souligner que les droits du consommateur sont reconnus dans les textes juridiques de la ZLECAF et d’autres dispositions sont. Ce qui est encore plus rassurant, nos unités industrielles et autres entreprises seront mieux préparées pour être plus compétitives sur ce marché ».

Aïssatou Traoré

Source: croissanceafrique.com

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Mali : Bamako abrite la rencontre annuelle du réseau commercial des assurance Lafia S.A

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Ce samedi 17 Novembre 2018, la société anonyme au capital 1000000 de F CFA (Assurance LAFIA SA) a tenu sa rencontre annuelle du réseau commercial. Cette rencontre avait pour thème « l’Assurance Incendie & les Risques Annexes ». Elle a regroupé la présence de plusieurs acteurs évoluant dans le secteur de l’assurance au niveau du Mali et d’ailleurs. L’édition de 2018 s‘s’est tenue du directeur général dès l’Assurance LAFIA SA M. Ousmane Bocoum et le directeur de l’agence DANAYA LAFIA, M. Mohamed Boncana MAIGA.

A sa prise de parole le directeur général de l’Assurance LAFIA SA a affirmé que « les primes émises nettes d’annulation de la compagnie au 31 décembre 2017 sont de F CFA 4 176 927 115 contre 4 138969000 en 2016. Les produits financiers sont passés, de FCFA 262258752 au 31 décembre 2016 à FCFA 355258606 au 31 décembre 2017, soit une progression de 35,46%. Le ratio de couverture des engagements règlementés est 143,96% en 2017 contre 156,17% pour une norme règlementaire de 100% », a-t-il affirmé.

Pour sa part le directeur de l’agence DANAYA LAFAIA SA, M. Mohamed Boncana MAIGA précise que « le choix du thème de la formation « Incendie et Risques annexes » n’est pas le fait du hasard, en effet, plus de 90% des souscriptions des agents généraux se font en Assurance automobile. Or, la branche automobile est entachée d’une forte sinistralité surtout en ce qui concerne les plus sinistrés corporels souvent de grande amplitudes. Pour être claire et précis, nous avons entendu parler d’augmentation du capital social des compagnies d’assurances qui sur le cours terme doit passer de 1 milliards de FCFA à 3 milliards de f CFA et sur le moyen terme de 3 milliards de f CFA à 4 milliards de f CFA », a-t-il précisé.

Avant de conclure le directeur Ousmane Bocoum ajoutera que « La marge de solvabilité est excédentaires de de f CFA 1 765 742 913 en 2017 contre 1 532 750 285 de f CFA en 2016, soit une augmentation de 15,20%. Cette situation confirme que la Lafia justifie d’une marge de solvabilité suffisante relative à l’ensemble de ses activités telle que l’exigent les articles 337-1 à 337-3 du code CIMA » a-t-il ajouté.

Notons que la production du réseau commercial connait une augmentation appréciable. En 2017, les agents généraux ont produit 1 450 787 538 de primes contre 1 377 507 941 en 2016, soit une augmentation de 34, 73%. Cet effort mérite d’être salué et soutenu par des initiatives novatrices.

Daouda Bakary KONE

Source: croissanceafrique.com

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