En 2018, l’artiste international Salif KEITA avait annoncé la fin de sa carrière musicale. Mais, le constat, d’aujourd’hui est que le prince manding ne veut pas quitter la scène. Il vient d’annoncer un nouveau « son » dans le marché culturel. Regardez à travers ce liens ci-dessous.
Nommé le 18 août 2020 par le conseil des ministres de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa), comme nouveau président de la Banque ouest africaine de développement (Boad), Serge Ekué a reçu les charges de son prédécesseur Christian Adovelande, ce vendredi 28 août, au cours d’une cérémonie présidée par le président du Conseil des ministres de l’Economie et des Fiances de l’Uemoa, Sani Yaya, ministre togolais des Finances. Selon le président du Conseil des ministres de l’Economie et des Fiances de l’Uemoa, Sani Yaya, les engagements net cumulés de la banque se chiffrent à 6235, 8 milliards Fcfa, soit 4582 milliards pour le secteur publics (73.3%) et 26,7 % pour le secteur privé. Ajoutant qu’au cours des neuf dernières années la banque a réalisé plus des 2/ 3 de ses engagements. Sur la période 2011- 2019 , 81 opérations d’un montant de près de 932,8 milliards Fcfa ont été réalisés . Et les décaissements ont connu une bonne accélération, dit-il. Car, depuis le démarrage des activités jusqu’en 2010, la Boad a enregistré un décaissement cumulés 2495 milliards Fcfa. A ce sujet il a félicité le leadership et le travail abattu par le président sortant, Christian Adovelande qui, estime le ministre, a su hisser la Banque ouest africaine de développement dans les carnets étrangers et au niveau international.
Le nouveau président devrait relever le défi de cette institution qui demeure depuis sa création en 1973, une Banque de développement forte pour l’intégration et la transformation économique, avec pour objectif d’améliorer les conditions de vie des populations de la zone Uemoa. Ancien de l’instance pour avoir été conseiller spécial du président de la Banque ouest africaine de développement (Boad) avec pour principales missions de finaliser le Plan Stratégique 2021-2025 ainsi que de superviser les stratégies de mobilisation des ressources financières de la Banque, Serge Ekué a rassuré ses prédécesseur en ces termes : «vous pouvez partir rassurer» en réaffirmant son engagement à s’inscrire dans la droite ligne de la stratégie déroulée par ses différents prédécesseurs… ».
Monsieur Serge @ekuese , le nouveau Président de la @boad_official ,a pris officiellement fonction au siège de l’Institution à Lomé (Togo) ce vendredi 28 août 2020 à l’issue d’une cérémonie de passation de service avec le Président Christian ADOVELANDE en fin de mandat. pic.twitter.com/nyFzzKXK3h
Dans son propos, Christian Adovelande a rappelé qu’il était important pour la Boad d’avoir à sa tête une expertise de référence face aux nouveaux défis offerts par les marchés des capitaux internationaux. A l’en croire le profil de son successeur (SergeEkué) sied à ces nouveaux challenges. Avant de rappeler les résultats acquis avant et sous son mandat. A savoir le financement de plus de 1 200 projets pour le compte des Etats membres et des entreprises du secteur privé de l’UEMOA pour un montant total d’engagements de 5 817,8 milliards FCFA (soit 8,8 milliards d’Euros) toutes opérations confondues. La note «Investment Grade» BBB de l’agence Fitch assortie d’une perspective négative liée à la prise en compte de facteurs macroéconomiques exogènes. Et la reconduction de sa notation «Investment Grade» «Baa1» avec une perspective stable de l’agence Moody’s.
China Media Group (CMG) et ses partenaires médiatiques d’Amérique latine ont appelé, dans une déclaration commune, à renforcer la collaboration de la communauté mondiale pour surmonter la pandémie de COVID-19 et à promouvoir la construction d’une communauté Chine-Amérique latine et d’une « communauté de santé pour l’humanité ».
La déclaration commune a été faite vendredi lors du Forum 2020 sur la coopération médiatique des partenaires d’Amérique latine, tenu sous forme de vidéoconférence et co-organisé par la CMG et la Commission économique des Nations Unies pour l’Amérique latine et les Caraïbes (CEPALC). L’Alliance latino-américaine de l’information (AIL), la plus grande alliance de réseaux de télévision à but non lucratif en Amérique latine et dans les Caraïbes, a également apporté son soutien au forum.
Au cours du forum, 33 invités de 15 organisations de 10 pays d’Amérique latine et de Chine ont discuté des moyens pour surmonter les difficultés et avancer main dans la main dans la lutte contre la pandémie.
Le président et rédacteur en chef du CMG, Shen Haixiong, a déclaré dans son allocution liminaire : « Les médias devraient rapporter la vérité au lieu de répandre des rumeurs et de créer des troubles ; chercher à construire un consensus au lieu de créer des divisions ; s’efforcer de combattre la pandémie scientifiquement au lieu de jeter le blâme sur d’autres pays ; et enfin diffuser la confiance, non des attaques malveillantes. »
CMG et ses partenaires médiatiques d’Amérique latine ont publié une déclaration commune. / CCTV +
Dans la période post-pandémique, a souligné Shen, les médias de Chine, d’Amérique latine et des Caraïbes devraient renforcer davantage leur coopération pour améliorer le mécanisme de partage du contenu des nouvelles, explorer et créer de nouvelles formes de coopération et apprendre les uns des autres sur les applications de la nouvelle technologie du média.
« Nous devons adhérer aux principes d’objectivité, d’égalité et de vérité dans le reportage des événements importants, et montrer conjointement la voix des médias chinois, latino-américains et caribéens pour promouvoir la construction d’une communauté de santé pour l’humanité », a-t-il déclaré.
La secrétaire exécutive de la CEPALC, Alicia Bárcena a déclaré : « Alors que nous sommes confrontés à un contexte mondial plein d’incertitudes, il faut renforcer notre partenariat en le rendant plus équilibré et égalitaire. Les médias ont un rôle clé à jouer pour combler le fossé des connaissances mutuelles, qui existe toujours entre les deux côtés du monde. »
« Les médias assument une énorme responsabilité », a indiqué Juan Carlos Isaza, PDG de l’AIL. Il a déclaré que les médias ont l’obligation non seulement de tenir le gouvernement responsable, mais également de soutenir les gouvernements qui font tout leur possible pour lutter contre la pandémie et apporter de l’espoir au public qui recherche l’authenticité et la fiabilité des informations.
Des invités chinois et latino-américains ont participé à la table ronde en ligne. / CCTV +
Lorsque la Chine a été durement touchée par le nouveau coronavirus, 17 membres de l’AIL ont fait preuve de leur solidarité et apporté leur soutien à la Chine par des vidéos conjointes. CMG a également fourni un soutien et une assistance à certains médias d’Amérique latine dans la mesure du possible, lorsque la pandémie s’est propagée en Amérique latine et sur la côte des Caraïbes.
João Carlos Saad, président-directeur général du groupe de médias brésilien Rede Bandeirantes de Comunicação, a expliqué dans son discours liminaire comment CMG a rapidement envoyé du matériel anti-épidémique aux zones touchées par l’épidémie, et a remerciés CMG pour sa réponse rapide et réfléchie.
« La Chine et le Brésil continueront à jouer une forte synergie à l’avenir », a-t-il déclaré.
José Luis Manzano, fondateur de Grupo América, a sévèrement critiqué les actions de ceux qui attaquent et contestent l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
« Nous devons renforcer l’OMS et l’aider à devenir la source de connaissances et l’autorité dans le domaine de la santé », a-t-il déclaré.
Pendant le forum, CCTV Video News Agency (CCTV +) et l’AIL ont signé et lancé un nouveau programme conjoint, appelé Hoy. Le programme répond aux besoins des membres de l’AIL en matière de contenu d’information de haute qualité et multidimensionnel, et 22 médias dominants de 21 pays et régions de l’AIL en ont déjà bénéficié.
Une table ronde en ligne sur le thème « Renforcer la collaboration et vaincre la pandémie » a également été organisée avec la participation de cinq représentants et experts des médias chinois et latino-américains.
Ils ont déclaré que les médias pourraient devenir un moteur important de la reprise économique : le renforcement de la coopération entre les médias chinois et latino-américains aidera à regagner les investissements et la confiance des consommateurs.
La culture d’innovation a donné une impulsion constante au développement de la zone économique spéciale de Shenzhen et a également attiré des entreprises du monde entier.
De plus en plus de groupes multinationaux ont créé des institutions de R&D innovantes à Shenzhen. Le 30 juillet, le centre d’innovation de la Chambre de commerce allemande a été inauguré à Shenzhen, premier centre d’innovation créé par l’Alliance des Chambres de commerce allemandes d’outre-mer dans le monde. Maximilian Butek, représentant en chef du bureau de représentation de Guangzhou de la Chambre de commerce allemande, a déclaré dans une interview exclusive à CCTV News que l’ouverture et l’inclusion de Shenzhen étaient impressionnantes et que la forte atmosphère d’innovation les incitait à commencer ici.
Jusqu’à présent, environ 50 % des activités de Lufthansa Shenzhen proviennent de Chine et les futures activités de l’entreprise continueront de se concentrer principalement sur la Chine et la région Asie Pacifique. Au début de l’épidémie, bien que l’industrie aérienne chinoise ait été touchée, les activités de Lufthansa Technik Shenzhen sur le marché chinois se redressent progressivement avec la reprise de l’économie chinoise et l’augmentation du trafic aérien de passagers chinois. #EconomieChinoise
Idrissa Nassa est un entrepreneur et banquier Burkinabé. Président Directeur général du Holding Coris Bank International
par croissanceafrique/Daouda Bakary KONE
Le groupe Coris accompagne la société de télécommunication Orange Niger dans le financement de son plan d’investissement 2020 à travers un prêt de 31 milliards de FCFA pour la modernisation de son réseau. « Félicitations à Coris Bank International Niger qui accompagne Orange Niger avec un financement de 31 milliards de FCFA pour la modernisation de son réseau », s’est réjoui, le PDG du groupe bancaire Idrissa NASSA.
Cette opération s’inscrit donc à la fois dans la stratégie de croissance de Orange Niger pour les prochaines années mais est également en phase avec le positionnement de Coris Bank International, présente sur le marché financier nigérien depuis à peine un an mais déjà très active en matière d’accompagnements structurés de grande envergure et l’innovation au service de ses clients et partenaires.
Prenant la parole la Directrice Générale de Coris Bank International Niger, Mme Rakiatou Idé Issaka : a annoncé que « dans un contexte où le secteur des télécoms connaît de fortes évolutions technologiques avec des enjeux de développement importants, ce partenariat stratégique avec notre banque, Coris Bank International, nous permettra de raffermir la relation de confiance et consolider la dynamique commerciale locale », a-t-elle déclaré.
Selon un document que croissanceafrique a reçu copie « Ces fonds ainsi levés serviront au financement du plan d’investissement d’Orange Niger pour l’exercice 2020, notamment : « l’acquisition de la licence 4G; et la modernisation et l’extension du réseau; et le déploiement des technologies 4G et 4G+ », a-t-il souligné dans un document de presse.
Par ailleurs, notons que la coris Bank international a une ambition forte pour le Niger et, cela, elle couvre à court et moyen terme l’extension du réseau de distribution ; l’engagement dans la transformation digitale des processus, produits et services ; le lancement de la branche islamique ; la filialisation et la certification ISO 9001 version 2015, du Système de Management de la Qualité.
Goodluck Jonathan , médiateur de la Cédéao pour le Mali en face aux micros des médias
par Croissanceafrique
Alors les militaires auront-ils rassurés suffisamment pour que l’embargo soit levé ? Les sanctions économiques, véritable message de fermeté envoyé la semaine dernière par les chefs d’État au CNSP seront au centre des discussions lors de la visioconférence de la cedeao ce vendredi. Des questions qui restent sans réponse adéquate.
D’ores et déjà, la Cédéao « trouverait acceptable » l’idée d’un « gouvernement par intérim dirigé par un civil ou un militaire à la retraite » pour une période de transition de « six, neuf, ou douze mois » au Mali, avant l’organisation d’élections dans le pays, indique le communiqué de la présidence nigériane. Ensuite un délai d’un an maximum, alors que la junte souhaiterait elle, « rester au pouvoir » pendant « trois ans » avant la tenue d’un scrutin, certaines sources relevant de la CEDEAO, depuis lagos.
Par ailleurs, cette hypothèse avait été défendue par les président Guinéen et Ivoirien, car selon eux « ils pensaient à leur propre situation ». Mais, aujourd’hui, il faut reconnaitre que les lignes ont bougé au niveau de Bamako. Et par suite, la junte consultent tous les acteurs, elle dira même « qu’aucune manifestation d’ampleur n’a réclamé le retour de l’ancien président », conclura-t-elle.
En effet, le maintien des décisions ou leur assouplissement est sur table de la Cédéao, ce vendredi. Il sera débattu lors de la visioconférence. Cette décision « est entre les mains des chefs d’État de la Cédéao », a rappelé Goodluck Jonathan, le médiateur de la Cédéao.
C’est pourquoi, le colonel Malick Diaw, non moins numéro 2 du CNSP, s’est rendu jeudi en amont de cette réunion à Ouagadougou et à Niamey pour des rencontres de haut niveau. Selon un une source proche de la société civile « On ne peut pas laisser tout à la portée des militaires. C’est vrai qu’ils ont répondu à l’appel du peuple, mais la Cédéao doit intervenir pour que les civils reviennent».
Notons que le nom de celui qui dirigera le futur gouvernement intérimaire sera aussi certainement débattu ce vendredi. Et d’aucuns savent que IBK ne sera pas rétabli au pouvoir comme l’avait exigé la Cédéao la semaine dernière. Il y’a deux jours, une note diplomatique de la France, révélée par Jeune Afrique, jugeait dès le 19 août, « irréaliste », le retour du président déchu aux affaires.
Le financement est principalement destiné au développement des entreprises, à l’assainissement et à la santé en guise de mesures de riposte contre le Covid-19.
La Banque de développement des Etats de l’Afrique centrale (BDEAC) a signé une série d’accords de financement d’un montant global de 55 milliards de FCFA pour la réalisation des projets de développement dans les pays de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC). Le premier accord d’un montant total de 29 milliards avec le Tchad se subdivise en deux parties dont la première dotée d’une enveloppe de 15 milliards devrait permettre à ce pays de renforcer le plan de riposte contre le COVID-19.
L’autre partie de l’enveloppe, soit 14 milliards soit 87, 37 % du projet est destinée à la mise en valeur des ressources en eaux souterraines et la valorisation des eaux des provinces de l’Ennedi Est et Ouest ce qui permettra la réalisera des ouvrages hydrauliques pour la consommation humaine et la production agro-pastorale. Pour sa part, l’accord de financement de 16 milliards signé entre la BDEAC et la Guinée équatoriale concerne le plan de riposte contre le COVID-19 et le projet de construction d’un nouveau terminal à passagers à l’Aéroport international de Bata.
Le troisième accord de financement, d’un montant de 10 milliards signé entre la BDEAC et le Congo par le biais de la Banque Postale du Congo (BPC) a pour objectif d’accompagner et de soutenir les Petites et Moyennes Entreprises (PME) dans le développement de leurs activités dans un contexte marqué par la crise sanitaire de la COVID-19. De manière spécifique, aussi bien pour le Tchad, la Guinée équatoriale et le Congo les fonds débloqués pour lutter contre le COVID-19 ont pour objectif de réduire le risque d’importation de la maladie, réduire le risque de propagation communautaire, renforcer la communication sur les risques à toute la population, rechercher activement tous les cas et leurs contacts, assurer une prise en charge adéquate et gratuite des cas suspects et confirmés et renforcer la capacité de prise en charge des structures sanitaires.
Il est également question de renforcer les capacités d’offre des services essentiels de qualité des hôpitaux régionaux, provinciaux et des districts, les capacités nationales de réponse multisectoriellesbde intégrale au COVID-19 et autres épidémies post-COVID-19 et renforcer les capacités opérationnelles des laboratoires biomédicaux et des centres de transfusion sanguine. Par ailleurs, à travers cette opération, la BDEAC compte contribuer à faire déployer une meilleure réponse post COVID-19 en faveur des opérateurs économiques congolais, particulièrement les PME. Elle permettra de maintenir de nombreux emplois,
L’Etat du Niger, par le biais de son trésor public, a levé le 27 août 2020 un montant de 27,500 milliards de FCFA (41,250 millions d’euros) sur le marché financier de l’Union monétaire ouest africaine (UMOA) au terme de son émission par adjudication de bons assimilables du trésor (BAT) à 364 jours.
Sollicitant un montant de 25 milliards de FCFA, l’émetteur a reçu un montant de 64,904 milliards de FCFA de soumissions globales provenant des investisseurs, soit un taux de couverturedu montant mis en adjudication s’établit ainsi à 259,62%.
Tous les pays de l’UEMOA ont participé à l’opération, à l’exception du Mali. Le Niger (17 milliards), le Burkina (16,454 milliards) et la Côte d’Ivoire (16 milliards) sont les pays qui ont enregistré les plus grosses soumissions.
Au terme de l’adjudication, le trésor public nigérien a retenu 27,500 milliards de FCFA et rejeté les 37,404 milliards de FCFA restants. Ce qui donne un taux d’absorption de 42,37%.
Le Burkina (12 milliards), le Niger (7 milliards) et la Côte d’Ivoire (4,750 milliards) ont enregistré les plus gros montants retenus par l’émetteur.
Celui-ci compte rembourser les titres émis le premier jour ouvré suivant la date d’échéance fixée au 26 août 2021. En revanche, les intérêts sont payables d’avance et précomptés sur la valeur nominale des bons qui est d’un million de FCFA.
Le patron d’Amazon a vu sa fortune bondir de plus de 5 milliards de dollars ce mercredi pour atteindre les 202 milliards. Jamais un homme n’avait détenu un tel patrimoine dans l’ère moderne.
Jeff Bezos est l’homme le plus riche depuis que les indicateurs de fortune existent. Le patron d’Amazon a vu ce mercredi 26 août sa fortune dépasser la barre symbolique des 200 milliards de dollars pour atteindre les 202 milliards (170 milliards d’euros), selon le classement Bloomberg Billionaires.
Le fondateur du plus grand e-commerçant de la planète devance désormais largement Bill Gates (124 milliards de dollars) ainsi que Mark Zuckerberg (115 milliards de dollars) dans le classement des plus grandes fortunes mondiales.
La richesse personnelle de Jeff Bezos, essentiellement composée d’actions d’Amazon, a grimpé en flèche ces derniers mois avec la flambée du cours de l’action de la société. Ce mercredi, le cours d’Amazon a grimpé de 2,85% et la fortune de Bezos a ainsi progressé de plus de 5 milliards de dollars lui permettant de passer la barre des 200 milliards de dollars.
87 milliards depuis le début de l’année
Et depuis le début de l’année, le gain est spectaculaire. Le patrimoine du fondateur d’Amazon a progressé de plus de 87 milliards de dollars en 2020, soit près de 11 milliards de plus chaque mois. Il devance ainsi Elon Musk (+73,6 milliards en 2020) et Mark Zuckerberg (+36 milliards en 2020).Play Video
Les actions d’Amazon ont atteint des niveaux records portées par une demande sans précédent des consommateurs durant le confinement pour les services du géant américain. L’entreprise fondée en 1995 vaut désormais 1700 milliards de dollars, ce qui en fait la deuxième entreprise la plus valorisée de la planète derrière Apple (2160 milliards de dollars).SUR LE MÊME SUJET
Et la fortune de Jeff Bezos aurait pu depuis longtemps dépasser la barre des 200 milliards sans son divorce en 2019 avec MacKenzie Scott. L’ex-épouse du milliardaire américain a récupéré l’année dernière 25% de l’ancienne fortune du couple, composée d’actions Amazon. Son patrimoine personnel atteint désormais 66,2 milliards de dollars. Elle est en passe de devenir la femme la plus riche du monde, titre qui appartient toujours mais de peu à la française Françoise Bettencourt-Meyers, héritière de l’empire L’Oreal à la tête d’un patrimoine de 66,7 milliards de dollars.