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Mine: Le Mali produira du lithium d’ici deux ans.

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Le Mali commencera la production de lithium d’ici 2020 ainsi que les entreprises ont déjà découvert 694 000 t de réserves exploitables, a déclaré lundi 19 novembre, Yaya Djire, chef du département de géologie au ministère des Mines du Mali.

Le lithium est devenu l’un des produits les plus cherchés au monde grâce à la popularité croissante des véhicules électriques alimentés par des batteries lithium-ion.

Les projets Goulamina et Bougoni au Mali, appartenant respectivement aux explorateurs australien Birimian et britannique Kodal Minerals, qui ont découvert des réserves de plus de 48 millions de tonnes de minerai, dont 694 000 t de lithium.

“Les chiffres pourraient augmenter à mesure que les recherches se poursuivront”, a ajouté Yaya Djire.
Avant 2017, le Mali n’avait délivré que deux permis d’exploration minière de lithium, mais il en a accordé une douzaine et d’autres sont en attente d’autorisation.

“Depuis 2017, une douzaine de permis d’exploration ont été délivrés à des entreprises, toutes situées dans la zone minière de Bougouni (à environ 150 km au Sud de Bamako), principale zone de gisements de lithium”, a déclaré Djire.

Les réserves mondiales de lithium s’élèvent à environ 16 millions de tonnes et la majeure partie de la production est concentrée au Chili et en Australie, selon les données d’US Geological Survey.

Source: Africandailyvoice
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La dette des pays émergents dépasse $ 71 000 milliards

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La dette des pays émergents a augmenté de 1.000 milliards de dollars au deuxième trimestre pour atteindre 71.000 milliards, et la Chine a représenté à elle seule plus de 80% de cette augmentation, montre mercredi une étude de l’Institute of International Finance (IIF).
Moteur de cette accélération, la Chine a vu sa dette totale dépasser 300% de son PIB, dopé par l’appétit des investisseurs mondiaux sur les obligations de la première économie mondiale.

Les économies émergentes devront en outre faire face à des échéances de dettes record au cours des deux ans à venir, pour un montant global de plus de 4.000 milliards de dollars d’obligations et de prêts syndiqués d’ici la fin 2020, dont un tiers environ libellés en devises étrangères, précise l’étude de l’IIF.
Au Chili, en Colombie, en Egypte et au Nigeria, près de 75% des échéances à venir d’ici deux ans sont libellées en dollars.

Le paysage est évidemment différent pour les marchés matures: le niveau global d’endettement y a diminué de 1.500 milliards de dollars à 247.000 milliards au deuxième trimestre selon les données de l’IIF, grâce principalement au reflux des dettes des Etats et du secteur financier des pays développés.
“Dans un contexte de croissance mondiale forte et d’augmentation de l’inflation sur les marchés émergents et certains marchés matures, cette baisse a ramené le ratio dette/PIB global à 317% au deuxième trimestre, poursuit l’étude.

Aïssatou Traoré

Source: croissanceafrique.com

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Finance: Classement des banques ivoiriennes

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Au 31 décembre 2017, la première banque de Cote d’Ivoire en termes d’encours crédit et de dépôts est la SGBCI. Avec 15% de part de marché, elle devance la Banque Atlantique de Cote d’Ivoire, filiale ivoirienne du groupe marocain BCP en termes de ressources. Au niveau des emplois, ses 19% de part de marché, la place bien loin devant ECOBANK CI. La filiale ivoirienne du groupe français SOCIETE GENERALE a su faire preuve de réactivité dans un secteur où la concurrence s’est renforcée ces dernières années.

En effet, il y’a dix ans (en 2008), le secteur ne comptait que 18 établissements. Désormais ils sont 27 à se disputer les faveurs des populations ivoiriennes pour les services financiers. En dépit de ce fait, la SGBCI a su conserver ses parts de marché.

Un podium âprement disputé

Une bataille a lieu pour les deux autres places du podium entre ECOBANK CI, filiale du groupe panafricain du même nom, la BACI et NSIA BANQUE CI. Chacune de ses structures a réalisé une forte croissance de ses ressources et emplois entre 2013 et 2017 :

BACI, Hausse de 147% des ressources et de 98% des emplois
ECOBANK CI, Hausse de 160% des ressources et de 77% des emplois
NSIA BANQUE CI, Hausse de 94,2% des ressources et 109,6% des emplois.

En dépit de ses progressions, chaque structure conserve son rang par rapport à 2013.

La SIB consolide, la BICICI décline

La perception du potentiel du marché ivoirien n’est pas la même qu’on soit à Rabat ou à Paris. Tandis que les banques marocaines accentuent leurs actions de conquête de marché, les banques européennes à l’exception de la SGBCI semblent ne pas considérer le sujet de la même façon.

Entre 2013 et 2017, le réseau de la SIB est passé de 43 agences à 60 agences soit une hausse de 17 unités en 4 ans. Pendant ce temps, la BICICI qui disposait de 37 agences en 2013 (soit moins que la SIB dans la même période) n’en a créé que 6 sur la période. La modestie du réseau de la BICICI ne semble pas être compensée par un déploiement dans le digital comme le fait ECOBANK CI. Dans ces conditions, la filiale ivoirienne du groupe français BNP PARIBAS perd du terrain au profit de la filiale ivoirienne du groupe marocain ATTIJARIWAFA.

Ainsi, au 31/12/2017, La SIB est la 5e banque ivoirienne tant pour les ressources que pour les emplois tandis que la BICIC chute à la 7e place des ressources (5e en 2013) et la 6e place des emplois.

La belle aventure de CORIS BANK CI

L’une des remontés des plus spectaculaires de ce classement nous vient de la filiale ivoirienne du groupe burkinabé CORIS BANK. Arrivée il y’a cinq ans à peine en 2013, CORIS BANK CI tient désormais le 11e rang de notre classement tant au niveau des ressources que des emplois.

Au niveau des emplois CORIS BANK CI gagne 8 places (19è en 2013) à la faveur d’une croissance de 800% de ses emplois (26,47 milliards à 227 milliards). Au niveau des ressources CORIS BANK CI gagne 10 places (21è en 2013) grâce à des ressources qui ont été multiplié par 11 en 4 ans (21,46 milliards en 2013 à 283 milliards en 2017). Elle devance désormais UBA CI, filiale du géant nigérian du même nom présente en C.I cinq avant elle.

Ce succès pourrait s’expliquer en partie par la présence d’une forte communauté burkinabé (entre 3 et 4 millions) en Côte d’Ivoire. Ces derniers travaillent dans ce pays et rapatrient chaque année de fortes sommes dans leurs pays d’origine.

Les banques nigérianes encore à la peine

Parmi les nouvelles banques du paysage ivoirien, les banques nigérianes peinent à se faire une place. Pourtant leur arrivée à partir de 2008 marquait le début d’un dynamisme accentué dans le secteur. UBA, ACCES BANK, DIAMOND BANK, GT BANK sont en effet des poids lourds du secteur financier au Nigéria. Mais dix ans plus tard, l’épopée en terre ivoirienne a davantage l’allure d’un parcours de survie que d’une lune de miel.

UBA CI ne dispose que de 2% de part de marché pointant à la 12e et 13e place en fonction des critères au 31/12/2017. Malgré une hausse remarquable de ses ressources et emplois par rapport à 2013 (+104% pour les ressources et +224% pour les emplois) elle demeure en milieu de tableau.

ACCES BANK a revendu en 2013 ses actifs ivoiriens au groupe camerounais AFRILAND FIRST BANK. Ce dernier malgré son expertise acquise en zone CEMAC pointe à la 22eplace du classement avec 0,4% des ressources et des emplois du secteur. Cela contraste avec les performances de CORIS BANK CI alors que les deux banques sont arrivées en terre ivoirienne la même année.

DIAMOND BANK CI, 14e de notre classement avec 1% de part de marché vient d’être cédée au groupe NSIA avec les autres filiales francophones du groupe nigérian.

Arrivée le 16 avril 2012, la GT BANK CI est pourtant 25e sur 27 établissements devançant à peine les nouveaux venus (la BDA et la BRVM). En 2013, elle était dernière de notre classement.

Quelques raisons expliquant ces performances avaient déjà été évoqués par le magazine JEUNE AFRIQUE dans son article du 26 janvier 2016 intitulé ‘‘Pourquoi les banques nigérianes sont à la peine en Côte d’Ivoire’’. Trois ans plus tard, la situation n’a pas vraiment évolué.

La concentration du secteur

Eu égard au nombre d’acteurs (27 au 31/12/2017), on pourrait considérer le secteur bancaire comme ouvert avec des positions en constant changement. Toutefois, en étudiant de près le poids des acteurs dans le temps, on constate que l’activité est concentrée entre les mains de quelques-uns.

Les trois premières banques (SGBCI, ECOBANK et la BACI) cumulent 40% des emplois et ressource du secteur en 2017. Cette proportion est la même qu’en 2013.
Les cinq premières banques du pays (SGBCI, ECOBANK, BACI, NSIA BANQUE, SIB) concentrent 60% des emplois et ressources. (Proportion identique en 2013)
Les huit premières banques cumulent 77% de part de marché au 31/12/2017 (80% en 2013)
Autrement dit 8 acteurs sur 27 réalisent plus de trois quart de l’activité du secteur.

Cette concentration met en évidence les limites du dynamisme observé ces dernières années. Entre 2008 et 2017, le pays a accueilli en moyenne un nouvel établissement par an. Néanmoins, aucun n’a présenté une proposition de valeur différenciée perceptible par l’ivoirien LAMBDA non encore bancarisé. Les innovations présentées dans la presse viennent quasi exclusivement des anciens établissements. (A l’exception de l’ouverture de compte via application proposé par la STANBIC). Dans ces conditions, il est difficile pour les nouveaux de se démarquer et de prendre des parts aux anciens.

CONCLUSION
Le secteur bancaire progresse effectivement tant au niveau des emplois que des ressources. Entre 2013 et 2017, les ressources ont augmenté de 5 109 milliards (+117%) passant de 4327 milliards à 9507 milliards. Les emplois ses sont accru dans des proportions similaires (+107% de 3 785 milliards à 7939 milliards. Toutefois, cette bonne dynamique est davantage à mettre au compte des acteurs leaders que des nouveaux venus. Ces derniers cumulent plus de 75% de l’activité depuis 2013 et rivalisent d’imagination pour atteindre davantage de clients. Toutefois, les lignes pourraient bouger dans le futur si des structures telles que CORIS BANK CI poursuive sur leur lancée.

Hamadoun Alphagalo

Source: croissanceafrique.com

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Mali : Banque Atlantique lance un programme d’électrification solaire en milieu rural

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MM. Habib BLEDOU et Souleymane BERTHE, respectivement directeur général de Banque Atlantique et directeur général de l’Agence des Énergies Renouvelables du Mali (AER) ont scellé le partenariat entre les deux structures dans le cadre de ce programme d’électrification en énergie solaire des zones rurales.

Banque Atlantique Mali annonce le lancement d’un programme d’électrification en énergie solaire en milieu rural dans le cadre d’un programme citoyen. Une convention a été signée à cet effet ce 12 novembre dernier à Bamako avec l’Agence des Energies Renouvelables du Mali (AER), partenaire technique du programme.

Mise en œuvre dans le cadre des actions citoyennes de la banque, filiale du groupe marocain Banque Centrale Populaire, l’initiative porte sur le financement de la fourniture et de l’installation de systèmes solaires photovoltaïques dans les zones rurales.

Dans le détail, il s’agira pour Banque Atlantique, une fois le dispositif installé, d’assurer dans chaque localité sélectionnée l’électrification de centres de santé et d’écoles élémentaires, l’installation de lampadaires solaires pour l’éclairage public, la fourniture de séchoirs et l’installation de systèmes d’adduction d’eau potable.

« A travers ce partenariat, Banque Atlantique s’investit dans le financement d’une série de projets au Mali, en vue de relier les populations aux infrastructures sociales de base notamment en matière d’eau potable ainsi que d’énergie fiable, durable et respectueuse de l’environnement, facilitant par la même occasion l’accès au système de santé et d’éducation » indique la banque dans un communiqué.

La première localité retenue dans le cadre ce programme est Keniébougou, village d’environ 1 000 âmes, situé à 35 km de la ville de Ségou.

Daouda Bakary koné

Source:croisqanceafrique.com

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MALI: LA FONDATION CHEICK MANSOUR HAIDARA REMET DES DONS A SEGOU

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Comme à l’accoutumée, la fondation Cheick Mansour Haidara a procédé, ce samedi 17 novembre à Ségou, à des donations, à des mosquées et associations musulmanes des communes de Ségou, Sébougou et Pélengana. Rentrant dans le cadre de la célébration du Maouloud, les donations étaient composées de sacs de farines, sacs de riz, des bidons d’huiles, des tonnes de ciments, un corbillard et autres matériels sanitaires. La cérémonie tenue à la place de l’indépendance, était présidée par Issa Koné, conseiller aux affaires administratives et juridiques du gouverneur de Ségou. C’était en présence des honorables députés, Abdoulaye Fofana, Maimouna Dramé, du maire de la commune urbaine de Ségou, Nouhoun Diarra. Des personnalités religieuses et coutumières ont aussi pris part à la cérémonie de remise. Des collaborateurs, amis et parents du donateur, Abdoul Galil Mansour Haidara étaient également de la fête.

Douba Dembélé

Source: croissanceafrique.com

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Heureux comme le lauréat du Prix BOAD

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Le togolais Yao Azoumah, ici au centre, entouré de Christian Adovelande, président de la BOAD et de Bassary Touré, vice-président de l’institution.

Le Meilleur Projet Innovant dans le domaine des énergies renouvelables a été primé en marge de la célébration des 45 ans de la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD).

Ainsi, le togolais Yao Azoumah a été récipiendaire du prix de 30 millions de Franc CFA pour son projet « Groupes électro solaires KYA-SoP ». Cette startup créée en 2015 propose de passer d’un système centralisé de fourniture d’électricité très onéreux avec des réseaux électriques à un système décentralisé (individuel ou communautaire), beaucoup plus accessible financièrement à l’aide des armoires mobiles hybrides standardisées à travers les groupes électrosolaires KYA- SoP.
Titulaire d’un doctorat en Énergies Renouvelables, l’heureux lauréat bénéficiera en outre d’un séjour de 6 mois et d’un cursus d’une semaine au centre de l’entrepreneuriat de l’université technique du Danemark, une institution qui accompagne les start-up jusqu’à maturation de leurs projets.
Fiche technique du projet primé

Le projet « Groupes électrosolaires KYA-SoP », KYA-Energy Group propose de passer d’un système centralisé de fourniture d’électricité très onéreux avec des réseaux électriques à un système décentralisé (individuel ou communautaire), beaucoup plus accessible financièrement à l’aide des armoires mobiles hybrides standardisées à travers les groupes électrosolaires KYASoP®.

Les groupes électrosolaires KYA-SoP® aspirent à se positionner sur le marché de l’accès aux services énergétiques comme des produits solaires à forte valeur ajoutée pouvant impacter considérablement le vécu des populations. Il s’agit de promouvoir des systèmes plus viables que les systèmes classiques de fourniture d’électricité, les groupes électrosolaires KYA-SoP® veulent se démarquer en se basant sur le modèle technologique et celui économique des téléphones portables qui ont connu un succès retentissant en Afrique subsaharienne, pourtant l’une des régions les plus pauvres au monde.

Conçus, assemblés et commercialisés par KYA-Energy Group, jeune entreprise togolaise à vocation sous régionale, créée en juillet 2015 et basée à Agoenyivé, Lomé, Togo, les groupes électrosolaires KYA-SoP sont standardisés en (06) gammes dont trois (03) gammes pour les ménages avec des puissances allant de 1kVA à 5kVA et trois autres gammes pour les PME/PMI de puissance allant de 5kW à 10kW. Les KYA-SoP sont assemblés localement et peuvent faire l’objet d’une économie d’échelle via une semi industrialisation ou une industrialisation complète, ce qui est l’objet du présent projet. De plus, ils sont écologiques, compactes et mobiles. Ils sont essentiellement destinés aux ménages, aux institutions publiques / privées, aux PME/PMI ainsi qu’aux ONGs de tous les pays africains notamment ceux de l’espace UEMOA.

Dans le cadre du présent projet, l’ambition est de passer à la semi-industrialisation des KYASoP par la mise en place d’une ligne d’assemblage local pour une production de 1000 unités de KYA-SoP (toutes catégories confondues) dès la première année. Grâce à ce projet, plus de 150 emplois directs et plusieurs dizaines d’emplois indirects seront créés et plus de 30 000 ménages auront accès à l’électricité en moins de cinq (05) années de production. Le projet permettra également d’éviter sur les cinq premières années, l’émission de 3 429 tonnes Eq-CO2, soit l’équivalent de 136 000 arbres plantés.

Hamadoun Alphagalo

Source:Croissanceafrique.com
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Mali,pèlerinage national de Kita: IBK reçoit le Secrétaire d’Etat du Vatican, Cardinal Pietro Parolin

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Le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Ibrahim Boubacar Keita, a reçu en début de soirée du 16 Novembre 2018, le Secrétaire d’Etat du Saint-Siège, Son Éminence Cardinal Pietro Parolin, accompagné de Son Éminence Jean Zerbo archevêque de Bamako et de nombreuses grandes personnalités de l’Eglise Catholique du Mali. L’hôte d’honneur du jour du Président de la République est l’envoyé du Pape François au 47ème pèlerinage national Marial à Kita coïncidant avec la célébration des 130 ans de l’Eglise Catholique au Mali du 17 au 18 Novembre 2018.

Le thème du pèlerinage de cette année est : « Avec Marie, quels jeunes pour le Mali et l’Eglise ? ». Les entretiens au cours de l’audience ont essentiellement porté sur les questions religieuses. L’audience a eu lieu dans la salle polyvalente du Palais Présidentiel de Koulouba.

Après avoir observé une vue panoramique nocturne de Bamako sur les hauteurs du jardin du Palais Présidentiel de Koulouba ; se prêtant aux questions de la presse, le grand visiteur du jour du Chef de l’Etat a déclaré « Quand je viens en visite dans un pays, je tiens à rencontrer les plus hautes autorités de ce pays comme le président de la république. Je suis très content de savoir qu’il y’a une bonne relation entre l’Eglise et l’Etat. Que les deux dans leur respect mutuel collaborent pour le bien du pays, pour le bien des personnes et de la société ».

Parlant du thème du 47ème pèlerinage à Kita, l’hôte du jour du Chef de l’Etat a déclaré qu’il est d’actualité. « La majorité de la population malienne est jeune. C’est un appel aux jeunes pour s’engager et contribuer dans la construction du pays, à la construction de la paix, à la constitution du développement, à la stabilité du pays. Alors, l’Eglise fait cet appel aux jeunes avec Marie. Marie était une jeune mais qui a vraiment bien contribué au bien de l’humanité » a évoqué Son Éminence. Il a également déclaré être content d’avoir rencontré le Chef de l’Etat à Paris dans le cadre du centenaire international de l’armistice de la fin la première guerre mondiale.

Son Eminence Cardinal Pietro Parolin, Secrétaire d’Etat du Vatican est âgé de 63 ans, et occupe ce poste depuis Octobre 2013. Il s’occupe également de la diplomatie vaticane.

L’audience s’est déroulée en présence du Ministre des Affaires religieuses et du Culte, du Secrétaire Général Adjoint de la Présidence de la République du Mali, du Chef de Cabinet du Chef de l’Etat.

Madou’s Camara
Crédits photographies CcomPRM -Madou’s

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Source:croissanceafrique.com

Mali,DINER GALA DE L’ESPOIR: L’épouse du Chef de l’Etat encourage les bourses d’excellence du Privé

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L’épouse du Chef de l’Etat, Keita Aminata Maiga, Présidente de l’ONG AGIR, a présidé dans la soirée du 17 novembre 2018, la cérémonie de levée de fonds pour parrainer les bourses d’excellence au niveau privé en faveur des étudiants et universitaires brillants dont les parents sont démunis et ne pouvant pas financer leurs études supérieures. Le niveau de ces études supérieures est la licence sur 3 ans d’apprentissage. L’initiative est de l’Institut des Hautes Études en Management du Mali (IHEM) d’Abdallah Coulibaly.

La 4ème cohorte dont la levée de fonds a eu lieu cette soirée sous le parrainage de l’épouse du Chef de l’Etat a battu le record des donations de bourses depuis sa création , car elle à permis de mobiliser 26 nouvelles bourses dont 25 en licence et une en Master .

Grâce à la générosité des structures de bonne volonté, l’IHEM a déjà à son actif 3 promotions bénéficiaires de bourses d’études niveau licence notamment la première cohorte avec 24 bénéficiaires, la deuxième cohorte 14 et 12 pour la troisième cohorte.

Cet élan citoyen constitue une opportunité de célébrer et d’incitation à la solidarité et à l’excellence, en offrant à la jeunesse des modèles désignés autour des valeurs de l’effort, du mérite et du travail malgré leur appartenance sociale.

La soirée de diner gala avec la présence solennelle de Mme Kéita Aminata Maïga, concrétise la générosité et l’engagement citoyen constant d’une Dame de cœur ,dans sa volonté totale d’offrir des solutions pour un Mali nouveau, solidaire des plus démunis en milieu scolaire et universitaire, un Mali excellent.

En rappel, l’Etat malien parraine des boursiers de l’excellence chaque année en partance pour la France. La prise en charge de l’Etat dans l’octroi de ces bourses de l’excellence est majoritaire par rapport à la partie partenaire .

Les filles sont privilégiées dans cet élan de solidarité citoyenne pour un futur commun.

La cérémonie a été également marquée par la remise deux attestations d’excellence aux boursières , Melle Rokiatou Walett Ahmedou et Fatoumata Diabaté (avec une note de 17 de moyenne en niveau licence). Les structures partenaires en parrainage du programme de bourses ont également reçu chacune une attestation de reconnaissance de l’IHEM ,notamment l’Union Européenne, l’Union africaine .�
Offrir une bourse, c’est aussi offrir un sourire !

La cérémonie s’est déroulée dans la Salle Jaama de l’Hôtel Laïco de l’Amitié dans la soirée de ce samedi 17 novembre 2018, en présence du Premier Ministre, Chef du gouvernement, M. Soumeylou Boubeye Maiga, de l’Ambassadeur du Canada au Mali, du Représentant de l’Union Européenne au Mali, du représentant du Maire de la Commune 2, du Directeur de l »IHEM, M. Abdullah Coulibaly, les cadres du Cabinet de la Première Dame , de l’ONG-AGIR des représentants d’une quinzaine de structures de parrainages dont le gouvernement du Mali, et de nombreux grands invités.

Madou’s Camara
Crédits photographies CcomPRM -Madou’s –

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Communiqué de Presse:Mouvement de Protection de la Presse Privée (MPV-Mali)

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Le vendredi 16 Novembre 2018, des journalistes ont été agressés, devant la Bourse du Travail, par les forces de l’ordre lors de la manifestation de l’opposition réprimée.
Il s’agit de : Boureima Guindo de Le Pays ; Moussa Timbiné de Liberté TV ; Alassane Cissé de Nouvel Horizon…
Le Mouvement de Protection de la Presse Privée (MPV-Mali) condamne avec la dernière rigueur cet énième acte perpétré contre les journalistes dans l’exercice de leur fonction.
Le MPV-MALI rappelle que cette agression des journalistes viole l’accord établi entre la presse et les autorités qui a abouti à la mise en place d’une commission tripartite (Presse-Ministère de la Sécurité et de la Protection Civile-Ministère de l’Economie Numérique et de la Communication).
Cette commission a confectionné des gilets afin de faciliter l’identification des journalistes par les policiers lors des manifestations. Les journalistes agressés étaient bien identifiables puisqu’ils portaient leur gilet.
Le MPV-Mali prend la communauté nationale et internationale à témoin pour le non respect de cet accord par le Ministère de la Sécurité et de la Protection Civile.
Le MPV-Mali se retire de la commission tripartite et mènera des actions dans les jours à venir afin que les journalistes ne soient plus des cibles des forces de l’ordre dans l’exercice de leur métier.
Bamako, le 17 Novembre 2018
Le Président
Boubacar Yalkoue

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Urgent: La France est entrain de mettre un plan machiavélique en place pour destabiliser la Republique centrafricaine.

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Il est très urgent pour tout citoyen centrafricain épris des valeurs républicaines de se tenir debout en ce moment même où nous mettons sous presse cet article pour affronter avec rigueur et énergie les ennemis de la nation qui ont déjà déclenché leur plan machiavélique pour replonger à nouveau le pays dans le chaos comme cela a été le cas avec l’avènement au pouvoir de l’Etat de la nébuleuse séléka en 2013 et ce, par la complicité des mêmes acteurs que sont entre autres, la France, le Tchad, le Congo Brazza, Meckassoua, Mbolingoumba, Abdoulaye Hissen, Ali Darrassa, Alkatim et consorts.

En effet, le nouveau plan de ces ennemis du peuple centrafricain dont la Minusca s’est ralliée à leur cause, consiste à semer le désordre à l’intérieur du pays avant d’atteindre Bangui pour renverser le pouvoir du Professeur Faustin Archange TOUADERA.

C’est ainsi que les villes de Batangafo, Bambari et Alindao connaissent déjà le début de la mise en œuvre de ce plan de massacre gratuit des populations civils. Les prochaines localités qui sont dans le viseur de ces ennemis de la République ce sont, Mobaye, Kémbé, Zangba, Pombolo, zémio…

Ce n’est un secret pour personne de comprendre que depuis l’arrivée des russes en Centrafrique, la France est très inquiète de perdre le contrôle des ressources naturelles notamment l’Uranium et les mines d’or et de diamants qu’elle a toujours exploité illégalement.

Après le cuisant échec du plan A de la France avec ses acolytes de la Sous-région y compris éternels insatisfaits hommes politiques de la RCA qui consistait à éliminer physiquement le Chef de l’Etat Faustin Archange TOUADERA afin de permettre à Meckassoua de prendre le pouvoir et chasser les russes immédiatement du territoire centrafricain, ces ennemis du peuple centrafricain viennent de passer à la vitesse supérieure par la mise en œuvre de leur plan B calqué sur le schémas qui leur avait permis de chasser le président Bozizé du pouvoir.

Cependant, il n’en demeure pas moins que la détermination du peuple centrafricain face à ce complot ourdi va réserver une surprise désagréable aux auteurs ainsi que tous leurs alliés.

Hervé BINAH / PotentielCentrafricain
Charilogonemedia