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Coris Bank International : Des performances appréciables au terme de l’exercice 2017 .

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Le Résultat net de Coris Bank International s’établit à 19,571 milliards au terme de l’exercice 2017, en hausse de 19,48% par rapport à l’exercice 2016 a appris le journal de l’économie malienne (LEJECOM).
Selon les dirigeants de la banque, au Burkina Faso, l’activité économique enregistrerait une accélération de son rythme de croissance, avec un taux de 6,9% contre 5,9% en 2016, tirée par l’ensemble des secteurs. Elle se déroulerait dans un contexte de maîtrise de l’inflation, dont le taux annuel moyen serait de 0,6% contre -0,2% en 2016. La situation des finances publiques se caractériserait par une aggravation du déficit global qui représenterait 5,9% du PIB en 2017 contre 3,4% en 2016, en raison d’une hausse plus importante des dépenses par rapport à celle des recettes. L’encours de la dette publique totale passerait de 36,7% du PIB en 2016 à 39,3% en 2017. Le solde global de la balance des paiements ressortirait déficitaire de 65,8 milliards en 2017 contre un excédent de 239,0 milliards en 2016, en lien avec les besoins en biens d’équipements et intermédiaires.
Un environnement favorable au secteur bancaire
Face à cette situation, l’activité bancaire au Burkina Faso a tiré profit de cet environnement en enregistrant une croissance de 13.9%. Grâce au dynamisme de l’activité de collecte des dépôts de la clientèle (+17,3%), le secteur bancaire a relevé son encours de financements à l’économie de 14.5%.
Dans ce contexte globalement plus favorable en 2017 qu’en 2016, CBI SA renforce ses positions de leader et en consolide ses activités tout en préservant la rentabilité. En effet, avec un bon maillage du territoire national et une politique efficace de recrutement de nouveaux clients, les dépôts de la clientèle progressent de 47,9% sur l’exercice pour s’établir à 620,502 milliards. Ce faisant, l’encours des crédits à la clientèle s’accroît de 31,2% et se situe à 542,058 milliards à fin 2017.
Cette bonne dynamique dans l’intermédiation a porté le total bilan à 1 132 milliards, après une croissance annuelle de 27,9%. Le PNB évolue de 34,2% pour atteindre 45,269 milliards, tiré à la fois par la bonne tenue de la marge globale d’intérêts et des commissions nettes. Les chantiers règlementaires et technologiques engagés en 2017 ont entraîné une évolution maîtrisée du niveau des charges générales d’exploitation à 16,051 milliards, après une hausse annuelle de 35%. Sous l’effet positif de la progression du PNB, le coefficient d’exploitation reste maîtrisé à 35,5%. Avec un Résultat Brut d’Exploitation de 29,218 milliards (+33.73%), un coût du risque de 9,158 milliards et la charge fiscale, le Résultat net s’établit à 19,571 milliards au terme de l’exercice 2017, en croissance de 19,48% par rapport à l’exercice 2016.
Une contribution appréciable des filiales dans la croissance des performances
CBI Succursale du Bénin et CBI Succursale du Sénégal, qui ont démarré leurs activités en début d’année 2017, apportent une part appréciable dans la croissance des performances de CBI SA au terme de leur premier exercice.
De bonnes perspectives en 2018
L’exercice 2018 s’annonce favorable avec la poursuite des actions et réformes gouvernementales prévues dans le cadre du Programme National de Développement Economique et Social (PNDES), l’entrée en production de nouvelles mines d’or, de manganèse et de zinc ainsi que les bons résultats attendus dans les secteurs de production. Le PNDES prévoit ainsi un taux moyen de croissance du PIB de 7% sur la période 2018-2022. Même si ces perspectives demeurent empreintes d’incertitudes, CBI SA entend maintenir sa dynamique commerciale sur les trois derniers trimestres de l’année, afin de saisir les bonnes opportunités qui seront offertes par le marché et le Groupe pour consolider ses activités et ses résultats.
Ado

 

Daouda

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Cameroun : Cinq freins à l’industrialisation.

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Forte empreinte de l’Etat néocolonial et inadaptation de la politique industrielle

De 1960 à 1980, la stratégie industrielle du Cameroun s’est basée sur la production et la valorisation des produits agricoles, forestiers, pastoraux et de la pêche sous l’encadrement d’organismes (para)publics. Dans le cadre du 6ème plan quinquennal de développement (1986-1991), l’Etat voulait substituer les exportations des produits manufacturés ou semi-finis à ces produits primaires. Mais, le rêve fut interrompu en 1987 par la crise économique. A travers l’Ordonnance N°90/001 du 29 janvier 1990 créant le régime de la Zone Franche Industrielle au Cameroun (ZFIC), l’Etat change curieusement de paradigme et s’engage plutôt à produire des biens et services destinés exclusivement à l’exportation (priorité exogène). Cela fait du Cameroun un comptoir de produits bruts où la valeur ajoutée industrielle évolue très faiblement (1,8% en moyenne annuelle depuis 1993). En conséquence, les importations des produits de première nécessité augmentent de façon exponentielle (plus de 800 milliards en 2015). Aussi, l’évolution des entreprises dans le secteur de la fabrication des matériaux de construction est très faible : 4% en 2000 et seulement 9% en 2010. L’industrie agro-alimentaire animale et de pêche par exemple reste absente dans le Nouveau Plan Directeur d’Industrialisation du Cameroun (PDI) adopté le 15 mars 2017. Sous le secteur prioritaire agro-industrie, l’on retrouve plutôt l’exploitation forestière qui représente déjà 78% des activités en ZFIC.

Absence d’action

Ce n’est que depuis 2017 que l’on reparle de PDI au Cameroun après l’échec de 1989 et ce n’est qu’en 2018 que l’on parle d’une première technopole. Quel retard ! Jusqu’ici, le pays naviguait à vue avec un très grand déséquilibre dans la structure des activités industrielles. En 1990, le pays avait lancé les ZFIC et des Points Francs Industriels (PFI) en vue de booster la production industrielle. Mais, cela n’a été que fictif dans la mesure où il n’y a eu aucune matérialisation spatiale : leur éparpillement sur toute l’étendue du territoire national en a annulé les effets notamment la réalisation des économies d’échelles. Par conséquent, le Cameroun cherche dans le PDI en 2018 à rattraper son niveau d’industrialisation d’avant 1980. En effet, le pays envisage de porter la contribution du secteur industriel au PIB de 13% à 24% au moins à l’horizon 2035, or elle était déjà d’environ 20% dans les années 1980. Les exportations de biens manufacturés représentaient en moyenne 23% de l’ensemble des exportations contre 15% de nos jours. L’emploi industriel était de 35000 actifs en 1980 contre 3645 en 2010.

Dépendance des financements, standards et chocs extérieurs

Un autre problème de la politique industrielle du Cameroun est son incapacité depuis les années 1980 à s’adapter aux différents chocs majeurs ayant affecté le Cameroun comme le choc pétrolier (1973-1979) qui a donné l’illusion d’une croissance économique solide, la dévaluation du FCFA en 1994, etc. En 1988, le Cameroun n’avait pas su profiter de la chute des prix des produits agricoles pour se lancer dans la recherche de plus-value qu’offre la transformation locale. En 1990, il a subi la politique d’austérité (plan d’ajustement structurel) et s’est enfoncé dans le cercle infernal de l’endettement qui le rend dépendant des bailleurs de fonds. Par exemple, le pays se remet à ses financiers pour les questions de normalisation. En conséquence, le standard des normes industrielles en vigueur est très élevé pour le niveau des investisseurs locaux, ce qui est une forme d’exclusion du marché. Dans un environnement économique dominé par les PME/PMI, il convient plutôt d’appliquer sur le marché local des normes tenables pour les débutants. Une multinationale comme Nestlé a fait du chemin pour être à son niveau actuel ! Par exemple, les PME camerounaises sont exclues pour l’essentiel du marché mondial du bio sous prétexte que leurs produits ne sont pas certifiés (normes IFOAM, Naturland, etc.). Or la pauvreté aidant, 95% de ces produits sont faits sans pesticides et autres intrants chimiques. Ces normes ressemblent aux barrières non-tarifaires qui sont une forme de protectionnisme sur le marché.

La corruption des acteurs du public et du privé

Au lieu d’être un secteur libre et compétitif, l’industrie camerounaise semble une chasse gardée de certaines entreprises qui engraissent au passage des agents publics. Par exemple, l’admission au régime de la ZFIC a été accordée pour l’essentiel à des entreprises déjà existantes : 24 des 26 agréments accordés entre 1994 et 1996 étaient aux entreprises d’exploitation forestières reconverties, ce qui leur a permis d’échapper au fisc et de contourner la loi n°94/01 du 20 janvier 1994 interdisant l’exportation de certaines essences forestières à l’état brut. En 2002, la zone franche est remplacée par la zone économique (loi N°2002/004 du 19 avril 2002 portant Charte des investissements en République du Cameroun) mais, le réseau résiste jusqu’à nos jours sous le prétexte d’une phase transitoire voulue interminable. Des avantages indus continuent d’être attribués aux PFI sans plus-value. De façon insolite, l’on note même l’exemption des retenues et cotisations sociales qui consacrent le travail précaire au Cameroun. En 2010, 51 % des effectifs en PFI étaient saisonniers.

Il s’agit en effet de l’échec de l’industrialisation conventionnelle, portée par des modèles d’émanation institutionnelle. Une solution pertinente serait de consacrer le désengagement de l’État et de stopper la propension à financer des projets prioritaires par l’aide étrangère disposant de ses propres priorités (souvent divergentes).

Louis-Marie KAKDEU, PhD &MPA – Le 11 mai 2018

Mali: Inauguration à Sanankoroba d’une usine moderne de production de médicaments

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Le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Ibrahim Boubacar KEÏTA, a inauguré en milieu de matinée de ce mardi 15 mai 2018, à Sanankoroba (route de Sikasso), l’usine HUMANWELL PHARMA AFRIQUE S.A. dont le coût de l’investissent est de 30 milliards de FCFA. Cette usine est le nouveau fruit de la coopération Sino-Malienne et de l’amitié entre la République du Mali et la République Populaire de Chine.

Après la coupure du ruban symbolique et la visite du bâtiment de production, le Président de la République en s’adressant à la presse a déclaré : « je suis très satisfait après la visite de cette unité de produits pharmaceutiques installée à Sanankoroba . Nous avons suivi le processus de production qui est absolument brillant, obéit à toutes les normes hygiéniques et d’automatisme de qualité. Et vous l’aurez remarqué avec moi, des jeunes, de très jeunes Maliens en nombre assez élevé ; c’est cela la coopération heureuse entre deux pays amis, la Chine qui n’a jamais douté du Mali, la Chine qui fut présente tout au long, qui fut première et qui au jour de l’épreuve également était ici, n’a point songé à laisser les Maliens à la difficulté tout seul, était à nos côtés nous aidant fabuleusement à nous redresser. Elle a compris qu’au jour d’aujourd’hui avec l’apaisement quelque peu survenu, il est grand temps que nous relevions le train du développement à l’instar de toutes les nations du monde et de fort belle façon ce n’est pas une usine artisanale que nous avons vu ici aujourd’hui une usine de pointe, une usine moderne. Et, c’est le prélude également à la poursuite d’un développement depuis l’indépendance du secteur social au Mali. La chine a contribué à la formation des médecins maliens, la Chine tout au long des ans, a envoyé des équipes médicales professionnelles, la Chine n’a jamais baissé les bras en approvisionnement pharmaceutique du Mali, et, c’est ça l’amitié entre deux peuples que j’ai le bonheur ici aujourd’hui à célébrer. Et, nul n’eut compris que nous fussions ensemble. Je crois qu’il y a une promesse à venir encore ; je crois que vous avez vu avec moi cette maquette du futur complexe hospitalier, c’est simplement époustouflant, puisse-t-il voir le jour dans les tout prochains mois pour le bonheur du Mali et la santé des Maliens, c’est ça le bonheur d’amitié de la grande chine toujours présente au Mali à hauteur de souhait . Merci à la Chine éternelle. Vive l’amitié Sino-Malienne » a évoqué IBK.

Cette usine est bâtie sur une surface de 19000 mètres carrés et matérialise une vision futuriste de Son Excellence Monsieur Ibrahim Boubacar KEÏTA, Président de la République, Chef de l’Etat qui remonte au 12 septembre 2014 en rencontrant le Président du Conseil d’administration de HUMANWELL PHARMA Monsieur Wang Xuehaï en marge de la réunion de Davos à Tianjin.

Avant de regagner le site de l’inauguration, IBK, très attaché au respect de nos us et coutumes, et respectueux de nos chefs coutumiers, religieux , traditionnels légitimes a sacrifié au rituel en allant saluer successivement les notabilités de Banankoro et de Sanankoroba dans leurs vestibules respectifs. Au tout début de la cérémonie, l’honneur a été fait au représentant du Chef de Village Sanankoroba de prendre la parole le premier pour souhaiter la bienvenue au Chef de l’Etat, dans leur localité et apporter ses bénédictions dans la réussite de la cérémonie solennelle. Dans les deux vestibules IBK a reçu les bénédictions de ses hôtes d’accueil, bénédictions pour la santé et pour les élections apaisées. Les chefs coutumiers et traditionnels ont également remis à IBK leurs doléances.

Le cérémonial solennel d’inauguration s’est déroulée en présence des Présidents des Institutions de la République, des membres du Gouvernement, du Président de l’Assemblée nationale du Mali, les proches collaborateurs du Chef de l’Etat, les membres de la délégation de la République Populaire de Chine, des notabilités et de nombreuses populations de Banankoro et de Sanankoroba et d’autres invités de marques.

L’usine aura une capacité de production annuelle de 30 millions de bouteilles de préparations liquides buvables, 40 millions de bouteilles d’injection à capacité importante et 400 millions de comprimés gélules. Elle contribuera à promouvoir l’investissement industriel dans notre pays et attirer d’autres investisseurs.

Les techniciens de l’usine ont précisé qu’elle a commencé à produire les premiers médicaments en début 2015, et de nos jours 32 produits de référence ont une très large application clinique .

L’objectif recherché à travers cette initiative présidentielle est de veiller à la santé des populations locales et promouvoir la politique de l’industrie pharmaceutique nationale du Mali afin de répondre à une demande du marché malien à temps réel en matière de disponibilité et d’accessibilité économique aux médicaments de première nécessité, pour le bien-être de chacun et de chacune.

Après la coupure solennelle du ruban symbolique de l’usine, le Président de la République a visité le hall de l’administration où sont accrochées des photographies de son passage en chine

Le Chef de l’État a également visité les salles de stérilisation, de fabrication de sérum, de fabrication de sirop oral et suspension buvable et de purification de l’eau. Pour symboliser l’acte du jour entre nos deux pays, le Chef de l’Etat a planté un arbre dans la cours de la nouvelle usine, et cet arbre dans la tradition chinoise a une grande signification dans le renforcement des liens d’amitié déjà existants entre le peuple malien et le peuple chinois.

La nouvelle unité de production de médicaments au Mali est composée de trois chaînes de productions, qui sont les préparations liquides buvables, les injections à capacité importante et les préparations solides. Le laboratoire, le magasin et l’administration de l’usine sont équipés avec des installations à la pointe de la technologie. Selon les techniciens de l’usine, elle va renforcer la modernisation de nos sociétés pharmaceutiques pour assurer une meilleure santé de nos populations. L’usine, depuis son ouverture, a embauché 230 employés locaux et 13 employés chinois. Elle envisage d’aller au-delà au fur et à mesure que la production et la vente augmenteront, a souligné M. Kansaye de HUMANWELL PHARMA. Entre 2015 et 2016, selon les responsables de l’usine, la société a fait plusieurs dons au village de Sanankoroba dans le cadre de leurs activités villageoises. Elle s’apprête, dans les prochains jours, à apporter de l’eau potable et d’autres commodités aux populations de la localité de Sanankoroba.

Madou’s camara
Crédits photographies Madou’s

Présidentielle2018: Modibo SIDIBE investi candidat des FARES ANKA WULI , est l’un des vrais connaisseurs de l’administration Malienne.

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Le dimanche 13 mai 2018 le palais de la culture Amadou Hampaté Bah a servi de cadre pour la cérémonie solennelle d’investiture de Modibo SIDIBE candidat du nouveau pôle de la gauche républicaine et démocratique (NPP).  C’était en présence des militants et sympathisants du parti des FARES ANKA WULI venus de toutes régions du Mali et de la diaspora .

 

Fonctionnaire de la police nationale jusqu’à son départ volontaire à la retraite en 2001 dans la perspective de l’élection présidentielle d’avril 2012, Modibo SIDIBE est détenteur d’un diplôme de l’école nationale de police du Mali (1977), d’un brevet de parachutiste (1977), d’un brevet d’armes (1978), d’une maîtrise en droit public (1976), Perpignan en France,  d’un diplôme d’étude approfondie (DEA) , en science pénale et criminologie (19769) à  Aix-en-Provence) en France,  d’un DEA en théorie politique (1983) à  Reims en France)  d’un Doctorat en science pénale et criminologie (1983 à Aix-en-Provence)  et d’un certificat de droit des conflits arm(1985 à  San Remo en Italie).

 

A ces compatriotes il dira ceci  » je lance du haut de cette tribune un appel solennel à nous rassembler autour du seul credo qui vaille : celui de redresser le Mali et de réfnder la République sur la base des valeurs et principes de la démocratie « , a t-il dit .

 

 

Sur le plan Historique,  le candidat SIDIBE affirme que la transition porte sur le (Mali-horizon 30), pour offrir de véritables opportunités aux générations montantes , jeter les fondamentaux en matière institutionnelles,  sécuritaire,  infrastructurelle, éducative, scientifique,  technologique, et d’innovation  , affirme  t-il.

 

En ce qui concerne le plan institutionnel,  la transition porte sur la démographie et l’institutionnelle, vers un État fort, integre. Selon lui,  il ny aura pas de refondation institutionnelle sans refondation de notre système de défense,  de sécurité et de renseignement » explique t-il.  Avant d’aller loin il dit que la défense et la sécurité de la Nation seront le premier des ses devoirs.

 

 

Il mettra l’accent sur la transition sociale, sanitaire, éducative vers un Mali ou nos besoins fondamentaux d’hommes et de femmes du 21 ème siècle seront solidarité satisfaits.

 

Sur le plan économique,  il place transition économique non pas vers la simple autosuffisance alimentaire,  mais pour faire de notre Mali une puissance régionale dans le domaine où il a des atouts encore mal ou insuffisamment exploités etc…

 

C’est pourquoi partant  de ces constats on peut qualifier le candidat Modibo SIDIBE, l’un des vrais connaisseurs de l’administration Malienne. Vu son parcours intellectuel et administratif.

 

Daouda Bakary KONE

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Mali: Signature du Contrat Plan Etat-Région de Koulkkoro : Un investissement de 2 milliards 115 millions de FCFA sur 5 ans.

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La salle de conférence du Gouvernorat de la région de Koulikoro a abrité ce lundi 14 mai après midi, la cérémonie solennelle de signature du Contrat Plan Etat-Région de Koulkkoro.
Une rencontre présidée par le ministre du Développement Local, Mr Soumana Mory COULIBALY.

 
C’est une bouffée d’oxygène pour les populations de Koulikoro à travers ce contrat plan qui permettra de réaliser notamment 3 projets structurants.
Dans son allocution, le ministre Soumana Mory COULIBALY a exhorté le Président du Conseil Régional de Koulikoro, à faire preuve de rigueur dans la gestion des fonds publics. Il l’a encouragé à développer une démarche inclusive dans l’exécution des projets.
Pour rappel, le Contrat Plan Etat-Région est une convention par laquelle l’Etat et les Collectivités s’engagent sur la programmation et le financement pluriannuels en vue de réaliser des projets structurants d’envergure.
Toutes ces initiatives portées par le Département du Développement Local, visent à faire du développement local, une réalité.

Source : C/COM -MDL

 

Mail: croissanceafrik@mail.com

Signature de la déclaration de création de la Zone économique spéciale (Sikobo) par les Premiers ministres du Burkina_Faso 🇧🇫️, la Côte d’Ivoire et 🇨🇮️du Mali ️🇲🇱️ ce lundi 14 mai 2018 à Sikasso au Mali.

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La ZLECA vise à promouvoir un développement de cette région transfrontalière également appelée « triangle du balafon « , réduire les disparités et à renforcer à renforcer la résilience des populations face à la pauvreté. Elle concerne les régions de Sikasso au Mali, Korhogo en Côte d’Ivoire et Bobo_Dioulasso au Burkina Faso. Le ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération Alpha_Barry et ceux en charge l’Économie, de l’Administration territoriale, ainsi que de l’Intégration africaine ont accompagné le Premier ministre Paul_Kaba_Thieba à cette cérémonie de signature.

 

Daouda

Mail: croissanceafrik@gmail.com

PRESIDENTIELLE 2018, le décryptage de Niaga Diop  » IBK, après l’espoir, la désillusion » décrypte le président des jeunes du PACP .

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Reconnu comme homme de poigne pendant ses années passées à la primature, ayant bravé le fétiche ADEMA, IBK s’est rendu populaire par son intransigeance face à la mollesse politique de la société entière.

Pour lui, l’homme politique doit savoir taper sur la table pour se faire respecter mais pas pour opérer des choix de politiques publiques idoines.

Voilà la supercherie qu’ ont cultivé savamment IBK et son clan en 2013. Le peuple meurtri par la crise de 2012, recherchait un homme d’État pour incarner le Mali fort.

Le slogan le Mali d’abord, pour l’honneur et le bonheur du Mali faisait partie des meilleurs slogans de la campagne après quand-même celui de Yeah Samake Tourner la page. Je l’ai dit. Je suis juge et partie.

Ce slogan correspondait au Mali fort. C’est comme si Trump avait imité le vieux bourgeois. « Make Great Mali again ».
La crise avait affaibli le Mali. Le peuple avait le sentiment d’avoir des hommes politiques qui ne pensaient pas le Mali.

Le premier voeu du peuple c’était de rendre au Mali sa grandeur, son honneur après avoir essuyé la hontise des « fils indignes ». Alors il fallait pour le prochain président résoudre définitivement la crise du Nord avec ses corollaires.

IBK, ayant usé de son manteau d’Homme d’Etat », avec le soutien des faiseurs de roi, il a battu à plate couture Soumailla Cisse. Le peuple venait d’avoir son Général De Gaulle.

Les prémices d’un mandat réussi ou à réussir se voient dès l’investiture. Le signal doit être donné pour rassurer. Le symbole doit frapper.
IBK a échoué dès son investiture. Il a fait comme les autres. Il ne s’est en rien démarqué. Dès lors, la supercherie pouvait se voir.

Cependant un signal fort a contrasté avec un autre signal faible. Un jeune et noviste Premier ministre dans un gouvernement de cadavres politiques, de revenants politiques, de loups, d’agneaux à l’allure d’un bal demasqué familial, de camaraderie à la Louis XIV.

Tatam Ly était un bon signal qui s’est affaissé dans cette marre aux crocodiles. Rien ne presageait une issue heureuse.

Scandales à répétition, amateurisme flagrant, crise du Nord ingérable, le jeune PM a vite compris qu’ IBK n’était pas celui que l’on croyait avoir. IBK était incapable de taper sur la table pour des choix de politiques publiques idoines. Les événements l’ont dépassé. Le népotisme est devenu sa gouvernance.

La désillusion était déjà là. Mara prend le relai. Un autre signal fort mais terne avec la composition de son gouvernement. Qu’est ce qui a motivé le choix sur Mara?

IBK pour ma part a tapé plus sur la table pour montrer à ses camarades du RPM qu’il était plus qu’ un Louis XIV qu’ un Socrate.
Il a montré le poids de ses muscles sans mesurer la qualité de ses muscles.

Mara saisissant son rôle inimaginable à lui donné, a serré le fer contre tous. Le scandale de l’avion et Kidal ont eu raison de lui. IBK a perdu la main et la lucidité pour gouverner et servir.

Modibo Keita, que pourrais je dire? L’échec total, symbole de l’immobilisme.

Abdoulaye Idrissa Maiga, du RPM, combat dès donjon arrivée les crises sociales. Le projet de révision constitutionnelle lui montre le type de gouvernement qu’il a. Défaite totale.

Arrive Boubeye. L’homme froid, aux réputations machiavéliques qu’ angeliques vient pour sauver le soldat IBK. Avec lui, même IBK ne peut imaginer son caractère imprévisible.

Le mandat d’IBK est marqué par l’État de non droit, son hermétisme politique, les crises sociales, sa cavalerie solitaire aux négociations d’Alger. Un peuple délaissé qui pourtant pouvait lui donner une force à l’international.

Le vieux « Boua » par des incantations prophétiques montre sa fraîcheur physique aujourd’hui à travers ses prouesses à la Mecque. Mais son bilan à la tête du Mali n’est pas mitigé. Il est négatif.

Que les choses soient claires, IBK n’est plus lucide. C’est l’élément le plus important pour le sanctionner. Il ne fait pas rêver. Le Malien est susceptible plus à montrer Kagame comme son Président.

Il a gravi tous les échelons du pouvoir. Il est devenu accro aux délices du pouvoir comme s’il était accroché aux mamelles du Mali. Le sevrage sera difficile mais il le faut.

Les élections à venir, le clan IBK comptera plus sur leur impréparation pour conserver le pouvoir. Cependant, une crise post électorale éprouvante planera sur nos têtes. Le syndrome ivoirien est là.

La sociologie politique du Mali n’est pas sondable. La seule issue possible c’est le retour de la lucidité d’IBK. Son âge et son bilan bloquent tout retour possible.

Osons le pari d’un leadership lucide.

Décryptage à venir : Soumaila Cisse, le ploutocrate qui veut et « doit » devenir Président coûte que coûte.

 

Source : Niaga Diop

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CONFERENCE DE SECTION ADP-MALIBA DE KATI Aliou Boubacar Diallo, accueilli avec honneur

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Le président d’honneur du parti de l’Alliance Démocratique pour la Paix (ADP)-Maliba, Aliou Boubacar Diallo, PDG de la société Wassoul’Or et de Petroma, non moins candidat aux élections présidentielles prochaines a présidé la conférence de la section de Kati délocalisée à Torodo. Au cours de laquelle, il a  promis de mettre fin aux calvaires des populations commis par la gouvernance d’IBK. C’était le samedi 5 mai dernier.

Accompagné par une forte délégation, le philanthrope  candidat du scrutin du 29 juillet prochain, Aliou Boubacar Diallo a été accueilli chaleureusement à chaque étape de sa visite de courtoisie. De Kalifabougou, première escale de ce déplacement au village de Faladiè en passant par les localités de Niamana, Torodo, Bourakébougou, l’ensemble des sections ont réaffirmé leur soutien au candidat de l’ADP-Maliba et promis de l’accompagner pour qu’au sortir du 29 juillet prochain, il soit le président de tous les maliens. La Commune rurale de Torodo du cercle de Kati qui a abrité   la cérémonie  de conférence de section s’en ai réjoui. C’était dans la cour de l’école fondamentale de Torodo qu’a eu lieu ladite cérémonie qui malgré la forte chaleur ; les militants et sympathisants sont venus prendre part du message de leur  donateur d’une centaine de tonnes en vivres. Tous étaient présents à la rencontre du Chef de village aux plus petits des alentours de la commune rurale de TORODO, pour écouter le candidat. Après les mots de bienvenue du Chef de village, le Maire de la Commune Seydou Konaré a présenté les doléances à l’hôte du jour. Lesquelles doléances sont liées à la faim, le chômage, le manque d’infrastructures scolaires, sanitaires, routières. Bref les infrastructures sociales de base. En effet,  le président de la Section de Torodo, le Secrétaire général de la section de Kati, Drissa Coulibaly ainsi que celui de la coordination régionale de Koulikoro Sory Coulibaly, ont déclaré que le candidat Aliou Boubacar Diallo est l’homme idéal  qui pourra sortir ses compatriotes des souffrances endurées durant ces cinq dernières années sous la présidence d’IBK. A cela, ils ont évoqué les différentes entreprises et usines installées par le futur candidat à la présidentielle : Wassoul’Or, la Fondation Maliba, le Gisement de gaz d’hydrogène naturel Petroma de Bourakébougou (dont 15 Puits de gaz à l’hydrogène), opérationnel à Bourakébougou et bientôt pour les autres sites. Des atouts qui font de l’Homme le candidat idéal à pouvoir améliorer les conditions de vie et de travail des maliens. « Aliou Boubacar Diallo est l’homme du bonheur, nous sommes prêts pour lui pour les élections présidentiels », ont-ils laissé entendre. Tous les chefs des villages sillonnés ont revendiqué les mêmes doléances : « nos enfants manquent d’emplois, il n’y pas de routes, il n’y a pas d’hôpitaux digne de ce nom ». A son tour, le président d’honneur de l’ADP/Maliba dira que « la gouvernance actuelle est chaotique », mais promet : « Nous allons œuvrer pour résoudre ces problèmes ». Le message du président d’honneur du parti, monsieur Aliou Boubacar Diallo, est le même, partout la délégation est passée, après les doléances des populations. Il a promis déployer les moyens nécessaires pour offrir des emplois aux jeunes, de doter les villages d’infrastructures sociales de base. Toutes les personnalités qui ont pris la parole ont affirmé connaitre l’homme en tant que patriote  qui a fait le pari du développement communautaire et de la proximité avec les populations locales. « Ce n’est pas la politique qui nous a réuni, c’est bien le patriotisme », a-t-il expliqué dans tous les villages visités. A la fin des activités, Me Abdoulaye Sidibé, secrétaire général à la communication dira qu’au cours de cette rencontre que, les grands points ressortis de cette conférence de section de Kati, « vont de la vie du parti, son état d’implantation, des questions d’intérêt national et des préoccupations des populations ». « Gardez- espoir, c’est vrai que le pays traverse un moment particulièrement difficile, mais nous estimons qu’en se donnant la main, nous arriverons au bout ». Toute la population du Bélédougou a affirmé qu’Aliou Boubacar Diallo a chassé la faim.

Aissétou Cissé, Envoyée speciale

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Adhésion  au sein du parti ADP/Maliba Les chasseurs de Ségou soutiennent Aliou B Diallo

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Mme Touré Kadidia Maïga, présidente des femmes ADP/Maliba et Sékou Diabaté, directeur de l’école de Formation Politique et membre du comité de campagne dudit parti, et certains membres du bureau ADP de Niono ont présidé la cérémonie d’adhésion des chasseurs des sept cercles de la région de Ségou. C’était le vendredi dernier à Ségou, Sido-Sonikoura. 

La cérémonie était déroulée en présence des deux délégations venues de Bamako et de la coordination de Niono, du Président du Conseil des familles Diarra : Cheick Alwata Diarra et du chef de quartier de Sido-Sonikoura. On pouvait aussi noter la présence des chasseurs de toutes les contrées de la région de Ségou.  L’association Benkady est une association internationale, dirigée par Mme Dabo Mariam Keita.  Affilés à cette  grande association Benkady, les chasseurs des sept cercles de Ségou, dirigés par Daba Diarra, ont promis de voter pour le candidat de l’ADP/Maliba, Aliou Boubacar Diallo, à la présidentielle du 29 juillet 2018. Affectueusement appelé  “Dozoba”, Baba Diarra est originaire de Wèta, un village situé à une cinquantaine de kilomètres de Ségou. Ce chef dozo est un des sages  de la communauté des Diarra de Ségou. Il est le chef de la confrérie de tous les chasseurs de la région de Ségou. Selon Daba Diarra, la décision de soutenir la candidature d’Aliou Boubacar Diarra est la suite de la collaboration entre sa confrérie et l’Association Benkady dirigée par Mme Dabo Mariam Kéita qui a opté pour  le soutien de la candidature de l’ADP/Maliba. Selon Dozoba, la confrérie des chasseurs avait travaillé avec la présidente de l’association Benkady et ont fait triomphé le Président IBK dans toute la région de Ségou.  Au cours des échanges, le chef de délégation de l’ADP/Maliba et la présidente des femmes ont commenté à la confrérie des chasseurs les grandes lignes politiques du candidat, ses actions de bienfaisance et ses ambitions pour le Mali ainsi que sa vocation pour le changement de la gouvernance du pays. Les nouveaux adhérents  ont soumis au parti ADP/Maliba l’accès difficile à l’eau potable dans certains de leurs contrées. Le chef de la délégation a promis de la transmettre au président du parti pour que leurs villages  soient dotés d’adduction d’eau potable. Sekou Diabaté a remercié les chasseurs au nom du candidat, confiant que leur demande aura une suite favorable. Boubacar Coulibaly, un chasseur venu de Wèta conclura que leur confrérie ne trahit pas.

Aissétou Cissé, Envoyée speciale

Mail: croissanceafrik@mail.com

Précampagne du Parti ADP/Maliba dans la région de Sikasso Vers un Mali Émergent et Stable

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L’Entrepreneur, candidat du parti ADP/Maliba aux élections présidentielles prochaines, accompagné d’une forte délégation, a présidé la conférence des cadres de la Coordination Régionale et des Sous-sections de son parti dans la région de Sikasso. C’était les 10, 11 et 12 Mai dernier.

Accueilli  avec le plus grand honneur, Aliou Boubacar Diallo entouré par un bain de foule a reçu un accueil populaire à chaque arrêt au cours de sa mission.  C’est après la restitution de la Conférence du parti ADP/Maliba tenue les 10 et 11 mars dernier à Nioro du Sahel, Aliou Boubacar Diallo continue son périple en se donnant à fond, afin de renforcer les rangs de ses militants et élargir sa base électorale. Le Philanthrope candidat à la présidentielle prochaine enregistre un regain de popularité à cause de sa conviction d’apporter un changement nouveau dans la gouvernance et promet de rétablir la confiance entre les maliens et l’autorité de l’Etat dès son élection. Après  les étapes du Wassoulou et du Bélédougou, c’est au tour du Bani-Monotié ainsi que celui du Kénédougou. Le périple a commencé par Zantiéba, Kébila, Massala, Kolondiéba, Koumantou, Niéna, Loulouni, Kadiolo, Sikasso pour clôturer par Bougouni. Le PDG de Wassoul’Or, Petroma et de la Fondation Maliba a opté pour commencer ces tournées dans la région de Sikasso afin d’être en contact avec ses militants et militantes ainsi que les centaines d’associations de soutien au mouvement Ko-Koura. Un lieu pour le richissime opérateur économique de demander à tous et toutes de se mobiliser massivement et s’organiser pour qu’ils puissent mettre tout ce qu’il faut pour soutenir le candidat potentiel. Aliou B Diallo, au cours de sa mission, a effectué une visite  de courtoisie aux notabilités, aux confessions religieuses suivi de bénédictions. Il s’est confié et s’est renseigné aux préoccupations quotidiennes auprès des populations rencontrées. Une occasion pour le Philanthrope de faire des constats, des remarques, des réflexions et des concertations afin d’y parvenir à des solutions idoines pouvant remédier aux différents problèmes évoqués. Dans les localités sillonnées, le message est le même : « je viens vous approcher afin de chercher votre aide et votre bénédiction, recenser vos difficultés pour les mettre dans mon programme de campagne, il est grand temps de retirer le pouvoir à ceux qui ont mis le Mali dans le gouffre, procédons alors à un changement de Cap. Nous sommes en précampagne et vu la crise actuelle que vit le pays, je viens vers vous afin de recueillir vos attentes pour mon programme de campagne. Ce n’est pas pour venir remplir mes poches, c’est plutôt pour aider le peuple malien car vous savez que le Mali n’est pas un pays pauvre, mais plutôt mal géré ». La population du Kénédougou a affirmé avoir besoin de développement ainsi que d’un échangeur. Selon Yacouba Traoré, 1er secrétaire adjoint de Loulouni, «  nous vivons dans les conditions difficiles, nous n’avons pas d’électricité et pour notre sécurité nous sollicitons votre aide, nous avons besoin de la construction d’un centre de santé équipé, d’une usine pour la transformation des produits agricoles car nous constatons des dégâts chaque année en milliers de tonnes en manioc, mangue et orange, nous voulons l’aménagement d’une piste rurale et d’un lycée ». Les soucis sont les mêmes à chaque rencontre avec la population : l’emploi des jeunes, des infrastructures adéquates, des structures de santé équipées, de l’eau potable, d’électricité entre autres. Alassane Mariko, président de la section des jeunes de l’APD  de Bougouni indique que : « nous sommes convaincus que vous présentez les qualités de l’homme qui peut soustraire notre pays du gouffre dans lequel il se bat lamentablement. L’emploi des jeunes, l’agonie du système scolaire, la cherté de la vie, le manque d’eau potable, la crise alimentaire, l’insécurité grandissante constituent de nos jours, les préoccupations du peuple malien. Votre élection  à la magistrature suprême permettra de trouver les solutions idoines à ces phénomènes qui hypothèquent l’avenir de notre nation. Restez serein, nous vous sommes fidèles et loyaux, rien ne saura nous dévier ». Le président Diallo conclura que l’heure n’est plus ni aux promesses, ni aux aveux de politiques. La population rencontrée a exprimée sa confiance totale à Aliou Boubacar Diallo à travers ses actes posés. Nahawa a affirmé qu’elle n’accompagne pas les politiciens, mais invite tous à soutenir la candidature d’ABD car il est pour la stabilité et l’émergence du Mali et  a finalement ajouté que seule la vérité triomphe.

Aissétou Cissé, Envoyée Spéciale

Mail: croissanceafrik@Gmail. com