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BIM (sa) : Présentation de la Banque

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1er Réseau bancaire au Mali
La Banque Internationale pour le Mali ayant pour sigle BIM s.a. est la plus ancienne banque privée
du Mali, dotée d’un capital de FCFA 10 005 740 000.
Le Groupe Attijariwafa bank en est l’actionnaire de reférence depuis 2008.
Le management de la BIM s.a. est actuellement assuré par :

  • M. Hassen OUASTANI, Administrateur Directeur Général.
  • M. Dioukhamady KEITA, Directeur Général Adjoint.

La BIM s.a. détient le premier réseau bancaire au Mali avec 83 points de vente et 4 bureaux
à l’étranger (France(2), Espagne, USA). Elle est aussi alliée en partenariat avec les filiales du
Groupe : la SIB en RCI, l’UGB au Gabon, CDC au Congo.
Ce réseau est renforcé par un parc d’automates bancaires tout aussi dense, ce qui permet à
la BIM s.a. d’être un acteur majeur du système bancaire de la place. Ainsi, sa participation au
rehaussement du taux de bancarisation est indéniable sans occulter une meilleure proximité
pour une prise en charge efficiente des besoins de la clientèle.
Des collaborateurs sont constamment mobilisés sur le terrain avec un seul objectif : la satisfaction
du client.

La BIM s.a. n’a de cesse de développer des actions en faveur de l’économie malienne : interventions/
financements dans les secteurs variés de l’économie nationale et internationale, offre de
produits et services innovants (Crédit Immobilier « SEWA », Plan Épargne Logement, Compte
Épargne Hadj, Épargne Jeunes et Adultes, Packs BIM s.a., Crédit Casque, etc.), mission de
conseil et d’assistance.
La BIM s.a. se targue d’être une banque universelle pour l’ensemble de la population allant des
structures les plus petites – particuliers, maliens de l’extérieur, professionnels… – jusqu’aux
grandes entreprises nationales ou multinationales : la banque se positionne toujours en apporteur
de solutions.

S’agissant particulièrement de la DIASPORA qui est une composante structurelle du portefeuille,
une entité spéciale ainsi que deux(2) agences dédiées leur ont été destinées pour une
écoute constante et traitement de leurs opérations avec célérité.

La BIM s.a. est aussi bien active dans les actions de mécénat en faisant montre de sa qualité
de banque citoyenne : Dons aux sinistrés, accompagnement du mois de la solidarité, prise en
charge intégrale de collaborateurs pour un pèlerinage sur les lieux saints de l’Islam, etc.

La BIM s.a. en chiffres au 31/12/2013 :

  • Produit net bancaire : 16,124 milliards FCFA (+18%)
  • Résultat net : 4,407 milliards FCFA (+106%)
  • Fonds propres : 22,884 milliards FCFA (+16%)
  • Total bilan : 323 milliards FCFA (+27%)
  • Effectif total : 427 collaborateurs (+16%)
  • Le nom : Banque Internationale pour le Mali (BIM s.a.)
  • Le type de société : Société anonyme avec Conseil d’Administration
  • Le code Swift : BIPMMLBA
  • Le capital : 10 005 740 000 francs CFA
  • Adresse de l’agence principale : Boulevard de l’Indépendance, BP 15 Bamako, Mali
  • Le nombre d’agences : 83
  • La répartition des agences sur le territoire national :
    • Bamako
      • succursales : 3
      • réseau rive gauche, réseau rive droite, réseau marché : 45
    • Régions
      • groupe sud : 6
      • groupe centre : 12
      • groupe ouest : 7
  • Le lien vers le site web : www.bim.com.ml
  • Les contacts téléphoniques : +223 20 22 50 66 / 20 22 51 08 / 20 22 50 89
  • Les coordonnées GPS (Latitude : 12.638021°, longitude : -8.005526°)
Daouda Bakary KONE

 

Mail: croissanceafrik@gmail.com

Par croissanceafrique.com

 

 

Rwanda: Le « Next Einstein Forum 2018 » aura lieu à Kigali du 26 au 28 mars prochain 2018.

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Au moins 16 conférenciers et « cerveaux » mondiaux dans le secteur de la science et de la recherche devraient dévoiler des percées scientifiques, répondre aux défis existants et se tourner vers l’avenir de la science, afin de relever les défis mondiaux.

Le Rwanda a été choisi pour accueillir la 2ième édition du prochain rassemblement mondial du « Forum Einstein 2018 » (NEF).

« Next Einstein Forum » (NEF), lancé en 2013, est une initiative de l’Institut Africain des Sciences Mathématiques (AIMS) en partenariat avec Robert Bosch Stiftung. Le NEF est une plate-forme qui relie la science, la société et la politique en Afrique et dans le reste du monde – dans le but de tirer parti de la science pour le développement humain à l’échelle mondiale. Le NEF estime que les contributions de l’Afrique à la communauté scientifique mondiale sont essentielles pour le progrès mondial. Au centre des efforts du NEF se trouvent les jeunes d’Afrique, moteur de la renaissance scientifique de l’Afrique.
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Le forum devrait avoir lieu du 26 au 28 mars 2018, sous le patronage du Président Paul Kagame.

Parmi les conférenciers attendus, citons Monsieur Thierry Zomahoun, PDG de « AIMS » et fondateur de « NEF », Prof. Dr. Klaus von Klitzing, Lauréat de Prix Nobel, Directeur de l’Institut Max Planck pour la Recherche Solid State, Stuttgart, Allemagne.

Les anciens Ministres rwandais, le Professeur Romain Murenzi, actuellement Directeur Exécutif de l’Académie Mondiale des Sciences et Madame Agnès Kalibata, Présidente de l’Alliance pour une Révolution Verte en Afrique (AGRA), donneront aussi leur avis sur la croissance de leurs institutions dans le domaine de la Science.

D’autres intervenants seront présents tels que Monsieur Paul Stoffels, Directeur scientifique de Johnson and Johnson, Monsieur Peter Agre, Professeur et Directeur de l’Institut de Recherche sur le Paludisme à l’École de Santé Publique de Bloomberg, et Monsieur Solomon Assefa, Directeur de IBM Research – Afrique.

Plus de 1000 participants sont attendus au cours de l’événement de trois jours parmi lesquels 40% de représentation féminine et de personnalités de moins de 42 ans.

L’Institut Africain des Sciences Mathématiques (AIMS), une initiative de NEF, a déménagé son siège à Kigali en 2016, elle était anciennement au Cap, en Afrique du Sud.

Officiellement inauguré par le Président Paul Kagame, l’Institut a obtenu son diplôme inaugural l’année dernière, conférant la maîtrise en Sciences Mathématiques à 44 étudiants – dont 15 femmes qui ont terminé un programme intensif de 10 mois au campus de Kigali.

La première admission au Centre d’Excellence de Kigali s’inscrit en mathématiques pures, l’admission en 2018 se concentrera sur les mathématiques coopératives – où les étudiants feront de la recherche sur le terrain et des mathématiques pratiques.

« Nous allons prendre des doctorants interagissant au niveau régional et mondial sur les problèmes clés dans le domaine des sciences du climat, ce qui est important au Rwanda et dans le monde », a déclaré le professeur Barry Green, Président et Directeur de l’AIMS.

En attendant, NEF recherche des champions des technologies et des sciences, y compris des spécialistes des sciences sociales, pour devenir des ambassadeurs du NEF afin de représenter et de faire passer l’agenda de l’initiative à partir de n’importe quel pays.

Par croissanceafrique.com

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La rédaction

Gabon: du journalisme à la politique, Dina Colly Koudou pose des actions concrètes dans la Province de l’Ogooué-Lolo.

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C’est ce samedi 17 mars que la secrétaire chargée de l’animation politique dans la Province de l’Ogooué-Lolo accompagnér d’une forte délégation s’est rendue à Koulamoutou. Le but de ce voyage à l’intérieur du pays est de procéder à  l’installation des Organes Exécutifs Locaux dans la dite Province avec comme chef d’oeuvre Dina Koussou.

 

A peine nommée secrétaire Nationale chargée de la Communication, des réseaux sociaux, du suivi de l’opinion et de l’animation politique dans la province de l’Ogooué-Lolo,Mme  Dina Colly Koudou mène déjà des actions concrètes dans la Provence du président de la République Ali Bongo Ondimba. Comme l’a dit l’autre  » la politique autrement »,   la journaliste vedette la chaîne généraliste kanal7 ( ndllrr) est une femme battante hors du commun, bref une icône.

 

Il y’a une semaines Dina Koussou  présidait au siège du parti  une réunion stratégique à laquelle participaient tous les 23 Membres du bureau politique (MBP), d’ailleurs appelés à initier des actions fortes visant à remobiliser les militants, éblouis quelque peu selon les membres du parti au pouvoir, par le discours qualifié de mensonge de l’opposition selon les pdgistes.

 

 

C’est pourquoi, désormais,  il va falloir transformer le discours aux actions la puissante Dina Koudou affirmait sur sa page Facebook, le déroulement d’une cérémonie d’installation des Organes Exécutifs Locaux dans la Province de l’Ogooué-Lolo.

Je cite « Installation des Organes Exécutifs Locaux à Koulamoutou, chef lieu de la province de l’Ogooué-Lolo, ce samedi 17 mars 2018. Au nom du Distingué Camarade Président, la Secrétaire nationale en charge de l’animation politique de ladite province, Dina KOUSSOU a présidé la cérémonie » fin de citation.

A l’en croire,  la nouvelle secrétaire,   « la réunion de la semaines dernière a défini des actions conformément aux recommandations du 11ème congrès ordinaire du PDG » dit-elle.

 

D’autres  imposent  que les cadres soient dorénavant proches des militants afin de renouer  la confiance perdue. Selon eux,  des actions seront coordonnées pour une meilleure lisibilité et efficacité sur le terrain.

 

Dans son allocution de la semaines dont nous avons eu  copie à travers un confrère depuis Libreville,  nous avons vu mentionné noir sur blanc que je cite « Il était question de plancher ensemble sur des actions prioritaires qui vont être menées au niveau de la province de l‘Ogooué-Lolo », fin de citation.

 

Et désormais Mme Dina Koussou, jouera le rôle  de coordinatrice des activités du parti au pouvoir dans la province, selon elle, la stratégie politique dans la région  sera dévoilée très prochainement » indique t-elle.

 

Au cours de la réunion passée ,  la Secrétaire  Nationale entourée de deux Membres du comité permanent (MCP) de la province de l‘Ogooué-Lolo à savoir : « Régis Immongault et Blaise Louembé ». Pour ces cadres militants déterminés, le PDG doit impérativement garder son hégémonie dans cette province berceau  du PDG.

 

 Pour sa part M. Immongault « Il nous faudra tirer les enseignements de ce qui s’est passé. Voir là où nous avons  pêché afin de se mobiliser davantage pour que  le PDG puisse remporter tous les sièges dans l’Ogooué-lolo. Et nous pensons qu’avec un travail de proximité, d’explication, surtout  de bonne gouvernance politique sur le terrain on pourra atteindre cet objectif »,a indiqué M. Immongault.

Daouda Bakary KONE

 

Source: croissanceafrique.com

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Urgent- Affaire de l’espion russe : Moscou expulse 23 diplomates britanniques

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Moscou a annoncé samedi l’expulsion imminente de 23 diplomates britanniques et la cessation des activités du British Council en Russie, en rétorsion aux mesures prises par Londres après l’empoisonnement en Grande-Bretagne d’un ex-espion russe et de sa fille.

L'ambassadeur britannique à Moscou Laurie Bristow a été convoqué samedi au ministère russe des Affaires étrangères.

© Reuters

A chacun ses sanctions. « Vingt-trois membres du personnel diplomatique de l’ambassade britannique à Moscou sont déclarées persona non grata et vont être expulsées dans la semaine », a annoncé samedi le ministère russe des Affaires étrangères, qui avait convoqué un peu plus tôt l’ambassadeur britannique Laurie Bristow pour lui faire part de cette décision. Une mesure qui est une réponse aux « actions de provocation » et aux « accusations sans fondement concernant l’évènement du 4 mars à Salisbury » portées par Londres, précise le ministère, faisant référence à l’empoisonnement de l’ancien agent double russe Sergueï Skripal et de sa fille Ioulia.

Lire aussi : Affaire de l’espion russe, pourquoi Theresa May a réagi si fortement

La Grande-Bretagne accuse en effet la Russie de cette attaque utilisant un agent innervant militaire de conception russe. L’ancien espion et sa fille sont toujours hospitalisés dans un état « critique », tandis que le policier également empoisonné lorsqu’il leur a porté secours est, depuis vendredi, hors de danger, selon Londres.

23 diplomates russes aussi expulsés de Grande-Bretagne

Moscou a également annoncé samedi qu’il mettait fin aux activités en Russie du British Council, l’organisme international britannique pour les relations culturelles et l’éducation, officiellement en raison de son « statut hors régulation ». Le ministère a également prévenu la Grande-Bretagne, via son ambassadeur, que, « si de nouvelles mesures inamicales étaient prises par Londres à l’égard de la Russie, la Russie se réserve le droit de répondre à son tour par d’autres mesures ».

Mercredi, la Première ministre Theresa Mayavait annoncé l’expulsion de 23 diplomates russes, une mesure inédite depuis la fin de la Guerre froide, et le gel des contacts bilatéraux avec la Russie. « La réponse de la Russie ne change rien aux faits : la tentative d’assassinat de deux personnes sur le sol britannique, pour laquelle il n’existe pas d’autre conclusion que celle de la culpabilité de l’État russe », a réagi ce samedi Theresa May. La Première ministre britannique a déclaré qu’elle « anticipait une réponse de la sorte » et que le Royaume-Uni et ses alliés allaient « réflechir aux prochaines étapes dans les jours qui viennent ».

Le Kremlin nie avoir commandité l’attaque

La confrontation entre les Occidentaux et Moscou s’est encore durcie vendredi, à deux jours de l’élection présidentielle russe de dimanche, que Vladimir Poutine s’apprête à remporter pour un quatrième mandat qui le maintiendra à la tête de la Russie jusqu’en 2024. Le ministre britannique des Affaires étrangères Boris Johnson avait alors assuré que Londres en voulait au « Kremlin de Poutine » et non à la Russie pour cette attaque à Salisbury, petite ville du sud de l’Angleterre. « Nous pensons qu’il est extrêmement probable qu’il s’agisse de sa décision d’ordonner l’utilisation d’un agent neurotoxique dans les rues du Royaume-Uni, dans les rues de l’Europe, pour la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale », avait déclaré Boris Johnson.

Dans cette affaire, « toute mention ou référence à notre président n’est rien d’autre que choquant et impardonnable », avait alors réagi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov. Depuis le début, Moscou nie avoir commandité cette attaque au « Novitchok », un agent toxique mis au point par la Russie à l’époque soviétique et que, selon l’un de ses inventeurs qui vit désormais aux Etats-Unis, seule la Russie est capable de produire.

(avec AFP)

Par croissanceafrique.com

 

Mali: DÉCLARATION DE L’OPPOSITION MALIENNE SUR LA SITUATION AU CENTRE DU MALI

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Les partis politiques de l’opposition sont alarmés par la situation explosive qui prévaut au centre du pays et par l’incapacité du président de la République et du Gouvernement à apporter des solutions appropriées pour restaurer la stabilité, la sécurité et la cohésion entre des communautés qui ont cohabité en harmonie pendant des siècles.

Cette grave situation est caractérisée par:
des explosions de mines sur les axes routiers: Boni, Mondoro, Douentza, Hombori-Gossi, Konna-Korienzé, Dioura-Tenenkou, Dialloubé-Mopti;
des exécutions sommaires de civils, de présumés djihadistes et des affrontements intercommunautaires meurtriers : Sokolo (sept morts le 21 février), Diaou (Diafarabé, le 11 mars, 10 morts dont un enfant brûlé vif, la hutte de ses parents ayant été incendiée par des assaillants armés), Kao, un village de la commune de Kewa ( Djenné, 11 morts le 12 mars), Koro ( des morts sur une base quotidienne depuis la première semaine de mars);
des représailles pour venger des morts comme l’exécution du chef des chasseurs de Nouh-Bozo le 14 mars. Accourus sur les lieux, quatre autres membres de sa famille ont été exterminés;
les assassinats de notables comme un imam à Sendegué (Mopti, fin février) ou le directeur de l’ONG Chemonics (en décembre) ;
la mort d’une vingtaine de militaires depuis le début de l’année dont onze jeunes FAMAS tombés suite à l’explosion de mines le 27 février près de Dioura (Ténenkou) et le 9 mars entre Dialloubé et Mopti;
la destruction d’infrastructures comme le pont-barrage de Djenné, le 8 mars. Cet ouvrage dont la construction a coûté des dizaines de milliards de francs CFA avait fait l’objet d’une attaque, le 14 janvier: un militaire avait été tué, quatre blessés et un véhicule calciné. Malgré ce bilan et les promesses de sécurisation du site faites par le Gouvernement dès le 16 janvier, aucune mesure de surveillance et de sécurité n’a été prise, abandonnant cette infrastructure d’utilité publique aux terroristes. La colère et l’indignation des populations de Djénné est juste et légitime.
la fermeture de centaines d’écoles dans la seule région de Mopti: en effet, 441 écoles étaient fermées en fin février dans les deux académies de la région. Craignant pour leur vie, 1123 enseignants ont abandonné leurs postes, près de 50.000 élèves sont dans la rue à la merci des prédicateurs djihadistes et des trafiquants d’êtres humains;
les amalgames et la stigmatisation de nos compatriotes membres de la communauté peule sont légion depuis plusieurs semaines: la rafle effectuée à la foire de Touara (Ké-Macina) suivie de violences corporelles et de disparitions le 13 mars en est une illustration inquiétante.

Le président de la République et ses gouvernements successifs de 2015 à nos jours sont entièrement responsables de ce sombre tableau. D’abord ils ont baigné dans l’immobilisme pendant deux ans, laissant pourrir une situation devenue explosive. Ensuite, en déployant des troupes sans travail politique et sans aucune sensibilisation, l’actuel gouvernement a ouvert la marmite des rancœurs accumulées ces dernières années mettant le pays au bord d’une guerre civile intercommunautaire.

Les partis de l’opposition présentent leurs sincères condoléances aux familles et à toutes les communautés endeuillées.

Ils s’inclinent devant les dépouilles des FAMAS tombés pour la liberté du Mali.
Nous apportons notre soutien total à nos forces armées et de sécurité, et à leurs frères d’armes internationaux dans leur lutte contre le terrorisme au centre du pays.

Nous encourageons les FAMAS à éviter les amalgames et la stigmatisation qui peuvent pousser les peulhs dans les bras de l’extrémisme radical et violent.

Nous les exhortons à se démarquer de toute organisation paramilitaire et traiter sur un même pied toutes les communautés.

L’opposition invite le Gouvernement à désarmer tous ceux qui détiennent illégalement des armes de guerre et à éviter l’instauration d’une politique de «deux poids, deux mesures»: l’interdiction de circulation des motos ne saurait s’appliquer à une seule communauté.

Elle lance un vibrant appel à la retenue et au calme à tous les habitants et à tous les acteurs du centre.
Aujourd’hui affaibli, notre pays n’a pas besoin de nouveaux déchirements.
L’opposition invite les Maliens à s’unir pour combattre la mauvaise gouvernance, le terrorisme et les démons de la division.

Bamako, le 17 mars 2018.

Les partis de l’opposition démocratique et républicaine

 

Source:croissanceafrique.com

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Urgent: Rentrée politique de la section URD à Goundam : Une mobilisation massive au Centre multifonctionnel des femmes

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Cette rencontre politique se tient sous la présidence du Secrétaire général de la Section M. Beidou Seybani Babi qui avait à ses côtés Mme Mounaissa Kounta Baby, présidente d’honneur, la présidente des femmes Fadimata Abba Thina et de M. Madou Konipo maire élu URD-Tonka.
« Votre présence de qualité à cette conférence témoigne de la bonne santé de l’URD dans le cercle de Goundam. Vous êtes venus, vous avez vu. Que chacun de vous travaille à l’élargissement de la base de notre parti. Transformez les nombreux sympathisants en militants et électeurs potentiels pour la victoire de l’URD aux échéances futures, vous en êtes capables », a déclaré M. Baby.

 

Des nouveaux adhérents pour insuffler du sang neuf au parti sur l’échiquier politique du cercle. Le Segal Baby leur a souhaité la bienvenue tout en les rassurant qu’ils sont au même titre que ‘leurs devanciers.  » Vous ne serez pas déçus parce que l’URD a le sens de l’hospitalité et que notre logo est une poignée de mains symbolisant la paix et l’unité. La future victoire de L’URD sera notre œuvre commune. Femmes et jeunes de l’URD, vous êtes le fondement sinon la fondation et l’espoir du parti. Fer de lance, animatrices des joutes électorales, sans vous il n’y a pas de parti », a t-il dit.

Les défis du cercle au menu:
« Nous partageons un espace que chacun adore et pour lequel nous nous battons tous, espace pour lequel nous voulons tous les biens du monde : Goundam. Aujourd’hui, le rêve de chacun de nous est le retour de la paix et de la quiétude pour toutes les populations du cercle. Développer ce cercle, le doter de toutes les infrastructures nécessaires pour que personne ne soit encore sans soin quand il est malade, qu’il y ait de l’eau en abondance pour les personnes et les animaux et pouvoir exploiter nos nombreuses terres cultivables; que l’éducation de nos enfants se passe dans les lieux plus adéquats, que les femmes et les jeunes puissent s’épanouir. Tout cela n’est possible que dans l’entente, la paix, la sécurité et le vivre ensemble.
Alors l’URD tend la main à chacun de vous pour relever ces défis et aller à des élections libres, démocratiques et transparentes dans le cercle de Goundam », a souhaité M. Baby

 
Des partis politiques amis à savoir l’UDD, le RPM, l’ADEMA, CODEM ont tous salué l’atmosphère fraternelle entre eux à Goundam.

 

A suivre

Almou Bangou

Source:croissanceafrique.com

 

Urgent: LE CANADA VA DÉPLOYER DES CASQUES BLEUS CANADIENS AU MALI ( OFFICIEL ).

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LA SITUATION SE DÉGRADE MALGRÉ LA MULTIPLICATION DES DÉPLOIEMENTS ÉTRANGERS AU MALI, ALI24 DEMANDE OÙ SE SITUE ENFIN LE PROBLÈME ?

 

LA SITUATION SE

Le Canada a officiellement “notifié” vendredi aux Nations unies son “intérêt” à participer à la mission de maintien de la paix au Mali, et enverra des troupes et des hélicoptères dans ce pays d’ici l’automne, a indiqué une source gouvernementale à l’AFP.
Les détails sur les effectifs envoyés par le Canada seront fournis lundi par le ministre de la Défense Harjit Sajjan, a ajouté cette source, sous couvert de l’anonymat.

L’engagement du Canada au Mali sera “temporaire”, avec l’intention d’être relevé au bout d’un an, et constituera la mise en oeuvre de la stratégie annoncée l’automne dernier par le Premier ministre Justin Trudeau à Vancouver, a indiqué ce responsable canadien.

Le Canada a fait part en novembre de son intention de renforcer son soutien aux missions de maintien de la paix en mobilisant 200 soldats, en favorisant la présence féminine au sein des Casques bleus ainsi qu’en fournissant du matériel et de l’entraînement militaire.

Le Premier ministre Trudeau s’est entretenu vendredi du sujet avec la chancelière allemande, Angela Merkel, et avec le Premier ministre néerlandais, Mark Rutte, dont les armées participent à la force de l’ONU de maintien de la paix au Mali, la Minusma, créée en 2013.

“D’autres alliés” seront consultés “dans les jours à venir”, selon le responsable canadien.

Le déploiement au Mali sera la première mission de paix des Forces armées canadiennes en Afrique depuis celle qui avait avorté au moment du génocide au Rwanda en 1994.

“Le Mali est un endroit important où l’on collabore depuis longtemps”, a expliqué le responsable canadien, soulignant que “tout le monde a intérêt à participer à renforcer la sécurité dans le Sahel”.

L’armée canadienne enverra des soldats, des policiers et des hélicoptères sous commandement de la Minusma “autour de l’été ou de l’automne”, selon le responsable. Elle agira dans un rôle “de soutien logistique et d’assistance”.

Le retour des Casques bleus en Afrique répond à un engagement de campagne de Justin Trudeau qui s’était fait élire en octobre 2015, avec la promesse notamment de réengager le Canada dans les missions de paix des Nations Unies.

Depuis, régulièrement interpellé au Parlement, le gouvernement canadien retardait sa décision de déployer des troupes.

Le Canada était aussi sous pression de plusieurs de ses alliés, dont la France, engagée militairement au Sahel et qui espérait qu’il décide de participer à des opérations de maintien de la paix, notamment au Mali.

En novembre, Justin Trudeau a promis la mise en place d’une “force de réaction rapide”, mais ne représentant que le tiers des 600 militaires qu’il s’était engagé à déployer sur les théâtres de guerre dans le monde peu de temps après son arrivée au pouvoir.

Il avait néanmoins réitéré son intention d’atteindre cet objectif à terme à travers une série “d’engagements conjoints” dans plusieurs pays.

Le Canada ambitionne un siège au Conseil de sécurité de l’ONU en 2021.

La Minusma a perdu plus de 150 Casques bleus depuis sa création, ce qui en fait actuellement la mission de maintien de la paix de l’ONU la plus dangereuse dans le monde.

 

Source: BKD

 

Croissanceafrique.com

 

Niaga DIOP président des jeunes du PACP « Les mesures audacieuses sous un leadership avec Intégrité feront le bonheur du Mali » dixit.

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PLAN AUDACIEUX POUR LA PAIX, LA STABILITÉ ET LE DEVELOPPEMENT DU MALI Du CANDIDAT Yeah Samake

On taxe beaucoup les candidats de se présenter sans un projet de société. Ce n’est pas notre cas.

Nous avons un véritable projet pour guérir le Mali. Nous sommes dans la logique d’un processus où il faut prioriser les attentes.

Dans le Plan Audacieux pour la Stabilité, la Paix et le Développement du Mali , nous estimons qu’il faut Stabiliser le Mali, ensuite le Pacifier pour enfin le Developper. Cette méthodologie intègre une vision globale.

Le Mali est dans l’instabilité totale. Il est crucial d’opter pour un plan qui va entamer sa guérison. Pour cela, l’insécurité au Nord et au Centre doit être gérée avec la plus grande attention. Des mesures audacieuses seront nécessaires. Le sentiment d’une nation va être valorisé.

Une fois la stabilité atteinte, tout le pays doit être pacifié pour une reconcilaition vraie et durable.

Le développement dans tous les secteurs sera notre ultime priorité.

Et ce, en un an, nous pouvons atteindre le 2/3 de nos objectifs. Les autres années seront consacrées au developpement du Mali.

Les mesures audacieuses sous un leadership avec Intégrité feront le bonheur du Mali.

Source: Niaga Diop homme politique Malien.

 

Par croissanceafrique.com

 

RDC: les sept principales sociétés minières quittent la FEC

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En République démocratique du Congo (RDC), les sept poids lourds du secteur minier estiment que la Fédération des entreprises du Congo (FEC) ne défend pas suffisamment leurs intérêts et ont donc décidé de la quitter. Cette annonce par voie de communiqué et à effet immédiat intervient alors que la RDC vient d’adopter une nouvelle loi minière bien moins avantageuse pour les entreprises qui opèrent dans le secteur.

 

Ces sept entreprises produisent 85 % du cuivre, du cobalt et de l’or de la République démocratique du Congo (RDC). Quitter la Fédération des entreprises du Congo (FEC) consiste d’abord pour elles à exprimer leur colère, notamment que l’organisation patronale n’ait pas mieux défendu leurs intérêts au cours des négociations avec les autorités sur la nouvelle loi minière.

 

Le président de la FEC, Albert Yuma Mulimbi, est par ailleurs aussi le directeur de la société minière de l’Etat congolais, la Gécamines. Depuis des mois, il défend des positions très nationalistes. En février dernier, il s’était ainsi insurgé que sur un chiffre d’affaires de 2,6 milliards de dollars pour les entreprises internationales en 2016, la société d’Etat n’ait touché, elle, que 88 millions de dollars.

Négocier des lois.

En quittant la FEC, les entreprises minières tentent aussi une nouvelle fois d’envoyer un message : la nécessité, selon elles, de renégocier certains aspects de cette nouvelle loi. Le texte prévoit en effet une hausse des redevances de 2 % à 3,5 % sur les minerais classiques et jusqu’à 10 % sur les minerais stratégiques comme le cobalt.

 

Dans leur communiqué, les sept entreprises ont ainsi rappelé avoir remis une liste de propositions au ministre des Mines et être prêtes à entamer les négociations au cas pas cas, comme l’avait proposé le ministre.

 

Pour l’heure, aucun rendez-vous n’a encore été fixé pour ces concertations.
Le rapport de force semble être favorable à la RDC. Le pays détient plus de la moitié des réserves mondiales de cobalt, un minerai dont l’exploitation a connu une hausse de plus de 70 % l’an dernier grâce au développement des batteries électriques.

 

Source :AFP

Par croissanceafrique.com