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Mali: Communiqué Conjoint MSA-GATIA suite aux affrontements de Tabardé

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Le MSA et le GATIA informent l’opinion nationale et internationale qu’ils ont participé du 11 au 12 mars 2018 à la neutralisation de bandes armées hostiles au processus de paix et de réconciliation nationale.

Pendant ces deux jours des affrontements ont opposés la coalition MSA-GATIA à ces bandes armées à 45 kilomètres au sud-ouest de Ménaka dans la zone de Tabardé.

A l’issu des affrontements le bilan suivant a été établi :

Almahmoud Ag Iddar Alias Mokossi le numéro trois (3) de l’organisation criminelle sévissant dans la zone, ainsi que six (6) autres bandits ont été neutralisés
Trois (3) bandits immobilisés en instance d’être remis aux autorités
Quatre (4) véhicules récupérés ainsi que treize (13) motos
Un important matériel de guerre saisie dont des roquettes
Le MSA et le GATIA ont perdu un (1) combattant et trois (3) autres sont légèrement blessés.

Le MSA et le GATIA présentent leurs condoléances les plus attristés à la famille du défunt et souhaite un prompt rétablissement aux blessés.

Le MSA et le GATIA soucieux d’un retour rapide à la paix et à la tranquillité ne ménageront aucun effort dans le strict respect des textes nationaux et internationaux pour y parvenir.

Le MSA et le GATIA souhaitent renforcer leur action en étroite liaison avec les gouvernements malien et nigérien afin de rétablir la paix et la quiétude.

Ménaka, le 12 mars 2018

Pour le GATIA Pour le MSA

Amara Ag Hamdouna Mohamed Ag Albachar

La BRI exhorte les banques centrales à maintenir le cap de la normalisation

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Elisabeth Studer

La BRI exhorte les banques centrales à maintenir le cap de la normalisation

Aux banques centrales qui seraient tentées de s’éloigner du droit chemin en guise de réaction à la récente volatilité observée sur les marchés financiers, la Banque des règlements internationaux (BRI ou BIS pour Bank for International Settlements) répond non. Se voulant ainsi le gardien du temple en quelque sorte, ce qui constitue sa mission première.

La BRI a ainsi déclaré dimanche que la situation actuelle ne devait “pas dissuader les grandes banques centrales de relever les taux d’intérêt ni de mettre fin à des années de soutien monétaire sans précédent.” Elle estime en effet que malgré les récents soubresauts de ces dernières semaines, “la situation n’a pas fondamentalement changé”.

  • Nouvelles  turbulences en vue 

S’exprimant dans le cadre de son rapport trimestriel, la BRI – organe international de coordination des grandes banques centrales – se veut même un tantinet alarmante. Elle estime en effet qu’ après une longue période de calme, les marchés financiers devraient connaître de nouvelles turbulences après la correction observée en février dernier.

Selon elle, la tâche d’ores et déjà ardue dévolue actuellement aux banques centrales  – consistant en un difficile jeu d’équilibristes entre normalisation de la politique monétaire et maintien de la croissance – s’est complexifiée ces dernières heures. Le risque de guerre commerciale encouru après les propos pour le moins menaçants de Donald Trump en faveur de l’instauration de droits de douane aux Etats-Unis étant loin d’arranger la situation.

La BRI estime que le mouvement général de relèvement des taux – déjà initié outre-Atlantique – doit néanmoins se poursuivre.”Progresser sur ce chemin nécessitera beaucoup d’adresse, de discernement et, il est vrai, un peu de chance aussi”, a déclaré Claudio Borio, chef du département monétaire et économique de la BRI. Ou quand un financier parle de facteur chance …. pour un peu cela deviendrait inquiétant …Ce dernier invite par ailleurs les responsables des politiques monétaires à ne pas redouter la volatilité en tant que telle. Mieux encore, il estime que “durant le processus de normalisation, une certaine volatilité peut être leur alliée.”

  • La chute des Bourses mondiales due à l’embellie des salaires aux Etats-Unis

Selon Claudio Borio, la chute des Bourses mondiales survenue en février  est consécutive en grande partie à l’accélération des salaires aux Etats-Unis. Contexte qui aura fait craindre aux investisseurs que la Réserve Fédérale (FED) ne réalise un resserrement monétaire d’un niveau supérieur aux prévisions.

Rappelons que début janvier, une quarantaine d’Etats et de municipalités US ont vu la valeur des salaires minimum augmenter. Certains économistes estiment néanmoins qu’elles ne devraient être suffisantes pour qu’on puisse observer une hausse globale des salaires américains. Alors que depuis 2009, le Congrès n’a pas relevé le salaire minimum situé à 7,25 dollars de l’heure, au début de l’année, 18 Etats et une douzaine de municipalités ont décidé d’augmenter les rémunérations minimales. A titre d’exemple, le salaire horaire minimum de l’Etat de Washington est passé au 1er janvier à 11,50 dollars. Sa valeur correspond désormais au montant le plus élevé de tous les Etats. Certes, certains Etats prévoient d’atteindre à terme atteindre un montant de 15 dollars.

Le rapport officiel sur l’emploi américain publié en décembre 2017 a montré pour sa part que les salaires n’ont progressé que de 2,5 % l’année dernière, à peine au-dessus de l’inflation.

Depuis 2009, après la récession provoquée par la crise financière, la croissance des salaires a culminé juste au-dessus de 2 % annuel. Une progression certes un peu plus rapide que l’inflation mais néanmoins en dessous des 3 % atteints lors des reprises précédentes.

Autres éléments et acteurs mis en cause  par Claudio Borio : les produits cotés en bourse (ETP) et les spécialistes en produits dérivés (Commodity Trading Advisors, CTA). Lesquels prennent directement des positions sur la volatilité, soit, pris au dépourvu, se voient contraints de vendre pour couvrir leurs pertes.

Plus inquiétant, Claudio Borio estime que de telles turbulences pourraient de nouveau affecter les marchés. Lesquels évoluent – selon lui – “en terrain inconnu”. De même que l’économie mondiale. De quoi en inquiéter plus d’un ….

Sources : Reuters, AFP, BRI

Elisabeth Studer – 11 mars 2018 – www.leblogfinance.com

Numerique: Smartphones subventionnés : l’UFC-Que Choisir demande à Orange, Bouygues et SFR de rembourser leurs clients !

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L’UFC-Que Choisir veut que Orange, SFR et Bouygues remboursent les clients engagés dans un forfait avec smartphone subventionné.  L’association de consommateurs a en effet annoncé son intention d’identifier les cas où un client a finalement payé son mobile plus cher et s’est retrouvé dans une situation de crédit. Dans quels cas pourriez-vous être remboursé par votre opérateur ?

orange bouygues SFR

Ce 7 mars 2018, la Cour de Cassation a donné raison à Free au sujet des au sujet des smartphones subventionnés. Selon l’institution, les offres forfait+smartphone moins cher peuvent être assimilées à des opérations de crédit. Certaines règles doivent donc être respectées par les opérateurs qui proposent ces offres. Orange, SFR et Bouygues Télécom ne pourront donc plus proposer des forfaits avec étalement du paiement du smartphone. Dans un communiqué, Free se félicite de cette victoire et espère récupérer les 17 millions d’abonnés engagés dans ces offres. 

Smartphones subventionnés : UFC-Que Choisir ne conseille pas de résilier votre abonnement

Comme l’explique Antoine Autier, le responsable adjoint des études d’UFC-Que Choisir, à nos confrères du Parisien, « la Cour estime que si vous payez plus cher votre smartphone en le réglant de façon échelonnée, c’est que votre opérateur vous a octroyé un crédit. Il doit alors appliquer la réglementation sur le crédit à la consommation ». La décision de la Cour ne rend cependant pas les abonnements en cour obsolètes. « On ne conseille pas de résilier » précise-t-il.

Si vous avez souscrit à une offre avec smartphone subventionné, votre opérateur pourrait devoir vous rembourser un éventuel surcoût. « On va se rapprocher des opérateurs pour trouver avec eux une solution afin qu’ils offrent une compensation aux clients engagés lésés »explique Antoine Autier.  » Il faudra détecter les cas où le paiement sur plusieurs mois s’est traduit par un surcoût pour le consommateur, ce qui relève alors clairement du crédit » souligne le responsable.

Pour l’UFC-Que Choisir, il s’agit surtout d’identifier les cas où un utilisateur s’est retrouvé dans une situation de crédit. Toutes les offres avec smartphone subventionné ne corresponde en effet pas à cette définition.Si l’association ne se déclare pas opposée aux abonnements avec smartphone subventionné, elle a tenu une nouvelle fois à rappeler les inconvénients de cette formule.

« Si la qualité du réseau ne lui convient pas, l’abonné engagé ne peut pas changer d’opérateur » souligne Antoine Autier. « Selon une étude que nous avions faite en 2014 cet abonné en question paye son mobile 50 % plus cher ! » prévient le responsable, pour qui il est plus rentable de s’offrir un smartphone nu qu’opter pour un mobile subventionné. Si SFR n’a pas encore souhaité s’exprimer, Orange et Bouygues estiment que la décision de la Cour au sujet des smartphones subventionné ne les concerne pas. Et vous, que pensez-vous de ce genre de forfait ?

Source: croissanceafrique.com

 

Mali: croissanceafrik@mail.com

Finance/Banque Atlantique:Le Groupe a entamé depuis 2009, une phase de consolidation, d’optimisation de ses implantations…

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Depuis la création de la première entité au début des années 80, le Groupe Banque Atlantique a enregistré de nombreux faits marquants ayant conduit à la configuration actuelle que nous lui connaissons. Le milieu des années 2000 a été la phase de développement accéléré avec l’implantation dans les différents pays de la zone. Le Groupe a entamé depuis 2009, une phase de consolidation, d’optimisation de ses implantations, et surtout d’ouverture à des partenaires financiers, afin de se doter des moyens nécessaires à l’accompagnement du développement de ses différentes entités.

  • En 1978 Création de la Banque Atlantique Côte d’Ivoire, En 1997

  • Création de la COBACI par la reprise des activités de Barclays Bank en Côte d’Ivoire En 2001: Création de la SGI Atlantique Bourse devenue en 2003 SGI Atlantique Finance et depuis 2012, Banque d’affaire

Source : Daouda Bakary  KONE

Par croissanceafrique.com

croissanceafrik@gmmail.com

Finance/BNDA: Premier réseau bancaire national

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La Banque Nationale de Développement Agricole a été créée en 1981 par la loi N° 81-08 AN-RM du 03 février 1981. Elle a débuté ses activités en février 1982 avec l’ouverture des agences de Bamako et Koutiala.

Dès l’origine, la Banque finançait le développement agricole au Mali. La BNDA s’est largement diversifiée depuis et intervient dans tous les secteurs de l’économie malienne.

Premier réseau bancaire national

Avec ses 44 Représentations disséminées dans sept des dix Régions du Mali, un Bureau de Représentation à Paris, un parc de 57 (guichets Automatiques de Banque) GABs actifs et 10 en cours d’installation, la BNDA constitue l’instrument pilote de la bancarisation de la population malienne. Chaque Représentation offre une gamme de produits et services bancaires couvrant l’essentiel des besoins de la population.

La répartition des Représentations est la suivante :

3 Représentations à Kayes

5 Représentations à Koulikoro

10 Représentations à Sikasso

6 Représentations à Ségou

3 Représentations à Mopti

1 Représentation à Tombouctou

1 Représentation à Gao

14 Représentations à Bamako

1 Bureau de Représentation à Paris (France)

Premier financier du monde rural

La BNDA est le partenaire financier de plus de 6.000 organisations paysannes et d’une vingtaine de systèmes financiers décentralisés au Mali. Ce qui lui permet de couvrir l’ensemble des zones rurales du pays. Elle intervient aussi auprès des entreprises partenaires en amont et en aval du secteur agricole (agro-industrie, fournisseurs d’intrants,…)

Elle injecte annuellement et en moyenne plus de 60 milliards de FCFA dans le secteur agricole pour le financement du coton, du riz, de l’élevage, du maraîchage, de l’équipement, de la transformation, …

La BNDA est la banque qui finance directement :

    • la production : coton, riz, maraîchages, céréales sèches,…
    • les équipements de production agricoles : charrues, tracteurs, bœufs de labour, herses, magasins, …
    • l’hydraulique villageoise : puits, diguettes, petits barrages, …
    • les infrastructures villageoises : magasins, écoles, …
    • la commercialisation des céréales et produits maraîchers

La BNDA est également un partenaire privilégié des secteurs du commerce et de l’industrie

La BNDA, en effet, a considérablement élargi son domaine d’activités et s’est dotée d’outils technologiques performants pour offrir des services de qualité aux entreprises, aux particuliers, aux ONG et aux Institutions,….

Son offre comprend plusieurs gammes de produits et services (crédits, épargne, transfert, monétique, banque en ligne, BNDA MOBILE…) en évolution permanente, et qui couvrent l’ensemble des besoins des différents acteurs cités ci-dessus.

Des valeurs qui font sa force

389 salariés ayant un même objectif : la satisfaction de la clientèle

Une politique de recrutement axée sur les jeunes diplômés et une formation interne de haut niveau ont permis à la Banque depuis de longues années d’être dotée d’une capacité d’adaptation importante face à l’évolution du marché bancaire et à la technologie.

Une culture d’entreprise basée sur les valeurs traditionnelles du Mali, l’écoute, le partage, faisant de la Banque une entreprise sereine, créative et dynamique.

Toutes ses actions sont axées sur l’amélioration permanente des services offerts à la clientèle.

Daouda Bakary KONE

 

Source: croissanceafrique.com

 

Mail: croissanceafrik@gmmail.com

Finance: L’histoire de la Bank of Africa Mali.

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La  BOA-MALI, ouverte au public en janvier 1982, détient actuellement un capital de 10,3 milliards de F CFA. Elle est la quatrième grande banque du Mali avec un total bilan de 514 milliards de F CFA.

BOA termine l’exercice 2016 au 3e rang des banques maliennes, tant pour le drainage de ressources que pour l’octroi de concours, et consolide sa position au sein du réseau Groupe BANK OF AFRICA. Notre Banque, qui fut la première implantation du Groupe en 1983, entre donc de fort belle manière dans sa quatrième décade d’activité.

BOA-MALI fait son introduction à la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM) fin mai 2016, et devient la 1ère entreprise et banque malienne cotée en bourse.

Un total dépôt de la clientèle de près de 314* milliards de F CFA, plus de 180 000 comptes, plus de 366* collaborateurs, répartis sur un réseau de 60 points de ventes dont 17 agences, 1 Centre d’Affaires, 28 Bureaux de Proximité à Bamako, 14 agences en régions.

BOA est une banque commerciale universelle intervenant sur les marchés retail, corporate, et financier qui apportent à sa clientèle l’expertise d’un groupe puissant et structuré.

BOA-MALI fait partie du réseau BANK OF AFRICA.

 

 

Daouda Bakary KONE

Source croissanceafrique.com

Mail: croissanceafrik@gmail.com

Finance: Performances des banques et établissements financiers du Mali – Plus de 49 milliards de Fcfa de bénéfice en 2016 – Le trio de tête : BOA, BDM et BNDA

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Selon les chiffres rendus publics par la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’ouest (Bceao), les banques et établissements financiers de l’Union monétaire ouest africaine (Umoa) ont réalisé plus de 433 milliards de Fcfa de bénéfice et ont versé ainsi dans les caisses du Trésor public des pays de l’espace communautaire, au titre de l’Impôt sur le bénéfice, un peu plus de 60 milliards de nos francs. Pour le Mali, les performances réalisées concernent les 13 banques en activité dans le pays, auxquelles il a été ajouté les bilans et comptes de résultats de trois établissements financiers.
Source: Aujourd’hui

Par croissanceafrique.com

 

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REGION DE SEGOU : COMMUNE URBAINE DE SEGOU : LES RONDS-POINTS DE LA VILLE DE SEGOU SONT DESORMAIS SECURISES ET EMBELLIS.

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Le maire de la commune urbaine de Ségou, dans sa politique de développement communal et de la sécurisation routière, vient d’installer aux ronds-points de la ville, des rondins de délimitation de centres giratoires. Le premier lot, composé d’une quinzaine de biches, ont été installées ce lundi 12 mars. Le maire de Ségou Nouhoun Diarra, accompagné par le chef d’antenne ANASER à Ségou Blaise Adama Dena et d’autres acteurs de la circulation routière, ont supervisé ce même lundi, les premières buches installées. Le reste déjà commandé par l’entreprise EGK, sera installé très prochainement.

Il faut dire qu’il s’agit là d’une sollicitation du maire de Ségou, répondue favorablement par l’entreprise EGK. Une action qui va consister à remplacer les pneus, déposés par les populations auxdits endroits. Selon le maire, cette initiative va non seulement réguler la circulation aux carrefours des quartiers de Ségou, mais va aussi embellir les voies routières de la commune. Une action saluée à sa juste valeur par le chef d’antenne ANASER de Ségou. Elle répond favorablement aux objectifs de prévention des accidents de la route qu’ANASER s’est fixée à Ségou. C’est aussi de la communication routière. Désormais les usagers en respectant la réglementation au niveau des ronds-points vont aider à la sensibilisation sur les routes.

Que dire de la satisfaction des populations à voir les biches aux carrefours de Ségou en remplacement aux pneus, qu’elles-mêmes populations avaient installés. Adama Koné, un habitant du quartier Darsalam pense que cette initiative est une très bonne chose. Il ajoute que cela va permettre aux usagers de s’éviter aux centres giratoires. Par ailleurs il demande à ce qu’on veille sur les rondins pour que gens mal intentionnés ne les cassent ou les déplacent.

 

Douba Dembele

Source: croissanceafrique.com

 

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Mali: Délimitation de Nossombougou-Kodialanda Le gouvernement fait marchine arrière et opte pour un dialogue inclusif

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Suite aux différentes manifestations des populations de Bélédougou, depuis plus d’un mois, contre le décret du gouvernement, pris en conseil des ministres le 5 janvier dernier, qui avait l’intention de classer environ 5291 hactares de Nossombougou-Kodialanda dans le Bélédougou comme patrimoine culturel national, le ministère de la culture, à travers les mairies locales de la zone, vient d’annuler sa décision pour un consensus avec les différents villages de cette zone. Avec les efforts consentis de l’imam Cheick Wélé Diallo, toute la population de Bélédougou se réjouis de la décision du gouvernement et espère que leur décision de 25 mètres sera respectée.

Cette décision du gournement intervient après que les populations de Bélédougou aient voulu de barrer la route nationale allant vers kolokani, Didiéni jusqu’à Kayes. Le ministère de la culture, à travers les mairies locales de la zone, voulant fêter le 103 ème anniversaire qui était prévu du 8 au 9 mars dernier a concomitamment été bloquée par les populations de plus de 40 villages. En effet, ils accusent la ministre de la culture N’Diaye Ramatoulaye Diallo , appellent toujours à la resistance. Et proposent un seul choix de 25 mètres attribuables au gouvernement. Par conséquent, ils déconseillent au gouvernement de ne pas amener Kidal et de ne pas couler autre sang dans le Bélédougou. Ces évenements se sont survenus au soir du 9 mars 2018 sur la route principale de Bélédougou où des centaines de personnes ont pris part.

Boycott de la célébration du 103 ème anniversaire du Site
Le boycottage des populations, pour la tenue de la cérémonie du 103 ème d’anniversaire du site Kodialanda s’ impose et les populations semblent avoir gain de chose. Prévue pour le 9 et 10 mars 2018, cette cérémonie du 103 ème anniversaire a finalement été reportée à une date ultérieure. Depuis un mois, la tension ne fait que monter à Bélédougou pour faute, le gouvernement, à travers le ministère de la culture, veut coute que coute déposséder plus de 5200 hectares de terres cultivables aux populations qui ne vivent que dans l’agriculture, l’élévage et autres activités de la brousse. Les populations haussent le ton contre Mme le ministre de la culture. En effet, les chefs de village contestent toujours la délimitation et ménacent de faire parler la poudre mystique.
Les autochtones de Bélédougou voulaient et veulent pour toujours un dialogue inclusif auprès des autorités administratives maliennes. Par ailleurs, Ils précisent qu’ils ne sont pas contre décision du gouvernement mais qu’ils sont contre la manière, car pour eux ce site permettra aux enfants du pays, en particulier ceux du Bélédougou de se rendre compte qu’il y eu une bataille à Nossombougou-Kodialanda et de suffisamment connaitre l’histoire de Bélédougou. Pour plus de précision à leur refus, ils affirment que des individus se sont déplacés pour aller demander à ce que ce site soit classé patrimoine culturel du Mali alors qu’ils ne sont pas leurs émissaires mais plutot des opportunistes qui se sont faits délégués pour leur propre intérêt sur le site de Kodialanda. Parmi eux, on note le nom d’un certain Tadé Diarra, un chrétien évangéliste qui ne fait que appeler ses partenaires chrétiens à s’y investir en construisant des églises partout et se faire de l’argent. Le chef religieux chrétien demeure au banc des accusés.

Péril sur un investissement de plus de 500 millions de FCFA

Cette somme colossale de plus de 500 millions de FCFA est de Cheick Wélé Diallo, qu’il a investie sur un espace de 100 ha. Il a acquis ces parcelles avec Abdrahamane Coulibaly et Makan Doucouré. Avant de les acquérir, il s’est munis de toutes les précautions pour savoir si effectivement ces terres devraient êtres vendues. Après toutes les vérifications auprès des autorités locales c’est à dire de la mairie au cercle de kolokani, il y a10 ans de cela, M.Diallo a acquis ces terres par la voie coutumière. Disposant de plus de 200 têtes d’animaux, il fait aujourd’hui de l’élevage dans cette zone pour aider ces populations dans l’apprauvisionnelent de lait. Et bien au contraire M. Diallo se trouve ménacer par le gouvernement pour des questions du site de patrimoine cultuel qui est jusqu’alors vivement et massivement contesté par les populations de Bélédougou ,vue le nombre d’hectares que l’État a l’intention de reserver pour ce site en hommage aux victimes de la bataille de Nossombougou-Kodialanda.

Pour l’heure, les populations de Bélédougou comptent l’envoie d’une délégation gouvernementale par les plus hautes autorités pour tirer cette situation au clair afin que les deux parties puissent s’assurer sur la question de délimitation du patrimoine culturel de Kodialanda.

Nia Dialla keita

 

Source: Le Repère

 

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Santé/sociéte: Remise d’un important lot de matériels médicaux à l’hôpital du Mali.

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La Première Dame, Présidente de l’ONG Agir, Keita Aminata Maiga soulage la souffrance des patients de l’hôpital du Mali.

La Première Dame du Mali , Présidente de l’ONG AGIR, a offert ce lundi 12 Mars 2018, des lots d’équipements médicaux à l’hôpital du Mali de Missabougou pour soulager les patients et patientes de l’hôpital. Ce don composé de kits de pansement, de kits de chimio, de kits de remplissage pour perfusion, de diffuseurs ballon en silicone, de draps pour les lits d’hôpitaux, entre autres permettra de venir en aide aux patients de l’hôpital en les soulageant de quelques frais d’ordonnances. Selon les médecins sur place, le diffuseur ballon silicone qui coûte entre 30000FCFA et 35000 FCFA, sur le marché, peut permettre aux patients sous perfusion de se déplacer et même de travailler durant tout le temps que doit prendre la diffusion sous sérum.

Les responsables de l’hôpital ont vivement remercié la Première Dame, Présidente de l’ONG Agir pour ce geste de générosité et assuré que le matériel sera utilisé à bon escient.

Madou’s Camara

 

Source: croissanceafrique.com

 

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