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Je m’adresse directement koro Kassim Traoréau sujet de la délimitation du patrimoine culturel de Kodialanda

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La version que DISSA, le conseillers vous a fourni est un mensonge. Ceux qui ont demandé à ce que Kodialanda soit classer patrimoine culturel ne sont pas propriétaire du site de Kodialanda. Au moment où les faits se sont déroulés, un Monsieur du nom de TADE Diarra natif de la commune de NONGON a sollicité à ce que le gouvernement décrete Kodialanda patrimoine culturel. À lors que Kodialanda appartient à la commune de Nonssombou.

Aujourd’hui j’ai toutes les preuves qui prouvent que la terre de Kodialanda n’a été vendu. Juste ils ont octroyé des terres aux cultivateurs. Ce monsieur du nom de Tadé Diarra est un chrétien catholique qui ne veux pas que d’autres soit à son côté. Car son terrain est contigu au terrain Cheick Dit Cheickné WELE Diallo.

Et tenez vous bien Tadé Diarra à lui même son terrain dedans selon lui même on l’a donné son terrain, mais ce dernier a voulu mentir au ministère de la culture que les autochtones auraient vendu des terres , donc si cela est avéré , lui, son terrain aussi l’a été vendu aussi ou pas ? Mais TADE Diarra à nié cela donc ayons le courage de dire la vérité. Le gouvernement a une foi de plus soutenu le mensonge au profit de quatre personnes qui se sont déclarés les émissaires des autochtones de beledougou afin de demander à ce que le gouvernement classe le site de Kodialanda patrimoine culturel. Quelques individus ne peuvent pas representer plus 100 villages, d’ailleurs des gens qui ne sont pas dans la même commune.

Le site de Kodialanda appartient à NONSSOMBOUGOU et ceux qui ont demandé à ce que le site de Kodialanda soit classer site patrimoine culturel sont de la commune de NONGON. Et nonsoubougou à son maire et sa marie.

Ce dimanche, le Monsieur du nom de Tadé Diarra à été interpellé par les autochtones de beledougou, il a nié que le site n’a pas été vendu. Pourtant c’est lui qui a demandé à ce que ce site soit classé patrimoine culturel. Ils sont aux nombres 4 personnes qui ont demandé à ce que ce site soit classé patrimoine culturel sans l’avis des autres, et ils sont tous résidant de Bamako.

Et aujourd’hui les autochtones demandent le gouvernement de leurs expliquer que signifie un patrimoine culturel ? Ils veulent être écouter par le ministre en question et affirment qu’ils ne sont pas contre la décision. Mais la manière et le nombre d’hectares. Au total plus 5000 ha sont classés patrimoine culturel, chose que les autochtones n’ont pas compris.

Donc cette information que vous avez publié n’est pas la bonne information, en effet la délimitation à été faite sans consultation aucune, celui qui a demandé à ce que ce site soit classer patrimoine culturel n’est pas de la commune de Nonsoumbou mais plutot natif de la commune de NONGON. La version du ministère est un mensonge Kassim Traore du reporter car j’ai effectué plusieurs voyages sur le site.
J’ai écouté plus de 75 villages sur place (des chefs de villages et des représentants). Même dimanche j’ai été dans la zone pour mener d’autres investigations, la version que le ministère vous a donné est fause, c’est le ministere qui n’a pas consulté les autochtones, donc ils demandent qu’ils soient écouter aussi.

Daouda KONE

Www.croissanceafrique.com

L’épée de Damoclès sur Nossombougou-Kodialanda .

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Lorsque pour une question de patrimoine culturel des honnêtes citoyens sont menacés d’expropriation de leur terre acquis en bon et du forme !!!

Après avoir lu dans plusieurs presses et ayant écouté sur les ondes de nombreuses radios de la place, nous-nous sommes intéressés de cette affaire qui dévient plus qu’inquiétant. Aussi, avions mené notre petite enquête.

En effet, il ressort que suite à la décision prise en conseil des ministres, du 5 janvier 2018, en rapport avec le projet de décret portant classement du site historique du champ de bataille de Kodialanda, s’étendant à plus de 5000 hectares, dans le patrimoine culturel national, les risques d’une explosion imminente se dessine, si rien n’est fait pour prendre en compte la volonté de ses citoyens qui sont en danger.
Parmi les personnes touchées par cette décision, figure un érudit, et pas le moindre ! Il s’agit pour ne rien masquer de l’imam Cheick Wélé Diallo, propriétaire de 100 ha dont un investissement de plus de 500 millions de FCFA a été injecté de ses propres fonds pour faire de l’élevage dont il disposerait de plus de 200 têtes de vaches et autres bétails.
Pour ne rien arranger, cette décision ministérielle est plus que jamais contestée par les habitants de 35 villages de la commune Nossombougou-Kodialanda .
Pour sa part, l’imam Cheick Wélé Diallo, en homme de foi, prenant ALLAH en témoin, dénoncent la mauvaise délimitation de la zone. Il demande aux plus hautes autorités de dépêcher une délégation sur le site afin de régler cette affaire pour le bonheur de tous, toute chose qui selon lui pourrait éviter le pire.
Sur-ce, notre bien aimée ministre de la culture que nous nommons, dame N’Diaye Ramatoulaye, est interpellée à titre personnel à revoir sa copie !
Autrement, notre enquête révèle que l’imam Cheick Wélé Diallo, était sur le point de réaliser de gros investissement sur sa propriété terrestres, lorsque à sa grande surprise, le maire de Nonsombougou, de l’époque, lui intimant de sursoir aux travaux.
Devant les faits accomplis, Cheick Wélé Diallo aurait attaqué la décision devant le tribunal administratif et obtenu satisfaction du verdict , car procédant de tous les papiers depuis 10 ans signés Abdrahamane Coulibaly et Makan Doucouré.
A ses dires, ces dernières, sont propiètaires coutumiers des cette terre. Aussi, pour vérification, il dit s’être rendu chez le préfet de kolokani,qui lui a donné son assurance la véracité. C’est alors qu’ils ont ensemble établis de faire de notifications.
Toujours, selon l’imam, ils sont aussi eu l’assurance du l’ex ministre Bruno maîga de ce leurs parcelles n’étaient pas concernés par le site dite de patrimoine national.

Ce qui dérange encore plus l’imam dans cette affaire, c’est que d’autres restes intouchables, car bien qu’étant sur le même site, ils ne sont pas inquiétés, car procédant ; deux poids, deux mesures, a-t-il dénoncé !

Très mécontent de cette décision, Cheick Wélé Diallo a attaqué cette décision devant le tribunal administratif qui lui a donné raison en annulant l’acte du maire.
Mais dites-nous qu’est-ce qui se cache derrière cette affaire ? Seule madame le ministre N’Diaye Ramatoulaye a la réponse !
Vite et bien la justice doit faire valoir le droit au risque de promouvoir une autre zone de turbulence avec des dégâts incommensurable !!!
A bon entendeur salut !

Affaire à suivre!

Source : www.croissanceafrique.com

Le ministre Ramatoulaye Diallo indexée dans l’affaire de Kodialanda. Effrayée, elle procédé un large changement dans le département de la culture

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Bien sur. Lisez la liste ci-dessous.

AU TITRE DU MINISTERE DE LA CULTURE

– Conseiller technique :
Monsieur Yamoussa FANE, Administrateur des Arts et de la Culture.
– Directeur National des Bibliothèques et de la Documentation :
Monsieur Birama DIAKON, Assistant de Recherche.

– Directeur National de l’Action Culturelle :
Monsieur Alamouta DAGNOKO, Professeur Titulaire.

– Directeur Général du Conservatoire Multimédia Balla Fasséké KOUYATE :

Monsieur Bouraïma FOFANA, Professeur de l’Enseignement supérieur.
Directeur Général de la Maison Africaine de la Photographie :
Monsieur Tidiane SANGARE, Administrateur des Arts et de la Culture.

– Directeur Général du Palais de la Culture Amadou Hampaté BA :
Monsieur Abdoulaye DIOMBANA, Administrateur des Arts et de la Culture.

– Directeur de la Cellule de Planification et de Statistique du Secteur Jeunesse, Sports et Culture :
Madame Yaïdé Djénéba DOLO, Planificateur.
– Directeur de la Pyramide du Souvenir :
– Madame COULIBALY Fadima dite Fadimata, Inspecteur de la Jeunesse et des sports.

Numérisation du conseil des ministres : IBK reçoit sa tablette .

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Le président de la République, Chef de l’Etat , Son Excellence Monsieur Ibrahim Boubacar Keita a présidé ce matin le Conseil des Ministres dans sa salle de délibérations . Avant la fin du conseil , le ministre de l’économie numérique et de la communication, Arouna Modibo TOURE, a expliqué au Chef de l’Etat , l’initiative participative en projet dans son ministère pour mieux sécuriser le chapitre des mesures individuelles issues du Conseil des Ministres. Ce projet numérique sera concrétisé à travers une technologie mise au point par des ingénieurs maliens de l’AGETIC.

L’objectif final est d’aller très prochainement vers un Conseil des ministres numérique, sans supports de copies dures ( papiers ). Le Chef de l’Etat, et chaque ministre utiliseront désormais une tablette digitale standard pour les Conseils des Ministres. IBK , tout en appréciant cette innovation en phase avec le temps , a salué et félicité les innovateurs maliens à la base de ce logiciel.

Renforcement de la résilience communautaire face à l’extrémisme violent: L’ONG Instrument for Africa joue sa partition

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Contribuer au renforcement de la résilience communautaire face aux nouvelles menaces liées à l’extrémisme violent, tel est l’objectif que vise l’ONG Instrument for Africa avec l’appui de l’Ambassade des Etats-Unis au Mali, avec comme vecteur fondamental la culture du dialogue en vue de mieux favoriser le contact entre les différents acteurs, de concourir à la prise de conscience des communautés face aux défis liés à la paix et à la sécurité et promouvoir non seulement les initiatives citoyennes en faveur de la cohésion sociale et du développement local mais aussi faciliter l’appropriation des pistes de solutions. Voilà l’exercice auquel se sont données les organisations de jeunes, de femmes, élus, leaders religieux et communicateurs traditionnels de la commune rurale de Tonka à travers un focus groupe dans le cadre de la 3ème Edition du Festival Marissi qu’elle a abritée du 1er au 3 février 2018. C’était sous la présidence du 3ème adjoint au maire M. Mahamane Yattara et du coordinateur des activités de l’ONG Instruments for Africa M. Ibrahima Amadou Maiga.

C’est la salle de conférence de la Mairie de la commune rurale de Tonka qui a abrité ce cadre de dialogue sur diverses thématiques à savoir «défis liés à la paix et la sécurité: rôle et responsabilité des acteurs locaux»; «la jeunesse face à la problématique de l’extrémisme violent», et «problématique liée à l’engagement citoyen en faveur de la paix, la gouvernance et du développement local: enjeux et perspectives.» Selon M. Ibrahima M. Maïga, cet échange sur ces différents thèmes consiste de recenser les préoccupations de la population de Tonka et de contribuer également à la prise de conscience des communautés face aux défis liés à la paix et à la sécurité. Dans son exposé, M. Maiga a rappelé les fléaux auxquels le Mali fait face notamment l’extrémisme violent, le chômage des jeunes, la perte de repère et la dégradation de l’éducation. Et d’appeler ses interlocuteurs sur les alternatives à envisager face à ces défis afin d’aboutir à des projets de développement pour le bien-être social de la communauté.
Par A.M.Bangou

Journée de la femme: entretien matinal avec la journaliste Karine Oriot

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Selon l’adage « le monde sourit à ceux qui se lèvent tôt », rencontre matinale avec nos leaders. Spéciale mois de la femme.

Le matin représente quoi pour vous ? Une image, un lieu, une ambiance, un souvenir ?

Le matin représente une ambiance. Le point de départ d’une journée de travail, avec des objectifs journaliers à atteindre. Le matin est aussi pour moi le moment de lucidité, idéal pour me concentrer.

Réveil à quelle heure ? Quels rituels de démarrage et préparation de la journée ?

En général, je suis réveillée à 5h du matin. Je commence par consulter toute l’actualité. Je lis la presse digitale en à particulier, je prends quelques notes en fonction des sujets. Je commence à rédiger puis je m’occupe de mon fils.

Qu’est ce qui vous donne envie de vous lever le matin ?

Mon fils me donne envie de me lever le matin et de me surpasser tous les jours.

Votre motivation ?

L’espoir !

Quelle est la place du « positif » et de « l’optismisme » dans votre vie ?

Je dirai que le positif est omniprésent dans ma vie. Dans notre métier, pour ne pas sombrer, une bonne dose d’optimisme est nécessaire.

Quelle est la place de femme dans la société africaine et camerounaise votre pays d’origine ?

Un état des lieux s’impose pour apporter des précisions sur la situation de la femme Dans la société camerounaise, comme sur le continent. En termes d’avancées on peut souligner le droit de vote, l’accès à l’éducation. Cependant, parler d’égalité est une utopie partout dans le monde. Plusieurs sujets sont tabous dans nos sociétés. Les violences et viols comme arme de guerre. La femme reste la plus vulnérable , nos sociétés sont patriarcales. Cependant, de nombreuses femmes

A quoi peut aspirer une jeune femme de 20 ans en 2018 ?

Rires. Je n’ai pas 20 ans, je ne peux pas répondre à la place d’une jeune femme de 20 ans.

Si vous vous retrouviez devant une fée avec une baguette magique, quel souhait voudrez-vous voir réaliser ?

Fins des guerres, des famines des maladies. Fins des injustices sociales…

Quelle est votre clef du succès ?

Le travail.

Journée de la femme: entretien matinal avec Nour Bouakline, consultante en stratégie digitale.

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8 MARS : ENTRETIEN AVEC LES FEMMES LEADERS.

Nour Bouakline, consultante en stratégie digitaleNour Bouakline, consultante en stratégie digitale.

Par Roger Musandji Nzanza le 08 mars 2018 à 10:21.

Selon l’adage « le monde sourit à ceux qui se lèvent tôt », rencontre matinale avec nos leaders. Spéciale mois de la femme.

Oeil d’Afrique : Le matin représente quoi pour vous ? Une image, un lieu, une ambiance, un souvenir ?

Nour Bouakline : Bonjour, Le matin… c’est une chance, une opportunité à saisir ! Ce nouveau jour qui va nous permettre de nous épanouir !

Réveil à quelle heure ? Quels rituels de démarrage et préparation de la journée ?

Mes réveils sont difficile et mes nuits souvent trop courtes. Ça dépend. En temps normal, à 6h00 du matin, je saute du lit pour me préparer avant d’aller réveiller mon fils pour qu’il aille à l’école. J’aime ces matins sans stress au milieu des gens que j’aime

Qu’est-ce qui vous donne envie de vous lever le matin ?

Cette belle journée que j’aurais à vivre ! vous savez c’est une chance, d’être en bonne santé, d’avoir un travail et une famille… alors je me lève pour en profiter !

Votre motivation ?

Partager ma passion ! Mais aussi, profiter des miens. Je vous le dis, je suis trop consciente et reconnaissante pour la chance que j’ai d’avoir autant de choses que j’aime dans ma vie !

Quelle est la place du « positif » et de « l’optimisme » dans votre vie ?

J’aime me décrire comme cette optimiste réaliste. Je cherche toujours les solutions car j’y crois : il y aura toujours une solution ! En revanche, je tiens toujours compte de la réalité, de MA réalité… du coup, c’est rare que je sois déçue

Quelle est la place de la femme dans la société africaine ?

Il m’est difficile de répondre pour toute l’Afrique. Mais dans les pays où je me rends, je reçois des femmes en formations, elles sont à des postes importants et même entrepreneures. Même si parfois, son rôle d’épouse ou de mère la freine un peu, la femme africaine est ambitieuse et déterminée

A quoi peut aspirer une jeune femme de 20 ans en 2018 ?

A réaliser ses rêves ! A être libre…libre de réaliser ses rêves. Je les rencontre ces jeunes, puisque je suis aussi enseignante universitaire et elles sont déterminées ! ça fait vraiment plaisir à voir

Si vous vous retrouviez devant une fée avec une baguette magique, quel souhait voudriez-vous voir réaliser ?

De garder les gens que j’aime en bonne santé. Je puise ma force des gens que j’aime et qui m’entoure.

Quelle est votre clef du succès ?

L’audace… ce n’est pas de l’ambition mais de l’audace ! Quand je me fixe des objectifs, parfois, je me dis à moi-même « t’es pas un peu folle »… mais vous savez placer la barre un peu haute nous permet de nous surpasser, parce qu’on peut y arriver !

ENtretien réalisé par Roger Musandji

Délimitation du patrimoine culturel de Nossombougou-Kodialanda

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Indignation des populations, ministre N’Diaye Ramatoulaye Diallo accusée vouloir déposséder Cheick Wélé Diallo de 100 ha estimés à plus de 500 millions de FCFA
La décision du gouvernement, prise en conseil des ministres du 5 janvier 2018, se fait de plus en plus contestée par les habitants de 35 villages. En effet, elle porte sur le projet de décret, portant classement du site historique du champ de bataille de Kodialanda, estimé à plus de 5000 hectares dans le patrimoine culturel national. Dont l’imam Cheick Wélé Diallo est le propriètaire de 100 ha qui l’ont couté à plus de 500 millions de FCFA. Une situation qui porte à croire que Madame N’Diaye Ramatoulaye est sur le banc des accusés.

Depuis le 5 janvier 2018, le gouvernement du Mali, à travers le ministère de la culture manifeste son intention de délimiter le patrimoine culturel de Kodialanda, presque tout vendu et appartenant aux populations pour des terres cultivables. Un décret du gouvernement qui va leur déposséder de plus de 5000 ha. Par conséquent, les 35 villages en général, particulièrement Cheick Wélé Diallo dénoncent la mauvaise délimitation et réclament l’envoie d’une délégation sur le site pour trancher cette affaire au clair.
Le cas de l’lmam Cheick Wélé Diallo englobe 100 ha soit un coût de 500 millions de FCFA. Intérrogé sur plusieurs antennes de radio, Cheick Wélé raconte comment cette situation a été préjudiciable à l’investissement qu’il voulait faire dans cette localité. Selon lui, il a acquis 100 ha de terres pour faire de l’élévage dans cette zone. À l’en croite, il dispose de plus de 200 têtes d’animaux dans cette contrée. Il était en train de réaliser de gros investissements quant le maire de Nonsombougou, à l’époque des faits à sa grande surprise, lui a dit d’arrêter les travaux. Etonné par cette injonction, il a demandé pourquoi? Celui-ci lui a fait savoir que l’endroit devrait être réservé à l’État pour servir le patrimoine culturel national. Chose étonnante pour lui aussi, d’autres ont acheté des terres à des milliards, qui n’ont jamais été touchés. Très mécontent de cette décision, Cheick Wélé Diallo a attaqué cette décision devant le tribunal administratif qui lui a donné raison en annulant l’acte du maire.
Aujourd’hui, monsieur Diallo dispose de tous les papiers qui lui ont valu d’être le propriètaire normal des 100 hectares. << Depuis 10 ans, j’ai acquis ces parcelles avec Abdrahamane Coulibaly et Makan Doucouré. Avant de les acquérir, nous nous sommes munis de toutes les précautions pour savoir si effectivement ces terres devraient êtres vendues. Ils ont expliqué qu’ils ont acquis ces terres par voie coutumière. Après verifications, nous nous sommes rendus chez le préfet de kolokani, qui nous a rassuré qu’effectivement ce sont des parcelles où on s’installer. C’est là que nous avons décidé de faire de notifications. Quand le patrimoine national s’est posé à l’époque, nous sommes venus demander le ministre Bruno maiga qui nous a aussi rassuré que nos parcelles n’étaient pas concernées >>, a-t-il avancé comme preuve à l’appui.

Nia Dialla keita.

Mali: FINANCEMENT DU PROJET KABALA POUR L’ALIMENTATION EN EAU POTABLE DE BAMAKO.

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La BOAD apporte un appui conséquent de 5 milliards de FCFA pour un nouveau dynamisme du projet

L’Hôtel des Finances a servi de cadre le jeudi 1er mars 2018 à la signature de l’Accord de prêt entre la BOAD et le ministère de l’Economie et des Finances, relatif au projet d’alimentation en eau potable de Bamako à partir de la localité de Kabala. D’un montant de 5 milliards de F CFA, cet appui de la Banque ouest africaine pour le développement (BOAD), donnera un nouveau dynamisme au projet Kabala. Il permettra entre autres la construction d’une station de traitement d’eau sur le site de Kabala, l’extension de la station de traitement de Djicoroni Para. Il y aura aussi la construction d’ouvrage de stockage avec des stations de pompage, la réalisation de 2000 bornes fontaines, plus de 120 000 branchements sociaux et créera de milliers d’emplois directs et indirects.
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L’Accord de prêt a été signé par le ministre Boubou Cissé et M. Christian Adovelande, président de la BOAD. C’était en présence d’autres responsables des deux structures. L’objectif de cette contribution de 5 milliards de FCFA au projet Kabala est d’assurer l’approvisionnement correct et durable en eau potable de la ville de Bamako et environs.
Ainsi, pour M. Christian Adovelande, président de la BOAD, son institution est heureuse de participer au financement de ce projet issu du Schéma directeur d’approvisionnement en eau potable de Bamako, qui a déjà enregistré la mise en place des financements d’autres partenaires. Pour lui, ce Schéma directeur constitue l’instrument par lequel, le Mali, conformément à son cadre stratégique pour la relance économique et le développement durable, vise l’atteinte des Objectifs de développement durable (ODD). M. Christian Adovelande a indiqué que le présent projet porte sur la construction d’une station de traitement d’eau sur le site de Kabala et l’extension de la station de traitement d’eau de Djicoroni Para. Il y aura aussi la construction d’ouvrages de stockage avec des stations de pompage, la réalisation des réseaux d’adduction, d’environ 2000 bornes fontaines publiques et plus de 120 mille branchements sociaux. Dans sa réalisation, le projet permettra d’accroitre la production en eau potable de Bamako et environs, qui est actuellement de 190 mille m3 par jour à 334 mille m3 par jour et la mise en exploitation partielle des infrastructures du projet en 2019 et à 538 mille m3 par jour à la fin des travaux en 2021. Il s’agira aussi d’augmenter le taux de couverture de l’alimentation en eau potable dans la zone du projet de 62% en 2016 à 85% en 2019 et 95% en 2021 et de diminuer de 50% le taux de prévalence des maladies d’origine hydrique liées à la consommation d’eau non potable. Ce financement de la BOAD permettra de créer 640 emplois indirects et 1210 emplois directs au cours de l’exploitation et contribuera à la création de 2 milliards 92 millions F CFA de valeur ajoutée indirecte et induite.
Quant au ministre Boubou Cissé, il a tenu à remercier les responsables de la BOAD pour leur appui constant au Mali et particulièrement pour le financement du projet Kabala. Car, pour lui, le présent accord renforce l’adhésion de l’institution financière et son soutien aux politiques et stratégies de développement du Mali. Cela par sa contribution à plusieurs réalisations dans les secteurs de l’énergie, de l’agriculture, des infrastructures routières, des transports et des secteurs sociaux. Le ministre Cissé a tenu à rassurer que «le Gouvernement du Mali mettra tout en œuvre pour honorer tous les engagements sui sont les siens pour assurer une exécution harmonieuse du projet».
Notons enfin que ce premier cet appui de la BOAD dans le domaine de l’hydraulique urbaine, intervient après trois interventions de la banque dans le domaine de l’hydraulique villageoise. Il s’agit, entre autres, des projets hydraulique villageoise au «Mali Sud» financé en juin 1993 pour un montant de 1,5 milliards de FCFA, dans le Plateau dogon phase I, financé en décembre 1994, à hauteur de 3,5 milliards de FCFA et en 2005, la phase II du plateau dogon pour 3,6 milliards de FCFA. Outre, la BOAD a participé à la réalisation des infrastructures comme l’échangeur multiple au rond-point de la Paix, les voiries urbaines dans les villes de Ségou et Sikasso, la construction en 2×2 voies de la route de Koulikoro et autres.

Dieudonné Tembely.

Affaire du patrimoine culturel de Kodialanda : une légère solution retrouvée Hier vendredi

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La commission de monsieur TADE Diarra sera éclatée et les populations de beledougou en étroite collaboration avec le gouvernement malien mettront une nouvelle commission en place àfin de satisfaire les doléances des autochtones.

Et TADE Diarra sera exclu de la commission, la nouvelle commission qui sera mise en place se chargera de la nouvelle résolution conformément aux principes du droit foncier et celui du droit culturel en vigueur au Mali Sans problème aucun.

Selon les informations que m’a envoyer les autochtones de beledougou, la ville (commune de Nonsoubougou) ne reconnaittra jamais le révérend TADE Diarra comme propriétaire des terres à dans la dite commune (celle de nonsoubougou ) .

Aux dires autochtones de beledougou le révérend TADE Diarra ne peut pas représenter la population de beledougou voir nonsoubougou en particulier.

Ensuite, elles (les populations) affirment que le révérénd TADE Diarra ne peut et ne pourra empêcher quelqu’un a s’installer à NONSSOMBOUGOU, que seule les autochtones de nonssoumbougo peuvent donner leur terre à qui, elles veulent, les populations.

Et désormais le révérend TADE Diarra n’a aucun droit d’attaquer quelqu’un au tribunal, affirment (les populations) par la suite que seul les propriétaire des terres (les autochtones de nonssoumbougou) ont le droit d’attaquer quelqu’un au tribunal et ont le droit d’offrir leur terre à qui, elles veulent.

Et cela, elles affirment que Kodialanda appartient au KONARE de nonsoubougou, donc le révérend TADE Diarra à reconnu cela en présence des journalistes.

Dans les jours à venir, une commission sera mise en place et cela avec l’implication des autochtones et les autorités administratives de la localité. Mais tout compte fait les autochtones doivent rester vigilante face à des promesses verbales venant de nos autorités qui ne font que  transformer des vérités aux mensonges.

À suivre

Daouda KONE
Www.croissanceafrique.com